organization:maison-blanche

  • Trump respectera le principe d’«une seule Chine»
    http://www.lapresse.ca/international/201702/09/01-5068157-trump-respectera-le-principe-dune-seule-chine.php

    Durant sa campagne électorale, Donald Trump avait menacé d’imposer des droits de douane de 45% sur les importations chinoises, accusant la Chine d’avoir « volé » des millions d’emplois aux États-Unis. Cette perspective continue d’inquiéter fortement les dirigeants chinois.

    La Maison-Blanche avait annoncé mercredi que le chef de l’État américain avait envoyé à Xi Jinping, à l’occasion du Nouvel An chinois, une lettre dans laquelle il souhaitait une « relation constructive » entre les deux pays, après les accès de tension survenus depuis son élection.

  • Ma journée avec Trump

    Tout d’abord merci @philippe_de_jonckheere pour ton message prévenant et oui, je sais que je vais vite me lasser. Ça va donc durer un peu et on va très vite arrêter de signaler le cortège d’obscénités politiques de Trump, on a aussi des projets intéressants à mener et à finaliser pendant la journée hein ? :) Et en plus il faudrait aussi rapporter les obscénités politiques d’autres grands personnages comme Theresa May, François Fillon ou Manuel Valls, Vladimir Poutine ou encore les néofascistes hollandais ou hongrois, ou les populistes polonais, etc...

    Ça fait du boulot tout ça, on signalera ce qu’on peut sous le tag #régression

    Mais aussi, je suis un peu emmerdé à propos du ban anti-réfugiés et anti-musulman de Trump. Il est parfaitement opportun et pertinent de se révolter et de dénoncer cette hérésie politique (je dois avouer que j’ai pêché par optimisme, je n’ai pas cru une seconde que ce gros crétin abyssal allait mettre en œuvre son programme, je vois maintenant qu’il fait pire), mais ce qui me trouble, c’est que pratiquement personne ne met en parallèle la décision décision Trump (scandaleuse bien sur) et les diverses directives européennes dont celle fameuse de 2001 qui empêche les réfugiés de monter à bord des avions pour 400 euros pour aller déposer une demande d’asile n’importe où en Europe, les forçant à dépenser de 2000 à 10 000 euros pour faire un voyage qui a été mortel pour quelques dizaine de milliers d’entre eux.

    Les directives européenne sont pires que le décret de trump et de très loin, d’une part parce qu’elle sont très durables dans le temps et d’autre part parce qu’elles ont provoqué une véritable boucherie pour laquelle l’Europe, avec une lâcheté invraisemblable, ne reconnaît aucune responsabilité.

    Ce serait donc super, quand on se scandalise des décisions de Trump, de se rappeler qu’il faut aussi se scandaliser de la politique migratoire européenne en général et de la directive archi-mortelle de 2001 en particulier. Cela dit, voici la pêche du jour :

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    1. Le clarinetiste Kinan Azmeh syrien qui vit à New York depuis 16 ne pourra peut-être pas rentrer chez lui. Il est en tournée avec le violonceliste Yo Yo Ma au Moyen orient.

    Donald Trumps innreiseforbud skapte kaos på amerikanske flyplasser - NRK Urix - Utenriksnyheter og -dokumentarer
    https://www.nrk.no/urix/donald-trumps-innreiseforbud-skapte-kaos-pa-amerikanske-flyplasser-1.13348094
    https://gfx.nrk.no/8OYqFnqP_wfy8BHoSaZINQTxASiVPJgyhfVjvDtOnAKg

    I tillegg er situasjonen usikker for mange USA-bosatte utlendinger. Den syriskfødte klarinettisten Kinan Azmeh har bodd i USA de siste 16 årene og er på konsertturné i Midtøsten, hvor han blant annet skal spille sammen med den kjente cellisten Yo-Yo Ma. Nå aner han ikke om han kan komme tilbake.

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    2. Des airs de guerre

    Week one of the Trump administration : A government of war and social reaction - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/28/pers-j28.html

    Week one of the Trump administration: A government of war and social reaction
    28 January 2017

    It is one week since the inauguration of Donald Trump as president of the United States, and the actions and orders of the new government make clear what the working class can expect from the next four years.

    At the center of Trump’s “America First” agenda is a massive escalation of military violence. At a swearing-in ceremony at the Pentagon Friday for the new secretary of defense, retired general James Mattis, Trump signed an executive order to begin a major “rebuilding” of the military. The order directs Mattis to prepare a policy to upgrade the US nuclear arsenal and prepare for conflict with “near-peer competitors,” a term that traditionally refers to China and Russia.

    Trump orders military to prepare for world war - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/28/pent-j28.html

    Trump orders military to prepare for world war
    By Tom Eley
    28 January 2017

    During a visit to the Pentagon on Friday, President Donald Trump issued an executive action calling for stepped up violence in Syria and a vast expansion of the US military, including its nuclear arsenal, to prepare for war with “near-peer competitors”—a reference to nuclear-armed China and Russia—and “regional challengers,” such as Iran.

    “I’m signing an executive action to begin a great rebuilding of the armed services of the United States,” Trump said during the signing of the document, entitled “Rebuilding the US Armed Forces.”

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    3. Ouvertement anti-européen ? il se prépare à « nous » mener la vie dure.

    Trump uses press conference with UK Prime Minister May to restate anti-EU agenda - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/28/conf-j28.html

    Trump uses press conference with UK Prime Minister May to restate anti-EU agenda
    By Robert Stevens and Chris Marsden
    28 January 2017

    UK Prime Minister Theresa May suffered a public humiliation at the hands of US President Donald Trump during their joint press conference Friday.

    May arrived in the US Thursday with her government trumpeting the fact that hers was the first visit of any foreign leader to the White House since Trump’s inauguration.

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    4. Mettre à genoux le Mexique

    Trump repeats ultimatums to Mexico after call with Peña Nieto - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/28/mexi-j28.html

    Trump repeats ultimatums to Mexico after call with Peña Nieto
    By Eric London
    28 January 2017

    The governments of Mexico and the US announced that presidents Enrique Peña Nieto and Donald Trump spoke for an hour on the telephone yesterday, the day after the Mexican president cancelled a state visit to Washington scheduled for January 31.

    Though Trump said the discussion was “very, very friendly” and an official statement from the Mexican government called the conversation “constructive and productive,” initial reports of the call indicate that Trump did not move an inch on his plan to build a wall and force Mexico to pay for it.

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    5. Une politique extérieure aanti-multilatérale

    Après le retrait américain du TPP, l’Asie dans les bras de la Chine ? - Asialyst

    https://asialyst.com/fr/2017/01/24/apres-retrait-trump-tpp-asie-dans-bras-chine

    Promesse tenue. Le nouveau président américain Donald Trump a signé hier lundi 23 janvier un décret retirant officiellement les États-Unis du Partenariat Transpacifique (TPP), laissant un « vide » politique et économique en Asie. La Chine va-t-elle le combler ? Est-ce vraiment une aubaine pour Pékin ? Le TPP est-il déjà mort et enterré ?

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    6. Trump va continuer de chatouiller la chine là où elle est le plus sensible : sur Taïwan et sur la Mer de Chine méridionale

    Taïwan : la peur d’un raidissement de la Chine - Asialyst
    https://asialyst.com/fr/2017/01/23/taiwan-peur-raidissement-chine

    L’avènement de Donald Trump à la Maison-Blanche ouvre à Taïwan une période d’incertitude à l’aube de l’année du coq. Alors que le gouvernement de Tsai Ing-wen semble miser sur un resserrement des relations avec la nouvelle administration républicaine, l’opinion publique taïwanaise a peur des représailles économiques de la Chine.

    #trump

    • A propos du fait que Trump est horrible mais qu’il ne faut pas qu’il cache les horreurs des autres, c’est pour ça que j’ai bien aimé ce texte :

      Manifestations du 21 janvier : soutien du Réseau syndical international de solidarité et de luttes
      https://seenthis.net/messages/564677

      Toutefois, le Réseau Syndical International de Solidarité et de Luttes souhaite souligner que Trump n’est pas seul à représenter tout ceci. Certes, il concentre en lui-même plusieurs archétypes et sa conduite fait que le caractère protectionniste, nationaliste et populiste de ses pensées apparaît au grand jour. Derrière tout président des USA se trouvent toujours les corporations pétrolières, l’industrie de l’armement, chimique, pharmaceutique, financière... ainsi que pour tous les présidents et présidentes de républiques, les dictatures ou monarchies. Ce sont les riches qui ont le pouvoir, qui nomment les généraux et les ministres afin qu’ils et elles gouvernent en leur nom tout en préservant leurs privilèges et propriétés. Les manifestations que le Réseau syndical international de solidarité et de luttes soutient portent sur tout cela.

    • Ah la la la vie est parfois dure. Je n’avais pas réalisé du tout que tout ça arrive automatiquement sur le Zinc du Diplo via 7h36 aussi !! ça leak et ça recopie dans tous les sens vers cette pale copie de Seenthis

      Je ne suis pas tout à fait sur comment se font ces liens automatiques et pourquoi, mais j’ai simplement envie de dire que si je suis sur Seenthis en lecture et en écriture, ce n’est pas pour me retrouver sur Zinc. Je suis moyen content là.

    • J’ai bien conscience que c’est un cas compliqué puisqu’on a tous des miroirs automatiques sur twitter ou facebook ou autre et que même moi quand j’étoile des gens, ils se retrouvent sur twitter sans l’avoir voulu et au fond, il pourraient légitimenent en être offusqué.

      Trouver une solution ad hoc à ce problème n’est simple pour personne et je ne veux pas mettre les géniaux inventeurs et entreteneurs de seenthis dans un embarras inutile, car je comprends que pas mal de contributeurs qui étoilent les posts de seenthis ont un miroir automatique sur Zinc - et pas seulement les comptes bloqués ;) - ce qui rend la chose très très sensible.

      Je ne demande donc rien de spécial, je me contente pour l’instant de suspendre (tristement) mes contributions, le temps de réfléchir un peu à ces modes de transmission et de partage de savoir, de réflexions, de découverte.

      c’est stupide car je me demande bien ce que ce plagiat de seenthis peut bien apporter, au fond si les contributions seenthis les intéressent, ils peuvent bien s’abonner ici plutôt que de canibaliser le projet. Mais bon. Ce qu’y font les autres m’est égal, mais moi, je calcule pas et j’adhère pas.

    • Oui, c’est justement pour cela que j’en parle parce qu’avec cette putain d’automatisation, j’avais oublié. Mais je te promets que je vais arrêter ça tout de suite. C’est à l’occasion de ce bug Zinc que j’ai déconstruit les actions de mon propre compte. Je déconnecte twitter et facebook, et je te présente mes plus plates excuses pour ça (une autre solution est de te lire sans t’étoiler, étoiler c’est un peu dire sa joie de la contribution qu’on lit, mais comme tu sais que tu me mets en joie, c’est bon sans étoile aussi sans doute :) En tout cas, l’occasion d’une profonde réflexion sur ce qu’on veut ou ne veut pas en terme de diffusion.

      On réfléchit aussi beaucoup avec @fil à la manière d’être présent ou visible ou accessible avec visionscarto, comment faire connaître le site, le projet dans son ensemble. Et en fait, rien de ce qui se fait nous va vraiment ! :) On a pas envie de plan com, ni de marketing, ni de bouton donate, ni de kiss kiss bang bang, ni des putasseries conventionnelles que beaucoup s’imposent ; Alors on fait rien, on travaille et on publie, on essaye d’être un peu visible sur certains réseaux comme facebook ou linkedin ou twitter ou pinterest, mais juste en miroir.

      Le problème de facebook, c’est qu’on aimerait bien s’en passer complètement, mais il y a encore des amis, des collègues des connaissances qui y publient des listes de savoir absolument remarquables, mélange de leurs réflexions, de leurs trouvailles, de leurs expériences sur le terrain ou dans leur métier. C’est le cas de Céline Bayou, du traducteur letton-français Nicolas Auzanneau, d’Isabelle Saint-Saëns, ou des réseaux Migreurop, pour n’en citer que quelques uns. Et eux ne sont pas sur seenthis (enfin si @isskein y est mais elle ne poste rien !).

      Cela dit, ça ne nous inquiète pas vraiment, car même si l’utilisation des savoirs qu’on met à disposition sur le site est encore assez modeste, on sait au moins que c’est un public intéressé, qui y trouve son compte et qui revient souvent parce qu’ils nous disent de temps en temps qu’ils aiment beaucoup, ce qui nous fait plaisir. On continue comme ça pour le moment, et on inventera la vie qui va avec au fur et à mesure des idées qui nous passerons par la tête pour diffuser ce qu’on fait (sans être intrusif) auprès de celles et ceux dont on pense que ça pourrait leur plaire. Je sais pas trop quoi dire d’autre.

      Mais à partir de maintenant, je te promets que je n’exposerai plus mes amis à un twitter inutile ! :)

    • @reka De mon point de vue c’est plus une blague qu’autre chose. J’ai beau être assez radicalement contre Facebook et Twitter , je sais malgré tout que cela existe, je ne fais pas comme si. Fut un temps je faisais de l’ironie à propos de celles et ceux qui étaient sur Facebook ou Twitter , en leur disant, notamment, qu’heureusement que d’autres personnes qu’elles et eux produisaient du contenu sur internet si non ils et elles n’auraient plus rien à poster dans leur cimetière des vanités. Je dois vieillir, en plus qu’on me laisse sa place assise dans le métropolitain, j’en ai de moins en moins à foutre de ce que je continue toujours cependant à considérer comme de la confiscation.

      Jusqu’à récemment je pensais que ce n’était pas si grave finalement que les deux mondes en quelque sorte pouvaient exister même sans vraies frontières communes et donc sans régions communes, en revanche une chose que je remarque c’est que sur la forme cela a changé beaucoup de choses, que l’on ne peut presque plus attendre d’un visiteur ou d’une lectrice qu’il ou elle prennent l’ascenseur, les ascenseurs, qu’ils ou elles passent au dessus d’une image en roll over , les images maps qui ont longtemps fait mon délice cela ne fonctionne plus du tout (et pourtant quel plaisir c’était pour moi de les paramétrer et de les imaginer, je pense que je devais toucher au plaisir du fabricant de puzzle tel qu’il est décrit dans la Vie mode d’emploi de Georges Perec), bref la navigation est singulièrement normée alors qu’il reste encore tout à inventer avec elle, seul problème les visiteurs ne savent plus se servir des ascenseurs. Un comble.

      En revanche ce que je ne comprends pas du tout c’est le plaisir que les unes et les autres peuvent trouver à de la bête syndication, quel plaisir y trouver ? celui de compter le nombre de clics à la fin de la journée ? Cela me paraît tellement dérisoire ces histoires statistiques, puisque ce n’est pas le nombre de likes ou de commentaires, ou de que sais-je qui est important, c’est la petite étoile sur seenthis à 8H30 le matin qui signale le passage de l’ami nordique, ou encore la déconstruction clairvoyante de l’amie de Lille (@aude_v, tes remarques à propos du dû masculin sous mon billet à propos de Passengers résonnent assez fort dans ma tête, depuis quelques jours je pense à une idée de roman sur le sujet), la qualité quoi.

      Il n’y a pas si longtemps une de mes filles ironisait en me voyant consulter seenthis , elle descendait dans le garage pour me demander de lui imprimer un truc, elle me dit : « Ah t’es encore sur son réseau social bio ».

    • Quand même il y a quelques faits précis : dans la configuration du compte de chacun, on DOIT choisir la licence de nos contenus.

      Si on a choisi le droit d’auteur par défaut et non pas une licence libre, alors les gens ne sont pas censés avoir le droit, ni à la main, ni en activant des robots, de copier le contenu complet de tes contenus autre part.

      Parfois dans nos seens, il peut n’y avoir que des liens/citations, et dans ce cas, les gens peuvent tout recopier ton seen autre part. Mais ça ne peut se décider que manuellement, puisque par automatisation, il est plus difficile de savoir si dans le seen il y a du contenu propre à toi ET long (car un contenu court même perso à le droit d’être cité en entier autre part).

      Les robots ne devraient pouvoir copier autre part que les contenus qui sont en licence libre, en citant le lien de la source ici. Mais les contenus sans licence libre (ce qui est ton cas @reka), non, seulement à la main en décidant au cas par cas.

    • Il y a ça, et aussi l’autre suggestion de Reka, qui serait si je me souviens bien de ne pas autoriser l’étoilage par les gens qu’on a bloqué.

      Mais dans les deux cas ça pose un autre souci : un but premier sur Seenthis c’est d’éviter les référencement en double. Il y a le système de petites flèches, et la pédagogie permanente des habitués pour éviter les doublons. Ça n’a échappé à personne, la recherche de qualité sur Seenthis se fait énormément par l’organisation des fils de discussion sur ce principe.

      Si on met en place des outils pour bloquer des partages qu’on jugerait indésirables, alors ça veut dire qu’on encourage la duplication des référencement, et au pire la duplication des messages eux-mêmes.

    • Yes. Je sais, je comprends que tout cela n’est pas simple puisqu’à priori, ce qu’on poste ici est public. A priori ce n’est pas un problème si on comprend que ce qu’on dit est pour tout le monde et assumé, nous écrivons et partageons des témoignages, des réactions, des pensées, des doutes, des informations, du savoir, des liens qui nous ont plu ou déplu.

      L’énorme avantage de seenthis est de pouvoir choisir les thèmes et les personnes, et de faire disparaître les thèmes dont on ne veut pas entendre parler, ni des personnes ou institutions dont on ne veut plus entendre parler, et finalement d’avoir un fil vraiment efficace et riche de ce qu’on veut.

      Le problème réel est donc sans doute cette étoile, et la question de la syndication. J’avais cédé à la tentation de la syndication automatique pour des raisons pratiques, pour alléger les actes quotidiens de référencement : de seenthis vers twitter et facebook, mais heureusement le lien facebook a été pété très tôt :) et j’ai donc signalé en miroir quasi uniquement des productions visionscarto pour prévenir celles et ceux qui s’intéressent à nous par contre twitter a bien fonctionné, mais ça signalait — outre les productions et réflexions visionscarto — tout ce que j’étoilais sur seenthis et j’ai beaucoup étoilé. Je comprends maintenant que ce n’est pas du tout la bonne méthode et je vais revenir au manuel.

      Si ce n’est pas trop de travail de code, peut-être peut-on envisager que lorsqu’on étoile quelqu’un, ça reste sur seenthis et ça ne part pas en syndication ailleurs (et surtout pas sur zinc) parce que certains ici ont syndiqués leurs compte pour que ça publie aussi automatiquement sur zinc, mais aussi twitter etc... Et ceux qui veulent publier sur zinc absolument n’auront qu’à recopier, après tout on peut pas les empêcher. Je n’ai pas envie d’être plus copain avec Zinc qu’avec Twitter ou Facebook. Seenthis est un système et un projet assez ouvert en lui même et assez universel.

      Il y a une époque où on ne pouvait pas étoiler quand quelqu’un bloquait, puis cette fonction a disparu, mais ce n’est sans doute pas une solution car en effet, ça encourage les duplications. Moi ça m’irait très bien que celles et ceux que je bloque puissent étoiler, mais dans ce cas, ce serait bien d’interdire la syndication automatique de sorte qu’on ne se retrouve pas là où on veut pas.

      Reste l’épineux problème de @7:36 repris par @7:37 et là je sais pas quoi dire d’autre que la ou le responsable de Zinc pourrait puiser dans ses ressources éthiques pour arrêter ce pillage. Je pense que Seenthis est un outil merveilleux, multiparamétrique où tout le monde peut tailler sur mesure une utilisation qui se révèle toujours très riche, c’est une plateforme totalement ouverte y compris aux gentils utilisateurs de Zinc qui peuvent très bien aussi tailler un compte seenthis (à mon avis à leur avantage, mais bon, ils ont l’air d’aimer être entre eux) avec lequel ils peuvent faire disparaître celles et ceux qu’ils ne peuvent pas voir en peinture. Je trouve idiot que beaucoup de trucs pour lesquels on est cité soient dupliqués là bas sans qu’on le sache, sans qu’on soit prévenu ; je trouve cela très contraire aux principes plutôt très flexibles qui font fonctionner seenthis.

      Donc voilà. Pour ma part, je continue de réfléchir à un mode opératoire correct, et pour le moment, j’archive et je référence en local en attendant de trouver une solution un peu nouvelle pour référencer mes trucs ici.

    • 230 personnes ont été arrêtées lors de manifestations en marge de l’inauguration du nouveau président, à deux pas de la Maison-Blanche, à Washington, vendredi 20 janvier. Six journalistes qui couvraient le défilé, sans participer aux quelques dommages causés par des casseurs (vitrines brisées et une limousine incendiée), sont accusés de crime. Ils ont été libérés, mais risquent 10 ans de prison et 25.000 $ d’amende. Les audiences auront lieu en février ou mars.
      « Des accusations criminelles, bizarres et inédites pour des journalistes ici, en Amérique, qui ont simplement fait leur travail, a déclaré Suzanne Nossel, directeur exécutif de Pen America. Ils n’étaient même pas au mauvais endroit au mauvais moment. Ils étaient au bon endroit. » Carlos Lauria, porte-parole et coordonnateur principal du Comité pour la protection des journalistes, a qualifié les accusations de « totalement inappropriées et excessives », et l’organisation a demandé qu’elles soient abandonnées immédiatement, car « cela pourrait constituer un message de menace aux journalistes qui couvriraient de prochaines manifestations ».

      #censure #journalisme

  • Donald Trump à la Maison-Blanche : pourquoi ce qui paraissait invraisemblable est arrivé
    http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2017/01/20/31002-20170120ARTFIG00220-donald-trump-a-la-maison-blanche-pourquoi-ce-qui-

    Comme les #perdants de la #mondialisation sont majoritaires, il était vraisemblable que le Brexit et Trump puissent l’emporter. Il était d’autant plus vraisemblable que Trump l’emporte que l’électorat de H. Clinton était très concentré géographiquement (côte ouest et New-York) et que donc le mode de scrutin indirect favorisait Trump. Finalement (et malheureusement pour nous), c’est toujours le monde anglo-saxon qui est pionnier dans le monde occidental. En 1989, Thatcher et Reagan ouvraient le bal de la globalisation. Aujourd’hui, le Brexit, Theresa May et sa défense de l’industrie britannique, la percée de Sanders et la victoire de Trump sonnent la fin de la partie.

    #classes

    • La paupérisation des classes moyennes occidentales est un enjeu anthropologique et philosophique majeur ?

      Oui, la notion même de classe moyenne est au fondement de la pensée politique occidentale. Et ce depuis 2600 ans. C’est ce qu’à bien montré Jean-Pierre Vernant dans son livre Les origines de la pensée grecque . Pour Vernant, la classe moyenne est au cœur de la naissance de la citoyenneté grecque. Elle incarne la modération face à la démesure ( hybris ) des riches. Ses membres (qu’on appelle oi mesoi , les mesurés, ceux du milieu) sont à la fois citoyens politiques, producteurs économiques et soldats, ignorant la distinction orientale entre le producteur et le soldat. Ils établissent un trait d’union entre toutes les classes et incarnent les vertus civiques.

      De plus, les classes moyennes sont le principal soutien de la démocratie. Aristote soulignait déjà que la démocratie était le régime des couches intermédiaires. Depuis le XIXème siècle, ce sont elles qui ont soutenu la démocratie en France, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Par contre, lorsqu’elles ont été violemment ébranlées en Italie et en Allemagne, elles ont abandonné la démocratie et se sont tournées vers le fascisme et vers le nazisme. Ce sont elles qui assurent la fonction d’encadrement dans la vie économique, elles qui paient l’essentiel de l’impôt sur les ménages, elles qui financent la protection sociale.

      Le risque de disparition des classes moyennes est donc un risque pour la démocratie ?

      Il l’est, mais, plus largement, il est un danger pour l’identité de l’Occident.

      L’une des grandes forces des Trente Glorieuses est d’avoir considérablement élargi et renforcé les classes moyennes, notamment en faisant en sorte que la classe ouvrière industrielle fasse désormais partie des classes moyennes, ce qui a puissamment consolidé la démocratie. Mais la désindustrialisation, la pression fiscale, la hausse de l’immobilier, la montée des inégalités et la faiblesse de la croissance minent en profondeur les classes moyennes. La société tend de plus en plus à se partager en deux pôles extrêmes : les riches et les pauvres. Il est normal que cette souffrance se traduise politiquement. Pour l’instant, ces électeurs ont fait le choix de contester l’establishment tout en restant à l’intérieur du système démocratique.

      Même si les anglo-saxons ont une tolérance plus forte que les Français à l’inégalité, ils n’en restent pas moins attachés à l’idée d’égalité, comme le notait déjà Tocqueville dans De la démocratie en Amérique. Et là visiblement, leur seuil de tolérance a été atteint.

  • Une fin de règne sans gloire pour Barak Obama. Un Nobel qui a fait la guerre à la paix. - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/01/une-fin-de-regne-sans-gloire-pour-barak-obama.un-nobel-qui-a-fait-

    « La paix n’est pas l’absence de guerre, c’est une vertu, un état d’esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice. »

    Baruch Spinoza, philosophe (1632 – 1677)

     

    Ça y est, le président Obama s’en va laissant Donald Trump prendre en charge le pouvoir ! Avant de revenir sur la dernière partie de la présidence, à savoir l’engagement sans retenue de Obama pour l’élection de Hillary Clinton, nous allons à notre façon donner un point de vue parmi tant d’autres de citoyens lambda appartenant à ce continent des ténèbres qu’est l’Afrique et cher à Hegel, mais aussi à cette espérance religieuse diabolisée car instrumentalisée du fait de ses dirigeants complaisants avec l’Empire qui les adoube et d’où ils tirent leurs seules légitimités pour le plus grand malheur de leur peuple.

    Souvenons-nous de l’espoir suscité par la candidature de Obama, sa venue était vue comme une bénédiction du ciel après les années de feu, de sang, de malheur des deux mandatures de George Walker Bush. Le discours de rupture d’Obama, et même sa nomination, nous faisait espérer- grands naïfs que nous sommes- le retour de l’american way of life, celle d’Armstrong marchant sur la Lune, celle des pères fondateurs de la démocratie et de la liberté. Cette Amérique qui a pris le pari d’élire un Afro-Américain consacrant ainsi le rêve de Martin Luther King « I have a dream… ».

    Le capital de confiance et d’espoir des damnés de la Terre était immense, d’autant qu’à tort ou à raison, nous Africains nous nous sentions rétablis dans notre dignité après deux siècles d’esclavage. Ce fut d’autant plus beau que malgré les dénégations d’Obama affirmant qu’il est chrétien, beaucoup d’entre les naïfs que nous sommes pensaient à tort qu’un président qui a dans sa famille des parents musulmans ne peut que développer de l’empathie avec l’Islam.

    Ceci nous fut confirmé par le fameux discours du Caire Salem Alikoum., « Je vous salue »

    Il parle à cette occasion de « nouveau départ » pour qualifier la relation que l’administration qu’il dirige veut développer entre son pays et le monde arabo-musulman. Le président a su choisir trois bonnes citations du Coran, des allusions à l’âge d’or de l’islam et à sa contribution scientifique dont a pu bénéficier l’Occident ; il a réaffirmé très fortement la liberté de conscience en faveur des musulmans aux États-Unis, et plus généralement Obama aura apporté à la sensibilité inquiète du monde musulman, les apaisements que celui-ci attendait depuis longtemps.

    Dans ce qui suit nous allons montrer les faits les plus saillants vus encore une fois du Sud, nous survolerons rapidement l’aspect économique et l’obamacare qui est en passe d’être détricoté avant même la fin du mandat d’Obama et les meurtres racistes qui ont augmenté.

    Bref inventaire de l’héritage d’Obama ayant consensus en Occident

    Obama c’est avant tout le verbe et la verve. Retour sur trois paroles qui ont marqué l’opinion lors des années de présidence de Barack Obama. « Oui nous pouvons » : « « Yes we can. » Le slogan choisi pour la campagne de Barack Obama en 2008 est indissociable de sa présidence. Il a eu deux significations : celui d’une Amérique qui veut en finir avec les années Bush et celui d’une communauté afro-américaine qui voit pour la première fois un président métis s’installer à la Maison-Blanche. « L’audace d’espérer. » « L’espoir face aux difficultés, l’espoir face à l’incertitude, avait-il martelé. L’audace d’espérer est le plus grand don que Dieu nous a donné. » « Je parie que demain, vous rejetterez la peur, et choisirez l’espoir. » « L’Amérique que j’aime. » L’Amérique qui se dessine dans les discours de Barack Obama est celle qui aurait assumé ses divergences politiques et assimilé ses différentes communautés. « Il n’y a pas d’Amérique blanche, ou d’Amérique noire, d’Amérique asiatique ou latino. Mais les États-Unis d’Amérique. » (1).

    Les avis divergent sur l’héritage de la présidence de Barack Obama. La Tribune de Genève dresse un bilan avec quelques témoignages : « Grâce à l’Obamacare, 20 millions d’Américains qui n’avaient pas d’assurance-maladie ont pu s’en offrir une. Barack Obama n’a toutefois jamais réussi à vendre à ses concitoyens cette réforme qui les oblige à contracter une assurance-maladie, et les républicains ont entamé l’abrogation de la loi la semaine dernière. En matière d’environnement, M. Obama a soutenu l’accord de Paris sur le climat en 2015. Il a aussi protégé 141 millions d’hectares de terres et de mers contre leur exploitation à des fins énergétiques, tout en réduisant de moitié l’importation de pétrole des Etats-Unis. » (2)

    Le lynchage d’El Gueddafi

    A la suite des printemps arabes mis en oeuvre par les officines occidentales, les pays occidentaux pensaient rechaper le Monde arabe à moindre frais d’une façon soft. Ainsi, le président Obama a laissé faire Hillary Clinton en l’occurrence dans cette mise à mort voulue par Sarkozy conseillé par Bernard-Henry Lévy et Cameron. Pour Hillary Clinton, l’élimination du « dictateur » El Gueddafi qui eut pour épitaphe – Je suis venu, j’ai vu, il est mort » fut son plus grand succès et devait la qualifier pour la présidence grâce au succès de sa « stratégie de changement de régime ». Ses emails révélés par le FBI sont la preuve de cette attente. Hillary avait adopté avec enthousiasme la politique des néoconservateurs et des interventionnistes libéraux prônant le renversement de gouvernements qui manquaient de respect pour la seule superpuissance, nation exceptionnelle, indispensable et unique leader du monde.

    La mort de Ben Laden : la promesse tenue, gage de la réélection

    Une autre prouesse à l’actif d’Obama, le meurtre en direct de Ben Laden à la télévision américaine et sous les yeux ravis du président des Etats-Unis et des principaux membres de son gouvernement tombés en extase a été un « bon point » pour le deuxième mandat. la traque d’Oussama Ben Laden a été autant une mission des différents présidents de Bill Clinton en passant par George W. Bush « Je veux Ben Laden mort ou vif » jusqu’à Barack Obama.Annonçant la mort de l’ennemi numéro un des Etats-Unis, il déclare : « Peu de temps après ma prise de fonction, j’ai demandé au directeur de la CIA de faire de la mort ou de l’appréhension de Ben Laden notre première priorité dans la lutte contre Al Qaïda. » Obama clamera qu’il est celui qui a éliminé la menace. Ben Laden sera jeté à la mer.

    Politique étrangère : Syrie, Libye

    « Le récent déplacement du président américain à La Havane lit-on sur cette contribution de Ouest France a bien sûr couronné de succès l’ouverture des États-Unis vers Cuba. Obama peut également s’attribuer une partie du mérite quant à l’accord nucléaire avec l’Iran. Pourtant, le bilan d’Obama en matière de politique étrangère est loin de faire l’unanimité. En atteste le débat suscité par le très long entretien accordé par le président à la revue The Atlantic dans son édition de mars. Concernant la Syrie, le fait marquant reste la décision de la Maison-Blanche de ne pas intervenir militairement en août 2013. Obama revendique cette décision, au prétexte que « les États-Unis ne peuvent pas tout ». Revenant en détail sur l’intervention en Libye en 2011, Obama déclare « qu’il faisait peut-être trop confiance aux Européens « pour faire le suivi de cette intervention ». Et de mentionner la défaite de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2012. Bref, un fiasco qui fait aujourd’hui de la Libye l’un des terreaux du djihadisme salafiste. Barack Obama accuse les Européens et les pays arabes d’être des free-riders (profiteurs), relayant hélas le discours de certains candidats républicains, comme Donald Trump qui appelle au désengagement de l’Amérique face aux « coûts énormes » de l’Alliance transatlantique. Très critique vis-à-vis de l’Arabie saoudite, Obama demande à celle-ci de « partager le Moyen-Orient » avec son ennemi iranien. (..) Barack Obama témoigne d’un grand intérêt pour l’Asie-Pacifique depuis l’invention du terme « pivot asiatique » au début de sa présidence. Selon lui, c’est dans cette région que se trouvent les intérêts des États-Unis, et c’est là que se trouve le concurrent – ou partenaire ? – principal : la Chine. » (3)

    Trois bombes par heure dans le monde en 2016

    Pour un président de paix, il y eut plus de guerres plus d’armes vendues. Un rapport du Council on Foreign Relations (CFR) a montré que Washington a bombardé la Syrie, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen ainsi que la Somalie en 2016. Pas moins de 26 171 bombes ont été larguées. 72 par jour. Trois par heure. Les frappes militaires américaines ont été nombreuses en 2016. Très nombreuses. Le toujours président des Etats-Unis avait fait du désengagement militaire de son pays une promesse de campagne, pourtant, le think tank basé à New York nous apprend que Washington a bombardé au moins sept nations en 2016 : la Syrie, l’Irak, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen et la Somalie. Sans surprise, la très grande majorité des bombardements américains ont concerné la Syrie et l’Irak. 24 287 bombes y ont été larguées selon les comptes du CFR. (…) En 2008, alors qu’il menait campagne il avait assuré que lorsqu’il deviendrait commandant en chef des forces armées, il « fixerait un nouvel objectif dès le premier jour » : la fin de la guerre en Irak. « Je mettrai un terme à cette guerre en Irak de manière responsable et terminerai la lutte contre al-Qaïda et les Taliban en Afghanistan. » (4)

    Les Etats Unis champion des ventes d’arme

    S’agissant du carburant des guerres, la fabrication et la vente des armes, tout va bien Selon l’organisme suédois Sipri, le marché des armes est florissant. En 2014, les dépenses militaires mondiales se sont élevées à 1 776 milliards de dollars, ce qui représente 2,3% du produit intérieur brut mondial et environ 245 dollars par habitant En 2015, les 100 principales entreprises productrices d’armement dans le monde ont affiché globalement un chiffre d’affaires de 356,7 milliards USD réalisés dans les contrats d’armement (sur un chiffre d’affaires total de 1 118,1 milliards USD), Les Etats Unis , interviennent en moyenne pour 30 % des ventes. (5)

    Là encore, il y eut un désenchantement des partisans de la paix. Pratiquement tous les pays européens, mais aussi la Russie, la Chine et Israël ont alimenté les guerres certaines fois en vendant des armes aux deux belligérants ! A croire le niveau des vies des occidentaux dépend du nombre d’armes vendues en clair du nombre de morts , de blessés et de désolation de pays vulnérables et misérables qui, certaines fois n’ont pas d’argent pour nourrir leurs peuples, mais trouvent toujours moyen de s’endetter pour se battre contre d’autres miséreux ou pour tenir en respect leurs peuples dans des gouvernances interminables où le mot alternance n’a aucun sens. Dans ces pays, il n’y a que le darwinisme providentiel ou l’émeute fomentées bien souvent par les pays occidentaux pour leurs propres intérêts pour arriver à l’alternance généralement aussi catastrophique… Dans ces pays le lobby de l’armement dirige d’une façon invisible le pays . Aux Etats Unis un seul président, Eisenhower, eut le mérite d’avertir le peuple américain contre le danger de la mainmise sur le pouvoir du complexe militaro-industriel.

    Dans ce contexte pour juger du niveau des armes vendues , Nadia Prupis parlant de ce marché de la mort écrit :

    « Les États-Unis ont vendu plus d’armes que n’importe quel autre pays en 2015, malgré une baisse du commerce mondial des armes, selon un nouveau rapport du Congrès. Avec 40 milliards de dollars, les États-Unis ont signé plus de la moitié de tous les accords d’armement l’an dernier et plus du double du pays en deuxième place, la France, à 15 milliards de dollars. Les ventes d’armes américaines comprenaient des bombes, des missiles, des chars blindés, des hélicoptères d’attaque Apache, des chasseurs F-15 et autres articles (…) » (5).

    On l’aura compris les dirigeants arabes sont aux premiers loges pour acheter les armes. Nadia Prupis écrit :

    « Les principaux acheteurs, quant à eux, étaient le Qatar, l’Égypte, et l’Arabie saoudite, Beaucoup de ces armes ont été utilisées pour aider la coalition menée par l’Arabie saoudite et soutenue par les États-Unis à combattre les rebelles au Yémen, entraînant des pertes civiles élevées. Le Guardian note que les résultats concordent avec une autre étude récente, qui concluait que l’administration Obama avait approuvé pour plus de 278 milliards de dollars de vente d’armes en huit ans, soit plus du double de l’administration Bush, 128,6 milliards de dollars. » (6)

    La journaliste bien connue, Diana Johnstone décrit la paranoïa qui sévit à la fois dans le parti démocrate, mais aussi au sein de l’Administration actuelle qui accélère les mesures de rétorsion contre la Russie pour les rendre irréversibles, tels que l’expulsion de 35 diplomates fin décembre et l’accélération du déploiement des troupes américaines en Pologne à la frontière avec la Russie.

    « L’impertinence de Vladimir Poutine, écrit-elle, ouvertement en faveur d’un « monde multipolaire », l’a hissé à la première place dans la liste des méchants. Il est promu « dictateur » et « menace existentielle » aux yeux de la nation exceptionnelle, cible numéro un du changement de régime. Hillary Clinton et ses partisans politiques et médiatiques s’accordent pour attribuer sa défaite à un complot mené par Vladimir Poutine visant à changer le régime aux Etats-Unis. Jamais à Washington n’a-t-on vu un parti au pouvoir si incapable d’accepter l’alternance, si vindicatif, si avide de trouver des boucs émissaires, si prêt à violer toutes les bienséances démocratiques et diplomatiques, si prêt à pratiquer la politique de la terre brûlée, même aux dépens de ces « valeurs » dont il se proclame le défenseur indispensable, à commencer par la liberté d’expression ? » (7)

    La folie de fin de règne à Washington : la phobie de Poutine

    S’agissant de la comédie visant à impliquer Poutine dans l’ingérence dans les élections, les Etats-Unis qui ont déclenché 200 guerres en 240 ans d’existence n’ont jamais cessé d’interférer quand leurs intérêts étaient en jeu. : « Tout Washington est scandalisé, tandis que les membres du Congrès rivalisent entre eux pour diaboliser la Russie à cause de sa supposée ingérence dans la récente élection présidentielle américaine. « Toute intervention étrangère dans nos élections est absolument inacceptable », a déclaré Paul Ryan, le président de la Chambre des représentants. Cet éclat de vertueuse indignation serait plus facile à gober si les Etats-Unis n’avaient pas eux-mêmes pris l’habitude chronique d’intervenir dans les élections à l’étranger. Sur une période d’un peu plus d’un siècle, les leaders américains ont utilisé toute une variété d’outils pour influencer les électeurs dans des pays étrangers. Nous avons choisi des candidats, les avons conseillés, financé leurs partis, conçu leurs campagnes, corrompu les médias pour les soutenir et menacé ou calomnié leurs rivaux ».(8)

    Une appréciation rendant compte de ce désamour graduel nous est donné par une diplomate russe : « La politique étrangère de l’administration Barack Obama au cours des huit années de la présidence d’Obama « suscite l’aversion du monde entier », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zaéskharova. « Je pense que cet homme [Obama] et son équipe – naturellement, parlant de l’homme, nous entendons l’équipe qui s’est révélée mauvaise pour tous sur la scène mondiale », Selon la diplomate russe, du point de vue moral, on peut blâmer l’équipe d’Obama d’avoir commis un « crime » car il a démontré que « le plus fort a des droits illimités à faire le mal ». (9)

    En définitive rien de nouveau sous le soleil ! Tous les président américains à partir de la chute du mur de Berlin furent frappés d’hubris , une sorte de messianisme de la certitude de la « Destinée Manifeste » qui leur donne mission de régenter le monde. Cela a commencer avec Georges Bush père qui parlait déjà après avoir laminé l’armée irakienne en 1991, du nouvel ordre mondial vertueux étant la seule hyper-puissance selon le bon mot de Hubert Védrine et ayant sonné d’après Francis Fukuyama, l’idéologue du Pentagone, la fin de l’histoire et annoncé un âge d’or qui allait durer mille ans.

    On sait comment cette histoire est en train de se dérouler , car nous eûmes après Bill Clinton qui s’illustra par le dépeçage des balkans avec la complicité de l’Europe et notamment de l’Allemagne Ce sera aussi la presque décennie du pétrole contre nourriture, une histoire abjecte dont l’épilogue fut la mort de 500.000 enfants prix à payer – pas cher- selon Madeleine Albright pour faire partir Saddam Hussein qui n’est parti que plus tard. Il a fallu l’avènement de Georges Walker Bush pour que la sentence s sentence « to be hanged by the neck until you are dead » se réalise un matin de janvier de l’aid el adha en guise de sacrifice,’ il y a dix ans sous la gouvernance d’un certain Paul Bremer gouverneur d’un Irak en miettes Ces présidents venaient avec leurs certitudes gravées dans l’arbre ,bouleverser des équilibres sociologiques culturels et cultuels plusieurs fois millénaires en y semant le chaos constructeur selon Condolezza Rice

    La présidence Obama ne fut pas différente sauf que nous avons cru en ses promesses de désengagement de l’Irak, de l’Afghanistan. Nous seulement ne se fit pas, mais sous l’ère Obama fut inaugurée la terrible guerre des drones reapers et autres ; Pour ne pas risquer la mort des GI’S rien de plus simple : Une salle climatisée du fin fond du Texas, un contrôle par satellite et une décision de mort par drone interposé. Il suffit alors au soldat de jouer au joystick pendant qu’à des milliers de kms de là c’est la mort, le deuil la désolation des vies brisées des pays en miettes. Non content de tout cela après l’épisode Bin Laden, deux conflits marquent l’ère Obama, la Syrie vidée de sa sève ,plusieurs milliers de morts et de blessés, la destruction honteuse de la Lybie avec deux vassaux le tandem Sarkozy – Hollande et David Cameron dont les prouesses envers les faibles aboutirent au lynchage de Kadhafi. Enfin la tolérance envers l’Arabie Saoudite pour causes de contrats d’armements et de pétrole s’avère être une complicité dans la mort silencieuse du peuple yéménite

    L’Occident s’est empressé de décerner le prix Nobel de la paix à Barack Obama pour la promesse d’une paix qui n’est jamais arrivée. Peut-être que le Comité Nobel ne sera plus aussi chaud pour l’octroi de ce prix ? De plus s’agissant justement de la paix du monde, les années Bush ont traumatisé le monde, mais on ne s’attendait à rien de bon. Avec Obama nous avons cru à ses promesses qui comme dit Jacques Chirac n’engagent que les naïfs que nous sommes. A la place nous découvrons en fait « l’american way of war »… de l’empire qui tarde à comprendre que tout le monde aura à gagner avec un monde multipolaire. Peut être là encore un vœu pieux avec le nouveau président Trump avec son obsession protectionniste.

    Professeur Chems Eddine Chitour

    Ecole Polytechnique Alger

     

    1.http://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/Trois-grandes-paroles-Barack-Obama-2017-01-15-1200817339

    2. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/01/16/bilan-d-obama-le-paradoxe-americain_5063393_3222.html#ShE0hJ4U2o3afToz.99

    3.http://www.ouest-france.fr/debats/point-de-vue/politique-etrangere-le-bilan-discute-dobama-4149159

    4.http://reseauinternational.net/les-etats-unis-ont-largue-lequivalent-de-trois-bombes-par-heure-dans-le-monde-en-2016/#EYWYhUfTrZXxOtOX.995.

    5.http://www.grip.org/fr/node/1942

    6.Nadia Prupis http://lesakerfrancophone.fr/alors-que-le-commerce-mondial-declinait-la-vente-darmes-etasunien

    7.https://francais.rt.com/opinions/31994-folie-fin-regne-washington

    8.http://www.mondialisation.ca/usa-nous-intervenons-dans-les-elections-dautres-pays-depuis-plus-dun-siecle/5568909

    9. ttp ://lesakerfrancophone.fr/le-monde-entier-est-degoute-par-la-politique-etrangere-de-ladministration-obama

     

     Article de référence :

    http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur _chitour/258595-un-nobel-qui-a-fait-la-guerre-a-la-paix.html

    La source originale de cet article est Mondialisation.ca
    Copyright © Chems Eddine Chitour, Mondialisation.ca, 2017

  • USA : Le réchauffement climatique disparaît du site de la Maison-Blanche
    http://www.brujitafr.fr/2017/01/usa-le-rechauffement-climatique-disparait-du-site-de-la-maison-blanche.htm

    Les références au réchauffement climatique retirées du site de la Maison-Blanche Le site américain Motherboard a observé qu’à 12 h (heure de la côte est des États-Unis), à la minute où Donald Trump est entré en fonction, la page consacrée au réchauffement...

  • 2017 AG13, l’astéroïde que personne n’avait vu venir...
    https://www.crashdebug.fr/sciencess/13019-2017-ag13-l-asteroide-que-personne-n-avait-vu-venir

    Les chercheurs ont longtemps exprimé leurs préoccupations quant aux menaces d’astéroïdes ou météores potentiellement dangereux. Le mois dernier, la Maison-Blanche publiait d’ailleurs un plan détaillé intitulé « National Near-Earth Object Preparedness Strategy » visant à préparer le monde contre ce type de menaces imprévisibles. Et 2017 AG13 l’était, imprévisible. Repéré seulement samedi dernier, l’astéroïde est passé assez près de notre position à une distance située à mi-chemin entre notre planète et la Lune, à environ 190 000 kilomètres de distance, alors qu’il traversait les orbites de la Terre et de Vénus.

    Avec un diamètre oscillant entre 25 et 35 mètres et se déplaçant à une vitesse estimée à 16 kilomètres par seconde, 2017 AG13 n’aurait néanmoins pas fait (trop) de dégâts. C’est en tout cas ce que suggèrent les (...)

    #En_vedette #Actualités_scientifique #Sciences

  • La Conférence de Paris pour la paix au Proche-Orient fait presque carton plein
    RFI - Publié le 12-01-2017
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170112-conference-paris-paix-proche-orient-fait-presque-carton-plein-kerry

    John Kerry sera à Paris dimanche 15 janvier pour participer à la Conférence internationale pour la paix au Proche-Orient, organisée par la France. Ni Benyamin Netanyahu ni Mahmoud Abbas n’y participeront, mais plusieurs dizaines de pays seront représentés dans la capitale française à une conférence pour laquelle s’active la diplomatie française.

    Soixante-dix pays ont été invités et presque tous ont répondu présents, dont une quarantaine au niveau ministériel. Les diplomates français poussent déjà un ouf de soulagement. Ni l’absence des dirigeants israélien et palestinien ni la prochaine arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche n’ont détourné la communauté internationale de cette conférence voulue et organisée par Paris.

    « La solution de paix à deux Etats est aujourd’hui en péril », explique un diplomate français en se référant aux déclarations de Donald Trump très favorable à la droite israélienne. « Si les Etats-Unis déménagent leur ambassade en Israël pour l’installer à Jérusalem, alors il faut s’attendre à de très fortes réaction dans le monde musulman », s’inquiète ce diplomate.

    A l’issue de la conférence de dimanche prochain, la France souhaite donc que la communauté internationale adresse un message fort aux Israéliens, aux Palestiniens et à la nouvelle administration américaine, rappelant les principes devant permettre la paix au Proche-Orient, sur la base de deux Etats pour deux peuples.

    Selon nos informations, la France a tout essayé pour convaincre les dirigeants israéliens et palestiniens de faire le voyage. Elle leur a même proposé d’être reçus le soir même à l’Elysée pour entendre les explications et les assurances du président de la République. Mais seul Mahmoud Abbas a accepté l’invitation, il rencontrera François Hollande dimanche 15 ou lundi 16 janvier.

    • Aucun de ces dirigeants n’est imperméable à la corruption par les réseaux sionistes américains.
      Tous répètent en boucle la propagande de Netanyahu.
      Aucun n’est capable de faire la différence entre une attaque contre les soldats d’une armée de colonisation et une attaque aveugle contre des civils.

      Hollande, Kerry ont passé leur vie à mentir pour maintenir le théatre du « Processus de Paix » pendant que les Palestiniens sont spoliés massivement et tués.

      Il n’y a plus de « solution à deux états », c’est un mensonge. Il ne reste que des bantoustans pour les Palestiniens.

      Boycott d’Israël, du CRIF, de tous les politiques liés à Israël !

  • L’héritage du « démocrate » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/01/l-heritage-du-democrate.html

    Ainsi se terminent les deux mandats de Barack Obama : aucun des objectifs stratégiques de l’Empire états-unien n’a été atteint, mais le président termine en prenant diverses mesures contraignantes et répressives. 
    Qu’adviendra-t-il lorsque qu’un anti-impérialiste lui succédera à la Maison-Blanche ?

    A la veille de la passation de pouvoirs à la Maison-Blanche, 2017 s’ouvre avec le massacre terroriste en Turquie, deux semaines après l’assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara, perpétré le jour précédant la rencontre à Moscou entre la Russie, l’Iran et la Turquie pour un accord politique sur la Syrie ; rencontre dont étaient exclus les États-Unis. Engagés, dans les derniers jours de l’administration Obama, à créer la plus grande tension possible avec la Russie, accusée même d’avoir subverti, avec ses « malins » hackers et agents secrets, l’issue des élections présidentielles qu’aurait dû gagner Hilary Clinton. Cela aurait assuré la poursuite de la stratégie néo-con, dont la Clinton a été l’artisan pendant l’administration Obama.

    Celle-ci se termine à l’enseigne de l’échec des principaux objectifs stratégiques : la Russie, envoyée dans les cordes par la nouvelle Guerre froide déclenchée par le putsch en Ukraine et par les sanctions consécutives, a pris Washington par surprise en intervenant militairement en soutien de Damas. Ce qui a empêché que l’État syrien fut démantelé comme celui libyen et a permis aux forces gouvernementales de libérer de vastes zones contrôlées pendant des années par al-Nosra (al-Qaïda), Daesh, et d’autres mouvements terroristes fonctionnels à la stratégie USA/Otan. Approvisionnés en armes, payés avec des milliards de dollars par l’Arabie saoudite et autres monarchies, à travers un réseau international de la CIA (documenté par le New York Times en mars 2013) qui les faisait arriver en Syrie à travers la Turquie, avant-poste Otan dans la région.

    Mais maintenant, devant l’évident échec de l’opération, qui a coûté des centaines de milliers de morts, Ankara s’en sort en ouvrant une négociation avec l’intention d’en tirer le plus grand avantage possible. À cet effet, il ravaude les rapports avec Moscou, qui étaient arrivés au point de rupture, et prend ses distances avec Washington.

    Un affront pour le président Obama. Celui-ci, cependant, avant de passer le bâton de commandement au nouvel élu, Donald Trump, tire ses dernières cartouches.

    Cachée dans les plis de l’autorisation de la dépense militaire 2017, signée par le président, se trouve la loi pour « contrecarrer la désinformation et propagande étrangères », attribuées en particulier à Russie et Chine, laquelle confère d’ultérieurs pouvoirs à la tentaculaire communauté de renseignement, formée de 17 agences fédérales. Grâce aussi à une allocation de 19 milliards de dollars pour la « cyber-sécurité », elles peuvent faire taire n’importe quelle source de « fausses nouvelles », sur jugement incontestable d’un « Centre » ad hoc, assisté par des analystes, journalistes et autres « experts » recrutés à l’étranger. Ainsi devient réalité l’orwellien « Ministère de la Vérité » qui, pré-annonce le président du parlement européen Martin Shultz, devrait être aussi institué par l’UE.

    Sortent aussi potentialisées par l’administration Obama les forces spéciales, qui ont étendu leurs opérations secrètes de 75 pays en 2010 à 135 en 2015.

    Dans ses actes conclusifs l’administration Obama a rappelé le 15 décembre son soutien à Kiev, dont elle arme et entraîne les forces, bataillons néo-nazis compris, pour combattre les Russes d’Ukraine.

    Et le 20 décembre, en fonction anti-russe, le Pentagone a décidé la fourniture à la Pologne de missiles de croisière à longue portée, avec capacités pénétrantes anti-bunker, armables aussi de têtes nucléaires.

    Du démocrate Barack Obama, Prix Nobel de la paix, reste à la postérité l’ultime message sur l’État de l’Union : « L’Amérique est la plus forte nation sur la Terre. Nous dépensons pour le militaire plus que ne dépensent ensemble les huit nations suivantes. Nos troupes constituent la meilleure force combattante dans l’histoire du monde ».

    Manlio Dinucci
    Traduction 
    Marie-Ange Patrizio

    Source 
    Il Manifesto (Italie)

  • Donald Trump nomme un avocat de Wall Street à la tête de la SEC
    https://www.crashdebug.fr/international/12990-donald-trump-nomme-un-avocat-de-wall-street-a-la-tete-de-la-sec

    Le renard dans le poulailler...

    Spécialiste des fusions-acquisitions, Jay Clayton va diriger le « gendarme » de la bourse américaine

    Après avoir été l’avocat de Wall Street, Jay Clayton sera désormais chargé d’encadrer la place financière sur le plan réglementaire. Donald Trump a en effet annoncé, mercredi 4 janvier, la nomination de ce juriste chevronné à la présidence de la Securities and Exchange Commission (SEC), le « gendarme » de la bourse américaine. Après le feu vert du Sénat, il devrait succéder à Mary Jo White, qui avait annoncé le 14 novembre 2016 qu’elle quitterait son poste en même temps que Barack Obama quittera la Maison-Blanche, le 20 janvier.

    « Jay Clayton est un expert hautement talentueux, a déclaré le président élu dans un communiqué. Il fera en sorte que nos institutions financières puissent (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

    • On peut interpréter cela d’une autre façon.

      Bon, c’est la cacat, les amateurs de guerre ont atteint des limites et foutent les chocottes aux trés trés riches.
      Et si vous Monsieur Wall Street, vous remettiez un peu d’ordre dans le bordel que vous avez semé.
      C’est un interprétation

  • Scandale des e-mails d’Hillary Clinton : la Russie hors de cause, selon Assange
    https://www.crashdebug.fr/international/12957-scandale-des-e-mails-d-hillary-clinton-la-russie-hors-de-cause-selo

    Le fondateur de WikiLeaks, qui avait publié les e-mails privés de la démocrate, a promis une récompense contre des documents fuités de l’administration Obama.

    WikiLeaks ne compte pas laisser partir Barack Obama sans un dernier cadeau d’adieu. L’organisation de Julian Assange a promis mardi une récompense contre tout document fuité de la Maison-Blanche. « Avis aux administrateurs informatiques : ne laissez pas la Maison-Blanche détruire à nouveau l’histoire des États-Unis ! Copiez (les documents) maintenant, et envoyez (les) à WikiLeaks quand vous voulez ! » a annoncé sur Twitter l’organisation spécialisée dans les révélations de documents secrets. « Nous offrons une récompense de 20 000 dollars pour toute information permettant l’arrestation ou la mise à l’index de tout agent (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • Le pyromane de la Maison-Blanche
    http://www.dedefensa.org/article/le-pyromane-de-la-maison-blanche

    Le pyromane de la Maison-Blanche

    S’il y a une façon finalement assez réaliste et ironique de prendre l’affaire des dernières sanctions antirusses en date, celle du président-sortant Obama bien entendu, il y a aussi une façon plus grave qui nous ramène au personnage dont on pourrait n’être pas éloigné de penser, – comme le suggère le démocrate et historien Eric Zuesse, – qu’il a une très bonne chance de figurer comme le pire des président qu’aient eu les Etats-Unis, – mais également le plus cool et le meilleur au golf. Cette initiative (les sanctions) vient après plusieurs autres actions offensives et partisanes du même genre, ces dernières semaines ; elle les couronne et apparaît comme la fameuse goutte d’eau qui fait déborder le vase, mais en mode cataracte, notamment par les commentaires et les prises de (...)

  • États-Unis : Obama bloque les nouveaux forages en Arctique + De nombreuses personnes se sont posé des questions sur les récentes visites en Antarctique, visites faites par des personnalités officielles et certains individus...
    http://www.brujitafr.fr/2016/12/etats-unis-obama-bloque-les-nouveaux-forages-en-arctique-de-nombreuses-per

    Le président américain cherche à « préserver les écosystèmes » avant l’arrivée à la Maison-Blanche de son successeur Donald Trump, peu porté sur l’écologie. Un mois avant l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, Barack Obama a décidé d’interdire de manière...

  • A la CIA-2017, les têtes rouleront...
    http://www.dedefensa.org/article/a-la-cia-2017-les-tetes-rouleront

    A la CIA-2017, les têtes rouleront...

    Certes, on sait qu’un grand affrontement oppose Trump à la CIA ; mais on devrait s’interroger avec empressement, selon la très-faible possibilité d’empêcher Trump de devenir effectivement le 45ème POTUS à la fin janvier 2017, à propos de l’intelligence réelle de la CIA. En d’autres mots, quelle mouche a piqué la CIA d’ainsi se manifester, se mettre à découvert dans son entreprise de subversion ? La seule réponse se trouve du côté de la psychologie, de l’hybris qui vous aveugle et vous fait commettre d’irréparables sottises.

    En effet, alors que se poursuit, toujours aussi assourdissant, le Silent Coup, on commence à noter de grands signes d’inquiétude venus de la CIA, sur le sort qui sera fait à l’Agence lorsque Trump sera à la Maison-Blanche. Il y a eu des échos de la (...)

  • Israël. Nos amis les antisémites | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/israel-nos-amis-les-antisemites
    par Gidéon Lévy | 21 nov 2016

    Tout à coup, il n’est plus si horrible d’être antisémite. Soudain, il est devenu excusable de haïr les musulmans et les Arabes et d’“aimer Israël”. Les droites juive et israélienne ont décrété une large amnistie aux amants antisémites d’Israël. Et ce sont ces derniers qui vont bientôt exercer le pouvoir à Washington.

    Qu’on se le tienne pour dit : comme la pornographie, l’antisémitisme est désormais une question de géographie et de prix. Les antisémites américains de droite ne sont plus considérés comme antisémites.

    La définition a été remise à jour : à partir de maintenant, les antisémites ne se trouvent qu’à gauche. Roger Waters [ancien leader du groupe Pink Floyd et partisan du boycott d’Israël] est un antisémite. Steve Bannon, ce raciste et antisémite qui vient d’être nommé stratège en chef de la Maison-Blanche, est un ami d’Israël.

    source : Suddenly It’s Okay to Be pro-Israel and anti-Semitic

    When friendship for Israel is judged solely on the basis of support for the occupation, Israel has no friends other than racists and nationalists.
    Gideon Levy Nov 21, 2016 3:28 PM
    http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.754073
    https://seenthis.net/messages/543844 @alaingresh

  • #Surveillance and Border Security Contractors See Big Money in Donald Trump’s Immigration Agenda

    Donald Trump campaigned on a promise to ramp up border security and to deport as many as 3 million undocumented people — rhetoric that is being celebrated as a potential goldmine for some in the surveillance and homeland security contracting industry.


    https://theintercept.com/2016/12/06/defense-companies-trump
    #Trump #USA #Etats-Unis #business #frontières #contrôles_frontaliers #économie #migrations #asile #sans-papiers
    cc @albertocampiphoto @daphne @marty

  • Un vent d’extrême droite souffle sur l’Occident (avec une carte du monde assez inquiétante !)
    Dominique Scali, Le Journal de Montréal, le 27 novembre 2016
    http://www.journaldemontreal.com/2016/11/27/un-vent-dextreme-droite-souffle-sur-loccident

    Les partis qui flirtent avec l’autoritaris­me et le rejet des étrangers connaissent une popularité inégalée en Occident depuis la Seconde Guerre mondiale, observent des experts en politique. Après le Brexit et l’élection de Donald Trump, voilà que les Français auront probablement à choisir entre un président de droite ou d’extrême droite au printemps prochain.

    « Il y a une tendance lourde vers la droite. Et c’est la première fois que la droite extrême est forte comme ça depuis des décennies. C’est ça qui fait peur », avoue George Ross, professeur de sciences politiques à l’Université de Montréal.

    Dernier épisode en date : le grand favori de la droite française François Fillon, un ultraconservateur catholique, risque fort d’affronter Marine Le Pen de l’extrême droite lors de l’élection présidentielle de mai 2017. Les sondeurs considèrent que la gauche française a peu de chance de se tailler une place jusqu’à l’Élysée.

    Des États-Unis aux Philippines

    « La droite libérale et économique a toujours été forte dans le paysage politique occidental. Mais ce qu’on voit monter, c’est une droite différente, basée sur l’identitaire et un discours selon lequel il faut se protéger des autres », explique M. Ross.

    Les partis de l’extrême droite européens existent depuis les années 1980, bien qu’ils changent de noms ou de chefs, rappelle Jean-Guy Prévost, de l’UQAM. « Depuis 35 ans, c’est comme si tout le monde se tassait vers la droite, ce qui crée un espace pour l’extrême droite ».

    « Ce qui m’inquiète, c’est la montée de populistes autoritaires qui sont extérieurs au système politique normal et qui ne sont pas aussi engagés à respecter les règles démocratiques [que les politiciens auxquels on est habitués] », indique Jacob T. Levy de l’Université McGill. C’est le cas en Turquie, en Pologne et même aux Philippines. C’est à eux que Trump ressemble », ajoute-t-il.

    « Est-ce que ça va être comme dans les années 1930, avec des dégâts démocratiques ? On ne le sait pas », s’interroge M. Ross. La crise économique de 1929 avait en effet nourri la montée du nazisme en Allemagne avant la Seconde Guerre mondiale.

    Contagion

    Les experts suggèrent plusieurs hypothèses expliquant la conjoncture favorable aux partis d’extrême droite ces dernières années : le sentiment d’invasion dû à la crise des migrants, la menace terroriste, l’incertitude économique. Bref, des facteurs qui sont liés à la mondialisation.

    M. Ross craint d’ailleurs que l’élection de Trump ne vienne leur donner encore plus d’élan. « Si quelque chose marche quelque part, on va l’essayer. »

    « Trump a clairement envoyé le signal aux partis d’extrême droite du monde qu’ils ont maintenant un ami à la Maison-Blanche », abonde M. Levy.

    Avec ce vent de droite souffle aussi un vent d’incertitude, s’entendent-ils pour dire. « Qu’est-ce que [ces élus] vont faire quand ils vont gouverner ? Par exemple, au Royaume-Uni, on n’a encore aucune idée claire de comment ils vont [concrétiser le Brexit]. Ce n’est pas évident de savoir comment ces politiciens vont procéder sans mettre le feu à la maison, souligne M. Ross.
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    Au Canada et au Québec

    Si le Canada de Justin Trudeau semble pour l’instant épargné par la montée des partis d’extrême droite, c’est notamment que notre système électoral ne comprend qu’un seul tour, ce qui laisse moins de chance aux partis marginaux d’émerger.

    « Même pour un tiers parti comme le Nouveau parti démocratique (NPD), il est difficile de se tailler une place », illus­tre Jean-Guy Prévost.

    Notons aussi que le Canada sort de 10 ans de règne conservateur, contrairement à la France et aux États-Unis.

    Reste que certains observateurs remarquent une plus grande aisance à aborder des sujets autrefois tabous, notamment en lien avec l’immigration. Le chef de la Coalition Avenir Québec (CAQ) François Legault s’est d’ailleurs dit à l’aise d’être comparé à Trump.

    En dehors du politique, plusieurs signes indiquent que l’idéologie d’extrême droite est en croissance au Québec, révélait Le Journal mercredi. En effet, le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence note une hausse de ces appels liés à des incidents haineux et à l’extrême droite dans les derniers mois.
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    COMMENT DISTINGUER LES DIFFÉRENTS MOUVEMENTS ?

    Droite libérale
    Prône le libre marché et la mondialisation.

    Droite conservatrice
    Prône le maintien des valeurs traditionnelles ou catholiques.
    Prône l’ordre et la sécurité.

    Extrême droite
    Hostilité à l’immigration.
    Division raciale ou ethnique
    Attaque des groupes d’individus précis
    Hostilité à l’Union européenne
    Hostilité au système politique actuel et à l’ordre dominant
    Vision autoritariste : un homme fort qui défie les tribunaux et le reste du Parlement.

    Néonazis, skinhead et suprématistes blancs
    Prônent la violence
    Ne forment pas nécessairement un parti politique, mais vont généralement appuyer les partis d’extrême droite.

    #Extrême_droite #Etats-Unis #Allemagne #Royaume_Uni #France #Finlande #Suisse #Grèce #Autriche

    • Pas vraiment à contre courant, parce qu’en fait Harper est arrivé en même temps que Bush fils et que c’est vraiment le même courant néo-conservateur chrétien, c’est juste qu’Harper est resté au pouvoir plus longtemps. Mais sinon, je suis d’accord avec toi, de toutes façons c’est un article du Journal de Montréal dont il ne faut pas attendre beaucoup en terme de finesse d’analyse politique... C’est juste la carte et « l’étendue des dégats » que je trouvais intéressante...

    • Curieux !
      Cet article ne parle pas du rôle des médias, des publicités, libres de matraquer des slogans immondes.
      N’oublions pas l’humour tv plus c’est gras, plus ça passe.
      Ca conditionne.
      Faut être costaud pour résister.

      Les micros trottoirs sont révélateurs.
      Les perroquets ânonnent les pires slogans qu’on leur a appris par coeur.
      A écouter, ré écouter Guillaume Meurice, on ne se lasse pas.
      https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice

    • @sinehebdo effectivement l’analyse n’est pas très fine... je me demande dans quelle mesure cela se répercute sur la carte, dont les aplats noirs sont lourds.

      Par exemple :

      Les partis qui flirtent avec l’autoritaris­me et le rejet des étrangers connaissent une popularité inégalée en Occident depuis la Seconde Guerre mondiale

      Je pense avoir montrer que, pour l’instant, en France il n’y a pas une explosion de l’extrême droite comparé aux années 90. Ce qui est plus marquant c’est la hausse de l’abstention au détriment des deux partis classiques (UMP-RPR/PS) et de la gauche de gauche (PCF etc.) :

      https://seenthis.net/messages/360906
      https://seenthis.net/messages/443508

      Pour le cas étasunien, non seulement Trump a perdu l’élection en terme de vote populaire, 65,1 millions de voix pour Clinton contre 62,6 pour Trump, mais en plus, avec 24,9% du corps électoral il réalise un des plus mauvais score Républicain depuis 1932 (en dehors des cas 1992 et 1996 ou des candidats proches des Républicains se présentaient en surplus) quand Hillary Clinton fait un des meilleurs scores démocrates depuis 1960.

      Par ailleurs c’est un peu vite oublier ce qu’était la droite réputé « pas extrême » en Europe et du temps des États-Unis d’Amérique (ségrégationnistes jusque les années 1970). Par exemple en 1968 un candidat raciste et ségrégationniste comme George Wallace récoltait 8,3% des voix en plus des 26,4% de Nixon.

      C’est oublier que le Brésil, l’Espagne, la Grèce, la Corée du Sud, l’Argentine, l’Afrique du Sud etc. étaient officiellement des dictatures d’extrême droite jusque les années 1980. Sans parler des dictatures réputées « de gauche » (sic). Les britaniques brexiteurs et Fillon font pales figures à coté.

      Les experts suggèrent plusieurs hypothèses expliquant la conjoncture favorable aux partis d’extrême droite ces dernières années : le sentiment d’invasion dû à la crise des migrants, la menace terroriste, l’incertitude économique. Bref, des facteurs qui sont liés à la mondialisation.

      Avec cette analyse on voit le dogme : l’extrême droite serait populaire, alors que tout montre qu’elle ne l’est pas (ne l’a jamais été) et est bien un mouvement issu des classes dirigeantes.

      En France, Manuel Valls est môsieur 5% au primaires ouvertes de 2011 et Mr 5% au sein de son parti. On voit actuellement la popularité de son gouvernement, même s’il essaye (avec le PS) de reporter tout ce rejet sur l’unique personne de François Hollande. Quand à Fillon, pour l’instant il a réussi à récolter 2,9 millions de voix. En comparaison, en France les 10% les plus riches c’est 6,5 millions de personnes, et pour remporter la présidentielle c’est plutôt 20 millions de voix qu’il faut récolter. Ce qui tourne sur Twitter :

  • Donald Trump : protectionnisme ou libre-échange ? Jacques Sapir, Philippe Béchade, Cyrille Collet

    Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=EnAjFnNNJQU

    Le candidat républicain a remporté la victoire sur Hillary Clinton en misant sur la colère de la classe moyenne américaine. Qu’il s’agisse du TAFTA, de l’immigration, du renouveau des infrastructures, Donald Trump sera bientôt confronté à des choix décisifs pour l’avenir de sa nation.

    Un programme économique qui paraît contradictoire notamment sur la politique budgétaire, où il préconise de grandes dépenses tout en supprimant un certain nombre d’impôts. Cyrille Collet considère que les orientations économiques majeures du nouveau locataire de la Maison-Blanche se résument à ce trio : « Impôts, réglementation, accords commerciaux. » L’axe majeur des futures négociations internationales ? Pour Philippe Béchade, les relations entre les États-Unis et leur premier créancier, la Chine, seront décisives pour les marchés.

  • Trump sur Hollande : « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview
    http://www.croa.fr/uploads/media/default/0001/03/donald_trump_je_ne_vais_pas_perdre_mon_temps_a_rencontrer_un_president_qui_ne_l

    Trump sur Hollande : « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois »
    13 Novembre 2016, 16:17pm | Publié par S. Sellami

    « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois ! »

    Au delà du titre putalikes assumé de cet article, telle serait la phrase que pourrait prononcer Donald Trump à celui qui avait parlé « d’excès » à son sujet et de « sentiment de haut-le-cœur », et qui avait annoncé avec certitude la victoire d’Hillary Clinton en expliquant que « dans quelques jours, une présidente sera élue ».

    Il est a noté que dans les faits et comme en atteste l’article d’Europe 1 ci dessous, Trump n’est pas pressé du tout de rencontrer François Hollande. Il a tout de même pris 5 minutes pour lui parler au téléphone et c’est sans doute la seule considération que recevra notre invertébré de la part de son nouveau maître fraichement élu.

    Le nouveau président américain s’est entretenu avec François Hollande par téléphone mais ne l’a pas convié à Washington, contrairement à d’autres chefs d’États.
    Deux jours après l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, le nouveau président des États-Unis s’est entretenu avec François Hollande vendredi, par téléphone. Le communiqué de l’Élysée se veut positif : "7 à 8 minutes" d’échange entre les deux chefs d’États "dans de bonnes conditions". Un coup de fil "direct mais courtois", "très professionnel" et "sérieux". Objectif : "clarifier les positions" sur la lutte anti-terroriste, la Syrie, ou l’accord de Paris sur le climat.

    Le regard tourné vers l’Asie
    Aux États-Unis, ce coup de téléphone est loin de faire la Une des médias. Là-bas, François Hollande est un dirigeant parmi les dizaines d’autres que Donald Trump a eu en ligne depuis son élection mardi. Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a été un des premiers à avoir le nouveau président américain au téléphone. Il a d’ailleurs été invité à Washington, de même que Theresa May et le Premier ministre sud-coréen Hwang Kyo-ahn. Mais le premier à rencontrer officiellement Donald Trump sera le Premier ministre japonais Shinzo Abe, jeudi 17 novembre à New York.

  • Nation Tailleur Pantalon
    http://otir.net/dotclear/index.php/post/2016/11/12/Nation-Tailleur-Pantalon

     

    Ce fut une journée pour récupérer.

    Une journée passée à se distraire le plus possible.

    Une journée pour s’organiser pour les semaines qui viennent. Avant la passation de pouvoir à la Maison-Blanche.

    Difficile à digérer, et en même temps, besoin de faire le point, de ce qui est une étape dans l’acceptation d’une nouvelle réalité, encore faite d’énormément de stress et le besoin de se recentrer pour ne pas être soi-même emprisonnée dans une certaine forme d’hystérie collective, je n’ai plus l’âge des mouvements de foule, et pourtant, grâce ou à cause de la chambre d’écho médiatique des réseaux sociaux, j’ai toujours la sensation d’être au centre d’un maëlstrom d’octets qui se bousculent et se font compétition pour mon attention immédiate.

    Tout d’abord, il y a les alliés.

    La communauté d’amis, et de tous ceux (...)

    #West_Side_Stories #organisation #petits_bonheurs #politique

  • États-Unis : l’ombre des procès sur la présidence de Donald Trump
    https://www.crashdebug.fr/international/12655-etats-unis-l-ombre-des-proces-sur-la-presidence-de-donald-trump

    Avant d’entrer en fonction le 20 janvier prochain, le fraîchement élu président républicain va devoir répondre d’un certain nombre d’affaires.

    L’accession de Donald Trump à la Maison-Blanche va s’effectuer à l’ombre de lourds nuages judiciaires, l’homme d’affaires étant la cible de nombreuses actions en justice qui pourraient réduire sa capacité à gouverner. Alors que le magnat de l’immobilier rencontrait Barack Obama dans le Bureau ovale jeudi et visitait le Capitole à Washington, ses avocats étaient à l’œuvre à l’autre bout du pays, en Californie, dans le cadre d’un procès à propos de la défunte Université Trump, accusée d’avoir trompé ses étudiants. Dans cette affaire, le président élu s’en est pris à plusieurs reprises au juge Gonzalo Curiel, le (...)

  • USA : une pétition appelle les grands électeurs à voter Clinton
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/usa-une-petition-appelle-les-grands-electeurs-a-voter-clinton.html

    Cela semble incroyable, mais Hillary Clinton n’est pas totalement grillée, et la victoire ainsi que son accès à la Maison-Blanche peuvent encore lui revenir, même si les chances sont au final p... Deux millions d’Américains demandent aux grands électeurs...

  • Elections US : Vous avez aimé la corruption des Clinton, vous allez adorer celle du Département de la justice dans la nouvelle enquête sur les emails ! - MOINS de BIENS PLUS de LIENS
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/elections-us-vous-avez-aime-la-corruption-des-clinton-vous-allez-adorer-ce

    Vous lisez Dreuz, vous êtes donc — contrairement à vos concitoyens dont la seule religion est Le Monde et l’Obs— parfaitement informé que le FBI a rouvert l’enquête sur le scandale des emails de Clinton, suite à la découverte par le FBI de 650 000 emails, dont certains relèvent apparemment du Secret défense, sur l’ordinateur portable du pédophile Anthony Weiner que son ex, le bras droit de Hillary Clinton Huma Abedin, partageait avec lui.

    Vous avez appris comment le Département de la justice (DoJ) américain a été corrompu par les années Obama, comment il place la politique au-dessus de la justice, et comment certains citoyens— Hillary Clinton – est au-dessus des lois— comme au Vénézuéla.

    Vous avez trouvé surprenant que quatre jours avant d’être exonérée de tout acte délictuel par le FBI, Bill Clinton ait secrètement rencontré la Ministre de la justice (Secrétaire d’Etat à la justice aux Etats-Unis) Loretta Lynch pendant 40 minutes, et parce qu’elle appartient au camp forcément du Bien, a été nullement gênée de ce conflit d’intérêts où elle est chargée d’enquêter sur la femme de celui qu’elle rencontre en secret.

    Vous avez aimé apprendre que la femme du directeur du FBI Andrew McCabe, en charge de l’enquête sur les emails, a reçu d’un allié et confident des Clinton, le gouverneur de Virgine Terry McAuliffe, un « cadeau » de 467 000 dollars. Que le parti démocrate de Virginie a rajouté 207 788 dollars. Que ces sommes ont commencé à pleuvoir sur sa femme deux mois après que Andrew McCabe ait été chargé de l’enquête sur les serveurs privés illégaux et les emails de Clinton, et qu’au même moment, il a été promu numéro 2 du FBI.

    Vous avez aussi aimé, j’en suis sûr, quand Loretta Lynch a bloqué les enquêtes du FBI sur la fondation Clinton. Et quand elle a interdit au FBI d’informer le Congrès de la réouverture de l’enquête — et le FBI est passé outre.

    Vous vous êtes délecté du fait que les emails hackés par Wikileaks de John Podesta, qui est le directeur de campagne d’Hillary Clinton, ont révélé qu’il a maintes fois dîné avec Peter Kadzik, un haut fonctionnaire très particulier du Département de la justice comme nous allons le voir plus bas, et ce pendant l’enquête sur Clinton, et qu’un autre email de Wikileaks prouve que Podesta a été secrètement informé par le Département de la justice des dates auxquelles les juges allaient révéler des informations et rendre publics certains de ses emails, afin que Clinton prépare ses réponses.

    Vous avez aimé ce malodorant marécage de corruption qui entoure Hillary Clinton…

    Alors vous allez adorer ceci :

    Le haut fonctionnaire du Département de la justice en charge d’informer le Congrès sur l’enquête du FBI rouverte vendredi dernier n’est autre que… Peter Kadzik, l’ami de John Podesta !

    Lorsque Peter Kadzik était avocat, il a défendu John Podesta, alors chef de cabinet du président Bill Clinton, dans une affaire de fraude fiscale. Il a ensuite obtenu du président qu’il lui accorde le pardon. Le président, je le rappelle, s’appelait Bill Clinton.
    Peter Kadzik a dirigé les opérations de lobbying qui ont conduit à la nomination de Loretta Lynch au poste de Procureur général des Etats-Unis.
    Peter Kadzik est devenu assistant du Procureur général pour les Affaires législatives en juin 2014.
    En 1998, Kadzik défendait Podesta qui faisait l’objet d’une enquête au sujet de son rôle dans l’attribution d’un emploi aux Nations Unies à l’ex-maîtresse de Bill Clinton… Monica Lewinsky.
    Mais ce n’est pas tout….

    Le nom de Kadzik revient plusieurs fois dans l’enquête du FBI sur le serveur personnel d’Hillary Clinton.

    Quand le directeur du FBI a rouvert son enquête sur Clinton après la découverte d’emails compromettants, vendredi dernier, des membres du Congrès ont écrit au Département de la justice pour demander un complément d’information.

    En réponse, le Département de la justice leur a répondu :

    « Nous vous assurons que le Département entend continuer à travailler de près avec le FBI, et ensemble nous allons dédier toutes les ressources nécessaires et prendre les mesures appropriées pour expédier l’affaire aussi vite que possible. »

    Plutôt rassurant n’est-ce pas ? Oui, jusqu’à ce que je vous dise que le signataire de cette réponse s’appelle… Peter Kadzik !

    Le même Peter Kadzik qui a tenté d’empêcher James Comey d’informer le Congrès qu’il réouvre son enquête !

    Mais vous ne savez pas encore tout…

    Peter Kadzik a été avocat au cabinet Dickstein Shapiro pendant 18 ans avant de représenter John Podesta dans l’enquête Bill Clinton/Monica Lewinsky.

    En 2000, il a été embauché comme lobbyiste dans une énorme affaire de fraude fiscale commise par un certain Marc Rich, lequel a « magiquement » reçu un pardon présidentiel de Bill Clinton dans les tout derniers jours de son mandat.
    Kadzik obtint cette mission « parce qu’il avait la confiance du directeur de cabinet John Podesta », et qu’il était considéré comme « une personne bien placée pour défendre les arguments de Marc Rich auprès de Mr. Podesta », selon le rapport de la Commission de surveillance de la Chambre des représentants de 2002.
    Podesta et Kadzik sont restés proches après que Kadzik soit nommé au DoJ. Il était invité au dîner que donnaient Podesta et sa femme Mary le 23 octobre 2015— le lendemain du jour où Hillary Clinton a témoigné devant la Commission de la chambre des représentants sur le dossier Benghazi, d’après un email de Wikileaks.
    Dans un autre email publié par Wikileaks, on peut lire que le 12 janvier 2016, Kadzik et Podesta dînaient ensemble, chez Podesta, à 19 h 30.
    N’est-ce pas délicieux, dans ce contexte puant, d’apprendre que Peter Kadzik l’ami de John Podesta, Peter Kadzik qui fait nommer Loretta Lynch aux hautes fonctions de l’Etat, Peter Kadzik qui a obtenu le pardon du président Clinton pour deux de ses clients, Peter Kadzik qui a défendu Bill Clinton dans une affaire de conflit d’intérêts au profit de Monica Lewinsky, soit en charge de faire avancer la nouvelle enquête du FBI contre Hillary Clinton ?

    Vous je ne sais pas. Mais moi, mon imagination peine à cerner l’ampleur des affaires de corruption dont le couple Clinton, qui était ruiné lorsque Bill a quitté la Maison-Blanche, et pesait plusieurs centaines de millions de dollars quelques années plus tard, va profiter armé des leviers du pouvoir.

    © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    zerohedge on Twitter

    The DOJ’s Peter Kadzik who is investigating Huma’s emails is married to Amy Weiss who worked for Bill Clinton https://t.co/XJTQZpgy6W

    https://twitter.com/zerohedge/status/793250614096568320

    ALWAYS TRUMP ! on Twitter

    IMPORTANT : Peter Kadzik, Asst. US Attorney in charge of the new Clinton email investigation, is CLOSE FRIENDS with Podesta ! #Corruption

    https://twitter.com/always_trump/status/793287416928952320

    SOURCE
    Tag(s) : #ACTUALITES, #USA

  • Etats-Unis : Coup de tonnerre, le FBI lance la procédure RICO contre Hillary Clinton - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/etats-unis-coup-de-tonnerre-le-fbi-lance-la-procedure-rico-contre-

    Énorme ! Ce pourrait être le plus grand scandale politique depuis le Watergate, c’est vous dire l’ampleur des dégâts que pourraient occasionner les résultats de cette nouvelle enquête dans laquelle sont impliquées des personnes très proches de l’ancienne première dame américaine, Hillary Clinton, mais qui pourrait également ternir l’image duFBI.

    La procédure RICO (pour Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act) est tout sauf anodine, puisqu’il s’agit d’une Loi sur les organisations mafieuses et la corruption. A seulement quelques jours des élections présidentielles américaines, ce pourrait être un coup fatal pour la candidate qui, contrairement à ce que nous raconte la presse atlantiste, est au coude à coude avec un Donald Trump qui ne va pas manquer de saisir l’occasion pour lui asséner le coup de grâce.

    Comme le souligne un article de OuestFrance, l’ampleur du travail pour étudier des milliers de messages rend peu probable que le FBI parvienne à de nouvelles conclusions d’ici au 8 novembre, mais pour autant, quel que soit le résultat des élections, l’enquête en cours ne s’arrêtera pas pour autant, et ce pourrait être alors un mandat de courte durée pour Hillary.

    Le businessmen Trump déclare sans surprise (et à juste titre) de son coté que « Hillary aurait dû être condamnée il y a bien longtemps », et de plus en plus d’éléments tendent à le prouver. Quand on voit chez nous en France se représenter aux élections un Nicolas Sarkozy, dont la responsabilité est mise en cause dans de nombreuses affaires malhonnêtes, peut-t-on espérer voir la justice faire enfin son travail correctement ?

    J’aimerais pouvoir vous affirmer que oui, mais les grands mécènes qui tirent les ficelles de ces marionnettes ne sont certainement pas décidées à voir leurs plans échouer, et feront une fois encore tout ce qui est en leur pouvoir pour continuer en toute impunité. Que voulez-vous, on ne change pas le monde en signant des pétitions, et pour reprendre un autre passage de Ouestfrance citant une déclaration de Sean Spicer :

    On les a vus faire pendant 30 ans. Le zèbre ne va pas changer ses rayures...
    Le Veilleur

    Le FBI a activé la procédure RICO contre le crime organisé, pour rouvrir l’enquête sur Hillary Clinton

    Coup de tonnerre, revirement spectaculaire, à 11 jours de l’élection présidentielle, le FBI rouvre son enquête sur le scandale des emails d’Hillary Clinton.

    Selon les premières informations disponibles, des milliers d’emails assez préoccupants pour rouvrir l’enquête — alors que James Comey a décidé de ne pas faire inculper Hillary Clinton en juillet dernier malgré les charges accablantes — ont fait surface sur les ordinateurs et smartphone d’Anthony Weiner et de sa femme Huma Abedin.

    Huma Abedin, la personne la plus proche d’Hillary Clinton, son bras droit, sa confidente, sa conseillère, sa collaboratrice politique, est sérieusement mise en cause. Lors de l’enquête du FBI sur les emails, Abedin a été entendue sous serment, et a été amenée à fournir aux enquêteurs l’ensemble des appareils sur lesquels elle avait pu échanger des mails avec Clinton.

    Il semble maintenant confirmé qu’elle a menti aux enquêteurs, puisque des milliers d’emails ont été découverts, lors de l’enquête du FBI sur le second scandale sexuel qui implique son mari, Anthony Weiner.

    Quatre appareils : un ordinateur partagé avec son mari pédophile visé par une enquête du FBI pour s’être engagé dans des activités sexuelles avec une mineure, deux smartphones de Weiner, et un smartphone appartenant à Huma Abedin contenant des milliers d’emails ont été découverts.

    Tremblement de terre constitutionnel

    L’enquête va se prolonger bien au-delà de l’élection, ce qui fait qu’en cas d’élection, une présidente élue sera sous les projecteurs d’une enquête du FBI, et pourra être mise en accusation à tout moment. Quid de la validité des décisions qu’elle prendra ? Quid de sa légitimité ? Quid de l’image de l’Amérique, un nouveau Vénézuéla ?

    Hypocrisie et mensonge

    Après avoir appris que le FBI rouvre son enquête, Hillary Clinton a demandé que le policier fédéral rendu public les emails concernés.

    Étrange demande de transparence venant d’une femme qui a détruit plus de 30 000 emails, a chargé une société informatique d’effacer le contenu des disques dur des serveurs de mail, a fait détruire à coups de marteau, certains de ses BlackBerry, et a refusé pendant des mois de rendre public le contenu de ses emails, au prétexte qu’il s’agissait de mails de yoga ou d’organisation du mariage de Chelsea.

    Hypocrisie également de la gauche américaine en panique, qui maintenant accuse James Comey d’être vendu aux républicains, après avoir, en juillet dernier, déclaré qu’il est un grand homme, intègre, que l’Amérique doit être fière d’avoir à la tête du FBI.

    Hillary Clinton, qui n’est pas à un mensonge près, a déclaré que toute l’affaire était suspecte, car seuls les députés républicains ont été informés par le courrier de James Comey de la réouverture de l’enquête. En réalité, démocrates et républicains ont reçu sa lettre.

    Spéculations

    Au point où nous en sommes, avec le peu d’informations disponibles, on ne peut que faire des spéculations sur ce qui a pu motiver Comey de reprendre l’enquête. En voici quelques-unes :

    Il est sous une formidable pression de la part des agents du FBI dégoûtés qu’à lui seul il ait pu détruire la réputation de l’agence.
    Anthony Weiner, l’ex-député démocrate et mari d’Huma Abedin qui fait l’objet d’une enquête du FBI, et risque 15 à 20 ans de prison pour cette nouvelle affaire de pédophilie, a peut-être passé un accord avec le FBI : sa liberté ou une réduction très substantielle de peine contre les ordinateurs et smartphone qu’Huma Abedin a dissimulées aux enquêteurs. Ce peut être aussi, en partie, une vengeance contre Abedin qui l’a quitté en plein scandale.
    D’un autre côté, les emails peuvent n’être que des doublons de ce que le FBI a déjà découvert. Comey ne lâcherait pas une telle bombe atomique à 11 jours de l’élection. Mais que peuvent-ils bien contenir d’éléments nouveaux, alors que des dizaines de milliers sont passés entre les mains des enquêteurs sans que Clinton ne soit mise en accusation.
    Wikileaks s’apprête peut-être à publier des emails qui accusent Hillary Clinton si lourdement, qu’ils mettent directement en cause la probité de James Comey, déjà extrêmement fortement entamée par la légèreté avec laquelle il a conduit l’enquête, bafouant tous les standards de rigueur de l’agence.
    Les agents qui enquêtent dans le dossier Weiner ont peut-être trouvé des emails si compromettants que James Comey a craint qu’en refusant de rouvrir l’enquête, les documents fuiteraient à la presse, et ruinerait non seulement sa carrière, mais son futur, voire pire si Trump est élu.
    Beaucoup ont suggéré que James Comey n’a pas voulu recommander l’inculpation d’Hillary Clinton, car il ne voulait pas être celui qui influence une élection présidentielle. Son annonce, à 11 jours de l’élection, rend caduque cette hypothèse.
    Procédure de la loi RICO

    La Loi sur les organisations mafieuses et la corruption (RICO), votée en 1970, offre aux différentes agences chargées d’enquêter, un outil pour lutter contre le crime organisé, et permet de poursuivre et faire condamner toute personne impliquée dans une affaire de corruption ou de racket à propos d’une enquête en cours.

    Sont considérées comme activité de racket par la loi : la corruption, la contrefaçon, le blanchiment d’argent, le détournement de fonds, etc.

    Le chercheur Frank Huguenard, un chroniqueur et supporter de Bernie Sanders, a publié un papier dans le Huffington Post expliquant que « Hillary Clinton va être mise en accusation selon la procédure RICO ». Son article a été supprimé du site et son compte a été fermé par le HuffPost sans explication.

    Huguenard affirme que selon ses sources au sein du FBI, l’agence envisage de se servir de la procédure RICO contre Hillary Clinton.

    Carl Bernstein, l’un des journalistes du Washington Post qui a fait éclater l’affaire du Watergate contre Nixon dans les années 70, pense que le FBI ne rouvrirait pas l’enquête à moins que les documents qu’il a découverts sur les smartphones et l’ordinateur d’Anthony Weiner ne fussent pas « nucléaires ».

    Andrew C. McCarthy, l’ex procureur général en charge du dossier de l’attentat contre le World Trade Center en 1993 dans article publié dans laNational Review, affirme que :

    Mme Clinton semble avoir transformé le bureau du Secrétariat d’Etat en une entreprise de racket. Il s’agit d’une violation de la loi RICO — la Loi sur les organisations mafieuses et la corruption de 1971 — Code pénal sections 1961 et suivantes
    McCarthy poursuit :

    Sous la loi RICO, une « entreprise » peut être une association formelle ou informelle, légitime ou illégitime, entre plusieurs personnes —ce peut être une famille mafieuse, une fondation caritative, ou un département du gouvernement. Il y a racket [au sens de RICO] si ses affaires montrent une répétition d’activités de racket. 

    On entend par « répétition » le fait d’avoir violé deux lois fédérales ou plus, quand elles s’ajoutent à la liste des délits répertoriés dans l’enquête.

    Dans le cas présent, la liste des délits comprend la corruption, la fraude et l’obstruction de la justice. 

    La fraude consiste par exemple à avoir levé des fonds sous de fausses raisons (la fondation Clinton par exemple, qui aurait camouflé des dons ayant des retombées politiques illégales) et des comportements destinés à priver les Américains de leur droit d’obtenir un service honnête de la part d’un employé de l’Etat (par exemple en offrant des avantages à des personnes en échange de sommes d’argent). 

    La fraude et l’obstruction envers la justice peuvent être démontrées par de faux témoignages —qui peuvent être des déclarations publiques (par exemple « j’ai remis l’ensemble de mes emails professionnels au Département d’Etat ») ou des mensonges proférés à des employés du gouvernement (par exemple dissimuler des dons « humanitaires » reçus de pays étrangers après avoir promis de les divulguer, ou prétendre ne pas savoir que le symbole « » dans un document du gouvernement veut dire que le document est classé confidentiel).

    Les révélations de WikiLeaks au travers des emails piratés sur le compte email de John Podesta, le président de la campagne électorale de Clinton, accumulent les preuves que la fondation Clinton était organisée dans le but d’enrichir personnellement les Clinton en utilisant les pouvoirs dont disposait alors la Secrétaire d’Etat Clinton. Hillary a systématiquement conduit ses affaires sur un serveur email extérieur au gouvernement. Elle a fait de faux témoignages devant le public, devant la Maison-Blanche, devant le Congrès, devant les tribunaux, et devant le FBI. 

    Elle a détruit des milliers d’emails —alors qu’ils faisaient l’objet d’une demande du Congrès, et d’une demande au nom de la loi sur la liberté de l’information — et ce dans le but de dissimuler (entre autres) les interactions choquantes entre le Département d’Etat et la fondation Clinton.

    Selon la loi fédérale, ce sont les caractéristiques d’une entreprise de fraude, de corruption et d’obstruction prévues par la loi RICO.

    En cas de confirmation, l’obligation d’appointer un juge indépendant qui mène une enquête criminelle crédible est criante.
    Par Jean-Patrick Grumberg - Dreuz.info

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