organization:université de bonn

  • Le « syndrome des #cheveux_incoiffables  » expliqué - 24/11/2016 - ladepeche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2016/11/24/2464772-le-syndrome-des-cheveux-incoiffables-explique.html

    En partenariat avec des généticiens de l’Université de Bonn, quatre chercheurs toulousains viennent d’identifier l’origine du « syndrome des cheveux incoiffables ». Ce syndrome, découvert en 1973 par un Toulousain va bien au-delà de la boucle rebelle. « C’est une anomalie qui concerne surtout les enfants et fait que les cheveux, d’un blond platine spécial, se dressent sur la tête », explique Michel Simon, directeur de recherche à l’UDEAR, une unité de recherche de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Paul Sabatier qui travaille notamment sur la biologie de la peau et du cheveu. À peine une centaine de personnes atteintes de ce syndrome ont été identifiées dans le monde faute de dépistage adéquat, mais une personne sur 10 000 pourrait être concernée. L’équipe de chercheurs a découvert que cette anomalie est due à la mutation de trois gènes. « Cette découverte ouvre la voie à des traitements, et permet une meilleure connaissance de la biologie du cheveu. Elle pourrait aussi permettre d’avancer sur certaines maladies de la peau qui impliquent les mêmes enzymes que ce syndrome ».

  • Indonésie : un séisme serait responsable du volcan de boue
    http://www.rtbf.be/info/societe/detail_indonesie-un-seisme-serait-responsable-du-volcan-de-boue?id=8053035

    Depuis 7 ans, une éruption de boue dévaste une région industrielle de l’île de Java (Indonésie). Certains scientifiques ont mis en cause un forage, mais une étude publiée dimanche y voit la conséquence d’un séisme.

    Catastrophe naturelle ou erreur technique ? L’étude menée par l’équipe de Stephen Miller (Université de Bonn, Allemagne) relance le débat d’experts sur cette catastrophe unique au monde.

    180 000 mètres cubes expulsés

    Le volcan de boue a surgi de terre le 29 mai 2006 près de la ville de Sidoarjo et a été baptisé « Lusi » (premières syllabes des mots « lumpur » -qui signifie boue en indonésien- et « Sidoarjo »). Le volume quotidien expulsé par ce volcan a grimpé jusqu’à 180 000 mètres cubes, soit l’équivalent de 60 piscines olympiques. Peu à peu, le flot nauséabond a englouti champs, maisons et usines.

    Si le volcan a commencé à se calmer, crachant aujourd’hui entre 15 000 et 20 000 m3 de boue par jour selon les autorités locales, il n’en va pas de même pour la controverse sur son origine.

    Une possible erreur de forage
    De nombreux experts internationaux ont mis en cause une erreur de forage de la société gazière Lapindo Brantas, contrôlée par la famille d’Aburizal Bakrie, un homme d’affaires et politicien extrêmement influent.

    Selon cette thèse, la catastrophe a été provoquée par un forage exploratoire de gaz, qui a percé à quelques 3 000 mètres de profondeur un aquifère (couche souterraine stockant des fluides). L’absence de protections du conduit aurait entraîné une montée subite de liquides et de gaz sous pression. C’est notamment l’explication retenue par Richard Davies, un géologue de l’Université de Durham (Grande-Bretagne) qui étudie le volcan depuis le début.

    ““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““

    Un séisme de magnitude 6,5 frappe la Nouvelle-Zélande
    http://www.romandie.com/news/n/_Un_seisme_de_magnitude_65_frappe_la_Nouvelle_Zelande_RP_210720130949-24-3

    Un séisme de magnitude 6,5 frappe la Nouvelle-Zélande

    WELLINGTON - Un séisme de magnitude 6,5 s’est produit dimanche au large de la capitale de la Nouvelle-Zélande, Wellington, dans une région qui a enregistré un regain de secousses ces derniers jours, a annoncé l’Institut géophysique américain (USGS).

    Aucune alerte au tsunami n’a été déclenchée et aucun dégât matériel n’a été rapporté.

    Le séisme est survenu en mer à 17H09 (05H09 GMT). Son épicentre est situé à 57 kilomètres au sud-sud-ouest de Wellington, à une profondeur de 14 km, selon l’USGS qui avait dans un premier temps fait état d’une secousse de 6,9.

    Une réplique de magnitude 5,5 a été enregistrée quelques minutes plus tard.

    Ca a secoué et vibré pendant environ 30 secondes, a raconté à l’AFP un habitant de Nelson, sur la côte.

    Les pompiers ont reçu de nombreux appels de personnes coincées dans les ascenseurs à Wellington. Le séisme a également déclenché des systèmes anti-incendie et coupé l’électricité dans plusieurs quartiers.

    Selon une sismologue néo-zélandaise, Anna Kaiser, les séismes de cette magnitude ne sont pas rares dans la région.

    “““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““
    Tournant énergétique en Suisse pas menacé après le séisme à St-Gall
    http://www.romandie.com/news/n/Tournant_energetique_en_Suisse_pas_menace_apres_le_seisme_a_St_Gall8821072

    La Confédération continue de compter sur la géothermie pour réaliser le tournant énergétique. Bien que cette technologie soit à l’origine du tremblement de terre de samedi à St-Gall, l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) attend l’analyse du séisme avant de tirer des conclusions.

    Il est encore trop tôt pour parler d’un échec de la géothermie en Suisse, a indiqué Marianne Zünd, porte-parole de l’OFEN. Les autres projets liés à cette technologie sont difficilement comparables avec celui de St-Gall.

    « Les circonstances, comme la nature du sol, sont partout différentes, et il s’agit d’une technologie en plein développement. Pour ces raisons, chaque projet constitue en soi un projet pilote et l’on ne peut pas tirer des conclusions générales sur la base des expériences faites sur un seul site », a-t-elle expliqué.

    Projet considéré comme sûr

    La technique utilisée sur le site st-gallois présente peu de risques. Le projet avait en outre été considéré comme sûr. Le tremblement de terre ne peut être imputé qu’à l’arrivée de gaz sur les lieux du forage, ajoute-t-elle.

    #séisme

    • Un séisme fait 89 morts en Chine
      http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/07/22/un-seisme-frappe-le-nord-ouest-de-la-chine_3450794_3216.html

      Le Monde.fr avec AFP | 22.07.2013 à 05h29

      Les séismes qui ont frappé, lundi 22 juillet, une région montagneuse et difficile d’accès de la province chinoise du Gansu ont fait 89 morts, selon un nouveau bilan officiel.

      Le tremblement de terre d’une magnitude de 5,9 est intervenu à 7 h 45 heure locale dans le Gansu, une province en grande partie désertique, a indiqué l’institut de géophysique américaine (USGS) qui a situé son épicentre à 170 km au sud-est de la capitale provinciale Lanzhou, à une profondeur de 9,8 km. Le centre chinois de surveillance des séismes, basé à Pékin, a évalué sa magnitude à 6,6. Une réplique de magnitude 5,6 a par ailleurs frappé la même région à 9 h 12, avec un épicentre situé à une profondeur de 10,1 km, a ajouté l’USGS.