organization:le parlement européen

  • Accords de libre-échange transatlantiques - Plus de 200 jeunes anti-CETA ont joué les trouble-fêtes place du Luxembourg à Bruxelles RTBF 3 Novembre 2016 Belga News
    http://www.rtbf.be/info/monde/detail_accords-de-libre-echange-transatlantiques-plus-de-200-jeunes-anti-ceta-o


    Répondant à l’appel de la plate-forme TTIP Game Over, environ 250 personnes se sont rassemblées, jeudi soir à partir de 20H30, place du Luxembourg, devant le Parlement européen à Bruxelles, pour dénoncer la proximité des mondes des lobbyistes et des décideurs.

    Les manifestants étaient bien habillés pour se confondre avec les clients des bars et restaurants situés tout au tour de la place.

    Ils ont tiré quelques fusées d’artifice à 20H30. Ils ont ensuite chanté « Do you hear the people sing ? » , titre devenu l’hymne de la mobilisation citoyenne contre les traités de libre-échange entre d’une part l’Union européenne et le d’autre part le Canada (CETA) et les Etats-Unis (TTIP).

    Des rubans de signalisation aux couleurs de ceux de la police, mais avec des inscriptions anti-CETA et anti-TTIP, ont été déployés autour de la place. Une des participantes explique que leur action visait à faire entendre la voix des citoyens aux décideurs européens : « C’est un lieu informel où se retrouvent beaucoup de lobbyistes et de personnes qui travaillent dans les institutions européennes.

    C’est une une bulle bruxelloise. Les frontières sont poreuses entre les rapports formels et informels.

    On voulait montrer notre opposition à la collusion entre le monde des affaires et le monde politique.

    C’est pour nous, cette proximité qui a provoqué la signature du CETA. » Plus tôt dans la journée, une cinquantaine de jeunes également habillés en tenue de soirée ont bu du champagne devant le Berlaymont, siège de la Commission européenne, pour singer les lobbyistes en train de se féliciter de la signature du CETA dimanche.

    #CETA #TTIP #Bruxelles #TTIP_Game_Over #parlement_européen #lobby #commission_européenne #uef #ue #multinationales #lobbying #tisa #Canada #tafta #europe #luxembourg

  • Encore et toujours une affaire Patrick Bruel : Jean-Marie Le Pen sera jugé - France Révolution
    http://france-revolution-investigative-reporter.over-blog.com/2016/10/encore-et-toujours-une-affaire-patrick-bruel-jean-marie-le-pen-sera-juge.html

    Le 25 octobre, à la demande de la justice française, le Parlement européen a levé l’immunité parlementaire de Jean-Marie Le Pen. Elle l’accuse d’incitation à la haine raciale pour des propos à l’encontre du chanteur Patrick Bruel.

    Réunis en session plénière à Strasbourg le 25 octobre, les eurodéputés ont levé l’immunité parlementaire de Jean-Marie Le Pen. Ils ont accédé à la demande de la justice française qui souhaite le poursuivre pour incitation à la haine raciale après les propos qu’il a tenus concernant le chanteur Patrick Bruel.

    La lâcheté parlementaire a pu se donner libre court : en effet, c’est à main levée que mon immunité parlementaire a été levée.pic.twitter.com/tj86OqajHW— Jean-Marie Le Pen (@lepenjm)25 octobre 2016
    Les députés européens ont suivi l’avis de leur Commission des affaires juridiques. Cette dernière avait estimé que les propos en cause ne s’inscrivaient pas dans le cadre des fonctions de l’eurodéputé d’extrême droite. La Commission avait également souligné que l’immunité d’un parlementaire européen « ne l’autorise pas à calomnier, diffamer, inciter à la haine ou à proférer des affirmations portant atteinte à l’honneur d’une personne ». 

    Jean-Marie Le Pen, âgé de 88 ans, s’en était pris en juin 2014 dans une vidéo diffusée sur le site internet de son parti, le Front national (FN), aux artistes engagés contre ce parti, tels Guy Bedos et Madonna. Alors qu’on lui avançait le nom de Patrick Bruel, de confession juive, il avait ajouté : « Ecoutez, on fera une fournée la prochaine fois ! »

    Cette phrase avait suscité des critiques virulentes au sein même du FN. Marine Le Pen, sa fille, estimant qu’il s’agissait d’une « faute politique ». Louis Aliot, l’un des vice-présidents du parti d’extrême droite, avait qualifité le choix de ce terme de « stupide politiquement et consternant ». « Le mot fournée que j’ai employé n’a évidemment aucune connotation antisémite, sauf pour des ennemis politiques ou des imbéciles », avait réagi Jean-Marie Le Pen. « S’il y a des gens de mon camp qui l’interprètent de cette manière, c’est que ce sont des imbéciles ! », avait poursuivi le co-fondateur du Front national.

    Le président du Parlement européen, Martin Schulz, a par ailleurs annoncé le 25 octobre avoir reçu et transmis à la Commission des affaires juridiques une demande de levée d’immunité concernant Marine Le Pen. Elle lui a été adressée par le parquet de Nanterre en banlieue parisienne. Selon une source au Parlement européen, cette demande est liée à une enquête pour « diffusion d’images violentes » ouverte contre la présidente du Front national après qu’elle a diffusé sur son compte Twitter en décembre 2015 des photos d’exactions perpétrées par l’Etat islamique. Elle avait indiqué qu’il s’agissait d’une réponse à un journaliste qu’elle avait accusé d’avoir dressé un « parallèle » entre son parti et l’organisation terroriste. L’examen de cette demande peut prendre plusieurs mois.

  • Salon Euronaval 17-21 octobre à Paris-Bourget

    Toujours plus d’exposants, toujours moins de régulation pour les transferts d’armes

    Si les organisateurs du salon Euronaval constatent le retour des États-puissances, et de leurs rivalités ataviques, ils oublient de préciser que le marché de l’armement pourrait devenir « un grand bazar mondial », sous le poids des dérégulations successives conduites par l’Union européenne. Après la directive de 2009, qui a conduit à libéraliser le marché de l’armement au sein de l’UE — avec des effets désastreux en terme de transparence et de contrôle — le Parlement européen pourrait voter le 26 octobre une enveloppe de 25 millions d’euros dédiée à la recherche militaire, prélude à un programme plus conséquent à terme de 3 milliards. Or le Parlement européen n’est pas compétent en matière de défense et n’aura aucun droit de regard sur l’emploi de ces fonds...

    En France, le régime de « prohibition » organise le contrôle du secteur de l’armement par l’État à de multiples niveaux. Pourtant, ce régime est en train d’être remis en cause dans le silence général selon une dynamique proche du transfert de souveraineté. Les biens militaires sont sur la voie de devenir des marchandises comme les autres, à l’instar du pétrole ou des bananes...

    http://obsarm.org/spip.php?article280

  • #CETA #Canada La peur des gens qui viennent poser des questions dérangeantes, Même Marine Le Pen est venue au Québec ! Le Devoir, 13 octobre 2016, Boris Proulx - Avec La Presse canadienne

    Le refus de l’entrée au pays, plus tard révoqué, du député au Parlement européen et militant écologiste José Bové soulève la question du « profilage politique » aux frontières canadiennes. Les organisations qui ont invité M. Bové se demandent maintenant si ce curieux volte-face de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a à voir avec la visite à Montréal du premier ministre français, Manuel Valls, prévue jeudi.
     
    José Bové a finalement été accepté au pays mercredi. Le « revirement de situation » dans son dossier lui laisse désormais le droit de rester de ce côté-ci de l’Atlantique pour une durée de sept jours, moyennant des frais administratifs de 200 $. Comble de l’ironie, M. Bové a appris la nouvelle au moment de sa conférence de presse, dans laquelle il accusait le gouvernement de Justin Trudeau de vouloir le museler à cause de son opposition au traité de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne.
     
    Une année de refus
     
    Le député européen, qui est aussi éleveur de brebis et fromager, croit que des raisons politiques ont justifié son rejet du pays. « Nous sommes à quelques semaines d’une ratification, ou pas, de l’Accord [économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne], et le Parlement européen est partie prenante puisqu’il doit le voter. Eh bien, voilà qu’un de ses membres […] n’a pas le droit de se rendre dans le pays avec lequel on doit normalement avoir un accord. J’ai envie de poser la question à M. Trudeau : “Quelle mouche vous a piqué ?” »
     
    Les responsables des organismes qui ont invité M. Bové au pays s’expliquent mal que l’eurodéputé soit traité de la sorte. Nathalie Guay, responsable des relations internationales à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), fait un rapprochement avec le dossier du rejet de visas de délégués altermondialistes au moment du Forum social mondial (FSM), en août. La CSN a dénombré environ 500 participants qui n’ont pu participer au forum puisque butés à un rejet de leur visa par Ottawa . « Quand on voit ce qu’on demande aux gens qui viennent, on voit que le Canada a peur que les pauvres s’installent ici, et peur des gens qui viennent poser des questions dérangeantes. » À son avis, cela constitue du profilage politique.
     
    « Même Marine Le Pen est venue au Québec, mais on ne veut pas que des critiques de l’accord de libre-échange viennent au Canada » , s’insurge Sujata Dey, du Conseil des Canadiens. Pierre-Yves Serinet, du Réseau québécois sur l’intégration continentale (RQIC), croit que la notoriété de son invité a posé problème. « C’est quelqu’un de connu, une voix critique, qui vient alors que nous [les opposants à l’AECG] n’avons pas réussi à percer le débat public au Québec. »
     

    Refusé pour des actions militantes
    http://www.ledevoir.com/politique/canada/482027/jose-bove-pourra-rester-au-canada

    • Des fonctionnaires européens écœurés par José Manuel Barroso ? ? ? ? ? ?

      Un plaisanterie !
      Les fonctionnaires européens n’attendent qu’une chose : Aller monnayer leur carnet d’adresses chez les lobbyistes de l’union européenne.

      En attendant, pour passer le temps, pillage et destruction de la Grèce.
      Pillage des autres autres pays de cette union européenne de l’enrichissement de quelques uns.

      Normal que ce soit France Culture, qui veut nous apitoyer sur ces gens là !
      https://www.youtube.com/watch?v=tHQzZClpL9o

      Sylvain Laurens, Les Courtiers du capitalisme, Milieux d’affaires et bureaucrates à Bruxelles, Editions Agone
      http://agone.org/lordredeschoses/lescourtiersducapitalisme

      À Bruxelles, loin des ONG, les lobbies patronaux préfèrent le huis-clos avec les bureaucrates pour faire progresser leurs affaires.

      Pour un lobbyiste, connaître des bureaucrates plus ou moins personnellement permet de savoir quand il est encore utile de pousser une position et quand, à l’inverse, il ne sert à rien de se montrer insistant : « En fait, le Parlement européen, si tu veux faire une analogie, c’est comme si tu avais une table de poker ; et à cette table de poker-là, les gens doivent montrer leur jeu. Au Parlement, tu dois montrer ton jeu. Donc les libéraux c’est ça, la droite c’est ça et les socialistes c’est ça. Tu lis les amendements, tu vois d’où ça vient. Et le type de la Commission qui bosse là-dessus depuis deux ans à fond, il voit tout de suite dans le style de la rédaction, dans l’idée qui est poussée, comment ça a été amené et à quelle industrie il a affaire. »

      À partir d’archives inédites et d’observations réalisées auprès des lobbys patronaux, ce livre analyse les relations qu’entretiennent les représentants des intérêts économiques avec les agents de la Commission européenne.
      Pour parvenir à leurs fins, les lobbyistes doivent se fondre dans les logiques de productivité de l’administration communautaire : les plus grandes firmes apprennent ainsi à manier le jargon des technocrates pour maintenir leur position, et enrôlent des experts scientifiques pour répondre aux attentes pratiques de tel ou tel chef de bureau. Et les liens intimes qu’entretient le capitalisme avec la bureaucratie se voient quotidiennement réactualisés.

    • Les statuts de l’union européenne sont avant tout monolithiques et ne laissent aucune place à l’interprétation : LE NEOLIBERALISME pour tous, à tous prix !
      Sylvain Laurens le rappelle.

      Je ne doute pas qu’il y ait des divergences entre les fonctionnaires européens, comme il y a des divergences d’interprétation dans les Lobbys.
      Lobby » c’est encore trop doux : ça suppose que les forces économiques fassent pression, de l’extérieur. Or, elles guident les institutions de l’intérieur.
      Pour moi, cette histoire de fonctionnaires européens écœurés par José Manuel Barroso a été montée de toute pièces afin d’améliorer l’image de cette institution et de ses membres, car le mécontentement monte, monte, dans tous les pays européens.

      Disons aussi que les dirigeants ne croient plus en ce qu’ils font.

  • L’État supprime les trains de nuit, l’un des modes de transport les plus écolo
    http://www.bastamag.net/La-suppression-des-trains-de-nuit-est-elle-compatible-avec-l-accord-de-Par

    Les trains de nuit sont amenés à disparaître, soit une dizaine de lignes. Les trains « Intercité » restent pourtant le mode de transport le plus économe en émissions de CO2 : 5,8 grammes d’équivalent pétrole par km et par passager contre 27,1 pour la voiture et 39,4 pour l’avion. « L’Intercité est l’un des #Transports les plus efficaces énergétiquement. Il est donc à favoriser pour la transition écologique dans les transports », estime le collectif « Oui au train de nuit », qui réunit une trentaine (...)

    En bref

    / #Le_défi_du_réchauffement_climatique, #Climat, Transports, #Services_publics

    • Pour réinventer ce mode de transport, ses promoteurs avancent quelques idées : une optimisation des correspondances aux frontières, des douches en gare, la vente des billets deux mois avant le départ, une desserte quotidienne, la réouverture de lignes – notamment des liaisons transversales qui ne passent pas par Paris. Ils s’inspirent là du #modèle_suédois où l’État a choisi d’investir sérieusement dans les trains de nuit en instaurant divers niveaux de conforts, des douches, des horaires optimaux, une communication et des tarifs incitant le public à préférer le train de nuit à l’avion. Résultat ? La ligne Stockolm-Malmö (ville située à l’extrême sud de la Suède) a gagné +65% de fréquentation sur un an. Côté français, les citoyens disent que l’on arrivera tôt ou tard « à ce niveau d’optimisation environnemental. Mais le démantèlement des trains de nuit en 2016-2017 crée autant d’années de retard... » Le gouvernement français a peut-être oublié qu’il a approuvé l’accord de Paris sur le climat, qui prétend contenir le réchauffement de la planète sous le seuil de 2 °C. L’accord vient d’être ratifié ce 4 octobre par le Parlement européen.

      #sncf #train_de_nuit #tgv

  • Le #Parlement_européen a approuvé les accords de Paris : pourquoi c’est important
    http://www.taurillon.org/le-parlement-europeen-a-approuve-les-accords-de-paris-pourquoi-c-est

    Mardi 4 octobre 2016, le Parlement Européen a adopté une résolution approuvant la ratification de l’Accord de Paris sur le climat par 467 voix pour, 94 contre et 55 abstentions. Concrètement, cela veut dire que le Parlement approuve la décision du Conseil européen de ratifier l’accord et autorise l’Union Européenne à déposer ses instruments de ratification devant l’Organisation des NationsUnies (ONU) pour permettre l’entrée en vigueur de l’accord.

    Actualités

    / #Environnement, #COP21_Paris, Parlement européen

    • Mouais… pas entièrement d’accord avec l’anathème absolu.

      D’accord, une grande part (il faut que je la visualise graphiquement ;-) des camemberts tombe dans la famille portnawak. Mais la «  solution  » qu’il recommande (où d’ailleurs, il enlève les pourcentages), le diagramme en barres, ne permet pas de représenter une distribution, c’est-à-dire le partage entre les différentes modalités. Au passage, si les barres peuvent visualiser une distribution ; il suffit de les empiler… et on retrouve alors une bonne part des problèmes du camembert.

      Quels sont-ils, ces problèmes ?
      • le nombre de modalités ne doit pas être trop élevé (son exemple est au delà de la limite)
      • il faut tenir compte de l’ordre des modalités ; si celles-ci ont un ordre «  naturel  », l’empilement (ou l’enroulement) se fait alors en suivant celui-ci et on peut facilement faire des cumuls (qui ont un sens). Dans ce cas, le camembert a un gros défaut : quand on a fait le tour (360°) on revient à 0 et donc les extrêmes se rejoignent. Les barres empilées évitent cette difficulté, de même ne l’oublions pas qu’une variante souvent négligée du camembert, l’hémicycle. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que c’est la représentation traditionnelle des assemblées… Et pas le camembert. Mais, bon, c’est un peu plus délicat à fabriquer avec un tableur
      • dans le même ordre d’idées, la palette de couleurs est fondamentale. Et les choix par défaut (c’est le cas dans son exemple) sont en général catastrophiques. Dans son exemple, il y a clairement une sémantique des couleurs (politiques) dont il ne tient absolument pas compte.

      Pour prendre de la hauteur (on peut aussi dire revenir aux fondamentaux) percevoir une distribution n’est pas du tout la même tâche que comparer les éléments : l’une (distribution) est synthétique, l’autre (comparaison terme à terme) est analytique. Pour cette dernière, l’accord unanime est que le tableau est le meilleur outil (on y retrouve aussi les problèmes d’ordre des éléments) et le graphique en barre est adapté.

      Pour le Parlement européen, voir WP p. ex.


      sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Parlement_européen

      Bref, le diagramme en secteurs (et ses variantes) a sa place dans la boîte à outils. Mais, comme tous les autres graphiques et peut-être plus encore, il faut le travailler en respectant les règles de #sémiologie_graphique. Ça y est, je l’ai écrit !

    • On en discutait un peu là : https://seenthis.net/messages/445629

      Pareil que @simplicissimus mais en moins érudit, les barres ne permettent pas de déduire facilement la part des grands partis par rapport aux autres par exemple. Selon le cas, on peut aussi regrouper les dernières valeurs sous une part « autres »

    • Vous abordez un problème complexe pour lequel il n’y a pas de solutions vraiment toutes faites. Il y a des des pistes à suivre, des recherches graphiques à expérimenter. Quand tu dis « en respectant les règles de #sémiologie_graphique » ça me fait assez bizarre parce qu’il n’y a pas de « règles » en sémiologie graphique, qui est un univers en soi, très riche et très diversifiés et par essence « non réglé ». Là encore il y a des pistes, des expérimentations, des recherches, mais en dernier ressort, il y a un graphique plus ou moins finalisé que les gens comprennent, ou ne comprennent pas. Pour ajouter à la difficulté, il y a des formes graphiques qu certains comprennent, et que d’autres ne comprennent pas ! des formes graphiques auxquelles certain·es sont sensibles, d’autres pas, etc... C’est un peu comme les couleurs, les formes et l’art en général. le NYT, le WP ou le Boston Globe font depuis quelques années des expérimentations graphiques (cartes et graphiques) assez originales qui ont complètement pulvérisé les soi-disant « règles » de la sémiologie graphique, et qui sont très percutant, intéressant, qui ont joué leur rôle de « montrer, rendre visible ce qui est invisible à l’oeil nu ».

      Il y a des années que je travaille sur la question de la mise en images des données qualitatives et quantitatives, et plus j’avance, plus j’essaye de comprendre, de typologiser ou catégoriser, plus je découvre un monde riche et diversifié que je trouve de plus en plus complexe. Au final on « afit des trucs, ou plutôt on essaye des trucs » mais on est toujours un peu frustré du résultat qui n’est jamais aussi efficace que celui qu’on imagine.

      Voilà, la suite bientôt, je crois que je vais du coup publier mes résultats de recherches un peu plus vite, je vois qu’il y a de l’intérêt pour cette question among some distinguished seenthisers...

  • Guy #Verhofstadt : ses propositions pour l’Europe
    http://www.taurillon.org/guy-verhofstadt-ses-propositions-pour-l-europe-8468

    Alors que le trio Rome-Berlin-Paris se réunissait à Ventotene pour trouver une issue à la crise politique européenne amplifiée par le #Brexit, certains ont déjà pensé la question et proposent dès à présent leurs idées. C’est le cas de Guy Verhofstadt, ancien premier ministre belge de 1999 à 2008, il est aujourd’hui l’un des députés européens les plus influents et a été designé par le Parlement Européen pour le représenter dans les négociations entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni. Détails et analyses de ses propositions.

    Actualités

    / Brexit, Sécurité, Verhofstadt

    #Sécurité

  • Comment le Parlement européen finance un parti d’extrême-droite à Bruxelles RTBF Véronique Fievet 21 Septembre
    http://www.rtbf.be/info/regions/detail_comment-le-parlement-europeen-finance-un-parti-d-extreme-droite-a-bruxel

    C ’était jusqu’ici une façade discrète au rez de chaussée d’un immeuble du square de Meeus, à Ixelles. Ces tags la désigne désormais comme les locaux d’un parti d’extrême-droite, en plein cœur du quartier européen. Nous avons voulu savoir qui se trouvait derrière les lettres APL mentionnées sur la sonnette.

    Derrière ces trois lettres, on découvre d’abord une très rassurante « Alliance pour la Paix et la Liberté ». L’APL (APF en anglais) est officiellement depuis 2015, un parti européen reconnu. Dans ses statuts, l’Alliance pour la Paix et la Liberté plaide pour une Europe des Nations, nourrie de valeurs chrétiennes. Elle affirme défendre la liberté, la démocratie et les droits humains fondamentaux. Rien à redire jusque là, mais deux « clics » sur la composition de l’équipe dirigeante ont de quoi surprendre. Le président de l’APL, Roberto Fiore n’est autre que le leader de Forza Nuova, un petit parti italien ouvertement néo-fasciste. 

    A ses côtés, on trouve un député européen du parti néo-nazi grec, Aube dorée, ou encore Jens Pühse du parti allemand d’extrême-droite NPD. Un Belge figure également dans l’équipe de l’APL. Il s’agit d’Hervé Van Laethem, fondateur et leader du groupuscule belge néo-nazi « Nation ». Cet ancien militaire a été condamné à plusieurs reprises pour des actes racistes ou des actions violentes.
    600 000 euros de subsides du parlement européen en 2016

    Quelque soit l’idéologie réellement véhiculée par l’APL, sa reconnaissance comme parti européen lui ouvre le droit à un financement de la part du parlement européen. En 2016, un montant de 400 000 euros a été accordé à l’Alliance et 197 625 euros à la fondation « Europa Terra Nostra » qui lui est adossée. Soit au total, un montant de près de 600 000 euros.

    Avec cet argent, l’Alliance peut financer des « voyages d’études » en « pays ami », comme en Russie ou en Syrie, organiser des conférences néo-nazies ou louer des locaux. Des activités qui lui assureront une réelle visibilité et ce coup de pouce ne manque pas de poser question, même si pour Manuel Abramowicz, animateur du site « RésistanceS » et spécialiste de l’extrême-droite, il n’y a là rien d’illégal. « On peut déplorer le financement d’un parti d’extrême-droite par le parlement européen, on peut trouver cela scandaleux, cela peut même créer des polémiques mais à l’heure actuelle, ils ont le droit de recevoir ces subsides ».

    Les contrôles sur l’affectation des fonds auront bien lieu mais plus tard. Ils seront réalisés par une société d’audit externe et validés par le parlement européen en juin 2017. Si les activités financées s’avéraient finalement incompatibles avec les principes européens, l’Alliance pour la Paix et la Liberté pourrait se voir réclamer les sommes indûment perçues. 
    Mais au sein du parlement, certains s’insurgent contre la facilité avec laquelle les subsides sont octroyés. Plusieurs députés voudraient que soit mis un terme à la possibilité de soutenir financièrement les ennemis de l’Europe et leur incitation au racisme et au fascisme.

    De nouveaux dispositifs devraient entrer en vigueur en 2017. Ils devraient, en principe, empêcher les partis qui ne respectent pas les valeurs européennes, de s’en approprier les fonds.

    #APL #APF #extreme_droite #Ixelles #europe_des_nations #aube_dorée #forza_nuova #néo_nazis #parlement_européen #union_européenne

  • Malgré l’austérité, l’Europe s’apprête à financer directement la recherche militaire
    http://www.bastamag.net/L-Union-europeenne-s-apprete-a-financer-directement-la-recherche-militaire

    Le Parlement européen est en train d’étudier le budget de l’Union européenne pour 2017. Le projet déposé par la Commission avant l’été prévoit 5,2 milliards d’euros pour renforcer les frontières de l’Europe face aux migrants. Il contient aussi, pour la première fois, une ligne budgétaire spécialement dédié à la recherche militaire. Appelée “action préparatoire pour la recherche dans le domaine de la défense“ (preparatory action for research in the defence area), cette aide devrait s’élever à 25 millions d’euros (...)

    En bref

    / #Europe, #Guerres_et_résolution_des_conflits, #Multinationales

  • Les villes européennes de plus en plus « intelligentes »
    http://fr.myeurop.info/2016/09/19/les-villes-europ-ennes-de-plus-en-plus-intelligentes-14747

    L’Union européenne se trouve aujourd’hui confrontée à l’un de ses plus grands défis : penser et adapter la ville pour l’intégrer à un environnement intelligent et durable. Actuellement, près de trois Européens sur quatre vivent en ville. Ils consomment 70 % de l’énergie de l’UE et leurs activités quotidiennes lancent des défis redoutables à l’Union. Les embouteillages, pour prendre un seul exemple, coûtent à l’Europe 1 % de son PIB. D’où le développement de villes intelligentes sur le Vieux continent.

    Selon le Parlement européen, près de 240 villes européennes de plus de 100 000 habitants méritent actuellement le qualificatif d’« intelligentes&nb lire la (...)

    #EUROFOCUS #Europe #énergie #smart_cities #smart_grids #transition_énergétique

  • #Bruxelles : Non au local nazi au square de Meeûs 22
    http://lahorde.samizdat.net/2016/09/19/bruxelles-non-au-local-nazi-au-square-de-meeus-22

    Lu sur le site de Bruxelles Zone Antifasciste : Une alliance européenne de partis nationalistes, #Alliance_for_Peace_and_Freedom, vient d’ouvrir un local à Ixelles (22 Square de Meeûs). Cette alliance regroupe ce que l’Europe connaît de pire en termes de nostalgiques du fascisme et du nazisme. Les organisations qui composent l’APF, Aube Dorée [&hellip

    #International #Non_classé

    • Comment le Parlement européen finance un parti d’extrême-droite à Bruxelles RTBF Véronique Fievet 21 Septembre
      http://www.rtbf.be/info/regions/detail_comment-le-parlement-europeen-finance-un-parti-d-extreme-droite-a-bruxel

      C’était jusqu’ici une façade discrète au rez de chaussée d’un immeuble du square de Meeus, à Ixelles. Ces tags la désigne désormais comme les locaux d’un parti d’extrême-droite, en plein cœur du quartier européen. Nous avons voulu savoir qui se trouvait derrière les lettres APL mentionnées sur la sonnette.

      Derrière ces trois lettres, on découvre d’abord une très rassurante « Alliance pour la Paix et la Liberté ». L’APL (APF en anglais) est officiellement depuis 2015, un parti européen reconnu. Dans ses statuts, l’Alliance pour la Paix et la Liberté plaide pour une Europe des Nations, nourrie de valeurs chrétiennes. Elle affirme défendre la liberté, la démocratie et les droits humains fondamentaux. Rien à redire jusque là, mais deux « clics » sur la composition de l’équipe dirigeante ont de quoi surprendre. Le président de l’APL, Roberto Fiore n’est autre que le leader de Forza Nuova, un petit parti italien ouvertement néo-fasciste. A ses côtés, on trouve un député européen du parti néo-nazi grec, Aube dorée, ou encore Jens Pühse du parti allemand d’extrême-droite NPD. Un Belge figure également dans l’équipe de l’APL. Il s’agit d’Hervé Van Laethem, fondateur et leader du groupuscule belge néo-nazi « Nation ».

      Cet ancien militaire a été condamné à plusieurs reprises pour des actes racistes ou des actions violentes.
      600 000 euros de subsides du parlement européen en 2016
      Quelque soit l’idéologie réellement véhiculée par l’APL, sa reconnaissance comme parti européen lui ouvre le droit à un financement de la part du parlement européen. En 2016, un montant de 400 000 euros a été accordé à l’Alliance et 197 625 euros à la fondation « Europa Terra Nostra » qui lui est adossée. Soit au total, un montant de près de 600 000 euros.

      Avec cet argent, l’Alliance peut financer des « voyages d’études » en « pays ami », comme en Russie ou en Syrie, organiser des conférences néo-nazies ou louer des locaux. Des activités qui lui assureront une réelle visibilité et ce coup de pouce ne manque pas de poser question, même si pour Manuel Abramowicz, animateur du site « RésistanceS » et spécialiste de l’extrême-droite, il n’y a là rien d’illégal. « On peut déplorer le financement d’un parti d’extrême-droite par le parlement européen, on peut trouver cela scandaleux, cela peut même créer des polémiques mais à l’heure actuelle, ils ont le droit de recevoir ces subsides ».

      Les contrôles sur l’affectation des fonds auront bien lieu mais plus tard. Ils seront réalisés par une société d’audit externe et validés par le parlement européen en juin 2017. Si les activités financées s’avéraient finalement incompatibles avec les principes européens, l’Alliance pour la Paix et la Liberté pourrait se voir réclamer les sommes indûment perçues. 

      Mais au sein du parlement, certains s’insurgent contre la facilité avec laquelle les subsides sont octroyés. Plusieurs députés voudraient que soit mis un terme à la possibilité de soutenir financièrement les ennemis de l’Europe et leur incitation au racisme et au fascisme.

      De nouveaux dispositifs devraient entrer en vigueur en 2017. Ils devraient, en principe, empêcher les partis qui ne respectent pas les valeurs européennes, de s’en approprier les fonds.

      #APL #APF #extreme_droite #Ixelles #europe_des_nations #aube_dorée #forza_nuova #néo_nazis #parlement_européen #union_européenne

  • le Parlement européen s’acharne contre le pauvre petit #FN… comme je suis triste.
    https://gauchedecombat.net/2016/09/15/le-parlement-europeen-sacharne-contre-le-pauvre-petit-fn-comme-je-su

    C’est Bembelly qui a soulevé le lièvre le premier, avec une ironique mais néanmoins pertinente formule : « Bruxelles demande à l’« assistée parlementaire » Marine Le Pen de rembourser ses allocs 2015… » : Bien sûr, il ne s’agit pas que du FN, mais de groupes parlementaires européens d’extrême droite auquel le parti raciste et sexiste français appartient. Mais … Lire la suite de le Parlement européen s’acharne contre le pauvre petit #FN… comme je suis triste.

    http://0.gravatar.com/avatar/9faa4d044bbecc32a5bef02aba121599?s=96&d=&r=G

  • Données sur les passagers : la justice européenne menace les accords #PNR
    https://www.mediapart.fr/journal/international/080916/donnees-sur-les-passagers-la-justice-europeenne-menace-les-accords-pnr

    L’avocat général de la Cour de justice de l’Union européenne, saisie par le Parlement européen, estime que l’accord en cours de négociation entre l’UE et le #Canada sur l’échange de données des passagers aériens est contraire à la Charte des droits fondamentaux en raison du manque de protection de la #vie_privée. Si les juges suivent cet avis, cela pèserait lourdement sur des négociations similaires en cours avec les États-Unis et l’Australie.

    #International #CJUE #données_personnelles #libertés_publiques #union_européenne

  • TTIP : Ne pas crier victoire ! Suisse, Le Courier Mardi 30 août 2016 Benito Perez
    http://www.lecourrier.ch/141895/ttip_ne_pas_crier_victoire

    ❞ Stop ou encore ?
    Les négociations sur le Traité transatlantique de libre-échange (TTIP ou TAFTA) ont suscité un curieux pas de danse entre le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel, et la porte-parole de la Commission européenne, Margaritis Schinas. Pour le premier, interviewé dimanche par la TV allemande, le TTIP serait « de facto » enterré, vaincu par le refus des Européens de se « soumettre aux exigences américaines ». La seconde, elle, a affiché lundi un bel optimisme quant à un bouclage de l’accord avant la fin de l’année.

    Qui dit vrai ? Qui dit faux ?
    Probablement, les deux ! Car si une signature avant 2017 parait utopique, son enterrement l’est tout autant. Concrètement, les négociations – menées par la Commission mais devant être validées par les États et le parlement européen – achoppent sur un calendrier électoral très défavorable. Tant Hillary Clinton aux États-Unis que François Hollande en France ou Angela Merkel en Allemagne, tous favorables au traité, affronteront ces prochains mois les urnes dans un contexte de rejet populaire du TTIP.

    Pour les sociaux-démocrates de Sigmar Gabriel, l’échec du traité – dans sa forme actuelle – est même affaire de survie politique, après des années passées dans l’ombre d’une coalition dirigée par la CDU.

    Mais une fois ces écueils démocratiques franchis, rien n’indique que les penchants libre-échangistes de la nomenklatura occidentale ne pourront à nouveau s’exprimer librement. On se souvient encore d’un Bill Clinton, porté à la Maison-Blanche sur la promesse de refuser l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), l’adouber une fois confortablement installé dans le bureau ovale.

    Dans le rôle du catalyseur, Étasuniens et Européens trouveront alors un précieux précédent avec le CETA (en français AECG, Accord économique et commercial global), que les Vingt-Sept s’apprêtent à concrétiser cet automne avec le Canada.

    Ce traité, moins médiatisé que le TTIP, n’est pourtant guère différent. À une grosse exception près, dont ses défenseurs savent jouer avec habileté : l’abandon des fameux tribunaux privés pouvant être saisis par les sociétés transnationales qui s’estiment lésées par les politiques sociales, environnementales ou commerciales d’un État partie.
    Une victoire, malheureusement, en trompe-l’œil. Car à la place de ces arbitres privés, le CETA instaure un système d’arbitrage semi-public, dit ICS (Investment Court System), ne réglant ni la question de l’indépendance des « juges » ni l’asymétrie permettant aux seules entreprises de saisir l’instance.

    Pis : en véritable cheval de Troie du libre-échangisme, le CETA se propose d’être l’instigateur d’un ICS global, où les sociétés privées du monde entier pourraient s’attaquer à l’ensemble des régulations démocratiques. Pendant ce temps, bien entendu, ces transnationales demeureraient, elles, bien à l’abri d’un droit international qu’elles continuent d’éluder au profit de codes déontologiques non contraignants… ! ❞

    #TTIP #CETA #Arnaque #ICS #nomenklatura #International

    • Tant Hillary Clinton aux États-Unis que François Hollande en France ou Angela Merkel en Allemagne, tous favorables au traité, affronteront ces prochains mois les urnes dans un contexte de rejet populaire du TTIP.

  • Frontexit | Nouveau mandat de l’agence Frontex : L’UE s’obstine dans sa guerre contre les migrants et les réfugiés
    http://asile.ch/2016/08/17/frontexit-nouveau-mandat-de-lagence-frontex-lue-sobstine-guerre-contre-migrant

    Depuis trois ans, la campagne inter-associative Frontexit dénonce l’incompatibilité de l’agence Frontex avec le respect des droits fondamentaux. La création d’un nouveau corps européen de garde-frontières en lieu et place de Frontex, validée par le Parlement européen le 6 juillet dernier, marque une étape supplémentaire dans la guerre menée par l’Union européenne (UE) contre les […]

    • #Super-Frontex approved, acclaimed and decried

      The European Parliament endorsed today (7 July) the Commission’s proposal to establish a European Border and Coast Guard Agency, beefing up the existing Frontex, a move acclaimed by the major political groups, but decried by the Greens and the leftist GUE/NGL because of its new powers.

      http://www.euractiv.com/section/global-europe/news/super-frontex-approved-acclaimed-and-decried
      #Frontex #super-Frontex #frontières #contrôles_frontaliers #migrations #asile #réfugiés

      #Frontexit

    • Genealogia della nuova Frontex

      Il 6 ottobre 2016 è stata ufficialmente lanciata la nuova Guardia costiera e di frontiera europea, che continuerà ad essere comunemente denominata Frontex, il cui regolamento istitutivo è stato pubblicato in Gazzetta Ufficiale dell’Unione europea il 16 settembre 2016, a soli nove mesi dalla proposta della Commissione. Senza ombra di dubbio si tratta di un risultato politico straordinario, anche considerando la complessità della procedura legislativa europea e la delicatezza della materia, che tocca una questione così sensibile per la sovranità nazionale quale il presidio delle frontiere.

      http://www.meltingpot.org/Genealogia-della-nuova-Frontex.html
      #gardes-frontières_européens

    • #Frontex in Libia, grigiore oltre la nebbia

      Nel mese di dicembre è previsto l’inizio della partecipazione di Frontex, l’agenzia della guardia di frontiera e costiera europea, insieme alla missione Ue Sophia, alla formazione della guardia costiera libica. Lo ha annunciato il direttore di Frontex, Fabrice Leggeri. Si tratta di uno dei primi passi dall’avvenuta costituzione della guardia costiera europea. Tale missione avrà come obiettivo quello di migliorare la sicurezza nelle acque territoriali per le operazioni di ricerca e di soccorso. Ne abbiamo discusso approfonditamente con il professor Giuseppe Campesi, che insegna Sociologia dei fenomeni politici e Sociologia del diritto all’Università di Bari. Il suo profilo è particolarmente interessante perché professor Campesi si è soffermato in numerose pubblicazioni sulle questioni relative alle migrazioni e in alcune ha trattato espressamente il tema dello sviluppo dell’Euromediterraneo e del rapporto tra Frontex e il fenomeno migratorio.

      http://www.lindro.it/frontex-libia-grigiore-oltre-la-nebbia

      #Libye #opération_Sophia

    • European Border and Coast Guard Agency launches rapid intervention pool

      Starting today, Frontex, the European Border and Coast Guard Agency, will be able to deploy as many as 1 500 border guards at short notice to assist member states in emergency situations at their EU’s external borders. The creation of the rapid reaction pool is a significant milestone in the development of the European Border and Coast Guard Agency, which was launched in October.

      http://frontex.europa.eu/pressroom/news/european-border-and-coast-guard-agency-launches-rapid-intervention-po

      #rapid_reaction_pool

    • Libya’s migration crisis is about more than just security

      The EU’s Operation Sophia, which aims to disrupt the business model of human smuggling and trafficking networks, in part by taking apart the boats themselves, has come under fire for muddling the fight on traffickers and smugglers with stopping migration altogether.

      “Trying to stop slavery at the point of destroying boats in the middle of the Mediterranean doesn’t actually help people,” Claire Seaward, humanitarian campaign and advocacy manager at Oxfam, told IRIN. “As we are seeing, migrants will just use different types of boats. They used to be on large wooden boats and now they are on inflatable dinghies."

      Tim Eaton, a research fellow with the Middle East and North Africa programme at Chatham House, believes one of Operation Sophia’s major flaws is looking at migration – and migrants – through a one-dimensional lens, when it’s really about so much more, like economics and hope. “On a policy level, the problem comes when you look at this solely as a security problem,” Eaton told IRIN.

      http://www.irinnews.org/analysis/2017/09/11/libya-s-migration-crisis-about-more-just-security

    • Protéger les frontières pour assurer la libre-circulation en Europe

      Gérer uniquement la migration comme un problème de sécurité ferait le jeu des extrémistes qui cherchent à défaire la construction européenne. Néanmoins, garantir des frontières sûres et controlées est un impératif qui passent nécessairement par des solutions européennes nouvelles et innovantes. La transformation en cours de Frontex en Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes en est une. Elle nous permet d’aller au-delà de notre mandat initial – la gestion des flux migratoires – pour contribuer davantage à la sécurité des frontières extérieures de l’UE en participant plus activement à la lutte cruciale contre toutes les formes de criminalité organisée, terrorisme compris.
      Il s’agit là d’une tâche difficile. En plus de l’effort budgétaire conséquent, notre mandat élargi nous donnent pour mission d’évaluer les failles des dispositifs nationaux de contrôle des frontières et d’apporter des recommendations à vocation impérative : modernisation des équipements, déploiements de personnels supplémentaires dans certaines sections frontalière, formation des agents de controle de première ligne ou, notamment sur les sites les plus exposés , renforcement des installations d’accueil et d’enregistrement des migrants nouvellement arrivés.

      Avec près de 66 000 km de côtes et 13 000 km de frontières terrestres, la sécurité de l’Europe repose largement sur ses frontières extérieures. Comme le relève nos analystes, les menaces ne manquent pas sur les routes qui convergent vers l’UE, du trafic d’êtres humains jusqu’aux tonnes de drogues et d’armes saisies avec l’aide de Frontex et des 1 700 agents déployés par l’Agence aux frontières extérieures de l’UE pour soutenir les États membres. En parallèle, le nouveau mandat de l’Agence nous a également permis de constituer un vivier de 1 500 agents prêts à être rapidement engagés par les autorités nationales et déployés en cas de menaces avérées.

      Ainsi, Frontex passe progressivement d’un rôle de soutien à une mission de coordination en complémentarité de l’action des services nationaux, tendance qui ira en se renforcant au cours de la prochaine décennie. Naturellement, nous ne constituons qu’une pièce parmi d’autres, comme nos collègues de la Commission et du Parlement européens. Avec les services des garde-frontières et des gardes-côtes nationaux, nous formons la première ligne de contrôle et de sécurité aux frontières terrestres et maritimes de l’UE. C’est avec eux, et ensemble, que nous formons la garde-frontière et la garde-côtes européennes.

      Avec la création de l’Agence européennee de garde-frontières et de garde-côtes, l’UE a entamé une nouvelle étape de son parcours. Les défis sont tels qu’il n’y a pas un seul pays européen qui puisse seul protéger ses citoyens contre les menaces du crime organisé international tout en remplissant ses obligations humanitaires pour aider ceux qui fuient la persécution. Si la protection de nos frontières extérieures et la sauvegarde de la liberté de circulation nous importent vraiment, il est temps de défendre une approche européenne et d’affecter des ressources supplémentaires, nécessaires au niveau national et régional, pour éviter que la crise de 2015 ne vienne à se répéter. C’est notre intérêt commun ; c’est l’intérêt de chaque citoyen de l’UE.

      https://www.euractiv.fr/section/migrations/opinion/proteger-les-frontieres-pour-assurer-la-libre-circulation-en-europe

  • L’Europe part en guerre contre les allégations santé des #boissons_énergisantes
    http://fr.myeurop.info/2016/07/28/l-europe-part-en-guerre-contre-les-all-gations-sant-des-boissons-nergis

    La consommation de boissons énergisantes reste forte chez les adolescents et jeunes adultes. Un phénomène qu’entend contrer une résolution adoptée par le Parlement européen, qui veut lutter contre les « allégations santé » attachées à ces boissons.

    P margin-bottom : 0.21cm ; lire la suite

    #Société #INFO

  • Protégeons les lanceurs d’alerte, vite !
    https://www.crashdebug.fr:443/actualites-france/12035-protegeons-les-lanceurs-d-alerte-vite

    La bonne nouvelle du jour, c’est qu’ils ont commencé à mettre des banquiers en prison dans le cadre de l’escroquerie sur le Libor... Manque plus que les hommes politiques maintenant.... LOL !

    « Il faut poursuivre les criminels qui font de l’évasion fiscale, pas les lanceurs d’alerte » dénonce Jeppe Kofod,

    député social-démocrate danois. Photo : Reuters

    Scandalisés par les récentes condamnations d’Antoine Deltour et de Raphaël Halet dans le procès du « LuxLeaks », la plupart des députés européens exigent que les lanceurs d’alerte bénéficient le plus rapidement possible d’une protection au niveau européen. La Commission européenne traîne des pieds.

    « Il serait temps de passer aux actes ! » a lancé mercredi soir devant le parlement européen le député Pascal Durand ( Verts/ALE ), résumant le sentiment (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • 4 ans après le rejet d’Acta | Freezone
    https://asso.libre-a-toi.org/emission/08-freezone

    Le 4 juillet 2012, le Parlement européen infligeait un camouflet historique à la Commission européenne, en rejetant l’accord commercial anti-contrefaçon ACTA, jugé dangereux pour les libertés publiques par une écrasante majorité des eurodéputés. Quatre ans après cette victoire majeure, où en est-on exactement en matière de droit d’auteur ? Durée : 25 min. Source : Libre@Toi*

    https://asso.libre-a-toi.org/wp-content/airtime/imported/1/FRE/08-FRE-freezone_07-07-16.mp3

  • Protégeons les lanceurs d’alerte, vite !
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12035-protegeons-les-lanceurs-d-alerte-vite

    La bonne nouvelle du jour c’est qu’ils ont commencé à mettre des banquiers en prison dans le cadre de l’escroquerie sur le Libor.... Manque plus que les hommes politiques maintenant.... LOL !

    « Il faut poursuivre les criminels qui font de l’évasion fiscale, pas les lanceurs d’alerte » dénonce Jeppe Kofod,

    député social-démocrate danois. Photo : Reuters

    Scandalisés par les récentes condamnations d’Antoine Deltour et de Raphaël Halet dans le procès du « LuxLeaks », la plupart des députés européens exigent que les lanceurs d’alerte bénéficient le plus rapidement possible d’une protection au niveau européen. La Commission européenne traîne des pieds.

    « Il serait temps de passer aux actes ! » a lancé mercredi soir devant le parlement européen le député Pascal Durand ( Verts/ALE ), résumant le sentiment (...)

    #En_vedette #Liberté,_Égalité,_Fraternité... #Actualités_France

  • Pas de démocratie sociale en dehors du cadre national Le Devoir(Canada) 30 juin 2016 | Guillaume Rousseau - Professeur de droit
    Le résultat du référendum sur le Brexit met en lumière les limites du modèle de l’Union européenne

    À la surprise des classes supérieures du monde entier, le peuple britannique a tranché : il préfère sa démocratie et ses services publics à l’ordolibéralisme européen. En réaction, des europhiles du continent souhaitent pousser la construction européenne encore plus loin et, prétendent-ils, la rendre plus démocratique et plus sociale. Or, s’il y a bien une leçon à retenir du référendum sur le Brexit, c’est que les Britanniques ont senti le besoin de reprendre le contrôle de leur pays, parce qu’en dehors du cadre national il ne peut y avoir de démocratie et encore moins de démocratie sociale.

    Pas de démocratie en dehors du cadre national
     
    Les constructeurs de l’Union européenne ont cru qu’il suffisait de créer des institutions — démocratiques en apparence, comme le Parlement européen — pour créer une démocratie européenne. C’était un peu court, car la démocratie ne se résume pas à l’élection de représentants. Une véritable démocratie suppose qu’il existe un débat citoyen et une opinion publique dont le Parlement est la caisse de résonance. Pour qu’il y ait un tel débat et une telle opinion, il doit y avoir des journaux, des revues, des lignes ouvertes, bref, des médias de masse communs les accueillant. À l’échelle du Royaume-Uni, comme à celle de tous les États-nations, il existe de semblables médias. Ils sont possibles parce qu’à cette échelle il y a une langue et une culture communes permettant aux citoyens de diverses origines de s’exprimer, de se comprendre et de dégager leur intérêt commun. L’État-nation étant basé sur la coïncidence entre espace politique et espace de convergence culturelle, avec ses composantes, il est la seule entité pouvant être véritablement démocratique.
     
    À l’inverse, l’Union européenne étant supranationale, elle n’est pas et ne pourra jamais être une vraie démocratie. Parce qu’il n’y a pas une langue et une culture européennes communes, il n’y a pas de médias de masse communs permettant l’émergence d’un débat citoyen et d’une opinion publique européenne. Ce qu’il y a à Bruxelles, ce sont des lobbys qui défendent leurs intérêts particuliers et des membres des classes supérieures qui débattent entre eux dans leur intérêt.
     
    Dans ce contexte, la solution aux problèmes des peuples européens n’est pas plus d’Europe, mais moins d’Europe, puisqu’elle éloigne d’eux le pouvoir et le met entre les mains d’une élite déconnectée. Et cela est vrai autant du point de vue de la démocratie tout court que de la démocratie sociale.
     
    Pas de démocratie sociale en dehors du cadre national
     
    Dans sa volonté de dépasser le cadre politique ayant permis l’émergence de la démocratie sociale, basée sur un compromis entre le capital et le travail, l’Union européenne a mis en avant le principe de la libre circulation des biens, des services et des personnes. En permettant ainsi aux multinationales de délocaliser leurs productions vers des pays où la main-d’oeuvre est meilleur marché, sans perdre l’accès au marché national, ou de faire venir de la main-d’oeuvre bon marché au pays, l’Union européenne a rendu superflu ce compromis du point de vue du capital, affaiblissant du coup la démocratie sociale.
     
    Devant cet état de fait, les europhiles de gauche prétendent pouvoir rebâtir la démocratie sociale à l’échelle européenne. Cela est impossible. Cette forme de démocratie suppose que face aux forces du grand capital il y ait des contrepoids, dont une opinion publique et un peuple. Souvent, lorsqu’un gouvernement national tente d’imposer une réforme néolibérale, il se bute à une opinion publique réfractaire et parfois même à un peuple qui peut descendre dans la rue pour ainsi bloquer cette réforme. Une telle mobilisation est impossible à l’échelle de l’Union européenne en raison de l’immensité de son territoire et de l’absence d’une opinion publique… et d’un peuple européen.
     
    Sans parler que chaque gauche est nationale et a son propre modèle issu de son histoire : participation des travailleurs à la direction des entreprises en Allemagne, services publics et Code du travail universels en France, nationalisations et syndicalisme politique en Grande-Bretagne, etc. Autant de modèles fragilisés par l’intégration européenne qui ne sont pas solubles dans quelques normes sociales européennes. Les travaillistes britanniques ont tenté de convaincre leurs électeurs de voter pour le maintien dans l’union sous prétexte de préserver ces normes, mais comme celles-ci ne font pas le poids face au principe de la libre circulation, leur électorat populaire n’a pas suivi.
     
    Cela ne devrait plus faire de doute : l’État-nation est le seul type d’organisation assez petit pour incarner des citoyens d’origines diverses partageant une langue et une culture communes, et donc assez petit pour être vraiment démocratique, mais en même temps assez grand pour mettre en oeuvre de puissantes mesures sociales protégeant les travailleurs et les citoyens vulnérables contre les effets délétères de la mondialisation.
     
    Ce n’est sans doute pas un hasard si cette réalité nous est rappelée par une des plus vieilles nations démocratiques du monde et plus précisément par les classes ouvrières et populaires en son sein.
    Source : http://www.ledevoir.com/international/europe/474516/pas-de-democratie-sociale-en-dehors-du-cadre-national

    #Nation #Société #Politique #Royaume-Uni #union_européenne #euro #europe #UE #UEF #référendum #Bruxelles #comission_européene #International #frontière #territoires #parlement_européen #démocratie

    • Un article qui tente de réhabiliter l’idéologie nationaliste mais se contente d’affirmer sans démontrer. Un peu léger. L’État-nation n’a rien à voir avec la taille de l’État notamment. Ni avec la langue. Et certainement pas avec la démocratie.

    • En dehors du cadre national il ne peut y avoir de démocratie et encore moins de démocratie sociale . Cette phrase semble te choquer vlentz. Pourtant, c’est une règle de base, enseignée dans toutes les sciences po(1) qui se respectent.

      Guillaume Rousseau, l’auteur, est canadien, Professeur de droit à l’Université de Sherbrooke, Quebec, au Canada, état fédéral, et ne travaille donc pas pour un lobby de l’union européenne des paradis fiscaux, ni dans la superficialité.
      Pour ce qui est du fédéral, il connait, lui.

      (1) On dit aussi science popo. A lire ou écouter : De l’utilité sociale du divin canular démocratique. http://www.campuslille.com/index.php/easyblog/entry/de-l-utilite-sociale-du-divin-canular-democratique-science-popo

  • « Les Britanniques devront en payer le prix s’ils quittent l’Union européenne »
    http://www.taurillon.org/les-britanniques-devront-en-payer-le-prix-s-ils-quittent-l-union

    Le 23 juin, les Britanniques font leur choix concernant leur maintien dans l’Union européenne. Dans les jours suivants, le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne ont prévu des sessions extraordinaires en cas de sortie. Au cas où le #Brexit aurait vraiment lieu, l’Union européenne se trouverait face à des décisions stratégiques importantes. Entretien avec #Jo_Leinen, membre de Parlement européen (SPD, S&D).

    #Opinions

    / Brexit, Jo Leinen, #Royaume-Uni

    http://www.euractiv.de/section/finanzen-und-wirtschaft/news/grossbritannien-muesste-dafuer-bezahlen-wenn-es-die-eu-verlaesst

  • Le Parlement européen s’oppose au colonialisme agricole en Afrique – EurActiv.fr
    http://www.euractiv.fr/section/aide-au-developpement/news/le-parlement-europeen-soppose-au-colonialisme-agricole-en-afrique/?nl_ref=14494409

    Le programme du G7 en faveur de la sécurité alimentaire en Afrique fait fausse route en misant sur l’agriculture intensive, a tranché le Parlement européen, dans un rapport adopté le 7 juin à une vaste majorité.

    « Nous avons déjà fait cette erreur de l’agriculture intensive en Europe, nous ne devrions pas la reproduire en Afrique, car ce modèle détruit l’agriculture familiale et réduit la biodiversité » a averti la rapporteure Maria Heubuch (Vert).

    #youpi #terres #nasan

    • Dans leur proposition, les 5 pays déclarent :

      – Que les investisseurs transfrontaliers ont besoin de plus de protection que leurs propres citoyens, les investisseurs et les entreprises nationales Que le système d’arbitrage protégera mieux les investisseurs que leur propre système juridique interne

      – Que les investisseurs transfrontaliers doivent bénéficier de privilèges judiciaires pour contester les mesures parfaitement légales prises par leurs instances démocratiquement élues aux frais des contribuables

      – Que leur proposition est nécessaire pour soutenir la position de l’UE dans les négociations sur le commerce extérieur et que cela l’emporte sur la nécessité de préserver la même règle de droit pour tous les citoyens de l’UE et l’égalité des droits de ceux-ci

      Les droits et privilèges accordés aux investisseurs dans les TBI et dans l’« accord d’investissement intra-UE" que les 5 pays proposent :

      – discriminent les citoyens et les investisseurs nationaux

      – sont fondés sur des principes beaucoup plus vagues que dans les législations nationales qui peuvent être interprétés largement par des arbitres beaucoup moins responsables et indépendants que les juges des tribunaux nationaux,

      – servent plus les intérêts des entreprises que l’intérêt public

      – mineront la marge politique et la prise de décision démocratique dans toute l’UE

      – feront payer les contribuables pour les intérêts des entreprises.

      Il est sans précédent que les AFFGN proposent un traité multilatéral entre les États-membres sans impliquer les institutions de l’UE (y compris le Parlement européen). En outre, cette proposition - qui semble avoir été rédigée en concertation avec Business-Europe - est présenté par 5 pays devant un comité de l’UE traitant de la politique du commerce extérieur alors qu’elle porte sur des questions intérieures à l’UE, commerce et investissement intracommunautaire et droit interne de l’UE, démocratie et procédure judiciaire.

      Les intérêts commerciaux auraient-ils fini par prendre complètement le contrôle de l’UE ?

      La question se pose.