organization:podemos

  • Spain prepares military crackdown in Catalonia - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/en/articles/2017/10/06/spai-o06.html

    As Spanish military and police units continued to deploy to Catalonia yesterday after failing in a brutal attempt to halt the October 1 Catalan independence referendum, Madrid signaled yesterday that it is preparing a military crackdown in Catalonia. The Constitutional Court suspended the Catalan parliament, after Prime Minister Mariano Rajoy rejected calls for mediation led by the Podemos party and the union bureaucracy.

    On Sunday, the world was shocked and stunned as videos filled the Internet of 16,000 police assaulting polling places and peaceful voters, including women and the elderly, across Catalonia. Furious that its initial crackdown failed, Madrid is now preparing an even bloodier assault, using the military. As the Spanish press debates imposing a state of emergency, as in neighboring France, it is clear that this is bound up with well-advanced plans for military rule and the abrogation of basic democratic rights across Europe.

    Amid Catalan crisis, Madrid prepares military rule across Spain - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/en/articles/2017/10/06/madr-o06.html

    The Spanish political establishment is now openly debating its options for how to crack down on the secessionist movement in Catalonia and install military rule across the entire country.

    Two weeks ago, the debate was whether the Spanish minority Popular Party (PP) government under Mariano Rajoy should implement drastic measures that would suspend Catalan regional autonomy. Now, the question is when and how the military will be deployed and police presence escalated. These discussions must be taken as a serious warning to the Spanish and international working class.

    #espagne #catalogne

  • Spain’s Podemos Party publishes its manifesto in Ikea Catalog form / Boing Boing
    http://boingboing.net/2016/06/10/spains-podemos-party-publish.html

    Spain’s anti-austerity, left-wing Podemos ("We Can") Party (previously), which grew out of Spain’s Occupy-like Indignados movement, has just published its election manifesto for the June 26 election — in the form of an Ikea Catalog.

    #politique #publicité

  • Rebattre les cartes de la politique française
    http://www.revue-ballast.fr/rebattre-les-cartes

    Pourquoi François Hollande est-il devenu le meilleur allié de Marine Le Pen ? C’est la question que pose l’auteur, espagnol et membre de Podemos, lorsqu’il analyse la situation française et la montée du parti nationaliste. Fortes du concept de populisme porté par le théoricien argentin Ernesto Laclau, ces lignes appellent à la formation d’un mouvement progressiste capable de rompre avec le bipartisme libéral. ☰ Par Pablo Castaño Tierno

    « Nous ne pourrons commencer à comprendre le fascisme que si nous le voyons comme une des possibilités internes propres à nos sociétés et non comme quelque chose qui est au dehors de toute explication rationnelle », écrit le théoricien argentin Ernesto Laclau. Le vertigineux progrès du Front national s’est de nouveau manifesté lors de sa victoire aux élections régionales de décembre 2015. Bien que le parti d’extrême droite n’ait obtenu aucun gouvernement régional à cause du système d’élection à deux tours, une peur de plus en plus intense s’est emparée d’une partie croissante de la société française. Celle-ci observe, stupéfaite, une force politique xénophobe – et considérée comme marginale il n’y a pas si longtemps – s’approcher du pouvoir. Le mouvement contre la loi Travail et Nuit Debout ont bousculé l’inertie de la scène politique française, mais l’hégémonie de Marine Le Pen est loin de disparaître(...)

  • Madrid : les racines du 15-M

    Le mouvement d’occupation des places en Espagne : avant et après…

    Par Émilien Bernard et Ferdinand Cazalis

    http://jefklak.org/?p=2888

    Les médias leur avaient collé l’étiquette « indignés », appellation non-contrôlée dans laquelle la plupart ne se retrouvaient pas. Celles et ceux qui occupaient la rue préféraient le plus sobre « 15-M », en référence à ce 15 mai 2011 où l’Espagne assoupie s’est réveillée. Un mouvement aux racines multiples, qui s’est construit dans la durée et continue à renouveler les imaginaires. De quoi aider à penser le mouvement du 32-Mars (ou « Nuit debout ») en train de s’organiser à Paris, cousin peut-être pas si éloigné de son aîné espagnol, dont l’exigence d’horizontalité, la défiance envers les partis et le refus de la représentation restent des outils indispensables pour une organisation capable de transformer la société.

    Ce reportage madrilène a été publié dans la numéro 7 de la version papier d’ Article 11 , en décembre 2011, et nous en republions ici une version légèrement mise à jour. La situation a évolué depuis, notamment avec la montée en force du parti Podemos et l’institutionnalisation d’une part du soulèvement populaire. Mais l’encourageante vitalité des expériences autogestionnaires de l’autre côté des Pyrénées continue d’inspirer les modes d’organisation qui souhaitent rompre avec le système de représentation politique et l’oligarchie au pouvoir dans toute l’Europe.

    #35mars #32mars #NuitDebout #15M #Occupation_des_places #Histoire_des_luttes #Espagne #Madrid

  • L’#Espagne entre deux scrutins - #Podemos, « notre stratégie », par Pablo Iglesias (juillet 2015) http://www.monde-diplomatique.fr/2015/07/IGLESIAS/53187

    Crise financière, paupérisation massive, discrédit des professionnels de la politique : tout aurait dû conduire à un regain de la gauche en Europe. Et pourtant elle piétine presque partout. Cela explique sans doute que les regards se tournent vers l’Espagne, où le parti Podemos a fait preuve d’inventivité stratégique. Un pari que présente ici son secrétaire général. [#st]

    http://zinc.mondediplo.net/messages/10444 via Le Monde diplomatique

  • Le PS et le PG virent à droite dans leurs universités d’été
    http://www.wsws.org/fr/articles/2015/sep2015/pspg-s02.shtml

    Présenter Podemos comme une alternative est de la fraude pure et simple. Podemos est un parti de pseudo-gauche dont le programme est similaire à celui de Syriza. Les deux représentent les intérets de la classe moyenne aisée qui souhaite une part plus équitable de l’argent extrait de la classe ouvriere. Podemos a soutenu Syriza de bout en bout.

  • La mairie de Madrid crée un site destiné à signaler les erreurs des journalistes
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/07/16/la-mairie-de-madrid-cree-un-site-destine-a-corriger-les-erreurs-des-journali

    La mairie de Madrid, dirigée depuis un mois par une plate-forme citoyenne intégrant le parti antilibéral Podemos, a lancé un site Internet qui répertorie les erreurs contenues dans les articles de presse. Une initiative largement décriée par l’opposition conservatrice et par les associations de journalistes, qui dénoncent une atteinte à la liberté de la presse.

    #madrid #espagne #podemos #journalisme

    • Madrid Versión Original es uno de los canales del Ayuntamiento de Madrid que ofrecen información sobre la actividad municipal directamente a la ciudadanía. Esta web, creada por la Dirección General de Comunicación del Ayuntamiento de Madrid, permite a la ciudadanía y a los medios de comunicación encontrar la información original que dio lugar a una noticia que en su recorrido se ha modificado y contiene afirmaciones inexactas o matizables. Se trata de una web basada en datos contrastables y oficiales y por este motivo no está abierta a comentarios ni es un espacio de debate.

      La página está a disposición de todos los grupos municipales con el fin de asegurar una información municipal completa, veraz y transparente. Madrid V.O. cuenta además con la participación ciudadana a través de una dirección de correo a la que se pueden enviar dudas sobre informaciones supuestamente erróneas, aclaraciones y sugerencias (madridvo@madrid.es). Sus contenidos podrán seguirse en Twitter (@MadridVO).

      http://madridvo.madrid.es/index.php/madridvo-que-es

    • Le besoin de vérité est plus sacré qu’aucun autre. Il n’en est pourtant jamais fait mention. On a peur de lire quand on s’est une fois rendu compte de la quantité et de l’énormité des faussetés matérielles étalées sans honte, même dans les livres des auteurs les plus réputés. On lit alors comme on boirait l’eau d’un puits douteux.
      Il y a des hommes qui travaillent huit heures par jour et font le grand effort de lire le soir pour s’instruire. Ils ne peuvent pas se livrer à des vérifications dans les grandes bibliothèques. Ils croient le livre sur parole. On n’a pas le droit de leur donner à manger du faux. Quel sens cela a-t-il d’alléguer que les auteurs sont de bonne foi ? Eux ne travaillent pas physiquement huit heures par jour. La société les nourrit pour qu’ils aient le loisir et se donnent la peine d’éviter l’erreur. Un aiguilleur cause d’un déraillement serait mal accueilli en alléguant qu’il est de bonne foi.
      À plus forte raison est-il honteux de tolérer l’existence de journaux dont tout le monde sait qu’aucun collaborateur ne pourrait y demeurer s’il ne consentait parfois à altérer sciemment la vérité.
      Le public se défie des journaux, mais sa défiance ne le protège pas. Sachant en gros qu’un journal contient des vérités et des mensonges, il répartit les nouvelles annoncées entre ces deux rubriques, mais au hasard, au gré de ses préférences. Il est ainsi livré à l’erreur.
      Tout le monde sait que, lorsque le #journalisme se confond avec l’organisation du mensonge, il constitue un crime. Mais on croit que c’est un crime impunissable. Qu’est-ce qui peut bien empêcher de punir une activité une fois qu’elle a été reconnue comme criminelle ? D’où peut bien venir cette étrange conception de crimes non punissables ? C’est une des plus monstrueuses déformations de l’esprit juridique. Ne serait-il pas temps de proclamer que tout crime discernable est punissable, et qu’on est résolu, si on a en l’occasion, à punir tous les crimes ?
      Quelques mesures faciles de salubrité publique protégeraient la population contre les atteintes à la vérité.
      La première serait l’institution, pour cette protection, de tribunaux spéciaux, hautement honorés, composés de magistrats spécialement choisis et formés. Ils seraient tenus de punir de réprobation publique toute erreur évitable, et pourraient infliger la prison et le bagne en cas de récidive fréquente, aggravée par une mauvaise foi démontrée.
      Par exemple un amant de la Grèce antique, lisant dans le dernier livre de Maritain : « les plus grands penseurs de l’antiquité n’avaient pas songé à condamner l’esclavage », traduirait Maritain devant un de ces tribunaux. Il y apporterait le seul texte important qui nous soit parvenu sur l’esclavage, celui d’Aristote. Il y ferait lire aux magistrats la phrase : « quelques-uns affirment que l’esclavage est absolument contraire à la nature et à la raison ». Il ferait observer que rien ne permet de supposer que ces quelques-uns n’aient pas été au nombre des plus grands penseurs de l’antiquité. Le tribunal blâmerait Maritain pour avoir imprimé, alors qu’il lui était si facile d’éviter l’erreur, une affirmation fausse et constituant, bien qu’involontairement, une calomnie atroce contre une civilisation tout entière. Tous les journaux quotidiens, hebdomadaires et autres, toutes les revues et la radio seraient dans l’obligation de porter à la connaissance du public le blâme du tribunal, et, le cas échéant, la réponse de Maritain. Dans ce cas précis, il pourrait difficilement y en avoir une.
      Le jour où Gringoire publia in extenso un discours attribué à un anarchiste espagnol qui avait été annoncé comme orateur dans une réunion parisienne, mais qui en fait, au dernier moment, n’avait pu quitter l’Espagne, un pareil tribunal n’aurait pas été superflu. La mauvaise foi étant dans un tel cas plus évidente que deux et deux font quatre, la prison ou le bagne n’auraient peut-être pas été trop sévères.
      Dans ce système, il serait permis à n’importe qui, ayant reconnu une erreur évitable dans un texte imprimé ou dans une émission de la radio, de porter une accusation devant ces tribunaux.
      La deuxième mesure serait d’interdire absolument toute #propagande de toute espèce par la radio ou par la presse quotidienne. On ne permettrait à ces deux instruments de servir qu’à l’information non tendancieuse.
      Les tribunaux dont il vient d’être question veilleraient à ce que l’information ne soit pas tendancieuse.
      Pour les organes d’#information ils pourraient avoir à juger, non seulement les affirmations erronées, mais encore les omissions volontaires et tendancieuses.
      Les milieux où circulent des idées et qui désirent les faire connaître auraient droit seulement à des organes hebdomadaires, bi-mensuels ou mensuels. Il n’est nullement besoin d’une fréquence plus grande si l’on veut faire penser et non abrutir.
      La correction des moyens de persuasion serait assurée par la surveillance des mêmes tribunaux, qui pourraient supprimer un organe en cas d’altération trop fréquente de la vérité. Mais ses rédacteurs pourraient le faire reparaître sous un autre nom.
      Dans tout cela il n’y aurait pas la moindre atteinte aux libertés publiques. Il y aurait satisfaction du besoin le plus sacré de l’âme humaine, le besoin de protection contre la suggestion et l’erreur.
      Mais qui garantit l’impartialité des juges ? objectera-t-on. La seule garantie, en dehors de leur indépendance totale, c’est qu’ils soient issus de milieux sociaux très différents, qu’ils soient naturellement doués d’une intelligence étendue, claire et précise, et qu’ils soient formés dans une école où ils reçoivent une éducation non pas juridique, mais avant tout spirituelle, et intellectuelle en second lieu. Il faut qu’ils s’y accoutument à aimer la vérité.
      Il n’y a aucune possibilité de satisfaire chez un peuple le besoin de vérité si l’on ne peut trouver à cet effet des hommes qui aiment la vérité.

      #éditocrates
      http://classiques.uqac.ca/classiques/weil_simone/enracinement/weil_Enracinement.pdf

    • Ah tiens, ça fait penser à cet article du figaro lu hier,
      http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2015/07/16/25001-20150716ARTFIG00240-la-laborieuse-consultation-du-patrimoine-des-parl où des journalistes qui essaient d’accéder au patrimoine des parlementaires, en l’occurence Balkany, qui effectivement y arrivent mais n’ont pas le droit d’en parler !!
      Voila, c’est assez comique de voir la mairie de Barcelone taxée en quelque sorte du fascisme orwellien du #ministère_de_la_vérité quand on voit que l’inversement des valeurs n’est bien entendu pas du côté de ceux qui sont critiqués mais de ceux qui se servent de la démocratie pour forcer le pouvoir. Ici les parlementaires français qui votent une loi de transparence sans aucune transparence. #transparence_mon_cul

      Ce salopard de Staline fait payer cher l’amalgame de son fascisme communiste avec l’organisation politique du peuple.

    • J’ai lu hier que pour avoir accès au détail du patrimoine des parlementaires, #c'est_pas_de_la_tarte
      http://rue89.nouvelobs.com/2015/07/16/defi-lete-aussi-consultez-les-patrimoines-elus-260305

      Les parlementaires ont réussi à échapper à cette publication : leurs déclarations ne sont que consultables. Gare à celui qui en divulguera la teneur ! Il risque 45 000 euros d’amende.

      Comment savoir ce que possède votre député ou sénateur ? Vous pouvez d’abord consulter le site de la HATVP pour s’assurer que sa déclaration est disponible. Il vous faut alors appeler le numéro de téléphone de la préfecture concernée.

      Après avoir bravé le répondeur téléphonique (« Pour la carte grise, tapez 1 »), vous prendrez rendez-vous avec une personne (généralement du bureau des élections) en donnant la liste des élu(e)s dont vous souhaitez examiner les déclarations. Il vous faudra alors justifier de votre identité (pièce d’identité) et de votre inscription sur les listes électorales. Cela peut se faire avec une carte d’électeur (l’original) ou une attestation d’inscription sur les listes électorales que vous pouvez demander à votre commune.

      Qu’allez-vous trouver ? Le patrimoine se compose de biens immobiliers, des valeurs mobilières, des comptes bancaires, des assurances vie, des véhicules, et enfin des emprunts et dettes. Attention, on ne plaisante pas, il est interdit de « reproduire, photographier ou copier » le document consulté.

      Pour en revenir à la Mairie de Madrid, puisque ce sont des journalistes qui sont visés, il y a une presse de gauche dans laquelle la maire ou ses sympathisant·es doivent pouvoir s’exprimer pour rétablir la vérité. Sur @seenthis nous sommes tout un tas d’individus aux parcours distincts qui trions, relayons, croisons et confrontons les infos récoltées ici et là pour essayer d’approcher au mieux la « vérité » en donnant une large place au débat. Personnellement je trouve ça nettement plus sain et démocratique que de l’institutionnaliser (la vérité, sans possibilité de débattre).

    • Oui @odilon, pour ton parallèle, car seenthis permet par exemple de #sourcer ou de resituer le contexte, B.A.BA du journalisme ou de la sociologie pour savoir qui parle et d’où, cf l’article de libé qui omet de dire qui est Jeffrey Sachs ! http://seenthis.net/messages/390400#message390440 mais surtout de croiser de façon créative des perspectives, ce qui fait que nous pouvons sortir de l’aspect informationnel (cf #information=ordre chez Deleuze http://seenthis.net/messages/367172 ).

      Au final, ce qui est sous jacent c’est que le #journalisme continue de perdre son crédit à force de n’être qu’un transmetteur sans réflexion. #dépêches

      Mais attaquer le site de la mairie de barcelone sous prétexte de liberté de la presse, je doute de l’argument. A chacun, comme toujours, de se faire son idée, tant que la censure n’est pas à lœuvre pour interdire une parution, ce n’est qu’une source supplémentaire pour croiser des dires.

    • Merci @touti pour ce dernier lien que je n’avais pas vu. Je suis bien d’accord qu’il ne s’agit pas d’atteinte à la liberté d’expression, le compliment pourrait d’ailleurs être retourné. Et je comprends bien la tentation. Mais je ne sais pas si c’est le rôle d’une collectivité locale de se lancer dans ce genre de dénonciation quand par ailleurs, la ville doit avoir déjà son site et son journal d’infos pour exposer ses projets en toute transparence. Je ne suis pas convaincue que ça rende le journalisme bas de gamme plus éthique. Bon, je reste réservée :)

  • VIDEO = Europe : Syriza fait des émules, Podémos lui emboîte le pas, l’Europe des nations avance
    http://www.brujitafr.fr/2015/02/video-europe-syriza-fait-des-emules-podemos-lui-emboite-le-pas-l-europe-de

    Au moins 100.000 personnes proches du parti antilibéral espagnol Podemos, allié du grec Syriza, ont manifesté samedi dans les rues de Madrid leur volonté de " changement" . Un rassemblement que Jean-Luc Mélenchon, sur place, a qualifié de " tremblement de terre politique européen "

    Le mouvement semble bien parti. Après la victoire de Syriza en Grèce dont le gouvernement a courageusement tourné le dos à Bruxelles, ce sont les Espagnols qui occupent, à l’appel du jeune parti Podémos, la rue pour demander le changement, eux qui ont sévèrement pâti de la crise. Cette prise de conscience qui fait boule de neige annonce l’effondrement salutaire prochain de la Troïka.

    La grande « marche pour le changement  » devant partir à la mi-journée de la place de Cibeles à Madrid pour relier la (...)

  • Podemos, le parti des Indignés, première force #Politique en Espagne ?
    http://www.bastamag.net/Espagne-Podemos-le-parti-des

    Séisme politique ? Pour le première fois en Espagne, un sondage met en tête le nouveau parti Podemos (« Nous pouvons ») issu du mouvement des Indignés. A un an des législatives, le parti est crédité de 27,7 % des intentions de vote, selon un sondage publié par El Pais le 2 novembre . Soit 17 points de plus qu’en septembre ! Cet engouement se fait au détriment des partis traditionnels, qui dirigent le pays depuis la transition démocratique de 1978 : le Parti socialiste (PSOE) perd 4,7 points en un mois, (...)

    En bref

    / #Europe, Politique, Indignés de tous les pays..., #Altermondialisme

    #Indignés_de_tous_les_pays...