organization:eta

  • La Parisienne Libérée : « Prison dedans, #Prison dehors »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/081217/la-parisienne-liberee-prison-dedans-prison-dehors

    « Le détenu-dehors devient son propre maton, administre sa peine, en assure la gestion » © LPL Dans ce nouveau Mix de La Parisienne Libérée : un État répressif qui plaide coupable, des détenus-dehors qui se surveillent eux-mêmes, des cellules par milliers et la fin du régime d’exception pour les prisonniers politiques basques !

    #France #carcéral #CEDH #ETA #injustice #Justice #mutinerie #paix #peines_alternatives #prisonniers_basques #violence_judiciaire

  • The curious, and dangerous, British obsession with high-vis | ETA
    https://www.eta.co.uk/2017/10/20/the-british-curse-of-high-vis

    Article intéressant sur cette obsession de la haute-visibilité chez nos voisins anglais. Vous en pensez quoi du gilet jaune vous ? "Notre préoccupation collective vis-à-vis de la haute-visibilité est pernicieuse et a conduit à un sentiment institutionnalisé, selon lequel les usagers de la route vulnérables qui en sont dépourvus sont à blâmer s’ils devaient être tués ou blessés par un véhicule motorisé." — Permalink

    #mobilité #sécurité #vélo

  • Des députés israéliens quittent un sommet parlementaire après une diatribe contre Israël
    The Times of Israël | Stuart Winer et Raphael Ahren 19 octobre 2017
    http://fr.timesofisrael.com/des-deputes-israeliens-quittent-un-sommet-parlementaire-apres-une-
    https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=rW9yY0d-QeI

    Une délégation de députés israéliens a quitté mercredi un rassemblement international de parlementaires après avoir été confronté à des remarques acerbes, des chahuts et des résolutions critiquant Jérusalem lors de sa réunion annuelle.

    La députée du Likud, Sharen Haskel, le député Yesh Atid, Haim Jelin, les députés de l’Union sioniste Yossi Yonah et Nachman Shai et la secrétaire de la Knesset, Yardena Meller-Horowitz, se sont plaints de mauvais traitements lorsqu’ils ont essayé d’intervenir pendant l’assemblée de l’Union interparlementaire à Saint-Pétersbourg.

    Bien que les élus aient affirmé être partis pour protester car l’instance avait voté une série de résolutions qui comprenaient des appels lancés à Israël afin de libérer deux Palestiniens condamnés pour avoir participé à des attentats terroristes meurtriers, leur départ a eu lieu peu de temps après qu’ils ont été pris à partie par un député.

    Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux révèle que le président de l’Assemblée nationale koweïtienne, Marzouq Al-Ghanim, a crié aux députés israéliens qu’ils étaient des « tueurs d’enfants » et de « sortir de la salle » après que l’un d’entre eux se soit adressé aux députés présents au sommet. Sur la vidéo, on peut voir la délégation en train de quitter la pièce.

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    Pour Israël, la menace de l’Iran augure d’une nouvelle ère avec les Arabes
    L’Etat hébreu est potentiellement un allié de taille pour les pays arabes notamment en raison de ses relations étroites avec les Etats-Unis
    AFP 20 octobre 2017,
    http://fr.timesofisrael.com/pour-israel-la-menace-de-liran-augure-dune-nouvelle-ere-avec-les-a

    La communauté d’intérêts, que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu invoque pour laisser entrevoir une aube diplomatique nouvelle, a été illustrée récemment quand Israël et l’Arabie saoudite se sont retrouvés ensemble parmi les rares à féliciter le président américain Donald Trump après son discours sur l’Iran.

    Israël considère ce pays comme un de ses principaux ennemis, tandis que Ryad voit en Téhéran son rival régional.

    « Il se trouve que, sur ce point, Israël et les principaux pays arabes voient les choses du même oeil », a dit M. Netanyahu cette semaine, et « quand Israël et les principaux pays arabes voient les choses du même oeil, soyez attentifs, c’est que quelque chose d’important est en train de se produire ».

    Il y quelques semaines, M. Netanyahu avait assuré que les relations avec le monde arabe n’avaient « jamais été aussi bonnes ».

  • Lettre d’un citoyen belge de sang français envoyée à Nicolas Dupont-Aignan

    Bonsoir, M. Nicolas Dupont-Aignan @dupontaignan

    Citoyen belge de sang français depuis le XVIe siècle, j’apprends votre ralliement au F.N. et je m’interroge.

    Qu’est-ce qui motive un suicide, sinon la désespérance, l’aveuglement, peut-être ?

    Quant au suicide, il sera collectif si votre « favorite » (la France, cette éternelle monarchie républicaine !) l’emporte : la dévaluation du nouveau( le quantième ?) franc, l’appauvrissement des rentes mobilières en raison de la dévaluation de votre nouvel assignat, la rupture en actes et en paroles (comme disait HUGO) avec votre belle devise nationale (délestée de l’égalité et de la fraternité)… Un suicide économique, mais aussi, et peut-être surtout, pour un pays qui a longtemps été un phare civilisationnel, culturel.

    Sans doute, ne partagez-vous pas mon diagnostic. Un diagnostic que partagent certains de vos compatriotes les plus éminents, des intellectuels aussi ( ce mot a -t- il encore, aujourd’hui, un sens dans la France des extrêmes, celle de la rue, qui confond le peuple et la plèbe ?), mais aussi de grandes puissances autour de vous, qu’elles soient ou non européennes.

    Peut-on, pouvez-vous avoir raison seuls contre tous ? Car, après tout, « Debout la France », c’est combien de divisions ?

    Vos motivations ? La désespérance, peut-être, que je peux comprendre après tant de désillusions…toutes hexagonales : le mandat de Sarkozy, celui, calamiteux, de Hollande.

    Mais faire de l’Union européenne le bouc émissaire de votre désespérance relève de l’aveuglement, voire de la mauvaise foi.

    Au sein de l’Union, en effet, la décision appartient aux chefs d’état et de gouvernement réunis en Conseil européen avant d’être l’apanage de la Commission : affirmer le contraire relève du mensonge à la mode trumpiste.

    Vous ralliez le F.N. au nom de la souveraineté nationale, du retour aux frontières et de la « préférence nationale ».

    Quant à cette préférence nationale, compréhensible quand on se dit agressé, elle relève du droit de chaque acteur économique. Demain, tous les partenaires de la France, pourraient aussi l’invoquer contre vous en imposant des taxes à l’importation de produits français. Y avez-vous songé ?

    Quant au retour aux frontières, au « pré carré » français, il n’a jamais rien résolu : ni l’offensive allemande de 1940, ni la trajectoire du cadavre de Hans Martin Schleyer assassiné en RFA et retrouvé à Mulhouse après un périple par les Pays-Bas et la Belgique, ni la logistique de l’ETA en arrière-pays français.

    Éclairez-moi…Quelles sont les réelles motivations de ce ralliement contre-nature ???

    Peut-être, apporterez-vous d’autres arguments, de nature religieuse, comme ceux de C. Boutin, plus catholique que le pape de cette église dont elle se revendique ???

    A bientôt vous lire
    Jean-Luc Lefèvre
    Citoyen européen en droit et en fait
    vendredi 28 avril 2017, 21:02
    envoyé à
    mailto:courrier@debout-la-france.fr
    mailto:ndupont-aignan@assemblee-nationale.fr

    #Nicolas_Dupont-Aignan #front_national

  • En direct de Mediapart. L’argent de la campagne, et #Benoît_Hamon
    https://www.mediapart.fr/journal/france/120417/en-direct-de-mediapart-largent-de-la-campagne-et-benoit-hamon

    Cette semaine, Mediapart reçoit Benoît Hamon, candidat socialiste à l’élection présidentielle. Notre émission hebdomadaire se penche aussi sur le financement des campagnes avec #Jérôme_Lavrilleux, directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012. Et pour commencer, de 20h00 à 20h30, retour sur le #désarmement de l’ETA.

    #France #ETA #financement_politique #parti_socialiste #présidentielle_2017

  • L’arsenal de Euzkadi ta Askatasuna (#ETA, « Patrie basque et liberté ») devrait être démantelé par des militants non liés à l’organisation, sous supervision internationale. Les gouvernements français et espagnols freinent des quatre fers alors que les changements sur place sont réels. Un court-métrage, « La paix maintenant, une exigence populaire », a été réalisé pour soutenir le processus. Dans ce texte de 2011, l’avocat sud-africain Brian Currin témoignait de son engagement.

    La fin de décennies de violence ? — Choisir la paix au Pays basque
    https://www.monde-diplomatique.fr/2011/06/CURRIN/20683 #st

    http://zinc.mondediplo.net/messages/58373 via Le Monde diplomatique

  • Six ans après, l’ETA se sépare de son arsenal
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070417/six-ans-apres-leta-se-separe-de-son-arsenal

    Ce samedi 8 avril, les « artisans de la paix » prévoient d’achever en un seul jour le désarmement de l’ETA. Des élus socialistes se disent optimistes sur l’attitude de l’exécutif. Mais le ministère de l’intérieur maintient une position officielle de fermeté.

    #International #France #désarmement_de_l'ETA #ETA #Frédérique_Espagnac #Inigo_Urkullu #Jean-Noël_Etcheverry_dit_Txetx #Mariano_Rajoy #Michel_Tubiana

  • Le sort de 342 détenus en suspens
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070417/le-sort-de-342-detenus-en-suspens

    Unilatéral et sans conditions, le désarmement d’ETA ne s’inscrit pas dans le cadre d’un accord global de paix, à l’inverse des précédents en Irlande ou Colombie. Le sort de 342 prisonniers basques, dont 75 détenus en #France, reste ainsi en suspens.

    #International #Adeline_Hazan #Collectif_des_prisonniers_politiques_basques #désarmement_de_l'ETA

  • #Louhossoa, premier acte du #désarmement
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070417/louhossoa-premier-acte-du-desarmement

    Le 16 décembre 2016, le ministre de l’intérieur, #Bruno_Le_Roux, se félicite d’un nouveau « coup porté à l’ETA ». En réalité, l’organisation a accepté de transférer à la société civile « la mise hors d’usage » de son armement.

    #International #France #ETA #Jean-Noël_Etcheverry #Michel_Berhocoirigoin #Michel_Tubiana #TXETX

  • Le JT de #La_Parisienne_Libérée. « Présidentielle et violences d’Etat »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/230217/le-jt-de-la-parisienne-liberee-presidentielle-et-violences-detat

    « Moi ce que je veux, avec vous et pour vous, c’est l’anarchie ! » © LPL Au sommaire de ce journal rythmé : Fillon chante les joies de l’anarchie, violences policières et racisme en embuscade, la paix au #Pays_Basque et une météo #nucléaire toujours printanière !

    #France #anarchie #anarchisme #chants_révolutionnaires #ETA #François_Fillon #Police #presidentielles

  • Démantèlement de l’ETA : « Le pouvoir ne fait rien pour en finir avec la violence »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/221216/demantelement-de-l-eta-le-pouvoir-ne-fait-rien-pour-en-finir-avec-la-viole

    Michel Berhocoirigoin Michel Berhocoirigoin, agriculteur de 64 ans, a été interpellé vendredi soir tandis qu’il tentait de procéder à la destruction de « 15 % de l’arsenal » de l’ETA. Dans un entretien à Mediapart au lendemain de sa mise en examen par la justice, il explique l’initiative de la société civile pour le #désarmement au #Pays_Basque.

    #France #Espagne #ETA

  • Démantèlement de l’ETA : « Quand on a un arsenal, soit on l’utilise, soit on le désarme »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/221216/demantelement-de-l-eta-quand-un-arsenal-soit-l-utilise-soit-le-desarme

    Michel Berhocoirigoin Michel Berhocoirigoin, agriculteur de 64 ans interpellé vendredi soir dans le village basque de Louhossoa tandis qu’il tentait de procéder à la destruction de « 15 % de l’arsenal » de l’ETA, est l’une des figures locales de la désobéissance civile. Dans un entretien à Mediapart au lendemain de sa remise en liberté et de sa mise en examen par la justice, il revient sur l’initiative de la société civile en matière de #désarmement au #Pays_Basque, espérant qu’elle « a ouvert le champ des possibles ».< « L’Espagne et la #France sont responsables de ce qui se passe au Pays basque »

    #Espagne #ETA #France

  • Des militants de la paix accusés de #terrorisme par le ministère de l’Intérieur - Basta !
    http://www.bastamag.net/Une-operation-anti-ETA-du-ministere-de-l-Interieur-vise-des-militants-de-l

    Sauf que derrière les « individus » en relation avec une organisation terroriste selon le ministère de l’intérieur, se profilent des figures de proue des mobilisations pacifiques et citoyennes, parmi lesquelles Jean-Noël Etcheverry (dit « Txetx », co-fondateur des mouvements Bizi ! et Alternatiba notamment) et Michel Berhocoirigoin (ancien président de la Chambre d’agriculture alternative du Pays Basque) [3]. Que faisaient ces militants, journaliste et vidéaste à proximité d’un stock d’armes ? Le 26 octobre dernier, Michel Tubiana, Txetx Etcheverry et Michel Berhocoirigoin publient sur le site Mediabask une lettre précisant leur intention. Après avoir rappelé qu’ils n’ont « aucun lien ni subordination avec l’ETA », ils déclarent avoir décidé « d’enclencher le processus de désarmement de l’organisation armée, et de procéder à la destruction d’un premier stock d’armes [correspondant] à environ 15% de l’arsenal mis sous scellé de l’ETA. » Tous trois justifient leur action par leur volonté de « contribuer à un avenir sans violence et démocratique pour le Pays Basque ».

    #manipulation

  • Des militants de la paix accusés de terrorisme par le ministère de l’Intérieur
    http://www.bastamag.net/Une-operation-anti-ETA-du-ministere-de-l-Interieur-vise-des-militants-de-l

    « C’est une opération de communication », dénonce Michel Tubiana, président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme, le 17 décembre. « Il faut rétablir la vérité sur ce qui s’est passé. » La veille, le 16 décembre au soir, une vaste opération policière franco-espagnole est menée dans une maison de Louhossoa, dans les Pyrénées-Atlantiques. Selon le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux, cinq « individus en relation avec l’organisation terroriste basque ETA » sont interpellés. Au cours de la perquisition, « une (...)

    En bref

    / #Justice, #Guerres_et_résolution_des_conflits

  • « L’Espagne et la #France sont responsables de ce qui se passe au #Pays_Basque »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/191216/lespagne-et-la-france-sont-responsables-de-ce-qui-se-passe-au-pays-basque

    Secrétaire général d’Interpol de 1985 à 2001, le britannique #Raymond_Kendall est aujourd’hui membre du groupe international de contact (GIC) censé coordonner la commission de #désarmement de l’organisation basque #ETA. Trois jours après l’interpellation de cinq militants du mouvement social engagé dans la démilitarisation d’une partie de l’arsenal, il dénonce, dans un entretien àMediapart, l’inflexibilité des gouvernements français et espagnol.

    #Espagne #France #groupement_international_de_contact #Manuel_Valls #ministère_de_l'intérieur #terrorisme

  • Le gouvernement entrave le #désarmement de l’ETA
    https://www.mediapart.fr/journal/france/171216/le-gouvernement-entrave-le-desarmement-de-l-eta

    Enlisé depuis cinq ans, le processus de #paix au #Pays_Basque bute sur le désarmement de l’ETA. Des personnalités de la société civile ayant pris en main ce désarmement ont été interpellées lors d’une opération antiterroriste. Unanimes, les élus locaux dénoncent le « cynisme » du gouvernement.

    #France #Bruno_Le_Roux #ETA #ministère_de_l'intérieur #Police #terrorisme

  • Le ministère de l’intérieur entrave le #désarmement de l’ETA
    https://www.mediapart.fr/journal/france/171216/le-ministere-de-l-interieur-entrave-le-desarmement-de-l-eta

    Enlisé depuis cinq ans, le processus de #paix au #Pays_Basque bute sur la question du désarmement de l’ETA. Plusieurs personnalités de la société civile ayant pris en main ce désarmement ont été interpellées dans le cadre d’une opération antiterroriste. Unanimes, les élus locaux dénoncent le « cynisme » du gouvernement.

    #France #Bruno_Le_Roux #ETA #ministère_de_l'intérieur #Police #terrorisme

  • Le régime sioniste et l’indépendance de la Catalogne | Mounadil al Djazaïri
    https://mounadil.wordpress.com/2016/10/23/le-regime-sioniste-et-lindependance-de-la-catalogne

    Je vous propose un long article du journal espagnol en ligne El Confidencial qui est un organe de presse politiquement situé au centre droit.

    Cet article où on sent bien l’attachement à l’unité de l’Espagne mise à mal par divers séparatismes dont le plus puissant s’exprime en Catalogne, nous parle de l’importance particulière qu’accordent certains secteurs indépendantistes catalans à la relation avec l’entité sioniste.

    Cette dernière serait en effet appelée, dans l’éventualité d’une accession de la Catalogne à l’indépendance complète, à participer au financement de l’économie du nouvel Etat dans la phase délicate qui suivra la coupure du lien avec Madrid.

    Cette attente à l’égard de l’entité sioniste se fonde évidemment sur un raisonnement digne de l’antisémitisme de base qui associe Juifs, ici l’Etat juif et argent. Et qui tient pour un fait la grande influence de cet Etat juif auprès de Washington par l’intermédiaire du fameux lobby dont personne nulle part, antisémite ou pas, ne nie réellement l’existence, la classe politique française faisant exception.

    Il est touchant de voir le gouvernement espagnol, dont le soutien à l’entité sioniste s’est rarement démenti en particulier quand la droite est aux affaires, manœuvrer de manière pitoyable pour essayer de contrer le rapprochement Tel Aviv – Barcelone au lieu de taper du poing sur la table comme il devrait le faire devant un processus qui contribue à saper son autorité et renforce le séparatisme.

    Mais rien ne saurait surprendre de la part de ceux que le régime sioniste et ses lobbies ont acheté et qui ont eux-mêmes introduit le ver dans le fruit qu’ils prétendent défendre en appelant paradoxalement à l’aide celui qui précisément participe quand il n’est pas à l’origine de la destruction du fruit. Ce fait évident en Espagne l’est aussi en France avec ces polticards qui font appel à des soi-disant experts de la sécurité basés à Tel Aviv qui se retrouvent aux premières loges pour mener tranquillement leurs agissements terroristes.

    On remarquera toutefois que la volonté de rapprochement avec l’entité sioniste caractérise surtout la droite nationaliste tandis que d’autres tendances la considèrent d’un oeil défavorable voire même franchement hostile.

    Carles Puigdemont mise sur Israël et Margallo bloque la nomination du consul honoraire en Catalogne
    Puigdemont a invité secrètement à dîner l’ambassadeur d’Israël et un secteur dynamique de la communauté juive de Barcelone se mobilise en faveur de l’indépendance.

    Par Ignacio Cembrero, El Confidencial (Espagne) 10 octobre 2016 traduit de l’espagnol par Djazaïri

    José Antonio Sanchez Molina, un avocat barcelonais, éloigné du nationalisme catalan, et connu pour ses liens avec le judaïsme a été désigné au début de cette année consul honoraire à Barcelone par l’ambassade d’Israël en Espagne. Neuf mois après cette désignation, il attend toujours l’approbation du ministre des affaires étrangères, José Manuel Garcia-Margallo pour ouvrir le consulat et accomplir sa nouvelle mission.

    Un porte-parole de l’ambassade d’Israël a confirmé la « demande d’ouverture d’un consulat honoraire » avec Sanchez Molina à sa tête et le ministère des affaires étrangères a assuré que, malgré le retard pour l’accréditation, « il n’y avait aucun problème. » Le résultat favorable « est sur le point d’être communiqué » à Israël, ont affirmé des sources autorisées au ministère des affaires étrangères.

    L’Eta hébreu disposait déjà d’un consulat honoraire à Barcelone, approuvé par un ordre signé par le roi Juan Carlos le 8 juin 1994 et inauguré en grande pompe par Jordi Pujol, alors président de la Généralité. Il avait été dirigé par le Juif de Mellila David Melul Benarroch jusqu’à sa démission en 1997 pour raisons personnelles. A l’époque, Israël n’avait eu à attendre que quelques semaines pour son ouverture. A ce jour, il dispose de deux consulats honoraires en Andalousie et en Estrémadure.

    « L’épisode consulaire n’est qu’un point de friction de plus entre une Généralité aux mains des nationalistes qui aspirent à se concilier des sympathies et plus tard la reconnaissance d’une hypothétique république catalane, et les affaires étrangères qui tentent, avec un certain succès, de neutraliser les initiatives des indépendantistes, » observent des sources diplomatiques espagnoles.

    Les nationalistes espèrent que l’Etat d’Israël leur accordera des crédits quand ils auront perdu le soutien de la Banque Centrale Européenne.

    De tous les scénarios dans lesquels se déroule ce bras de fer, le plus houleux est peut-être la relation israélo-catalane. A en croire les déclarations de l’ancien parti Convergence Démocratique de Catalogne (CDC), rebaptisé depuis juillet dernier Parti Démocrate Catalan (PDC), Israël est la principale puissance de laquelle est attendu qu’elle donne un coup de main si arrive la période incertaine de transition vers l’indépendance. Ils espèrent que d’autres pays, comme les républiques baltes, les traitent avec bienveillance mais elles n’ont pas le même poids.

    Said Alami, journaliste palestinien qui réside à Madrid, se souvient que lors d’un point de presse à la veille des Jeux Olympiques de 1992, Jordi Pujol avait déclaré se sentir « sioniste ». Près d’un quart de siècle plus tard, en mai de cette année, Artur Mas, son successeur à la tête de Convergence, affirmait la même position. « Comme en Israël, il y a aussi en Catalogne un peuple déterminé à être libre, » a-t-il dit lors de sa réception du prix de l’Association Catalane des Amis d’Israël (ACAI) et de la Communauté Israélite de Barcelone à l’occasion de Yom Ha’atzmaut (fête de l’indépendance d’Israël).

    Trois amis du nationalisme

    Le 23 septembre, à l’université de Barcelone, Mas fit l’ouverture de la conférence de Victor Terradellas, président de la fondation CATMon qui a pour objet de promouvoir la reconnaissance internationale de la Catalogne. Terradellas donna une conférence sur les « alliés naturels » de la Catalogne nationaliste. Il cita en premier lieu Israël, en second lieu les Etats Unis où cinq membres du Congrès de droite se sont prononcés pour l’indépendance de la Catalogne, et enfin l’Allemagne.

    Les municipalités indépendantistes catalanes ne participent plus à la Red de Juderias [une association qui s’intéresse à la préservation et à la valorisation du patrimoine séfarade dans les villes et les villages où exista une communauté juive avant l’expulsion des Juifs] mais pas Barcelone.

    « On espère séduire les Etats Unis avec l’aide d’Israël et de son ‘lobby’ juif », explique un ancien collaborateur de CATMon qui demande à rester anonyme. « Quant à l’Allemagne, les gens de Convergence ont à l’esprit l’idée de la répétition du rôle qu’avait joué le Chancelier Helmut Kohl, » ajoute-t-il. En décembre 1991, le Démocrate-Chrétien Helmut Kohl avait poussé l’Union Européenne à reconnaître l’indépendance de la Slovénie et de la Croatie, début du démembrement de la Yougoslavie et de la guerre dans les Balkans.

    L’Etat hébreu figure en bonne place dans bon nombre de documents élaborés par les nationalistes pour préparer la transition [vers l’indépendance]. Entrer en relation avec les services de renseignements d’Israël pour connaître leur organisation et leurs services de sécurité » est un des objectifs des futurs services secrets de Catalogne, l’Agence Nationale de Sécurité, comme l’a révélé El Confidencial et comme l’a dénoncé le mouvement Ciudadanos au Parlement.

    Le ministre des affaires étrangères a bloqué l’ouverture d’un consulat honoraire à Barcelone. Margallo a demandé à l’ambassadeur [de l’entité sioniste, NdT] de ne pas cligner de l’œil en direction des nationalistes catalans.

    Dans une autre information, révélée par El Confidencial en 2015, on signale que les membres de la future force aérienne catalane devraient se former en Israël qui est le pays « qui assure la meilleure formation possible. » La Généralité a signé il y a longtemps un accord de coopération scientifique avec l’Agence Industrielle Israélienne pour la Recherche et le Développement (Matimop).

    Israël remplacerait la BCE ?

    Les nationalistes espèrent aussi obtenir une aide d’Israël pour qu’une Catalogne nouvellement indépendante ne soit pas asphyxiée. Le juge Santiago Vida, sanctionné par le Consejo General del Poder Judicial [équivalent du conseil supérieur de la magistrature] pour avoir collaboré à la rédaction d’une constitution catalane a reconnu par exemple dans un entretien accordé au « Periodic Delta » : Nous ne pourrons pas aller vers la Banque Centrale Européenne pour financer la dette parce que nous ne serons pas encore membres de l’Union Européenne. » La solution « est qu’un autre Etat solvable, et nous parlons d’Israël et de l’Allemagne, nous fournissent des financements pendant un certain temps, » ajoutait-il. Dans les cercles nationalistes on spécule, sans véritable fondement, sur un crédit-relais israélien d’environ vingt milliards d’euros.

    Israël n’est pas resté tout à fait insensible, du moins dans un premier temps, au champ de sirènes qui émanait du palais de la Généralité et de Convergencia. Une hypothétique république catalane serait un de ses plus fidèles alliés en Europe. Mas l’a prouvé pendant le voyage qui l’amena en Israël en novembre 2013 quand il était encore ‘président.’ Il visita Jérusalem Est une ville occupée aux yeux de la communauté internationale, où les dirigeants étrangers ont pour règle de ne pas aller. En outre, il n’avait entretenu aucun contact avec des représentants palestiniens.

    « De façon consciente ou inconsciente, Mas a contribué à légitimer l’occupation, » avait alors déploré Xavier Abu Eid, porte-parole de l’Autorité Palestinienne. Huit mois après cette visite, Convergencia obtint, avec le soutien du Parti Populaire, que le Parlement repousse une motion qui appelait à la reconnaissance du droit à l’autodétermination du peuple palestinien. « J’aimerais bien que les Palestiniens jouissent des mêmes droits que les Espagnols qui vivent en catalogne ou au Pays basque, » avait alors déclaré à ce journaliste [l’auteur de l’article, NdT] Musa Amer Odeh, ambassadeur de Palestine à Madrid.

    Un ambassadeur au Parlement

    Alon Bar, qui était alors ambassadeur d’Israël en Espagne, proclama sa neutralité dans le conflit entre gouvernement et nationalistes catalans, ce qui déplut au ministère des affaires étrangères. « Je préfère ne pas m’exprimer sur le débat sur l’indépendance, » avait-il déclaré avec prudence en 2013 à une chaîne de journaux. « Je sais qu’il y a beaucoup de Catalans qui pensent qu’Israël est un modèle, » avait-il ajouté. L’ambassadeur avait accepté de comparaître en deux occasions, en mai 2012 et en juin 2013, devant la commission de l’Action Extérieure du Parlement de Catalogne comme s’il s’agissait du parlement d’un Etat [indépendant].

    Une frange dynamique de la communauté juive de Catalogne a joué un rôle important dans ce rapprochement du nationalisme avec Israël. Dans l’Assemblée Nationale Catalane, une organisation civile qui promeut l’indépendance, il y a une section juive mais pas de section musulmane alors que le poids démographique de cette communauté en Catalogne représente 50 fois celui de la communauté juive. L’Association Catalane des Amis d’Israël participe aussi aux manifestations nationalistes, à commencer par la Diada [fête nationale catalane]. Son président, Toni Florido, répète fréquemment : « Je sais qu’Israël ne sera pas hostile à ce que décidera le peuple de Catalogne. »

    Cette visite en Israël sonna comme un premier avertissement pour le gouvernement espagnol sur les intentions de Convergence. Il se mobilisa donc pour en limiter la portée : pour empêcher que le premier ministre Benjamin Netanyahou reçoive Mas, Garcia-Margallo appela Alon Bar [l’ambassadeur sioniste à Madrid], l’ex-président [chef du gouvernement] José maria Aznar contacta personnellement Netanyahou – avec qui il entretient des liens étroits – et il y eut même à l’époque une intervention du directeur des services de renseignements, le Général Félix Sanz Roldan ; auprès de son homologue du Mossad (services secrets israéliens), selon certaines sources diplomatiques et proches de l’ancien chef du gouvernement espagnol. On fit même appel au magnat juif américain Sheldon Adelson, qui alors projetait la création d’un Eurovegas à Madrid, pour qu’il intercède auprès de Netanyahou avec qui il est lié par une grande amitié.

    Netanyahou avait accepté au dernier moment, mais pas le Président de l’époque, Shimon Peres, qui était resté sur ses positions. Devant ses interlocuteurs espagnols, il expliqua qu’il avait reçu d’autres présidents de régions autonomes et qu’il n’y avait aucune raison de fermer la porte à Mas. Il évita par contre la présence d’emblèmes officiels dans le lieu où il fut photographié avec son hôte. « Israël est clairement un compagnon de voyage choisi par la Catalogne, » avait dit Mas à Peres, un chef d’Etat doté de peu de pouvoirs.

    Daniel Kutner, né à Buenos Aires en 1955, a succédé à Alon Bar en qualité d’ambassadeur israélien en Espagne en août 2015. Avant de présenter ses lettres de créances au Roi, il avait été reçu au début de l’automne par Garcia-Margallo. La Catalogne avait monopolisé leur conversation. Le ministre avait souligné la « déloyauté » à l’Etat des nationalistes et il lui avait demandé de ne pas faire comme son prédécesseur qui avait donné des signaux d’encouragement [aux nationalistes] .

    Au cas où les choses n’auraient pas été claires, Kutner reçut plusieurs appels téléphoniques quand, à la veille de la campagne électorale de décembre 2015, il avait effectué son premier déplacement à Barcelone. Les membres du gouvernement espagnol lui avaient fait part de leur préoccupation. Ils craignaient que les dirigeants nationalistes avec lesquels l’ambassadeur avait prévu de s’entretenir puissent profiter de sa présence pour essayer de démontrer, juste avant les élections, la sympathie d’Israël pour leur cause. En fin de compte, Kutner annula tous ses rendez-vous avec les responsables politiques catalans, y compris avec les non nationalistes, et il ne rencontra que la déléguée du gouvernement, maria de Llanos de Luna Tobarra. Il avait alors également écarté l’idée de proposer une quelconque personnalité au profil nationaliste à la fonction de consul honoraire – les noms de Lluis Bassat, Carlos Villarrubi ou David Madi furent évoqués – et il opta pour l’avocat Sanchez Molina.

    Dîner secret avec Puigdemont

    Pendant les 14 mois que dura sa mission en Espagne, Kutner ne commit qu’une ‘infidélité’ à l’égard de Garcia-Margallo. Il accepta, à la mi-avril dernière, l’invitation du ‘président’ Carles Puigdemont pour un dîner secret – « en privé », selon des sources à la Généralité – en son siège sur la place Sant Jaume. En raison de son caractère privé, les sources officielles de la Généralité ont refusé de s’exprimer sur ce qui a été abordé pendant ce ‘souper.’

    Ce dîner discret – la venue de Kutner ne figurait pas dans l’agenda des visiteurs du Palais de la Généralité – est révélateur des dissensions que suscitent dans le nationalisme les efforts pour resserrer les liens avec Israël. L’ambassadeur israélien était venu en compagnie de son adjoint, le conseiller Yinan Cohen, mais ce n’était pas Raul Romeva, le ‘conseiller’ pour les affaires extérieures qui était assis à côté de Puigdemont. La place était occupée par son numéro deux, Aleix Villaforo i Oliver, de Esquerra Republicana de Catalunya, secrétaire général du département qui chapeaute Romeva.

    Romeva a refusé d’expliquer à notre journal les raisons de son absence, mais un de ses anciens collaborateurs nous a expliqué que l’ex-eurodéputé de Iniciativa per Catalunya, qui s’était montré très critique au Parlement Européen contre l’occupation israélienne de la Cisjordanie et le blocus de gaza, avait refusé de s’asseoir en face d’un représentant d’Israël. Trois mois plus tôt, son amie, la religieuse et militante nationaliste Teresa Forcades avait été expulsée d’Israël juste après avoir atterri à l’aéroport de Tel Aviv. Un porte-parole de Romeva a cependant souligné à notre journal que la relation entre la Généralité et l’Etat hébreu est « très cordiale. »

    Les autorités israéliennes sont préoccupées par l’animosité de la gauche catalane, qu’elle soit ou pas nationaliste. Le quotidien ‘Maariv’ de Tel Aviv a publié en février dernier des câbles envoyés par les ambassades israéliennes sur le mouvement citoyen Boycott Désinvestissement et Sanctions (BDS) qui veut qu’Israël soit sanctionné pour l’occupation. « Le phénomène (…) en Espagne est gênant et inquiétant, mais pour le moment il reste circonscrit à de petites villes, » dont beaucoup sont catalanes, signalait un câble diplomatique. « Quand il atteindra Barcelone et qu’il diffusera parmi les élus, l’affaire atteindra un niveau très différent, » avertissait-il.

    Kutner a mis entre parenthèses le rapprochement entre Israël et le nationalisme catalan mais ce dernier continue sa déconnexion d’avec le reste de l’Espagne, également dans le domaine du tourisme culturel. Quatre municipalités catalanes à majorité indépendantiste, Gérone, Tortosa, Besalu et Castello d’Empuries ont annoncé en juillet dernier leur sortie de la Red de Juderias (réseau des quartiers juifs) de España, dont le siège se trouvait dans la capitale de la province de Gérone. Elles ont essayé d’entraîner Barcelone, la seule municipalité catalane qui reste membre de cette association mais la mairesse Ada Colau a refusé.

    • avec un VPN qui me permet de faire semblant d’être en France :

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  • Documentaire : Les gangsters et la Republique - Planetes360
    https://planetes360.fr/documentaire-gangsters-republique

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    Les voyous traqués par la République, c’est la version officielle. Les gangsters connaissent la face cachée de cette Histoire de France. Une suite de services rendus et de compromissions. De 1945 à nos jours, les liaisons dangereuses qui unissent caïds, police et politiques ont marqué l’histoire nationale et continuent de façonner le banditisme français. William Le Grand, Tony l’Anguille, Michel Le Gros, Dodo La Saumure, Sakho, … Ils sont braqueurs de banque, as du chalumeau, proxénètes, dealers, inventeurs du go-fast ou banquiers de cercle de jeu,… Si dans le Milieu la parole est rare, ces témoins privilégiés ont décidé de se lâcher. Ils livrent la version officieuse depuis l’âge d’or de la voyoucratie pendant la Seconde Guerre mondiale, en passant par le SAC, la guerre d’Algérie, les années Defferre à Marseille jusqu’à l’arrivée de la drogue et la prise du pouvoir des caïds dans les banlieues. Face à eux, les témoignages exclusifs de politiques : l’ancien directeur du SAC, Charles Pasqua, la sénatrice de Marseille Samia Ghali, l’adjoint au maire marseillais Renaud Muselier ; de policiers et procureurs, Lucien Aimé Blanc, ancien de la Mondaine, Bernard Squarcini, ex patron des RG, Jacques Dallest, procureur de la République ; mais aussi d’historiens, Jean-Marc Berlière, Charles Diaz, et de professeur de criminologie, Alain Bauer.

    Episode 1 : AU NOM DU DRAPEAU
    La France a toujours eu besoin des voyous pour effectuer les basses besognes, mais jusqu’à quel point les politiques sont-ils prêts à aller pour l’amour de la patrie ? Joe Attia, Georges Boucheseiche, Henri Lafont, comment les grands noms de la Carlingue reprendront-ils du service pendant les années De Gaulle pour jouer les barbouzes pour l’Etat ? De l’affaire Ben Barka pendant la guerre d’Algérie, aux affaires des indépendantistes corses de Bastelica et l’assassinat d’Orsoni, à chaque fois que l’intégrité de la nation s’est trouvée menacée les politiques ont eu recours aux caïds. Les voyous racontent ces liaisons dangereuses solidement tissées pendant le Seconde Guerre mondiale, ses risques, ses réussites et ses dérapages. Petits arrangements entre amis

    Episode 2 : PETITS ARRANGEMENTS ENTRE AMIS
    Proxénétisme, braquage et jeux : les trois grands secteurs de la voyoucratie française. De la grande époque des maisons closes, quand la Mondaine fermait les yeux en échange de précieux renseignements, à celle des cercles de jeu parisiens, généreusement octroyées au Milieu corse par l’Etat au lendemain de la Libération, en passant par le Marseille Defferre-Guérini, comment flics, voyous et politiques se croisent, se servent, sans jamais oublier de se renvoyer l’ascenseur ? Par le menu, les caïds décryptent l’organisation de la société du crime, ses règles, son code de l’honneur, son aristocratie.

    Episode 3 : LA LOI DE LA DROGUE
    Cannabis, cocaïne, héroïne : la drogue a inondé le marché imposant sa loi et ses méthodes. De l’ancienne garde des barons de la French Connection, à la nouvelle génération des dealers de cités, en passant par l’inventeur des go-fast entre Marbella et Paris, ils racontent. Comment le trafic s’est-il épanoui aux Etats-Unis avant de s’emparer de l’Espagne sous couvert des autorités espagnoles, à l’époque de l’ETA ? Aujourd’hui, avec plus d’un milliard de bénéfice par an rien qu’en Seine-Saint-Denis, comment cette machine à cash est devenu un contre-pouvoir, quand les caïds de quartiers échangent la paix sociale contre la mainmise sur leurs territoires ?

  • #Pays_basque, le « bélier » de la reconstruction européenne

    Le 25 septembre, les électeurs de « la communauté autonome basque » sont appelés à renouveler leur Parlement. Les nationalistes, divisés en deux groupes, y sont largement majoritaires ¹. Les plus déterminés espèrent cette fois arriver en tête du scrutin. Ils entendent profiter de la dynamique enclenchée par le Brexit qui a eu pour conséquence indirecte de raviver l’idée d’#indépendance en Écosse et Irlande du Nord. Rencontre avec Arnaldo Otegi, ancien de l’#ETA, chef de file de la coalition de gauche #EH_Bildu ².


    Photo : @albertocampiphoto
    https://www.lacite.info/politiquetxt/pays-basque-belier-europe
    #indépendantisme #nationalisme #Espagne