organization:l'organisation de libération de la palestine

  • Le Conseil central de l’OLP soutient la suspension de la reconnaissance de l’Etat d’Israël
    AFP - 29 oct 2018 - Mise à jour 30.10.2018 à 00:00
    https://information.tv5monde.com/info/le-conseil-central-de-l-olp-soutient-la-suspension-de-la-recon

    Les membres du Conseil central palestinien, un organe clé de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), se sont prononcés lundi en faveur de la suspension de la reconnaissance de l’Etat d’Israël et de l’arrêt de la coopération sécuritaire en Cisjordanie avec l’Etat hébreu.

    Les membres du Conseil central ont émis le souhait que cette suspension se prolonge jusqu’à la reconnaissance de l’Etat palestinien par Israël, à l’issue de deux jours de réunion à Ramallah en Cisjordanie occupée.

    Le Conseil central palestinien autorise l’OLP, l’entité reconnue internationalement comme représentant les Palestiniens des Territoires et de la diaspora, et l’Autorité Palestinienne à « mettre fin à leurs obligations (...) concernant les accords avec les autorités d’occupation », selon un communiqué.

    Il s’agit de suspendre l’historique reconnaissance d’Israël remontant à 1988, jusqu’à ce que l’Etat hébreu reconnaisse l’Etat palestinien, avec Jérusalem comme capitale, ainsi que de cesser toute coopération dans le domaine sécuritaire.

    • Territoires palestiniens : l’OLP menace de ne plus reconnaître Israël
      Par RFI Publié le 30-10-2018 - Avec notre correspondant à Jérusalem,Guilhem Delteil
      http://www.rfi.fr/moyen-orient/20181030-territoires-palestiniens-olp-menace-israel-plus-reconnaitre

      C’est un organe clé de la vie politique palestinienne qui s’est réuni dimanche 28 et lundi 29 octobre à Ramallah. Le conseil central de l’Organisation de libération de la Palestine devait définir une nouvelle stratégie, alors qu’elle se trouve dans une situation délicate. La réconciliation avec le Hamas qui contrôle la bande de Gaza n’avance pas et les Etats-Unis ont cessé l’essentiel de leur aide aux Palestiniens. Dans ce contexte, le conseil central recommande une mesure assez radicale : le retrait de la reconnaissance par l’OLP de l’Etat d’Israël.

      Son communiqué final marque l’agacement croissant de l’Organisation de libération de la Palestine. Depuis la signature des accords d’Oslo il y a 25 ans, elle attend la création d’un Etat palestinien. Et le texte publié ce lundi soir dénonce les « atteintes continues aux accords signés de la part d’Israël ».

      Vers un arrêt de la coopération sécuritaire ?

      Face à l’absence d’avancées et aux pressions exercées par l’administration Trump, le conseil central de l’OLP recommande donc de retirer la reconnaissance d’Israël jusqu’à ce que le pays reconnaisse à son tour la Palestine comme un Etat, dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale.

      Cette reconnaissance d’Israël date de 1988 et avait été un prélude aux accords d’Oslo. Son retrait, accompagné de l’arrêt de la coopération sécuritaire, pourrait marquer la fin de ce processus engagé au début des années 90.

      Mais cette menace palestinienne n’est pas récente. Elle avait déjà été formulée en janvier dernier ainsi qu’en 2015. Pour l’instant, elle n’a jamais été mise en oeuvre par le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Mais cette fois-ci, un comité a été créé pour étudier les moyens d’appliquer cette recommandation. Et le ministre israélien de l’Economie accuse l’OLP de « torpiller le processus de paix ».

  • Syrie : les Palestiniens pour une opération militaire conjointe avec le régime à Yarmouk
    http://www.romandie.com/news/Syrie-les-Palestiniens-pour-une-operation-militaire-conjointe-avec-le-regime-a-/582741.rom

    Damas - Les organisations palestiniennes ont accepté jeudi pour la première fois de coordonner des opérations militaires avec l’armée syrienne pour repousser le groupe État islamique du camp de Yarmouk, dans le sud de Damas, a indiqué l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).

    L’effort palestinien sera complémentaire avec le rôle de l’Etat syrien pour nettoyer le camp Yarmouk des terroristes, a affirmé jeudi à Damas le dirigeant de l’OLP Ahmad Majdalani.

    Cette déclaration intervient au lendemain d’une réunion d’Ahmad Majdalani avec toutes les organisations palestiniennes à l’exception d’Aknaf Beit al-Maqdess, proche du Hamas, et hostile au régime. Il n’a pas été possible de joindre ce mouvement pour connaître sa position.

    Lors de la réunion palestinienne, nous nous sommes mis d’accord sur la création d’une chambre d’opérations commune composée de forces syriennes, des mouvements palestiniens qui le souhaitent et qui ont une forte présence à l’intérieur du camp Yarmouk ou dans son périmètre pour mener cette opération militaire, a dit M. Majdalani, l’émissaire du président palestinien Mahmoud Abbas venu spécialement de Ramallah, en Cisjordanie, pour régler cette question.

  • « Syrie : le régime se prépare à une opération militaire à Yarmouk » - AFP

    Le régime syrien juge qu’une opération militaire est désormais nécessaire pour chasser les jihadistes de l’Etat islamique du camp de Yarmouk dans le sud de Damas, où des dizaines de milliers de civils sont pris au piège des combats.
    Pour l’Union européenne, qui a débloqué une aide d’urgence à une agence de l’ONU pour aider ce camp palestinien, le plus grand de Syrie, la souffrance des habitants a atteint des « niveaux intolérables ».
    « La priorité est d’expulser et de défaire les hommes armés et les terroristes du camp », situé à huit km seulement du centre de Damas, a affirmé le ministre syrien de la Réconciliation nationale Ali Haïdar, en référence aux jihadistes de l’EI qui ont pris d’assaut le camp le 1er avril.
    « Dans les circonstances actuelles, une solution militaire s’impose », a-t-il ajouté.
    « Ce n’est pas l ?État qui l’a choisie mais ceux qui sont entrés dans le camp », a-t-il dit en référence à l’EI, après une rencontre avec le dirigeant de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) Ahmad Majdalani.
    Interrogé sur la possibilité de l’entrée de troupes syriennes à Yarmouk, le ministre a répondu : « C’est l’Etat syrien qui décidera si la bataille le nécessite ».
    Depuis fin 2012, ce camp, qui est en réalité un grand quartier du sud de Damas, est un champ de bataille entre forces du régime de Bachar al-Assad et rebelles syriens, appuyés chacun par des groupes palestiniens.
    Mais depuis l’assaut de l’EI, la majorité des groupes palestiniens combattent ce groupe, tandis que l’armée de l’air du régime bombarde ses positions.
    M. Haïdar a laissé entendre que l’EI avait attaqué le camp car le régime et les factions palestiniennes hostiles à Bachar al-Assad étaient sur le point de conclure un accord pour lever le siège de l’armée qui asphyxie le camp depuis près de deux ans.
    La délégation de l’OLP à Damas a indiqué qu’elle donnait son feu vert pour toute opération décidée par le régime.
    « Il est de plus en plus difficile de parler de solution politique dans le camp », a affirmé M. Majdalani. « Le leadership palestinien soutiendra toute décision du gouvernement syrien », a-t-il dit.
    – Souffrance intolérable -
    « Il n’est pas possible de négocier avec » l’EI, a renchéri Anouar Abdel Hadi, un responsable de l’OLP à Damas.
    Une réunion doit rassembler mercredi soir toutes les factions palestiniennes à Damas, dont le mouvement islamiste Hamas, rival de l’OLP du président Mahmoud Abbas. Le Hamas soutient le principal groupe palestinien armé combattant actuellement l’EI, Aknaf Beit al-Maqdess, qui est également hostile au régime syrien.
    Des dizaines de milliers de civils sont actuellement bloqués à l’intérieur du camp, où les conditions de vie étaient déjà catastrophiques en raison du siège.
    « La souffrance des civils au camp de Yarmouk a atteint des niveaux intolérables », a affirmé dans un communiqué Christos Stylianides, commissaire de l’UE à l’Aide humanitaire.
    « J’appelle vivement tous les belligérants à permettre un accès humanitaire immédiat et inconditionnel au camp », a-t-il dit, réitérant un appel du Conseil de sécurité de l’ONU.
    Pour sa part, Amnesty International a déploré que « la vie de milliers de personnes soit menacée par les bombardements aériens du régime » depuis l’assaut de l’EI contre le camp, dont les habitants sont également « la cible de tireurs embusqués ».
    Depuis 2012, Yarmouk a été soumis à un siège impitoyable de la part du régime, provoquant la mort de près de 200 personnes par malnutrition et absence de médicaments, d’après l’OSDH. Cette situation s’est aggravée avec l’assaut de l’EI, poussant près de 2.500 civils terrorisés à fuir le camp.
    Sur un autre front, une double attaque à la voiture piégée perpétrée par l’EI a frappé mardi soir deux localités de la province septentrionale d’Alep, faisant au moins 32 morts dont trois hauts commandants islamistes.
    « L’EI veut ouvrir un nouveau front et cherche à s’étendre dans la province d’Alep » face à ses rivaux islamistes et notamment la branche syrienne d’Al-Qaïda, le Front Al-Nosra.
    Et à Moscou, des opposants et des représentants du régime syrien tentaient au 3e jour de pourparlers de faire revivre le processus politique actuellement au point mort, après quatre ans d’un conflit qui a fait plus de 215.000 morts.

  • L’Autorité palestinienne et l’OLP condamnés pour des attentats en Israël - Le Monde

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/02/23/les-etats-unis-condamnent-l-autorite-palestinienne-pour-des-attentats-commis

    Un jury populaire de l’Etat de New York a jugé coupable, lundi 23 février, l’Autorité palestinienne et l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) d’avoir soutenu des attaques terroristes en Israël ayant fait des victimes israélo-américaines entre 2002 et 2004. Les deux organisations ont été condamnées à verser 218,5 millions de dollars (192 millions d’euros) d’indemnités aux familles.
    La justice américaine avait été saisie par les familles de onze victimes de six attentats attribués aux Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa et au Hamas à Jérusalem, qui avaient fait en tout 33 morts et plus de 450 blessés durant la deuxième Intifada. PLus de 3 000 Palestiniens et 1 000 Israéliens ont été tués pendant les combats.

    L’histoire de l’OLP racontée par @Alaingresh sur @OrientXXI http://orientxxi.info/magazine/il-y-a-cinquante-ans-naissait-l,0641

  • Les Etats-Unis condamnent l’Autorité palestinienne pour des attentats commis en Israël
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/02/23/les-etats-unis-condamnent-l-autorite-palestinienne-pour-des-attentats-commis

    Un jury populaire de l’Etat de New York a jugé coupable, lundi 23 février, l’Autorité palestinienne et l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) d’avoir soutenu des attaques terroristes en Israël ayant fait des victimes israélo-américaines entre 2002 et 2004. Les organisations ont été condamnées à verser 218,5 millions de dollars (192 millions d’euros) d’indemnités aux familles.

  • Israël/Palestine : entrevue Livni-Abbas
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/16/97001-20140516FILWWW00421-israelpalestine-entrevue-livni-abbas.php

    Le président palestinien Mahmoud Abbas et la ministre israélienne chargée des négociations de paix, Tzipi Livni, se sont vus jeudi soir à Londres, dans une première rencontre israélo-palestinienne depuis la suspension des négociations de paix, a rapporté aujourd’hui la télévision israélienne. Un responsable palestinien a confirmé la tenue de cette rencontre sans donner plus de détails.

    Lors de cette rencontre, la négociatrice israélienne a évoqué l’avenir du processus de paix, désormais à nouveau dans l’impasse, et a fait part de l’inquiétude d’Israël après la récente signature d’un accord de réconciliation entre l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir à Gaza, a précisé la télévision. « Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a été informé de cette rencontre mais il en a exprimé de la colère », a affirmé le commentateur politique de la chaîne.

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    Netanyahu désavoue Livni pour sa rencontre avec Abbas
    http://www.lorientlejour.com/article/867747/netanyahu-desavoue-livni-pour-sa-rencontre-avec-abbas.html

    Benjamin Netanyahu a désavoué la rencontre entre sa ministre Tzipi Livni et le président palestinien Mahmoud Abbas, rappelant que le dialogue avec les Palestiniens était gelé, a indiqué dimanche une source proche du Premier ministre israélien.

    « Le Premier ministre a dit à Tzipi Livni avant cette rencontre (jeudi soir à Londres) qu’elle n’y représenterait qu’elle-même et non le gouvernement israélien », a expliqué à l’AFP cette source, confirmant ainsi que M. Netanyahu avait été informé en amont de l’entrevue.

    Selon la source, M. Netanyahu a également expliqué à Mme Livni, sa négociatrice en chef, que la décision du gouvernement de « ne pas négocier avec une Autorité palestinienne qui soutient le mouvement terroriste du Hamas » avait été prise par l’ensemble du gouvernement.

    « Cette rencontre à Londres était d’ordre privé et la ministre peut rencontrer qui bon lui semble », avait pour sa part estimé samedi Avigdor Lieberman, le ministre israélien des Affaires étrangères.

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    Livni sera bientôt présentée dans les médias comme une colombe et l’état d’Israël pourra redorer son blason pour pas cher.

    • Livni plaide pour la poursuite des contacts avec les Palestiniens
      http://www.lorientlejour.com/article/867920/livni-plaide-pour-la-poursuite-des-contacts-avec-les-palestiniens.htm

      La négociatrice israélienne Tzipi Livni a justifié lundi sa rencontre critiquée au sein du gouvernement avec le président palestinien Mahmoud Abbas la semaine dernière par la nécessité de poursuivre les contacts, pourtant officiellement gelés par Israël.

      « Le conflit (israélo-palestinien) continue. La politique de l’autruche n’est pas la bonne. Boycotter l’autre côté non plus », a déclaré dans un communiqué la ministre de la Justice, en charge des pourparlers avec les Palestiniens, appelant à la reprise de négociations directes.

      « Nous ne pouvons pas ignorer la nature problématique de la réconciliation entre le Fatah et le Hamas », a néanmoins reconnu la ministre israélienne, en référence au nouvel accord de réconciliation conclu le 23 avril entre l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), dominée par le Fatah, mouvement de M. Abbas, et le Hamas islamiste.

  • Israël reconnaît l’assassinat du numéro 2 de l’OLP en 1988 à Tunis
    http://www.romandie.com/news/n/_Israel_reconnait_l_assassinat_du_numero_2_de_l_OLP_en_1988_a_Tunis1101112

    JERUSALEM - Israël reconnaît pour la première fois officiellement l’assassinat du numéro deux de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), Abou Jihad, en 1988 à Tunis, selon des extraits d’un article publiés jeudi par le quotidien Yediot Aharonot, à paraître vendredi.

    Le journal israélien indique avoir été autorisé à publier les détails de cette opération à la suite de six mois de négociations avec la censure militaire.

    L’opération contre Abou Jihad, de son vrai nom Khalil al-Wazir, dans la nuit du 15 au 16 avril 1988, à Tunis, où s’était installée l’OLP, visait à décapiter la première Intifada palestinienne, qui avait éclaté en décembre 1987, dont il était un des dirigeants.

    Elle a été conduite par 26 membres des commandos de l’état-major, l’unité la plus prestigieuse de l’armée, alors dirigés par Moshé Yaalon, actuel ministre des Affaires stratégiques, sous le commandement de son adjoint, Nahoum Lev, précise le journal.

    • En effet :

      Masqués, ces commandos tuent un second garde qui venait de se réveiller et n’a pas eu le temps de dégainer son arme. Un jardinier, qui dormait dans la cave de la villa, est aussi tué. Dommage pour lui, mais quand on mène ce genre d’opérations, il faut s’assurer que toute résistance potentielle est éliminée, a commenté Nahoum Lev.

      J’imagine que c’est pourquoi François Hollande n’a pu potentiellement offrir aucune résistance à son nouvel ami Benyamin Netanyahou