organization:institut d'urbanisme de paris

  • Je signale cette conférence parce que j’aime beaucoup le titre (et le conférencier)

    « L’existence comme dynamique du temps et de l’espace de chacun ».

    Dans le cadre des jeudis des territoires organisés par l’Institut de Géographie Alpine (IGA) et l’Institut d’Urbanisme de Grenoble (IUG), nous avons le plaisir de vous annoncer la conférence suivante :

    « L’existence comme dynamique du temps et de l’espace de chacun ».

    Nous aurons l’honneur d’accueillir Thierry Paquot, Philosophe, professeur à l’Institut d’Urbanisme de Paris à l’université Paris XII.

    La conférence aura lieu le jeudi 30 janvier 2014 de 17h à 19h, en Amphi de l’Institut de Géographie Alpine au 14 bis avenue Marie Reynoard, 38100 Grenoble.

    L’entrée est gratuite, libre et sans inscription.
    N’hésitez pas à faire suivre ce message auprès de vos contacts susceptibles d’être intéressés.
    Très cordialement.

    Luc Gwiazdzinski, Géographe, UJF, Grenoble
    CHIBANE Sami Ramzi, doctorant au laboratoire PACTE-Territoires, UJF Grenoble

    Contact : lucmarcg@gmail.com , chiban_rawaa@hotmail.fr

    #géographie #territoire #espace #espace_public #dfs

  • Laurent Davezies, ou la prestidigitation économique ? - Le blog de Michel FRANÇOIS
    http://www.stervlan-mf.info/article-laurent-davezies-ou-la-prestidigitation-economique-117936896.h

    CR de lecture par un élu régionaliste (conseiller municipal UDB de Saint-Herblain).

    Professeur au CNAM et à l’université de Paris-Est-Créteil, Laurent Davezies a travaillé pendant 27 ans à l’Institut d’Urbanisme de Paris. Il a publié en octobre 2012 un essai intitulé « _ La crise qui vient - La nouvelle fracture territoriale_ ».

    A travers une vraie tornade statistique se dégage l’idée que la France ne pourra s’en sortir qu’en misant sur celle de ses composantes "qui a su opérer une modernisation spectaculaire de son tissu productif et qui concentre les facteurs immatériels cruciaux de l’économie de demain : la matière grise. C’est aussi la France des plus riches" (page 105, dernière avant les annexes).

    On économisera sans doute un précieux temps de lecture en relevant (page 65) parmi les territoires qui se sortiraient le mieux d’une crise sans filet les territoires « marchands » de l’ouest francilien en tête desquels sont cités Paris, les Hauts-de-Seine et les Yvelines (Les guillemets autour de marchands sont de Laurent Davezies).

    L’abondance des statistiques de production, basées sur la valeur ajoutée, ne cache pas leur faiblesse commune (et courante) : l’absence d’interrogation sur les modalités de fixation de cette valeur ajoutée, qui prédéterminent pourtant les conclusions qu’on va en tirer.

    J’ai évoqué cette question alleurs à propos de la filière laitière. On peut l’approcher à propos de la construction navale ou automobile, qui intéresse aussi la Bretagne. Navires et voitures peuvent bien être intégralement construits chez nous, Les dividendes versés par Citroën ou STX ne sont comptabilisés ni à Saint-Nazaire ni à Rennes mais au siège des sociétés qui gèrent les circuits de la valeur ajoutée, et qui relèvent du « tertiaire supérieur ».

    La centralisation économique et financière française transforme ainsi le plus souvent les revenus du capital en produits de la « matière grise » francilienne.
    (…)
    Davezies nous propose, lui, de renforcer les capacités de prélèvement des centres déjà les plus prédateurs. Vive le Grand Paris et cherchez l’erreur !