organization:federal bureau of investigation

  • Protesters are being labeled as domestic terrorist threats, experts worry | McClatchy Washington Bureau
    http://www.mcclatchydc.com/news/nation-world/national/article181358311.html

    But many national security experts say the designation doesn’t describe a movement at all – let alone a terrorism threat; rather, it’s simply a label that allows the #FBI to conduct additional #surveillance on “basically anyone who’s black and politically active,” according to Michael German, who left the FBI in 2004 and did undercover domestic terrorism work.

    Critics are concerned that increasingly, it appears to be minorities and environmental protesters who are being targeted.

    #terrorisme #minorités #dissidents

  • Crise des opiacés aux Etats-Unis : un patron poursuivi pour escroquerie
    http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2017/10/30/crise-des-opiaces-aux-etats-unis-le-patron-d-un-laboratoire-poursuiv

    L’affaire fait grand bruit aux Etats-Unis, où les overdoses ont fait près de 64 000 morts en 2016, selon les chiffres publiés par le Center for Disease Control (CDC) et analysés par le New York Times. Les opiacés sont les substances les plus mortelles avec 20 000 décès attribuables au fentanyl, 15 000 à l’héroïne et 14 000 aux médicaments sur ordonnance, dont le Subsys.

    Selon les autorités, les prescriptions pour ces antalgiques très addictifs ont quadruplé au cours de la décennie, tout comme les overdoses. Cette augmentation spectaculaire s’est répliquée sur toutes les catégories d’opiacés, les consommateurs basculant fréquemment des médicaments aux drogues illégales. Une étude publiée en 2014 révèle ainsi que trois quarts des consommateurs d’héroïne ont d’abord été accros aux médicaments.

    Insys a été l’un des premiers bénéficiaires de cette « épidémie ». Son Subsys, un spray sublingual à base de fentanyl, a été autorisé par la FDA, l’agence de santé américaine, en 2012. Malgré son coût – un mois de traitement coûte jusqu’à 20 000 dollars (17 215 euros) –, le médicament a connu un succès immédiat : selon le rapport annuel de la société, les ventes ont connu un pic à 330 millions dollars en 2015, avec une marge supérieure à 90 %. Le vent a commencé à tourner en 2016, avec les premières révélations sur les conditions de prescription du Subsys : les ventes ont chuté de 26 % et l’année s’est achevée par l’arrestation à Boston de six dirigeants de l’entreprise.

    Mais pas d’inquiétude, le patron est libre après avoir payé une caution ridicule en regard des bénéfices engrangés.

    « Ils ne valent pas mieux que des dealers de rue », a estimé un agent du FBI qui a participé à l’enquête. « Ces accusations représentent une étape importante dans la prise de conscience de la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques dans la crise des opiacés. Le FBI enquêtera sans relâche sur les organisations corrompues dont les pratiques commerciales encouragent la fraude au mépris de la sécurité des patients », a poursuivi le policier. Arrêté à Phoenix et entendu par une cour fédérale, John Kapoor a pu repartir libre moyennant une caution d’un million de dollars. Son passeport a été confisqué.

    #Opioides #Subsys #Big_pharma #Voyoucratie

  • Assassinat de Kennedy : ce qu’on a appris par les documents déclassifiés
    http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/10/27/assassinat-de-kennedy-ce-qu-on-a-appris-dans-les-documents-declassifies_5207

    La lecture des dizaines de milliers de pages rendues publiques prendra des mois. Mais personne ne s’attend à y découvrir une révélation incroyable à propos du 22 novembre 1963.

    d’autant plus que,

    Conformément à une loi signée en 1992 (en réponse à la sortie du film JFK, d’Oliver Stone), le gouvernement américain s’était engagé à rendre publics 3 100 documents d’ici au 26 octobre. La date fatidique étant arrivée, Washington s’est exécuté, mais en décidant, à la dernière minute, de retenir la publication de plusieurs centaines de documents contenant de l’information « qui reste sensible, en fonction du contexte ». Le président, Donald Trump, s’est résolu à bloquer leur diffusion, sur le conseil de la CIA et du FBI, évoquant le risque de « dégâts potentiellement irréversibles pour la sécurité nationale ». Une nouvelle décision quant à leur publication devra être prise le 26 avril 2018.

  • affordance.info : J’ai passé 10 ans dans Facebook. Ses conditions (générales d’utilisation) sont devenues constitution(elles).
    http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2017/10/10-ans-facebook.html
    http://www.affordance.info/.a/6a00d8341c622e53ef01bb09cb3ddb970d-600wi

    De fait ce jugement (me) pose un problème. Un problème lié à la nature de Facebook qui n’est pas un espace public, pas davantage qu’il n’est « internet » ou « le cyberespace » autrement que métonymiquement et donc abusivement en droit. Naturellement je ne suis ni juge ni même juriste et je me garderai donc bien de formuler un avis argumenté sur la cas de Mr Packingham. D’autant qu’en l’espèce, le débat est rendu profondément polémique et complexe puisqu’il mobilise l’horizon sociétal et le tabou presqu’absolu de la pédophilie - tout comme l’affaire Apple VS FBI était rendue complexe par l’horizon sociétal du terrorisme.

    Mais il n’en demeure pas moins que ce cas met en lumière le noeud gordien qui survient lorsque la garantie d’une liberté publique (droit à l’information et liberté d’expression) devient soumise, subordonnée ou conditionnée au droit de se connecter à ... une plateforme commerciale privée que ni son omniprésence dans les usages, ni ses parts de marché ne suffisent ou ne permettent de caractériser, en droit, comme un bien et un lieu commun et donc, par extension, comme une liberté fondamentale. Sauf à considérer comme équivalents en termes de libertés publiques, le droit de se connecter à internet et celui de s’inscrire sur Facebook. Ce qui, de mon point de vue, est une erreur fondamentale.

    Cet entre-deux, cette indétermination, ce flou entretenu est tout sauf neutre ou anecdotique dans un pays qui, parallèlement à cela, envisage tout à fait sérieusement de demander aux immigrants leur passeport Facebook ou à tout le moins leurs identifiants sur « les réseaux sociaux » et plus globalement dans un monde où la question de la documentation et des individus « sans-documents » restera absolument centrale d’un point de vue politique. Or pour qu’une telle mesure puisse être considérée comme légitime, encore faut-il que l’on considère les espaces subordonnés à ces identifiants comme relevant de la sphère publique au même titre que les informations figurant sur un passeport ou une carte d’identité classique, question de cohérence. Cohérence qui vient donc d’être renforcée par la décision de la Cour Suprême.

    Aux Etats-Unis aujourd’hui, chaque part conquise de liberté d’expression est une promesse acquise de nouveaux contrôles remis entre les mains d’acteurs privés, légitimés en droit par un Etat qu’ils ont pourtant vocation à dépasser en s’en accaparant les missions sans en accepter les charges, la redevabilité ou même la loyauté.

  • Procès Merah : les déficiences du « FBI à la française »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/221017/proces-merah-les-deficiences-du-fbi-la-francaise

    Bernard Squarcini, ancien patron de la #DCRI © Reuters Entendu comme témoin par le tribunal de Paris, #Bernard_Squarcini, l’ancien patron de la DCRI, s’est dédouané de tout raté dans l’enquête Merah. Des propos en complète contradiction avec ceux de ses subordonnés. Au-delà des petits arrangements avec la vérité d’un réputé « grand flic », ces auditions révèlent en creux les problèmes structurels du service de contre-espionnage français.

    #France #Abdelkader_Merah #DGSI #Mohamed_Merah #Nicolas_Sarkozy

  • Procès Merah : autopsie du « FBI à la française »
    https://www.mediapart.fr/journal/france/221017/proces-merah-autopsie-du-fbi-la-francaise

    Bernard Squarcini, ancien patron de la #DCRI © Reuters Entendu comme témoin, #Bernard_Squarcini, l’ancien patron de la DCRI, s’est dédouané de tout raté dans l’enquête Merah. Des propos en complète contradiction avec ceux de ses subordonnés. Au-delà des petits arrangements avec la vérité d’un réputé « grand flic », ces auditions révèlent en creux les problèmes structurels du service de contre-espionnage français.

    #France #Abdelkader_Merah #DGSI #Mohamed_Merah #Nicolas_Sarkozy

  • ‘Black Identity Extremists’ and the Dark Side of the FBI | The Marshall Project
    https://www.themarshallproject.org/2017/10/17/black-identity-extremists-and-the-dark-side-of-the-fbi
    https://d1n0c1ufntxbvh.cloudfront.net/photo/6b1980b4/26872/1200x

    Recent political developments have helped put the FBI in a favorable light. The agency and its leadership have been praised for its performance throughout the investigation into alleged Russian interference in the 2016 presidential election. Former director James Comey affirmed the agency’s fundamental goodness in a letter to his colleagues after he was relieved of his post President Trump.

    “I have said to you before that, in times of turbulence, the American people should see the FBI as a rock of competence, honesty, and independence,” wrote Comey. “It is very hard to leave a group of people who are committed only to doing the right thing.”

    While Comey might only have good things to say about the FBI, newly leaked documents suggest he shouldn’t. Despite the agency’s new, upstanding image, it might be back to its Hoover-era dirty tricks—if it ever really departed from them.

    Foreign Policy reported recently on the existence of a document that circulated within the FBI’s counterterrorism division. Just nine days before the deadly white supremacist rally in Charlottesville, it named a major threat to public safety: not organized white nationalists, but “black identity extremists.”

  • Documenting U.S. Role in Democracy’s Fall and Dictator’s Rise in Chile - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/10/14/world/americas/chile-coup-cia-museum.html

    “To see on a piece of paper, for example, the president of the United States ordering the #C.I.A. to preemptively overthrow a democratically elected president in Chile is stunning,” Mr. Kornbluh said. “The importance of having these documents in the museum is for the new generations of Chileans to actually see them.”

    #Chili #dictatures #démocraties #Etats-Unis #Kissinger #Nixon #Pinochet #assassinats

    “Secretos de Estado” : Museo de la Memoria y los Derechos Humanos
    https://ww3.museodelamemoria.cl/exposiciones/secretos-de-estado-la-historia-desclasificada-de-la-dictadura-c

    En esta exposición “Secretos de Estado. La historia desclasificada de la dictadura chilena” Peter Kornbluh —investigador que ha jugado un rol fundamental en la campaña para desclasificar 23.000 archivos de la CIA, NSC, FBI, Casa Blanca y el Departamento de Defensa del Estado— se muestran una serie de documentos desclasificados que nos permiten entender la historia secreta del golpe de Estado y la dictadura chilena junto al apoyo que entregó EEUU, tanto a la Junta Militar como a medios de comunicación. Los documentos también dan luz a la represión estatal, la Operación #Condor y los esfuerzos encubiertos de Pinochet para sostenerlo en poder cuando ganó el “NO” en el plebiscito de 1988.

  • Quand Le Monde vire complotiste Le vilain petit canard - Ph. Huysmans - 30 September 2017

    Le Monde, journal de révérence, accessoirement deuxième titre de la presse française derrière le gorafi figaro, se fendait hier d’un article http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/09/29/washington-rappelle-ses-diplomates-a-cuba-ou-un-mysterieux-mal-touche-son-am pour le moins croquignolet. Dans un monde où l’on fait engager un conseiller scientifique auprès du gouvernement pour le seul plaisir de faire censurer [1] le blog d’une voix dissidente, où les journalistes du Monde, précisément, s’érigent en censeurs et en arbitres des élégances pour décréter qui peut être lu et qui doit être mis à l’index ; c’est plutôt savoureux, et j’imagine que dans leur infinie candeur, ils n’ont pas réalisé de quel côté de la ligne ils se trouvaient.

    L’article, intitulé « Washington rappelle ses diplomates à Cuba, touchés par un mal mystérieux » est la parfaite illustration d’un délire complotiste. On ne sait pas quoi, on ne sait pas qui, on ne sait ni pourquoi ni comment, mais ce sont les Cubains ! À moins que ce ne soient les Russes ? Ou les Vénézuéliens : c’est vicieux, le Vénézuélien ! Et comme ils ne sont qu’à 500 kilomètres...`

    Le complot (attachez vos ceintures, c’est du lourd)

    L’intrigue semble tirée des plus grands romans d’espionnage. Vingt et un employés de l’ambassade des Etats-Unis à La Havane ont été atteints d’un mal mystérieux, qui aurait débuté à la fin de 2016, se caractérisant par des maux de tête, des nausées ou encore des étourdissements. Un phénomène qui inquiète Washington, au point que le département d’Etat américain a rappelé, vendredi 29 septembre, « plus de la moitié » des diplomates américains en poste à La Havane.

    Evoquant des « attaques » ciblant la santé du personnel de l’ambassade, perpétré dans des résidences diplomatiques mais aussi dans des « hôtels fréquentés par des citoyens américains », le secrétariat d’Etat américain, Rex Tillerson, a expliqué que le personnel non essentiel et toutes les familles des employés seront rapatriés. (...)

    Car le mystère ne désépaissit pas. Malgré une enquête menée par le FBI, la police canadienne et les autorités cubaines, l’énigmatique mal, révélé seulement au mois d’août, reste inexpliqué. « Nous ne connaissons ni les objectifs, ni les méthodes, ni le mode opératoire de ces attaques », a répété vendredi le haut responsable du département d’Etat, qui a fait savoir que cinq familles canadiennes sont également concernées. (...)

    Par le passé, des rapports avaient évoqué la piste d’une attaque sonique, notamment à travers des « vagues d’ultrasons » qui auraient provoqué des lésions auditives. Une hypothèse que n’a pas confirmée le département d’Etat vendredi.

    Preuve que l’énigme est loin d’être résolue, l’embarras est flagrant lorsqu’il s’agit de qualifier ces « attaques ». Le département d’Etat parlait jusque-là d’« incidents » ayant provoqué plusieurs « symptômes », et Rex Tillerson avait évoqué des « attaques contre l’intégrité physique » des diplomates. L’administration américaine s’en est tenue vendredi à dénoncer des « attaques précises », « ciblées » mais d’« une nature inconnue ». (...)

    Les auteurs des « attaques », « quels qu’ils soient, tentent clairement de saper le processus de normalisation entre les Etats-Unis et Cuba », a estimé vendredi le sénateur démocrate américain Patrick Leahy

    Tout d’abord, il est amusant de noter scrupuleusement le nombre de circonvolutions et de formules alambiquées utilisées pour que nous puissions bien nous pénétrer du caractère totalement incroyable (voire abracadabrant) de l’histoire, dont le fond devrait pourtant être vrai puisque les Américains le prétendent, et que Le Monde en a fait un article ! On insiste aussi sur l’aspect mystérieux , ce qui présente l’avantage de masquer l’ indigence de l’argumentaire derrière une façade romanesque .

    Dissection du bobard ( Voir l’article, c’est un tableau )
    https://levilainpetitcanard.be/articles/breves/quand-le-monde-vire-complotiste_1600017015

    Quand la théorie du complot devient une information
    Vous aurez noté que si c’était le gouvernement russe qui avait fait état « d’attaques » contre son personnel consulaire ou diplomatique à Washington, le même quotidien de révérence aurait immédiatement hurlé au conspirationnisme, et décrété que c’était une fausse nouvelle, une fake niouze. Étrangement, quand ce sont les Américains qui profèrent ce genre d’élucubrations sans aucun fondement, ça ne fait rire personne ? Au contraire, l’AFP en fait une dépêche... Et Le Monde en fait un article.

    Un peu de bon sens, svp
    Si ces pauvres vacanciers du bout du monde étaient en effet victimes de sournoises « attaques soniques » depuis 2016, vous ne pensez pas que la CIA se serait rendue sur place, équipée de matériel super high tech capable de détecter ces ondes maléfiques ? Un micro, quoi, couplé à un petit dispositif capable d’enregistrer ou de visualiser les ondes sonores sur une bande de fréquence donnée, pas forcément audibles pour un être humain incapable de percevoir les sons au-delà de 20 Khz.

    On avait déjà cru comprendre que le nouveau président américain, pour qui le respect des accords internationaux n’engage que les imbéciles qui les ont signés, voulait revenir tant sur les accords bilatéraux avec Cuba que sur l’accord iranien. Du coup, la déclaration du sénateur démocrate américain Patrick Leahy pourrait bien faire sens.
    _ Les auteurs des « attaques », quels qu’ils soient, tentent clairement de saper le processus de normalisation entre les Etats-Unis et Cuba.

    On ne saurait mieux dire.

    [1] * Le 26 septembre dernier, OpenEdition, dont le co-fondateur Marin Dacos se trouve avoir été nommé conseiller scientifique pour la science ouverte auprès d’Alain Beretz éjectait Jacques Sapir de sa plateforme de blogs (hypothèses.org) sous un prétexte spécieux.

    #le_monde #médias #merdias #média_mensoge #Cuba #censure

  • “You have the way out”
    Recordings Capture Brutal FBI Tactics to Recruit a Potential Informant
    https://theintercept.com/2017/10/10/recordings-capture-brutal-fbi-tactics-to-recruit-potential-informant

    For two years, the FBI has followed and harassed Refaie as part of an apparent effort to recruit him to become an informant or cooperate in some way with counterterrorism investigations. The FBI has more than 15,000 informants today, many working because they have been coerced or threatened by criminal prosecution or immigration enforcement. Classified FBI policy documents published by The Intercept in January revealed the often heavy-handed methods used by the government to recruit informants, including so-called threat assessments as “a means to induce him/her into becoming a recruited [informant] mainly through identifying that person’s motivations and vulnerabilities.” What’s unique about Refaie’s interactions with the FBI is that he recorded and documented the conversations and events that led to his indictment. The FBI did not respond to a request for comment or a list of questions about Refaie’s case.

    #contrôle

  • [Forum] | Trump : A Resister’s Guide | Harper’s Magazine - Part 11
    https://harpers.org/archive/2017/02/trump-a-resisters-guide/11

    y Kate Crawford

    Dear Technologists:

    For the past decade, you’ve told us that your products will change the world, and indeed they have. We carry tiny networked computers with us everywhere, we control “smart” home appliances at a remove, we communicate with our friends and family over online platforms, and now we are all part of the vast Muslim registry known as Facebook. Almost 80 percent of American internet users belong to the social network, and many of them happily offer up their religious affiliation. The faith of those who don’t, too, can be easily deduced with a little data-science magic; in 2013, a Cambridge University study accurately detected Muslims 82 percent of the time, using only their Facebook likes. The industry has only become better at individual targeting since then.

    You’ve created simple, elegant tools that allow us to disseminate news in real time. Twitter, for example, is very good at this. It’s also a prodigious disinformation machine. Trolls, fake news, and hate speech thrived on the platform during the presidential campaign, and they show few signs of disappearing now. Twitter has likewise made it easier to efficiently map the networks of activists and political dissenters. For every proud hashtag — #BlackLivesMatter, #ShoutYourAbortion, the anti-deportation campaign #Not1More — there are data sets that reveal the identities of the “influencers” and “joiners” and offer a means of tracking, harassing, and silencing them.

    You may intend to resist, but some requests will leave little room for refusal. Last year, the U.S. government forced Yahoo to scan all its customers’ incoming emails, allegedly to find a set of characters that were related to terrorist activity. Tracking emails is just the beginning, of course, and the FBI knows it. The most important encryption case to date hinged on the FBI’s demand that Apple create a bespoke operating system that would allow the government to intentionally undermine user security whenever it impeded an investigation. Apple won the fight, but that was when Obama was in office. Trump’s regime may pressure the technology sector to create back doors in all its products, widen surveillance, and weaken the security of every networked phone, vehicle, and thermostat.

    There is precedent for technology companies assisting authoritarian regimes. In 1880, after watching a train conductor punch tickets, Herman Hollerith, a young employee of the U.S. Census Bureau, was inspired to design a punch-card system to catalogue human traits. The Hollerith Machine was used in the 1890 census to tabulate markers such as race, literacy level, gender, and country of origin. During the 1930s, the Third Reich used the same system, under the direction of a German subsidiary of International Business Machines, to identify Jews and other ethnic groups. Thomas J. Watson, IBM’s first president, received a medal from Hitler for his services. As Edwin Black recounts in IBM and the Holocaust, there was both profit and glory to be had in providing the computational services for rounding up the state’s undesirables. Within the decade, IBM served as the information subcontractor for the U.S. government’s Japanese-internment camps.

    You, the software engineers and leaders of technology companies, face an enormous responsibility. You know better than anyone how best to protect the millions who have entrusted you with their data, and your knowledge gives you real power as civic actors. If you want to transform the world for the better, here is your moment. Inquire about how a platform will be used. Encrypt as much as you can. Oppose the type of data analysis that predicts people’s orientation, religion, and political preferences if they did not willingly offer that information. Reduce the quantity of personal information that is kept. And when the unreasonable demands come, the demands that would put activists, lawyers, journalists, and entire communities at risk, resist wherever you can. History also keeps a file.

    #Silicon_valley #Fichage #Médias_sociaux #Chiffrement #Ethique

  • The FBI’s New U.S. Terrorist Threat : ‘Black Identity Extremists’ – Foreign Policy
    http://foreignpolicy.com/2017/10/06/the-fbi-has-identified-a-new-domestic-terrorist-threat-and-its-black-

    As white supremacists prepared to descend on Charlottesville, Virginia, in August, the FBI warned about a new movement that was violent, growing, and racially motivated. Only it wasn’t white supremacists; it was “black identity extremists.”

    Amid a rancorous debate over whether the Trump administration has downplayed the threat posed by white supremacist groups, the FBI’s counterterrorism division has declared that black identity extremists pose a growing threat of premeditated violence against law enforcement.

    #Etats-Unis #sans_vergogne #terrorisme

  • What the FBI’s #surveillance of Martin Luther King says about modern spying.
    http://www.slate.com/articles/technology/future_tense/2016/01/what_the_fbi_s_surveillance_of_martin_luther_king_says_about_modern_spying.ht

    There is a myth in this country that in a world where everyone is watched, everyone is watched equally. It’s as if an old and racist J. Edgar Hoover has been replaced by the race-blind magic of computers, mathematicians, and Big Data. The truth is more uncomfortable. Across our history and to this day, people of color have been the disproportionate victims of unjust surveillance; Hoover was no aberration.

  • SRLP Announces Non-Support of The Gender Employment Non-Discrimination Act.

    In a recent letter sent to the GENDA coalition, SRLP, FIERCE, ALP, The Peter Cicchino Youth Project, and Queers for Economic Justice have jointly expressed our concerns with the problematic hate crimes legislation that has been attached to the Gender Employment Non-Discrimination Act.
    https://srlp.org/genda

    If a particular crime is deemed a hate crime by the state, the supposed perpetrator is automatically subject to a higher mandatory minimum sentence. For example, a crime that would carry a sentence of five years can be “enhanced” to eight years. As GENDA is currently written, if passed it would further expand this law, providing additional grounds for penalty enhancement.

    As a nation, we lock up more people per capita than any other country in the world; one in one hundred adults are behind bars in the U.S. Our penalties are harsher and sentences longer than they are anywhere else on the planet, and hate crime laws with sentencing enhancements make them harsher and longer. By supporting longer periods of incarceration and putting a more threatening weapon in the state’s hands, this kind of legislation places an enormous amount of faith in our deeply flawed, transphobic, and racist criminal legal system. The application of this increased power and extended punishment is entirely at to the discretion of a system riddled with prejudice, institutional bias, economic motives, and corruption.

    Trans people, people of color, and other marginalized groups are disproportionately incarcerated to an overwhelming degree. Trans and gender non-conforming people, particularly trans women of color, are regularly profiled and falsely arrested for doing nothing more than walking down the street. Almost 95% of the people locked up on Riker’s Island are black or Latin@. Many of us have been arrested ourselves or seen our friends, members, clients, colleagues, and lovers arrested, often when they themselves were the victims of a violent attack.

    Once arrested, the degree of violence, abuse, humiliation, rape, and denial of needed medical care that our communities confront behind bars is truly shocking, and at times fatal. In popular conception, hate crime laws were enacted to protect oppressed minorities against bigots who would seek to terrorize a community through violent crime: racist lynchings, gay-bashing, anti-Semitic violence, and so forth. Unfortunately, the popular imagining of the operation of hate crime laws does not bear out in reality. Hate crime laws do not distinguish between oppressed groups and groups with social and institutional power.

    Compared to white men, Black men are disproportionately arrested for race-based hate crimes. The second-largest category of race-based hate crimes tracked by the FBI is crimes committed against white people. Every year, the FBI reports a number of so-called “anti-heterosexual” hate crimes—incidents where members of the LGBT community have been prosecuted for supposedly targeting straight people with criminal acts.

    If GENDA is passed with the hate crime component intact, trans people could be subject to “enhanced penalties” for crimes against non-trans people. The possibility of hate crime charges could arise in any dispute that involves gender identity or expression. In the case of the “New Jersey 4,” a group of young queer women of color were incarcerated for defending themselves against the homophobic attacks and slurs of a straight man, who accused them of committing a “hate crime” against him. It is all too easy for a prejudice-motivated attack to become a fight for survival, and for a fight to be turned against oppressed communities.

    There might be some cold comfort in “enhanced sentencing” if it actually benefited our communities in any way. Unfortunately, the harsher penalties of hate crime laws have not been shown to prevent or deter hate crimes. It is hard to imagine that someone moved to brutally attack a trans person would pause to consider that they might get a longer sentence. In fact, there is some evidence that longer sentences actually increase the chance that an incarcerated person will repeat a crime after they are released. Incarceration does nothing to address the root reasons why someone was violent or hateful; it only plunges them into deeper poverty, further isolates them from their community, and subjects them to further violence and trauma.

  • Juggalo March on Washington - Sept 16th, 2017
    http://www.juggalomarch.com

    This march is a serious, peaceful public demonstration, organized for one purpose — to deliver a message to the world showing how Juggalos have been unfairly stigmatized and discriminated against simply for identifying as being part of a particular music-based subculture.

    https://www.youtube.com/watch?v=yTNLtTOLCuw

    #répression #musique

    après les #écoterroristes (#ecoterrorisme) les #États-Unis ont donc inventé les #musicoterroristes

    A juggalo (feminine juggalette, or juggala in Spanish) is a fan of the group Insane Clown Posse or any other Psychopathic Records hip hop group.

    => loi sur les #gangs @intempestive @supergeante

    The People
    http://www.juggalomarch.com/the-people

    These men and women have personally been affected by the gang label and their stories will shock you. Ask any Juggalo and they’ll tell you … “We’re not a gang. We’re a family!”

    #portraits

  • Procés claude hermant à Lille, 13 & 14 Septembre.

    Un colonel de gendarmerie décrypte la gestion des « indics » devant le tribunal de Lille 13 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/217326/article/2017-09-13/un-colonel-de-gendarmerie-decrypte-la-gestion-des-indics-devant-le-trib

    Soupçonné d’avoir importé des centaines d’armes de guerre, Claude Hermant, ancien animateur du lieu de vie identitaire La Maison flamande, face à ses juges depuis lundi, assure avoir agi en tant qu’informateur de la gendarmerie. Celle-ci jure que non. Devant le tribunal, un colonel de la section de recherche de Lille s’est acharné, ce mercredi matin, à dynamiter sa version.

    L’homme est raide dans son costume gris. Le cheveu coupé en brosse et le ton martial, le colonel X. rappelle l’histoire des indics. Soulignant que Vidocq, grand flic originaire du Nord, en était friand. Puis la loi, toute la loi, rien que la loi. La loi Perben II du 13 mars 2004 autorise et encadre l’utilisation des « aviseurs » par les services d’enquête. Sur le plan plus local, le colonel X. est formel. La section de recherche (SR) du Nord-Pas-de-Calais, qu’il dirige depuis 2014, a toujours respecté ce cadre, y compris les circulaires affinant son application. Interpellé pour avoir importé des armes de Slovaquie, soupçonné d’en avoir fourni de grandes quantités à un Roubaisien censé alimenter des réseaux de gangsters, Claude Hermant, 54 ans, assure avoir agi en concertation avec des gendarmes de la SR de Lille.

    Le chef de ce service est, lui, formel. Les directives gendarmerie interdisent de nombreuses actions. Comme l’infiltration, la provocation à la commission d’infractions ou la non-dénonciation de délits et de crimes. « La SR de Lille applique scrupuleusement les directives de la direction centrale, martèle le colonel X. J’ai déjà personnellement lancé des procédures judiciaires contre des sources, y compris de mes propres services, car elles avaient commis des infractions. »

    Le cas spécifique Claude Hermant ? L’officier admet que la figure de l’ultradroite lilloise a été recrutée par son service en mars 2013. Le patron du snack lillois la Frite Rit sera finalement définitivement radié le 3 avril 2015. « J’ai fait le choix de le désinscrire de la liste des sources et de le blacklister, complète le colonel X. J’ai également personnellement appuyé la demande de déclassification des rapports concernant Hermant. » Et d’insister sur le cadre réglementaire : chaque rencontre avec un « indic » est suivie d’un rapport. « M. Hermant a fait l’objet de douze échanges, suivis de douze compte rendus, martèle l’officier. Ils ont tous été déclassifiés. » Si Claude Hermant, fiché S, a trafiqué des armes, ce n’est pas avec l’aval, y compris occulte, de gendarmes espérant ainsi faire tomber des groupes mafieux. Certainement pas.

    Deux bémols cependant soulevés par le président Marc Trevidic. Les rapports déclassifiés comportent souvent des parties largement noircies avant livraison aux juges d’instruction. Il existe visiblement un fichier national des sources blacklistées. Et ce afin d’éviter qu’un service d’enquête récupère un aviseur considéré comme peu fiable par un autre. Selon les débats, la douane est censée avoir blacklisté Claude Hermant en 2012. Cela n’a pas empêché la gendarmerie de le recruter un an plus tard. Emmanuel Riglaire, avocat d’un douanier poursuivi dans ce dossier, rappelle que Claude Hermant n’a pas été blacklisté par la douane.

    Trois enquêteurs de la SR de Lille doivent être entendus ce mercredi par le tribunal. À huis clos.

    Des gendarmes sérieusement malmenés à l’audience 13 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/217675/article/2017-09-13/des-gendarmes-serieusement-malmenes-l-audience

    En ce troisième jour du procès Hermant, trois gendarmes étaient invités à témoigner. Les enquêteurs ont été les agents traitants de la figure de l’ultra-droite régionale recrutée comme indicateur. Au même moment, Hermant importait des d’armes de guerre. Un très mauvais moment face aux juges…

    Ancien animateur du lieu de vie identitaire La Maison flamande, Claude Hermant assure avoir importé des armes de guerre démilitarisées entre 2013 et 2015. L’arsenal provient des stocks d’AFG, une société slovaque. Depuis son interpellation, en janvier 2015, Hermant revendique une couverture offerte par la gendarmerie. Mis en cause dès l’arrestation d’Hermant, les gendarmes jurent n’avoir jamais autorisé une telle activité à « Claude », comme l’appelle l’un des trois militaires convoqués à la barre.

    Hermant a été recruté comme indicateur de gendarmerie en 2013. En 2014, la section de recherche démantèle un trafic d’armes. Nom de code du dossier : « Armes 62 ». Le patron du snack lillois la Frite rit les aide également à faire tomber un trafic de cannabis indoor.

    Une bonne recrue, Hermant ? Fait troublant, à la barre, deux militaires se souviennent avoir entendu le suspect citer le nom d’AFG en février 2014. Le colosse leur expliquera également que des « gens des quartiers cherchent comment s’approvisionner en armes ». Enfin, les militaires rapportent un épisode où Hermant leur a exhibé une arme présentée comme « démilitarisée », mais facile à remettre en état. Pour le premier militaire, il s’agit d’un « pistolet ». Pour l’autre, d’un « petit pistolet-mitrailleur ». Tout ça un an avant que n’éclate l’affaire Hermant.

    Les avocats de la défense peuvent se mettre à hurler. « Et à ce moment-là, vous ne vous dites pas, au moins, qu’Hermant peut être l’organisateur ? », s’emporte Cherifa Benmouffok. « Nous travaillons alors sur le dossier Armes 62 », riposte l’enquêteur. Hasard du calendrier, dans cette affaire, quatre personnes ont été condamnées mardi à Lille.

    Défenseur de Claude Hermant, Maxime Moulin pose, lui aussi, le doigt partout où ça fait mal. Les contradictions, les oublis, les erreurs, les mélanges de détails, les incohérences. Et, avec ces trois militaires, il y en a beaucoup. Dans le box, Hermant peut ricaner. Lui qui assure avoir été lâché après les attentats de Paris en 2015.

    L’un des trois gendarmes a connu Hermant par l’intermédiaire d’un douanier. Poursuivi lui aussi, ce fonctionnaire est assis juste derrière le militaire. Ce dernier lance un œil dans le prétoire et annonce : « Je ne vois pas, ici, l’homme qui m’a présenté Hermant. » L’arme que le principal suspect a un jour montré aux enquêteurs ? « Je pensais qu’Hermant voulait la recycler pour le paintball », explique le témoin. Stupeur dans la salle… Et quelques beaux moments de malaise.

    Après les gendarmes « fusillés », le douanier « crucifié » 14 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/218153/article/2017-09-14/apres-les-gendarmes-fusilles-le-douanier-crucifie

    Ce mercredi, trois gendarmes venus témoigner au procès Hermant sont repartis secoués. Leur gestion d’une « source » nommée Hermant, a été décriée par plus d’un avocat. Ce jeudi, le douanier ayant présenté le leader de l’ultra-droite aux militaires a subi un sort analogue. Le peloton d’exécution étant fourni par le parquet.

    La scène est un classique des séries TV américaines. Le FBI planque une caméra pour confondre des gangsters récupérant des matières illégales. Dans la vraie vie, ici : la cible du piège est un douanier. Le cinéaste amateur ? Un « aviseur ». En clair, un indic nommé Claude Hermant. En 2013, cet ex-animateur du lieu de vie identitaire Maison flamande invite l’officier de renseignement. « Je m’en méfiais, assure aujourd’hui Hermant. Il me demandait de prendre de plus en plus de risques. »

    Le leader de l’ultra-droite lilloise planque alors une caméra dans une boîte estampillée Dora l’exploratrice et, à l’arrivée de S. L., 42 ans aujourd’hui, pose une Kalachnikov sur la table. La vidéo dépeint le douanier manipulant largement le joujou.

    Aujourd’hui, S. L. est poursuivi pour avoir acquis une Kalachnikov « à titre personnel ». Il s’est même rendu chez les enquêteurs de la PJ de Lille pour l’admettre. Au président Marc Trevidic, cet homme, maintenant en arrêt maladie pour « burn-out », explique n’avoir jamais acheté d’armes, mais avoir subi des pressions de la part de sa hiérarchie pour passer aux aveux. Pas le choix, la PJ aurait en main une vidéo présentant cet achat.

    Dorénavant, et sans image crédible au dossier, rétropédalage à la barre. Comme le glissait lundi l’avocate Cherifa Benmouffok, un parfum de barbouzerie flotte sur le prétoire. En 2012, la douane écarte Claude Hermant de sa liste d’aviseurs. S. L. le présente alors à la gendarmerie. Tout en continuant de travailler avec lui. Hermant, « source » chez les militaires, « correspondant » pour un douanier désormais défendu par Emmanuel Riglaire.

    Sur leur perchoir, les procureurs Cyndra Celino et Jean-Philippe Navarre remontent leurs manches. S’ils ont été compréhensifs avec les gendarmes, ces deux-là seront sans pitié avec S. L. Il veut se reconvertir dans la formation de douaniers ? Les magistrats l’interrogent sur… la déontologie. Seuls les douaniers professionnels sont autorisés à pratiquer des infiltrations.

    Et, à la barre, S. L. décrit comment il a noyauté un trafic de tabac à chicha à Anvers. Dans le rôle du cheval de Troie : Claude Hermant, maintenant soupçonné d’avoir importé des armes par centaines. Le président Trevidic part alors dans une longue mise en garde sur les dérapages, s’attardant lourdement sur les récentes affaires de douaniers ripoux. Malaise… Sauf pour un acteur majeur. Claude Hermant semble le seul à tenir debout sur cette toile d’araignée où plus d’un paraît s’engluer.

    Christophe, l’homme parti lui-même acheter ses armes de guerre 14 Septembre
    http://www.lavoixdunord.fr/218188/article/2017-09-14/christophe-l-homme-parti-lui-meme-acheter-ses-armes-de-guerre

    Christophe D. a, un temps, travaillé à la Frite rit de Claude Hermant. Finalement en froid avec la grande gueule de l’ultra-droite régionale, cette armoire à glace a pris sa voiture pour, lui-même, acheter des armes de guerre en Slovaquie. Quelques semaines à peine après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher.

    Quand il croise les mains dans le dos, le public peut se poser une question très simple. Comment la police parvient-elle à menotter ce prévenu dans le dos ? Entre des bras ultra-musculeux et des trapèzes hypertrophiés, la manœuvre semble impossible. Avec Claude Hermant, cinquante-quatre ans, et Samir L., un Roubaisien de trente-deux ans, Christophe D. est le troisième prévenu du dossier Hermant à être en détention provisoire. Sept autres comparaissent libres. Cet ancien videur de cinquante et un ans a été interpellé le 10 juin 2016 à sa descente d’avion. Le Lillois arrivait de République Tchèque, où il venait de passer quatorze mois… en prison.

    Comme d’autres acteurs de ce dossier tentaculaire, Christophe D. a, un temps, travaillé à la Frite rit, rue Solferino. Ce snack où Claude Hermant est soupçonné d’avoir stocké des armes de guerre venues d’Europe de l’Est. L’ancien responsable du lieu de vie identitaire la Maison flamande est suspecté d’avoir inondé la pègre sous un arsenal allant de 150 à 250 armes. Christophe D., crâne rasé à la barre, fricote avec une tête de l’extrême droite qu’il accusera finalement de l’avoir « exploité ». Dans le prétoire, il donne le sentiment d’avoir été le parfait « go between » entre les marchands lillois de pistolets mitrailleurs et quelques caïds du boulevard de Metz. Pas vraiment la même couleur (politique). « Mon client a connu des personnes de ce quartier par le biais de son métier de videur », élude Faustine Broulin, l’avocate du suspect. Christophe D. serait donc un (très solide) pilier de la vie nocturne lilloise. La légende veut qu’il a empêché le kidnapping d’un patron de boîte de nuit, l’arrachant du coffre de voiture où ce commerçant avait été jeté.

    « Avez-vous mis Claude Hermant en relation avec Samir L. ? », interroge le président Trevidic. La question n’est pas anodine. Le trafic reproché au patron de la Frite rit est censé « exploser » avec l’arrivée du Roubaisien dans le circuit. Certaines de ces armes atterrissant, semble-t-il, entre les mains d’Amedy Coulibaly, le tueur de l’Hyper Cacher, à Paris, en janvier 2015. Pataud, confus, Christophe D. répond par des bougonnements. On peut prendre cela pour des dénégations. À la barre, le prévenu consacre du temps à se plaindre de Claude Hermant.

    Sous le regard noir de son ex-employeur, Christophe D. évoque également la police à plusieurs reprises, chez qui il va largement s’épancher. Au point d’agacer le président. « Bon, votre commissaire-psychiatre P… », le mouche le magistrat.

    Reste ce voyage en Slovaquie. En 2015, Christophe D. déboule chez AFG, l’entreprise qui, un temps, envoyait des armes par colis en France. Elle s’y refuse désormais. Le Lillois débarque en Slovaquie. À la frontière tchèque, contrôle. « Ils n’ont pas cru que j’étais français », s’offusque le contrevenant. L’homme part en prison. Selon la police tchèque, Christophe D. a reconnu vouloir revendre ses emplettes une fois rentré. Face aux juges lillois, il proteste et soulève « une erreur de traduction ». « C’était pour moi », martèle dorénavant le prévenu.

    Au tour de Murielle Cuadrado de se lever. « Vous avez expliqué avoir une technique, relève l’avocate. Vous dites : « Je me fais passer pour un babache »… » Son vis-à-vis approuve. « Ici aussi, vous jouez au babache ? », assène l’une des défenseures de Samir L.

    #claude_hermant #extréme_droite #armes #Amedy_Coulibaly #Hyper_Cacher #attentats #police #douane #indicateurs #ultradroite_lilloise #Trevidic

  • Les principales chaînes mondiales d’information en continu, par Cécile Marin (@mdiplo, avril 2017)
    https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/chaines-info

    FBI, DOJ Eye Russian Media Outlets as ’Foreign Agents’
    http://therealnews.com/t2/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=74&jumival=19989

    Alyona Minkovski : (…) I used to work for #RT. I hosted a show at RT America. And they all exist under this kind of umbrella structure of Russian government-funded media organizations. Sputnik and RT both have offices in DC. Sputnik now has an FM station that they’ve taken over. RT America, the DC, New York, Miami bureau, they have their own programing that’s different from what RT International does, that airs just in the United States. (…) So I think that something like this raises a lot of questions because there are a lot of good people who are trying to do good journalism at those organizations, and there’s a lot of questionable journalism at those organizations, too. But whether or not you should use a World War II era law that makes these entities register as foreign agents, I think should make us ask a lot questions because then there’s a certain precedent being set because normally that’s not actually enforced from what I understand here in the United States. When Russia actually kicked out a lot of NGOs because they had a same foreign entity law that was passed, human rights organizations widely criticized it.

    RT trouble le concert de l’information internationale, par Maxime Audinet
    https://www.monde-diplomatique.fr/2017/04/AUDINET/57379

    Fort de 2 100 employés et disposant de bureaux dans 19 pays, le groupe s’est développé grâce aux moyens importants mis à sa disposition par l’État russe. Selon un sondage de l’institut Ipsos conduit en novembre 2015 dans 38 pays, ses chaînes sont regardées par 70 millions de personnes chaque semaine ; une audience qui se situe derrière celle du service international de la British Broadcasting Corporation (BBC), mais devant celle de la Deutsche Welle et de France 24. Avec respectivement 8 et 36 millions de téléspectateurs hebdomadaires, RT est en outre la cinquième chaîne internationale la plus regardée aux États-Unis et en Europe, ses cibles prioritaires. Depuis son lancement, son budget a décuplé, passant de 29 à 290 millions d’euros — près d’un quart des dotations publiques accordées aux médias. RT s’est adaptée rapidement à la promotion des contenus sur Internet, en utilisant massivement les technologies numériques virales (retransmission vidéo en direct, images à 360 degrés). Le groupe a ouvert de multiples comptes sur les réseaux sociaux, ainsi que sur YouTube, où il se présente comme la première source d’information du monde, avec 4,5 millions d’abonnés toutes chaînes confondues.

    #médias #information #télévision

  • Soros et son double
    http://www.dedefensa.org/article/soros-et-son-double

    Soros et son double

    03 septembre 2017 – Un certain “E.B.”a lancé, le 20 août 2017 une pétition officielle d’un particulier intérêt sur le site de la Maison-Blanche. (Cette pratique de la pétition officielle a été institué en 2011 par Obama et permet à n’importe quel citoyen de lancer une pétition qui sera prise en considération si elle répond aux critères de règle des 100.000 signatures dépassées.) “E.B.” demande que George Soros, avec toutes ses organisations, soit considéré officiellement comme “terroriste” et que tous ses avoirs soient saisis en raison de cette catégorisation. La pétition s’adresse opérationnellement au ministère de la Justice et donc au FBI.

    (C’est désormais l’une des pétitions les plus populaires et, au vu de la rapidité de son développement, elle pourrait atteindre un chiffre très important. (...)

  • Peter W. Smith, opérateur du GOP qui a cherché les courriels de Clinton contre les pirates russes, s’est suicidé - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/08/peter-w.smith-operateur-du-gop-qui-a-cherche-les-courriels-de-clin

    Un donateur républicain et opérateur de la Côte-Nord de Chicago qui a déclaré qu’il avait essayé d’obtenir les courriels manquants de Hillary Clinton de pirates russes s’est suicidé dans une chambre d’hôtel du Minnesota, après avoir parlé à The Wall Street Journal de ses efforts, montrent les records publics.

    À la mi-mai, dans une pièce d’un hôtel de Rochester utilisé presque exclusivement par des patients et des parents de Mayo Clinic , Peter W. Smith, 81, a laissé un dossier de documents soigneusement préparé, y compris une déclaration que la police appelle une note de suicide dans laquelle il a dit qu’il était en mauvaise santé et une police d’assurance-vie expirait.

    Au centre de la guerre politique secrète…exécuté par un bras vengeur !
    Au centre de la guerre politique secrète…exécuté par un bras vengeur !
     

    Des jours plus tôt, le financier de la forêt de lac suburbain a donné une interview au Journal au sujet de sa quête, et il a commencé à publier des histoires sur ses efforts à la fin de juin. Le Journal a également signalé qu’il avait vu des courriels écrits par Smith montrer à son équipe considérée le lieutenant-général général Michael Flynn , alors un conseiller principal de la campagne du républicain Donald Trump , un allié. Flynn a brièvement été le conseiller de sécurité nationale du président Trump et a démissionné après avoir déterminé qu’il n’avait pas divulgué les contacts avec la Russie.

    À l’époque, le journal a signalé que la mort de Smith le 14 mai avait eu lieu environ 10 jours après avoir accordé l’entrevue. Le mystère enveloppa comment et où il était mort, mais le journaliste principal sur les histoires disait sur un podcast qu’il n’avait aucune raison de croire que la mort était le résultat d’un jeu malin et que Smith était probablement mort de causes naturelles.

     

    Cependant, le Chicago Tribune a obtenu un record de mort d’état du Minnesota déposé dans le comté d’Olmsted, affirmant que Smith s’est suicidé dans un hôtel près de la clinique Mayo à 13h17 le dimanche 14 mai. Il a été trouvé avec un sac sur la tête avec une source de hélium attaché. Le rapport d’un médecin légiste donne le même compte, sans préciser l’heure, et un rapport de la police de Rochester détaille son suicide.

    Dans la note récupérée par la police, Smith s’est excusé auprès des autorités et a déclaré que « NO FOUL PLAY WHATSEERVER » était impliqué dans sa mort. Il a écrit qu’il prenait sa propre vie à cause d’un « RECENT BAD TURN IN HEALTH DEPUIS JANVIER 2017 » et chronométré « À L’ASSURANCE-VIE D’EXPIRATION DE 5 MILLIONS DE DOLLARS ».

    Il avait séjourné à l’hôtel pendant plusieurs jours et avait prolongé son séjour au moins une fois, mais il était prévu de vérifier le jour où son corps a été retrouvé. « Demain c’est mon dernier jour », a déclaré Smith à un travailleur d’hôtel le 13 mai, alors qu’il travaillait sur un ordinateur dans le centre d’affaires, imprimant des documents, selon les rapports de la police.

    L’un des anciens employés de Smith a déclaré à la Tribune qu’il pensait que l’homme âgé était allé à la clinique célèbre pour être traité pour une maladie cardiaque. La porte-parole de Mayo, Ginger Plumbo, a déclaré jeudi qu’elle ne pouvait confirmer que Smith avait été un patient, en citant les lois sur la protection de la vie privée médicale.

    Peter W. Smith
    Les journaux ont déclaré que le week-end de la fête du travail, l’année dernière, Smith avait rassemblé une équipe pour acquérir des courriels dont le détenteur certifiait qu’ils auraient pu être volée du serveur privé que Clinton avait utilisé pendant sa période de secrétaire d’État. L’intérêt de Smith portait sur plus de 30 000 courriels. Clinton avait dit qu’elle les avait supprimé parce qu’ils se rapportaient à des questions personnelles. Une énorme cache d’autres courriels Clinton avait été rendu publique,à ce moment-là.

    Smith a déclaré au Journal qu’il croyait que les courriels manquants auraient pu être obtenus par des pirates russes. Il a également déclaré qu’il pensait que la correspondance concernait les devoirs officiels de Clinton. Il a déclaré au Journal qu’il travaillait de façon indépendante et ne faisait pas partie de la campagne Trump. Il a également déclaré au Journal que lui et son équipe ont trouvé cinq groupes de pirates informatiques – deux d’entre eux des groupes russes – qui prétendaient avoir les emails manquants de Clinton.

    Smith a eu une histoire de faire des recherches de l’opposition, le terme formel pour l’information peu flatteuse que les agents politiques dévoilent sur les candidats rivaux.

    Pendant des années, l’ancien président démocrate Bill Clinton était l’objectif de Smith. L’homme d’affaires riche avait pour rôle d’exposer les allégations de « Troopergate » au sujet de la vie sexuelle de Bill Clinton. Et il a discuté du financement d’une enquête sur un voyage de 1969 que Bill Clinton a pris au collège en Union soviétique, selon le magazine Salon.

    Les enquêtes sur les liens possibles entre le gouvernement russe et les personnes associées à la campagne présidentielle de Trump sont en cours au Congrès et par l’ancien chef du FBI, Robert Mueller . Il agit comme conseiller spécial du ministère de la Justice. Le porte-parole de Mueller, Peter Carr, a refusé de commenter les histoires du journal sur Smith ou sa mort. L’avocat de Washington, Robert Kelner, qui représente Flynn, n’a eu aucun commentaire jeudi.

    Le décès de Smith a eu lieu à Aspen Suites à Rochester, spectacle des records. Ils énumèrent la cause de la mort comme « asphyxie due au déplacement d’oxygène dans un espace confiné à l’hélium ».

    Le chef de la police de Rochester, Roger Peterson, a déclaré mercredi le mode de mort de Smith « inhabituel », mais un travailleur funéraire a déclaré qu’il l’avait déjà vu.

    Un employé de Rochester Cremation Services, la maison funéraire qui a répondu à l’hôtel, a déclaré qu’il a aidé à retirer le corps de Smith de sa chambre et a rappelé avoir vu un réservoir.

    L’employé, qui a parlé à condition qu’il ne soit pas identifié en raison de la nature délicate de la mort de Smith, a décrit le réservoir comme étant de taille similaire à un réservoir de propane sur un gril à gaz. Il ne se souvenait pas d’avoir vu un sac que Smith aurait placé sur sa tête. Il a dit que le coroner et la police étaient là et qu’il « n’a pas fait beaucoup de réflexion autour ».

    « Quand je suis arrivé là-bas et j’ai vu le réservoir, j’ai pensé : » J’ai déjà vu ça « , et j’ai pu mettre deux ou deux ensemble », a déclaré l’employé.

    Une autopsie a été menée, selon le dossier de décès. Le Bureau de l’examinateur médical régional de Southern Minnesota a refusé une demande de Tribune pour le rapport d’autopsie et a publié des informations limitées sur le décès de Smith. Un porte-parole d’AXA Equitable Life Insurance Co., classé dans des documents récupérés par la police en tant que transporteur d’assurance de Smith, n’a pas de commentaires immédiats.

    The Final Exit Network, une organisation à but non lucratif basée en Floride, fournit de l’information et du soutien aux personnes qui souffrent d’une maladie terminale et veulent se suicider. Fran Schindler, bénévole du groupe, a noté que le livre best-seller « Final Exit », écrit par Derek Humphry en 1991 et révisé plusieurs fois depuis, explique en détail la méthode du gaz à l’hélium.

    « Beaucoup de gens obtiennent cette information de son livre », a déclaré Schindler. « C’est une méthode qui existe depuis de nombreuses années et est connue ».

    Selon les chiffres du bureau du médecin légiste de County Cook, 172 personnes se sont suicidées par étouffement à partir de janvier 2007 à ce jour. Parmi les décès dus à l’asphyxie, 15 impliquaient l’utilisation d’un sac en plastique sur la tête.

     

    On ne pouvait pas déterminer combien impliquaient l’utilisation d’hélium, d’un gaz inodore et sans goût non toxique.

    « L’hélium n’a pas d’effet direct. Un sac sur la tête de quelqu’un épuise l’oxygène de la personne et cause la mort », a déclaré Becky Schlikerman, porte-parole du bureau du médecin légiste du comté de Cook. »L’ajout d’hélium peut déplacer l’oxygène plus rapidement mais n’a pas d’effet direct sur une personne ».

    La police a trouvé un reçu d’un timbre local Walmart daté de la veille, le 13 mai à 12h53. Le reçu était pour l’achat de « Helium Jumbo » et d’autres articles. La police a également noté que les deux réservoirs d’hélium dans la pièce étaient drapés avec de la cheville à exercices ou des poignets couvert de vinyle. Le rapport n’a pas expliqué les poids. La police a déclaré que, parce qu’ils ne soupçonnaient pas un jeu malin, ils n’avaient vu aucune vidéo de sécurité du magasin Walmart pour confirmer que Smith a acheté les citernes lui-même.

    Les restes de Smith ont été incinérés au Minnesota, selon les documents. Il était marié à Janet L. Smith et avait trois enfants et trois petits-enfants, selon sa nécrologie. Les appels de Tribune aux membres de la famille n’ont pas été retournés.

    Sa note nécrologique a déclaré que Smith a été impliqué dans des affaires publiques depuis plus de 60 ans et il l’a annoncé comme « un champion de l’énergie tranquillement généreux pour assurer un monde économiquement et politiquement plus sécurisé ». Smith a mené des sociétés de capital-investissement dans des acquisitions de sociétés et des investissements de capitalisation depuis plus de 40 ans. Plus tôt, il a travaillé avec DigaComm LLC de 1997 à 2014 et en tant que président de Peter W. Smith & Co. de 1975 à 1997. Avant cela, il était officier supérieur de Field Enterprises Inc., une société qui possédait alors le Chicago Sun -Times et a été détenu par la famille Marshall Field , indique sa nécrologie.

    Un mémorial de famille privé a été planifié, a déclaré l’avis nécrologique. Les amis ont affiché des hommages en ligne à Smith après sa mort. L’un était de son ancien employé, Jonathan Safron, 26 ans, qui habite dans la boucle de Chicago et a travaillé pour Smith pendant environ deux ans.

    Safron, dans une interview, a déclaré qu’il travaillait pour un cabinet de tutorat lorsque Smith est devenu son client. Son travail impliquait d’enseigner à Smith comment utiliser un MacBook, a déclaré Safron. Au moment où Smith vivait dans une copropriété au sommet du Four Seasons Hotel Chicago. Safron a déclaré que Smith l’a ensuite employé à Corporate Venture Alliances, un cabinet d’investissement privé que Smith a couru, d’abord hors du même condo et plus tard d’un bureau dans le bâtiment Hancock.

    Safron, qui a déclaré qu’il avait un travail de bas niveau avec le Parti républicain de l’Illinois en 2014, a déclaré qu’il n’avait aucune connaissance de l’offre de Smith pour trouver des pirates informatiques qui pourraient localiser des messages manquants dans le service de Clinton en tant que secrétaire d’État.Dans son hommage en ligne à son ancien employeur, il a appelé Smith le « meilleur patron que je pourrais jamais demander … un mentor, un ami et un être humain modèle ».

    Safron a déclaré qu’il travaillait à temps partiel pour Smith, mettant environ 15 heures par semaine, mais les deux se sont approchés, souvent déjeunés ensemble dans un endroit préféré de Smith : Oak Tree Restaurant & Bakery Chicago sur North Michigan Avenue. Il a appelé Smith un homme sérieux qui était « optimiste », « cosmopolite » et « plus grand que la vie ». Il savait que Smith était en train de diminuer la santé, disant que l’homme plus âgé avait parfois de la difficulté à respirer et a déclaré aux collègues du travail qu’il avait des problèmes cardiaques. Des semaines avant de prendre sa vie, il était fatigué de marcher vers le bas sur quatre ou cinq marches d’escalier pendant une épreuve d’incendie de Hancock Building et plus tard envoyé par courrier électronique à Safron en disant qu’il était « étourdi », at-il déclaré.

    La dernière volonté et le testament de Smith, signés le 21 février dernier, ont une durée de sept pages et sont consignés dans la Cour des successions dans le comté de Lake. La volonté donne à sa femme son intérêt pour leur propriété résidentielle et ses biens personnels corporels et dit que les actifs restants devraient être placés dans deux fiducies.

    Il est né le 23 février 1936 à Portland, dans le Maine, selon le dossier de décès.

    Son défunt père, Waldo Sterling Smith, était un représentant du fabricant pour les entreprises féminines de vêtements, les représentant dans les grands magasins du Maine, du New Hampshire et du Vermont, selon la nécrologie du père de 2002. L’ancien Smith est mort à 92 ans à Saint-Augustin, en Floride, et son obit a noté qu’il avait été actif dans le comté de St. Johns, en Floride, dans les affaires républicaines et dans une église méthodiste locale.

    Peter Smith a écrit deux articles sur son blog, datés de la veille de sa mort. L’un des responsables des services de renseignement américains a contesté que la Russie a interféré avec les élections de 2016. Un autre article a prédit : « À mesure que l’attention se tourne vers les affaires internationales, comme il le fera bientôt, l’histoire de l’ingérence russe va mourir de son propre poids ».

    Sources :

    Katherine Skiba a rapporté l’événement de Washington, David Heinzmann de Rochester et Todd Lighty de Chicago.Lauren Rosenblatt du Tribune Washington Bureau et Jim Newton du Lake County News-Sun et Gregory Pratt ont contribué à cette histoire.

     

    kskiba@chicagotribune.com

    dheinzmann@chicagotribune.com

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  • Bombe médicale : La chimiothérapie dissémine le cancer dans tout le corps - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/08/bombe-medicale-la-chimiotherapie-dissemine-le-cancer-dans-tout-le-

    Une nouvelle étude effectuée à la faculté de médecine Albert Einstein de l’université Yeshiva, révèle qu’en augmentant fortement la circulation de cellules cancéreuses, la chimiothérapie propage le cancer partout dans l’organisme (même dans les poumons). 
     
     Dirigée par le Dr George Karagiannis, cette étude porte sur le traitement chimiothérapique du cancer du sein, mais d’autres études sont prévues pour voir si la chimiothérapie [en général] propage aussi le cancer dans les autres tissus. Publiée dans Science Translational Medicine, cette recherche est intitulée Neoadjuvant chemotherapy induces breast cancer metastasis through a TMEM-mediated mechanism La [chimiothérapie néoadjuvante induit la propagation du cancer du sein en disséminant des métastases du microenvironnement tumoral]. 
     
     Le résumé de l’étude dit que « les auteurs ont constaté que plusieurs types de chimiothérapie ont la capacité d’augmenter les quantités demétastases du microenvironnement tumoral (TMEM) et de cellules tumorales dans la circulation sanguine. » Il conclut que « la chimiothérapie, bien qu’elle diminue la taille de la tumeur, augmente le risque de dissémination des métastases. » [NdT : La tumeur se ratatine parce qu’elle se scinde en métastases ?] 
     
     En propageant le cancer, la chimiothérapie assure le turbin de la cancérologie à but lucratif. 
     
     En d’autres termes, bien que la chimiothérapie « réduise les tumeurs », elle provoque aussi la propagation du cancer partout dans le corps. Elle a l’effet d’activer les futurs cancers (bien entendu, cela arrive à point pour le business cancérologique). 
     
     Cette recherche confirme encore ce que Natural News signale depuis des lustres... à savoir, que la chimiothérapie refile le cancer. Cela montre une fois de plus que l’industrie du cancer semble bien plus intéressée par l’engrangement de profits que par le soin du cancer. Il n’étonnera pas que les cancérologues usent de tactiques visant à terroriser les femmes pour qu’elles suivent une chimiothérapie contre le cancer du sein... ils savent qu’ils tiennent une poule aux œufs d’or qui leur rapportera des revenus à vie ! 
     
     La cancérologie, branche corrompue de la médecine moderne, est dirigée par des criminels et des mercantis, comme le Dr Farid Fata qui est actuellement sous les verrouspour avoir fait de faux diagnostics de cancers afin de tirer profit de chimiothérapies inutiles.Son collègue, le Dr David Gorski, du Karmanos Cancer Center de Detroit , pas encore en taule mais signalé au FBI pour enquête. Il reste parmi les plus abjects et les plus sociopathesagresseurs de femmes de l’histoire de la chirurgie du cancer, ce qui lui a valu le surnom de « Gorski l’éventreur de seins ». Il est aussi accusé de faire la promotion d’interventions médicales cancérigènes, peut-être bien comme moyen d’augmenter ses profits au détriment de la santé de femmes crédules. Le Dr David Gorski a aussi été lié à James Randi, le caïd « sceptique », qui a été pris en train de solliciter les faveurs sexuelles d’un jeune homme. 
     
    Natural News, Mike Adams, 13 juillet 2017 

    Original : www.naturalnews.com/2017-07-13-medical-bombshell-chemotherapy-found-to-spread-cancer.html 
    Traduction Petrus Lombard 
    http://www.alterinfo.net

  • Le management de la terreur (J.-Yves Jézéquel)
    https://www.crashdebug.fr/international/13884-le-management-de-la-terreur-j-yves-jezequel

    Mention spéciale au député Georges Fenech, ex-président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de Paris, qui propose la création d’un « FBI à l’européenne ». Comme il l’avait fait en juin, après l’attentat de Londres. Un comble, surtout quand on se souvient que le FBI avait été accusé très sérieusement d’organiser lui-même de faux attentats “islamistes”… OD

    Dans mon livre « Le djihad et le management de la terreur » paru aux éditions Vérone en 2017, 445 pages, je renvoyais mon lecteur, notamment aux publications de l’ancien patron du Pôle anti terroriste français, Le juge Marc Trévidic qui avait démissionné avec fracas de son poste, après avoir refusé de tenir le discours convenu « officiel » concernant le terrorisme, sur les plateaux de télévisions où il était invité…

    Pour information, il est (...)

  • Briton who stopped WannaCry attack arrested over separate malware claims | Technology | The Guardian
    https://www.theguardian.com/technology/2017/aug/03/researcher-who-stopped-wannacry-ransomware-detained-in-us?CMP=twt_gu

    Marcus Hutchins, the 23-year-old British security researcher who was credited with stopping the WannaCry outbreak in its tracks by discovering a hidden “kill switch” for the malware, has been arrested by the FBI over his alleged involvement in another malicious software targeting bank accounts.

    According to an indictment released by the US Department of Justice on Thursday, Hutchins is accused of having helped to create, spread and maintain the banking trojan Kronos between 2014 and 2015.

    The Kronos malware was spread through emails with malicious attachments such as compromised Microsoft word documents, and hijacked credentials like internet banking passwords to let its user steal money with ease.

    “A lot of us thought of Kronos as crimeware-as-a-service,” Kalember said, since a Kronos buyer would also be getting “free updates and support” and that “implied there’s a large group behind it”.

    This could very easily be the FBI mistaking legitimate research activity with being in control of Kronos infrastructure
    Ryan Kalember, security researcher

    He also warned that the actions of a researcher examining the malware can look very similar to those of a criminal in charge of it. “This could very easily be the FBI mistaking legitimate research activity with being in control of Kronos infrastructure. Lots of researchers like to log in to crimeware tools and interfaces and play around.”

    On top of that, for a researcher looking into the world of banking hacks, “sometimes you have to at least pretend to be selling something interesting to get people to trust you”, he said. “It’s not an uncommon thing for researchers to do and I don’t know if the FBI could tell the difference.”

    Hutchins, better known online by his handle MalwareTech, had been in Las Vegas for the annual Def Con hacking conference, the largest of its kind in the world. He was at the airport preparing to leave the country when he was arrested, after more than a week in the the city without incident.

    #Virus #Cybersécurité #Malware

  • Israël a récolté 18 000 organes des Syriens morts depuis le commencement de la guerre - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/07/israel-a-recolte-18-000-organes-des-syriens-morts-depuis-le-commen

    Le médecin médical de la Faculté de médecine de Damas en chef du Département de médecine légale médicale, Dr Hussein Nofal estime qu’au moins 18 000 Syriens ont eu des organes enlevés pendant la guerre jusqu’à présent. Depuis le déclenchement de la guerre en 2012, 6,5 millions de personnes ont été déplacées en Syrie et 4,8 millions sont devenus des réfugiés forcés de fuir vers des pays voisins comme la Turquie et le Liban ou 10% ont migré vers l’Europe. Avec 386 000 estimés de mort, il y a 11,7 millions d’humains en Syrie qui ont violemment perdu leur vie ou leurs maisons - incroyablement plus de la moitié de la population totale d’avant-guerre de 22 millions de Syriens.
     

    Toute cette horreur humaine tragique ne se produit que par une politique étrangère israélienne et exubérante, extrêmement agressive, créant un chemin de chaos et de destruction à travers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord qui soutient secrètement les terroristes islamiques pour combattre les guerres indirectes américano-israéliennes pour renverser illégalement les gouvernements nationaux souverains Comme Assad’s. L’élite dirigeante derrière le projet du Grand Israël déploie l’Empire des États-Unis pour fabriquer des guerres illégales et la plus grande crise migratoire depuis la Seconde Guerre mondiale pour déstabiliser volontairement et méthodiquement le monde générant des conditions de vie humaines si désordonnées qui accélèrent la formation d’un gouvernement mondial.
    Ironiquement, mais aussi par un design criminel, les deux pays les plus proches voisins les plus puissants de la région qui sont les plus directement responsables des terroristes islamiques et des guerres MENA - Israël et l’Arabie saoudite - refusent de se réfugier dans les mêmes guerres qu’ils Les deux créent et font la promotion. Notez qu’Israël et l’Arabie Saoudite, ainsi que la troisième roue de la Turquie dans le cadre de l’axe des pires de l’Empire américain, de l’allié régional de longue date et de l’autre membre de l’OTAN, ont reçu un montant de 6,6 milliards de dollars de la part de l’UE en faillite pour « gérer et contrôler » la migration Crise, seulement pour ensuite se retourner et déclencher encore plus de vagues de réfugiés versé en Europe à ce jour. Et c’est la Turquie et Israël qui jouent également le rôle le plus important dans l’épidémie de trafic d’organes. Mais plus là-dessus plus tard.
    Un rapport de la BBC de 2001 révèle que Israël par habitant est le pays bénéficiaire le plus important au monde pour les transplantations d’organes, mais est le pays avec le moins de donneurs d’organes. Le problème est en outre aggravé par le fait que le gouvernement de Tel-Aviv, y compris le ministre de la Défense, a historiquement encouragé la pratique, ce qui n’a fait que illégaliser la traite et la traite d’organes en 2008. Pendant des années, le système de santé israélien a subventionné des vacances de transplantation jusqu’à 80 000 $ en remboursement pour organe Les destinataires de voyager à l’étranger pour les transplantations. Les compagnies d’assurance payaient habituellement l’onglet sur tous les coûts restants. Hughes a décrit le rôle de premier plan d’Israël dans le syndicat international du crime qui est « organisé par une société commerciale locale en collaboration avec un chirurgien de transplantation majeur, opérant à partir d’un important centre médical non loin de Tel Aviv ». Des connexions supplémentaires incluent les chirurgiens de transplantation en Turquie, en Russie, en Moldavie, en Estonie, en Géorgie, en Roumanie, au Brésil et à New York.
    Une loi de 1984 a rendu illégal le trafic d’organes humains en Amérique. Mais le premier cas aux États-Unis s’est produit en juillet 2009, lorsqu’un citoyen israélien vivant à New York qui a payé des donateurs en Israël 10 000 $ a été arrêté en essayant de les vendre pour 120 000 $ chacun à trois Américains qui ont besoin de transplantation rénale. Après avoir fait des millions de victimes de la traite des reins, il n’a pas été expulsé parce que son crime n’a pas été considéré comme une « turpitude morale » et, après que le pèlerin de l’organe ait purgé une peine de prison de deux ans et demi, il a été libéré en décembre 2014. Le trafiquant israélien reconnu Un pistolet sur lui et s’il rencontrait des doutes par un donneur potentiel, le passeur de rein aurait indiqué son doigt sur la tête du donneur en simulant qu’il tirait le déclencheur. Sa raquette illégale est devenue le plus grand cas de corruption dans l’histoire de l’état du New Jersey, car il a révélé un programme de blanchiment d’argent en millions. Un ancien député d’état qui était l’actuel commissaire aux affaires de consommation de NJ a démissionné au cours de sa participation et l’agent superviseur du FBI a conclu :
    Le problème de la corruption du New Jersey est l’un des pires, sinon le pire, dans le pays. La corruption est un cancer qui détruit les valeurs fondamentales de cet état et de cette grande nation.
    En décembre dernier, un autre trafiquant d’organe israélien a été arrêté par la police d’Interpol à l’aéroport d’Istanbul. Après quarante jours en garde à vue, il a été extradé en Israël pour faire face à des accusations. Le contrebandier d’organes avait pris des dispositions pour exploiter la grande population démunie de migrants syriens en Turquie afin de coordonner les chirurgies illégales d’organes avec des médecins locaux dans de petits hôpitaux privés. Il a déjà eu des accusations contre lui pour ses opérations illicites entre les donateurs d’organes appauvris au Kosovo, en Azerbaïdjan et à Sri Lanka de 2008-2014. Il a également placé des annonces dans les journaux russes à la recherche de donateurs potentiels. Comme il est typique, aucune information ou un suivi médical n’est jamais donné aux victimes des donneurs qui souffrent souvent de complications. Par exemple, un garçon au Kosovo a été paralysé après son élimination des reins.

  • Le FBI peut garder ses National Security Letters et imposer le silence
    https://www.nextinpact.com/news/104793-le-fbi-peut-garder-ses-national-security-letters-et-imposer-silen

    Aux États-Unis, les fameuses National Security Letters viennent d’être déclarées tout à fait constitutionnelles. Ces courriers, émis notamment par le FBI, permettent de réclamer des données aux prestataires et autres opérateurs de téléphonie. Un coup dur pour l’EFF, qui cherchait à faire évoluer la législation. Les NSL sont un vieux sujet de désaccord aux États-Unis. Ces lettres sont émises par les agences fédérales ayant besoin d’accéder à des données. Elles peuvent se trouver chez des sociétés de type (...)

    #FBI #surveillance