organization:organisation du traité

  • Un espoir pas si fou : les loups hors de chez nous
    http://www.dedefensa.org/article/un-espoir-pas-si-fou-les-loups-hors-de-chez-nous

    Un espoir pas si fou : les loups hors de chez nous

    Faire les yeux doux à Bakou

    L’intérêt de Vladimir Poutine pour le sport japonais qu’il pratique avec un grand art ne justifie pas à lui seul sa présence à Bakou pour l’édition 2018 du championnat du monde dejudo. Poutine s’adonne à un inlassable travail de détricotage des fils tissés autour de la Fédération de Russie. Au cours de sa rencontre avec le chef d’Etat de l’Azerbaïdjan qui a eu lieu à cette occasion, il a été question de sécurité régionale, d’armements et d’une éventuelle intégration de l’Azerbaïdjan, pays ‘non aligné’, au sein de l’Organisation du Traité de Sécurité Collective. Il s’agit de supplanter l’influence de Tel Aviv fournisseur de drones utilisés par Bakou en 2016 contre l’Arménie. Ilham Alyiev avait déclaré récemment que son pays avait acquis pour (...)

  • Dernier numéro de la Revue Défense Nationale intitulé « L’ambivalence de la puissance russe »
    http://www.defense.gouv.fr/irsem/page-d-accueil/nos-chercheurs2/dernier-numero-de-la-revue-defense-nationale-intitule-l-ambivalence-de-

    Le dernier numéro de la Revue Défense Nationale intitulé "L’ambivalence de la puissance russe" a été coordonné par Céline Marangé (chercheur Russie, Ukraine et Asie Centrale à l’IRSEM) et Isabelle Facon (FRS - Fondation pour la recherche stratégique).

    Ce numéro a pour ambition d’examiner plusieurs facettes marquantes de la puissance russe afin d’en évaluer les forces et les faiblesses. Il cherche aussi, à travers l’exemple russe, à faire réfléchir à « l’impuissance de la puissance ». Pour la Russie comme pour tout autre acteur majeur, l’affirmation de la puissance comporte des risques et peut engendrer de nouveaux défis. Ainsi, le renforcement de l’outil militaire et la quête de reconnaissance n’ont pas toujours eu les effets escomptés par Moscou.

    AVANT PROPOS

    Russie : La confiance retrouvée (Hélène Carrère d’Encausse)

    INTRODUCTION

    L’ambivalence de la puissance russe (Isabelle Facon et Céline Marangé)

    PERSPECTIVE STRATÉGIQUE

    La projection de la puissance

    Les Nations Unies, un multiplicateur d’influence pour la Russie (Anne de Tinguy)

    La relation russo-chinoise à l’ombre de la nouvelle administration américaine (Valérie Niquet)

    L’intervention de la Russie dans le conflit syrien (Eugène Berg)

    La stratégie maritime russe en mer Noire (Igor Delanoë)

    L’évolution de la présence des forces armées russes en Crimée depuis 2014 (Robert Hazemann)

    Le nucléaire russe : un instrument de dissuasion et d’intimidation (Céline Marangé)

    « Qui s’y frotte s’y pique » : la Russie et le déni d’accès (A2/AD) (Guillaume Lasconjarias)

    Russia’s arms exports : successes and challenges (Tomas Malmlöf)

    L’éducation patriotique et militaire, un avatar de l’époque soviétique ? (Tatiana Jean)

    Les forces et faiblesses stratégiques

    La politique gazière de la Russie en Europe et Asie (Catherine Locatelli)

    Adapter les réseaux de transport eurasiens : réussites et défis (Jean Radvanyi)

    La Russie à la reconquête de sa puissance spatiale (Isabelle Sourbès-Verger)

    La Russie et le cyberespace, mythes et réalités d’une stratégie d’Etat (Nicolas Mazzucchi)

    Finding the ’golden mean’ : Russia’s resource commitment to defence (Julian M. Cooper)

    Vieillissement et renouvellement des forces navales russes (Alexandre Sheldon-Duplaix)

    L’aéronautique militaire russe face à de nouvelles incertitudes (Konstantin Makienko)

    Le renouvellement de la flotte de blindés : un investissement essentiel pour moderniser l’armée russe (Marc Chassillan)

    Le dilemme de sécurité

    Les réponses de la Russie aux politiques de l’Union européenne, sources d’insécurité dans leur voisinage commun ? (Laure Delcour)

    Les pays nordiques face aux actions de la Russie en mer Baltique et à Kaliningrad (Barbara Kunz)

    La Russie vue de Pologne : entre crainte, concurrence et poids de l’histoire (Amélie Zima)

    Le positionnement stratégique des pays baltes face à la Russie (Zivile Kalibataite)

    L’Organisation du Traité de Sécurité Collective : une réaffirmation du leadership russe en Eurasie postsoviétique ? (David Teurtrie)

    Les relations militaires de la Russie avec le Bélarus : une alliance qui laisse Moscou sur sa faim (Anaïs Marin)

    La présence militaire russe dans le Caucase du Sud (Gaïdz Minassian)

    La Tchétchénie de Kadyrov, atout ou menace pour l’État russe ? (Anne Le Huérou et Aude Merlin)

    MÉMOIRE STRATÉGIQUE

    Hélène Carrère d’Encausse, « La pénétration soviétique au Moyen-Orient », Revue de Défense nationale, mai 1957.

    Marie-Alix Paris, « Aspects de la politique intérieure soviétique », Revue de Défense nationale, octobre 1977.

    Victor-Yves Ghebali, « La conférence sur la sécurité et la coopération en Europe à l’ère Gorbatchev », Revue de Défense nationale, octobre 1987

    COMPTES RENDUS DE LECTURE

    Igor Delanoë. Russie. Les enjeux du retour au Moyen-Orient, Paris, L’Inventaire, 2016, 126 p. (par David Teurtrie)

    Jean-Robert Raviot (dir.), Russie : vers une nouvelle Guerre froide ?, La Documentation française, collection Doc’ en poche – Place au débat, 2016, avec les contributions de Taline Ter Minassian, Sophie Lambroschini, Kevin Limonier, Maxime Audinet, 184 p. (par Isabelle Facon)

    Jean Radvanyi, Marlène Laruelle, La Russie entre peurs et défis, Armand Colin, collection Perspectives stratégiques, 2016, 236 p. (par Isabelle Facon)

    Guillaume Serina, Reykjavik, 1986 : Le sommet de tous les espoirs, Paris, L’Archipel, 2017, 264 p. (par Eugène Berg)

    General Sir Richard Shirreff, War With Russia. An Urgent Warning from Senior Military Command. A Novel, New York, Quercus, 2016, 412 p. (par Guillaume Lasconjarias)

    Andreï Kozovoï, Russie, réformes et dictatures, Paris, Perrin, collection Tempus, 700 p. (par Eugène Berg)

    Nicolas Werth, Les Révolutions russes, Paris, PUF, collection QSJ, 126 p. (par le colonel Jérôme Pellistrandi)

    Jean Lopez, Lasha Otkhmezuri, Joukov, Perrin, Paris, 2013, 736 p. (par Yves Boyer et Nicolas Haupais)

    Yves Gauthier, Gagarine ou le rêve russe de l’espace, Paris, Ginkgo éditeur, 2015, 374 p. (par Eugène Berg)

    Le sommaire est disponible à cette adresse :

    http://fr.calameo.com/books/000558115999b7287110d

    Le numéro peut être commandé au format papier ou pdf en ligne sur le site de la revue :

    http://www.defnat.com/revue-defense-nationale.php

    Il peut être acheté dans ces librairies :

    http://www.defnat.com/boutique/points-de-vente.php

    Droits : IRSEM

    #russie #géopolitique

  • Donald Trump, l’OTAN et les passagers clandestins, par Philippe Leymarie (Les blogs du Diplo, Défense en ligne, 18 novembre 2016)
    http://blog.mondediplo.net/2016-11-18-Donald-Trump-l-OTAN-et-les-passagers-clandestins #st

    Vladimir Poutine réhabilité, l’Organisation du Traité de l’Atlantique nord (OTAN) boudée, les Européens, le Japon — et le Mexique ! — priés de passer à la caisse… Les plans isolationnistes de Donald Trump, le président américain élu, bientôt chef de la première armée du monde, ne peuvent que choquer le petit monde européen de la défense.

    http://zinc.mondediplo.net/messages/42584 via Le Monde diplomatique

  • L’OTAN se met ses forces militaires en alerte afin de bloquer la présidence de Donald Trump
    http://vilistia.org/archives/12480

    lundi 7 novembre 2016 Ce matin, l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) a mis en état de « haute alerte » plus de 300.000 de ses forces militaires . Le secrétaire général de cette alliance, Jens Stoltenberg, affirme que cela est … Lire la suite →

    #EFFONDREMENT_DES_USA #ELECTIONS_2016 #USA

  • Alors que la presse occidentale persiste à discuter d’un “possible soutien militaire russe” au président Bachar el-Assad, et nous sert des pseudos analyses telles François Heisbourg, éminent géopoliticien – “indépendant” ? on ne sait pas trop : voir l’épisode sur ses affirmations quant à l’existence d’ ADM en Irak où sa responsabilité est sérieusement engagée - hier soir sur France Inter http://www.franceinter.fr/emission-un-jour-dans-le-monde, bien “aiguillé” par le serveur de soupe Nicolas Demorand.

    Bref : Il semble que les Occidentaux n’ont toujours pas compris les conséquences de leur politique, et ne soient prêts à reconnaitre leur responsabilité criminelle.

    Mais voilà tout de même notre MAE qui nous apprend que maintenant, le président syrien ( élu démocratiquement, et soutenu d’après les enquêtes par 70% du peuple) aurait, le droit de vivre encore !!!!!
    On admire la formulation :
    “La question qui se pose est la suivante : quelles sont les perspectives ? Doit-on dire au peuple syrien que M. Bachar al-Assad détiendra le pouvoir exécutif au cours des quinze prochaines années ? Si on dit cela, il n’y a pas de solution possible. Entre dire cela et exiger le départ immédiat de M. Bachar al-Assad, il y a une marge. Cela s’appelle la diplomatie.” - Audition de Laurent Fabius au sénat, 9 septembre 2015.
    La diplomatie ! Comme ça,...tout d’un coup !!!
    Rien à voir avec l’infléchissement de la position des USA et son approbation implicite del’initiative de l’OTSC ‘’(toujours à appelée : “l’initiative russe”)
    ..... Non non...!!!
    L’analyse emberlificotée de Denis Sieffert, dans son édito de jeudi dernier, semble faire écho au propos officiel, et nous montre à quel point – je ne mettrai pas une seconde en doute l’indépendance du journaliste- même les plus éminents peuvent se faire embarquer, proprement dindonner, par cette propagande de guerre, de type néo-coloniale. (Et malheureusement : plus on se laisse bercer par le courant, plus on s’approche des rapides qui nous mènent au pire).
    Les leçons de Lénine et Jaurès sont pourtant restées terriblement actuelles, mais la peur de l’opprobre à vouloir y faire référence, ou s’y replonger même timidement, semble la plus forte.
    Pourtant en relisant : “ L’impérialisme stade suprême du capitalisme” on est saisi par la modernité, et l’actualité, du texte de Lénine, pourtant écrit dans un contexte beaucoup plus difficile qu’aujourd’hui !. (Voir Ici, c’est gratuit : http://marxiste.fr/lenine/imp.pdf)

    Pour aujourd’hui, Le ou les faits essentiels sont que :
    l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) a décidé de lutter contre le terrorisme en Irak et en Syrie

    l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC)

    Regroupe :
    La Biélorussie, la Russie, l’Arménie, le Tadjikistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan. À la différence de l’Otan et du Pacte de Varsovie, dans lesquels les États membres perdent leur souveraineté (au profit des États-Unis et du Royaume-Uni dans l’Otan, de l’URSS dans le Pacte de Varsovie —ce qui contrevient à la Charte des Nations unies—), les États membres de l’OTSC conservent leur pleine souveraineté, ne placent pas leurs armées sous le commandement de la principale puissance de leur alliance, et peuvent se désolidariser à tout moment de cette alliance [1]. L’Azerbaïdjan, la Géorgie et l’Ouzbékistan se sont ainsi retirés librement de cette organisation pour se tourner vers le Guam [2] et l’Otan.

    Donc :

    L’OTSC interviendra à partir d’octobre 2015 , à la fois en Irak et en Syrie, contre les individus classés comme « terroristes » par l’Onu, à savoir al-Qaïda, Daesh et tous les groupes qui se sont alliés à eux.

    L’OTSC ne cherche pas à venir en aide à Haïder al-Abadi ou à Bachar el-Assad, mais est directement menacée par les jihadistes.

    Les jihadistes ne sont pas en mesure de résister longuement à une alliance internationale si celle-ci inclut l’Irak et la Syrie.

    Les États-Unis, qui ont déjà mené secrètement une vaste opération conjointe avec l’Armée arabe syrienne à Hassaké, sont prêts à un accord avec l’OTSC.
    Leurs alliés britanniques et français sont prêts à renoncer à renverser la République arabe syrienne.

    • We must compromise with evil in Syria
      Gideon Rachman
      http://www.ft.com/intl/cms/s/0/96bf7e48-6041-11e5-a28b-50226830d644.html

      Establishing such a process is obviously fiendishly difficult. But there are some promising signs. The Americans have stopped insisting on the immediate removal of Mr Assad. And despite their military build-up in Syria, the Russians must surely understand the long-term risks of “boots on the ground” in Syria. They too need a diplomatic option.

      It would clearly be best if Mr Assad stepped aside early on, as part of a Syrian peace process. But diplomacy cannot be held hostage by the question of Mr Assad’s future. Too many people have already died in Syria to make the search for peace dependent on the fate of one man, however evil.

    • L’extrait ci-dessous de la bio de Heibourg sur Wikipedia donne une idée de son « indépendance » ! membre du Centre d’analyse et de prévision du ministère des Affaires étrangères (1978-79), premier secrétaire à la représentation permanente de la France à l’ONU (1979-1981), conseiller pour les affaires internationales au cabinet du ministre de la Défense (1981-1984), directeur-attaché à Thomson-CSF (1984-1987), directeur de l’IISS (1987-1992), directeur désigné de l’Institut universitaire de hautes études internationales de Genève, directeur du développement stratégique de Matra Défense Espace (1992-1997), responsable d’une mission interministérielle sur la recherche et l’enseignement sur les questions internationales et de défense (1998-2000) et directeur de la Fondation pour la recherche stratégique (2001-2005). Il a fait partie du groupe des personnalités chargé par la Commission européenne de créer le programme européen de recherche de sécurité (PERS)

  • Renseignement : l’armée française prête à interconnecter son système d’information
    http://www.itespresso.fr/renseignement-armee-francaise-prete-a-interconnecter-systeme-information-

    La direction générale de l’armement (DGA) qui pilote le programme de système d’information des armées (SIA), a chargé Airbus Defence and Space de l’industrialisation, du déploiement et du support des systèmes DOPEC (Dispositif pour l’optimisation de l’emploi des capteurs) et CSD (Coalition shared data server).

    L’initiative s’inscrit dans le cadre des travaux de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) visant à coordonner la collecte, le traitement, la diffusion et le partage de données de renseignement, surveillance et reconnaissance interarmées (JISR).

    [...]

    D’ici 2020, des systèmes de renseignement militaire de 9 pays de l’OTAN – États-Unis, Canada, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Espagne, Pays-Bas et Norvège – devraient être interconnectés. Les systèmes DOPEC et CSD constituant le volet français de ce réseau [...].

    DOPEC peut décliner un ordre politique ou de commandement en actions pour capteur embarqué dans un drone, un satellite d’observation, un avion de mission, etc., et pour chaque acteur impliqué dans le bon fonctionnement des opérations de renseignement sur le terrain. Les images, les vidéos et les communications obtenues sur le terrain et/ou sur Internet sont collectées, exploitées et alimentent le personnel autorisé.

    #Airbus_Defence_and_Space #Coalition_shared_data_server #Direction_générale_de_l'Armement #Dispositif_pour_l’optimisation_de_l’emploi_des_capteurs #Forces_armées_françaises #France #Organisation_du_traité_de_l'Atlantique_nord #Renseignement_militaire #Surveillance_globale #Système_d'information_des_armées

  • #OTAN : FIASCO AFGHAN ET #CRISE

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1290

    Pour qui roule l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) ?

    La #manifestation de quelques personnes lors de la réunion des chefs d’Etats membres de l’Otan, #sommet 21 et 22 mai 2012 à #Chicago la ville d’ #Obama, disait clairement aux dirigeants qu’il est inadmissible de faire des #guerres avec les #impôts. Au temps des vaches maigres, des brimades sociales, des #faillites de pays et des #chômages massifs, le retrait des troupes de l’ #Afghanistan en 2014, se prépare au même fiasco, de février 1989, vécu par l’armée soviétique.

  • Rafik Abdesslam, le Qatar, et l’OTAN
    http://www.mag14.com/national/40-politique/224-rafik-abdesslam-le-qatar-et-lotan.html

    On n’a pas fini d’entendre parler de Rafik Abdesslam, le nouveau ministre des Affaires Etrangères de Tunisie. Il a d’abord suscité la polémique pour sa relation de parenté avec Rached Ghannouchi, puisqu’il est le gendre du leader d’Ennahdha. Mais visiblement, la controverse n’est pas près de s’apaiser.

    Un document que les internautes tunisiens s’échangent frénétiquement depuis la soirée du vendredi, indique que Rafik Abdesslam Bouchlaka a participé à une conférence de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), en février 2010, au cours d’un atelier sur la coopération dans le cadre de l’Initiative de coopération d’Istanbul. L’événement sur les lequel se penchent aujourd’hui les Tunisiens a été organisé conjointement par le ministère des Affaires étrangères de l’État du Qatar et par la Division Diplomatie publique de l’OTAN.