organization:fda

  • Ebola : la Sierra Leone confine sa population pendant 3 jours
    http://www.brujitafr.fr/article-ebola-la-sierra-leone-confine-sa-population-pendant-3-jours-124613

    Préparez vos masques ! Le virus de l’ebola est transmissible par voie aérienne Ebola : 10 000 cas prévus avant 3 semaines, plus de 100 000 d’ici décembre La fda interdit la promotion de remèdes contre l’ebola sur internet Le premier vaccin chinois contre la fièvre ebola Les rues de la capitale de Sierra Leone, Freetown, étaient vides vendredi, au premier des trois jours de confinement de la population du pays pour une campagne de porte-à-porte géante visant à juguler l’épidémie d’Ebola, décrétée « menace pour la paix et la sécurité internationales » par l’ONU. Le but de cette opération controversée était l’information des populations, un enjeu vital tragiquement illustré en Guinée voisine par le sort de (...)

    #SANTE

  • Notre #vagin est une fabrique d’#antibiotique
    http://m.slate.fr/story/92089/vagin-antibiotique

    Notre vagin peut nous soigner. Oui. Une étude repérée par Jezebel et publiée dans la revue Cell montre que le vagin contient une multitude de #bactéries qui produisent des molécules dont on pourrait se servir pour fabriquer des produits pharmaceutiques utiles.

    Le biologiste Michael Fischbach, qui fait partie de l’équipe qui a mené l’étude, interviewé par The Huffington Post, est enthousiaste :
    « Nous avons l’habitude de penser que les médicaments sont découverts par des compagnies pharmaceutiques, approuvés par la FDA [l’équivalent américain de l’Agence du médicament], puis qu’ils nous sont prescrits par des médecins. Ce que ces recherches prouvent, c’est que les bactéries qui vivent sur et en nous peuvent court-circuiter le processus. »

    En d’autres termes plus scientifiques, « les #bactéries_commensales produiraient des centaines de molécules ayant des caractéristiques génétiques susceptibles de servir de base à de nouveaux #médicaments », comme l’explique Le Quotidien du Médecin.

    L’étude menée par les chercheurs de l’université de Californie s’intéresse particulièrement à « une bactérie commensale du vagin, le #Lactobacillus gasseri, qui produit l’antibiotique #lactocilline très proche d’autres utilisés en pharmaceutique », contre des infections vaginales précise encore le site médical. Avec un avantage : alors que les antibiotiques « traditionnels » s’attaquent à toutes les bactéries (un effet « terre brûlée » selon l’image utilisée par The Huffington Post), l’antibiotique « naturel », lui, n’éliminerait que les pathogènes.

    Vaginal #microbe yields novel antibiotic
    Drug is one of thousands that may be produced by the human #microbiome
    http://www.nature.com/news/vaginal-microbe-yields-novel-antibiotic-1.15900

    ...Fischbach doesn’t plan to develop the antibiotic that he has discovered into a drug. Instead, he wants to find novel types of molecule that are made by the microbiome. Studying these molecules might help researchers to understand how the microbiome influences our susceptibility to disease, he says.

  • Ebola : 10 000 cas prévus avant 3 semaines, plus de 100 000 d’ici décembre
    http://www.brujitafr.fr/article-ebola-10-000-cas-prevus-avant-3-semaines-plus-de-100-000-d-ici-dec

    Le premier vaccin chinois contre la fièvre ebola La FDA interdit la promotion de remèdes contre l’ebola sur internet Des experts « qui en savaient trop » à propos d’un laboratoire d’armes biologiques qui fabriquait une… Cinq chercheurs meurent avant la parution de leur étude sur ebola Une modélisation mathématique sur l’évolution de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest évoque une flambée inquiétante des cas ces prochains mois, rapporte mercredi le site Mediapart. Dans une modélisation mathématique réalisée par le professeur de physique à Northeastern Alessandro Vespignani, le nombre de (...)

    #SANTE

  • Le premier vaccin chinois contre la fièvre Ebola
    http://www.brujitafr.fr/article-le-premier-vaccin-chinois-contre-la-fievre-ebola-124477682.html

    Le premier vaccin chinois contre la fièvre Ebola Le premier vaccin chinois contre la maladie à virus Ebola sera produit dans ce pays pour subvenir aux besoins de l’Armée, informe dimanche la télévision nationale. Cinq chercheurs meurent avant la parution de leur étude sur ebola Des experts « qui en savaient trop » à propos d’un laboratoire d’armes biologiques qui fabriquait une… La fda interdit la promotion de remèdes contre l’ebola sur internet Le médicament – JK-05 – a été conçu par l’Institut de microbiologie et d’épidémiologie auprès de l’Académie de médecine militaire il y a cinq ans. Après (...)

    #SANTE

  • The Sad Truth About Who Determines if Your Food is Safe
    http://www.care2.com/greenliving/who-says-food-additives-are-safe.html

    Currently, a “generally recognized as safe” determination is made when the manufacturer of a food substance evaluates the safety of the substance themselves and concludes that the use of the substance is safe. In other words, the company that manufactures the substance gets to determine if it is safe or not. This approach is commonly referred to as ”GRAS self-determination.” To make matters worse, not only do companies not have to inform the public, they don’t even have to inform the #FDA. A company may voluntarily tell the FDA they just came up with a new food additive that they’ve decided is safe, but are not required to do so.

    The cumulative result is that there are an estimated 6,000 current affirmative safety decisions which allow for more than an estimated 10,000 substances to be used in food. In addition, an estimated 1,000 manufacturer safety decisions are never reported to FDA or the public. “Manufacturers and a trade association made the remaining decisions without FDA review by concluding on their own that the substances that they themselves were selling were safe.”

    While manufacturers are not required to notify the FDA of a “safe determination,” sometimes they do voluntarily notify the agency. From these notifications, researchers have been able to see which individuals companies select to make these determinations—and many may have financial conflicts of interest.

    Of the 451 GRAS notifications voluntarily submitted to the FDA, 22.4% were made by someone directly employed by the company; 13.3% were made by someone directly employed by a firm hand-picked by the company; and 64.3% were made by a panel hand-picked by the corporation or the firm the corporation hired. Are you doing the math? Yes, that means 0% of safety decisions were made independently.

    An astonishing 100% of the members of expert panels worked directly or indirectly for the companies that manufactured the food additive in question. And those are just the ones the food companies let the FDA know about. The companies also used the same in-the-pocket rent-a-scientist “experts” over and over, leading food industry watchdog Marion Nestle to ask “How is it possible that the FDA permits manufacturers to decide for themselves whether their food additives are safe?” It may be because many of the companies providing our daily food are corporate giants with “political muscles that national governments would envy.” PepsiCo alone spent more than $9 million in a single year to lobby Congress. The fact that food additives like trans fats have been allowed to kill thousands of Americans year after year comes as less of a surprise to those who realize that “three of Washington’s largest #lobbying firms reportedly now work for the food industry.”

    #aliments #sécurité_alimentaire #Etats-Unis

  • La FDA interdit la promotion de remèdes contre l’Ebola sur internet
    http://www.brujitafr.fr/article-la-fda-interdit-la-promotion-de-remedes-contre-l-ebola-sur-interne

    Des experts « qui en savaient trop » à propos d’un laboratoire d’armes biologiques qui fabriquait une nouvelle souche du virus Ebola tués dans le vol MH17 ? (traduit de l’italien) Le 14 août, la FDA a publié un avertissement qui cible spécifiquement ceux qui prétendent savoir comment prévenir ou guérir l’Ebola. Ce qui suit est un extrait de cet avertissement... La FDA conseille aux consommateurs d’être attentifs aux produits vendus en ligne qui prétendent prévenir ou guérir le virus Ebola. Depuis l’apparition du virus Ebola en Afrique de l’ouest, la FDA a vu et reçu des plaintes de consommateurs concernant divers produits prétendant soit prévenir le virus Ebola soit traiter l’infection. Il n’existe (...)

  • Le #sexisme s’invite dans la #médecine - Le Point
    http://www.lepoint.fr/sante/le-sexisme-s-invite-dans-la-medecine-19-07-2014-1847453_40.php

    Le système immunitaire des #femmes étant plus réactif, les vaccins ont notamment plus d’effets sur elles que sur la gent masculine. Les femmes produisent par exemple autant d’anticorps que les hommes avec une simple demi-dose de vaccin, selon des chercheurs américains. Le même problème se pose avec les somnifères. L’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) a d’ailleurs recommandé en début d’année de diminuer de moitié les doses de Zolpidem prescrites aux femmes. Leur organisme mettant plus de temps à se débarrasser du médicament.

    L’article du Parisien (où l’on s’aperçoit par ailleurs que l’auteure n’a bien compris les fondements du féminisme) en attendant celui du Science & Vie
    http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/la-medecine-est-sexiste-19-07-2014-4013061.php#xtref=http%3A%2F%2Fwww.lep

    L’injustice dès la paillasse. Sauf cibles exclusivement féminines (ovaires, ménopause, grossesse) et gentiment surnommée « médecine bikini », dès le labo, au stade de la recherche animale, les tests sont essentiellement menés sur des rats mâles, « pour éviter que les hormones ne perturbent les résultats », confirme la généticienne Claudine Junien. Les filles se retrouvent aussi sous-représentées dans les études cliniques. Tant pis si cela biaise les résultats ! Pour y mettre fin, l’institut national de la santé américain (NIH), qui finance largement la recherche biomédicale, a décidé avant l’été d’y remédier. Désormais, plus question de subventions si les études n’analysent par leurs résultats en fonction du sexe.

    #pharma #effets_secondaires

  • Des technologies de bioingénierie dignes de séries télévisées
    http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75749.htm

    Raffa

    Des technologies de bioingénierie dignes de séries télévisées - http://www.bulletins-electroni...

    13 minutes ago

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    La plateforme focalisée sur les microsystèmes biomimétiques comporte un projet majeur : les organes sur puces (ou Organ-On-Chip) [3]. Les chercheurs de l’institut conçoivent des puces qui simulent la microarchitecture et les fonctions des organes d’êtres vivants, tels que le poumon, le coeur, et l’intestin. A terme, l’objectif de ce projet (élaboré en collaboration avec la FDA [4]) est de devenir une alternative aux essais traditionnels sur animaux. En effet, les études précliniques requièrent plusieurs années d’efforts et l’analyse d’un composé dans ces phases peut coûter plus de 2 millions de dollars. D’autre part, sacrifier de nombreux animaux dans (...)

  • RxISK.org
    https://www.rxisk.org/Default.aspx

    All prescription drugs have benefits and side effects.
    Find the right balance

    RxISK is a free, independent drug safety website where you can ...

    Research a prescription drug to see what side effects have been reported in the 4.8 million reports submitted to the FDA, Health Canada, and RxISK.

    Share your experience and get a free RxISK Report to take to your doctor to discuss whether the effects you are experiencing are linked to your prescription drugs

    #santé

  • [358] Confessions of an FDA Agent, Truth Behind ’Honor Diaries’ & US’ Embarrassing Illiteracy Rate
    http://www.filmsforaction.org/watch/358-confessions-of-an-fda-agent-truth-behind-honor-diaries-and-us-em

    Abby Martin Breaks the Set on Sea Water Fuel, Afghanistan Elections, FDA Fraud, Honor Diaries Funding and American Illiteracy LIKE Breaking the Set @ http://fb.me/BreakingTheSet FOLLOW Abby Martin...

  • Le Gardasil® en 10 questions-réponses
    Par Joël Pelerin et Philippe de Chazournes, au nom de Med’Océan, actualisé au 19 février 2014
    Inclut des informations transmises par Catherine Riva et le Dr Jean-Pierre Spinosa, auteurs de « La piqûre de trop ? »

    Depuis plusieurs années, ce vaccin est l’objet de controverses dans de nombreux pays européens et dans le reste du monde (E.U., Canada, Inde…). Depuis juin 2013 elle n’est plus recommandée par les autorités japonaises. Le 3 octobre 2011, un débat s’est tenu à l’Assemblée Nationale (vidéos complètes sur le site http://www.medocean.re) avec les auteurs du livre La piqûre de trop ? (1) et des représentants de l’Association Méd’Océan. Deux ans après, ces derniers font le point.
    http://www.medocean.re/2014/02/si-vous-etes-medecin-generaliste-ou-specialiste-et-si-vous-etes-daccord-ave

    Question préliminaire : On vous traite de « mouvement sectaire anti-vaccinal ». Qu’en est-il ?

    Réponse Med’Océan : C’est absolument faux ! L’un de nos membres a d’ailleurs travaillé en dialyse, s’est contaminé plusieurs fois et il est peut-être encore en vie grâce à sa vaccination préventive contre l’hépatite B, c’est tout dire !
    La mission de Med’Océan est de promouvoir une médecine de qualité, réfléchie, basée sur les preuves et indépendante, sur des sujets de Santé Publique et de Médecine Générale, au départ dans la zone Océan Indien (nous sommes à l’Ile de La Réunion). Nous avons vu défiler, depuis cinq ans et à grands frais via l’industrie pharmaceutique, de multiples « leaders d’opinion » promouvant activement cette vaccination, alors que son intérêt n’était pas évident. Nous avons également pu constater dans le cas du Gardasil® que de nombreux « leaders d’opinion » n’avaient qu’une connaissance très superficielle des principales études scientifiques sur ce vaccin, sans esprit critique. Ces études, non publiées dans la grande presse médicale, se trouvent sur le site de la FDA(2,3) et sont consultables par tous.
    Enfin, nous, nous n’avons aucun conflit d’intérêts.

    Question n° 1 : La plupart des articles de presse sur le Gardasil® relatent des plaintes de familles de patientes à propos d’effets indésirables graves, par exemple des paralysies ou même des décès. Quel est votre point de vue ?

    Réponse Med’Océan : Les effets indésirables « classiques » des vaccins sont les plus sujets à polémique, car sauf exception, il est quasiment impossible de prouver la causalité entre la pathologie observée et la vaccination. Aussi nous privilégions dans notre exposé tout ce que nous avons trouvé d’autre et qui repose sur des données facilement analysables. Nous reviendrons sur les effets indésirables « classiques » seulement à la fin, après la question n° 10…

    Question n° 2 : Connaissez-vous alors d’autres effets indésirables graves ?

    Réponse Med’Océan : Nous en voyons au moins deux potentiels : le premier est la possible augmentation paradoxale du nombre de lésions précancéreuses après vaccination chez les femmes déjà porteuses d’un des virus (HPV 6, 11, 16 ou 18), comme nous l’avons détaillé à l’Assemblée Nationale (10). Ce phénomène se retrouve d’ailleurs tant au niveau des lésions condylomateuses cutanées (verrues vénériennes) que des lésions sévères du col de l’utérus. Le très sérieux INSERM en parle d’ailleurs dans sa revue de novembre-décembre 2011 (11) « Des effets indésirables graves sont soupçonnés : augmentation du risque de cancer si l’infection est déjà installée, information pas toujours communiquée par le laboratoire. »

    Sur le plan scientifique, on pourrait avancer l’explication suivante : non seulement le Gardasil® n’est pas curatif, mais la montée des anticorps après vaccination exaspère la virulence oncogène.

    En clair, les parents qui font vacciner leur fille ne se doutent pas qu’ils aggravent peut-être son risque de cancer du col si elle n’est plus vierge. Et toutes celles qui se sont fait vacciner « en rattrapage dans la première année qui suit le début des rapports sexuels » sont dans le même cas. Nous y reviendrons à la question n° 7.

    Question n° 3 : Vous avez parlé d’un deuxième effet secondaire grave potentiel, quel est-il ?

    Réponse Med’Océan : Le deuxième effet secondaire grave est encore la possible augmentation paradoxale des lésions, cette fois-ci chez les femmes non contaminées ou vierges, par manque d’efficacité et faux sentiment de protection.

    Question n° 4 : Comment pouvez-vous dire cela ? Il est bien établi que le Gardasil®, s’il n’est pas curatif, est efficace à près de 100 % chez les patientes « naïves » vis-à-vis des virus HPV 6, 11, 16 et 18, principaux pourvoyeurs du cancer !

    Réponse Med’Océan : C’est la que réside tout le malentendu. Le message qui circule est que la vaccination permet d’être protégé contre ces 4 virus, qui sont à l’origine de 70 % des lésions graves. Nous saluons effectivement la réussite des chercheurs qui ont travaillé pour le fabricant, leur produit est d’une efficacité remarquable vis-à-vis des 4 sérotypes qu’il cible. Mais le problème, c’est que, malgré l’efficacité sur les 4 souches, le nombre total de lésions ne diminue pas notablement ! Il y a plusieurs dizaines d’autres virus potentiellement oncogènes, et l’efficacité réelle de ce vaccin contre tous les HPV confondus, la seule qui compte en pratique, est malheureusement de moins de 20 % (1,12).

    Question n° 5 : Cette efficacité de moins de 20 % tous virus confondus, sur l’apparition de lésions sévères du col, a été confirmée récemment par le Haut Conseil de Santé Publique et le Comité Technique des Vaccinations. Qu’en dites-vous ?

    Réponse Med’Océan : En effet, suite à notre débat à l’Assemblée Nationale, Xavier Bertrand, ministre de la Santé, a reformulé dans une lettre (13) nos questions au Professeur Salamon, Président du Haut Conseil de la Santé Publique. Le groupe de travail a répondu le 21 octobre 2011, en confirmant que l’efficacité du Gardasil, tous virus confondus, était de moins de 20 % (16,9 % et non significative dans la population per protocole et 18,4 % dans le groupe MITT3 (14) du total des essais 013 et 015).
    C’est un premier pas dans la bonne direction, malheureusement encore bien insuffisant : sur un échantillonnage plus large (essais 007+013+015) l’efficacité chute à 12.2 % et n’est plus significative (14b) !
    Par ailleurs il faudrait, par exemple, recalculer le ratio coût de la vaccination/bénéfice attendu, qui a été calculé avec 70 % d’efficacité…

    Question n° 6 : Cette efficacité du vaccin, même si elle est très inférieure à celle attendue, est toujours bonne à prendre, c’est un vaccin contre le cancer quand même !

    Réponse Med’Océan : Double erreur fondamentale !
    Premièrement la vaccination procure donc un faux sentiment de protection. Une enquête (15) portant sur plusieurs centaines de jeunes femmes a montré qu’une majorité d’entre elles pensent qu’après vaccination, la pratique du dépistage est inutile. Un grand nombre de patientes vaccinées se croyant suffisamment protégées vont espacer leur frottis et risquent de ne consulter qu’à l’apparition habituellement trop tardive de signes cliniques du cancer. Dès 2007, le Comité Technique des Vaccinations écrivait (16) : « il serait possible que, si les femmes vaccinées se faisaient moins dépister, l’incidence et plus encore la mortalité du cancer du col de l’utérus augmentent, le vaccin n’étant pas efficace vis-à-vis d’environ 30 % des cancers ».
    Cette phrase prend aujourd’hui une valeur particulière, quand on sait que le vaccin est loin d’avoir les 70 % d’efficacité qu’on croyait à l’époque ! Il faudrait dire avec les connaissances actuelles : « le vaccin n’étant pas efficace vis-à-vis d’au moins 80 % des lésions précancéreuses ».
    Deuxièmement il n’est pas impossible que dans certaines circonstances la vaccination favorise le cancer, comme nous allons le voir plus loin !

    Question n° 7 : Les médias ont largement diffusé les résultats positifs de la vaccination à grande échelle dans « l’étude australienne »(17). Qu’en dites-vous ?

    Réponse Med’Océan : Parlons-en, de cette fameuse étude australienne ! Effectivement, chez les moins de 18 ans, on observe une certaine efficacité (sans que l’on puisse savoir si le bénéfice est dû à la vaccination ou au programme de dépistage, qui a été conduit de façon concomitante). Mais dans le même temps, on note ce que les auteurs appellent « une légère augmentation de l’incidence » chez les femmes âgées de 21 ans et plus.
    Au total on s’aperçoit que dans cette étude, portant sur plus d’un million et demi de femmes, la vaccination aurait permis d’éviter 21 lésions sévères du col chez les moins de 18 ans, mais aurait favorisé l’apparition de plus de 800 lésions chez les autres, avec un bilan global de 790 lésions supplémentaires, et de façon extrêmement significative (18).
    On retrouve encore une fois cette notion que la vaccination, non seulement n’est pas protectrice, mais qu’elle augmente le nombre de cas de lésions précancéreuses, si les femmes ont déjà été contaminées (ce qui est très fréquent dès qu’elles ont une activité sexuelle). Or, ce message n’est pas diffusé par le fabricant.
    En réponse à la question n° 2, nous avons déjà signalé que les essais randomisés montraient une tendance à l’aggravation des lésions, aussi bien pour les condylomes cutanés que pour les lésions du col, si les femmes sont déjà porteuses du virus, et dans l’étude australienne, on retrouve une augmentation très significative (p<0.0001) des lésions CIN2/3 chez les patientes au-delà de l’âge de 21 ans, l’INSERM en parle aussi (11). Pourtant le groupe de travail du Haut Conseil de la Santé Publique cité plus haut (13) conclut : « Il n’existe actuellement aucune donnée suggérant un caractère potentiellement délétère du vaccin dans certaines catégories de la population, en particulier, de risque de survenue de cancer chez des femmes préalablement infectées. »
    À noter que plusieurs membres de ce groupe de travail ont des conflits d’intérêts majeurs…

    Question n° 8 : C’est sans doute devant ces résultats que le fabricant du vaccin met l’accent sur la vaccination des adolescentes très jeunes, ayant toutes les chances d’être vierges ! Quel est votre avis ?

    Réponse Med’Océan : Chez les très jeunes patientes, la vaccination procure des taux d’anticorps contre les HPV 6,11, 16 et 18. Mais les questions sont nombreuses, par exemple le taux sera-t-il encore protecteur dans 15 ou 20 ans ? On sait déjà que 35 % des patientes n’ont plus d’anticorps anti-HPV 18 après 5 ans (19).
    D’ici 15 ou 20 ans n’y aura-t-il pas émergence massive d’autres sérotypes oncogènes ? Déjà durant la courte période des essais avant commercialisation, on observe un nombre accru de lésions sévères du col par les « autres virus » dans le groupe Gardasil® par rapport au groupe placébo (20). Et il y aura toujours le dangereux faux sentiment de protection, et les éventuels effets indésirables graves neurologiques, hématologiques, etc. Le jeu en vaut-il la chandelle ?
    Par ailleurs, une personne prendra des décisions différentes suivant si elle se croit protégée à 70 % ou à moins de 20 %.
    Enfin, préconiser « vaccination + frottis » comme étant « l’idéal » est aussi une énorme erreur, non seulement en termes de coûts, mais surtout en termes de risques d’effets secondaires de type maladies auto-immunes, et d’efficacité illusoire puisqu’il y aura toujours des femmes qui considèreront que, vaccinées, elles sont protégées, et ne feront plus de frottis, ou trop tardivement, quel que soit l’effort de leur médecin généraliste ou gynécologue pour le leur rappeler.

    Question n° 9 : Mais alors, que doivent dire les médecins à leurs patientes ?

    Réponse Med’Océan : Il suffit de se référer au serment d’Hippocrate : « … je ne tromperai jamais leur confiance… » Dire aux mères qui amènent vacciner leurs filles, et aux patientes : « Savez-vous que la protection conférée par ce vaccin est douteuse, et qu’on pense même qu’il peut aggraver les choses s’il y a déjà eu contact avec le virus ? Alors que la pratique régulière des frottis a depuis longtemps fait ses preuves ! »

    Question n° 10 : Et selon vous, quelle devrait être la position des médias ?

    Réponse Med’Océan : Leur responsabilité est très importante. Leur devoir est de relayer une information juste et sans apriori. S’ils ne font pas leur travail d’information correctement, les patientes ne peuvent pas choisir en connaissance de cause. Il est également de leur devoir de le faire pour que, plus tard, personne, aussi bien les patientes que les autorités, ne puisse dire : « A l’époque, on ne savait pas ! » Nous n’avons JAMAIS vu un parent insister pour faire vacciner son enfant à l’énoncé de tout ce qui précède.

    Retour sur la Question n° 1 : pouvez-vous parler maintenant des effets indésirables classiquement évoqués pour ce vaccin ?

    Réponse Med’Océan : Dans une population donnée, on observe toujours l’apparition d’un certain nombre de maladies auto-immunes neurologiques, hématologiques ou rhumatismales et de décès inexpliqués. La causalité avec la vaccination est donc difficile à prouver, mais elle est bien sûr possible. Trois faits majeurs sont à retenir : d’abord la forte dose de protéines injectée à chaque piqûre de Gardasil®, 120 microgrammes, ce qui, comme indiqué dans l’ouvrage récent Novel Approaches to Vaccine Research(4), expliquerait la forte proportion de maladies auto-immunes.
    Ensuite la présence d’aluminium dans l’excipient qui, même chez l’enfant, peut aussi induire des maladies auto-immunes, et pas seulement la myofasciite à macrophages, ce qu’on en connait n’est que la partie émergée de l’iceberg (syndrome ASIA : Autoimmune Syndrome Induced by Adjuvants (5,6)). À ce propos, il est tout à fait anormal que la FDA ait permis que le placébo contienne de l’aluminium dans la très grande majorité des études. Sur le plan scientifique, c’est bafouer l’intérêt des études d’innocuité, et c’est inadmissible sur le plan éthique. Cela permet de pouvoir prétendre que le vaccin n’est pas plus dangereux que son comparatif, appelé placébo, et par glissement, de faire croire que le vaccin est inoffensif. Enfin, alors que l’intérêt de la vaccination n’est pas démontré, le laboratoire, dès les premiers résultats, s’est empressé sous le couvert de raisons éthiques, de vacciner aussi le groupe placébo, ce qui fait qu’on ne peut plus suivre dans le temps l’évolution entre les deux groupes.

    Aux États-Unis, l’organisme VAERS (Vaccine Adverses Events Reporting System) comptabilise les effets secondaires signalés et ils sont très nombreux dans le cas du Gardasil® : par exemple, en 4 mois et demi, près de 1500 cas ont été recensés, dont 8 % ont été qualifiés de « sérieux », de même que 10 décès (7). Même si l’imputabilité à la vaccination n’est pas certaine, cela fait quand même beaucoup.
    Un autre problème soulevé récemment est la présence de borate de sodium (35 microgrammes par dose vaccinale, indique le fabricant (8)). Ce produit, connu depuis l’antiquité, était considéré comme peu toxique, mais depuis peu, on lui attribue un effet nocif sur la reproduction et le développement fœtal (9), ce qui change complètement la donne, et ces effets risquent de n’apparaître que dans de nombreuses années…

    Question d’actualité : Et la vaccination chez les garçons ?

    Réponse Med’Océan : Les extensions successives d’indication (garçons, mais aussi femmes plus âgées) auxquelles on assiste depuis deux ans semblent avant tout motivées par un souci de rentabilisation maximale du produit. Vacciner un adolescent parce que s’il se révèle homosexuel, il aura (peut-être) moins de chance de faire un cancer de l’anus, est-ce sérieux ? Faire prendre le risque d’induire une maladie auto-immune pour éviter (peut-être) des verrues vénériennes dont le traitement n’est certes pas agréable, mais efficace ? Quel parent bien informé l’autoriserait pour son enfant ?
    Enfin, on peut rappeler quelques faits sur le cancer du col de l’utérus en France : il s’agit d’un cancer dont le nombre de nouveaux cas ne cesse de diminuer, surtout depuis la mise en place du dépistage par frottis. Malheureusement, environ 800 femmes en décèdent encore chaque année… Il s’agit la plupart du temps de femmes qui ont échappé au dépistage pour diverses raisons. On peut espérer qu’un dépistage systématique et bien organisé permette rapidement de faire encore baisser cette mortalité.

    Et pour terminer, comment voyez-vous la suite de votre action ?

    Nous sommes heureux de voir que des scientifiques publient des conclusions analogues aux nôtres. Voici la traduction en français d’une récente mise au point publiée par deux chercheurs canadiens, et qui a le mérite de se fonder sur les principes de l’EBM (médecine basée sur des preuves) (21) :

    «  À ce jour, l’efficacité des vaccins anti-HPV dans la prévention des cancers du col de l’utérus n’a pas été démontrée, tandis que les risques des vaccins restent incomplètement évalués.
    Les pratiques mondiales actuelles de vaccination contre le HPV avec l’un ou l’autre des deux vaccins n’apparaissent ni justifiées par des bénéfices sanitaires à long terme ni économiquement rentables, de même qu’il n’existe pas non plus de preuve que cette vaccination anti-HPV (même si elle était prouvée efficace dans la prévention du cancer du col) puisse réduire le taux de cancers du col en deçà de ce que la pratique du dépistage par frottis a déjà permis.
    En outre, la liste des effets secondaires graves liés à la vaccination mondiale anti-HPV inclut des décès, des convulsions, des paresthésies, des paralysies, des syndromes de Guillain-Barré, des myélites transverses, des paralysies faciales, des syndromes de fatigue chronique, des anaphylaxies, des maladies auto-immunes, des thromboses veineuses profondes, des embolies pulmonaires et des cancers du col de l’utérus.
    Parce que la couverture du programme de vaccination anti-HPV est généralisée et d’ampleur mondiale, la santé à long terme de beaucoup de femmes pourrait être compromise en contrepartie de bénéfices vaccinaux toujours incertains. »

    De telles conclusions nous inquiètent aussi ; elles montrent que, pour l’avenir, tout dépendra du courage et de la réelle indépendance de nos politiques...

    Références :

    (1) Catherine Riva, Jean-Pierre Spinosa, La piqûre de trop ? Pourquoi vaccine-t-on les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus ? Ed. Xenia, mars 2010.

    (2) VRBPAC Background Document, mai 2006 http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf

    (3) http://www.fda.gov/cber/review/hpvmer060806r.pdf

    (4) http://issuu.com/researchsignpost/docs/hefferon_e-book?mode=window&pageNumber=1

    (5) Lucija Tomljenovic and Christopher Shaw, Mechanisms of aluminium adjuvant toxicity and autoimmunity in pediatric population , Lupus, February 2012 vol. 21 no. 2 223-230 http://lup.sagepub.com/content/21/2/223

    (6) N Agmon-Levin,GRV Hughes,Y Shoenfeld, The spectrum of ASIA : ‘Autoimmune (Autoinflammatory) Syndrome induced by Adjuvants, Lupus, February 2012 vol. 21 no. 2 118-120 http://lup.sagepub.com/content/21/2/118.full

    (7) http://www.scribd.com/full/71036877?access_key=key-1tybcgl1x1b4frvg1nwt VAERS, du 1er mai au 15 septembre 2011

    (8) http://www.merck.ca/assets/fr/pdf/products/GARDASIL-PM_F.pdf

    (9) http://www.substitution-cmr.fr/fileadmin/mediatheque/Reglementation/30th_ATP.pdf
    COMMISSION DIRECTIVE 2008/58/EC, Official Journal of the European Union, 15.9.2008, p 137 annexe 1G index 005-011-01-1

    (10) http://www.medocean.re/2011/09/le-gardasil-a-l%E2%80%99assemblee-nationale

    (11) Pharmacovigilance : l’urgence des réformes, Science et Santé n° 5 novembre-décembre 2011 (magazine de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), p. 42 http://www.inserm.fr/mediatheque/infr-grand-public/fichiers/science-sante/science-sante-n-5nov-dec-2

    (12) VRBPAC Background Document, mai 2006, Table 25 http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf. Réduction obtenue : 16.9 % CI (<0 %, 39.8 %) p calculé 0.25. Il s’agit de la seule étude contre placébo qui évalue l’efficacité du vaccin dans différentes populations (per protocol, en intention de traiter…) elle est déposée à la FDA et consultable par tous

    (13) « Le vaccin Gardasil® et la stratégie de prévention globale des cancers du col de l’utérus , rapport du groupe de travail du 21 octobre 2011 », p. 5 http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspr20111021_gardasil.pdf

    (14) ibid., § 3-2-2 p. 19

    (14b) ) http://www.fda.gov/cber/review/hpvmer060806r.pdf tableau 272 p 355 : sur plus de 17600 femmes (8814 vaccinées et 8846 témoins, groupe MITT-3) efficacité 12.2 % non significative (p0.10) pour les lésions CIN2+ et 11.2 % non significative (p0.25) pour les lésions CIN3+

    (15) Isabelle Lerais, Mai-Ly Durant, Florence Gardella, Philippe Hofliger, Christian Pradier, Valérie Giordanengo, Françoise Bevançon, Enquête sur les connaissances, opinions et comportements des lycéens autour des Human Papilloma Virus (HPV), France, AlpesMaritimes, 2009, Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire 23 mars 2010, no 11 http://www.lecrips.net/GED/77199.pdf

    (16) Avis du Comité Technique des Vaccinations et du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France, Séance du 9 mars 2007, p. 4 http://www.hcsp.fr/docspdf/cshpf/a_mt_090307_papillomavirus.pdf

    (17) Julia M L Brotherton, Masha Fridman, Cathryn L May, Genevieve Chappell, A Marion Saville, Dorota M Gertig, Early effect of the HPV vaccination programme on cervical abnormalities in Victoria, Australia : an ecological Study, The Lancet, Volume 377, Issue 9783, Pages 2085 – 2092, 18 June 2011 http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(11)605515/fulltext#article_upsell.

    (18) ibid. Chez les 21-25 ans, l’incidence passe de 1.53 % à 1.71 %, soit 0.18 % de plus, soit une efficacité négative –12 % = augmentation du nombre de lésions p<0.0001, efficacité négative –13 % p<0.0001 chez les 26-30 ans, et encore efficacité négative –6 % p=0.002 chez les 31 ans et plus, cf :

    (19) Olsson SE, Villa LL, Costa RL, Petta CA, Andrade RP, Malm C, Iversen OE, Høye J,
    Steinwall M, Riis-Johannessen G, Andersson-Ellstrom A, Elfgren K, von Krogh G, Lehtinen M, Paavonen J, Tamms GM, Giacoletti K, Lupinacci L, Esser MT, Vuocolo SC, et al. Induction of immune memory following administration of a prophylactic quadrivalent human papillomavirus (HPV) types 6/11/16/18 L1 virus-like particle (VLP) vaccine. Vaccine 2:4931-9, 2007.

    (20) VRBPAC Background Document, mai 2006, Table 27 page 18 : 169 lésions dans le groupe Gardasil® attribués aux virus « non vaccinaux », seulement 142 dans le groupe témoin http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf

    (21) Tomljenovic L, Shaw CA, Human papillomavirus (HPV) vaccine policy and evidencebased medicine : Are they at odds ?, Annals of Medicine, 2011 Dec 22 ; DOI : 10.3109/07853890.2011.645353 http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/LTShaw-Annals-Med-2011--HPV-vaccines---EBM.pdf Cet article a été partiellement traduit en français : « Les pratiques vaccinales en matière de papillomavirus humain (HPV) sont-elles en phase avec l’Evidence Based Medicine ? » http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Etude-de-C.-Shaw-et-LucijaTomljenovic.pdf
    #santé #vaccin #cancer #prévention #études

  • Boehringer Kept Pradaxa Analysis From #FDA, Records Show
    http://mobile.bloomberg.com/news/2014-02-25/boehringer-kept-pradaxa-analysis-from-fda-records-show.html

    Encore des résultats cachés par une compagnie pharmaceutique.

    “Having run an analysis in several ways, there is no good reason not to disclose all the results,” said Harlan Krumholz, a Yale University cardiologist in New Haven, Connecticut, who is leading an effort to get companies and researchers to share their findings fully.

    (...)

    “It is important to resist selective presentation of results, especially when the finding depends on which analysis is done,” said Krumholz, who isn’t involved in any of the Pradaxa lawsuits, by telephone. “The fact that different analyses of the same data can yield different conclusions makes it imperative that we promote an opportunity for independent analyses through data sharing so that these issues will be out in the open.”

    #état_défaillant #failed_state

  • IN VITRO : Un embryon sans défaut créé « avec trois parents » - News Vivre : Société - tdg.ch
    http://www.tdg.ch/vivre/societe/Un-embryon-sans-defaut-cree-avec-trois-parents/story/20680782

    Un comité consultatif d’experts était entendu mercredi par l’Agence américaine des médicaments (FDA) sur une nouvelle technique controversée combinant l’ADN de trois personnes pour créer un embryon sans défaut génétique responsable de certaines maladies héréditaires incurables.

    Le comité, réuni depuis mardi, devait faire des recommandations mercredi en fin de journée à la FDA (Food and Drug Administration) sur la sûreté de cette procédure pour des essais cliniques. Jusque-là, cette technique n’a été expérimentée que sur des singes.

  • La FDA est allée un peu vite sur 23&Me - Quartz
    http://qz.com/167178/new-evidence-shows-the-fda-was-wrong-to-halt-23andme-testing

    Selon une étude menée par le chercheur en génétique Robert C Green et l’avocat spécialisé en bioéthique Nita Farahany, la seule chose qu’on devrait exiger de 23&Me est d’être honnête sur les limites de leur tests de santé. Les chercheurs ont montré que la plupart des clients de 23&Me sont allé prendre les conseils d’un médecin avant de prendre des mesure. 58% des 1000 clients de 23&Me interrogés n’ont rien fait du tout de leurs résultats génomiques. Sur les 42% qui ont pris des décisions sur la base des informations de santé de 23&Me, seuls 2% ont changé de régimes de médicament sans consulter un médecin. La majorité des clients ont fait des changement basés sur leur alimentation, l’exercice ou les vitamines. Une autre étude a montré que les tests n’étaient la plupart pas très utiles et que la plupart des (...)

    #ADN #génomique

  • La génomique personnelle dans la tourmente (2/2) : quel avenir ?
    http://www.internetactu.net/2013/12/19/la-genomique-personnelle-dans-la-tourmente-22-quel-avenir

    Que la FDA ait raison ou tort, finalement, un constat s’impose : la génomique personnelle dérange. Certains acteurs économiques peuvent se réjouir de la réaction de l’agence des produits alimentaires et médicamenteux américaine. Au premier rang, du moins selon Fastcompany, les assureurs. Cela peut étonner. Après tout, l’une des principales craintes de nos voisins d’outre-Atlantique n’est-elle pas que leur assureur…

    #big_data #biotechnologies #corps #quantifiedself

  • #FDA SEEKS TOUGHER RULES ON ANTIBACTERIAL SOAPS
    http://bigstory.ap.org/article/fda-says-germ-killing-soap-could-pose-health-risks

    Mieux vaut tard que jamais,

    The FDA proposal comes more than 40 years after the agency was first tasked with evaluating #triclosan, #triclocarban and similar ingredients. Ultimately, the government only agreed to publish its findings after a three-year legal battle with the Natural Resources Defense Council, an environmental group that accused the FDA of delaying action on triclosan. The chemical is found in an estimated 75 percent of antibacterial liquid soaps and body washes sold in the U.S., including some brands of Dial from Henkel AG & Co., one of the nation’s largest soap makers.

    While the FDA ruling only applies to liquid hygiene cleaners, it has implications for a broader $1 billion industry that includes thousands of antibacterial products, including kitchen knives, toys, pacifiers and toothpaste. Over the last 20 years, companies have added triclosan and other cleaners to thousands of household products, touting their germ-killing benefits.

    The FDA was tasked with confirming those benefits in 1972, as part of a law designed to set guidelines for dozens of common antibacterial cleaners. But the guidelines got bogged down in years of regulatory delays and missed deadlines. The agency published a preliminary draft of its findings in 1978, but never finalized the results until Monday.

    ...

    Most of the research surrounding triclosan’s safety involves laboratory animals, including studies in rats that showed changes in testosterone, estrogen and thyroid hormones. Some scientists worry that such changes in humans could raise the risk of infertility, early puberty and even cancer.

    FDA scientists stressed Monday that such studies are not necessarily applicable to humans, but the agency is reviewing their implications.

    “We recognize that these are laboratory tests, and the challenge is to understand what they actually mean for effects on humans,” Kweder told journalists on a press call. She noted that the government’s National Toxicology Program is already studying whether daily skin exposure to hormone-altering chemicals could lead to cancer.

    Other experts are concerned that routine use of antibacterial chemicals such as triclosan is contributing to a surge in drug-resistant germs, or superbugs, that render antibiotics ineffective.

    In March 2010, the European Union banned the chemical from all products that come into contact with food, such as containers and silverware.

    A spokesman for the American Cleaning Institute, a soap and cleaning product trade organization, did not respond to the FDA’s findings. The group represents manufacturers including #Henkel, #Unilever, #Colgate-Palmolive Co. and #Dow_Chemical_Co.

  • #USA lancent un plan d’élimination de certains antibiotiques dans l’élevage
    http://www.brujitafr.fr/article-usa-lancent-un-plan-d-elimination-de-certains-antibiotiques-dans-l

    Après le cri d’alarme lancé par le CDC américain (Center for Diseases Control) au mois de septembre dernier, les États-Unis ont dévoilé un plan pour éliminer l’usage de certains antibiotiques dans l’élevage. « Nous savons qu’un usage étendu des antibiotiques dans la production animale peut contribuer à la résistance antimicrobienne et que cette résistance à d’importantes conséquences pour la santé publique », a souligné lors d’une conférence de presse téléphonique Michael Taylor, responsable des produits vétérinaires à la FDA (Food and Drug Administration). Et « cette stratégie est un pas important pour répondre à la résistance antimicrobienne », a-t-il affirmé. Certains antibiotiques sont utilisés depuis longtemps dans les aliments et l’eau consommés par les bovins, les (...)

  • FDA to phase out antibiotic use in food animals
    http://www.upi.com/blog/2013/12/11/FDA-to-phase-out-antibiotic-use-in-food-animals/7321386781620

    Dec. 11 (UPI) — The Food and Drug Administration is implementing a plan to phase out the use of antimicrobials, also known as antibiotics, in food production, to prevent resistance to such drugs.

    Antibiotics are used in animal feed or drinking water of animals like cattle, poultry and hogs to help increase their weight without having to eat more food. Some of these antibiotics are useful to humans and their excessive use had led to bacteria and other microbes growing immune to them.

    #à_suivre parce que la #FDA semble trop compter sur la bonne volonté des parties prenantes.

    #résistance_aux_antibiotiques

    • FDA announces finalization of voluntary guidance on antibiotic misuse in livestock industry
      http://switchboard.nrdc.org/blogs/akar/fda_announces_finalization_of.html

      [FDA] doesn’t do much: It’s voluntary. As I have blogged about before, the guidance is voluntary. It asks drug manufacturers to voluntarily stop selling antibiotics to speed up animal growth. The livestock industry accounts for 80% of their antibiotic sales. Do we really think the pharmaceutical industry is going to voluntarily walk away from such a big chunk of its customer base? I don’t see that happening.

      Via @bittman

    • The F.D.A.’s Not-Really-Such-Good-News
      http://www.nytimes.com/2013/12/18/opinion/bittman-the-fdas-not-really-such-good-news.html

      When I asked Representative Louise Slaughter — who happens to be a microbiologist, and is among the few in Congress with both the knowledge and spine to call out the F.D.A. — whether the agency had the authority to ban antibiotics for any use except direct treatment, she barely let me finish my question before exclaiming, “Of course they do.” [...]

      [Drug] companies are O.K. with this new “guidance,” because it’s so benign it won’t affect their bottom lines. In a Wall Street Journal piece, Jeff Simmons, the president of Eli Lilly’s “animal-health division,” was quoted as saying, “We do not see this announcement being a material event.” [...]

      In fact, the worst thing about the new guidelines may be that they’re seen as a first step, and as such rule out a more meaningful one. (Center for a Livable Future’s Martin said to me, “My fear is now we won’t see anything new for a decade.”) It’s bad news masquerading as good news. The F.D.A. is claiming, “We’re controlling the use of antibiotics in animal production!” But it’s more like Congress declaring, “We’re raising the minimum wage!” and then appending “...by 10 cents an hour. And we’ll review the impact of this monumental change in three years!” [...]

      As the Union of Concerned Scientists’ Mellon said to me, “This recommendation involves voluntarily giving up making money in the interest of public safety. Who does that in the United States? No one.”

  • Ordre de cesser la vente de tests #ADN pour 23&Me - 20minutes.ch
    http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Startup-ordonn-e-de-cesser-la-vente-de-tests-ADN-27599549?redirect=mobi

    Tiens, la FDA américaine se réveille et demande à 23&Me de cesser de commercialiser ses kits de tests ADN... La raison ? Leurs conséquences potentielles pour la santé, suite à des résultats de tests faussement positifs ou négatifs qui risquent d’engendrer des traitements prophylactiques coûteux... La mastectomie d’Angelina Jolie a fait école ! Tags : internetactu2net internetactu fing ADN #BigData #algorithme santé

    #santé

  • Monsanto’s Friends in High Places
    http://mises.org/daily/6580/Monsantos-Friends-in-High-Places

    A look at some #Monsanto representatives and their positions in government:

    Suzanne Sechen, worked on Monsanto-funded academic research/A primary reviewer for bovine growth hormone in #FDA

    Linda J. Fisher, VP, lobbyist for Monsanto/Assistant Administrator at #EPA

    Michael Friedman, MD, Sr. VP, GD Searle, subsidiary of Monsanto/Acting Commissioner of FDA

    Marcia Hale, international lobbyist, Monsanto/Assistant to President under President Clinton

    Michael (Mickey) Kantor, director/Secretary of Commerce and US Trade Representative under President Clinton

    William D. Ruckelshaus, director/Head of EPA under both Presidents Nixon and Reagan

    #porte_tournante

  • Essure Sterilization Device Gets Complaints – And Erin Brockovich | TheNotMom
    http://thenotmom.com/essure-sterilization-device-is-getting-complaints-and-erin-brockovich

    But, webpage sections listing “Long-term Risks” and “Adverse Events” don’t mention that persistent or recurrent cramping can occur months or even years after the procedure. Thousands of women are saying that’s what happened to them when coils broke, migrated, or punctured the Fallopian tube.

    The biggest problem is that when Essure gained FDA approval, it earned preemption status, meaning women who experience negative symptoms can’t sue the company that makes it. The actual company that makes it is pharmaceutical giant Bayer. The women want the law changed.

    Enter Erin Brockovich.

    The world was introduced to ballsy and boobsy Erin B. by Julia Roberts’ portrayal of her in a 2000 movie. Since Erin led and won a E Brockovich1993 multimillion-dollar case against Pacific Gas and Electric Company with no formal law training (and had a movie made about her) she’s become one of the best known consumer advocates in the country.

    cc @mad_meg

    #stérilisation #contraception

    • Je viens de comprendre que ce machin est en alliage nickel-titane. Je sais qu’il y a beaucoup de gens qui sont allergiques au #nickel sans trop le savoir. Pour ma part, étant hyperéactive, je n’ose même pas penser à ce que ce truc donnerait dans mon corps. Pourquoi avoir fait un truc qui est implanté définitivement dans le corps en nickel (surtout que selon mon expérience, mon #allergie est acquise suite au perçage des oreilles à 13 ans) ?

      Le pire, c’est que je n’ai trouvé partout que des avis médicaux lénifiants sur la méthode, une unanimité à dire que c’est méga cool et sans risque. Depuis quand il existe des gestes médicaux absolument sans contre-indication et sans risque ? Comment peut-on écrire que le bousin est sans contre-indication pour la stérilisation des femmes alors que la prévalence d’allergie au nickel est de 3% chez les hommes et 17% CHEZ LES FEMMES ?

      "Sulfate de nickel : C’est le premier allergène chez la femme. Il est principalement présent dans les bijoux de fantaisie et dans le métal d’utilisation courante [21] (boutons métalliques, fermetures éclair, pinces, agrafes, pièces de monnaie, outils, etc). Une grande cause d’allergie au nickel
      provient du perçage des oreilles dans l’enfance. Non seulement les boucles d’oreilles mais également les « perceuses » et l’appareil pour percer les oreilles doivent être constitués de métal ne larguant pas de nickel. "

      "Le Centre international de recherche sur le cancer classe le nickel dans les substances possiblement cancérigènes pour l’homme. L’exposition chronique au nickel est un facteur de risque du cancer du poumon, inscrit à ce titre dans les tableaux de maladies professionnelles.
      Le nickel est le plus allergisant de tous les métaux."

    • il semble y avoir pas mal de problèmes avec les implants essure. La contre-indication en cas d’allergie au nickel ne m’a pas été signalée quant on m’a fait la pose.
      voire ceci

      L’allergie au Nickel est une contre-indication à la pose des implants Essure. Le nickel est un métal contenu dans de nombreux alliages. Les allergies au nickel sont repérées au cours de la consultation par l’interrogatoire : les patientes allergiques ont fréquemment des lésions d’eczéma avec les bijoux fantaisie ou le bouton des pantalons. En cas de doute des tests allergologiques pourront être réalisés. L’allergie au nickel avérée fera opter pour un autre mode de stérilisation (cœlioscopie).

      http://www.centre-gynecologie-obstetrique.com/fr/domaines-specialites/id-12-la-sterilisation-essure

      et ici des temoignages de femmes qui nt de violentes douleurs depuis la pose des implants :
      http://www.allodocteurs.fr/question-sante-quelles-sont-les-suites-de-la-sterilisation-par-la-techn

      #allergie

  • Pharmaceutical firms paid to attend meetings of panel that advises FDA
    http://www.washingtonpost.com/business/economy/pharmaceutical-firms-paid-to-attend-meetings-of-panel-that-advises-fda-e-mails-show/2013/10/06/a02a2548-2b80-11e3-b139-029811dbb57f_print.html

    A scientific panel that shaped the federal government’s policy for testing the safety and effectiveness of painkillers was funded by major pharmaceutical companies that paid hundreds of thousands of dollars for the chance to affect the thinking of the Food and Drug Administration, according to hundreds of e-mails obtained by a public records request.

    The e-mails show that the companies paid as much as $25,000 to attend any given meeting of the panel, which had been set up by two academics to provide advice to the FDA on how to weigh the evidence from clinical trials. A leading FDA official later called the group “an essential collaborative effort.”

    Patient advocacy groups said the electronic communications suggest that the regulators had become too close to the companies trying to crack into the $9 billion painkiller market in the United States. FDA officials who regulate painkillers sat on the steering committee of the panel, which met in private, and co-wrote papers with employees of pharmaceutical companies.

    The FDA has been criticized for failing to take precautions that might have averted the epidemic of addiction to prescription drugs including Oxycontin and other opioids.

    “These e-mails help explain the disastrous decisions the FDA’s analgesic division has made over the last 10 years,” said Craig Mayton, the Columbus, Ohio, attorney who made the public records request to the University of Washington. “Instead of protecting the public health, the FDA has been allowing the drug companies to pay for a seat at a small table where all the rules were written.”

    Even as the meetings were taking place, the idea of FDA officials meeting with firms that had paid big money for an invitation raised eyebrows for some. In an e-mail to organizers, an official from the National Institutes of Health worried whether the arrangements made it look as if the private meetings were a “pay to play process.”

    FDA officials did not benefit financially from their participation in the meetings, the agency said. But two later went on to work as pharmaceutical consultants and more than this, the critics said, the e-mails portray an agency that, by allowing itself to get caught up in a panel that seemed to promise influence for money, had blurred the line between the regulators and the regulated.

    In a statement, the FDA said “we take these concerns very seriously.” But, it said, “we are unaware of any improprieties” associated with the group.

    The group was organized by two medical professors, Robert Dworkin of the University of Rochester and Dennis Turk of the University of Washington, and the e-mails for the most part describe their efforts at financing and organizing the group’s meetings.

    The two professors received as much as $50,000 apiece for a meeting, money that went to their academic research accounts and paid for research assistants and expenses “or to cover a small percentage of faculty effort,” they said. At one point in the e-mails, they proposed that they receive honoraria of $5,000 apiece for a four-hour meeting at a hotel near the FDA offices.

    #pharma #big_pharma #corruption #porte_tournante #fda

  • Breeding Bacteria on Factory Farms - NYTimes.com
    http://opinionator.blogs.nytimes.com/2013/07/09/breeding-bacteria-on-factory-farms/?smid=tw-bittman

    La dernière étude en date montrant la dangerosité de l’antibiothérapie préventive dans l’élevage « industriel »

    The latest study concerning antibiotic resistance was published last week in the journal PLoS One. It looked at livestock workers in North Carolina (the nation’s second biggest hog-producing state, after Iowa), including those in what the study’s authors called “industrial” livestock production and those on farms where the animals were raised without antibiotics and grown on pasture. In this study, the S. aureus bacteria with genetic markers most closely linked to livestock were found in far greater numbers in workers on the industrial farms.

    La FDA traîne les pieds pour remédier à cette situation..

    The F.D.A., which is under court order to do something about the routine use of antibiotics, has come up with a lame voluntary reduction scheme — “Guidance 213,” it’s called — acting as if it will save its real regulatory muscle for after this scheme flops. (Which it will — flop, that is.) Worse, despite repeated promises that the voluntary guidelines were imminent, they haven’t issued even those. And now, “Guidance 213 is currently in the clearance process, but we cannot predict a timeline on its release,” an agency spokeswoman wrote me in an e-mail. Period.

    .. et, quelques exceptions mises à part, l’Etat aussi

    That’s simply insulting. Of course, almost no one is pushing the F.D.A. to do its job. There are a handful of people in Congress; certainly some well-meaning NGOs like Pew Charitable Trusts, Natural Resources Defense Council and others; and dedicated individuals like the lawyer Bill Marler. Against them are arrayed not only Big Pharma — which is providing four times as many antibiotics to animals as it is to humans — but industrial ag, which cares only about raising animals “efficiently” and profitably.

    #santé #microbiologie #résistance_aux_antibiotiques #pharma #bigpharma #agroindustrie #lobbying