organization:ministère des affaires etrangères

  • Les piratages avec fuite massive de #données_personnelles, on va finir par s’y habituer. Avant, c’était une fois par semaine, maintenant trois en une journée. Bref, répétons-le une nouvelle fois : VOTRE BASE DE DONNÉES AVEC DES INFORMATIONS PERSONNELLES SERA PIRATÉE. Il est donc crucial de minimiser les données en récoltant moins voire, idéalement, pas du tout. Si vous collectez des donées personnelles, vous êtes responsable de la mauvaise utilisation qui en sera faite.

    Donc, hier :

    1) Piratage de la base #ARIANE du Ministère des Affaires Étrangères français (données sur les contacts des voyageurs) https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/salle-de-presse/communiques-techniques/article/ariane-piratage-de-donnees-communique-f-a-q-13-12-18 https://twitter.com/francediplo/status/1073157281217417216 et l’article de Libération : https://www.liberation.fr/planete/2018/12/13/piratage-au-quai-d-orsay-les-coordonnees-de-540-000-personnes-derobees_16

    2) Piratage d’un fichier du syndicat de policiers #Alliance https://www.lexpress.fr/actualite/societe/enquete/l-inquietante-fuite-des-coordonnees-de-500-policiers_2052828.html

    3) Piratage de la base nationale des citoyens au Brésil (après la Turquie et l’Inde, répétons que c’est une folie que d’avoir une base centralisée de tous les citoyens d’un pays, même si ça fait moderne, e-Gouvernement et tout). https://www.infosecurity-magazine.com/news/apache-misconfig-leaks-data-120

    La prochaine fois que vous entendrez un monsieur sérieux dire avec assurance « il n’y a rien à craindre, la base de données est sécurisée [ou autres éléments de langage comme « anonymisée » ou « cryptée »] », méfiez-vous.

  • Questions publiques au gouvernement français
    31 juil. 2018 Par Pierre Stambul Blog : Le blog de pierre Stambul
    https://blogs.mediapart.fr/pierre-stambul/blog/310718/questions-publiques-au-gouvernement-francais

    Monsieur Emmanuel Macron, Monsieur Edouard Philippe, Monsieur Jean-Yves Le Drian,

    Vos discours sont lisses quand vous parlez d’Israël/Palestine. Vous prenez un ton grave pour parler de paix, de sécurité. Mais vos actes disent le contraire.

    Alors répondez aux vraies questions :

    Al Awda, bateau de la flottille de la liberté en route pour Gaza a été arraisonné en eaux internationales par la marine israélienne à cinquante milles nautiques de Gaza. Il y a eu des blessés et tous les passagers ont été transférés dans la prison de Givon. Cet acte est-il légal, oui ou non ?

    L’article 224-6 du code pénal dit que « Le fait de s’emparer ou de prendre le contrôle par violence ou menace de violence d’un aéronef, d’un navire ou de tout autre moyen de transport à bord desquels des personnes ont pris place, ainsi que d’une plate-forme fixe située sur le plateau continental, est puni de vingt ans de réclusion criminelle. » Allez-vous poursuivre en justice l’État d’Israël conformément à nos lois que vous avez le devoir de faire appliquer ?

    Après Salah Hamouri détenu sans procès depuis de nombreux mois, c’est Sarah Katz, citoyenne française également, qui est en prison en Israël. Pourquoi n’avez-vous pas fait une déclaration publique exigeant sa libération ?

    Pourquoi vos services (cellule de crise du Ministère des Affaires Étrangères ou Consulat de France à Tel-Aviv) sont-ils à la limite de l’impolitesse et ne montrent aucune intention d’aide réelle quand on les interroge sur le sort de Sarah Katz ? Vous la jugez coupable de quelque chose ?

    Deux millions de Gazaouis vivent depuis de nombreuses années dans une prison à ciel fermé bouclée par terre, par mer et par air. Approuvez-vous ce blocus inhumain ?

    Les soldats israéliens ont tiré impunément sur une foule désarmée à plusieurs reprises à Gaza. On en est à 150 mort·e·s et 15 000 blessé·e·s. Les balles explosives sont interdites contre les éléphants mais on les utilise contre les Gazaouis. Vous n’avez rien à dire là-dessus ? Pourquoi ce silence ? Vous approuvez ? (...)

    #Flottille #Gaza

  •  » En quête de vérité dans les décombres de Douma – et les doutes d’un médecin sur l’attaque chimique, par Robert Fisk
    https://www.les-crises.fr/en-quete-de-verite-dans-les-decombres-de-douma-et-les-doutes-dun-medecin-

    Exclusif : Robert Fisk rend visite à la Clinique syrienne au cœur d’une crise globale.

    C’est l’histoire d’une ville appelée Douma, un endroit putride, ravagé, plein d’immeubles résidentiels défoncés, et où se trouve une clinique souterraine dont les images de souffrance ont permis à 3 des plus grandes puissances du monde occidental de bombarder la Syrie la semaine dernière. Il y a même un docteur sympa en blouse verte qui, alors que je le localise justement dans cette même clinique, me dit avec entrain que la vidéo du « gaz » qui a horrifié la planète – malgré tous les sceptiques – est absolument authentique.

    Les récits de guerre, cependant, ont pour habitude de tourner au cauchemar. Et ce même médecin-chef syrien de 58 ans ajoute ensuite une chose profondément dérangeante : les patients, dit-il, ont été exposés non pas à du gaz, mais à un manque d’oxygène (hypoxie) dans les tunnels jonchés de déchets, et dans les sous-sols où ils vivaient, au cours d’une nuit de grand vent et de bombardements intensifs qui ont déclenché une tempête de poussière.

    Tandis que le docteur Assim Rahaibani énonce cette conclusion extraordinaire, il est important d’observer qu’il n’est pas, de son propre aveu, un témoin lui-même, et que bon angliciste, il se réfère 2 fois aux djihadistes armés de Jaish el-islam [l’armée de l’Islam] à Douma comme à des terroristes, l’expression du régime qui désigne ses ennemis, et un terme utilisé par beaucoup de gens partout en Syrie. Ai-je bien entendu ? Quelle version des événements sommes-nous supposés croire ?

    Par malchance aussi, les médecins de garde lors de cette nuit du 7 avril sont tous les 2 à Damas, afin d’apporter leurs indices de preuve à une enquête sur les armes chimiques, qui devra tenter de fournir une réponse définitive à cette question dans les semaines à venir.

    Entretemps, la France a dit qu’elle avait « la preuve » que des armes chimiques avaient été utilisées, et les médias US ont cité des sources qui attestaient aussi ce fait. L’Organisation des Casques Blancs a aussi déclaré que ses partenaires sur le terrain traitaient 500 patients « présentant des signes et des symptômes correspondants à une exposition à des substances chimiques toxiques. »

    Au même moment, les inspecteurs de l’OPCW, [Organisation pour l’Interdiction des Armes chimiques OIAC], sont dans l’impossibilité de parvenir ici sur le site de l’attaque au gaz alléguée, apparemment parce qu’ils n’avaient pas les bonnes autorisations de l’ONU.

    Avant d’aller plus loin, les lecteurs doivent savoir que ce n’est pas le seul récit qui a cours à Douma. Il y a beaucoup de gens avec qui j’ai discuté au milieu des ruines qui déclarent qu’ils n’ont jamais cru à ces histoires de gaz – qui ont été fabriquées, disent-ils, par les groupes islamistes armés. Ces djihadistes d’un genre particulier ont survécu sous un déluge d’obus, en vivant dans les logements d’autres gens, et dans de vastes et larges tunnels équipés de routes souterraines creusées dans la roche par des prisonniers à l’aide de pioches sur 3 niveaux sous la ville. Je me suis promené dans 3 d’entre eux hier, des couloirs immenses faits de roche naturelle qui contenaient encore des roquettes russes – oui, russes – et des voitures carbonisées.

    Ainsi, l’histoire de Douma n’est donc pas qu’une histoire de gaz ou pas, comme l’affaire en a l’air. Il s’agit de celle de milliers de gens qui ont choisi de ne pas évacuer la zone dans des bus la semaine dernière, aux côtés des combattants avec lesquels ils étaient forcés de vivre comme des troglodytes pendant des mois afin de survivre. Je me suis promené dans cette ville assez librement hier, sans soldats, sans policiers ou garde du corps qui scrute mes pas, juste 2 amis syriens, un appareil photo et un carnet. Parfois je devais escalader des remparts de plus de 6 mètres, ou gravir comme des murs de terre. Heureux de trouver un étranger parmi eux, plus heureux encore que le siège de la ville soit enfin terminé, la plupart ont le sourire ; enfin ceux dont vous pouvez voir les visages bien sûr, parce qu’à Douma, un nombre surprenant de femmes portent le hijab noir qui couvre tout leur corps.

    Je me suis d’abord rendu à Douma en tant que membre d’un convoi de journalistes sous escorte. Mais une fois qu’un général ennuyeux nous eût annoncé sur le parvis d’une mairie démolie « Je n’ai pas d’informations. » – ce foutu langage officiel arabe d’une utilité remarquable – je me suis éclipsé. Plusieurs autres reporters, la plupart syriens, en firent autant. Même un groupe de journalistes russes – tous en treillis militaire – s’écarta du groupe.

    Je pus rejoindre au bout d’une courte marche le docteur Rahaibani. Depuis la porte de sa clinique souterraine – appelée « Point 200 », dans la géologie bizarre de cette ville partiellement enterrée – il y a un couloir qui descend. C’est là où il m’a montré son hôpital inférieur, et les quelques lits où une petite fille pleurait tandis que des infirmières s’occupaient d’une coupure au-dessus de son œil.

    « J’étais avec ma famille dans le sous-sol de ma maison, à 300 mètres d’ici au cours de la nuit. Mais tous les docteurs ici savent ce qui s’est passé. Il y avait un bombardement intense [par les forces gouvernementales] et les avions survolaient toujours Douma la nuit – mais cette nuit-là, il y avait du vent et des nuages de poussière gigantesques se sont engouffrés dans les sous-sols et les caves où les gens vivent. Des personnes qui souffraient d’hypoxie, en manque d’oxygène, commencèrent à arriver ici. C’est alors que quelqu’un à la porte, un « Casque Blanc », cria « Gaz ! », et ce fut la panique. Les gens se mirent à s’asperger d’eau les uns les autres. Oui, la vidéo a été filmée ici, elle est authentique, mais ce que vous voyez, ce sont des gens qui souffrent d’hypoxie – et non d’empoisonnement au gaz. »

    Le correspondant pour le Moyen Orient de l’INDEPENDENT Robert Fisk dans l’un des tronçons de tunnels déblayé sous Douma par des prisonniers des rebelles syriens (yara Ismail)
    Bizarrement, après avoir bavardé avec plus de 20 personnes, je me suis retrouvé incapable d’en trouver une seule qui montre le moindre intérêt pour le rôle que Douma avait pu jouer dans le déclenchement des attaques occidentales. En fait, 2 m’ont même dit qu’elles ignoraient qu’il y avait un lien.

    Mais c’est un monde étrange dans lequel je me suis aventuré. 2 hommes, Hussam et Nazir Abu Aishe, me confièrent qu’ils étaient incapables de me dire combien de personnes avaient été tuées à Douma, bien que le second eût admis qu’il avait un cousin qui avait été exécuté par Jaish el-Islam [l’armée de l’Islam], pour avoir été suspecté d’être « proche du régime ». Ils haussèrent les épaules lorsque je les interrogeai sur les 43 personnes censées avoir péri lors de l’infâme attaque de Douma.

    Les Casques Blancs – les secouristes médicaux déjà célèbres en occident mais dont la propre histoire présente des recoins intéressants – ont joué un rôle désormais bien connu durant les combats. Ils sont en partie financés par le Foreign Office [Ministère des Affaires Etrangères britannique], et la plupart des bureaux locaux étaient administrés par des hommes de Douma. J’ai retrouvé leurs bureaux démolis pas très loin de la clinique du docteur Rahaibani. Un masque à gaz trainait sur un container de nourriture avec un œil percé, et une pièce était occupée par une pile d’uniformes camouflés très sales. Mise en scène ? Je me le suis demandé mais j’en doute. L’endroit était jonché de capsules, d’équipements médicaux hors d’usage, et de dossiers, de lits et de matelas.

    Bien sûr que nous devons écouter leur version des faits, mais ce ne sera pas le cas ici : Une femme nous a dit que tous les membres des Casques Blancs à Douma avaient abandonné leur Quartier Général et choisi de prendre les bus affrétés par le Gouvernement et protégés par les Russes, pour rejoindre la province rebelle d’Idlib avec les groupes armés, lorsque la trêve fut négociée.

    Les étalages étaient ouverts, il y avait une patrouille de la Police militaire russe – un ajout optionnel lors de tout cessez-le-feu en Syrie à présent – et personne ne s’était même donné la peine d’investir les sous-sols de la prison islamiste interdite près du Square des Martyrs où les victimes étaient supposées être décapitées. Le complément de Police civile est fourni par le Ministère de l’Intérieur – ils portent de façon étrange des vêtements militaires – et ils sont surveillés par les Russes qui eux-mêmes peuvent – ou pas- être sous surveillance des seconds. Là encore, mes questions sérieuses sur le gaz furent accueillies avec ce qui sembla être une authentique perplexité.

    Comment se pourrait-il que des réfugiés en provenance de Douma arrivés jusque dans les camps de Turquie aient pu décrire une attaque au gaz dont personne aujourd’hui à Douma ne semble se souvenir ? Je me suis dit, alors que je marchais dans les tunnels entrecroisés de ces misérables prisonniers, que les citoyens de Douma vivaient si isolés les uns des autres depuis si longtemps que « l’information » au sens que nous lui prêtons, n’avait tout simplement aucune signification pour eux. « La Syrie n’en produit pas comme la démocratie à la Jefferson » – comme j’aime cyniquement à le dire à mes collègues arabes – et c’est effectivement une dictature impitoyable, mais pas au point d’intimider ces gens heureux de voir des étrangers parmi eux, et de les empêcher de réagir avec quelques paroles de vérité. Alors que m’ont-ils dit ?

    Ils m’ont parlé des islamistes sous le pouvoir desquels ils ont été obligés de vivre. Ils m’ont parlé de la façon dont les groupes armés avaient volé des logements aux civils pour se prémunir du gouvernement syrien et des bombardements russes. Les [islamistes de] Jaish el-Islam avaient brûlé leurs bureaux avant de fuir, mais les constructions massives qu’ils avaient édifiées à l’intérieur des zones de sécurité avaient été presque toutes réduites en bouillie par les raids aériens. Un colonel syrien que j’ai rencontré derrière l’une de ces constructions m’a demandé si je voulais me rendre compte de la profondeur de ces tunnels. Je me suis arrêté au bout de 2 kilomètres, lorsqu’il me fit observer en langage codé que « ce tunnel pourrait aussi bien mener jusqu’à la Grande Bretagne. » Ah oui… Mme May, me dis-je, dont les frappes aériennes ont été si intimement liées à ce lieu de tunnels et de poussière… Et de gaz ?

    Source : Robert Fisk, The Independent, 16/04/2018

    Traduit par BR pour le site www.les-crises.fr.

  • Le rôle caché du #Royaume-Uni dans la détention de Julian #Assange — Jonathan COOK
    https://www.legrandsoir.info/le-role-cache-du-royaume-uni-dans-la-detention-de-julian-assange.html

    Rappelons également que, selon le Ministère des Affaires Etrangères du Royaume-Uni, l’#Equateur lui a récemment notifié que M. Assange avait reçu le statut diplomatique suite à sa demande de citoyenneté équatorienne.

    Comme l’a expliqué l’ancien ambassadeur britannique Craig Murray, le Royaume-Uni n’a pas d’autre choix que d’accepter l’immunité diplomatique d’Assange. Le mieux qu’il puisse faire, c’est d’insister pour qu’il quitte le pays - ce que Assange et l’Équateur, sans doute, désirent tous les deux. Et pourtant, le Royaume-Uni continue d’ignorer son obligation de permettre à Assange de partir. Jusqu’ à présent, il n’y a eu aucun débat dans les grands médias britanniques sur cette violation fondamentale de ses droits.

    On peut se demander à quel moment la plupart des gens se rendront compte qu’il s’agit d’une affaire de #persécution politique sous couvert d’une opération de police.

    Mandat d’arrêt britannique maintenu pour Julian Assange
    https://www.lecho.be/economie-politique/europe/general/mandat-d-arret-britannique-maintenu-pour-julian-assange/9982028.html

    • http://www.webdo.tn/2017/12/22/tunisiennes-interdites-de-voyage-aux-emirats-arabes-unis
      Toutes les ressortissantes tunisiennes se verront refuser l’accès aux Emirats arabes unis même en transit à l’aéroport de Dubai. C ‘est ce qu’a confirmé ce vendredi 22 décembre, le représentant de la compagnie nationale Emirates à Tunis.

      Selon la compagnie aérienne la restriction d’avis de voyage a été émise par le gouvernement des Emirats arabes unis. L’API-Emirats Arabes Unis a informé les compagnies aériennes que les ressortissants tunisiens de sexe féminins seront interdites d’entrée aux Emirats même pour un le transit ou un transfert de et vers les Emirats.

      La seule exception à cette interdiction serait le cas où la femme tunisienne est une résidente aux Emirats ou détiendrait un passeport diplomatique tunisien pour une mission aux Emirats.

      L’API tient les compagnies aériennes pour responsables pour confirmer et valider le VISA Résident ou le Passeport Diplomatique Tunisien.

      Aucun détail ni motif n’a été rendu public pour expliquer cette décision. Le Ministère des Affaires Etrangères n’a pas encore réagi ni donné d’explications.

    • Visa & Passport Information | Emirates United Arab Emirates
      https://www.emirates.com/ae/english/before-you-fly/visa-passport-information/find-visa-requirements-results.aspx?NC=TN&NV=Tunisia&DC=AE&DV=United+Arab+

      Visa & Passport Information
      Destination - United Arab Emirates (AE)

      Passport
      Passport required.
      Document Validity:
      Passports and other documents accepted for entry must be valid for a minimum of 6 months from the arrival date.

      Passports and other documents accepted for entry issued to passengers who stay less than 3 months must be valid for a minimum of 3 months from the arrival date. This does not apply when entering in Abu Dhabi (AUH).

      Admission and Transit Restrictions:
      Admission refused to passengers with a hand-written passport at Dubai (DXB).
      Admission and transit refused to female nationals of Tunisia.

      This does not apply to passengers with a residence visa issued by United Arab Emirates. Airlines must contact API-UAE ( 00971 800274823 or APIUAECallCenter@manafth.ae ).

  • Les amiantés du Tripode meurent (en moyenne) 6 ans plus tôt que leurs collègues
    https://nantes.indymedia.org/articles/35902

    Pour mémoire, 1800 agents de l’État issus de l’Insee, du Trésor Public, du Ministère des Affaires Étrangères et les personnels du restaurant interadministratif ont été exposés intensément à l’amiante dans l’immeuble Tripode Beaulieu à #Nantes entre 1972 et 1993. A cause de cette présence massive d’amiante, la tour a été évacuée de ses occupants en 1993, désamiantée et détruite en 2005

    #Economie #Ecologie #Santé #Economie,Ecologie,Santé

  • « Établir une principauté salafiste en Syrie », et faciliter la naissance d’un État islamique « pour isoler le régime syrien » Analyse d’un document déclassifié de la Defense Intelligence Agency (DIA)

    .../... Aux US, on en parle. Rien à attendre de la presse mainstream française, totalement partie prenante, et qui n’est pas prête à l’autocritique. Ah les reportages internatioBFM Circus... Reprendre les dépêches nourries des fines pensées du Ministère des Affaires Etrangères, c’est si bon…

    Voici un article de Levant Report qui fait état de la réplique de la DIA, et qui répond. La presse libre, ça fait du bien.

    Creusez, cherchez et faites votre opinion ! ../..

    http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2015/05/29/etablir-une-principaute-salafiste-en-syrie-et-f

  • #Accaparement des #terres et #sécurité_alimentaire
    http://farmlandgrab.org/post/view/24231-accaparement-des-terres-et-securite-alimentaire

    4 films de #court_métrage crées pendant un stage de film documentaire communautaire avec Idrissou MORA KPAI, organisé par KULTURFORUM SUD-NORD à Cotonou du 1-10.Novembre 2014. Avec le soutien du Ministère des Affaires Etrangères des Pays Bas et la Fondation Prince Claus Amsterdam. Tous les films seront traduits en langues locales et seront montrés dans les communautés rurales pour sensibiliser les populations concernant leurs droits fonciers.

    https://www.youtube.com/watch?v=pEM4ts-zGGg#t=296

  • Paris, 19 novembre : 50 ans relations France-Chine, les fruits passés et à venir de la coopération juridique et économique

    L’Association Franco-Chinoise pour le droit économique, sous le parrainage du Ministère des Affaires Etrangères, vous proposent le 19 novembre 2014 de 9h à 13h, dans le cadre des manifestations célébrant le cinquantenaire de la reconnaissance diplomatique de la République Populaire de Chine par la France, la conférence :

    50 ans après la reconnaissance diplomatique de la République Populaire de Chine par la France, les fruits passés et à venir de la coopération juridique et économique :

    Lieu : AUDITORIUM – Maison du Barreau - 2/4, rue de Harlay 75001 PARIS...

    http://www.chinefrancophonie.com/t3070-paris-19-novembre-50-ans-relations-france-chine-les-fruits-

  • HCR | Dynamique du rapatriement des réfugiés ivoiriens (2011- 2014)

    La Commission Tripartite se félicite du retour des réfugiés en Côte d’Ivoire

    ABIDJAN, 31 Mars 2014 (UNHCR) : Les Gouvernements de la République du Liberia et de la République de Côte d’Ivoire ont salué le processus de rapatriement volontaire de milliers de réfugiés ivoiriens vivants au Liberia lors d’une réunion de deux jours qui a eu lieu au Ministère d’Etat, Ministère des Affaires Etrangères à Abidjan, le 27 et 28 mars 2014.

    Quelques 8000 réfugiés ivoiriens ont été rapatriés du Libéria en moins de trois mois cette année et plus de 18.000 en 2013. La Commission tripartite pour le rapatriement volontaire des réfugiés ivoiriens, qui comprend les Gouvernements de la Côte d’Ivoire et du Libéria, ainsi que le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), a exprimé sa satisfaction sur les progrès importants accomplis dans la mise en oeuvre des dispositions contenues dans l’accord tripartite qui a été signé en août 2011 à Abidjan. L’accord, qui définit le cadre pour le rapatriement volontaire, est régulièrement revu par un mécanisme tripartite au cours duquel les réalisations et les défis sont discutés.

    Le vice-ministre libérien de l’Intérieur, M. Varney A. Sirleaf, a décrit la diminution de la population de réfugiés ivoiriens vivant au Libéria d’environ 220’000 en 2011 à 46’000 réfugiés actuels dans le pays comme « une grande réussite ». La Commission a approuvé les recommandations de la troisième réunion du Groupe de Travail Technique, concernant notamment : le screening médical avant le rapatriement ; le renforcement de partage de l’information pour permettre aux réfugiés de prendre des décisions éclairées au retour volontaire ; le retour accéléré et la régularisation des documents d’état civil délivrés aux rapatriés.

    S’agissant de la question de la sécurité dans les zones de retour, le HCR, exprimant sa préoccupation suite aux incidents survenus le long de la frontière, a rappelé aux deux Gouvernements la nécessité de prendre toutes les dispositions utiles pour garantir la sécurité, afin de ne pas hypothéquer la dynamique du rapatriement volontaire. Par ailleurs, le HCR a invité les deux Parties à respecter leurs engagements en matière de protection internationale,
    en particulier le principe du non refoulement.

    Les Représentant du HCR en Côte d’Ivoire, M. Mohamed Touré, et son homologue au Libéria, M. Khassim Diagne, ont réaffirmé la nécessité de poursuivre le processus de rapatriement volontaire avant la saison des pluies, qui crée beaucoup de défis logistiques, notamment la réhabilitation des routes utilisées lors du rapatriement. Le communiqué final a été signé par le Secrétaire général adjoint du Ministère d’Etat, Ministère des Affaires Etrangères de Côte d’Ivoire, M. Djerou Robert Ly, le Vice-Ministre de l’Intérieur du Libéria, M. Varney A. Sirleaf, et le Représentant du HCR en
    Côte d’Ivoire, M. Mohamed Touré.

    La réunion a vu la participation du Vice-ministre des Affaires étrangères du Libéria, M. Boakai Kanneh, du Directeur Exécutif de la Commission des réfugiés, du rapatriement et de la réinstallation au Libéria (LRRRC), Mme Abla G. Williams, du Directeur du Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et aux apatrides (SAARA), SEM Timothée Ezouan, ainsi que des autres membres des Gouvernements du Libéria, de la Côte d’Ivoire et des fonctionnaires du HCR.


    http://www.asile.ch/vivre-ensemble/2014/07/26/17597

    #Côte_d'Ivoire #réfugiés #Libéria #asile #migration #rapatriement #carte #visualisation

  • La Russie Ordonne à Obama de parler au monde à propos des extraterrestres, ou nous le ferons
    http://www.brujitafr.fr/article-la-russie-ordonne-a-obama-de-parler-au-monde-a-propos-des-extrater

    Rappel sur l’actualité – Le 24 janvier 2013 Un rapport étonnant du Ministère des Affaires Étrangères sur l’agenda du Premier Ministre Medvedev au Forum économique mondial de cette semaine indique que la Russie va avertir le Président Obama que le « temps était arrivé » pour que le monde connaisse toute la vérité sur les extraterrestres et que si les États-Unis ne participaient pas à l’annonce, le Kremlin va le faire par lui-même. Le Forum économique mondial est une fondation suisse à but non lucratif, basée à Cologny, que Genevaand décrit comme une organisation internationale indépendante qui s’engage à améliorer l’état du monde en engageant les dirigeants des affaires, de la politique, des universitaires et les autres dirigeants de la (...)

    #INSOLITE