organization:partie 2

  • Trump, les Rabbins, et le plan top secret pour construire le troisième temple (partie 2) Le jeu, c’est le pied !
    https://www.crashdebug.fr/loisirss/73-livres/16022-trump-les-rabbins-et-le-plan-top-secret-pour-construire-le-troisiem

    Une nouvelle série proposé par notre cher Contributeur anonyme du même auteur qu’Exo vaticana,

    PARTIE 2 : Le jeu, c’est le pied !

    Par Thomas Horn

    Depuis les années 1980, le Mouvement des temples s’est efforcé de rassembler et de préparer les éléments critiques et même de former le sacerdoce qui servira dans le nouveau complexe religieux installé à Jérusalem. L’importance de ces efforts au sein de la communauté juive orthodoxe et des machinations d’intérêts politiques mondiaux deviendra plus claire lorsque nous révélerons le rôle du Temple dans ce que les rabbins croient avoir déjà commencé - la première étape du processus messianique (Moshiach Ben Yosef, ou "Messie de la maison de Joseph"), qui est décrit comme le précurseur pratique et social de la deuxième étape de (...)

    #En_vedette #Livres #Loisirs

  • Génomique et sexisme : des femmes, des hommes et des chimpanzés | Allodoxia
    http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2017/12/12/genomique-et-sexisme-femmes-hommes-chimpanzes

    Une réfutation récente d’un propos de Claudine Junien, Nicolas Gauvrit et Peggy Sastre, sur le fait qu’en gros la différence entre hommes et femmes est aussi grande qu’entre humains et chimpanzés.

    Claudine Junien use depuis deux ans de tout son poids de professeure émérite de génétique et membre de l’Académie nationale de médecine pour diffuser l’idée suivante : la « différence génétique » entre hommes et femmes est égale à 1.5%, une différence selon elle quinze fois plus grande que celle existant en moyenne entre deux hommes, et comparable à celle existant entre le chimpanzé et l’humain. Comme on va le voir, le calcul de ce pourcentage est plus que spécieux dans son principe et complètement erroné dans sa mise en œuvre, et ces deux comparaisons n’ont aucun sens. La mobilisation de cette rhétorique fallacieuse ne peut s’expliquer autrement que par une volonté de défendre à tout prix ce qu’elle appelle « la cause du sexe biologique », ce qui n’est pas sans rappeler certains précédents.

    PARTIE 1 – PREREQUIS DE GENETIQUE
    Vocabulaire et notions de base
    Caryotypes et spécificités du X et du Y chez l’humain et le chimpanzé
    Zoom sur la région spécifique au chromosome Y humain
    Nombre de gènes et taille du génome humain
    Eléments de génomique comparative
    Variabilité génétique humaine
    Signification fonctionnelle d’un pourcentage de différence entre génomes humains
    Différence génomique entre humains et chimpanzés

    PARTIE 2 – BREVE HISTOIRE DE L’ARGUMENT DE CLAUDINE JUNIEN
    Début des années 2000 : Mattei, Ginger et compagnie
    2005 : Carrel et Willard publient des données à prendre avec des pincettes
    Publicité/communication des résultats de Carrel et Willard
    Relais fantasque de l’étude de Carrel et Willard dans les médias anglo-saxons
    Relais plus factuel dans les médias français, faux et trompeur par Peggy Sastre
    2006 : mise en question de la portée des résultats de Carrel et Willard
    2008 : confirmation de la portée limitée des résultats de Carrel et Willard
    Peggy Sastre enfonce néanmoins le clou, puis Claudine Junien arrive en renfort
    Le fameux argument arrive dans la bouche de Claudine Junien
    Déploiement de l’argument choc

    PARTIE 3 – POURQUOI C’EST MULTIPLEMENT FAUX ET INEPTE
    Calcul de la « différence génétique » entre femmes et hommes
    Prise en compte des niveaux d’expression
    Comparaison avec la différence entre deux humains de même sexe
    Comparaison avec la différence entre humain et chimpanzé

    #Odile_Fillod #Claudine_Junien #Nicolas_Gauvrit #Peggy_Sastre #cerveaux #différence #hommes #femmes #chimpanzés #vulgarisation #science

  • En finir avec la culture du viol : le 8 mars ! – Sexisme et Sciences humaines – Féminisme
    https://antisexisme.net/2018/02/13/livre

    C’est avec une très grande joie que je vous annonce la sortie de mon livre, consacré à la culture du viol, le 8 mars, aux éditions Les Petits Matins. Après la vague #metoo, j’espère qu’il contribuera à approfondir le débat sur les violences sexuelles. Le livre peut d’ores et déjà être pré-commandé sur le site de la maison d’édition, sur plusieurs sites de vente en ligne (Fnac…) ou tout simplement dans votre librairie locale.


    Michelle Perrot
    (source ; licence CC BY-SA 2.0)

    Michelle Perrot, très grande historienne, spécialiste reconnue de l’Histoire des femmes (pionnière dans le domaine) et de l’Histoire ouvrière, m’a fait l’honneur de le préfacer. Parmi ses ouvrages traitant de l’Histoire des femmes, on peut citer les cinq tomes de L’Histoire des Femmes en Occidents (qu’elle a dirigé avec Georges Duby) et Les femmes ou les silences de l’histoire. Elle est, à l’heure actuelle, en train de finir un livre sur George Sand.

    Un extrait de sa préface :

    Comment comprendre la « culture du viol », expression née aux États-Unis dans les années 1970 ? Il faut déchiffrer cette étrange inversion qui fait des victimes les quasi-coupables, acculées à se défendre, à dissimuler, à se taire, et soupçonnées, quand elles osent parler, de vouloir attenter à la stature et à l’honneur de l’homme, maître du jeu – ou, pire, de dissiper les représentations idylliques de rapports sexuels dont la violence réelle dissout le rêve amoureux. Porter plainte suppose du courage. Tenter de comprendre ces mécanismes doit en donner.

    En attendant la sortie du livre, je vous propose son sommaire et une vidéo de présentation (réalisée par Clémentine Vagne : merci à elle !) :
    Sommaire

    Préface de Michelle Perrot
    Introduction
    Partie 1 : état des lieux
    Quelques cliches a déconstruire sur les violences sexuelles
    Que dit la loi sur les violences sexuelles ?
    Les violences sexuelles, un phénomène massif
    Des violences aux conséquences graves sur la sante et trop souvent impunies
    Partie 2 : les mécanismes de l’impunité des violeurs
    Des violences minimisées par la justice et la société
    Des mythes et stéréotypes lourds de conséquences
    L’emprise de l’agresseur et la loi du silence
    L’impact des mythes sur le processus judiciaire
    Les conséquences de l’impunité
    Partie 3 : le viol, une histoire de pouvoiret de domination
    Ses axes de domination
    Un contrôle disciplinaire
    Partie 4 : de l’hétérosexualité « normale » au viol
    L’hétérosexualité pour les femmes : entre contraintes et inégalités
    La coercition économique
    La coercition graduelle au cours des interactions sexuelles
    Une dualité femmes-hommes au service de la domination masculine
    Quelle liberté sexuelle et quel consentement pour les femmes ?
    Partie 5 : mettre fin à la culture du viol
    Sensibiliser et éduquer les jeunes (et les moins jeunes)
    Améliorer la prise en charge des victimes de violences sexuelles
    Former les professionnels
    Faire progresser la loi pour une meilleure condamnation des violences sexuelles
    Se donner les moyens de lutter contre les violences sexuelles
    Lutter contre toutes les formes d’inégalité

    https://www.youtube.com/watch?v=jNv5rAeaF_E

  • Pierre Jovanovic : Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets (Partie 2)
    https://www.crashdebug.fr/loisirss/73-livres/14283-pierre-jovanovic-adolf-hitler-ou-la-revanche-de-la-planche-a-billet

    Pour ceux qui n’aurrait pas vu la 1ere partie elle est ici.

    Bonne soirée, ; )

    Amicalement,

    f.

    Source(s) : Youtube.com via Contributeur anonyme

    Informations complémentaires :

    Crashdebug.fr : « L’histoire ne se répète jamais exactement, par contre elle bégaie... »

    Crashdebug.fr : 6 juin 1944 : ce qu’on ne vous dira pas...

    Crashdebug.fr : Mille milliards de dollars

    Crashdebug.fr : Le secret d’Adolf Jacob Hitler...

    Crashdebug.fr : Hitler était accro à la cocaïne

    Crashdebug.fr : Adolf Hitler, la Fraternité musulmane et les Palestiniens

    Crashdebug.fr : Hitler n’est pas mort en Allemagne ; Il a fui en Argentine selon des documents récemment déclassifiés du FBI

    Crashdebug.fr : Walter HALLSTEIN, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne...

    Crashdebug.fr : La France choisit la (...)

    #En_vedette #Livres #Loisirs

  • Les adultes surdoués – | Une sociologue chez le coiffeur
    https://systemececilia.wordpress.com/2013/11/02/les-adultes-surdoues-comparaison-des-ouvrages-sur-le-sujet

    Partie 1 : présentation des ouvrages et considérations scientifiques et sémantiques
    https://systemececilia.wordpress.com/2013/11/02/les-adultes-surdoues-comparaison-des-ouvrages-sur-le-sujet

    Partie 2 : caractéristiques des surdoué-e-s
    https://systemececilia.wordpress.com/2013/11/17/les-adultes-surdoues-comparaison-des-ouvrages-sur-le-sujet

    Partie 3 : quel ouvrage choisir ?
    https://systemececilia.wordpress.com/2013/11/17/les-adultes-surdoues-comparaison-des-ouvrages-sur-le-sujet

    Entre 2008 et 2012 sont parus au moins quatre ouvrages vulgarisateurs sur les « adultes surdoués »[1]. C’est un sujet qui m’intéresse, je me suis donc précipitée dessus lors de leur parution en librairie. Mais en bonne perfectionniste, j’étais ennuyée : comment en lire un sans les lire tous, de peur de manquer un élément important ? D’un autre côté, est-ce vraiment utile de lire ces quatre ouvrages pour comprendre ce dont il est question ? Pour éviter à quelqu’un d’autre cet effroyable dilemme, j’ai décidé d’établir une petite comparaison de ces quatre ouvrages, afin d’y voir plus clair :
    – Siaud-Facchin Jeanne, Trop intelligent pour être heureux ? – l’adulte surdoué, Odile Jacob, 2008 (1)
    – de Kermadec Monique, L’adulte surdoué – apprendre à faire simple quand on est compliqué, Albin Michel, 2011 (2)
    – Petitcollin Christel, Je pense trop – comment canaliser ce mental envahissant, Guy Trédaniel Editeur, 2012 (3)
    – Bost Cécile, Différence & souffrance de l’adulte surdoué, Vuibert pratique, 2011 (4)

  • Les médias, les indéboulonables et ceux qui font le taf Tatiana Ventôse - 11 juin 2017

    https://www.youtube.com/watch?v=U7PuDp8YYaI

    Réflexion autour du système médiatique suite à la conférence “Youtubeurs et Engagés” au Youtube Space Paris le 1er juin. Ceux qu’on entend sur les plateaux sont-ils vraiment ceux qui font tourner la baraque ? Pour voir mon débat avec Laurent Joffrin dans l’émission FlashTalk (Octobre 2016) : https://www.youtube.com/watch?v=0-TdhDn8qtI&t=29s

    Pour visionner en entier la conférence “Youtubeurs et Engagés” au Youtube Space Paris : Partie 1 avec Xuman (Les Hauts-Parleurs), Caroline Bordecq (Les Hauts-Parleurs) et Le Grand JD : https://www.youtube.com/watch?v=wSiRaRHyimo&t=782s


    Partie 2 avec Thomas Gauthier, Amina Boumazza (Les Hauts-Parleurs) et moi : https://www.youtube.com/watch?v=2m9726_Dhec&t=231s

    [FDA #56] Valls/Fillon, Eau & Mode Le Fil d’Actu - Officiel - 2 févr. 2017
    https://seenthis.net/messages/566495

    #médias #Laurent_Joffrin #journalistes #éditorialistes #experts #engagement #Information #youtube

  • Droit des femmes en France et à l’international | Gouinement Lundi
    http://www.homomicro.net/wp/2017/03/03/gouinement-lundi-droits-des-femmes

    Partie 1 : les évènements autour du 8 mars en France, les revendications majeures en 2017. Partie 2 : le recul des droits des femmes à l’international ces deux dernières années. Avec comme intervenantes : Marcia et Nelly, membres du collectif Le Gang ; Amapola Limballe, membre de la commission droits des femmes d’Amnesty International. Et également : entretien avec Laura Tatoueix, chercheuse en histoire, préparant une thèse sur l’avortement en France à l’époque moderne ; un reportage au rassemblement organisé par l’association Russie Libertés le 19 février 2017 à Paris contre la loi de décriminalisation des violences domestiques en Russie. Durée : 1h30 en deux fichiers. Source : Fréquence Paris (...)

    http://www.homomicro.net/wp/wp-content/uploads/2017/03/Gouinement_lundi_3-4-27022017.mp3

  • Accaparement de terres agricoles en #France : quel est le plan des Chinois ?
    https://reflets.info/accaparement-de-terres-agricoles-en-france-quel-est-le-plan-des-chinois

    (Partie 2) Le procédé et les acteurs des rachats de terres agricoles décrits dans le premier article, permettent de comprendre le « comment » de cette opération orchestrée par un entrepreneur français installé en Chine et les dirigeants de 2 multinationales chinoises. Reste le « pourquoi », et ce qui pourrait survenir dans un futur plus ou moins proche. […]

    #Economie #Accaparement_des_terres #Beijing_Reward_international #Carhaix_usine #Chine_terres_agricoles #Hong_Yang #Keqin_hu #lait_en_poudre #Marc_Fressange #usine_à_lait

  • Dette publique grecque : le cauchemar a-t-il une fin ? Partie 2 (Jacques Sapir)
    https://www.crashdebug.fr/international/12487-dette-publique-grecque-le-cauchemar-a-t-il-une-fin-partie-2-jacques

    Et voici la 2eme partie des chroniques de Jacques Sapir sur la dette grec. (1ere partie ici)

    L’alternative, en 2014, était Syriza, il convient désormais d’en trouver une autre. Avec Arta Seiti, Maria Negreponti-Delivanis et Grigoriou Panagiotis. En vous souhaitant une bonne écoute sur Sputnik France.

    Jacques Sapir : "La dette publique grecque est en réalité une dette étrangère, elle n’a pas été émise depuis Athènes mais depuis Francfort." "Si la Grèce sort des institutions européennes, sa seule garantie de sécurité face une Turquie particulièrement imprévisible se trouvera dans une alliance extrêmement étroite avec la Russie." "La monnaie unique devient en Grèce et dans d’autres pays européens une forme de gouvernance post-démocratique."

    Source(s) : (...)

  • Ces laboratoires secrets qui mènent leurs expériences sur des humains (partie 2)
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/ces-laboratoires-secrets-qui-menent-leurs-experiences-sur-des-humains-part

    PARTIE 1 Des laboratoires top-secrets mènent depuis des années leurs expériences sur des cobayes humains. Une pratique aussi confidentielle qu’effrayante. Découvrez une sélection des expérien... PARTIE 2 Une expérimentation pour éradiquer l’homosexualité...

  • Ce soir ou jamais sur l’antiracisme, décryptage par Houria Bouteldja, Maboula Soumahoro, Nacéra Guénif
    Ajoutée le 4 avr. 2016
    https://www.youtube.com/watch?v=joUMkHE49p0

    Il y a eu cette émission Ce soir ou jamais où Thomas Guénolé a voulu sonner la mort de l’antiracisme politique. Qu’est-ce qui s’est joué lors de cette émission et qu’est-ce qui se joue maintenant ? Le décryptage de l’émission par Houria Bouteldja, Maboula Soumahoro et Nacéra Guénif, trois actrices importantes de l’antiracisme politique...

    Partie 2 du décryptage de l’émission Ce soir ou jamais consacrée à l’antiracisme par H.Bouteldja, M.Soumahoro, N.Guénif.
    Ajoutée le 5 avr. 2016
    https://www.youtube.com/watch?v=ikio87lRwfs

    Décryptage Ce soir ou jamais H Bouteldja , M Soumahoro, N Guénif Partie 3
    Ajoutée le 6 avr. 2016
    https://www.youtube.com/watch?v=5kk5gwXgCNE

    #Houria_Bouteldja
    #Maboula_Soumahoro

  • Les gouvernements admettent que l’histoire a été façonnée par des attaques sous fausse bannière (Partie 2)
    http://www.brujitafr.fr/2016/04/les-gouvernements-admettent-que-l-histoire-a-ete-faconnee-par-des-attaques

    Cette deuxième partie vient compléter les 42 exemples précédents de false flags et manipulations de masse opérés par les gouvernements avec 21 exemples supplémentaires accompagnés de preuves concrètes pour chacun d’entre eux. Je me suis permis de retirer...

  • Théoriser le soutif | HYÈNES EN JUPONS
    http://hyenesenjupons.com/2016/02/17/theoriser-le-soutif

    Partie 1 : De l’Antiquité au corset
    http://hyenesenjupons.com/2016/01/25/de-lantiquite-au-corset

    Partie 2 : De la brassière au push-up
    http://hyenesenjupons.com/2016/02/15/de-la-brassiere-au-push-up

    Comme on a pu le constater, à travers l’histoire[1], la lingerie a plus souvent satisfait un idéal de mode, d’érotisme et de séduction sociale que rempli une véritable fonction biologique. La lingerie s’est rarement adaptée aux femmes, au contraire, la mode leur a dicté quelle forme devait avoir leur corps, leurs seins, leur taille, leur silhouette, etc. La recherche sur la lingerie féminine amène nécessairement une réflexion sur la gestion de l’intimité corporelle que les femmes entretiennent[2]. Aujourd’hui, la lingerie est considérée comme un outil indispensable de séduction et d’érotisme. Le soutien-gorge est présenté aux femmes comme une source d’émancipation féminine, mais aussi de moralité, le soutif faisant maintenant partie intégrante de l’hygiène féminine[3]. La brassière, plus qu’un simple sous-vêtement, est un marqueur d’identité sexuelle. Il permet, dans le jeu de l’affirmation du sexe, d’entrer dans l’âge adulte et de magnifier les attributs typiquement féminins. Attributs qui ont été érotisés par la société, mais qui ont d’abord un lien avec la maternité[4]. C’est de cette façon que la féminité se construit socialement, les femmes se doivent d’être belles et par conséquent, d’avoir des accessoires qui mettent leur corps en valeur[5].

    • Je me souviens que ma découverte du féminisme est liée à ce sujet. Dans les médias et ma famille, à l’école et un peu partout, on me parlais de ces féministes comme de terribles femmes mauvaises et maléfiques, ces femmes étaient criminelles car elles brulaient des soutifs. Les MLF étaient particulièrement cité comme terroristes anti soutif. Elles ont ensuite été remplacés par les chiennes de garde dans la réprobation populaire, qui elles mêmes sont aujourd’hui remplacés par les femens.

      Je me demandais quant même ce qu’il pouvais y avoir de si terrible à bruler ce petit bout de vêtement mais j’ai jamais pu savoir pourquoi c’était si grave. D’un coté tu as des millions de viols et d’agressions sexuelles contre les femmes, des violences par conjoint qui conduisent plus de cent femmes par an à la mort avec la complicité de la police et des juges. Et le seul crime que l’on dénonce massivement c’est l’attentat au soutif. Il se trouve que le MLF n’as jamais brulé de soutifs mais on est pas à une fausse accusation contre les féministes près.

      Tu peu avoir 200000 agressions sexuelles par an à 94% contre les femmes et les filles, aucune réaction, RAS. Tu as deux femmes qui brulent un soutif, c’est 50 ans de réprobation publique et de dénonciation des « excès » du féminisme.

  • Homeland : Irak, année zéro, au cinéma le 10 février à Paris au MK2 Beaubourg
    http://smb9.r.bh.d.sendibt3.com/nl21e1qe3vbl.html
    PREMIÈRE PARISIENNE
    JOURNÉE SPÉCIALE IRAK

    VENDREDI 12 FÉVRIER

    Au cinéma MK2 Beaubourg
    50, rue Rambuteau, 75003 Paris

    13h : Présentation + Partie 1
    15h45 : entracte
    16h : Partie 2 + Débat

    en présence de
    Abbas Fahdel, Réalisateur
    de Kadhim Jihad Hassan, écrivain, professeur des universités à l’inalco
    de Vanessa Van Renterghem, maître de conférences en histoire du Proche-Orient médiéval à l’inalco
    et de Chantal Verdeil, maître de conférence en histoire du monde arabe contemporain à l’inalco

    Tarif : 5€ par séance
    10€ les deux parties

    Evénement organisé par Nour Films
    en partenariat avec l’Institut national des langues et civilisations orientales
    Un Home movie à résonance universelle :

    HOMELAND : Irak année zéro du cinéaste irakien Abbas Fahdel est une fresque puissante qui nous plonge pendant deux ans dans le quotidien de sa famille peu avant la chute de Saddam Hussein, puis au lendemain de l’invasion américaine de 2003.
    Ce documentaire est découpé en deux parties – l’avant et l’après.

    I – Avant la chute
    La première partie décrit les instants de vie d’une famille qui se prépare à la guerre. Elle va être terrible, mais il y a quand même l’espoir de voir une démocratie s’installer après la chute de la dictature. Que peut-il leur arriver de pire ?

    II – Après la bataille
    La seconde partie, après la chute du régime, est davantage tournée en extérieur. Les langues se délient et on découvre un peuple anéanti, un pays mis à feu et à sang où dans les rues, les incidents éclatent, les bandes rivales s’affrontent.

    Pendant 334’, nous partageons les joies et les craintes de cette famille irakienne qui nous montre à quel point toutes les familles du monde ont les mêmes aspirations : travailler, éduquer leurs enfants, rire, aimer, s’impliquer dans leur société…
    Abbas Fahdel nous montre également qu’au coeur de la guerre il existe des hommes, des femmes et des enfants exceptionnels, des héros du quotidien, « des gens qui sont nos frères humains et que l’on quitte le coeur brisé quand le film prend brutalement fin ».

  • Chômage : la dégressivité des allocs, poussée par le gouvernement, contestée par l’Insee...
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/11254-chomage-la-degressivite-des-allocs-poussee-par-le-gouvernement-cont

    Écoutez Étienne Chouard (vidéo ci-dessous) et vous comprendrez mieux pourquoi le chômage ne recul pas et qu’il n’est pas près de le faire... Du reste comme je le rappel à chaque fois, le Prix nobel d’économie Français Maurice Allais, n’as cessé de nous mettre en garde contre cette mondialisation sauvage et la construction Européenne, et PERSONNE ne l’as écouté... (Car cela allais contre les intérêts des puissants de ce monde)

    Partie 2 & 3

    En vigueur de 1992 à 2001, le système prévoyant une baisse progressive et régulière de l’indemnisation des chômeurs a plutôt ralenti le retour à l’emploi.

    C’est devenu un « marronnier » : à chaque renégociation - ou presque — de la convention d’assurance chômage, ressurgit l’idée de rendre les allocations dégressives. C’est donc sans surprise, à deux semaines du lancement des (...)

  • « En #Espagne, c’est au #musée que ça se passe (4/4) : La Radio de #La_Casa_Encendida »
    http://syntone.fr/en-espagne-cest-au-musee-que-ca-se-passe-44-la-radio-de-la-casa-encendida

    Dernière étape de notre série sur les radios de musées et de centres d’art en Espagne : #La_Radio_de_la_Casa_Encendida#Toña_Medina et #Ángeles_Oliva forment un tandem de femmes-orchestres radiophoniques selon leurs propres termes.

    #webradio #Kamen_Nedev

  • « En #Espagne, c’est au #musée que ça se passe (3/4) : #Radio_Círculo »
    http://syntone.fr/en-espagne-cest-au-musee-que-ca-se-passe-34-radio-circulo

    Née au début des années 2000, Radio Círculo a fait le pari de diffuser en continu et en FM. Aujourd’hui diffusant uniquement sur le web pour des raisons budgétaires, elle maintient le cap d’une programmation exigeante, ouverte aux contributions extérieures.

    #David_Coello #Sonia_Frías #webradio

  • Davos 2016 : la révolution numérique est-elle une menace pour l’emploi ?

    Le rapport de Davos 2016 alerte sur la prochaine disparition de 5 millions d’emplois sur 5 ans au niveau mondial parallèlement à la révolution numérique.

    « Mais ce que ne dit pas ce rapport c’est que ces 5 millions d’emplois vont être remplacés par des millions d’entrepreneurs » — Loic Lemeur

    « Aujourd’hui c’est beaucoup plus facile de créer son emploi que d’en trouver un, c’est ça la révolution ; et donc oui il va y avoir moins de job dans les grandes entreprises, c’est pas grave. » — Loic Lemeur

    Et où j’ai appris aussi cette réflexion de #Stephen_Hawkins : l’intelligence artificielle serait la plus grosse menace pour l’humanité.

    https://www.youtube.com/watch?v=bjfvrZh6mmc


    Partie 1
    https://www.youtube.com/watch?v=f231ujZUdR0

    Partie 2

    #Silicon_Valley #emploi #entreprenariat #startup

  • « En Espagne, c’est au musée que ça se passe (1/4) : Ràdio Web MACBA »
    http://syntone.fr/en-espagne-cest-au-musee-que-ca-se-passe-14-radio-web-macba

    Depuis une quinzaine d’années, des #radios ont fleuri dans les #musées et les centres d’arts en Espagne : au #MACBA, le Musée d’Art Contemporain de Barcelone, au Musée Reina Sofía à Madrid, dans les Centres culturels de la Casa Encendida et du Círculo de Bellas Artes également dans la capitale. Toutes sont des webradios à la demande qui proposent des émissions sous forme de podcasts. Seule Radio Círculo diffuse en continu (streaming).

    Quel que soit leur profil ou leur mode de fonctionnement, il s’agit de projets courageux qui investissent des territoires souvent délaissés par les radios publiques et privées. Évoluant au rythme d’internet, ces radios sont devenues peu à peu la mémoire sonore du lieu qu’elles habitent. Fragiles, elles survivent tant bien que mal à la crise, se réinventent constamment, portées corps et âme par des artistes, chercheur·se·s, journalistes et passionné·e·s, au sein d’institutions qui fournissent un soutien mais peu de moyens. Cependant, même à petite échelle, elles sont aujourd’hui les épicentres de la #création_sonore et radiophonique en #Espagne. Quatre portraits à suivre sur Syntone.

    #RWM

  • L’impuissance comme idéal de beauté des femmes – Antisexisme
    http://antisexisme.net/2016/01/02/impuissance-01

    Cet article était à l’origine censé être une simple introduction à un article très long, faisant partie de la série sur l’objectivation sexuelle. J’ai décidé de le fragmenter pour une lecture plus aisée, et d’en faire une série d’articles sur l’impuissance comme idéal de beauté des femmes

    Partie 2 : Un beau corps féminin est un corps qui ne prend pas trop d’espace

    Partie 3 : Un beau corps féminin est un corps à l’air jeune voire enfantin et qui est sexualisé

    Partie 4 : Un beau corps féminin est un corps qui exprime l’abnégation

    Partie 5 : Sorcières et féministes, quelques figures de la laideur féminine

    Partie 6 : Conclusion

    #femmes #beauté

    via @monolecte

  • Conclusions sur la lecture de "L’invention de la science" de Guillaume Carnino. -7-

    Partie 1 : ►►http://seenthis.net/messages/428937
    Partie 2 : ►►http://seenthis.net/messages/429289
    Partie 3 : ►►http://seenthis.net/messages/429820
    Partie 4 : ▻►http://seenthis.net/messages/430316
    Partie 5 : ▻http://seenthis.net/messages/430951
    Partie 6 : http://seenthis.net/messages/432385

    Conclusion.
    Dans sa conclusion l’auteur ne se contente pas de résumer la perspective générale de son travail et ce qu’il met en relief, mais rentre dans un débat politique et philosophique. Politique sur la question de l’origine d’une partie de la disqualification de la population à la participation politique, et philosophique en questionnant la démarcation entre science et non-science, et au final « pourquoi la science » ?
    Carnino soutient que « la science est la première puissance de transformation du réel, soit une force politique du premier ordre. » Et… en même temps qu’elle serait exclue du champ politique. [La seule manière de bien comprendre à mon avis cette assertion, et qu’elle est présentée comme objective et qu’on ne peut pas la remettre en question. Mais la formulation est particulièrement mauvaise].
    Cela aurait pour conséquence d’ exclure légitimement de la démocratie « un pan entier du social ». Et en même temps la science serait alors capable de tout promettre, sans être responsable de rien.
    [Je suis en désaccord avec cette conclusion. Je ne peux pas juger le travail de l’historien, et je ne peux que dire, qu’il apporte des connaissances intéressantes (sur ce qu’est la longueur réelle de la révolution par ex.), et permet effectivement de préciser pas mal de chose, et de déconstruire des idées reçues sur l’image que l’on a de la science (Une science pure, désintéressée. Des personnages charismatiques, entièrement rationnels, en fait fruit d’une reconstruction propagantiste tardive). Mais d’une manière qui a mon avis n’est pas la plus optimale (car au final il est difficile de mobiliser ses arguments dans un débat) voire organise une confusion sur ce que ce terme recouvre (puisqu’au final cette critique de « la science » ne parle que d’une image que l’on a, et ne permet pas d’en voir les différents sens qui sont souvent employés).
    La science en tant qu’image existe, mais cette image est différente et ne condamne pas les sciences en elle-même. Le problème réside dans l’État, le patronat, et aujourd’hui la culture qu’ils nous ont légués, qui nous donne des préjugés sur ce qu’est la science. Par ex. sur les promesses de la science… certains scientifiques font des promesses pour obtenir un budget, alors qu’ils savent qu’ils ne sont pas sur de ce qu’ils trouveront. D’autres soutiennent largement tel gouvernement ou action politique en mettant en avant leur aura de scientifique, ou leur travail, ils peuvent donc aussi avoir des responsabilités (mais l’on ne peux pas tirer de ces observations que la science en général à tout pouvoir et aucune responsabilité !).
    Si malgré une connaissance réelle de la science, on voit qu’elle sert les dominants, c’est aussi d’une part parce que des scientifiques eux-même adhère à ce projet, et d’autres part parce que ce sont les gouvernements et les patrons (d’industrie, de banques, des marchés) qui permettent a beaucoup de scientifiques de travailler, ou pas (en leur confiant un budget, ou pas), ainsi que des instruments et des sujets qui seront favorisés.
    Rappelons que les scientifiques ne sont même pas propriétaire de leurs publications scientifiques qu’ils doivent racheter (par ex). Et que contrairement à ce qu’a cru voir Carnino, la science a un besoin de la reproductibilité, et d’une évaluation transparente, alors que l’industrie à intérêt à cacher ses recherches, à faire du secret industriel… bref : de la propriété et du brevet.
    Si aujourd’hui un pan entier du social est exclue de la démocratie, ce n’est pas parce que la science là voulue, mais parce que c’est un mouvement de fond des gouvernants et des marchands que d’exclure la population de la décision politique. Et c’est dans cette perspective qu’ils font passer certains sujets comme étant purement techniques et/ou scientifique. Or la science ne dit pas ce qui est gentil ou méchant, bon ou mauvais, mais permet (et cela répond à la question « pourquoi la science ? ») parfois d’anticiper, de prévoir, et d’autrefois : de comprendre, d’envisager, d’éclaircir.]

    Autre chose : elle garantirai « la cohérence du progrès perpétuel et de l’univers infini – et engendre l’illusion d’une croissance illimitée possible et souhaitable. »
    [Décidément non. Le « progrès » est un terme qui connaît différent sens qui change en fonction des critères que vous prenez en compte. Il n’y a pas de raison de se laisser voler l’emploi et le sens des mots. Il suffit de demander, analyser, voir quels critères sont employés et d’en retirer, compléter ou proposer. Par ex. le progrès au lieu de n’être l’accumulation de savoir (positivisme) ou encore des techniques industrielles, peu au contraire être redéfini avec des critères comme durabilité, difficultés d’accés, capacités pour le maintenir et l’utiliser etc.
    Quand à la croissance illimité possible et souhaitable, ça ne vient pas de la science. Mais d’ambition politique qui tente de faire d’un savoir (l’économie) une science d’une part, et ensuite de réduire et biaisés les variables que peu prendre en compte ce savoir pour faire comme si les ressources était illimités par ex. Mais plus grave encore : le savoir économique n’a rien a faire avec l’idée du « souhaitable ». Quand on dit ce qui est souhaitable, on parle politique. Cette confusion est grave, car précisément, c’est se retirer la possibilité de dire non politiquement, que d’accepter l’idée que c’est la science, ou un savoir qui défini le bon ou le mauvais.]

    L’auteur revient sur la définition de la science, en critiquant l’épistémologie à charge. Pour lui elle « fournit le canevas interprétatif de toute connaissance et statue sur la scientificité ou l’irrationalité des jugements humains ». [Or c’est la relecture par les pairs qui statue sur la qualité d’un travail, pas l’épistémologie qui se pose des questions sur les critères employés… et même quand elle les critiques, elle n’est que rarement connues par des scientifiques eux-mêmes a qui ont ne laisse pas forcément le temps de s’en soucier. On voit d’ailleurs que la seule idée bien souvent qu’il reste serait la proposition de démarcation de Popper… celle-ci à pourtant largement était débattu et connaît de nombreuses limites.]

    L’auteur a l’air même de penser qu’aujourd’hui en quelque sorte, la question de l’épistémologie est réglée, qu’elle aurait accompli en quelque sorte son travail en faisant tombé « la rhétorique surplombante du vrai » .
    [Il n’en est rien, la question de la démarcation entre ce qui relève de la science et n’en est pas est toujours d’actualité, avec des débats sur ce qu’on appelle par ex. les pseudo-sciences, la différence entre science et savoir, l’explication du paranormal etc. (voir par ex. le livre Nonsense on Stilts de Massimo Pigliucci, ou son article The Demarcation Problem, A (Belated) Response to Laudan). Sans parler des débats engendrés par le confusionnisme et l’adhésion grandissante au complotisme. Qui d’ailleurs pose certainement à des historiens des problèmes importants concernant a minima la réception de leurs travaux.
    Il semblerai en fait que Carnino soit victime d’une confusion courante entre Épistémologie et Philosophie des sciences. On entends souvent l’épistémologie comme l’idée que chaque science questionne ses propres méthodes et la philosophie des sciences comme un raisonnement encore plus général sur ce mouvement d’ensemble, et entre autre qu’es ce qui constitue ou pas une science (par ex. traduit en français, le livre de Chalmers : Qu’est ce que la science ?). Le problème étant ici que quand Carnino parle d’épistémologie, il cite en fait des livres qui pourrait être rattaché à la philosophie des sciences.]

    [Enfin, je finirai en disant que la proposition que met en avant Carnino, selon laquelle la science est pour certains une religion (qui pour moi est une image de la science, qui par ailleurs à servi a des gourous) est aujourd’hui remise en cause, et pas seulement par des libertaires rationalisant, mais par divers conspirationnistes qui n’hésite pas à rejeter l’Histoire pour y préférer le Récentisme (voir le négationnisme), et l’Archéologie, pour l’idée des Anciens astronautes…].

    #science #pseudo-science #démarcation #industrie #politique #démocratie

  • Notes sur la lecture de "L’invention de la science" de Guillaume Carnino. -6-

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    Ch. VIII. Résistance au progrès et religion de la science . Carnino montre que la science vient concurrencer la religion sur le domaine de la foi [de fides en latin, qui peu être compris comme « confiance ». Et de fait, on a confiance en un procédé, quand on ne peux pas l’expliquer soi-même] et que le « progrès scientifique » succéda a la vision eschatologique de l’église. L’auteur met en avant des procédés rhétoriques que les gouvernants utilisent pour justifier leurs emplois d’une certaine science (mythologie d’un avenir dans un progrès certains, martyrologie [où pourrait-on dire victimisation]).
    [Sa critique de « La science » et du « progrès scientifique » qui est en fait l’image d’une certaine science, construite par le pouvoir ; ne met pas en valeur, le fait qu’il y aie aussi des scientifiques (même minoritaires) qui critiquent les propositions du gouvernement. De même ce que l’on peut entendre par progrès ou progrès scientifique est discutable, mais Carnino semble en laisser la possibilité de définition qu’aux dominants. De fait, l’erreur est alors facile pour le lecteur : la science serai contre la population. Comme si cette rhétorique était spécifique, alors qu’il s’agit de procédés classiques de propagande. Les gouvernants ne s’y trompent pas, puisqu’ils qualifient leurs propres discours de : « propagande scientifique », comme le relève Carnino lui-même, mais par un autre angle].
    A travers la science et l’autorité qu’ils peuvent en tirer le gouvernement cherchent à perpétuer ses objectifs et trouve des alliés dans ceux qui peuvent en tirer bénéfices (dans l’ex. Que donne Carnino sur le maintient par la ville de Paris de l’irrigation de ses égouts, il s’agit des « cultivateurs qui s’enrichissent grâce à l’engrais »).
    [D’un point de vue libertaire, par ailleurs, je ne comprends pas que Carnino insiste tant sur des procédé rhétorique classique et peu sur le fait qu’un des problèmes est le refus de tout avis politique des administrés, pour n’entendre que des avis scientifiques (qui eux-mêmes seront sujets a des débats politico-scientifique comme par ailleurs, il l’indique sur l’origine de pathologies, entre un tenant d’une causalité microbienne, et un autre d’une causalité climatique)].
    Ch.IX La science est indiquée comme le moyen inédit pour stabiliser l’alliance industrielle et gouvernementale, en lieu et place de l’alliance royauté et chrétienté de l’Ancien Régime.
    [Il semble que l’auteur confonde une fois ce plus ce qui est scientifique, et ce qui se réclame scientifique. Ainsi, si on trouve effectivement des texte qui réclame un bon gouvernement par la science… ça ne signifie en rien, que c’est la science qui gouverne d’une part (et on se demande bien comment ?) et d’autre part en quoi le gouvernement en question serait scientifique ? Tout tiendrai dans la force d’un discours dont se revendiquent ceux qui encouragent, valident, ou tiennent le pouvoir.
    Qu’une science, et même des savants, travaillent activement à la monopolisation du vocabulaire de ordre, progrès, science et industrie par le pouvoir, doit-il empêcher par ex. des anarchistes d’indiquer que l’anarchie c’est l’ordre moins le pouvoir ? Doit-on préférer l’anomie, le désordre, à l’anarchie, parce que d’autres personnes définissent leur force comme étant celle de l’odre ? De la même façon qu’il y a différents ordres, ne peut-on concevoir qu’il existe différentes sciences (à conditions qu’elles aient par ex. en commun d’être toutes basées sur des preuves ?)]
    Ferry institue l’école, scientifique, non seulement comme lieu de connaissance, mais aussi de morale, afin de régler à la fois les problèmes intellectuels (soumissions à la religion) et politique (désordre civils) . Il fait de la propriété, un bien « légitime » en l’honorant car elle participe a une bonne cause : permettre l’éducation de tous, pauvres compris, à travers son imposition.
    Carnino, relève, enfin, ou tout de même, que les gouvernants ne suivent pas la science jusqu’au bout, mais tant qu’elle leur permet d’asseoir leur domination . Ainsi pour Ferry, si les élèves vont à l’école, ce n’est pas pour en fait des savants, mais pour les instruites de « certaines doctrines d’État qui importent à sa conservation. » (Jules Ferry). [Ce qui n’empêchera pas Carnino, d’entretenir la confusion en écrivant juste après que c’est « la science » qui va infuser la masse du peuple etc. Alors qu’il s’agit des professeurs, de leurs croyances et pratiques (et dans une moindre mesure des gouvernants et de leur législation].
    Finalement l’auteur rappelle l’ignorance, très actuelle à cette époque du sophisme naturaliste . C’est-à-dire que beaucoup de personnes confondent les « lois de la nature » avec des « lois morales » qu’il faudrait établir [malheureusement, il suffit de voir l’eugénisme que l’on appelle abusivement « darwinisme social » pour le comprendre].

    #pouvoir #science #école #ferry