organization:conseil départemental

  • Aisne : les allocataires du RSA devront effectuer 35 heures d’activités bénévoles
    https://www.francetvinfo.fr/societe/aisne-les-allocataires-du-rsa-devront-effectuer-35-heures-d-activite-be

    Pour le président du département de l’Aisne, Nicolas Fricoteaux, les allocataires du RSA ont désormais de nouveaux devoirs. Ils devront effectuer jusqu’à 35 heures d’activités bénévoles par semaine. Pour l’élu, c’est le seul chemin vers la réinsertion. « Il s’agit finalement de rendre acteur de son parcours d’insertion le bénéficiaire du RSA, de donner de l’activité pour pouvoir mieux s’insérer et être prêt à retrouver le chemin de l’emploi lorsqu’il se présente », explique Nicolas Fricoteaux. Exemples : effectuer des heures au sein d’une association caritative, apprendre à écrire ou suivre des formations.
    38 000 bénéficiaires du RSA dans l’Aisne

    Certains bénéficiaires trouvent que l’idée n’est pas mauvaise. En cas de refus répétés, une sanction est prévue : l’allocation sera réduite. Ce projet lancé en février dernier suscite aussi des polémiques. À l’époque, certains allocataires ont exprimé leur indignation. Dans l’Aisne, on compte 38 000 bénéficiaires du RSA. Chaque année, le département consacre 103 millions d’euros au versement de cette allocation, soit 20% de son budget.

    • La fausse information sur les contreparties au RSA

      28 juin 2019 Par YVES FAUCOUP Blog : Social en question

      De nombreux médias se sont jetés sur le projet du département de l’Aisne d’imposer 35 heures de travail par semaine aux allocataires du RSA et en ont fait des tonnes. En réalité, rien de bien nouveau sous le soleil mais petite manœuvre de propagande à laquelle collaborent malheureusement certains journalistes.
      Ce lundi 24 juin, Nicolas Fricoteaux, président UDI du Département de l’Aisne, lors de l’Assemblée plénière de sa collectivité, a prononcé un discours dans lequel il a rappelé que l’Aisne était un des départements les plus pauvres de France (89ème en terme de revenu moyen et taux de chômage à 12,2 %). Il évoque plusieurs projets pour lutter contre cette précarité sociale, dont l’un sur la santé, un autre sur le logement. Il s’engage à mieux accompagner les jeunes relevant de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), ainsi que « ceux qui sont aux portes de la précarité, et cela avant même qu’ils ne trébuchent ». Passons sur la formule quelque peu condescendante (car ceux qui doivent solliciter l’assistance ne trébuchent pas, ils y sont contraints par une économie productrice de chômage). Il ajoute : « nous devons passer d’une logique de guichet, de plus en plus assimilée à une sorte d’assistanat qui enferme, vers une véritable stratégie d’insertion, efficace, durable, elle-même garante d’une meilleure intégration dans notre société ».

      Il dit vouloir s’inscrire dans le Plan pauvreté voulu par le gouvernement : non seulement récupérer auprès de l’État un peu d’argent pour réduire le budget RSA qui se situe dans ce département à 106 millions d’euros, mais aussi revenir au sens premier du revenu de solidarité active. Certes, il reconnaît qu’il manque de l’emploi, mais déclare qu’il faut préparer les personnes à occuper les postes qui pourraient être créés. D’où la décision de mettre en place, pour favoriser l’accès à l’emploi, « un contrat d’engagement réciproque renforcé, le CER+ ». On le verra, rien de très nouveau, le Monsieur Plus du CER n’invente rien, il lui faudra peut-être un jour inventé l’hyper CER +. Pas de quoi cependant mobiliser un reporter. Mais vient alors la seule phrase qui fera mouche et agitera les rédactions : « l’esprit est de rapprocher, davantage encore, la dynamique de l’insertion de celle de l’emploi, en nous appuyant sur ce même référentiel qu’est la durée légale du temps de travail, c’est à dire, lorsque cela sera possible, les 35 heures hebdomadaires ». Et d’engager, tactiquement, une forte publicité autour du thème : « 35 heures pour le RSA » !

      Alors là, on imagine le rédac-chef : « c’est bon Coco, fais-moi un truc là-dessus ». L’Aisne nouvelle, La Voix du Nord, Valeurs Actuelles, France 3, France 2, RTL, pour ne citer qu’eux, se précipitent et font un sujet. Prenons France 2 : d’emblée, le travail est bâclé, la journaliste parlant de « 38 000 personnes touchant le RSA [dans l’Aisne] soit 12 % de la population active ». Bizarre : il y a actuellement 34 800 demandeurs d’emploi (catégorie A) dans ce département, et le taux de chômage (comparativement à la population active) est de 12,2 % (selon Le Courrier picard du 11 juin). RSA et chômeurs ne superposent pas (1), mais on n’a jamais vu qu’il y ait plus d’allocataires du RSA que de chômeurs (au niveau national : 3,4 millions de chômeurs, 1,8 millions de foyers allocataires du RSA). Bon, il faut aller vérifier (2) : Nicolas Fricoteaux, lors de la session où il s’est expliqué a dit textuellement : les « bénéficiaires du RSA […] sont 17 000 aujourd’hui, soit 40 000 personnes concernées » (il se fixe comme objectif de faire baisser ce chiffre à 15 000 !). Sur RTL, répondant en direct à Yves Calvi, il a été plus précis encore : « 17 030 foyers allocataires, soit 38 000 personnes concernées ». Une journaliste de France 2 confond donc sans problème nombre d’allocataires et membres du foyer (conjoint et enfants).

      Engagement volontaire

      Le reportage de France 2 se poursuit en interviewant des allocataires qui s’en réjouissent : « ça peut mettre le pied à l’étrier ». Une responsable d’insertion explique que « c’est de l’accompagnement et que c’est sur la base de la volonté » [pour dire « volontaire », donc non obligatoire]. Mais en cas de non-respect des engagements, les allocations pourraient être réduites, ce que d’autres allocataires contestent en expliquant que déjà ils galèrent et que de toutes façons il n’y a pas d’emplois.

      Sur RTL, hier, répondant à un Yves Calvi grimaçant (on connaît sa hargne envers tous ces assistés) et cherchant à faire dire au président du Conseil Départemental de l’Aisne qu’il s’agit bien d’une « contrepartie », l’élu répond, méfiant, que « pas vraiment » (sourires narquois dans le studio de la radio), qu’il s’agit d’un « contrat d’engagement réciproque qui existe déjà dans la plupart des départements, pas suffisamment généralisé ». Yves Calvi réclamant des exemples, l’homme politique liste : aide à passer le permis de conduire, immersion en entreprise, formations, bénévolat, valorisation des parcours associatifs des allocataires, travaux saisonniers, vendanges et cueillettes de fruits rouges, avec aide à la garde d’enfants, au déplacement, à l’inscription dans la vie culturelle et sportive, et avec cette précision qui est de taille : « maintien de l’allocation en plus du salaire qui est versé par l’entreprise ». Cela n’a donc rien à voir avec une « contrepartie » imposée, en terme de travail, en échange de l’allocation versée, ce qui serait totalement illégal. Quant au bénévolat, faut-il préciser que les mêmes, qui agitent comme un hochet le principe des « droits et devoirs » quand il s’agit des plus démunis, et qui finissent par valoriser le bénévolat, étaient à une époque les premiers à contester toute possibilité d’engagement bénévole : pensez donc, ces gens-là doivent tra-va-iller, ils n’ont pas un secours de l’État pour glander et militer dans une assoce ! En conséquence, les contrats qui allaient dans ce sens étaient systématiquement refusés par ces petits Wauquiez ou Ciotti de l’époque.

      Site RTL [capture d’écran] Site RTL [capture d’écran]
      L’animateur de RTL a alors une illumination : « en vous écoutant, on se dit que c’est une forme d’accompagnement plus personnel, plus individuel ». Réponse : « c’est exactement cela ». Et Nicolas Fricoteaux de s’insurger contre « vos collègues qui titrent : 35 heures pour du bénévolat ». Le bénévolat n’est qu’un outil dans le champ multiple des actions proposées. Bien sûr Calvi, plus grimaçant que jamais, sort sa petite tirade sur l’assistanat et s’inquiète : mais combien ça va coûter tout ça « en argent sonnant et trébuchant » [preuve qu’il n’y a pas que les gens au RSA qui "trébuchent", l’argent aussi]. Réponse : pour une personne seule, le RSA coûtant à la collectivité « entre 6500 et 6800 € par an », si on accompagne les sans-emploi, si on mène ces actions, à terme « c’est une allocation qu’on risque de ne pas verser » [sic]. Les moyens supplémentaires s’élèvent à 1,7 million d’euros, qui se rajoutent aux sommes déjà engager pour l’insertion, soit un total de 3 millions pour mener des actions (en dehors du coût de l’allocation elle-même).

      L’amateurisme de Calvi

      A noter qu’Yves Calvi, dans le résumé qu’il en fait sur le site de RTL (titrée La mesure choc votée dans l’Aisne), écrit que le total des aides citées plus haut « cela va coûter « 6500 à 8000 euros par an » par allocataire ». Non seulement, ces chiffres ne sont pas ceux que Nicolas Fricoteaux lui a fournis en direct, mais en plus il n’a rien compris du coût des mesures prises. Il ne comprend pas que 6500 € c’est le montant annuel du RSA pour une personne seule (et encore ce chiffre est légèrement gonflé), c’est-à-dire moins de la moitié du seuil de pauvreté et non pas les aides accordées pour soutenir la démarche d’insertion : puisque le total de ces aides représente 3 millions, la moyenne des aides par allocataire se situera aux environs de 175 € (compte tenu de ce qui était déjà affecté à ce poste, le surplus du projet représente en réalité 100 € par allocataire). On est confondu devant tant d’amateurisme, de mépris aussi : car M. Calvi cause du RSA en ne sachant pas vraiment de quoi il parle, ce qui le conduit à envisager que le Département de l’Aisne vient de décider une « mesure choc » représentant 6500 à 8000 € par allocataire et de laisser sans vergogne cette fake news sur le site de RTL, au risque que certains le croient.

      Nicolas Fricoteaux précise qu’Emmanuel Macron, lors d’un Grand débat, avait dit qu’il était intéressé par ses propositions.

      [Site CD Aisne] [Site CD Aisne]
      Pourquoi tout cela est désopilant ? Parce que cette presse ne fait aucun travail approfondi : elle pourrait aller voir ce que recouvre ces actions, pourquoi elles n’étaient pas déjà actées. Non, elle préfère le buzz : elle s’emballe sur le fait qu’Edouard Philippe a parlé de la nécessité d’instaurer une contrepartie aux aides sociales. C’est du Wauquiez soft, c’est-à-dire du discours anti-assistanat légèrement adouci. Le Premier ministre joue d’ailleurs avec ça : à propos des taxes sur les contrats courts, au cours de son discours de politique générale, il a ironisé sur le mot de « contrepartie » qu’il utilisait pour qualifier ce qu’il imposait au patronat (« vous savez que j’aime ce mot »).

      Mais surtout, on nous présente comme une nouveauté exceptionnelle (le projet du Département de l’Aisne) ce qui n’est que la stricte application de la loi : celle sur le RMI (dès 1988), et celle du RSA (2008, application 2009). Tout ce qui est listé plus haut comme actions possibles (qui ne sont pas des "contreparties" mais des "droits" de l’allocataire) c’est ce qui s’est fait dans de nombreux départements, c’est ce qui se fait encore dans beaucoup d’entre eux. Mais il est vrai que les collectivités locales, compte tenu des restrictions imposées par l’État depuis plusieurs années (surtout depuis le quinquennat Hollande-Macron), ont réduit leur voilure et, comme ils préfèrent ne pas toucher à d’autres dépenses moins prioritaires, alors ils ont sabré sur l’insertion, tout en gémissant sur les dépenses importantes qu’ils consacrent à l’aide sociale (alors même qu’il s’agit là de leur compétence légale essentielle).

      Ajoutons que l’État à refiler aux Départements des missions (dont le versement de l’allocation du RSA) sans abonder leur budget au niveau qui s’imposait compte tenu des réalités sociales locales. La montée en charge du nombre de personnes vivant de l’assistance aurait dû entraîner des moyens considérables pour l’accompagnement collectif et individuel des personnes qui galèrent, alors que cet accompagnement est prévu explicitement par les textes, même si le grand public l’ignore (ainsi que les rédactions de certains médias). Du coup, effectivement, nombreux sont les allocataires qui n’ont aucun « contrat d’engagement réciproque » (loi du 1er décembre 2008) et donc aucun suivi. Cette loi prévoit (c’était déjà vrai avec le RMI, donc depuis 30 ans), que lorsque le contrat signé entre la collectivité et l’allocataire n’est pas respecté par ce dernier, alors l’allocation peut être réduite (comme le prévoit M. Fricoteaux, avec un Calvi buvant du petit lait qu’on puisse sanctionner ces feignasses) ou carrément supprimée : comme cela se pratique depuis (presque une éternité) lors d’irrespect manifeste du contrat. Sauf que c’est bien souvent la collectivité qui ne peut tenir ses engagements, ne serait-ce qu’en étant incapable de fournir un emploi à des personnes engagées dans un processus d’insertion, ayant suivi une formation adéquate. Le contrat n’étant pas léonin, la sanction ne peut être qu’extrêmement rare, sinon, par souci de réciprocité, il faudrait que la collectivité et l’État soient, eux-mêmes, bien souvent sanctionnés.

  • Citoyens Résistants d’Hier et d’Aujourd’hui
    http://www.citoyens-resistants.fr/spip.php?article575

    Citoyens Résistants d’Hier et d’Aujourd’hui

    Le Président de la République va se rendre au cimetière de Morette et au plateau des Glières ce dimanche 31 mars à l’occasion de la commémoration des combats des Glières. Il répond ainsi à l’invitation conjointe de l’association des Glières et du président du Conseil Départemental Christian Monteil.

    Au moment où Emmanuel Macron s’apprête à remettre en cause une nouvelle fois le système des retraites par répartition, après s’être attaqué au code du travail, à la sécurité sociale, à l’hôpital public et aux services publics en général, toutes ces mesures en grande partie issues du Conseil National de la Résistance, cela nous paraît particulièrement mal venu.

    Pour l’occasion, il sera accompagné de Nicolas Sarkozy… Ce déplacement se transforme en une « association de malfaiteurs » vis à vis des fondements de notre République sociale.

    Emmanuel Macron vient à Morette au moment où son attitude méprisante à l’égard des plus faibles est à son paroxysme, au moment où la France est mise à l’indexe par l’ONU quant à la démesure des violences policières à l’égard des Gilets Jaunes, au moment où les inégalités dans le pays n’ont jamais été aussi importantes. Des attitudes et des faits aux antipodes de ceux souhaités et mis en place à la Libération.

    Face à son choix de venir honorer tout de même les résistants des Glières ce dimanche, nous émettons deux hypothèses :

    Soit il s’agit de la part de monsieur Macron d’une méconnaissance de la pensée politique de la Résistance en souhaitant mettre en avant seulement les faits d’armes, auquel cas nous l’invitons à lire au plus vite le programme du CNR.

    Soit il s’agit d’un méa-culpa quant à sa politique tournée seulement en faveur des plus riches et qu’il souhaite désormais remettre l’intérêt général au centre de ses préoccupations, à l’instar de ce que souhaitaient les résistants.

    Dans le second cas, il aura tout le soutien de notre association « Citoyens Résistants d’Hier et d’Aujourd’hui ».

    Thorens-Glières le 27 mars 2019.

    • Appel au rassemblement dimanche 31 mars à Thorens-Glières

      Le Président de la République Emmanuel Macron se rendra au cimetière de Morette et sur le plateau des Glières dimanche 31 mars pour un hommage à la Résistance. Il sera accompagné de Jean-Michel Blanquer, de Geneviève Darrieussecq et de de l’ancien Président de la République Nicolas Sarkozy.

      Nous, Citoyens Résistants d’Hier et d’Aujourd’hui, vivons cette présence comme une insulte aux valeurs du Conseil National de la Résistance et aux combats des Résistants, et dénonçons une opération de communication politicienne.

      Emmanuel Macron viendra rendre hommage aux combattants des Glières en « oubliant » d’évoquer la pensée politique de ces derniers.

      Résumer la Résistance à ses faits d’armes, c’est nier l’Histoire. C’est nier que des femmes et des hommes sont tombés pour des valeurs, pour un monde plus juste et plus égalitaire. Grâce au Conseil National de la Résistance, composé de toutes les tendances politiques, ce qui n’était qu’une utopie sous l’occupation est devenu réalité à la Libération.

      Pour ces Résistants, cette promesse des « jours heureux » valait plus que leur sang. Leurs combats pour que l’intérêt général s’impose face aux intérêts particuliers a permis notamment la création de la Sécurité Sociale, la mise en place des retraites par répartition et des services publics, l’éviction des féodalités économiques et financières de la direction de l’économie, l’indépendance de la presse à l’égard de l’Etat et des pouvoirs d’argent.

      Comment ne pas voir une contradiction flagrante avec les politiques menées aujourd’hui ? Ce sont bien ces conquis qui sont attaqués depuis des décennies par ceux-là même qui se tiendront droits face aux tombes de ces héros.

      C’est de la récupération : le Président vient honorer la Résistance mais par ailleurs il s’acharne à détruire son édifice social et politique !

      Pour couronner le tout, au mépris de l’actuel Président de la République pour les revendications sociales du mouvement des Gilets Jaunes et des syndicats s’ajoute l’irrespect dont avait fait preuve Nicolas Sarkozy en mars 2008 face aux anciens Résistants dans ce même lieu du cimetière de Morette. Ca fait beaucoup !

      Pour toutes ces raisons et pour rendre à la Résistance l’hommage qu’elle mérite, nous appelons à un rassemblement dimanche 31 mars à 14 h à Thorens-Glières, au pied du Plateau, sur la place de la Liberté, entre la mairie et la salle Tom Morel.

      Citoyens Résistants d’Hier et d’Aujourd’hui
      Thorens-Glières le 29 mars 2019

      https://youtu.be/-RTcBbEgBjw?t=1


      Souvenir... Sarkozy aux Glières en 2008 ! Qui découvre la cascade ... Stupéfiant !

  • #Marseille : #Saint-Just a 3 mois ! On lâche rien ! #rassemblement !
    https://fr.squat.net/2019/03/17/marseille-saint-just-a-3-mois-on-lache-rien-rassemblement

    Le #Collectif_59_St-Just appelle à ramener des casseroles pour faire un maximum de bruit lundi 18 mars à 17h, devant le Conseil Départemental. Madame Vassal, nous aussi on a des casseroles ! Mais nous, nos casseroles, nous les utilisons pour nourrir des personnes ! Appel à rassemblement lundi 18 mars 2019 à 17h devant […]

    #59_avenue_de_Saint_Just #Manba #sans-papiers #Squat_Saint-Just

  • Pétition urgente : Alya, mineur isolé, handicapé, doit être pris en charge par le Conseil Départemental de Loire Atlantique !
    https://nantes.indymedia.org/articles/44814

    Il a 14 ans, est handicapé. Rejeté par le Conseil Départemental, mis à la rue. En grand danger.Aller directement à la pétition en ligne : https://www.change.org/p/institutions-de-loire-atlantique-alerte-jeunes-en-danger-%C3%A0-nantes-signe

    #/ #immigration #sans-papieres #frontieres #Nantes #/,immigration,sans-papieres,frontieres

  • Jusqu’où ira l’indignité ?
    https://nantes.indymedia.org/articles/44760

    Il a 14 ans, a perdu ses deux frères au cours du voyage pour un avenir qu’ils espéraient meilleur. Il est handicapé. Rejeté par le Conseil Départemental, mis à la rue. En grand danger. Alia a été repéré la semaine dernière à la gare de Saint Nazaire, pleurant toutes les larmes de son corps. Echoué là, on ne sait pourquoi, comment. Emmené par ses deux frères, protégé par eux, en quête d’un avenir meilleur en France. Ils sont morts pendant le voyage, le laissant seul, complètement perdu, et handicapé. Au cours du voyage depuis la Guinée, il a perdu l’usage de l’un de ses yeux, l’autre est en grand danger si rien n’est fait (...)

    #/ #immigration #sans-papieres #frontieres #/,immigration,sans-papieres,frontieres

  • RSA : le département de l’Ariège accuse l’Etat de se défausser de ses obligations financières - France 3 Occitanie
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/ariege/foix/rsa-departement-ariege-accuse-etat-se-defausser-ses-obl

    Le président du Conseil départemental de l’Ariège Henri Nayrou accuse l’Etat de se défausser sur la collectivité locale de ses obligations financières en matière de paiement du Revenu de solidarité active (RSA)

    « A partir du 16 juillet 2018, le Département paie pour l’Etat ! », s’offusque dans un communiqué Henri Nayrou, le président du Conseil départemental de l’Ariège.

    Dans son département, « l’Etat Français se défausse sur le Conseil Départemental de ses obligations financières au niveau du paiement pour les bénéficiaires du RSA-RMI », assure-t-il.

    « Cette année, les dépenses pour le RSA en Ariège s’élèvent à 35 855 717 €. La compensation par l’Etat ne représente que 19 386 677 €, pratiquement du même montant qu’en… 2005. Faites les comptes, le reste à charge pour le Conseil Départemental de l’Ariège est de 16 449 040 €, ce qui ne représente que 196 jours de financement RSA payés par le Gouvernement », détaille Henri Nayrou.

    « Il se trouve que le 196ème jour de l’année 2018 tombe ce 15 juillet. A partir de ce 15 juillet, c’est donc le Département de l’Ariège qui, sur ses fonds propres, va payer le RSA à la place de l’Etat », conclut-t-il.

    L’incitation budgétaire au contrôle des Rsastes par les départements est passée par la décentralisation du RMI en 2003.

    En matière de contrôles/radiations, l’Ariège n’est pas en reste
    https://seenthis.net/messages/88223

    #austérité #décentralisation #contrôle #RSA

  • [Gap] Mobilisation de soutien contre l’expulsion du Chum
    https://grenoble.indymedia.org/2018-03-08-Gap-Mobilisation-de-soutien-contre

    Depuis le 9 septembre 2017, le centre d’Hébergement d’Urgence de Mineurs Exilés (Chum) de Veynes a accueilli plus d’une centaine de jeunes arrivant de la frontière italienne, car ni le Conseil Départemental ni l’État n’ont eu la volonté de mettre en place des dispositifs d’hébergement suffisants, pourtant de leur responsabilité ! Face à ces lamentables moyens institutionnels, ce lieu occupé et autogéré veut montrer qu’un accueil digne et réactif est possible. Le 13 mars aura lieu à Gap le procès (...)

    #Agenda

  • #Gap (05) : Mobilisation de soutien contre l’expulsion du Chum de #Veynes
    https://fr.squat.net/2018/03/08/gap-05-mobilisation-de-soutien-contre-lexpulsion-du-chum-de-veynes

    Depuis le 9 septembre 2017, le centre d’Hébergement d’Urgence de Mineurs Exilés (Chum) de Veynes a accueilli plus d’une centaine de jeunes arrivant de la frontière italienne, car ni le Conseil Départemental ni l’État n’ont eu la volonté de mettre en place des dispositifs d’hébergement suffisants, pourtant de leur responsabilité ! Face à ces lamentables moyens […]

    #23_avenue_des_Martyrs #procès #rassemblement #sans-papiers

  • [communiqué de l’intersyndicale, membres du personnel de l’Université de #Nantes] Pour l’accueil des Mineur-e-s Isolé-e-s Etranger-e-s
    https://nantes.indymedia.org/articles/39284

    Pour l’accueil des Mineur-e-s Isolé-e-s Etranger-e-s Depuis le mercredi 15 novembre des mineur-e-s isolé-e-s étranger-e-s occupent le rez-de-chaussée du bâtiment Censive de l’Université de Nantes. Depuis dimanche 26 novembre, ils/elles ont également décidé d’occuper le Château du Tertre. Ces occupations ont pour but d’héberger ces mineur-e-s – qui sont près de 300 dans l’agglomération nantaise à se trouver actuellement sans #logement décent, et dont 80 vivent dans la rue – et de dénoncer l’inaction et l’hostilité des pouvoirs publics. En effet, depuis août 2015, le Conseil Départemental de Loire-Atlantique refuse la mise à l’abri de ces jeunes le temps de l’évaluation de leurs dossiers comme la loi l’y engage, ainsi que le protocole Taubira qui prévoyait la prise en charge des migrant-e-s dans (...)

    #/ #squat #lutte #étudiant-e-s #lycéen-ne-s #mouvement #immigration #sans-papieres #frontieres #/,squat,lutte,logement,étudiant-e-s,lycéen-ne-s,mouvement,immigration,sans-papieres,frontieres

  • #Toulouse : Le #Collectif_AutonoMIE occupe un hôtel pour des mineurs isolés étrangers
    https://fr.squat.net/2017/10/17/toulouse-le-collectif-autonomie-occupe-un-hotel-pour-des-mineurs-isoles-et

    « Le Conseil Départemental refuse de loger les jeunes ? On s’en charge nous-memês ! » Dimanche 15 octobre, annonces du collectif AutonoMIE : « Nous vous attendons nombreux-ses à 13h au métro La Vache pour officialiser le squat d’AutonoMIE. Les risques sont importants pour les jeunes, nous avons besoin d’un maximum de monde afin que le […]

    #75_rue_de_la_Glacière #ouverture #sans-papiers

  • Pétition soutien aux MIE
    https://nantes.indymedia.org/articles/37799

    Pétition Alerte, jeunes en danger à #Nantes ! 230 mineurs isolés étrangers, sont laissés à la rue, abandonnés par les institutions. Après un parcours jalonné de souffrances et de maltraitances, ils doivent aujourd’hui affronter la violence de la rue et l’isolement, dans l’indifférence des institutions françaises. Et particulièrement à Nantes ! Pourquoi cette situation ? Ces mineurs arrivent dans notre ville et font valoir leurs droits à l’accueil et à la mise sous protection, conformément à la Loi française et à la Convention Internationale des Droits de l’Enfant ratifiée par la France. A Nantes, ils sont dirigés vers l’association Saint Benoît Labre, missionnée par le Conseil Départemental de Loire-Atlantique en charge de la protection de l’enfance. Aujourd’hui, par une mécanique semblant plus (...)

    #/ #précarité #squat #logement #immigration #sans-papieres #frontieres #exclusion #chômage #/,précarité,squat,logement,immigration,sans-papieres,frontieres,exclusion,chômage

  • [Nantes] Face au refus de prendre en charge des jeunes exilé-e-s isolé-e-s, prenons la rue !!!
    https://nantes.indymedia.org/articles/37513

    Depuis cette semaine le service d’évaluation de l’association St Benoît Labre (Délégation de l’Aide Sociale à l’Enfance du Conseil Départemental), AEMINA, refuse de prendre en charge des jeunes exilé-e-s isolé-e-s arrivant à #Nantes. Malgré les dispositions légales, l’association refuse de mettre à l’abri les primo-arrivant-e-s, pendant le temps de l’évaluation. Pretextant un réseau hotelier saturé, c’est aujourd’hui plus d’une quinzaine de jeunes, qui viennent d’arriver à Nantes, qui se retrouve à la rue.

    #/ #squat #logement #immigration #sans-papieres #frontieres #/,squat,logement,immigration,sans-papieres,frontieres

  • Mende : La CAF réinvente les mariages forcés ! | Exploités Énervés
    https://exploitesenerves.noblogs.org/mende-la-caf-reinvente-les-mariages-forces

    Mardi 14 mars une douzaine de personnes étaient rassemblées devant la cité administrative du Conseil Départemental à Mende. Une banderole et un tract distribué à l’entrée alertaient : « La CAF réinvente les mariages forcés ! »

    En effet, ce matin-là avait lieu une commission de recours pour T. et David qui contestaient la décision de la CAF de les placer de force dans la case « RSA couple ». Depuis le début d’année, David a son RSA coupé car la #CAF le déclare en couple avec la mère de son enfant avec laquelle il n’habite plus. De plus, ce sont 13000 euros de soi-disant trop-perçus sur les deux dernières années qui leur sont réclamés.

    La douzaine de personnes avait alors décidé de les accompagner et de dénoncer cette chasse aux couples qui vise à faire des économies sur le dos des #RSAstes.

    #vie_maritale (supposée) #indu #luttes

  • Contre la destruction des collèges de la Reynerie et de Bellefontaine ! - IAATA
    https://iaata.info/CONTRE-LA-DESTRUCTION-DES-COLLEGES-DE-LA-REYNERIE-ET-BELLEFONTAINE-1837.html
    http://iaata.info/home/chroot_ml/ml-toulouse/ml-toulouse/public_html/local/cache-gd2/5f/6e033c268842e6b3b5a7ee08e696b7.jpg?1485733631

    Un vrai #mépris des #enfants, des parents, des enseignant-es, des personnel-les du #collège, des habitant-es. Dès qu’on en a entendu parler, parents, enseignants, habitant-es, on a réagi, on est allé-es discuter, expliquer. On a participé à plusieurs réunions avec le Conseil Départemental, le Rectorat, la FCPE. Ils font semblant d’écouter les gens, mais iels avaient déjà décidé avant de commencer à discuter. Quand on dit qu’on n’est pas d’accord, iels nous répondent que ça ne compte pas, que « c’est pour notre bien ». Comme le dit une maman, qu’est-ce que ces gens-là connaissent de notre vie ? Comment iels peuvent décider ce qui est bien pour nous ? C’est mieux pour les enfants 35 minutes de trajet au lieu de 5 ? C’est mieux toute la journée au collège sans pouvoir rentrer, la cantine obligatoire ? Et pour nous qui avons dèjà des vies dures, c’est mieux de ne pas pouvoir aller au collège en cas de problèmes, de ne plus avoir la proximité avec les profs et le personnel ? Ce projet est d’une grande #violence, un facteur de colère et d’angoisse, en particulier pour les enfants.

  • Stop au massacre des terres vivantes. Rassemblements contre l’A45 les 15 et 16 décembre
    https://rebellyon.info/STOP-au-massacre-des-terres-vivantes-NON-17292

    Deux rassemblements sont organisés par les opposant-e-s à l’A45. À Lyon, le jeudi 15 décembre devant le Conseil Régional à partir de 9h30. À Saint-Étienne, le vendredi 16 décembre devant le siège du Conseil Départemental de la Loire à partir de 10h.

    #Infos_locales

    / #Ecologie_-_nucléaire_-_alternatives, Une, #Transport, #A45

  • Soutien aux Maisons des solidarités
    https://iaata.info/soutien-au-MDS-1738.html

    Le gouvernement socialiste et le Conseil Départemental achèvent le social à petit feu, maintenant ou plongeant sur Toulouse des centaines d’hommes, femmes et enfants de tous âges dans l’insécurité et la précarité quotidienne et dans la rue (...) — soutien_aux_maisons_des_solidarite_de_toulouse.rtf, http://www.cnt-f.org/cnt31

    https://iaata.info/home/chroot_ml/ml-toulouse/ml-toulouse/public_html/IMG/rtf/soutien_aux_maisons_des_solidarite_de_toulouse.rtf

  • Val Tolosa un grand projet inutile
    http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article851

    A Plaisance comme au Testet, deux élus, contre l’avis des populations, sont prêts à tout par parvenir à leurs fins, à ce qui leur semble être l’empreinte qu’ils vont laisser dans l’histoire. Le retournement de veste du Conseil Départemental de la Haute-Garonne, au regard des compétences qui sont les siennes, les routes, mérite d’être connu, rapporté, répété. Le pseudo arbitrage, sous l’aile bienveillante de Hollande, via un des ses conseillers préférés, lui même ancien promoteur..., le mérite aussi... Si (...)

    #Fondation_Copernic_31

    «http://gardaremlamenude.com/blog/pages/accueil»

  • Entre grilles et dream teams, retour sur l’action du 12 avril au Conseil Général
    https://iaata.info/Entre-grilles-et-dream-teams-retour-sur-l-action-du-12-avril-au-Conseil-Gene

    Mardi 12 Avril, 13h, nous nous rendons au rassemblement dans la cour du Conseil Départemental (Conseil Général) afin de tenter d’empêcher le vote d’une mesure supprimant l’hébergement hôtelier des femmes seules avec enfants de moins de trois ans et des jeunes majeur-e-s (...) — 1