organization:le tribunal d'application des peines

  • La libération de Georges Ibrahim Abdallah refusée
    Un déni de justice

    http://www.saphirnews.com/La-liberation-de-Georges-Ibrahim-Abdallah-refusee_a16552.html

    Georges Ibrahim Abdallah restera en prison. La Cour de cassation a rejeté, jeudi 4 avril, sa demande de libération conditionnelle que le tribunal d’application des peines (TAP) de Paris avait pourtant acceptée en novembre 2012 au bout de la huitième procédure.

    Le TAP avait ajourné sa décision finale au 14 janvier pour laisser le temps au ministère de l’Intérieur de délivrer un arrêté d’expulsion, ce que Manuel Valls ne s’est pas résolu à faire.

    La plus haute juridiction française, saisie par le parquet en l’absence d’une décision favorable du ministre de l’Intérieur, estime que le prisonnier, aujourd’hui âgé de 62 ans, « ne pouvait se voir accorder une libération conditionnelle sans avoir été obligatoirement préalablement soumis, à titre probatoire, à une mesure de semi-liberté ou de placement sous surveillance électronique pendant une période d’un an au moins ».

  • George Ibrahim ‘Abdullah
    http://angryarab.blogspot.fr/2013/01/george-ibrahim-abdullah.html

    The man has been convicted and sentenced in France (the court did not actually link him to the assassinations in question but convicted him on a technical passport matter) and he served his full sentence. The US government has pressured the French government to keep him in jail. And this week, ‘Abdullah was ordered released but the US government ordered the French government to keep him in jail and the French Interior Minister complied. The story is big in Lebanon and the protest against France and the US is growing. Nothing on the story in the US media, I noticed although the spokesperson of the US Department of State commented on the case (and was publicly cursed by protesting Lebanese youths for her remarks).

    • Décision sur la libération d’Abdallah : nouveau report possible
      AFP | 16/01/2013
      http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/796528/Decision_sur_la_liberation_dAbdallah%3A_nouveau_report_possible.html

      Lundi, le tribunal d’application des peines (TAP) de Paris compétent en matière de terrorisme avait décidé de reporter sa décision finale sur la demande de libération de cet ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL) incarcéré depuis 28 ans en France pour complicité d’assassinat de deux diplomates, en 1982.

      Il avait ajourné son jugement au lundi 28 janvier dans l’attente de la signature hypothétique d’un arrêté d’expulsion du territoire français de Georges Ibrahim Abdallah, détenu à Lannemezan (Hautes-Pyrénées). Cet arrêté de l’Intérieur est indispensable pour autoriser la sortie de prison du Libanais à laquelle le TAP s’était dit favorable en novembre.

      C’est cet ajournement que conteste le parquet. Son appel étant suspensif, s’il n’est pas examiné avant le 28 janvier, le TAP ne pourra, une fois de plus, trancher à cette date.

      La chambre de l’application des peines de la cour d’appel de Paris a deux mois pour examiner l’appel.

      Pour expliquer sa démarche, le ministère public indique dans un communiqué qu’à ses yeux, les juridictions d’application des peines auraient dû « déclarer la demande de libération conditionnelle de M. Abdallah irrecevable, compte tenu de l’absence d’arrêté d’expulsion, préalable indispensable à l’examen de cette demande ».

      Or loin de déclarer irrecevable la demande de libération conditionnelle de l’ancien activiste libanais, le TAP s’y était déclaré favorable le 21 novembre, mais avait ajourné sa décision finale au 14 janvier pour laisser le temps au ministère de l’Intérieur de délivrer un arrêté d’expulsion.

      Le parquet avait fait appel de l’ajournement mais la chambre de l’application des peines, jeudi dernier, avait validé la décision du TAP.

      Le parquet général de Paris a annoncé mercredi avoir formé un pourvoi en cassation contre l’arrêt de la Chambre de l’application des peines, toujours pour la même raison : la requête ne peut être requise sans arrêté d’expulsion.

      Les deux recours du ministère public risquent de renforcer les critiques des défenseurs du Libanais qui dénoncent l’obstruction de l’exécutif français à la remise en liberté de l’ancien activiste.

      Et voilà pourquoi votre fille est muette...