organization:vecam

  • Carnets de campagne avec Valérie Peugeot présidente de l’association (...) - Le Labo de l’économie sociale et solidaire
    https://www.lelabo-ess.org/carnets-de-campagne-avec-valerie-peugeot.html

    Dans le cadre de notre partenariat avec l’émission Carnets de campagne sur France Inter, Philippe Bertrand recevait jeudi 22 mai 2019, Valérie Peugeot, Présidente de l’association Vecam

    Nous nous intéressons aujourd’hui à une autre réalité qui est comprise dans un plan national pour un numérique inclusif. Qui dit inclusion dit exclusion. Qui dit programme dit perspective d’avenir. A nous de le comprendre avec notre invitée Valérie Peugeot, experte en usages numériques, membre de la CNIL et présidente de l’association Vecam. Avec la participation du Labo de l’ESS.

    #Valérie_Peugeot #Inclusion_numérique #Société_numérique #Travail

  • Un cadeau de C&F éditions pour la nouvelle année
    https://cfeditions.com



    Une nouvelle année, c’est l’occasion de faire un bilan et de se préparer pour de nouvelles aventures.

    Et de souhaiter à chacune et chacun d’entre-vous de voir des rêves et des vœux se réaliser.

    C’est aussi l’occasion de faire un petit cadeau pour entretenir l’amitié de nos fidèles lecteurs.

    Cette année 2019, nous vous offrons la version epub du livre « Pouvoir Savoir : Le développement face aux biens communs de l’information et à la propriété intellectuelle ».

    Vous pouvez le télécharger à
    https://cfeditions.com

    Ce livre a été notre première publication, en avril 2005. Il est également un des premiers ouvrages en français à traiter des communs informationnels. Il est intéressant de voir combien les choses ont évolué... mais aussi combien les questions soulevées il y a 13 ans restent pleinement d’actualité : est-ce que la propriété intellectuelle va aider au développement dans le monde, ou au contraire assurer le renouveau de la domination de quelques pays et entreprises multinationales. Et cela dans les quatre secteurs de la santé, de l’agriculture, de la recherche et de la culture.

    Ce livre a été coordonné par Valérie Peugeot et l’association VECAM. Il a été aidé en 2005 par la Francophonie. La conférence associée a permis de faire se rencontrer des chercheurs et des activistes concernés par les questions de propriété intellectuelle venant de quatre continents. Nous aimions déjà chercher des auteurs ayant des points de vue émanant de sociétés diverses.

    Bonne lecture,

    Hervé Le Crosnier

    PS : vous pouvez toujours télécharger également le livre « Neige » que nous avions offert l’an passé à l’URL : https://cfeditions.com/voeux2018

    PPS : Pour le bilan et les perspectives, je ne vais pas vous ennuyer aujourd’hui, juste souligner que nous avons publié 6 ouvrages en 2018, et que nous espérons faire encore mieux en 2019. Stay tuned.

    #C&F_éditions #Shameless_autopromo

  • Robots, maîtres du monde (épisode 1) : Les données personnelles - une vidéo S&V TV - Science & Vie
    https://www.science-et-vie.com/technos-et-futur/robots-maitres-du-monde-episode-1-les-donnees-personnelles-une-video

    Que sont exactement ces données personnelles dont on parle tant ? Qui en est propriétaire ? Dans cette première vidéo de la série « Robots, maîtres du monde », Axel Villard de Science & Vie TV interviewe Valérie Peugeot, chercheuse en Sciences sociales chez Orange, membre de la Cnil, et présidente de l’association Vecam qui réfléchit au rôle du citoyen dans une société numérique.

    #Données_personnelles #Identité_numérique #Valérie_Peugeot

  • Du côté des communs

    Bonjour,

    Comme vous le savez si vous suivez depuis longtemps le travail de C&F éditions, la question des communs est un des fondamentaux de notre politique éditoriale.

    Le livre « Pouvoir Savoir » de 2005, est un des premiers à mentionner les communs dans leur relation à la propriété intellectuelle (https://cfeditions.com/pouvoirSavoir). Et en 2011, "Libres Savoirs : les communs de la connaissance "permettait de faire le point avec un regard mondial en convoquant des auteurs des cinq continents (https://cfeditions.com/libresSavoirs ). Les articles de ces deux ouvrages sont en accès libre sur le site de l’association Vecam qui nous a accompagné dans ce travail (https://vecam.org/-Publications-).

    J’ai moi-même commis un ouvrage qui est un recueil d’articles : « En communs : une introduction aux communs de la connaissance » (https://cfeditions.com/en-communs) dont il ne reste que quelques dizaines d’exemplaires (dépêchez-vous, comme il s’agit d’un recueil d’articles disponibles par ailleurs sur le web, il ne sera pas ré-imprimé).

    Depuis, le sujet a pris une grande ampleur, à la fois dans le discours politique public, et dans les recherches en sciences humaines et sociales. Nous avons donc d’autres livres en préparation sur ce sujet, dont un ouvrage traduit de l’espagnol « Des communs au municipalisme » à paraître début 2019. Les deux auteurs, César Rendueles et Joan Subirats, sont à la fois des chercheurs et des personnes engagées dans la gestion des « villes en communs », notamment Barcelone et Madrid.

    Mais nous ne sommes pas les seuls à publier en ce domaine, et heureusement. Aussi voici quelques pistes pour des livres et des revues récents qui vont compléter les travaux que nous avons engagé depuis les années 2000.

    Tout d’abord deux revues scientifiques en accès libre que j’ai eu le plaisir et l’honneur de coordonner :

    – Numéro spécial de la revue TIC & Société : « Communs numériques et communs de la connaissance »
    https://journals.openedition.org/ticetsociete/2347

    – Numéro spécial de la revue NETCOM : « Commns urbains et équipements numériques »
    https://journals.openedition.org/netcom/2593
    (en collaboration avec Philippe Vidal, géographe et aménageur qui va proposer bientôt un ouvrage sur « la convention internet » que nous publierons au printemps 2019).

    Puis un ouvrage essentiel pour celles et ceux qui s’intéressent aux communs, qui regroupe ce que l’on pourrait appeler « l’école française des communs » :
    – dictionnaire des biens communs, ous la direction de Marie Cornu, Fabienne Orsi et Judith Rochfeld, publié aux PUF.

    Enfin, le bilan d’un colloque de Cerisy « Vers une république des biens communs ? », dans lequel interviennent des auteurs avec lesquels nous avons aussi l’habitude de travailler (Frédéric Sultan, Valérie Peugeot,...) a été publié aux Éditions Les liens qui libèrent (qui fait aussi un gros travail sur les communs, en publiant notamment Benjamin Coriat ou Michel Bauwens).

    Amis des communs, vos lectures de rentrée sont avancées. Et pour les bibliothèques qui veulent constituer un fonds sur ce thème, voici une liste de départ, évidemment incomplète.

    Bonne lecture,

    Hervé Le Crosnier

    #Communs #C&Féditions #Vecam

  • Au-delà du numérique, un avenir en commun | Solidarum
    http://www.solidarum.org/au-dela-du-numerique-avenir-en-commun

    Le big data, c’est-à-dire l’analyse et le traitement de données massives en quasi temps réel, les réseaux sociaux, les plateformes collaboratives et plus largement les outils et applications numériques seraient-ils plutôt un problème ou une chance pour les enjeux de solidarité de nos sociétés mondialisées ? Les citoyens ont-ils les moyens, en s’appropriant les nouvelles technologies, d’être acteurs de la ville de demain ? Et de la rendre plus solidaire ? Les éclairages prospectifs de Valérie Peugeot, chercheuse aux Orange Labs, commissaire à la CNIL (Commission nationale informatique et libertés) et Présidente de l’association Vecam, qui travaille depuis une vingtaine d’années sur les enjeux de citoyenneté et de solidarité liés au numérique.

    #Communs #Culture_numérique

  • Au-delà du numérique, un avenir en commun | Solidarum
    http://www.solidarum.org/au-dela-du-numerique-avenir-en-commun

    Le big data, c’est-à-dire l’analyse et le traitement de données massives en quasi temps réel, les réseaux sociaux, les plateformes collaboratives et plus largement les outils et applications numériques seraient-ils plutôt un problème ou une chance pour les enjeux de solidarité de nos sociétés mondialisées ? Les citoyens ont-ils les moyens, en s’appropriant les nouvelles technologies, d’être acteurs de la ville de demain ? Et de la rendre plus solidaire ? Les éclairages prospectifs de Valérie Peugeot, chercheuse aux Orange Labs, commissaire à la CNIL (Commission nationale informatique et libertés) et Présidente de l’association Vecam, qui travaille depuis une vingtaine d’années sur les enjeux de citoyenneté et de solidarité liés au numérique.

    #BigData
    #Orange
    #CNIL

  • « Les internautes réclament un usage moins opaque et une maîtrise de leurs données personnelles »
    http://abonnes.lemonde.fr/idees/article/2018/02/07/les-internautes-reclament-un-usage-moins-opaque-et-une-maitrise-de-l

    Par Judith Rochfeld (Professeur à Paris-I), Joëlle Farchy (Professeur à Paris-I), Paula Forteza (Députée LRM, rapporteure pour la commission des lois sur le projet de loi sur la protection des données personnelles) et Valérie Peugeot (Chercheuse et présidente de l’association Vecam)

    « Toutes les start-up qui se sont essayé à construire des services sur une commercialisation individuelle des données ont échoué : le revenu annuel généré par utilisateur est trop faible »

    Tribune. Sur la base du constat largement partagé de l’importance des données personnelles dans une économie numérique en pleine transformation, l’idée, ancienne, d’un droit de propriété accordé aux individus a fait récemment l’objet d’un regain d’attention médiatique.

    Cette proposition qui affiche pour ambition de donner à l’internaute un pouvoir de négociation face aux géants du numérique ne résout en réalité aucun des problèmes posés. Au moment où se débat à l’Assemblée nationale le projet de loi sur la protection des données personnelles, ne tombons pas dans le piège des fausses bonnes idées.
    Propriété de personne

    Aujourd’hui, ces données ne sont la propriété de personne, ce qui autorise leur collecte et leur traitement sous réserve du respect du droit des individus. Dans l’hypothèse de l’instauration de droits de propriété, la question de savoir qui serait titulaire de droits est loin d’être simple.

    Qui serait propriétaire de mes « likes » sur le mur de mes amis sur Facebook, eux ou moi ? Qui serait propriétaire des données de mon tensiomètre connecté prescrit par mon médecin ? Ce dernier, le fabricant du tensiomètre, moi en tant que patient, le Conservatoire national des arts et métiers ou encore la recherche médicale publique ?

    Du point de vue de l’analyse économique, quel que soit le titulaire initial de ce droit, dans la mesure où des transactions seraient possibles, le marché permettrait de les attribuer in fine aux agents économiques les mieux à mêmes d’en tirer profit.

    Dans le cas des données personnelles, le droit de propriété bénéficierait alors aux organisations qui sont à même de recueillir, traiter et analyser les données et qui leur donnent une valeur plus qu’aux internautes soit, finalement, l’effet inverse de celui recherché d’un rééquilibrage des pouvoirs.

    Valeur d’usage et valeur monétaire

    Les modèles économiques de l’exploitation de données profitent aujourd’hui en effet plus aux collecteurs qu’aux individus. Mais les partisans du tout propriétaire confondent valeur d’usage et valeur monétaire. Les données personnelles d’un individu ont une valeur d’usage pour lui – son graphe social lui parle de ses sociabilités, ses tickets de caisse de son mode de consommation –, et pour l’entreprise – elle améliore sa relation client.

    Mais leur valeur monétaire ne se révèle à cette dernière qu’une fois agrégées à celles de milliers d’autres utilisateurs. Toutes les start-up qui se sont essayées à construire des services sur une commercialisation individuelle des données ont échoué : le revenu annuel généré par utilisateur est trop faible.

    Mais l’essentiel est ailleurs. Ne regarder les données qu’au simple prisme économique, c’est oublier qu’elles ne sont pas un bien assimilable à une ressource matérielle ou immatérielle mais qu’elles sont d’abord le fruit de nos interactions avec des services, avec des objets connectés et de nos sociabilités liées à nos échanges sur les médias sociaux, à nos communications interpersonnelles. En cela les données parlent de nous, mais aussi de nos proches, du monde qui nous entoure. Elles sont tout à la fois intimes et sociales.

    Pour aborder conjointement maîtrise de ces données particulières et innovations numériques en mettant à distance la question de la propriété il faut penser en termes de droits de l’individu à son autodétermination, impliquant qu’il puisse décider des usages qu’il accepte de laisser à une pluralité d’acteurs. Le tout conduit à des « faisceaux de droits » souples et variés.

    Plus que la propriété de leurs données, ce que réclament les internautes c’est en effet un usage moins opaque et une maîtrise de ces données dans un cadre respectueux de leur vie privée et non discriminant. Les risques et dommages d’une perte de contrôle sur ses données personnelles sont à la fois réels et connus. Pour autant, ces dommages et leur possible réparation ne se situent pas sur le plan d’un bien, mais de la personne.

    Société numérique plus éthique

    Pour protéger la vie privée, les logiques de responsabilités existent déjà dans les différents systèmes juridiques, sans qu’il soit pour autant pertinent de proclamer une propriété des individus sur eux-mêmes. Le Règlement européen sur les données personnelles (RGPD) qui entrera en vigueur en mai constitue un premier outil essentiel pour donner à la France et à l’Europe un modèle de société numérique à la fois plus éthique et plus compétitive par rapport au reste du monde.

    Il accentue en effet la logique de responsabilisation des organisations, renforce les droits des individus et en crée de nouveaux, notamment le droit à la portabilité des données. Celui-ci réintroduit de la concurrence puisque l’utilisateur peut désormais migrer vers un service moins « prédateur » de ses données.

    Conscientes des enjeux pour l’avenir de leurs modèles économiques, les entreprises sont donc incitées à intégrer le respect des données personnelles de leurs utilisateurs dans leurs stratégies et à le faire apparaître comme une caractéristique concurrentielle discriminante.

    Ce n’est pas le moindre des paradoxes que de voir les chantres d’une idée qui se proclame libérale afficher un tel manque de confiance dans des solutions qui pourront être négociées entre l’ensemble des acteurs, sans un quelconque recours à l’instauration de droits de propriété.

    Les signataires : Judith Rochfeld (Professeur à Paris-I), Joëlle Farchy (Professeur à Paris-I), Paula Forteza (Députée LRM, rapporteure pour la commission des lois sur le projet de loi sur la protection des données personnelles) et Valérie Peugeot (Chercheuse et présidente de l’association Vecam).

    #Données_personnelles #RGPD #Valeur_usage

  • Promouvoir les communs – pour une société de la connaissance partagée et inclusive | SavoirsCom1
    http://www.savoirscom1.info/2016/01/promouvoir-les-communs-pour-une-societe-de-la-connaissance-partagee-et

    SavoirsCom1 propose les amendements suivant au Projet de loi pour une République numérique, n° 3318, en commun avec les associations et personnalités listés ci-après. Notre collectif propose également ses propres amendements. Déclaration commune des organisations : Open Law, le Droit Ouvert SavoirsCom1 Wikimédia France Communia Vecam Conseil National du Numérique La Quadrature du Net Framasoft Regards Citoyens La Paillasse

  • Brève histoire de l’empowerment : à la reconquête du sens politique
    http://www.internetactu.net/2015/11/13/breve-histoire-de-lempowerment-a-la-reconquete-du-sens-politique

    Valérie Peugeot, chercheuse en charge des questions de prospective au sein du laboratoire de sciences humaines et sociales d’Orange Labs, présidente de l’association Vecam et membre du Conseil national du numérique, nous livre dans cette brève histoire de l’empowerment matière à réflexion sur la longue ambiguïté de ce concept, qui promeut l’”autonomisation”, la “capacitation” ou le “pouvoir d’agir” des individus.…

    #empowerment #innovation_ascendante #innovation_sociale #Participation

  • Les #biens_communs : un outil politique pour repenser la technologie
    http://www.internetactu.net/2014/01/22/les-biens-communs-un-outil-politique-pour-repenser-la-technologie

    “On a tous tendance à dire que le numérique change nos manières de produire, de nous déplacer, d’imaginer… Mais nous devons rester prudent quand nous convoquons cet imaginaire de la révolution”, estime Valérie Peugeot (@valeriepeugeot), chercheur à Orange Labs, présidente de l’association Vecam, membre du Conseil national du numérique et rapporteuse du remarqué rapport sur l’inclusion numérique, sur la scène…

    #big_data #citelabo #villes2.0

  • Bonjour,

    C’est la rentrée. Petit à petit les rues se repeuplent,
    et les ex-vacanciers qui ont épuisé leur stock de livres sur
    le transat cherchent des idées neuves.

    C’est le moment de jeter un œil à

    Libres Savoirs
    Les biens communs de la connaissance
    Un ouvrage coordonné par l’association Vecam
    C&F éditions, mai 2011
    29 €
    http://cfeditions.com/libresSavoirs

    Cette rentrée 2011 sera politique, avec les élections libres
    en Tunisie, nouvel acte du Printemps arabe ; bien évidemment
    avec les élections française en mai...suivies par les
    élections mondiales (euh pardon, étatsuniennes) de
    novembre 2012.

    Il est donc temps de se doter d’idées neuves, de regarder
    la politique que l’on nous propose avec un regard décalé,
    un regard qui dessine de nouveaux projets à la taille de la
    planète et à la hauteur de nos espoirs.

    Les communs représentent cette « idée neuve », même si leur
    histoire est ancienne (ils étaient là avant la propriété
    elle-même). D’autant qu’ils vont s’imposer sur la scène
    mondiale autour de RIO+20 en juin et représenter certainement la
    seule idée capable de s’opposer à la bulle spéculative
    sur le vivant que certain nomment « green economy ».

    Les communs du vivant, des formes coopérative de gestion
    des biens de l’environnement sont aujourd’hui revivifiés
    et enrichis par l’étude des « communs de la connaissance ».

    Un renouveau qui doit beaucoup à l’internet et au numérique,
    qui a vu naître de nouvelles activités collectives, depuis les
    chercheurs qui veulent publier leurs travaux en libre-accès
    jusqu’à l’encyclopédie coopérative wikipédia ; des logiciels
    libres aux mouvements qui s’opposent à l’utilisation de la
    propriété intellectuelle, notamment les brevets, pour évacuer
    les questions de santé publique dans le monde.

    Alors pour toutes celles et ceux qui ont épuisé leur stock de
    livre, il est temps de repartir avec des idées neuves et de
    prendre le temps de la rentrée pour faire le tour de la
    question des communs de la connaissance.

    Libres Savoirs
    Les biens communs de la connaissance
    Un ouvrage coordonné par l’association Vecam
    C&F éditions, mai 2011
    29 €
    http://cfeditions.com/libresSavoirs

    On peut en savoir plus et commander le livre directement
    en ligne. C’est même le moyen le plus sûr de l’avoir
    très vite dans votre boîte aux lettres : nous sommes de
    retour, alors c’est à la poste le jour même de votre commande.

    Hervé Le Crosnier

    PS : profitez-en pour faire un tour sur la page d’accueil du site
    et voir les autres livres en préparation.... La rentrée de C&F éditions
    sera intense. A commencer par « Le souffle bleu », sur le basculement
    du jazz en 1959.... parution le 1 septembre ; en souscription d’ici là.
    On en reparle prochainement