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  • De l’interdiction de stationner son vélo sur les trottoirs

    Il y a quelques jours, alors que j’accrochais mon vélo sur une barrière, sur un trottoir parisien, un passant m’a interpellé pour me dire que c’était interdit et que la fourrière allait d’ailleurs bientôt l’enlever. Il est ensuite monté dans sa voiture, qui stationnait en double file...
    Pour en avoir le coeur net, j’ai posé la question au service Message des Parisiens (http://www.paris.fr/contacts/formulaires-de-contacts/message-pour-l-equipe-de-paris-fr/p10187)
    Voici leur réponse, qui me semble d’intérêt (et de consternation) pour tous les vélocipédistes... légalement, on fait comment, sachant qu’il est rare d’avoir assez d’arceaux et de places aménagés là où on se rend ?

    Bonjour,
    Vous nous interrogez sur l’interdiction de stationner votre vélo sur le trottoir aux abords de l’Institut de France à Paris 6ème.

    Nous vous rappelons que l’article R417-10 paragraphe II.1 du Code de la route dispose qu’« est considéré comme gênant la circulation publique l’arrêt ou le stationnement d’un véhicule (…) sur les trottoirs, les passages ou accotements réservés à la circulation des piétons ».

    Nous vous précisons également que le vélo est bien considéré comme un véhicule par le Code de la route, dans son article R311-1 paragraphe 6.10 : « Cycle : véhicule ayant au moins deux roues et propulsé exclusivement par l’énergie musculaire des personnes se trouvant sur ce véhicule, notamment à l’aide de pédales ou de manivelles ».

    Il est par conséquent effectivement interdit de stationner son vélo hors des zones prévues à cet effet, y compris sur le parvis de l’Institut de France.

    En espérant avoir répondu à votre attente,

    Cordialement,

    L’Equipe Messages des Parisiens.

    #vélo #stationnement

  • Paul Richer
    17/01/1849 Chartres — 17/12/1933 Paris

    16è division

    inscription :
    Institut de France
    Académie de Médecine
    Ecole des Beaux-Arts

    Anatomiste et physiologiste, il fait partie des fondateurs de la neurologie. Il est également, dessinateur, graveur et sculpteur.
    Pendant ses études de médecine, Paul Richer réalise son année d’internat à la Salpêtrière, dans le service de Jean-Martin Charcot (1825-1893). Auteur de Etudes cliniques sur l’hystéro-épilepsie ou grande hystérie , Paris 1881, livre dont dont les illustrations, mondialement (mé)connues illustrent obligatoirement tout article sur Charcot ou sur l’hystérie.
    Avec Charcot, le photographe Albert Londe et le neurologue Gilles de la Tourette, il fonde également la Nouvelle iconographie de la Salpêtrière , série qui continuera la publication de dessins et de photos de patients et sera publiée de 1888 à 1917. « [Dans cette publication,] une large place a toujours été réservée à la critique scientifique des oeuvre d’art ayant quelque rapport avec la médecine ».
    Egalement auteur, avec Charcot, de Les difformes et les malades dans l’art , Paris, 1889.
    Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux, clinique crée par Charcot.
    Titulaire de la chaire d’anatomie artistique aux Beaux-Arts (à partir de 1903).

    Œuvre à Montparnasse
    sa tombe

    Œuvre dans Paris
    Statue de Vulpian, rue Antoine Dubois (6è)


    (c) Olivier Théreaux

    Trois œuvres dans la salle Dalou du Musée d’Orsay

    Livre en ligne
    Etudes cliniques sur l’hystéro-épilepsie ou grande hystérie , Paris, Delahaye, 1881 http://archive.org/details/etudescliniquess00rich

    dont sont extraites les quelques illustrations suivantes.

    Index : http://seenthis.net/messages/161324

  • Eric Woerth [et Nicolas Sarkozy] épinglé dans le transfert de « la parcelle de l’An IV »
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/09/eric-woerth-epingle-dans-le-transfert-de-la-parcelle-de-l-an-iv_1829526_3224

    Dans son rapport annuel à paraître, dont Le Monde a pu prendre connaissance, la Cour des comptes stigmatise en effet le transfert, en janvier 2009, à l’Institut de France, d’une parcelle, dite de « l’An IV ». Elle juge la décision « non motivée », prise « sans concertation ». Un processus entamé dès juin 2004, alors que M. Sarkozy était ministre de l’économie, et conclu en 2009. Or ces 1 500 m2 au cœur de Paris, estimés par les Domaines à 15 millions d’euros, avaient été attribués en 1796 à l’Hôtel de la Monnaie. Pourquoi les lui retirer, même si l’Institut n’a eu de cesse, depuis des années, d’obtenir ce transfert ?

    Cette faveur ministérielle semble intéressée : il faut favoriser la création d’un auditorium « André Bettencourt », du nom de l’époux de Liliane Bettencourt, décédé en novembre 2007. La milliardaire est prête à signer un chèque de 10millions d’euros.

    (…)

    Au final, une convention est signée en février 2009 entre l’Institut et la Monnaie de Paris. Mais Christophe Beaux [président directeur-général de la Monnaie de Paris] prend soin d’ajouter une mention manuscrite, au-dessus de son paraphe, provoquant l’ire du pouvoir. Il écrit, en toutes lettres : « Sur instruction de l’Etat ».

  • Les états modifiés de conscience et l’approche rationnelle de l’étrange (1/2)
    http://www.canalacademie.com/ida8835-Les-etats-modifies-de-conscience-et-l-approche-rationnelle-de

    La conscience peut atteindre des niveaux très différents (entre le conscient et l’inconscient, des états parfois qualifiés de préconscient ou subconscient) et intervenir dans des domaines extrêmement variés, de la science à la morale en passant par la philosophie, la sociologie, le droit, l’anthropologie, jusqu’à la théologie. Canal Académie retransmet le colloque organisé en mars 2012 à l’Institut de France sur les états modifiés de conscience en deux parties. Retrouvez dans ce premier volet l’introduction de Bérénice Tournafond, organisatrice du colloque, et de Jean Baechler, philosophe, de l’Académie des sciences morales et politiques, consacrée à une approche rationnelle de l’étrange.

    http://www.canalacademie.com/emissions/col695.mp3

    #thaumastologie