organization:centre de documentation

  • https://rebellyon.info/Antimiliarisme-et-carnet-B-a-Lyon - @rebellyon

    Le Centre de Documentation Libertaire de Lyon propose cet article, paru originellement dans le fanzine punk Nycthémère n°3, qui nous éclaire sur comment les autorités de l’époque montraient leur hostilité aux idées anarchistes et antimilitaristes.

    En juillet 1880, le gouvernement vote l’amnistie pour les anciens communards, donnant ainsi un nouvel élan à la reconstruction du mouvement ouvrier. Au même moment, la séparation institutionnelle s’opère de façon définitive entre les anarchistes et les autres fractions du courant socialiste. A échelon local, une scission au sein de la Fédération Révolutionnaire de la région de l’Est se produit en mars 1881, scission consommée à l’échelon national lors du congrès ouvrier de la région du Centre ouvert deux mois plus tard. Dès lors, le mouvement anarchiste allait mettre en place ses propres actions et ses propres organisations [1]

    Le 1er août 1914, la mobilisation était décrétée en France. Le même jour, le ministre de l’Intérieur demandait aux préfets de ne pas mettre en application les disposition du Carnet B et de ne pas emprisonner préventivement les antimilitaristes. Cette surprenante mesure de modération ne peut être comprise que par l’analyse du mouvement antimilitariste et l’évolution du Carnet B, en prenant pour exemple le cas de la ville de Lyon.

    #Rebellyon #MédiasLibres #Mutu #Antimilitarisme #CarneB #Lyon #CDL #CentreDeDocumentationLibertaireDeLyon #Nycthémère #Anarchisme

  • La presse lyonnaise et les anarchistes : le procès des 66 de 1883
    http://rebellyon.info/La-presse-lyonnaise-et-les

    Synthèse du mémoire de maîtrise de Laurent Gallet, publiée dans les Mélanges d’Histoire Libertaire n°2 proposée par le Centre de Documentation Libertaire de Lyon, à lire en complément de la « déclaration des 66 anarchistes » faite lors de ce procès à Lyon le 19 janvier 1883. - Mémoire / Répression - (...) — Mémoire, Répression - prisons, Médias, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19

  • Les attentats expliqués par la presse jeunesse : des choix éditoriaux au garde-à-vous | Blog | Le Club de Mediapart

    https://blogs.mediapart.fr/jean-pierre-anselme/blog/141215/les-attentats-expliques-par-la-presse-jeunesse-des-choix-editoriaux-

    « Habituer les enfants à l’idée d’une guerre qui dure, à distinguer les « bons » et les « mauvais » musulmans, accréditer l’idée d’un « choc de civilisation », les accoutumer à ne se sentir en sécurité qu’entouré-e-s de policiers et de militaires… Voilà quasiment la seule perspective offerte par la presse jeunesse au lendemain des attentats. » L’analyse édifiante d’Action-Critique-Médias.

    Comment parler des attentats avec les enfants ? Une question difficile à laquelle ont dû se confronter parents, proches et personnels éducatifs dans les jours qui ont suivi. Les professionnels de la presse jeunesse ont alors proposé des supports au contenu parfois…. très discutable.

    Une du Petit Quotidien, au lendemain des attentats de janvier 2015. Déjà, une propagande destinée aux 6-10 ans à flux continu. (DR)
    Nous avons étudié la première édition post-attentats de six médias s’adressant aux enfants, sur une tranche d’âge de 6 à 14 ans :

    Le Journal des Enfants (pour les 9-14 ans) : « Plusieurs attentats frappent Paris », mis en ligne le 15 novembre ;

    Astrapi (pour les 7-11 ans) : édition spéciale mise en ligne le 15 novembre ;

    Le Petit Quotidien (pour les 6-9 ans) : édition du 17 novembre, mise en ligne le 15 novembre ;

    Mon Quotidien (pour les 10-14 ans) : édition du 17 novembre, mise en ligne le 15 novembre ;

    Le P’tit Libé (pureplayer pour les 7-12 ans) : n°3 « Les attentats de Paris », mis en ligne le 16 novembre ;

    1 jour 1 actu (dès 8 ans) : n° 92, édition du 20 au 26 novembre 2015, mise en ligne le 18 novembre.

    Ces médias ont donc publié assez rapidement des éditions spéciales, articles en ligne ou brochures téléchargeables, sur les attentats, les parents et les personnels éducatifs étant invités à s’appuyer sur ces ressources.

    À l’exception du P’tit Libé, tous ces titres (presse papier) sont présents dans de nombreux établissements scolaires (Bibliothèque Centre Documentaire, et Centre de Documentation et d’Information) validés par les prescripteurs que sont les enseignant-e-s. Ils touchent une large audience : à titre d’exemple le JDE est tiré à 45 000 exemplaires, Astrapi à environ 60 000, Le Petit Quotidien et Mon Quotidien à environ 50 000 chacun. Il faut aussi tenir compte du fait que leur présence dans les établissements scolaires démultiplie le nombre de lecteurs et lectrices par exemplaire (l’audience étant donc très largement supérieure à la diffusion). Ces productions sont donc loin d’être anecdotiques.

  • La CRIIRAD dénonce le licenciement de Bruno BARRILLOT
    http://www.criirad.org/actualites/dossier2013/polynesie/barrillot.html

    Bruno Barrillot est un expert indépendant, spécialiste des armements et notamment des armes nucléaires, co-fondateur en 1984 du Centre de Documentation et de Recherche sur la Paix et les Conflits, devenu depuis l’Observatoire des armements[1].

    En 2005, il a été chargé par le gouvernement de #Polynésie du suivi des conséquences des #essais_nucléaires français en Polynésie. Il avait pourtant obtenu des résultats concrets, en matière d’assainissement des sites et de reconnaissance des droits des victimes. Les autorités françaises ont longtemps soutenu que leurs explosions atomiques expérimentales étaient restées propres et n’avaient donc fait aucune victime. Bien que très insuffisante, la loi Morin de 2010 sur l’indemnisation des victimes des essais[2] constituait un premier pas vers la vérité et la justice. Bruno BARRILLOT a joué un rôle important dans son élaboration. L’une des premières décisions du gouvernement de Gaston FLOSSE, redevenu président de la Polynésie française le 17 mai dernier, a été de mettre fin, sans explication, à sa mission de suivi, pourtant loin d’être achevée.

  • Les 14 et 15 mai, le premier salon des éditions libertaires de Lyon
    http://rebellyon.info/Presentation-du-Salon-des-editions.html
    « Une soixantaine d’éditeurs, revues, librairies et collectifs participeront le samedi 14 et le dimanche 15 mai 2011, au salon des éditions libertaires organisé par le CDL (Centre de Documentation Libertaire), les Amis de la Gryffe et la librairie libertaire la Gryffe. »
    En même temps se tiendra un colloque, « Philosophie de l’anarchie - théories libertaires, pratiques quotidiennes et ontologie » à partir du 12 mai.
    http://rebellyon.info/Colloque-Philosophie-de-l-anarchie.html
    « (…) Depuis plusieurs années, on a vu se multiplier dans de nombreux pays des recherches nouvelles, pointues et approfondies, sur les pensées et les pratiques libertaires, qu’il s’agisse de prendre en considération des auteurs qui ont souvent été méprisés par le monde académique ou de rendre compte d’expériences sociales et historiques qui, d’une manière ou d’une autre, se sont réclamé de l’anarchie. »
    #livres #éditions #libertaires #philosophie #Lyon