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  • Traduction française du mémorandum du Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison-Blanche
    http://openaccess.inist.fr/?Traduction-francaise-du-memorandum

    Aux États-Unis, le Bureau de la politique scientifique et technologique a publié le 22 février 2013 le « MEMORANDUM FOR THE HEADS OF EXECUTIVE DEPARTMENTS AND AGENCIES ». Il donne des indications aux agences fédérales pour la mise en œuvre de politiques claire et coordonnées pour améliorer l’accès aux résultats des recherches scientifiques qu’elles financent.
    Le service de traduction de l’Inist-Cnrs a assuré la traduction en français de ce mémorandum.

  • Dust Bowl. Une tragédie environnementale contée par Ken Burns (La course vers la Maison-Blanche)
    http://usa.hypotheses.org/1170

    plusieurs facteurs vont alors changer le cours de l’Histoire, comme l’explique Ken Burns. La première guerre mondiale, une période de précipitations importantes, les avancées technologiques en matière d’équipements agricoles, vont mener à la conversion de millions d’hectares de prairies en champs céréaliers. Or, lorsque la Grande dépression frappe les Etats-Unis et finit par toucher la région, les agriculteurs, au lieu de réduire leur production afin d’appuyer une hausse des prix, décident de l’accroître pour compenser leurs pertes. Et ce faisant, le nombre de terres labourées augmente de manière exponentielle. Lorsque la sécheresse de 1932 arrive, elle laisse des terres à nu (...) Source : La course vers la Maison-Blanche

  • Dust Bowl. Une tragédie environnementale contée par Ken Burns | La course vers la Maison-Blanche

    http://usa.hypotheses.org/1170
    7 décembre 2012
    Par Elisabeth Vallet

    Le célèbre documentariste de l’histoire de la guerre civile américaine, Ken Burns, remet le couvert en ce début d’hiver pour mettre en perspective ce qu’il présente comme le plus grand désastre écologique d’origine humaine aux Etats-Unis.

    L’histoire commence en 1932 avec une sécheresse comme n’en avait pas connu la région des plaines du Sud au cours de la décennie précédente. En effet au cours des dix années antérieures, en plein cœur du Mid-Ouest américain, on a défriché, labouré, ensemencé pour faire de cette terre peu fertile et guère accueillante le grenier des Etats-Unis. 36 témoins sont mis en scène par Ken Burns pour rendre compte de ce changement écologique qui va en fait durer plus d’une décennie, alors que la terre et le sable reprennent le contrôle d’une terre que l’on croyait définitivement soumise et que les prairies se transforment en désert.

    Voir la galerie de photos ici

    Ce sont les humains qui sont les acteurs principaux de cette tragédie. En effet, les plaines du Sud (Southern Plains) étaient à l’origine des prairies, où vivaient des Amérindiens nomades et paissaient les bisons. Aucune activité agricole n’y était menée en raison de l’inconstance des précipitations. Toutefois, dans les années 1900, la terre y est peu onéreuse, ce qui attire des immigrants, des fermiers en quête d’une vie meilleure, plus prospère.

  • #Viols : la croisade du Dr Mukwege
    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/f59292a6-3a39-11e2-9cad-fc9f12bb0a43/Viols_la_croisade_du_Dr_Mukwege

    Au Congo-Kinshasa, le viol est une arme de guerre. Le gynécologue Denis Mukwege, qui en treize ans a opéré plus de 40 000 femmes violées et mutilées dans l’est du pays, dénonce ce crime contre l’humanité, au péril de sa vie

    On a voulu tuer le docteur Denis Mukwege. On a voulu faire taire celui qui, depuis des années, se révèle l’infatigable défenseur des femmes violées du Congo. Un homme plusieurs fois pressenti pour le prix Nobel de la paix et que la communauté internationale a déjà récompensé de distinctions prestigieuses. Un gynécologue de 57 ans, qui, dans son hôpital de Panzi, près de Bukavu, a déjà accueilli et opéré, en l’espace de treize années, plus de 40 000 femmes violées et mutilées de sa région – oui, 40 000, le chiffre est effroyable. Et qui, inlassablement, mais avec de plus en plus de tristesse, arpente le monde et s’empare de toutes les tribunes qui lui sont offertes – ONU, Sénat américain, Parlement européen, Maison-Blanche, Downing Street… – pour dénoncer ce qu’il qualifie de crime contre l’humanité.

    • Las de parler dans le vide. Las de vouloir secouer en vain les consciences. Las de raconter à toutes sortes d’auditoires la tragédie des femmes du Congo sans que rien se passe. Las de décrire les viols et tortures effroyables, de citer des chiffres à donner le tournis (500 000 femmes violées en seize ans, dit-il), sans qu’aucune volonté politique internationale ne s’exprime pour prendre de vraies mesures. Las aussi de recevoir des prix et des hommages sans que les organisations gouvernementales n’envisagent de solutions autres que médicales.

      Cela le stupéfie. Comment est-il possible qu’on ne l’entende pas ? « Comment est-il pensable que les acquis de la civilisation reculent à ce point et qu’on reste inerte ? » On a toutes les preuves, photos, témoignages, et rien n’y fait, se désole-t-il. « On ne pourra pas dire, comme on l’a fait à d’autres heures sombres de l’histoire, que la communauté internationale ne savait pas. Elle sait ! » Alors pourquoi n’agit-elle pas ? « Pourquoi cette solidarité des hommes, sous toutes les latitudes, qui trouvent normal que la femme souffre comme si c’était dans sa nature, comme si le viol de milliers de femmes était moins grave que la mort d’un seul homme ? » Il secoue la tête, les épaules voûtées, les yeux pleins de désarroi. « Beaucoup d’hommes ont l’impression que le viol n’est qu’un rapport sexuel non souhaité. Mais ce n’est pas ça ! C’est une destruction ! Et cela fait seize ans que cela dure au Congo ! Seize ans de destruction de la femme, seize ans de déstructuration de toute une société. Et cela ne fait que croître ! »

  • Aux États-Unis, bras de fer autour du pipeline de la discorde | Maxime Combes (Basta !)
    http://www.bastamag.net/article1738.html

    Début septembre, plus d’un millier de personnes ont été arrêtées au cours d’actions de désobéissance civile devant la Maison-Blanche. En jeu : demander à Barack Obama de rejeter le projet de pipeline géant Keystone XL, qui doit acheminer le pétrole bitumineux du Canada vers les États-Unis. C’est probablement le plus large mouvement de désobéissance civile jamais vu pour une cause écologique dans ce pays. Explications. (...) Source : Basta !