organization:département de géographie

  • Géographie des émotions - Département de Géographie de l’ENS

    http://www.geographie.ens.fr/-Geographie-des-emotions-.html

    Sur cette page, que vient de m’indiquer Bénédicte, les synthèses des séances de cette très belle initiative (séminaires sur la géographie des émotions) que je regrette beaucoup de ne pas pouvoir suivre.

    Qu’est ce qui fait qu’un espace nous attire, nous effraie ou bien encore nous attriste ? Pourquoi tels espaces sont associés au plaisir, à la peur, au dégoût, à la tristesse, etc. ? Dans le cadre de ce séminaire, nous nous demanderons ce que les émotions permettent, au géographe, de comprendre à la manière dont on pratique et on se représente les espaces et nous envisagerons, en retour, ce que la géographie et les géographes peuvent avoir à dire sur les émotions. Comment le géographe peut-il rendre compte de ses émotions et de celles des autres ? Les émotions sont-elles un simple biais des enquêtes de terrain qui seraient certes à prendre en compte mais toujours en vue de les dépasser ou constituent-elles, au contraire, un objet d’étude géographique à part entière ? Ce séminaire vise à poser les bases d’une géographie (française ?) des émotions.

    #géographie #géographie_sensible #géographie_des_émotions

  • Géographie des émotions - Département de Géographie de l’ENS

    http://www.geographie.ens.fr/-Geographie-des-emotions-.html

    Parfois je regrette de ne pas vivre en France... Mais heureusement, les participants feront des compte-rendus et les publieront ! :)

    Qu’est ce qui fait qu’un espace nous attire, nous effraie ou bien encore nous attriste ? Pourquoi tels espaces sont associés au plaisir, à la peur, au dégoût, à la tristesse, etc. ? Dans le cadre de ce séminaire, nous nous demanderons ce que les émotions permettent, au géographe, de comprendre à la manière dont on pratique et on se représente les espaces et nous envisagerons, en retour, ce que la géographie et les géographes peuvent avoir à dire sur les émotions. Comment le géographe peut-il rendre compte de ses émotions et de celles des autres ? Les émotions sont-elles un simple biais des enquêtes de terrain qui seraient certes à prendre en compte mais toujours en vue de les dépasser ou constituent-elles, au contraire, un objet d’étude géographique à part entière ? Ce séminaire vise à poser les bases d’une géographie (française ?) des émotions.
    Planning

    15 janvier 2015 : Elise Olmedo
    Représenter l’espace vécu. Les enjeux d’une cartographie émotionnelle en géographie

    Salle W - Immeuble Rateau - 45 rue d’Ulm

    12 février 2015 : Barbara Morovich et Pauline Desgrandchamps
    De l’émotion personnelle aux émotions de l’autre : impasses et nouvelles méthodes sonores dans les quartiers populaires

    Salle du centre Cavaillès - 3ème étage droite - 29 rue d’Ulm

    12 mars 2015 : Charlotte Ruggeri et Frédérique Célérier
    Pour une géographie des plaisirs urbains

    Salle du centre Cavaillès- 3ème étage droite - 29 rue d’Ulm

    9 avril 2015 : Martin Aranguren
    La régulation émotionnelle de la distance interpersonnelle dans les métros de Delhi, New York et Paris

    Salle du centre Cavaillès - 3ème étage droite - 29 rue d’Ulm

    14 mai 2015 : Anne Volvey
    Quel régime esthétique pour un savoir géographique fondé sur les méthodologies du care ?

    Salle du centre Cavaillès - 3ème étage droite - 29 rue d’Ulm

    4 juin 2015 : Jean-François Staszak
    La Casbah : émotions (post)coloniales

    Salle W - Immeuble Rateau - 45 rue d’Ulm

    #géographie #géographie_émotionnelle

  • Géographie, arts et littérature - Département de Géographie de l’ENS

    C’est décidément la journée des colloques superbes... celui-ci que je vais aussi regretter...

    http://www.geographie.ens.fr/-Geographie-arts-et-litterature-.html

    Eloïse Libourel – Robin Beaumont – Benjamin Capellari

    Ce séminaire s’adresse à tous ceux, quelle que soit leur discipline, qui s’intéressent à la représentation du monde à travers différentes approches : la géographie, la littérature et les arts au sens large – arts plastiques, musique, photographie, cinéma, philosophie, histoire…

    Il s’agit de proposer un regard géographique sur des objets qui, le plus souvent, ne relèvent pas a priori de cette perspective, fussent-ils des arts « de l’espace ». Nous souhaitons en effet mettre en évidence les liens qui unissent la géographie à l’ensemble de ces disciplines littéraires et artistiques, en étudiant leurs concepts et leurs méthodes d’appréhension du monde. Nous travaillerons donc autour de thématiques géographiques à partir de corpus de textes, d’œuvres d’art, d’images, de musiques, en adoptant une démarche essentiellement pluridisciplinaire.

    Un exposé présentera lors de chaque séance le rapport entre la géographie et une autre discipline, à travers un point de vue particulier, une recherche, une étude de textes ou d’œuvre d’art… Cette première partie de la séance sera menée par différents intervenants et sera suivie d’un débat qui devrait permettre de dégager de grandes problématiques de recherches.

    #géographie #art #cinéma #littérature #cartographie

  • Mondialisations : concept, enjeux, échelles - Département de Géographie de l’ENS

    Responsables : Cynthia Ghorra-Gobin, Magali Reghezza-Zitt

    Dommage que je ne sois pas en France, c’est le genre de séminaire où j’ai vraiment envie d’être
    http://www.geographie.ens.fr/-Seminaire-VAAM-.html

    Le séminaire de recherche s’inscrit dans le prolongement des travaux du séminaire VAAM, villes anglo-américaines et mondialisations. Il ouvre un cycle de conférences et de travaux de deux ans. Ce séminaire s’inscrit également dans la perspective dessinée par le Dictionnaire critique de la mondialisation.
    Le terme de « mondialisations » fait référence à une multitude de processus ayant leurs propres temporalités et susceptibles d’être regroupés dans trois catégories bien distinctes pour les besoins de l’analyse scientifique. Pour notre part, nous distinguerons trois notions :

    la mondialisation, qui désigne l’émergence d’une nouvelle échelle pertinente, l’échelle mondiale, pour penser les dynamiques sociales et spatiales, quelles que soient leur nature (géopolitique, migrations et mobilités, villes, agriculture, économie, environnement, etc.). Le monde apparaît désormais comme un système, c’est-à-dire comme un tout, irréductible à la somme des éléments qui le composent (ici les espaces et les sociétés) et qui sont en interactions. L’avènement de cette échelle mondiale se traduit notamment dans l’expression de « village planétaire », qui invite à penser le Monde comme un territoire à part entière, ou encore dans les injonctions au « penser global » du développement durable ; elle questionne le rapport au local, aux lieux, aux identités ;

    la globalisation, qui correspond à la dynamique des échanges transnationaux et des flux matériels et immatériels s’appuyant sur les technologies de communication et d’information et sur le faible coût des transports. Cette globalisation, qui est un moteur de l’interdépendance entre les territoires, est étroitement liée à l’évolution du capitalisme financier dont elle représente une ultime phase ; elle interroge le rôle et les cadres traditionnels des États-nations.

    la planétarisation, qui renvoie à la prise de conscience de l’unité de la planète en tant qu’entité physique, suite notamment à la mise en évidences des changements climatiques et de leurs conséquences, et de la finitude de cette dernière, notamment en termes de ressources.

    #mondialisation #globalisation #géographie #économie #circulation #système-monde