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  • A l’encontre » Egypte. Le « samedi noir » des défenseurs des droits humains
    Par Ali Khaled | Publié dans le site Al Bedaiah le samedi 17 septembre 2016 ; article traduit pour A l’Encontre par Ayman Alex et Hany Hanna
    http://alencontre.org/moyenorient/egypte/egypte-le-samedi-noir-des-defenseurs-des-droits-humains.html

    La Cour pénale du Caire a décidé samedi 17 septembre 2016 de geler les comptes et biens mobiliers du chercheur Hossam Bahgat, de Gamal Eid, directeur du Réseau arabe d’information sur les droits de l’homme, ainsi que le gel des comptes de Bahey El Din Hassan, président de l’Institut du Caire pour les études des droits de l’homme, de Mustafa Hassan, directeur du Centre Hisham Moubarak pour les droits de l’homme, et d’Abdul Hafeez Tayel, président du Centre égyptien pour le droit à l’éducation ; ainsi que le gel des comptes de leurs centres de droits de l’homme. En même temps la Cour a exclu de cette décision les familles et les employés de ces organisations de droits de l’homme, dans le procès n° 108 de 2016, appelé par les médias : « Procès du financement des organisations de la société civile ».

    Commentant la décision du gel de ses comptes, l’avocat des droits de l’homme Gamal Eid a déclaré à Al Bedaia : « Nous poursuivrons notre chemin de la défense des droits de l’homme ». Il a ajouté dans un message sur son compte Facebook : « Les représailles étaient prévisibles, mais elles sont grossières. Nous allons quand même continuer. Nous pouvons vivre menacés, mais pas complices avec un régime policier qui hait les droits de l’homme, la démocratie et la révolution de 25 janvier ! Bref, la lutte continue. » Le militant des droits de l’homme, Abdul Hafeez Tayel, a pour sa part expliqué ainsi le jugement le samedi 17 septembre : « Cette décision est le début d’une série de mesures répressives contre le mouvement des droits de défense des droits humains en Égypte ».

    Dans ce contexte, l’Initiative égyptienne pour les droits individuels a annoncé son intention de continuer à jouer son rôle dans la défense des droits et des libertés, et de poursuivre la lutte pour changer les politiques publiques et les pratiques sécuritaires hostiles aux droits de l’homme et aux droits économiques, sociaux, civiques et politiques, malgré l’obstination de l’Etat et de ses institutions de s’en prendre à toutes les formes d’organisation et initiatives civiques en Egypte, depuis plus de trois ans.(...)

    #Egypte

  • Egypte : trois ans de prison pour manifestation illégale
    http://www.bastamag.net/Breve-Egypte-Lala-Hakuma-Dadci

    Jeudi 19 décembre 2013, 23h30. La police égyptienne s’introduit dans les locaux du Centre égyptien pour les droits économiques et sociaux (ECESR) dans le centre-ville du Caire. Elle menace l’un des membres de l’équipe en lui introduisant une arme dans la bouche, frappe un autre, ravage les locaux de l’association et détruit tout son matériel. Six membres de l’association sont arrêtés sans mandat, puis emmenés dans différents centres de détention tenus secrets. Le Centre égyptien pour les droits (...)

    #En_bref

    / Démocratie !, #Afrique, #Atteintes_aux_libertés

    #Démocratie_ !

  • La #révolution n’annonce pas le #printemps pour les #Egyptiennes !
    http://goo.gl/nuPcG
    La #femme égyptienne proie des #prédateurs... d’avant et d’après la révolution.

    La révolution en #Egypte n’est pas celle de tous les #Hommes... « Les femmes sont constamment soumises à des #violences de type harcèlement et #abussexuels dans la rue et 90 à 97 % des femmes égyptiennes sont victimes de mutilations sexuelles », dénonce le Centre égyptien pour les #droits des femmes ( #ECWR ), une #ONG.