organization:université de lille

  • Le jeu pathologique : aspects cliniques, implications thérapeutiques
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=56a41161-8521-4b19-8c3e-9fcbb0207aac

    Par Marie Grall-Bronnec, Psychiatre-addictologue, service d’addictologie et psychatrie de liaison du CHU de Nantes, professeur d’addictologie à la Faculté de Médecine de Nantes.

    Répondant : Olivier Cottencin, Professeur des universités – praticien hospitalier de psychiatrie et d’addictologie, Faculté de Médecine de l’Université de Lille, Chef du Service d’Addictologie du CHU de Lille

    La pratique des jeux de hasard et d’argent (JHA) est très répandue en France. Lors de la dernière enquête épidémiologique, plus de 56 % des sujets interrogés déclaraient avoir joué au moins une fois au cours de l’année écoulée. Une petite portion d’entre eux présentaient des troubles liés à la pratique des jeux de hasard et d’argent (2,7 %). Le jeu pathologique est une addiction comportementale, d’origine multifactorielle.

    Au cours (...)

  • Quelques enjeux de l’usage des TICE dans l’enseignement
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=8de8f8b4-ffb0-44f0-9bcd-3b1647a037cb

    Quelques enjeux de l’usage des TICE dans l’enseignement Pierre-André CARON, Maître de conférences au laboratoire CIREL, Département Sciences de l’Éducation et de la Formation d’Adultes, Université de Lille – sciences et technologies.

  • La phénoménologie du souvenir
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=f26c6253-f0d2-47c1-a37a-dbe9ebec0dd7

    Par Fabrice Teroni, Professeur associé au département de philosophie de l’Université de Genève et chef de projet au Pôle National Suisse de Recherche en Sciences Affectives.

    Répondant : Marc Parmentier, enseignant chercheur en philosophie, Université de Lille – sciences humaines et sociales Ma présentation a pour but d’explorer la phénoménologie du souvenir à travers deux groupes de questions. Le premier concerne l’impact phénoménologique de ce dont on se souvient. Comment les contenus mnésiques contribuent-ils à la phénoménologie ? Y a-t-il une phénoménologie du contenu exclusive au souvenir ? Peut-on expliquer les différences phénoménologiques entre perception, souvenir et imagination en termes de contenus ? Le second groupe de questions concerne l’impact phénoménologique de l’attitude de se souvenir. (...)

  • > F O O R : Retour d’expérience de 5 ans de projets Art/Sciences-Technologies en Hauts de France et Belgique
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=8f8c3b4d-691c-446c-8e03-12c73f62e965

    Depuis 2010, de nombreuses collaborations entre artistes et chercheurs ont vu le jour en région, créant des avancées significatives dans les activités de ces deux communautés. L’événement F O O R a pour objectif de construire un premier bilan de plus de 5 ans de projets Art/Sciences-Technologies en région et en Belgique, mais surtout de préparer le futur et d’ouvrir les discussions sur une stratégie de pérennisation.

    Retour d’expérience de 5 ans de projets Art/Sciences-Technologies en Hauts de France et Belgique à partir d’exemples :

    Véronique Beland, artiste : As we are blind avec Mathieu Giraud, chercheur CNRS, et This is Major Tom to Ground Control avec Rémi Gilleron, professeur à l’Université de Lille

    Pauline de Chalendar, artiste : A main levée avec Samuel Degrande, ingénieur de (...)

  • Exposition La Faculté des sciences de Lille pendant la 1ère Guerre Mondiale
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=44b822c7-c497-4279-b414-61d9ad229cc5

    La Faculté des sciences de Lille pendant la 1ère Guerre Mondiale Du 9 janvier au 17 février

    Vernissage : lundi 9 janvier à 18h30

    Espace Culture | Entrée libre

    Visites guidées sur réservation

    Une exposition qui rend hommage à tous ceux – universitaires, étudiants... – qui ont œuvré à la sauvegarde de la culture française.

    En commémoration de la Grande Guerre, l’histoire de la Faculté des sciences de Lille est retracée dans cette exposition qui rassemble documents d’archives, photographies et objets de collection datant de cette époque.

    Il apparaît qu’au cours du premier conflit mondial, l’Université de Lille, dont la Faculté des sciences fait partie, se trouve dans une conjoncture différente de toutes ses consœurs françaises. Elle est la seule occupée par les troupes allemandes et ce durant les quatre années (...)

  • Les mémoires artificielles
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=8efe4214-8bd8-4a89-bdf4-efa2da6d6a37

    Par Alain Cappy, Professeur d’électronique et physique des dispositifs à semi-conducteurs, Université de Lille – sciences et technologies.

    Répondant : Laurent Grisoni, Professeur en informatique, Université de Lille – sciences et technologies.

    Après près de cinq siècles durant lesquels le livre a été le principal support de mémorisation et de transmission des connaissances, un nouveau paradigme est apparu avec la révolution électronique. Nous sommes aujourd’hui entrés dans l’ère de la dématérialisation et du « big data » avec plusieurs zetta octets (zetta = mille milliards de milliards) de données créées, transmises et mémorisées chaque année. Après une présentation des extraordinaires avancées technologiques qui ont permis l’avènement du « big data », nous tenterons une comparaison avec un autre système de (...)

  • Faune et Flore du littoral : un stage diplomant
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=c8e806f4-fd1f-4c82-91a6-bf09c19acd74

    Deux modules optionnels à la Station Marine de Wimereux peuvent être choisis par les étudiants de la Licence de Biologie des Organismes et des Populations (L3BOP) de l’Université de Lille 1 :

    « Faune et Flore du littoral : Domaine Intertidal » au semestre 5 « Faune et Flore du littoral : Domaine subtidal » au semestre 6

    L’objectif de ces modules est d’acquérir les bases en taxonomie et en écologie des organismes et communautés marines. Ils constituent pour les étudiants une première approche des études de terrain dans le domaine des sciences de la mer.

  • "Le véritable coût de l’immigration" : reportage sur la réalité de l’immigration en France

    L’idée dominante veut que les immigrés soient coupables de notre déficit budgétaire. Ils n’apporteraient rien, ou pas grand-chose, à notre économie, mais recevraient beaucoup de la part de l’Etat.

    Cette enquête bouscule les idées reçues sur les immigrés, à travers le parcours de Yazan, un jeune demandeur d’asile syrien ; Milli, une consultante péruvienne ; Mohamed, un médecin venu du Maroc ; Christian, un chef d’entreprise camerounais ; et Julia, une Polonaise arrivée par amour en France.

    https://www.youtube.com/watch?v=hNNqzwDGZCw

    #économie #coût #asile #migrations #réfugiés #préjugés #immigration #France #documentaire #film

    • Les comptes de l’immigration

      C’est une tendance dans le documentaire de société  : déconstruire les discours fallacieux, les données erronées qui alimentent les clichés et les préjugés, en s’appuyant sur les études des universitaires. Dans ce registre, on se souvient notamment de l’excellent travail mené par Christophe Nick, Gilles Cayatte et John Paul Lepers visant à démontrer qu’il n’existe aucun lien entre criminalité et immigration (Immigration et délinquance, l’enquête qui dérange, 2014). C’est dans cette même démarche de «  casser la machine à fantasmes  » que Martine Delumeau, à qui l’on doit entre autres Les Gueules de l’emploi (2001), sur la discrimination au travail, ou Travailler, c’est trop dur (2002) s’inscrit dans ce documentaire consacré au coût de l’immigration.

      http://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2015/10/13/les-comptes-de-l-immigration_4788262_1655027.html

    • Et voilà, un petit travail de transcription des passages qui me semblaient intéressants...

      François HERAN, démographe :
      « Les plus pauvres ne migrent pas, ce sont les gens qui atteignent… qui commencent à atteindre un certain niveau de prospérité économique, qui ont les moyens de migrer, car pour migrer il faut avoir des moyens, il faut être informé, il faut avoir une idée un peu du monde, il faut avoir des contacts. Et les plus pauvres n’ont pas les contacts et les moyens nécessaires »

      Yannick IMBERT, Directeur de l’Office français d’immigration et d’intégration :
      « Les aides en France sont conditionnées par des questions de régularité du séjour, par des conditions de durée de séjour en France et par un certain nombre de critères qui sont appliqués à d’autres franges de la population française. Donc il n’y a pas une attraction supposée des dispositifs d’aide et d’allocation vis-à-vis de la population immigrée ».

      Xavier CHOJNICKI, économiste (Université de Lille) :
      « Les immigrés se retrouvent en règle générale surreprésentés dans un certain nombre de prestations, en particulier en matière de chômage, d’aide sociale, d’aide à la famille. Donc les immigrés sont surreprésentés dans les risques pour lesquels on dépense finalement le moins. C’est-à-dire hors santé et hors dépenses de retraite, qui représentent pas loin de 80% du total de la dépense de protection sociale en France »

      Ceci tout simplement parce que les immigrés sont jeunes et plutôt en bonne santé. Et quand ils travaillent, ils cotisent et de ce fait ils apportent leur part à notre économie.

      Si l’on calcule la différence entre ce que les immigrés versent en cotisations et en impôts et ce qu’ils reçoivent en prestations sociales, quel sera le résultat ?

      Jean-Christophe DUMONT, chef de la Division des migrations internationales, OCDE :
      « Dans la plupart des pays de l’OCDE, la contribution fiscale nette directe est positive pour les ménages immigrés (ménages dans lesquelles il y a au moins une personne immigrée). Elle est légèrement moins positive que pour les natifs. Ceci est dû au fait que les ménages immigrés contribuent moins au système mais pas au fait qu’ils reçoivent plus de prestations sociales. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, l’immigration contribue positivement ou négativement aux finances publiques, mais toujours de façon marginale. Cela représente en général moins d’un ½ point de PIL »

      Consommation :
      Les immigrés tout comme les natifs paient des taxes indirectes comme la TVA à chaque fois qu’ils achètent des produits ou des services. Les marques en profient aussi, en développant des produits dits « ethniques », qui coûtent en moyenne 10 à 20% plus cher.
      En 2005, les ménages immigrés ont versé près de 18,5 mia d’euros de taxes sur la consommation.

      François HERAN :
      « Les immigrés sont comme le reste de la population, nous coûtons à la société quand nous sommes enfants, nous rapportons quand nous travaillons et que nous cotisons, nous coûtons à nouveau quand nous sommes âgés. Tout cela dépend du cycle de vie »

      François HERAN :
      « Il y a à peu près 200’000 entrées en France qui sont accordées officiellement à des migrants non-européens. L’immense majorité des motifs sont des motifs qui ne sont pas économiques. La migration de travail représente maximum 10’000 personnes. Tout le reste c’est la migration estudiantine, la migration familiale (au sens du regroupement familial), les conjoints de Français, car toute personne a le droit d’épouser un étranger, et il y a enfin la migration d’asile. La majorité des migrants viennent parce qu’ils ont le droit ».

      Sur l’année 2010, 25’000 entreprises ont été créées par des immigrés, soit 7% de l’ensemble de la création.

      17,5% des femmes immigrées sont à la recherche d’un emploi, contre 9,7% pour les natives.
      De nombreux freins existent et expliquent la difficulté d’intégration de la population immigrée sur le marché du travail. C’est le revers de la médaille. La discrimination, mais aussi la reconnaissance des qualifications posent problème. Souvent, les immigrés sont obligés de repasser tout ou partie de leur diplôme, ce qui peut prendre plusieurs années.

      Entre 1931 et 1936, 140’000 il y a eu 140’000 expulsions : des mineurs et leurs familles furent renvoyés en Pologne, sur ordre des gouvernements successifs. Ces rapatriements étaient pris en charge par les compagnies minières, la crise économique faisait rage et ces travailleurs étaient vus comme les concurrents des Français. Des décennies plus tard, à la fin des années 1970, le gouvernement cherchera à réduire lui-aussi le nombre d’immigrés installés sur notre territoire, cela prendra la forme d’une incitation financière de 1000 francs d’aide au retour ou d’accord avec les anciennes colonies.
      → dans le documentaire on explique après ce qui peut se résumer en : « on pensait importer des bras, ce sont des personnes qui sont arrivées en fin de compte » (qui s’installent, notamment…).
      #François_Héran

  • Soirée Partenaires de l’Université de Lille - 29 novembre 2016
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=33805134-aee0-4461-a2a4-f318019f5205

    Depuis de nombreuses années, l’Université de Lille a su développer ses relations avec le monde socio-économique. Le 29 novembre elle poursuivra ce développement en organisant la deuxième édition de sa soirée partenaires sur le thème « DÉVELOPPONS UN LIEN DURABLE ET PROFITABLE À CHACUN !".

    Le programme de cet événement a été entièrement construit pour offrir toutes les opportunités de trouver des solutions concrètes, de développer des actions visionnaires, de construire l’avenir.

    Cette soirée a permis d’échanger entre partenaires sur :

    l’avenir de l’Université de Lille en lien avec son écosystème

    des initiatives communes en recherche, en innovation et transfert de technologies

    l’offre de formation en lien avec les projets des entreprises (formation initiale, alternance, formation continue)

    les besoins en (...)

  • Mémoires collectives, mémoires privées
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=6767f183-1ebf-455c-99f6-72fe0dff24b7

    Par Patrice Marcilloux, Professeur en archivistique à l’Université d’Angers.

    Répondant : Matthieu De Oliveira, Maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Lille, Sciences Humaines et Sociales. Le passé laisse aussi des traces matérielles : celle d’une civilisation dans laquelle nous nous inscrivons, celle formée par les outils anciens qui nous parviennent. Quelle place doit-on leur donner ? Mémoire et histoire individuelle sont ainsi tout autant liées que mémoire et histoire collective. Mais la mémoire a ses défaillances, ses pathologies sont nombreuses, le rapport aux souvenirs bien subjectif. La mémoire est aussi tenue à des devoirs, construite par des récits, les lieux qu’on lui consacre se multiplient. On le voit, la remémoration est un exercice qui n’est pas exempt d’enjeux. Ces (...)

  • Inauguration de LILLIAD Learning Center Innovation
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=04fa1c16-984c-4c22-8005-3dae142c10b8

    Reportage sur l’inauguration officielle de LILLIAD Learning Center Innovation qui s’est déroulée jeudi 17 novembre 2016.

    Après deux années de travaux, la bibliothèque universitaire a achevé sa transformation pour devenir à la rentrée 2016 LILLIAD Learning center Innovation. Porté par l’Université de Lille - sciences et technologies, la Région Hauts-de-France, la Métropole Européenne de Lille, l’Europe et l’État, en partenariat avec les pôles de compétitivité, LILLIAD Learning center Innovation procède de la modernisation de l’ancienne bibliothèque centrale et de la réhabilitation de ses alentours. Ensemble intégré composé de 3 pôles (bibliothèque, événementiel, Xperium), LILLIAD Learning center Innovation est un signe marquant d’ouverture du campus et le symbole de l’implication de l’université dans la diffusion (...)

  • Lille, 2016.
    Comme chaque trimestre, l’espace culture de l’université de Lille 1 organisait les rencontres Archimède.
    La dernière fois, c’était le cycle du Jeu vidéo .

    Je mets un lien vers la vidéo, c’est relativement dur à retrouver (incompétence) pour ne pas la perdre cette fois ci.

    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=e885ad3d-2232-4b3f-9370-592dc8992705

    Que vient faire la philosophie dans les études sur les jeux vidéo ? La conférence présentera un état des lieux des recherches actuelles sur les jeux vidéo, à travers une cartographie des grandes querelles théoriques en cours. Elle reviendra en particulier sur le rôle important, et sans doute inattendu, que joue la philosophie dans ces nouveaux domaines d’étude chez différents auteurs. Nous proposerons ensuite quelques échantillons de travaux récents : sur la question de la transe, des émotions et du rythme ou, encore, sur les croisements entre réalité virtuelle et phénoménologie.

    Intervenants : Marc Parmentier , Maître de conférences en philosophie, Université Lille 3, UMR STL . Mathieu Triclot , Maître de conférences en philosophie à l’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard .

    #apprentissage #éducation #interaction #jeu #jeux_sérieux #jeux_vidéo #philosophie #recherche_appliquée #social

    @bce_106_6 @lille1tv

  • FRANCE. Les très bons comptes de l’immigration | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2010/12/02/les-tres-bons-comptes-de-l-immigration

    Une équipe de chercheurs de l’université de Lille, sous la direction du Pr Xavier Chojnicki, a réalisé pour le compte du ministère des Affaires sociales une étude sur les coûts de l’immigration pour l’économie nationale. Travaillant sur des chiffres officiels, les chercheurs ont décortiqué tous les grands postes de transfert des immigrés. Il en ressort un solde très positif. Les chercheurs ont remis leur rapport en 2009, au terme de trois ans d’études. Les 47,9 milliards d’euros que coûte l’immigration au budget de l’Etat (2009) sont ventilés comme suit : retraites, 16,3 milliards d’euros ; aides au logement, 2,5 milliards ; RMI, 1,7 milliard ; allocations chômage, 5 milliards ; allocations familiales, 6,7 milliards ; prestations de santé, 11,5 milliards ; éducation, environ 4,2 milliards.

    De leur côté, les immigrés reversent au budget de l’Etat, par leur travail, des sommes beaucoup plus importantes : impôt sur le revenu, 3,4 milliards d’euros ; impôt sur le patrimoine, 3,3 milliards ; impôts et taxes à la consommation, 18,4 milliards ; impôts locaux et autres, 2,6 milliards ; contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) et contribution sociale généralisée (CSG), 6,2 milliards ; cotisations sociales, environ 26,4 milliards d’euros.

  • Lille, à écouter.
    Ce Mercredi, #58Mars - 26 Avril à l’appel des Escargots :
    – L’amphi Archiméde occupé à l’université de Lille 1, le point
    – Nuit Debout. A Lille, comment ça se passe ?
    – Mixte - Non mixte ?

    L’appel des escargots est un appel à la raison, au bon sens. Chaque mois, les escargots et leurs invités abordent un thème spécifique, un thème d’actualité et vous donnent des pistes pour sortir de la société de consommation.
    www.campuslille.com Les programmes.

    #audio #radio #Radios_libres #Radio_Campus_Lille #Nuit_debout #Code_du_travail

  • Enregistrement sonore de la conférence de Bénédicte Vidaillet
    http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article675

    Toulouse, Jeudi 17 mars à la Bourse du #Travail. L’évaluation a fait l’objet de nombreuses critiques de spécialistes du travail, ses méfaits sont connus. Pourquoi alors continue-t-elle de se développer dans tous les secteurs d’activité ? Pourquoi la plupart des personnes qui travaillent soutiennent-elles des pratiques qui finissent par leur nuire ? Cet essai passionnant propose une réponse : nous voulons être évalués. Bénédicte Vidaillet est maître de conférences à l’université de Lille-I et (...)

    Travail

  • Concert gratuit : GOVRACHE - FROM&ZIEL ce Vendredi 25 Mars 2016 à 20h30 à la Maison des Etudiants de l’Université de Lille 1 de Villeneuve d’Ascq

    Ce n’est pas du rock and roll, mais c’est de la belle chanson qui saura vous faire passer une bonne soirée.
    C’est gratuit, en dépit de l’insistance d’Emmanuel Macron, alors viendez nombreux !

    C’est le 25 Mars 2016 à 20h30
    C’est à la MDE, La Maison des Etudiants,
    Avenue Carl Gauss
    59650 Villeneuve d’Ascq
    C’est offert par Radio Campus Lille, donc gratuit, dans la limite des places disponibles

    Source : http://www.campuslille.com/index.php/l-agenda/evenement/1438-concert-gratuit-govrache-from-ziel-ce-25-mars-2016-a-20h30-a-la-ma

    http://www.from-ziel.com
    http://govrache.fr/actu
    http://www.campuslille.com/index.php/l-agenda 

  • #Participation_citoyenne : « le blocage vient essentiellement des #élus »
    http://www.lagazettedescommunes.com/431619/participation-citoyenne-le-blocage-vient-essentiellement-des-e

    Comment les élus locaux étouffent les mobilisations d’habitants dans les quartiers populaires ? C’est la question à laquelle s’est attelée à répondre Julien Talpin, chargé de recherches en sociologie politique à l’université de Lille 2, dans un récent article paru sur le site Métropolitiques. Il voit pourtant dans la participation citoyenne une alternative sérieuse permettant de renforcer la légitimité de la #démocratie_représentative. Entretien.

    L’article de Métropolitiques : http://www.metropolitiques.eu/Une-repression-a-bas-bruit-Comment.html

  • Chernobyl: Impacts, Echoes, Legacies in East and West

    http://www.paris-iea.fr/fr/evenements/chernobyl-impacts-echoes-legacies-in-east-and-west

    Le Centre d’études des mondes russe, caucasien et centre-européen (Cercec, unité mixte EHESS/CNRS, Paris) et ses partenaires du projet ANR-DFG EcoGlobReg organisent le 16 mars 2016, à l’Institut d’études avancées, à Paris, un atelier sur l’impact de la catastrophe de Tchernobyl et sur la manière dont cette dernière est abordée dans les recherches en sciences humaines et sociales à l’Est et à l’Ouest. Sont invitées, entre autres, l’historienne et journaliste Galina Ackerman, et une ancienne liquidatrice à Tchernobyl, Natalia Manzourova.

    Le 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale nucléaire Lénine à Tchernobyl, en Ukraine, explose. L’incendie fait rage pendant près de dix jours et des quantités considérables d’éléments radioactifs sont projetées dans l’atmosphère, contaminant une grande partie de l’Europe. Une zone de 30 kilomètres autour de la centrale est évacuée, tandis que des milliers de « liquidateurs » - pompiers, policiers, soldats… – se relaient, au péril de leur vie, pour essayer de contenir les retombées radioactives. L’accident de Tchernobyl sera qualifié de « plus importante catastrophe nucléaire de l’histoire de l’humanité ».

    Trente ans plus tard, que sait-on de ses multiples conséquences ? Qui les étudie et comment ? « Outre les plus évidents, notamment sur la santé des populations et sur l’environnement, il faut aussi relever des impacts durables dans les domaines sociétaux et politiques, indique Marc Elie, chercheur au Cercec et co-directeur du projet EcoGlobReg. Nous pouvons par exemple établir un lien entre la catastrophe et la chute de l’URSS. Avec Tchernobyl, trois piliers de la légitimité soviétique s’effondrent : la toute-puissance de la science et de la technologie, la confiance dans la capacité de l’état à gérer les désastres et le culte du secret. »

    Pour les scientifiques spécialistes de l’ancien bloc soviétique, les conséquences de l’accident de Tchernobyl doivent donc s’envisager dans une analyse historique d’un régime non démocratique et, surtout, de sa fin. A l’Ouest, en revanche, l’accident relève plus de la sociologie des risques et de celle des médias. « En Allemagne, Tchernobyl a servi de tremplin aux opposants au nucléaire, note Marc Elie. En France, on se souvient de la désinformation volontaire, notamment sur le fameux nuage radioactif qui se serait arrêté à la frontière. »

    Histoire et sciences politiques à l’Est, sociologies des risques et des médias à l’Ouest… La catastrophe de Tchernobyl réunit des communautés scientifiques bien distinctes. C’est pour les faire se rencontrer et dialoguer que la journée « Tchernobyl : impacts, échos et héritages Est & Ouest » a été organisée.

    S’exprimeront Galina Ackerman, chercheuse associée à l’Université de Caen, auteure de Tchernobyl : retour sur un désastre (Paris, Gallimard,‎ 2007) et Les Silences de Tchernobyl (Paris, Éditions Autrement,‎ 2006), Soraya Boudia, professeure de sociologie des risques à Paris 5 Descartes, Katrin Jordan, doctorante au Centre d’histoire contemporaine de Potsdam, Tatiana Kasperski, chercheuse au Centre Koyré, spécialiste de la gouvernance du risque nucléaire en Russie et en Ukraine depuis Tchernobyl,Natalia Manzourova, experte en sécurité radiologique à Ozersk (Russie), ancienne "liquidatrice" à Tchernobyl, Ayşecan Terzioğlu, docteure en anthropologie de l’Université de New-York, professeure à la Koç University (Turquie) et Sezin Topçu, chargée de recherche au Centre d’étude des mouvements sociaux, auteure de La France nucléaire. L’art de gouverner une technologie contestée (Paris, Seuil, 2013).


    EcoGlobReg
    Histoire environnementale du temps présent : l’Union soviétique et les États successeurs, 1970–2000. Globalisation écologique et dynamiques régionales
    Financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et la Deutsche Forschungsgemeinschaft (DFG) pour 3 ans, à partir de 2014, le projet franco-allemand EcoGlobReg entend étudier les questions de l’écologisation et de la désécologisation de la vie politique et sociale à l’Est : comment les problèmes environnementaux sont-ils devenus des catalyseurs des mobilisations sociales dans les années de la Perestroika (1986-1991) dans les républiques soviétiques ? Pourquoi des millions de personnes sont-elles descendues dans la rue pour protester contre les destructions écologiques et la pollution, participant ainsi à la chute du système soviétique ? Et pourquoi cette vague écologique est retombée si vite dans les années 1990, quand les activistes verts ne sont pas parvenus à mettre en place de parti vert solide dans les états nouvellement indépendants ?
    EcoGlobReg réunit une équipe franco-allemande de 13 personnes : Melanie Arndt (IOS Regensburg), Klaus Gestwa (Université de Tübingen), Marc Elie (Centre d’études des mondes russe, caucasien et centre- européen, CNRS-EHESS, Paris), Laurent Coumel (Centre d’études des mondes russe, caucasien et centre-européen, CNRS- EHESS, Paris), Alexander Ananyev (Universität Tübingen) et Raphael Schulte-Kellinghaus (Université de Tübingen) , Garik Galstyan (Université de Lille 3), Carole Ferret (Laboratoire d’anthropologie sociale CNRS/Collège de France/EHESS), Pascal Grouiez (Université Paris Diderot – Paris 7), Raphaël Jozan (Agence française du développement), Marie-Hélène Mandrillon (CERCEC), Isabelle Ohayon (CERCEC), Jean-Robert Raviot (Université Paris Ouest).

    #nucléaire #tchernobyl #ukraine #biélorussie

  • La #cartographie : entre science, #art et #manipulation

    Par Philippe Rekacevicz, Géographe, cartographe et journaliste. Animée par Patrick Picouet, Professeur de géographie, chercheur au Laboratoire Territoires, Villes, Environnement et Société, Université de Lille, Sciences et Technologies.

    http://lille1tv.univ-lille1.fr/collections/video.aspx?id=d6ff9593-ed24-4b20-9d2b-94bea5ec0ea9

    #philippe_rekacewicz (avec w !!!), vous le connaissez ?
    @reka
    #Patrick_Picouet
    #conférence #ressources_pédagogiques

  • Allons z’enfants de l’Apatride ... Grenouillage dans le landerneau politique français :

    (1) Au PS, allons ensemble vers l’apatride - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2016/01/04/au-ps-allons-ensemble-vers-l-apatride_1424318

    Pourquoi cette idée germe à gauche ?

    Depuis quelques jours, des très proches du Président, sensibles à la question de l’inégalité entre Français découlant de la déchéance prévue dans le projet de loi - Julien Dray, l’avocat Jean-Pierre Mignard… - ont mis en avant l’indignité nationale, qui pourrait faire consensus à gauche. Mais pour rétablir l’égalité de tous devant la loi et ne pas désavouer le chef de l’Etat, ils vont même jusqu’à proposer la déchéance pour tous. Une proposition que l’on regarde jusqu’au sommet à l’Elysée comme une éventuelle porte de sortie. D’où la déclaration du porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, lundi : « On va regarder les propositions et ce qui peut être mis sur la table. Le souci du président de la République et du gouvernement, c’est de rassembler une majorité large », a-t-il expliqué. Patron des députés socialistes et membre du premier cercle hollandais, Bruno Le Roux a défendu une « solution qui permette pour tous ceux qui tournent leurs armes contre l’Etat et contre ceux qui vivent dans ce pays, de leur enlever la nationalité française, qu’ils soient binationaux ou pas ». Et après dix jours de silence remarqué, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, pour qui la déchéance n’était « pas une mesure de gauche », envisage désormais « plusieurs pistes », dont la possibilité d’ouvrir cette sanction « à l’ensemble des Français ».

    #apatride #déchéance #crétins_abyssaux #que_se_vayan_todos

    • "On ne va quand même pas destituer Hollande. »

      (...) la Convention de New York d’août 1961, signée par la France et 41 autres pays [...] posait le principe qu’on ne pouvait déchoir un citoyen de sa nationalité si « cette privation doit le rendre apatride ». Sauf que, à l’époque, la France s’était gardée la possibilité de déchoir un de ses ressortissants en vertu de l’article 8 de cette convention. Ainsi, si un individu, entre autres, « apporte son concours à un autre Etat » ou s’il « a un comportement de nature à porter un préjudice grave aux intérêts essentiels de l’Etat », il peut perdre sa nationalité française. « Les textes internationaux n’empêchent donc pas la France de créer des apatrides, confirme Jules Lepoutre, chercheur en droit de la nationalité à l’université de Lille. De même, la convention européenne sur la nationalité, datant de 1997, n’a pas été ratifiée par la France. Mais celle-ci s’est depuis longtemps engagée, politiquement, à ne pas procéder ainsi. »

      #salauds

    • – On est ’ach’ment balaise en politique française !
      –Je dirais même plus, c’est un métier ...

      À quand les premières manifs de la #déchéance_pour_tous ?

      #maréchal_nous_voilà

      Cependant :

      Si, malgré tout, la France s’engageait dans cette voie, elle constituerait un cas quasi unique en Europe puisque seul le Royaume-Uni prévoit depuis 2014, et dans des conditions très strictes, une telle mesure, encore jamais utilisée. Par ailleurs, la France pourrait se heurter au Conseil d’Etat, à la Cour de justice européenne ou à la Cour européenne des droits de l’homme, qui auraient la possibilité de dénoncer une atteinte au « principe de proportionnalité » et dont la position devrait alors s’imposer à la France. Ce qui est sûr, c’est qu’un Français apatride n’est pas pour demain. Il n’est en effet possible de prendre un décret de déchéance qu’une fois la condamnation définitive prononcée et que le mis en cause a purgé sa peine. Ce qui représente, au bas mot, une quinzaine d’années de délai (pour des crimes relevant du terrorisme), qui aboutirait à une situation incongrue : rendu apatride, l’individu serait donc un sans-papiers en France, probablement condamné à rester dans cette situation. « Quel autre pays l’accepterait sur son territoire ? » interpelle ainsi Jules Lepoutre.

      Encore un bel effet d’annonce et de surenchère avec les partisans de La Maréchal-Le Pen et ça fleure bon le #rétropédalage.
      #pédalo

  • LINSELLES SANS SEL SANS OVERDOSE

    A Linselles : Trop de sel, trop de poivre dans les menus, c’est trop de danger pour la santé des habitants !

    Supprimer totalement le sel et le poivre de l’alimentation des linsellois en laissant chacun décider librement sera-t-il au programme en 2016 ?

    Chère voisine, cher voisin,

    À Linselles, le comité de santé de la ville a décidé d’obliger les restaurants qui servent des menus avec beaucoup de sel à le signaler, par l’icône d’une salière sur fond noir. Une première dans la Vallée de la Lys pour renforcer l’information des consommateurs. La mesure, votée par le comité de santé public de la ville, à l’image de celle mise en oeuvre à New-York, concerne uniquement les établissements fournissant alimentation et repas aux citoyens. Elle sera passible d’une amende dès le 1er janvier 2016.

    Chez Dupont Restauration les professionnels « à l’écoute, disponibles et proches du terrain » sauront-ils fabriquer dès aujourd’hui des repas sans sel ?

    Sous l’impulsion de Jacques Remory, maire depuis 1989, Linselles s’est positionnée aux avant-postes de la lutte contre la malbouffe. En 2006, la ville aurait banni les acides gras-trans dans les repas fournis aux scolaires et personnes âgées. Ces acides ajoutés pour faire durer la conservation plus longtemps sont connus pour augmenter le "mauvais" cholestérol (LDL) et baisser le "bon" cholestérol (HDL). En juin, l’autorité française de sûreté alimentaire et pharmaceutique a invité l’industrie alimentaire à cesser de les utiliser.

    Linselles : Abondance et overdose de sel dans les repas

    Monsieur le secrétaire général de la ville de Linselles avait déjà été alerté le 20 novembre 2012 concernant le contenu très surprenant des repas fournis aux personnes âgées de Linselles :
    "Serais-ce l’insipidité des aliments choisis et leur faible qualité gustative qui oblige les cuisiniers à remplacer les ridicules taux de vitamines par une sur-abondance de sel ? Ou bien les stocks hivernaux de salage des rues auraient-ils été recyclés en cuisine ? Les personnes agées qui ne doivent pas consommer de sel, sont obligées de le faire quand même, contre les indications de leur médecin. A Linselles, les recommandations de l’Afssa
    (L’Association Française pour la Sécurité Sanitaire des Aliments) et de l’Inserm sont comprises à l’envers. Dois-t-on interpréter cela comme une volonté d’augmenter la mortalité cardiovasculaire à Linselles ?"



    En 2016, Linselles sera-t-elle la première ville du pays à contraindre les restaurants et fournisseurs de repas à afficher le nombre de calories de chaque menu ?


    L’excès nuit en tout, et le sel ne fait pas exception à la règle.

    Cette fois, la ville a choisi un autre angle d’attaque : supprimer totalement le sel et le poivre dans l’alimentation fournie aux linsellois. Les citoyens restant libres d’en ajouter de leur propre décision.

    Chacun décide librement

    Les plats contenant au moins 0,5 gramme de sodium, plus que l’apport maximum quotidien recommandé, devront désormais être signalés sur les menus par une salière noire et blanche. Une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Lille a montré que le niveau moyen de sodium et de poivre contenu dans les aliments servis par les fournisseurs de repas aux scolaires et personnes âgées a augmenté de 23% entre 1989 et 2015. Y-a-t-il un rapport avec l’augmentation de la mortalité linselloise par ailleurs bénéfique pour la santé des sociétés de Pompes funèbres ? Est-ce un futur scandale sanitaire à Linselles ?

    Quel impact sur le consommateur ?
    "Les restaurants scolaires deviennent un endroit où il est difficile de limiter la quantité de sodium dans notre régime alimentaire" observe le Dr Marie ANGE. "La grande majorité du sodium absorbé ne vient pas du sel que nous rajoutons à table ou lorsque nous cuisinons, mais des aliments transformés et conditionnés industriellement", poursuit-elle.

    Le sel augmente le cancer de l’estomac, le risque d’ostéoporose et l’hypertension artérielle.

    Le sel est la principale source de sodium. Le sel raffiné (blanc, dépourvu de minéraux) est responsable de nombreux problèmes sanitaires. Sa consommation accrue est associée à l’hypertension et à un risque plus élevé de cardiopathies et d’accidents vasculaires cérébraux, selon l’Organisation Mondiale de la Santé. Les médecins de Linselles constatent chaque jour les effets néfastes de ce trop plein de sel, de poivre et de sucre dans l’alimentation des linsellois.

    Consommer moins salé, moins poivré, moins gras

    Le sel, indispensable à la vie, devient néfaste pour la santé s’il est consommé en excès. Il favorise d’abord la rétention d’eau, augmente le syndrome métabolique et le risque d’ostéoporose puisqu’il entraîne des fuites de calcium et aurait des effets sur les hormones. Le chlorure de sodium est la principale source de sodium alimentaire. D’autres formes se trouvent dans les aliments en additifs (glutamate monosodique, benzoate de sodium, nitrite de sodium, pyrophosphate disodique, etc). Le bicarbonate de sodium et le citrate de sodium composent de nombreux médicaments de types antiacides.

    Le sodium contribue à faire augmenter la tension artérielle chez certaines personnes.

    Le sel favorise l’hypertension artérielle (HTA). Comme il est difficile de déterminer qui y est sensible et qui ne l’est pas, la plupart des gens devraient consommer du sodium avec modération. En effet, une alimentation trop riche en sodium (plus de 2,4 g par jour) peut augmenter la pression artérielle, même chez ceux qui ne souffrent pas d’hypertension, en plus d’augmenter les risques de maladies cardiovasculaires, de maladies des reins et d’ostéoporose chez certaines personnes. Concrètement, la tonicité du muscle artériel varie selon le taux de sodium dans les cellules. Or l’HTA (hypertension artérielle) est un facteur d’accident vasculaire cérébral (AVC) et surtout de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité en France. L’excès de sel est également reconnu pour favoriser le cancer de l’estomac, et trop de sel augmente le risque d’ostéoporose.

    Nous sommes "le sel de la terre" , pas la peine d’en ajouter !

    Alain Scheimann, endocrinologue, diabétologue et nutritionniste, le confirme : « Le sel est associé à l’augmentation de risque d’avoir une hypertension artérielle. Il est présent partout dans les aliments industriels (gâteaux, fromages, charcuterie), il n’est donc pas utile de rajouter du sel dans les aliments, même si le sel de cuisine en France est enrichi en iode ou en fluor ». Les individus souffrant d’hypertension, de diabète ou de maladie rénale chronique ainsi que les personnes âgées sont plus susceptibles que le reste de la population de voir leur tension artérielle augmentée à la suite d’un apport élevé en sodium car ils ont une sensibilité au sel plus élevée.
    Et contrairement aux idées reçues, les seniors ne sont pas les seuls concernés. Si certaines populations sont plus sensibles au sel, à savoir les plus de 40 ans, les hypertendus et les personnes de couleur noire, tout le monde est concerné. Chaque année, en France, 130 000 nouveaux patients sont touchés par les AVC dont 25 % ont moins de 65 ans, sachant que l’hypertension est un facteur de risque important dans la survenue de ces accidents.

    Diminuer les accidents cardio-vasculaires en réduisant le sel est possible !

    Car aujourd’hui comme le souligne le Dr Bruckert, "la réduction des accidents coronaires est due pour moitié aux progrès de la cardiologie et pour moitié à l’amélioration de deux facteurs de risque : l’hypertension artérielle et le cholestérol. Un chiffre clé : en diminuant de 3 g par jour l’apport en sel, entre 5 800 et 9 200 infarctus du myocarde sont évités aux Etats-Unis !"
    Mais le sel marin non raffiné (gris), consommé à dose raisonnable, est indispensable à notre équilibre. Ainsi, un régime carencé en sel peut déséquilibrer notre métabolisme (notamment provoquer des œdèmes, des troubles cardio-vasculaires et rénaux). Pourvu de chlorure de sodium, de magnésium et riche en oligo-éléments, lorsqu’il est bien utilisé, le sel est un véritable allié de notre quotidien. Une alimentation trop faible en sodium (moins de 500 mg par jour) ou des pertes considérables de sodium (par la transpiration, l’excrétion augmentée de sodium dans l’urine ou en présence de vomissements importants) peuvent causer la nausée, la déshydratation, des crampes musculaires et des vertiges.


    Tout le monde est concerné.


    Sources de ce docu-fiction santé :

    1 - Enquête INCA 2, 2006/2007, Afssa 2007.
    2 - Pr Michel Krempf du service nutrition et endocrinologie, CHU Nantes
    3 - Pr Eric Bruckert du service Métabolisme et prévention cardiovasculaire, CHU Pitié-Salpêtrière**. Respectivement président et vice président du SALT.
    4 - " Sodium Intake Among Adults, United States, 2005-2006", Morbidity and mortality weekly report, Juin 2010
    5 - Heart.org
    6 - http://www.statcan.gc.ca/pub/82-003-x/2006004/article/sodium/4148995-fra.htm
    7 - http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/PalmaresNutriment/Fiche.aspx?doc=sodium_nu
    8 - http://www.e-sante.fr/overdose-sel-dans-alimentation/actualite/1399
    9 - http://ville-linselles.com


    #sel, #Linselles, #vallée_de_la_Lys, #régime, #repas,

  • La carte invente le monde

    Espace Culture - Université de Lille, Sciences et Technologies :

    http://culture.univ-lille1.fr/agenda/2015-2016/cycle-carte/rendez-vous-darchimede-cycle-la-carte-invente-le-monde.html

    La carte invente le monde

    Octobre 2015 - mars 2016

    Le monde ressemble-t-il à un rhinocéros jaune ? Sauf à penser qu’il est comme lui, en grand danger, cette ressemblance n’existe que dans la pensée du cartographe qui l’a dessiné ! La carte est, comme le monde, l’objet de nombreuses convoitises, sa puissance évocatrice en fait un enjeu de pouvoir. Son territoire n’est plus réservé au seul géographe-cartographe qui dessine le monde depuis l’Antiquité pour l’imaginer, puis le découvrir et l’inventer. Aujourd’hui, certains s’en emparent pour prédire, d’autres pour mentir, beaucoup pour démontrer ou s’approprier tout ou partie du monde.

    La diversité de ses usages quotidiens, scientifiques et politiques, voire artistiques, pourrait-elle discréditer la carte ? Au contraire, ce cycle de conférences montrera la richesse renouvelée de la carte et envisagera son avenir.

    #cartographie

  • Historique d’un #internement abusif, sur fond de racisme anti-noirs, au CH Sainte-Marie de Nice
    http://blogs.mediapart.fr/edition/contes-de-la-folie-ordinaire/article/110714/historique-dun-internement-abusif-sur-fond-de-racisme-anti-noirs-au-
    C’est une longue histoire de #harcèlement et de #xénophobie à laquelle l’#université contribue

    Roland, né en 1988 au Gabon, vient en France en 2009 poursuivre ses études et obtient en juin 2011 un DUT de mesures physiques à l’université de Lille, où il donne entière satisfaction. Puis il intègre l’école Polytech Nice Sophia pour préparer un diplôme d’ingénieur en électronique et informatique industrielle, l’admission se faisant après sélection de dossiers, examen de contrôle des connaissances et entretien d’évaluation psychologique et technique. Sélectionné, mais seul étranger de sa promotion, Roland entame donc ses études d’ingénieur à Nice Sophia, tout en étant stagiaire dans une entreprise niçoise spécialisée dans ce domaine.
    Mais, tout au long de l’année 2011, Roland dénonce un #harcèlement_moral, ainsi que des attitudes de #discrimination et d’incitation à la haine raciale perpétrées à son encontre par quelques-uns des étudiants de sa promotion. Alors qu’il n’avait rien connu de ce genre à Lille, Roland se trouve confronté à des attitudes racistes dès son arrivée à Nice, cité dans laquelle le racisme semble faire partie du patrimoine culturel, et ses déclarations ne feront donc l’objet d’aucun traitement de la part des responsables de l’institut.

    Excédé par les quolibets racistes dont il est l’objet (« singe, monkey, esclave, macaque, fais chier, nègre trapu, poumba, des bruits de singe quand il prend la parole, etc. »), il adresse finalement une lettre en septembre 2012 à l’un des camarades le harcelant. Cette lettre est transmise à deux responsables pédagogiques, qui lui suggèrent de relativiser les comportements de camarades décrits comme « immatures ».

  • Jean GADREY » Blog Archive » Pour en finir avec l’austérité et engager la transition : éliminer le surcoût rentier du capital et les paradis fiscaux
    http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2013/05/01/pour-en-finir-avec-l%E2%80%99austerite-et-engager-la-transi

    e vais m’appuyer d’une part sur une remarquable étude récente d’amis économistes (« Le coût du capital et son surcoût », Université de Lille1) et, d’autre part, sur une tribune publiée dans Libération par d’autres amis sous le titre « Éradiquer les paradis fiscaux rendrait la rigueur inutile » (29 avril). Les auteurs sont cités en fin de billet. Je vais donc célébrer à ma façon la fête du travail en faisant sa fête au capital.

    Ces deux familles de mesures (éliminer le surcoût rentier du capital et les paradis fiscaux) ne suffiront pas à changer de direction, mais elles pourraient donner le signal et les fameuses « marges de manœuvre ». La plus « facile » à mettre en œuvre rapidement dans le contexte actuel, en Europe en tout cas, concerne les paradis fiscaux. C’est celle qui rapporterait le plus aux finances publiques. Mais l’austérité présente n’est pas seulement publique (politique de freinage de presque tous les grands postes de financements des biens publics et collectifs, des associations, etc.). C’est aussi l’austérité salariale, dans le secteur des entreprises, qui nous est présentée comme inévitable pour « restaurer la compétitivité ». C’est là qu’interviennent mes amis économistes, et c’est avec eux que je commence.

    IL FAUT BAISSER LE COÛT… DU CAPITAL

    Jean-Marc Ayrault présentait ainsi, le 6 novembre 2012, son « pacte de compétitivité » issu du rapport Gallois, en provoquant une explosion de joie (contenue) au MEDEF : « Le Gouvernement a décidé de retenir une première mesure, massive, et sans précédent, l’allègement de 20 milliards d’euros du coût du travail… Cela représentera l’équivalent d’une baisse d’environ 6 % du coût du travail…. Il prendra la forme d’un crédit d’impôt, le “Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi” (CICE) ».

    Il reprenait ainsi à son compte l’antienne patronale assimilant quête de compétitivité et baisse du coût du travail, ce dernier étant toujours et en tous lieux supposé excessif.

    ...

    #économie
    #austérité
    #rentiers
    #coût-du-capital ..et son #surcoût

  • Un rapport de l’ONU souligne le rôle de premier plan des #femmes dans la gestion des ressources naturelles
    http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=31457

    Préparé conjointement par le PNUE, ONU Femmes, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Bureau d’appui à la consolidation de la paix (BACP), le rapport indique que si les femmes des pays en conflit sont souvent chargées de fournir à leurs foyers eau, nourriture et énergie, elles demeurent largement exclues de la #propriété foncière et des prises de décision portant sur l’utilisation des #ressources naturelles.