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  • #Soudan_du_Sud : Ban Ki-moon affligé par les conclusions de l’enquête sur la réaction de la #MINUSS aux violences à #Juba en juillet

    Le Secrétaire général de l’#ONU, Ban Ki-moon, s’est déclaré profondément affligé mardi par les conclusions de l’enquête sur les violences qui ont eu lieu à Juba, au Soudan du Sud, en juillet 2016, et sur la réponse de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS).

    « Le Secrétaire général a reçu le rapport du général à la retraite Patrick Cammaert concernant l’enquête spéciale indépendante sur les violences à Juba en juillet 2016 et sur les actions de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud, y compris sa réponse aux actes de violence sexuelle dans et autour des sites de protection de civils à la Maison des Nations Unies et à l’attaque contre le camp Terrain », a dit son porte-parole dans une déclaration à la presse.

    L’enquête spéciale révèle que la MINUSS n’a pas réagi efficacement aux violences en raison « d’un manque général de leadership, de préparation et d’intégration parmi les différentes composantes de la mission ». L’enquête spéciale révèle également que « les dispositions en matière de commandement et de contrôle étaient inadéquates, alors que les soldats de la paix maintenaient une attitude hostile au risque ».

    Selon l’enquête, ces facteurs ont contribué à l’incapacité de la MINUSS à répondre à l’attaque des soldats du gouvernement sur le camp Terrain le 11 juillet et à protéger les civils menacés. L’enquête spéciale n’a pas été en mesure de vérifier les allégations selon lesquelles les forces de maintien de la paix n’ont pas réagi aux actes de violence sexuelle commis directement devant eux les 17 et 18 juillet.

    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=38413

    Synthèse du rapport (en) : http://www.un.org/News/dh/infocus/sudan/Public_Executive_Summary_on_the_Special_Investigation_Report_1_Nov_2016.pdf

    #domp #dpko #maintien_de_la_paix

    • L’ONU fait son autocritique au Soudan du Sud

      http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/11/02/l-onu-fait-son-autocritique-au-soudan-du-sud_5024038_3212.html

      Ses conclusions « accablantes » pour l’organisation ont fait une première victime : le commandant de la force des Nations unies au Soudan du Sud, qui compte 13 500 casques bleus sous ses ordres, le lieutenant-général kényan Johnson Mogoa Kimani Odienki, dont le secrétaire général a demandé la tête dans un geste très rare et symbolique pour l’ONU. La représentante spéciale du secrétaire général Ellen Margrethe Loj avait déjà pris les devants en annonçant sa démission dès la semaine dernière
      [...]
      Alexandra Novosseloff, chercheuse invitée au centre de la coopération internationale à l’université de New York, estime que « ces défaillances sont aujourd’hui la réalité du maintien de la paix ». Pour elle, la situation s’explique entre autres par « un Conseil de sécurité qui donne des mandats trop ambitieux au regard des moyens alloués, des Etats membres qui envoient des soldats qui n’ont souvent pas pris la mesure des situations dans lesquelles ils se retrouvent, et un secrétariat qui fait ce qu’il peut dans ces circonstances. »

    • http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/sangaris-c-est-fini-l-armee-francaise-reste-a-bangui-113329

      350 militaires français resteront présents dans le pays, répartis en trois composantes. Une partie d’entre eux servira au sein des casques bleus de la Minusma, notamment pour y mettre en oeuvre des drones tactiques SDTI qui ne sont pas sortis depuis le retour d’Afghanistan en juin 2012. Environ 80 militaires serviront au sein de l’EUTM-RCA, l’opération européenne de formation de l’armée locale. Enfin, un élément de soutien national restera présent. En cas de dégradation de la situation, des forces prépositionnées à Abidjan (43ème Bima) pourront intervenir.

  • Renaud Piarroux, le médecin qui a tenu tête à l’ONU

    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/08/29/renaud-piarroux-le-medecin-qui-a-tenu-tete-a-l-onu_4989439_1650684.html

    Lorsqu’il se rend à Haïti, en novembre 2010, où vient de se déclarer la pire épidémie de choléra des dernières décennies au niveau mondial, sur une île qui n’en a jamais connu, le professeur Renaud Piarroux pense qu’il part lutter contre le fléau. Mais, durant six ans, ce spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille va être en butte à un autre adversaire que Vibrio cholerae, inattendu celui-ci : l’Organisation des Nations unies (ONU) et ses agences ­sanitaires, Organisation mondiale de la santé (OMS) comprise.

    Le médecin marseillais, 55 ans, sort cet été glorieux de son combat ­contre les tentatives d’étouffement de son rapport « Comprendre l’épidémie de choléra en Haïti », remis aux autorités françaises et haïtiennes, le 30 novembre 2010, et publié six mois plus tard dans la revue scientifique du Centre pour le contrôle et la prévention des ­maladies (CDC) d’Atlanta. Le Monde avait été le premier à rendre public ce document.

    Le 18 août, Farhan Haq, porte-parole adjoint de l’ONU, a en effet reconnu, du bout des lèvres, la responsabilité de son organisation dans le déclenchement de cette épidémie qui a touché 800 000 Haïtiens et fait 10 000 morts. Dès novembre 2010, avec ses armes scientifiques, la biologie moléculaire, les cartes de l’épidémie, son enquête sur le terrain, Renaud Piarroux avait débusqué le coupable.

    « Gérer ainsi les sanitaires dans un pays aussi vulnérable, c’est une circonstance aggravante »

    Missionné par l’ambassade de France à Haïti, le French doctor-détective prouve rapidement que l’épidémie a été provoquée par la gestion déplorable de l’ONU des sanitaires d’un camp de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah) qu’ont occupé 400 casques bleus népalais, sur un affluent du fleuve Artibonite. A la mi-octobre, une quantité énorme de matières fécales contenues dans une fosse a été déversée, contaminant le fleuve jusqu’à son delta et les circuits d’irrigation des rizières. « Gérer ainsi les sanitaires dans un pays aussi vulnérable, c’est une circonstance aggravante, déplore le médecin. C’est une vraie bombe qui explose alors. On n’a jamais vu une épidémie comme celle-là, avec plusieurs centaines de cas par jour. Mais une autre faute consiste à monter rapidement une entreprise de dissimulation et de mystification. »

    Dans son bureau de chef du service de parasitologie et mycologie de l’hôpital de la Timone, dont les murs accueillent de vieilles planches médicales sur le kyste hydatique ou le Taenia saginata, Renaud Piarroux fait défiler les cartes de l’OMS et du Bureau de la coordination des affaires humanitaires du secrétariat des Nations unies, retraçant la propagation de l’épidémie. Sur toutes, à l’exception de la première diffusée le 22 octobre 2010, le foyer de départ a disparu, laissant supposer que l’épidémie s’est développée dans le delta. Sur les registres de l’infirmerie du camp népalais, on ne retrouve pas la moindre trace d’une diarrhée alors que des travailleurs haïtiens évoquent des soldats malades et témoignent de conditions sanitaires particulièrement mauvaises.

    « Un gros bosseur »

    Six ans durant, Renaud Piarroux va affronter une controverse scientifique. Face à lui : un panel d’experts indépendants nommé en 2011 par Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies. L’examen par des scientifiques danois, américains et népalais du génome des souches Vibrio cholerae, la bactérie du choléra, isolées au Népal et en Haïti, démontre une totale similitude. « C’est comme si le coupable était confondu par son ADN », assure le docteur Piarroux. Mais, emboîtant le pas aux théories de Rita Colwell (université du Maryland), la papesse du monde scientifique en matière de choléra, les experts de l’ONU expliquent l’épidémie par des facteurs environnementaux propres à Haïti : saison chaude, développement du plancton, ouragan, séisme… « Ma force, c’est la rigueur scientifique, oppose Renaud Piarroux. Si mon raisonnement avait eu la moindre faille, avec tout ce qui a été entrepris pour le démonter, ils y seraient parvenus. »
    Ce combat scientifique, relaté dans Deadly River (ILR Press, 320 pages, non traduit), n’étonne pas le professeur Henri Dumon, auquel Renaud Piarroux a succédé, en 2008, à la tête du laboratoire marseillais.

    L’ancien patron loue sa ténacité : « C’est un gros bosseur mais pas le nez dans les bouquins. Quand un élève dépasse le maître à ce niveau-là, j’en suis ravi. » Bel hommage à cet ancien étudiant en pédiatrie qui avait fait le choix de suivre en parallèle des diplômes en médecine tropicale et en parasitologie. Sans ancrage régional, Renaud Piarroux, fils d’un père artisan peintre et d’une mère médecin en anatomo-pathologie dans un laboratoire pharmaceutique, a, pour ses études de médecine, fait le choix de Marseille « par hasard », son épouse y suivant les siennes en ophtalmologie.

    C’était un « rêve de gosse » : devenir médecin pour sauver les enfants africains des épidémies. Les premiers qu’il a sauvés sont des bébés rwandais sous les tentes d’un camp de réfugiés, près de Goma, en 1994, au Zaïre. Seul pédiatre sur le terrain, il luttait contre le choléra, la méningite, la shigellose, mais, chaque matin, il découvrait quelques petits corps, empapillotés dans un tissu, posés au bord de la route dans l’attente de leur « collecte ».

    Combat scientifique pour la vérité

    Vingt-deux ans plus tard, ses yeux se noient toujours de larmes à l’évocation de ce souvenir. C’est en allant voir comment étaient traités ces petits orphelins qu’il a compris : ils étaient alignés côte à côte sur des lits Picot, se contaminant les uns les autres, nourris avec une bouillie de haricots. « Il fallait des couches et du lait, comme pour les bébés européens. C’est ce qu’on a fait et la mortalité a disparu. Cela m’a donné une vision plus large de la médecine, et m’a conduit à analyser la dynamique des épidémies. »

    Le choléra devient son ennemi. Même lorsque, de 1996 à 2008, il dirige à Besançon le laboratoire de parasitologie, une discipline loin d’être au premier plan en Franche-Comté – « c’est comme chasser le tigre sur les Champs-Elysées », s’amuse-t-il. Renaud Piarroux mène avec succès des recherches sur des maladies locales, se rend dans les fermes pour comprendre que la « maladie du poumon de fermier » provient des moisissures du foin lorsqu’il est stocké humide. Il conduit une enquête sur l’échinococcose alvéolaire, et sur la transmission à l’homme d’un minuscule ver présent dans l’intestin des renards qui détruit le foie humain aussi sûrement qu’un cancer. Ce Sherlock Holmes lancé à la poursuite des bactéries et parasites a une méthode d’enquête : l’éco-épidémiologie. Il s’agit de comprendre l’environnement dans lequel se développe une maladie, de travailler avec les populations.

    « J’ai du mal à obéir lorsque je ne suis pas d’accord avec la façon dont les choses sont gérées »

    Lors d’une mission humanitaire à Foumbouni (Comores), 2 500 euros lui suffisent pour juguler une épidémie naissante de choléra : il achète l’essence pour les tout jeunes comités d’hygiène et de prévention et, dans les villages, il réunit les chefs de famille pour expliquer la nécessité de chlorer les citernes dans lesquelles ils récupèrent l’eau de pluie…

    A l’automne, Renaud Piarroux quittera Marseille pour rejoindre la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Ce médecin au caractère forgé n’adhère pas au projet d’institut hospitalo-universitaire, la Fondation Méditerranée Infection du professeur Didier Raoult. « J’ai du mal à obéir lorsque je ne suis pas d’accord avec la façon dont les choses sont gérées. » Tout en poursuivant ses recherches en parasitologie et mycologie, Haïti et le choléra, dont l’épidémie reprend régulièrement, restent sa préoccupation. Avec l’Unicef, il travaille à la rédaction d’un projet d’élimination du choléra sur l’île. Exsangues financièrement, les acteurs de la lutte contre cette épidémie, sur place, espèrent maintenant que les fautifs auront à cœur d’aider à éradiquer le vibrion dans ce pays, l’un des plus pauvres du monde.

    Le 1er septembre, à l’université de Californie à Los Angeles (UCLA), Renaud Piarroux ­racontera son combat scientifique pour la ­vérité sur l’origine de l’épidémie de choléra en Haïti. S’il reconnaît une « part de militantisme » dans son travail, celui-ci est toujours demeuré scientifique car « l’adversaire, dit-il, ce n’est ­jamais l’ONU, c’est le choléra. Mais il a parfois des alliés, et il faut le dire… ».

  • TROIS ANS APRÈS « SERVAL », TOUJOURS RIEN DE RÉGLÉ
    http://survie.org/billets-d-afrique/2016/254-fevrier-2016/article/trois-ans-apres-serval-toujours-5084

    En janvier 2013, François Hollande déclenchait la première grande opération militaire de son quinquennat. Etat des lieux de la situation au #Mali trois ans plus tard. Empêtrée dans une « guerre contre le terrorisme » contreproductive, la France peut compter sur ses alliés au nord du Mali. Sur le Tchad bien sûr, dont un ex-ministre, Mahamet Salef Annadif, a été nommé chef de la Mission des Nations unies sur place (la MINUSMA, forte d’un peu plus de 11.000 soldats), le 23 décembre. Et désormais aussi sur (...)

    #254_-_février_2016

    / Mali, #Salves, #Armée_française

  • #Centrafrique : l’ONU pointe cinq pays accusés dans des scandales sexuels - Yahoo Actualités France
    https://fr.news.yahoo.com/centrafrique-all%C3%A9gations-dabus-sexuels-mineurs-soldats-%C3%A9tra

    Des soldats ou policiers de cinq pays (Bangladesh, Maroc, RDCongo, Niger, Sénégal) sont accusés d’avoir commis des #abus_sexuels sur des mineurs dans le cadre de la Mission des Nations unies en République centrafricaine (#Minusca), a révélé vendredi un haut responsable de l’ONU.

    C’est la première fois que l’ONU nomme publiquement et de sa propre initiative les pays dont sont originaires des responsables d’abus sexuels ou d’exploitation sexuelle parmi ses missions de maintien de la paix.

    Anthony Banbury, secrétaire général adjoint chargé de la logistique des missions, a fait valoir une « volonté de transparence ».

    Il a expliqué que ce serait bientôt la règle pour toutes les accusations de ce genre. L’#ONU doit publier le mois prochain un rapport dans lequel les pays seront nommés. Un site internet permettra, autant que possible, de suivre l’évolution des enquêtes et les sanctions éventuelles contre les Casques bleus reconnus coupables.

    #pédosexualité #enfant #violences_sexuelles

  • #Haïti : les victimes du #choléra réclament #justice aux Nations unies | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/depeche/haiti-les-victimes-du-cholera-reclament-justice-aux-nations-u

    Plusieurs centaines de victimes de l’épidémie de choléra ont manifesté jeudi à Port-au-Prince pour réclamer justice à l’ONU, dont des casques bleus népalais sont accusés d’avoir introduit par accident, il y a cinq ans, la bactérie dans le pays.

    Les manifestants, regroupés devant la principale base de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah), ont hurlé leur colère face au silence de l’#ONU quant à sa responsabilité dans l’apparition de l’#épidémie.

  • RDC : Un an après le M23, quel bilan ? - Afrique - RFI

    http://www.rfi.fr/afrique/20141105-rdc-an-apres-le-m23-quel-bilan-nord-kivu-fdlr-monusco-adf/?ns_campaign=nl_AFRIQUE051114&ns_mchannel=newsletter&ns_source=emailvision&ns_li

    http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/2013-11-06T144502Z_2015330996_GM1E9B61R0D01_RTRMADP_3_CONGO-DEMOCRATIC-REBEL

    Il y a un an, l’armée congolaise assistée de la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) mettait fin à la rébellion du M23, ce groupe armé qui pendant un an et demi avait occupé toute une partie du Nord-Kivu. Une victoire historique pour les FARDC, qui pour Kinshasa devait marquer un tournant dans la lutte contre les groupes armés. Mais, un an après, le vide laissé par le M23 au Nord-Kivu s’est vite rempli ; des dizaines de groupes armés continuent de menacer les populations civiles.

    #rdc #M23

  • Centre d’actualités de l’ONU - Soudan du Sud : la MINUSS pense que des crimes contre l’humanité auraient été commis
    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=32543

    8 mai 2014 – Dans un rapport publié jeudi sur les violations des droits de l’homme et du droit humanitaire international au Soudan du Sud, la Mission des Nations Unies dans ce pays (MINUSS) pense que des crimes contre l’humanité auraient été commis par les parties en conflit depuis le 15 décembre 2013.

    Le rapport montre notamment comment le conflit a eu un impact négatif considérable sur la situation des droits de l’homme dans le pays. Il se base sur des enquêtes menées par la mission onusienne et montre que toutes les parties prenantes au conflit ont commis des violations graves, telles que des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées, des viols et autres formes de violence sexuelle, des arrestations et détentions arbitraires et des attaques ciblées contre des civils et des membres du personnel des Nations Unies.

    #soudan_du_sud

  • #Rwanda, il y a 20 ans : le fax de Dallaire
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/232-fevrier-2014/article/rwanda-il-y-a-20-ans-le-fax-de-4632

    Comment l’ONU alertée de la préparation du #Génocide n’a pas levé le petit doigt. Le 11 janvier 1994, trois mois avant le déclenchement du génocide, Roméo Dallaire, commandant de la Mission des Nations Unies au Rwanda (MINUAR) envoie un fax urgent au siège de l’ONU à New York. Dans ce document déclassifié, Dallaire alerte ses supérieurs de la préparation de l’extermination des Tutsi. Il y rapporte des propos d’un informateur, « Jean Pierre », engagé par le MRND pour entraîner les Interhamwe. Jean­-Pierre (...)

    #232_-_février_2014

    / Rwanda, #Complicité_de_la_France_dans_le_génocide_des_Tutsi_au_Rwanda, Génocide, #Salves, Une, Rwanda, il y a 20 (...)

    #Rwanda,_il_y_a_20_ans

  • Centre d’actualités de l’ONU - La Mission de maintien de la paix au Soudan du Sud espère des renforts sous 48 heures

    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=31736&Cr=Soudan+du+sud&Cr1=

    26 décembre 2013 – La Mission des Nations Unies au Soudan du Sud espère obtenir des renforts de maintien de la paix sous 48 heures, notamment des troupes et des hélicoptères, afin de protéger les civils piégés par un conflit qui aurait déjà fait un millier morts, a déclaré jeudi la numéro 1 de l’ONU dans le pays.

    « Nous avons désespérément besoin d’améliorer nos capacité pour être en mesure de nous acquitter de notre mandat [de protection des civils] de manière beaucoup plus proactive », a déclaré la Représentante spéciale du Secrétaire général pour ce pays, Hilde Johnson, lors d’une conférence de presse donnée en duplex depuis Juba, la capitale du Soudan du Sud. Rappelant que plus de 50.000 civils avaient déjà trouvé refuge dans les différentes bases des Nations Unies, elle a souligné la nécessité de faire preuve d’une vitesse « sans précédent » pour obtenir les troupes et moyens nécessaires.

    #soudan #soudan_du_sud #sud_soudan

  • #RDC : L’ONU condamne fermement les attaques de groupes armés contre des écoles et hôpitaux
    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=31135

    Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo (RDC), Martin Kobler, condamne mercredi avec la plus grande fermeté les attaques contre des écoles et hôpitaux perpétrées par des parties prenantes au conflit, en particulier par le groupe armé ADF dans le territoire de Beni.

    « L’ADF et toutes les autres parties impliquées dans de tels actes doivent immédiatement arrêter de commettre ces actes de violations regrettables des droits de l’enfant qui ont, par ailleurs, privé plus de 7.000 enfants d’accès à l’éducation et affecté la prestation de services de santé à des milliers d’autres », a déclaré dans un communiqué de presse le chef de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO).

    #enfance #éducation #santé #conflits_armés via @reka

  • Le Conseil de sécurité proroge le mandat de la MINURSO jusqu’au 30 avril 2014

    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=30217&Cr=minurso&Cr1=

    25 avril 2013 – Le Conseil de sécurité des Nations Unies a décidé jeudi de proroger d’un an le mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) jusqu’au 30 avril 2014.

    Le Conseil de sécurité, par la résolution 2099 (2013), adoptée à l’unanimité, a demandé à toutes les parties de « coopérer pleinement aux opérations de la MINURSO, y compris en ce qui concerne sa liberté d’interaction avec tous ses interlocuteurs, et de prendre les mesures voulues pour garantir la sécurité, ainsi qu’une totale liberté de circulation et un accès immédiat, au personnel des Nations Unies et au personnel associé dans l’exécution de leur mandat ».

    #sahara-occidental

  • Les rebelles aux portes de Goma, bloqués par l’ONU
    http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/11/18/les-rebelles-aux-portes-de-goma-bloques-par-lonu

    Après avoir progressé en direction de Goma depuis la ville de Kibumba, tombée samedi, les rebelles du M23 se sont arrêtés dimanche soir à 3 km de la ville de Goma, à la hauteur du camp de Munigi, tenu par un bataillon sud africain de la Monusco (Mission des Nations unies pour le Congo).

  • #Haïti : une enquête en cours sur les allégations de viols impliquant des Casques bleus
    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=26261&Cr=Ha%EFti&Cr1=

    Après avoir été informée d’allégations de #viols de la part de #Casques-bleus uruguayens, la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) a indiqué jeudi qu’une équipe d’enquêteur uruguayenne est arrivée à Port-au-Prince pour investiguer.