organization:département de la défense

  • Regard sur l’“attaque du vendredi-13”
    http://www.dedefensa.org/article/regard-sur-lattaque-du-vendredi-13

    Regard sur l’“attaque du vendredi-13”

    On connaît dans ces colonnes le colonel Pat Lang, ancien officier de la DIA, qui tient sa boutique sous le nom de Sic Semper Tyrannis, ou STT. Lang fait ici une de ses rares escapades hors-SST, – dans UNZ.com, ce 25 avril 2018, – pour nous donner son évaluation complète du résultat de “l’attaque de la nuit du vendredi-13” (heure de Washington), en avril 2018 contre la Syrie. Le titre est explicite : « Faut-il croire les Russes ? » (notre adaptation de “Are the Russians Correct ?”, reprise d’une phrase de Lang), et sa réponse se fait sous la forme une explication de divers points dont on comprend qu’ils suggèrent indirectement pourquoi c’est la version russe (71 cruise missiles abattus sur 103) qui est la bonne, – par conséquent qu’il faut “croire les Russes” parce que (...)

    • J’ai eu des contacts avec plusieurs sources étrangères ayant accès à l’information nécessaire pour avoir un jugement valide, qui me disent que les Russes ont raison. Ces personnes sont d’une orientation politique plutôt favorables aux États-Unis, tout comme leurs gouvernements. Plus des deux tiers des missiles de la coalition formée par les USA n’ont pas réussi à atteindre leurs objectifs. Pourquoi ? Toutes les raisons citées ci-dessus ont dû jouer un rôle dans cette défaite aérienne. Des armes d’attaque obsolètes, une défense aérienne entièrement intégrée et le professionnalisme des opérateurs des systèmes anti-aériens.
      […]
      Les preuves de l’attaque au gaz de Douma sont inexistantes. La film diffusé comme “preuve” a maintenant été soigneusement identifié comme une opérations de l’OI (Operationnal Information, ou “propagande”) du programme des Casques blancs financé par les Saoudiens, et en grande partie menée par les service de guerre de l’information du 77èmerégiment des services britanniques. Il semble clair que le Département de la Défense des États-Unis n’était pas au courant de ce projet d’OI et pour cette raison, le secrétaire à la défense Mattis a traversé en aveugle la phase préparatoire de l’attaque du 13 avril. Les cibles visées (détruites ou non) étaient connues depuis longtemps par la communauté du renseignement US comme des installations des anciens programmes de guerre chimique du gouvernement syrien. On a demandé aux Russes de rester à l’écart de ces régions.

    • « Or, sauf erreur, on n’a vu aucune image de ce type. »

      Or sauf erreur, on ne nous a pas montré d’image de ce type, sans doute parce qu’elle ne correspond pas à la narrative des « alliés » de la « communauté internationale » réduite à 3 pays. Les russes de leur côté ont montré quelques images. Mais comme c’est russe, c’est de la propagande.

      ‘Syrian strike was risk without benefit for US, as Russia got American weapon samples’ — RT World News
      https://www.rt.com/news/425154-syria-us-missile-russia

      On Wednesday, Moscow also announced that it was in possession of two almost intact Western projectiles from Syria, including a Tomahawk cruise missile and another unnamed one. The Russian military said it plans to study both in order to further improve the Russian air defense capabilities.

      (l’image de RT apparaît à l’édition du post, mais disparaît ensuite... vous la voyez ?)

      (et je découvre que framapic ne propose plus la rétention illimitée...)

  • [NSA] Trouver votre voix, par Ava Kofman Traduction Les Crises - The Intercept - Ava Kofman - le 19 janvier 2018
    https://www.les-crises.fr/nsa-trouver-votre-voix-par-ava-kofman

    Oubliez Siri et Alexa – Quand on parle d’identification vocale, la NSA règne en « maître absolu ».

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    Les nouveaux outils vocaux
    Tandis que les américains sont au courant depuis 2013 de la collecte massive de données téléphoniques nationales et étrangères par la NSA, le processus par lequel ces données brutes sont converties en informations significatives est resté largement confidentiel. En 2015, The Intercept rapportait que la NSA avait mis au point une série de « technologies du langage humain » pour donner un sens à l’extraordinaire quantité des données audio recueillies par le gouvernement. En développant des programmes pour traduire automatiquement la parole en texte – ce que les analystes appelaient « Google for voice » – l’agence pouvait utiliser des mots-clés et des « sélecteurs » pour rechercher, lire et indexer des enregistrements qui auraient autrement nécessité un nombre infini des personnes pour les écouter.

    La reconnaissance des locuteurs est apparue en même temps que ces logiciels synthétiseurs de la parole au texte comme une technique additionnelle pour aider les analystes à trier les innombrables heures d’interceptions en provenance des zones de guerre. Une grande partie de sa croissance et de sa fiabilité est due aux investissements de la NSA et du Département de la Défense. Avant l’ère numérique, la reconnaissance des locuteurs était principalement pratiquée en science médico-légale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des analystes humains ont comparé les empreintes visuelles des fréquences vocales à la radio. Selon Harry Hollien, l’auteur de Forensic Voice Identification, ces machines à « parole visible », connues sous le nom de spectrogrammes, ont même été utilisées pour réfuter une rumeur selon laquelle Adolf Hitler aurait été assassiné et remplacé par un double.

    « Les empreintes vocales étaient quelque chose que l’on pouvait examiner », explique James Wayman, un éminent spécialiste de la reconnaissance vocale qui préside les efforts fédéraux visant à recommander des standards pour la reconnaissance médico-légale des locuteurs. Il a souligné que le terme « empreinte vocale », bien qu’il soit largement utilisé par les fournisseurs commerciaux, peut être trompeur, car il implique que l’information saisie est physique plutôt que comportementale. « Ce que vous avez maintenant, c’est une équation intégrée dans un logiciel qui crache des chiffres », a-t-il dit.
    Ces équations ont évolué de simples moyennes à des modèles algorithmiques dynamiques. Depuis 1996, la NSA a financé le National Institute of Standards and Technology Speech Group pour développer et tester ce qu’elle appelle “l’approche algorithmique la plus dominante et la plus prometteuse face aux problèmes de reconnaissance des locuteurs”. Parmi les participants qui testent leurs systèmes avec le NIST figurent des entreprises de pointe en biométrie et des universitaires, dont certains sont financés par la NSA et la Defense Advanced Research Projects Agency, ou DARPA.

    Le silence de la NSA autour de son programme de reconnaissance des locuteurs rend difficile de déterminer ses pouvoirs actuels. Mais étant donné les liens étroits qui existent entre la recherche universitaire financée par la NSA et les entreprises privées, une bonne approximation des capacités des NSA peut être tirée de ce que font d’autres pays – et quels fournisseurs les vendent.
    Par exemple, Nuance, l’un des leaders du secteur, fait de la publicité auprès des gouvernements, des forces armées et des services de renseignement « un système biométrique vocal national capable d’identifier et de segmenter rapidement et avec précision les individus au sein de systèmes comprenant des millions d’empreintes vocales ». En 2014, l’Associated Press a rapporté que la technologie de Nuance avait été utilisée par la plus grande société turque de téléphonie mobile pour collecter des données vocales auprès d’environ 10 millions de clients.

    En octobre, Human Rights Watch a signalé que le gouvernement chinois avait constitué une base de données nationale d’empreintes vocales afin de pouvoir identifier automatiquement les personnes qui parlent au téléphone. Le gouvernement vise à relier la biométrie vocale de dizaines de milliers de personnes à leur numéro d’identité, leur origine ethnique et leur adresse. Selon HRW, le distributeur de logiciels vocaux chinois a même breveté un logiciel permettant de localiser les fichiers audio pour « surveiller l’opinion publique ».
    En novembre, un projet international majeur de reconnaissance des locuteurs financé par l’Union européenne a passé son test final, selon un communiqué de presse d’Interpol. Plus de 100 analystes du renseignement, chercheurs et agents des services de police de plus de 50 pays – dont Interpol, le Metropolitan Police Service du Royaume-Uni et la Polícia Judiciária portugaise – ont assisté à la présentation, au cours de laquelle les chercheurs ont prouvé que leur programme pouvait identifier des « locuteurs inconnus parlant dans différentes langues… par le biais de médias sociaux ou de moyens audio légalement interceptés ».

    Les documents de la NSA examinés par The Intercept décrivent les contours d’un système aussi extensif – un système qui, dans les années qui ont suivi le 11 septembre, a permis aux « analystes linguistiques de passer au crible des centaines d’heures de montages vocaux en quelques secondes et de sélectionner des éléments d’intérêt potentiel en fonction de mots clés ou de la reconnaissance vocale des locuteurs. »

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    Article original : https://theintercept.com/2018/01/19/voice-recognition-technology-nsa
    #NSA #reconnaissance-audio #surveillance #internet #vie_privée #espionnage #silicon_army #privacy #usa #contrôle #sécurité #censure #écoutes #etats-unis #voix

  • Seymour Hersh, Die Welt et l’attaque chimique de Khan Cheikhoun | Conspiracy Watch
    http://www.conspiracywatch.info/seymour-hersh-die-welt-et-lattaque-chimique-de-khan-cheikhoun.html

    Il apparaît que la quasi totalité de l’article repose sur une source anonyme, décrite comme « un senior adviser [conseiller confirmé – ndt] de la communauté américaine du renseignement, qui a occupé des postes de haut rang au Département de la Défense et à la CIA ». De même que dans ses précédents articles, les détails de l’attaque tels que décrits par sa source vont à l’encontre de toutes les autres preuves présentées par un éventail d’autres sources.

  • Un chef d’entreprise sur cinq serait psychopathe.
    http://www.books.fr/psychopathe-cest-moi

    Un chef d’entreprise sur cinq serait psychopathe, selon une étude présentée la semaine dernière au Congrès annuel de la société australienne de psychologie. Soit la même proportion qu’au sein de la population carcérale. Les psychopathes présentent des troubles asociaux, sont égocentriques, dépourvus de morale et manipulateurs. Mais ils ne sont pas tous meurtriers. L’Américain James Fallon, neuroscientifique, entrepreneur et conseiller auprès du Département de la Défense, s’est ainsi autodiagnostiqué psychopathe, comme il le raconte dans The Psychopath Inside. C’est par hasard, en comparant des scanners de son cerveau (sans savoir qu’il s’agissait du sien) à ceux de psychopathes avérés, qu’il a découvert… les mêmes traits. La suite de ses recherches lui a appris qu’il possédait toutes les caractéristiques génétiques liées aux propensions à l’agressivité, à la violence et au manque d’empathie. Une enquête généalogique a également révélé l’existence de sept meurtriers parmi ses ancêtres.

    S’il a d’abord eu du mal à accepter le diagnostic, James Fallon s’est vite rendu à l’évidence : il se reconnaît assoiffé de pouvoir, manipulateur et imperméable aux sentiments de ses proches (y compris sa femme et ses enfants). Mais le chercheur a eu plus de mal à renoncer au déterminisme génétique dont il se réclamait : si les gènes sont tout puissants, il aurait dû faire une carrière de meurtrier. Il met cet échec à la biologie au crédit de sa mère, dont l’attention et l’amour auraient permis de domestiquer sa nature. Fallon appartient à la catégorie que lui et d’autres appellent les « psychopathes pro-sociaux », dont l’agressivité est sublimée, par exemple dans la compétition intellectuelle. Pour le reste, les psychopathes ont des raisons d’aimer leur condition, assure-t-il. « Ils peuvent travailler très vite et ont un QI apparent plus élevé qu’il ne l’est réellement, car ils ne sont pas inhibés par des questions morales », explique-t-il. Fallon essaie aujourd’hui de se montrer plus empathique envers les siens, pas par gentillesse, mais simplement par fierté et désir de prouver qu’il peut se rendre maître de lui-même.

    • Je viens de tomber là-dessus @blevaldu :

      Patrons fraudeurs et tueurs fous, par Denis Duclos (août 2002)
      http://www.monde-diplomatique.fr/2002/08/DUCLOS/9202

      La crise de 1929 fut alimentée, comme l’a rappelé John K. Galbraith, par les investissements les plus déraisonnables. A l’époque déjà, les banquiers se jetaient par les fenêtres des tours de Wall Street, ce qui avait intrigué les psychanalystes : se suicidaient-ils par dépit, ou au contraire — comme les joueurs invétérés qui ruinent leur entourage avant de se détruire — était-ce l’achèvement d’une folie dans laquelle ils se plaisaient à entraîner le maximum de crédules, à la façon des gourous de sectes suicidantes ?

    • Ça n’a pas de rapport direct mais sur la relation entre crise et folie collective, je suis tombé sur cet extrait d’un manuscrit de Thomas Mann, daté d’août 1942 (à propos de l’hyperinflation allemande de 1922-23) :

      [...] Que précisément la chute du cours du mark n’en soit pas restée à 10 ou 100% mais ait atteint le billion, cela ne s’explique pas par des raisons purement économiques, mais aussi politiques et psychologiques. La tendance allemande à la démesure, son penchant pour le déraisonnable et le catastrophique, dont le monde a fait depuis l’expérience effroyable, est devenue manifeste dès ce moment-là. Tout comme la passivité avec laquelle le peuple allemand accepte de subir ce que ses dirigeants ont considéré comme opportun, et peu importe de quoi il s’agit. Pour au moins une partie de ses dirigeants, pour nombre de très puissants industriels à coup sûr, l’inflation fut une bonne affaire à laquelle ils n’avaient pas intérêt à mettre fin prématurément. [...]
      La folie du Troisième Reich s’inscrit dans le droit fil de la folie de l’inflation allemande. De la même façon que les Allemands virent leur monnaie enfler jusqu’au million, au milliard et au billion pour exploser au bout du compte, de la même façon ils virent plus tard leur État enfler pour devenir le Reich de tous les Allemands, l’espace vital, l’ordre européen, l’hégémonie mondiale, et le verront encore éclater au bout du compte. La crémière qui réclamait « cent billions » pour un œuf a perdu alors l’habitude de s’étonner ; et rien depuis n’a été trop fou ou trop cruel pour qu’elle s’en étonne.

      (Thomas Mann, Être écrivain allemand à notre époque , Paris, Gallimard, 1996, p 289 s.).

      On trouve le même type de raisonnement chez Elias Canetti dans _Masse et puissance_, publié en 1960. Celui-ci va jusqu’à établir un lien direct entre la dévaluation de la vie humaine représentée par l’Holocauste et l’inflation allemande. L’expérience de l’absurdité des chiffres aurait conduit à traiter les calculs de vies humaines avec la même désinvolture que se faisaient les calculs quotidiens du temps de l’inflation.


      Je précise que la thèse, si elle donne à penser, est discutable car elle pousse à l’essentialisation, c’est-à-dire qu’elle opte pour la théorie qui veut que le nazisme soit dû à une « exceptionnalité » de la société allemande, à un caractère spécifique de la germanité qui aurait un rapport différent à la vie humaine (voir ce qu’on appelle la théorie du « Sonderweg », c’est-à-dire de la « voie particulière allemande », qui expliquerait le nazisme et les camps d’extermination).

    • Power Causes Brain Damage - The Atlantic
      https://www.theatlantic.com/magazine/archive/2017/07/power-causes-brain-damage/528711

      When various lawmakers lit into John Stumpf at a congressional hearing last fall, each seemed to find a fresh way to flay the now-former CEO of Wells Fargo for failing to stop some 5,000 employees from setting up phony accounts for customers. But it was Stumpf’s performance that stood out. Here was a man who had risen to the top of the world’s most valuable bank, yet he seemed utterly unable to read a room. Although he apologized, he didn’t appear chastened or remorseful. Nor did he seem defiant or smug or even insincere. He looked disoriented, like a jet-lagged space traveler just arrived from Planet Stumpf, where deference to him is a natural law and 5,000 a commendably small number. Even the most direct barbs—“You have got to be kidding me” (Sean Duffy of Wisconsin); “I can’t believe some of what I’m hearing here” (Gregory Meeks of New York)—failed to shake him awake.

      What was going through Stumpf’s head? New research suggests that the better question may be: What wasn’t going through it?

  • USA : Des unités de commandement mobiles du Département de la Défense, de la CIA et des laboratoires d’analyse d’armes de destruction massive ont été filmés dans un stationnement dans le Colorado il y a quelques jours. ILS se préparent à quoi au juste ? Ce n’est assurément pas pour de simples exercices de routine
    http://www.brujitafr.fr/2015/06/usa-des-unites-de-commandement-mobiles-du-departement-de-la-defense-de-la-

    Sur ces transporteurs, on peut voir des ADVON, des UCS et des ALS. Ils sont clairement identifiés ainsi que leurs fonctions dans deux documents, soit un des Forces militaires et navales de New York et l’autre provenant d’une équipe d’intervention spécialisée...

  • #USA : Le Pentagone se prépare à faire face à des troubles sociaux massifs
    http://www.brujitafr.fr/article-usa-le-pentagone-se-prepare-a-faire-face-a-des-troubles-sociaux-ma

    Réintroduction de la peine de mort en europe, devinez qui y aura droit Le Département de la Défense américain (DoD) finance un programme de recherche universitaire dont le but est de modéliser la dynamique, les risques et les points de basculement de troubles civils à grande échelle à travers le monde, sous la supervision de diverses agences militaires américaines. Ce programme de plusieurs millions de dollars est conçu pour élaborer des « éclairages pertinents pour les combattants » à court et à long terme, destinés aux hauts fonctionnaires et décideurs de « la communauté de la défense ». Il vise également à informer la politique menée par « les commandements de terrain. » Lancée en 2008 – l’année de la crise bancaire mondiale – « (...)

  • L’Arabie Saoudite va construire des abris anti-sismiques
    http://www.brujitafr.fr/article-l-arabie-saoudite-va-construire-des-abris-anti-sismiques-123336306

    L’Arabie saoudite vient de finaliser un programme de construction d’abris sismiques d’urgence suite aux alertes concernant le nombre sans cesse croissant de tremblements de terre de grande magnitude qui peuvent frapper différents pays à travers le monde, y compris le Moyen-Orient. Le Saudi Geological Survey ( SGS ), l’organisme d’état chargé de surveiller l’activité sismique, travaille en étroite collaboration avec le Département de la Défense civile sur ce projet . Zohair A. Nawab , le président du SGS a ainsi déclaré : « Le SGS a sélectionné de nombreux sites pour des abris dans différentes régions du Royaume y compris Médine , Yanbu , et Haradh ». Dans un entretien , Nawab a également parlé de la volonté du royaume de faire face à des cataclysmes, en (...)

    #NATURE_/_ECOLOGIE

  • ONU : De nombreux pays conviennent d’aborder le problème des « #robots_tueurs » | Human Rights Watch
    http://www.hrw.org/fr/news/2013/11/15/onu-de-nombreux-pays-conviennent-d-aborder-le-probleme-des-robots-tueurs

    (Genève, le 15 novembre 2013) – Un accord, conclu le 15 novembre 2013, pour ouvrir des pourparlers internationaux sur les armes robotiques entièrement autonomes constitue le début d’un processus qui devrait s’achever par la signature d’un traité interdisant ce type d’armement, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Les représentants des gouvernements ayant participé à une réunion annuelle sur certaines armes classiques à Genève ont accepté d’entamer en mai 2014 des pourparlers internationaux sur ces armes, qui seraient capables de sélectionner et d’attaquer des cibles sans intervention humaine.

    (...)

    Les États-Unis sont le seul pays à avoir adopté officiellement une politique à cet égard. Le Département de la Défense a émis le 21 novembre 2012 une directive qui, pour l’instant, exige qu’un être humain soit « au courant » lorsque les décisions sont prises sur l’utilisation de la force meurtrière, à moins que des responsables du ministère ne dérogent à cette directive à un niveau élevé.

    La directive de politique américaine, bien que positive, n’est pas une solution exhaustive ni permanente aux problèmes potentiels posés par des systèmes entièrement autonomes, a déclaré Human Rights Watch. La politique de retenue qu’elle adopte peut également être difficile à maintenir si d’autres pays commencent à déployer des systèmes d’armes entièrement autonomes.

  • #usa : l’industrie vers les applications civiles des drones
    http://dronologue.fr/usa-lindustrie-vers-les-applications-civiles-des-drones

    Modern Technology Solutions, Inc. (MTSI), une entreprise américaine leader dans les systèmes de drones pour l’état américain (Département de la Défense) vient d’annoncer qu’elle allait s’orienter vers le marché des drones à usage civil. Ce marché émergent estimé selon différentes…Lire la suite →The post USA : l’industrie vers les applications civiles des drones appeared first on LE DRONOLOGUE.

    #prospective

  • Un vidéaste de la FEMA, présent à Ground Zero rend public son témoignage
    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=20090709&articleId=14288

    En situation de choc, les gens cherchent à être guidés. Les gens qui ont peur sont manipulables. Savoir manipuler les masses aboutit à d’inimaginables bénéfices pour de nombreuses personnes très riches et très puissantes. La guerre est incroyablement chère, mais l’argent finit bien quelque part. La guerre est toujours très profitable pour un petit nombre. D’une manière ou d’une autre, leurs fils finissent toujours à Washington DC, ils prennent les décisions, établissent des budgets, tandis que les fils des pauvres et de ceux qui ne sont pas pistonnés finissent toujours au front, recevant les ordres et livrant les guerres des premiers. Les énormes caisses noires du Département de la Défense US représentent une machine de financement illimité pour le complexe militaro-industriel, chiffré à plusieurs milliers de milliards de dollars, et il en sera ainsi tant que les masses ne se réveilleront pas, tant qu’elles ne redeviendront pas sceptiques et qu’elles ne demanderont pas des comptes. Les

    #histoire #manipulation #international #peur #usa