• Ô mon #français !

    J’ai passé ma jeunesse à suer sur des dictées à quatre points la faute, j’ai même fini par aimer ça. Suffisamment pour m’en infliger en dehors de l’école. J’ai le souvenir d’une dictée de Pivot, retransmise en direct à la télé, que j’avais tenu mordicus à faire. Télé vieillotte, en noir et blanc avec un écran qui crépitait et un son qui grésillait, dont il fallait ajuster la fréquence de la chaine à la main à l’aide d’un bouton-potentiomètre. Évidemment, je n’étais pas très fort, et j’enfilais les fautes comme les perles. Mais j’étais fier de faire mon maximum pour faire honneur à ma langue maternelle. Paternelle aussi, d’ailleurs. Et puis j’ai appris l’anglais, avec difficulté, tant bien que mal. Ça me paraissait au moins autant abscons et complexe que le français, mais c’était ainsi. Plus tard, j’étais en Italie, alors j’ai appris l’#italien. Également avec des efforts (je ne suis pas particulièrement doué pour les langues étrangères), mais le quotidien aidant, au bout de quelques mois (enfin, environ douze !) je fus capable de tenir une conversation. J’ai compris que l’italien était bien plus simple (et cela n’empêche pas les Italiens d’avoir une culture très riche !) que le français, ne serait-ce que parce qu’il se prononce quasiment comme il s’écrit (et inversement). Contrairement au français (et à l’anglais). De quoi avoir 20/20 à une dictée d’italien. Mais pour la peine, ça ne serait pas drôle. Donc il n’y a pas de dictée en italien.

    Plus tard je suis tombé sur la vidéo d’une courte conférence intitulée « la faute de l’orthographe » par deux profs belges (inventez un mot, puis calculez combien il y aurait – théoriquement – de manières de l’écrire en français). Cette vidéo m’a ouvert l’esprit. J’ai compris que l’orthographe n’était qu’un #outil. Que la langue n’était qu’un outil ; pour communiquer, transmettre des idées, en l’occurrence. Et que si l’outil était moins complexe à utiliser qu’il ne l’est, le temps incommensurable que l’on passe à l’étudier, à tenter d’essayer de l’apprivoiser, à éventuellement vouloir le maitriser, pourrait être dédié à faire des choses plus constructives. Des maths, de la physique, écrire, lire, réfléchir, jouer de la musique, ou avec son chat, faire du ski de rando ou grimper, bref, d’autres trucs. L’orthographe devait redescendre du piédestal sur lequel mes études l’avaient placé.

    Dans le même temps (ou avant, même, plutôt), cette histoire d’#écriture_inclusive commençait à infuser. Franchement, ajouter des points au milieu des mots dans une langue aussi complexe, ça n’allait pas aider. N’était-ce pas barbare ? En plus l’#Académie_française avait pris position contre cette incongruité. Alors…

    Et puis j’ai commencé à faire pas mal de vélo, je me suis acheté un casque à conduction osseuse pour pouvoir écouter des podcasts assis sur ma selle. J’en écoute à la pelle. Je suis tombé sur les émissions de Binge Audio, je ne sais plus trop comment, et surtout sur le podcast de #Laélia_Véron, « Parler comme jamais » (https://www.binge.audio/podcast/parler-comme-jamais). Notamment un épisode intitulé « Écriture inclusive : pourquoi tant de haine ? » que j’ai écouté par curiosité (https://www.binge.audio/podcast/parler-comme-jamais/ecriture-inclusive-pourquoi-tant-de-haine). J’ai compris alors que l’écriture inclusive ne se limitait pas au point médian, loin s’en faut. Il y a beaucoup d’autres choses à côté. Mais alors pourquoi autant d’efforts à vouloir peser sur l’usage ? Simplement parce que les linguistes ont montré qu’une #langue_genrée avait un effet pas du tout négligeable sur les #inégalités_de_genre dans la société. Le linguiste #Pascal_Gygax, auteur de telles études, conclut un article de vulgarisation ainsi : « L’histoire nous enseigne que la société patriarcale a eu un effet sur la #masculinisation de la langue et les données disent que la #masculinisation_de_la_langue a une influence sur notre manière de percevoir le monde. À partir de là, ce qu’il faut se demander, c’est : veut-on changer cela ? Si oui, alors le langage inclusif est un outil pour y parvenir » (https://www.revue-horizons.ch/2021/09/02/comment-le-masculin-forge-la-pensee-de-lenfant). Quand il a commencé à vulgariser son travail, il a reçu une flopée d’insultes. Décidément, touchez pas au français… Et pourtant, y toucher, volontairement, c’est changer potentiellement les rapports au monde de la moitié de l’humanité (tout au moins des francophones).

    L’oppression de la femme par l’homme ne date pas d’hier, et le langage a été modelé par l’homme en ce sens au cours de l’histoire (comme pour leur interdire l’accès à certaines professions, par exemple). Le #patriarcat a ainsi fait son œuvre notamment via ce moyen de communication entre les humains et les humaines. Il semble n’y avoir que peu de langues, dans le monde, tout au moins celui qui vit dans les sociétés dites occidentales (même si elles sont aussi à l’orient suite aux colonisations), qui ne sont pas genrées, et ainsi, masculinisées.

    Le patriarcat est une forme de #capitalisme. Ce dernier est l’#exploitation des ressources naturelles (ce que l’on nomme pudiquement externalités !) ad nauseam, qui génère des pollutions (autres externalités) ad nauseam, mais c’est aussi l’exploitation des humains (ressources « humaines »). Dans ce cadre, le patriarcat se fait un malin plaisir à exploiter un peu plus les femmes. Dès qu’il s’agit d’augmenter les profits et de trouver des marchés, le capitalisme n’a aucune limite, même si l’Histoire a tout de même réussi à mettre fin au marché de l’esclavagisme. Enfin, pas partout ; et les femmes y sont probablement les plus mal loties.

    Pour mettre fin à ce capitalisme destructeur (de la planète, des sociétés humaines, de l’humanité), et à ses avatars que sont les nombreuses inégalités, dont les inégalités de #genre sous la forme du patriarcat qui perdurent y compris en France, il n’y a pas qu’une façon de faire, une méthode idéale, tracée, parfaite, avec un protocole qui resterait à appliquer. Ce qui est sûr, c’est que sans aplanir ces inégalités, c’est voué à l’échec, comme en témoigne le mouvement des Gilets Jaunes. La « solution » est nébulaire et diffuse, c’est pourquoi il faut faire feu de tout bois et utiliser tous les leviers disponibles. La langue, qui est l’outil avec lequel nous communiquons, est dans cette lutte d’une capitale importance : elle fabrique et façonne notre société ainsi que les rapports que nous avons entre nous.

    La langue française actuelle (re)construite historiquement petit à petit par la classe bourgeoise masculine dominante comme un outil d’accès réservé à l’#élite (masculine) n’est pas immuable : l’outil peut très bien être retourné pour servir la cause. Et donc évoluer dans une direction souhaitable. Inclusive. En somme, un effort minuscule (changer à la marge notre façon d’écrire et de parler) pour un résultat immense : une diminution des inégalités de genre ! Le jeu en vaut certainement la chandelle d’autant qu’il est appuyé par les résultats de la #linguistique. Les enjeux écologiques de frontières planétaires que nous sommes en train de dépasser sont très liés à la question des #inégalités : toute l’humanité n’est pas responsable des pollutions diverses et variées, seulement une minorité, la plus riche. Inégalités de richesse donc, mais aussi, et c’est lié, de genre, de race, de handicap, de classe, de religion, nord-sud, et j’en passe. Dans le jeu de celui qui est le plus fort, ce dernier trouve toujours un moyen d’enfoncer les plus faibles ; et tous les coups sont permis.

    Quand on identifie un nouvel outil dont il est démontré [1] qu’il pourrait permettre de diminuer une partie de ces inégalités pourquoi s’enfoncer dans un #conservatisme mortifère ? Allons-y ! Qu’avons-nous à perdre ? Le #français_inclusif, même si les études scientifiques se trompaient sur sa propension à diminuer les inégalités de genre, n’en serait pas moins toujours le moyen de communication au sein des sociétés francophones. Quant au #point_médian, ce n’est jamais qu’un raccourci à l’écrit, il n’est pas obligatoire [2], alors pourquoi tant de haine ? Je vous conseille la lecture de « Eutopia » de Camille Leboulanger, un roman qui raconte une société où la notion de propriété privée est abolie (non seulement des habitations, mais aussi de la nature, et même la notion de famille est revisitée !), seule perdure la propriété d’usage. Le roman est écrit au féminin générique. Vous verrez, ça rafraichit !

    Mais la langue française n’attise pas les passions que sur les questions de genre. Je vous invite à lire le tract Gallimard « Le français va très bien, merci » par le collectif des Linguistes atterrés (https://tracts.gallimard.fr/fr/products/le-francais-va-tres-bien-merci). Quelques citations glanées çà et là pour un panorama de ce que j’en retiens : « Le français n’a jamais été homogène. Le #standard unique est un mythe. » 300 millions de personnes parlent français dans le monde, il fait partie des cinq langues les plus parlées sur la planète. « Le français n’est pas envahi par l’anglais. […] Le contact entre les langues ressemble davantage à un jeu à somme positive qu’à une guerre : ce que « gagne » l’une, l’autre ne le perd pas. […] Le #mélange, l’impur sont signe de vitalité pour une langue. Le séparé, le pur, une vue de l’esprit, un idéal, une langue statufiée. La langue se renouvèle d’abord parce que le monde change et qu’il faut le nommer, pour le meilleur et pour le pire (« covid » est-il un mot anglais ou français ?), mais aussi par besoin expressif, par jeu, pour faire place aux jeunes, aux autres, à l’altérité. » Autre idée reçue : « le français n’est pas règlementé par l’Académie française. » Elle n’a aucun pouvoir sur la langue, et ne renferme aucun (ni aucune d’ailleurs) spécialiste de la langue puisqu’aucun (ni aucune) linguiste n’y siège. Son dictionnaire est obsolète et sa grammaire encore plus. Dans leur ouvrage « Le français est à nous ! », les linguistes Laélia Véron et Maria Candea posent la question « Au XXIe siècle, à quoi sert l’Académie française ? » Elles répondent : « À rien. Rigoureusement à rien. C’est une institution d’opérette. […] qui sert encore à recycler confortablement des personnalités, grâce à un patrimoine exorbitant et à des finances opaques. » L’orthographe est compliquée : « Il est devenu pratiquement impossible d’écrire sans faire aucune faute. » Cela parce que l’orthographe n’a pas été réformée depuis quasiment deux siècles : la dernière réforme en date, celle de 1990 « peine à s’imposer dans les pratiques. […] Et si notre orthographe ne parvient pas à faire peau neuve, c’est parce qu’elle est devenue un #marqueur_social extrêmement puissant qui donne l’illusion de pouvoir juger des facultés linguistiques de quelqu’un sans entrer dans la complexité de la syntaxe, du vocabulaire ou de tout ce qui constitue la véritable qualité d’un texte écrit. » Bref. Convaincu que réformer l’orthographe est un nivèlement par le haut, j’ai décidé, depuis la lecture de cet opus, d’appliquer la réforme de 1990 au mieux. Pour cela, je m’aide du logiciel Antidote (https://www.antidote.info/fr/blogue/enquetes/redaction-inclusive), qui est également utilisé par les étudiantes et les étudiants à l’université au Québec, tout comme elles (et les nôtres aussi) utilisent la calculatrice. Il y a beaucoup d’autres choses dans ce petit livre, que je vous laisse découvrir. Car vous allez le lire, maintenant, n’est-ce pas ?

    [1] « Le langage inclusif […] a bien l’effet pour lequel il est préconisé : réduire les stéréotypes de genre et augmenter la visibilité des femmes. »

    [2] Même si : « L’usage du point médian permet de supprimer le biais de représentation vers le masculin. » selon le psycholinguiste Léo Varnet.

    http://gblanc.fr/spip.php?article780
    #langue #langue_française #orthographe 

    • La faute de l’orthographe | #Arnaud_Hoedt et #Jérôme_Piron

      Nous avons été profs de français. Sommés de nous offusquer des #fautes_d'orthographe, nous avons été pris pour les curés de la langue. Nous avons écrit pour dédramatiser, pour réfléchir ensemble et puis aussi parce que nous avons toujours pensé que l’#Académie_Française avait un vrai potentiel comique. « Les deux belges qui veulent simplifier la langue française » : tout est faux dans cette phrase. Pas « simplifier » mais bien faire preuve d’esprit critique, se demander si tout se vaut dans notre orthographe. Pas deux Belges, mais bien deux curieux qui veulent transmettre le travail des linguistes de toute la francophonie, pas même la « langue française », seulement son orthographe. Car l’orthographe, c’est pas la langue, c’est juste le code graphique qui permet de la retranscrire. Passion pour les uns, chemin de croix pour les autres, elle est sacrée pour tous. Et pourtant, il ne s’agit peut-être que d’un énorme #malentendu. Arnaud Hoedt et Jérôme Piron sont linguistes de formation. Ils ont vécu 25 ans sans se connaître, mais c’était moins bien. Ils ont ensuite enseigné pendant 15 ans dans la même école. Quand Arnaud participe à la rédaction des programmes de français en Belgique, Jérôme se spécialise en médiation culturelle. En 2016, ils écrivent et mettent en scène le spectacle « La Convivialité », au Théâtre National de Bruxelles. Ce spectacle conférence qui traite de la question du rapport dogmatique à l’orthographe tourne depuis 3 ans dans toute la francophonie. Dans la foulée, ils publient l’ouvrage « La faute de l’orthographe », aux éditions Textuel. Ils se définissent comme suit : « Linguistes dilet(t)antes. Pédagogues en (robe de) chambre. Tentent de corriger le participe passé. Écrivent des trucs. Vrais-Faux Comédiens. Bouffeurs d’Académicien ». A la question « est-ce que ça se dit ? » , Arnaud et Jérôme répondent invariablement « oui, tu viens de le faire ».

      https://www.ted.com/talks/arnaud_hoedt_jerome_piron_la_faute_de_l_orthographe
      #tedx

    • Comment le masculin forge la pensée de l’#enfant

      Les données disent que la langue masculinisée influence nos pensées. C’est du moins la conclusion du nouveau livre du psycholinguiste fribourgeois Pascal Gygax.

      Le cerveau pense-t-il au masculin ? C’est la question que pose Pascal Gygax, psycholinguiste à l’Université de Fribourg, en titre d’un livre* publié récemment avec la linguiste Sandrine Zufferey et la psychologue sociale Ute Gabriel. Pas de suspense inutile : la réponse est oui. L’ouvrage le montre à travers une multitude d’études suisses et internationales qui ont analysé l’influence du langage genré sur les représentations sexistes. « Sur ce sujet, il y a cinquante ans de recherches et quelque 200 études, explique Pascal Gygax, premier auteur. Il était temps d’écrire un livre grand public pour recadrer le débat, qui est devenu très passionnel. » Les réactions à l’ouvrage en attestent. « Depuis dix-sept ans que je travaille sur cette thématique, je n’ai jamais reçu autant d’insultes, confie le Biennois. Il s’agit surtout d’hommes blancs quinquagénaires ou sexagénaires dans des positions dominantes qui m’écrivent pour m’expliquer leur point de vue, souvent très peu documenté. C’est dommage, car le but était justement de prendre de la hauteur de manière scientifique. »

      Le livre se penche en particulier sur l’interprétation de la forme grammaticale dite « générique ». En français, en allemand, en anglais et dans d’autres langues, le genre masculin est également utilisé pour le genre « neutre », au singulier ou au pluriel (en plus de son sens « spécifique »). Exemple tiré du livre : « When a kid goes to school, he often feels excited on the first day » (« Quand un enfant va à l’école, il se sent souvent excité le premier jour »). Le « he » a ici fonction de générique. En français, on peut l’expliquer de la manière suivante : dans « Il y a beaucoup d’excellents chercheurs en Suisse », le mot « chercheur » devrait également inclure tous les genres. Problème : ce sens générique n’est pas perçu comme tel.
      Le générique n’est pas neutre

      En 1984, Janet Hyde, une chercheuse étatsunienne, a demandé à des personnes en formation d’âges différents d’écrire une histoire commençant par la phrase avec l’enfant citée au paragraphe précédent. Chez les universitaires, 21% des récits portaient sur un personnage féminin contre 7% chez les 5-12 ans. Pour l’immense majorité, le masculin a donc induit une représentation masculine.

      En 2008, une étude de Pascal Gygax et de ses collègues a montré qu’en français et en allemand, il était difficile d’appréhender des suites de phrases présentant des femmes après des amorces avec un métier ou une activité au masculin pluriel (« les musiciens », par exemple), donc pouvant agir comme générique. En clair : il est naïf de penser que le générique puisse être complètement détaché du masculin.

      L’ouvrage regorge aussi d’exemples qui témoignent à quel point la langue a été construite autour du masculin. Il n’est pas innocent que l’on dise « Adam et Eve » et « mari et femme ». Selon une méta-analyse réalisée en 2016 par Peter Hegarty et ses collègues, l’ordre de mention est souvent lié à l’importance perçue des entités mentionnées. Et cette masculinisation est au moins en partie intentionnelle, expose le livre. On apprend par exemple qu’aux Etats-Unis et en Angleterre, le pronom pluriel neutre « they » était utilisé jusqu’au XIXe siècle comme singulier lorsque l’on ne connaissait pas le genre d’une personne. Mais que des grammairiens ont imposé le pronom « he » (« il ») comme générique, le jugeant plus « digne ». Le « they » revient en force aujourd’hui.

      Ce langage activement androcentré « nous force à voir le monde au travers d’un prisme masculin », participant aux inégalités entre les genres, soutient l’ouvrage. C’est là qu’intervient le langage inclusif, boîte à outils permettant de « démasculiniser » l’expression orale et écrite. En français ou en allemand, les doublets (« écrivaines et écrivains ») ou les formes contractées des doublets (« écrivain·es ») peuvent par exemple être utiles pour réduire les stéréotypes associés aux métiers. Sabine Sczesny le confirme. Professeure de psychologie sociale à l’Université de Berne, elle a notamment réalisé des travaux mettant au jour un lien entre attitude sexiste et opposition au langage inclusif : « Les filles sont plus intéressées par les professions typiquement masculines lorsqu’elles leur sont présentées sous forme de conomination par rapport à la forme masculine. »
      Le chat des voisins

      Anne Dister, professeure de linguistique à l’Université Saint-Louis de Bruxelles, pense également qu’il est judicieux de mentionner les professions avec un double nom si elles sont stéréotypées masculines, et de mentionner les titres de postes masculins et féminins dans les offres d’emploi. Toutefois, elle juge inutile de vouloir systématiquement tout féminiser et plaide pour « l’économie du langage ». « Dans certains contextes, ce n’est simplement pas pertinent. Si je raconte que mes voisins ont adopté un chat, quel est l’intérêt de préciser leur genre ? »

      Anne Dister juge par ailleurs que le générique, dans les interactions langagières au quotidien, est très bien compris comme tel : « Qui pense sérieusement que les femmes ne peuvent pas traverser sur un passage pour piétons ? » Elle conteste aussi les affirmations selon lesquelles la langue aurait été entièrement masculinisée par les grammairiens : « Le lexique pour certains noms, assurément. Mais pas la grammaire. On prend d’ailleurs toujours les mêmes exemples. » Et de poursuivre : « Ce qui invisibilise, ce n’est pas tant le masculin que notre connaissance du monde. Aujourd’hui, le terme « ministre » qui est épicène n’active pas les mêmes représentations qu’il y a cinquante ans. » La linguiste sait de quoi elle parle. Avec Marie-Louise Moreau, elle a analysé l’évolution des termes utilisés par les candidates aux élections européennes en France et en Belgique pour se décrire depuis 1989 (« sénatrice » ou « sénateur », typiquement). Résultat : la féminisation est massive.

      Accordons-nous trop d’importance au langage ? N’est-il pas uniquement le reflet de la société et appelé à évoluer avec elle ? « Il ne sert presque à rien de se poser cette question, répond Pascal Gygax. L’histoire nous enseigne que la société patriarcale a eu un effet sur la masculinisation de la langue et les données disent que la masculinisation de la langue a une influence sur notre manière de percevoir le monde. A partir de là, ce qu’il faut se demander, c’est : veut-on changer cela ? Si oui, alors le langage inclusif est un outil pour y parvenir. »

      Les attaques personnelles subies après la publication du livre n’entament d’ailleurs en rien l’engagement du chercheur, très présent dans les médias : « J’ai toujours eu envie de sortir de la bulle académique. »

      *« Le cerveau pense-t-il au masculin ? », Pascal Gygax, Sandrine Zufferey, Ute Gabriel, Le Robert, 2021, 176 pages

      https://www.revue-horizons.ch/2021/09/02/comment-le-masculin-forge-la-pensee-de-lenfant

    • Le français va très bien, merci

      « Nous, linguistes de France, de Belgique, de Suisse, du Canada, sommes proprement atterrées par l’ampleur de la diffusion d’idées fausses sur la langue française. » Les Linguistes atterrées
      Les discours sur les "fautes" saturent quasiment l’espace éditorial et médiatique contemporain. Mais la différence entre une faute et une évolution, c’est la place qu’elle occupera à long terme dans l’usage. Et l’usage, ça s’étudie avec minutie. C’est le travail des linguistes. Face aux rengaines déclinistes, il devient indispensable de rétablir la rigueur des faits. Non, l’orthographe n’est pas immuable en français. Non, les jeunes, les provinciaux ou les Belges ne "déforment" pas la langue. Oui, le participe passé tend à devenir invariable. Non, le français n’appartient pas à la France. Oui, tout le monde a un accent, voire plusieurs. Dix idées reçues sur la langue, et surtout trente propositions pour en sortir.

      https://tracts.gallimard.fr/fr/products/le-francais-va-tres-bien-merci
      #Linguistes_atterrées

    • J’ai écrit : il meure. Tranquilou. Au bout de deux jours je me suis dit mmm il y a quelque chose qui ne va pas. J’ai cherché et trouvé : il meurt ! Me suis dit ,mais pourquoi écrire il meure comme ça ? Quelle raison logique ? Pas trouvé de réponses satisfaisantes . Il y a toujours moyen de faire des fautes, TOUJOURS ! C’est pénible.

  • La crainte d’établir un précédent qui ferait date. Une bonne partie de la rédaction de France Télévisions oscille entre inquiétude et effarement depuis que la décision du directeur de l’information, Alexandre Kara, a été ébruitée en interne. Vendredi 19 janvier, les journalistes travaillant sur les magazines (« Complément d’enquête », « Envoyé spécial », « 13 h 15 ») du groupe audiovisuel public se sont vu demander de faire une pause dans leurs investigations concernant les portraits de responsables politiques d’ici aux élections européennes qui auront lieu le 9 juin en France‧https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/01/25/france-televisions-la-direction-restreint-la-place-des-portraits-de-personna
    France Télévisions : malaise après la décision de la direction de limiter les enquêtes sur les personnalités politiques
    Dans un souci d’équité de temps de parole et pour laisser la priorité aux émissions de débat, le groupe audiovisuel public demande aux magazines d’investigations de faire une pause sur ces formats. La rédaction désapprouve ce choix.
    #censure #élections

  • Verschwundenen Hausnummern der mittigen Mittelstraße
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Mittelstrasse-10117-Berlin

    Der Kaupert behauptet, dass es die Hausnummern 1 bis 65 gibt, macht aber keine Angaben über ihre Lage. Es weiß es nicht besser. Nach 110 Jahren sind der mittigen Mittelstraße ein paar Hausnummern abhanden gekommen. Schauen wir mal genau hin.

    Straßenverlauf von Schadowstraße bis Charlottenstraße
    Name seit nach 1674
    Postleitzahl 10117
    Ortsteil Mitte
    Ehemaliger Bezirk Mitte

    Da die Mittelstraße ein alte Straße (seit 1674) ist gehen wir davon aus, dass die Hausnummern nach dem Hufeisensystem angeordnet sind und die Nummer 1 und die höchste Hausnummer sich am dem Stadtzentrum nahe gelegenen Ende befinden. Ein Blick in Openstreetmap (#OSM) zeigt, dass die Nummern 1 und 65 wirklich an der Charlottenstraße liegen. An der Ecke Schadowstraße liegen die Hausnummern 31 und 32. Und hier beginnen die Probleme.

    Westliches Ende der Mittelstraße an der Schadowstraße

    Mittelstaße zwischen Friedrichstraße (östlich) und Neustädtischer Kirchstraße (westlich)


    Östliches Ende der Mittelstraße an der Charlottenstraße

    Die ganze Karte von 1914 gibt es hier:
    https://landkartenarchiv.de/vollbild_historischestadtplaene2.php?q=landkartenarchiv_berlin_fahr

    2024 - verschwunden Hausnummern 10 - 20, 32 - 40 und 54, 56 - 61


    Die Nummern 10 bis 20 befinden laut OSM sich angeblich auf Höhe des Eingangs zur Nummer 53, Haus Nummer 54 befindet sich angeblich ebenfalls dort, die 55 wirdvon OSM zutreffend dem Eckhaus Friedrichstraße bzw. der Gaststätte „Treffpunkt“ zugewiesen, und 56 bis 61 existieren offenbar ebensowenig wie die 156 (! einhundertsechsundfünfzig !), denn alle werden der Lage der nicht existierenden Hausnummer 54 zugeordnet.

    Ergo gibt es die Adressen Mittelstraße 1 - 9, 21 - 31, 41 - 53 sowie 62 - 62. Soweit OSM, das unvollständig sein mag, und wir noch das eine oder andere myteriöse Haus werden entlarven können. Besonder interessant wird der südliche Abschnitt zwischen Neustädtischer Kirchstraße und Schadowstraße, weil hier ein offenbar noch nicht vollständig kartierter Bau liegt. Mysteriös zeigt sich der Bereich Kreuzung Friedrichstraße. Hier sind wahrscheinlich Vorkriegsgrundstücke unter einzelnen Hausnummern zusammengefasst und neu bebaut worden. Da fehlen mit Sicherheit wirklich einige Hausnummern.

    Ich habe jedenfalls bereits Fahrgäste beinahe verpasst, dereren Taxi-Bestell-App dort angeblich gelegene tatsächlich jedoch inexistente Hausnummern übermittelt haben. Die völlig desorientierten Japaner mussten jedenfalls länger als nötig auf ihre Taxi warten.

    #Berlin #Taxi #Dorotheenstadt #Mittelstraße #Geschichte #Taxi #Ortskunde

  • Restaurant Taxi Moon GmbH, Berlin, Weddingplatz 2
    https://firmania.de/berlin/restaurant-taxi-moon-gmbh-2894252
    Vorbei. Am 17.1.2024 gibt es diese Adresse weder im Kaupert noch in Openstreetmap oder Google Maps. Auch der Kaupert von 1989 kennt für den Weddingplatz keine Hausnummern, dafür beginnt an der Schulzendorfer Straße gegenüber dem Weddingplatz die Reinickdendorfer Straße mit Hausnummer 1 nach bester Berliner Hufeisenanordnung. Die höchste Hausnummer 123 bezeichnet das Gemeindehaus der Dankeskirche gegenüber Reinickendorfer Straße 4 und 5. Wat willste, wir sind in Berlin.

    Immerhin fehlen keine Hausnummern (wie z.B. in der Mittelstraße / Dorotheenstadt https://seenthis.net/messages/1036946 ) und die Zählung beginnt, anders als beim #Kudamm mit Nummer 1 (eins). Nur etwas versteckt liegen sie, die Häuser der Reinickendorfer Straße 1 bis 9.

    Ergo lautete die richtige Adresse des Cafe/Bar/Restauran Taxi Moon Reinickendorfer Straße 2, 13347

    in Gaststätten, Restaurants in Berlin Berlin.
    Adresse
    Weddingplatz 2,
    13347, Wedding, Berlin

    Andere identische Fundstelle am 17.1.2024
    https://web2.cylex.de/firma-home/restaurant-taxi-moon-gmbh-9753384.html

    Das Taxi Moon war eine Taxikneipe. Der nicht mehr auffindbaren GmbH gehörten dem Vernehmen nach auch einige Taxis und es gab eine freundschaftliche Verbindung der Geschäftsführerin mit der Gründergeneration des immer noch existierenden links-feministisch-autonomen Café Cralle in der Weddinger Hochstädter Straße. In der oberen Etage des Taxi Moon ging es ruhiger zu während im verqualmten Erdgeschoß eine nie enden wollende New-Wave-Party tobte. Wie die Kollegen dort ihre mitternächtliche Pause verbringen konnten, war mir immer schleierhaft. Vielleicht lag es am bunten Wand-

    Verarsche
    https://www.google.com/maps/place/MVZ+Zahn%C3%A4rzte+am+Weddingplatz/@52.5420124,13.3688964,18z/data=!3m2!4b1!5s0x47a851b7b0f97e4f:0x751c062461db9def!4m6!3m5!1s0x47a8518604
    Wer in Google Streetmap die Adresse „Weddungplatz 2“ eingibt, wird zur Schönwalder Straße Ecke Reinickendorfer geschickt, weil dort die „Zahnärzte am Weddingplatz“ um Patienten werben. Soweit zur Zuverlässigkeit kommerzieller Kartendienste.

    Kaupert Weddingplatz
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Weddingplatz-13347-Berlin

    Wer in Westberlin die Taxischeinprüfung schaffen wollte, musst den Weddingplatz „lernen“. Für die schriftliche Prüfung waren mindestens drei abgehendne oder angrenzende Straße zu nennen, und in der mündlichen Prüfung durfte er nicht vergessen werden, wenn man beispielsweise vom

    Allgemeines zu Weddingplatz
    Postleitzahl 13347
    Ortsteil Wedding
    ÖPNV Zone A Bus M27, 247 — U‑Bahn 6 Reinickendorfer Str ♿
    Straßenverlauf an Müllerstraße, Fennstraße und Reinickendorfer Straße
    Falk‑Stadtplan Planquadrat H 15
    Geschichte von Weddingplatz
    Ehemaliger Bezirk Wedding
    Alte Namen Kirchplatz (Anf. 19. Jh.-1835)
    Name seit 5.9.1835

    Wedding, seit 2001 Ortsteil des Bezirks Mitte.

    Um 1250/51 war das schon vorher besiedelte Dorf Wedding wieder „wüst“ geworden. Ursprünglich war es ein Rittersitz mit einer Mühle. 1253 gab dessen Besitzer, Ritter von Kare, das Dorf an das Nonnenkloster zu Spandau. 1289 überließ Markgraf Otto IV. den Gutshof Wedding mit der dazu gehörenden Feldmark der Stadt Berlin. Der Ort nannte sich damals Up den Wedding. 1601 legte Oberhofkämmerer Graf Hieronymus Schlick von Passau und Weißkirchen auf diesem Land erneut einen Gutshof an. Später kaufte der Große Kurfürst diesen Besitz und ließ ihn als Vorwerk betreiben. Zwischen 1752 und 1780 entstand die Kolonie Wedding. Diese war seit 1817 im Besitz des Berliner Magistrats. 1861, bei der Weichbilderweiterung Berlins, als der Wedding dem Berliner Stadtgebiet zugeschlagen wurde, hatte er 10 715 Einwohner. Seit der Eingemeindung entwickelte sich der Wedding als Industriestandort außerordentlich rasch. AEG, Siemens, Schering und andere Unternehmen siedelten sich an. Der Bezirk wurde zum Arbeiterbezirk, zum „Roten Wedding“. 1920 ist er als 3. Verwaltungsbezirk aus den Stadtvierteln Wedding und Gesundbrunnen sowie aus Teilen der Oranienburger und Rosenthaler Vorstadt gebildet worden. Bei der Neufassung der Verwaltungsgrenzen 1938 erhielt Wedding von Charlottenburg den östlichen Teil der Jungfernheide. Wedding ist Standort des Universitätsklinikums Rudolf Virchow und des Deutschen Herzzentrums. Architektonisch bedeutsam sind die Vorstadtkirchen St. Paul und St. Nazareth (letztere mit dem Antikriegsmuseum). In den zwanziger Jahren sind im Wedding musterhafte Wohnsiedlungen entstanden, wie die Friedrich-Ebert-Siedlung, das Afrikanische Viertel und die Siedlung Schillerpark. Bei der Bezirksfusion 2001 wurde Wedding in die Ortsteile Gesundbrunnen und Wedding unterteilt, es gehört seitdem zum Bezirk Mitte.

    Der Kirchplatz wurde in Weddingplatz umbenannt, da er auf dem Terrain des ehemaligen Vorwerks Wedding lag.

    Örtliche Zuständigkeiten für Weddingplatz
    Arbeitsagentur Beuthstraße
    Jobcenter Mitte - Müllerstraße
    Amtsgericht Wedding
    Grundbuchamt Mitte
    Familiengericht Pankow
    Finanzamt Wedding
    Polizeiabschnitt A 17
    Verwaltungsbezirk Mitte

    #Berlin #Wedding #Weddingplatz #Reinickendorfer_Straße #Schulzendorfer_Straße #Gastronomie #Taxi #Westberlin t #Mittelstraße #Kurfürstendamm #Geschichte #Taxi #Ortskunde

  • Zum Festpreis durch Berlin: So soll Taxifahren wieder attraktiv werden
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/taxi-berlin-zum-festpreis-durch-berlin-so-sollen-taxifahrten-attrak

    Wenn Festprwise in München Taxis verlässlicher machen, was nicht sicher ist,, wird das in Berlin nicht funktionieren. Der Berliner Taxitarif schreibt schon jetzt Festpreise für jede Strecke vor, denn Wartezeiten im Stau und an der Ampel werden in der Praxis schon lange nicht mehr bezahlt. Das verhindert in Berlin eine Karenzzeit vor dem Umschalten auf einen Zeittarif. Nur wirklich lange „Wartezeiten“ werden dem Taxifahrer bezahlt, etwa wenn er Kunden beim Einkaufen ins Geschäft begleitet.

    Die Einführung eines Festtarifs schützt die Kunden gegen überhöhte Fahrpreise durch Umwege. Bezahlt wird für die mit dem Taxi zurückgelegte Strecke. Seit Abschaffung der anspruchsvollen Ortskundeprüfung für angehende Taxifahrer kann es vorkommen, dass auch ehrliche Fahrer einen vom Navigationssystem vorgeschlagenen Umweg fahren, und es dem Kunden nicht auffällt, weil alle dem dummen Navi vertrauen. Dieses Problem sollte durch eine bessere Qualifikation der Fahrer gelöst werden, anstelle mit einer Scheinlösung wenig wirkungsvolles Marketing zu betreiben.

    19.10.2023 von Peter Neumann -Ein neues Tarifangebot soll Taxifahren in Berlin einfacher und besser berechenbar machen. Wer per App, telefonisch oder auf andere Art ein Taxi bestellt, bekommt auf Wunsch künftig einen garantierten Festpreis genannt. Anders als derzeit können Staus und Baustellen die Fahrkosten dann nicht mehr beeinflussen. Das ist der Plan, über den das Berliner Taxigewerbe und der Senat sprechen. Einigen sie sich, könnte das neue Tarifangebot Anfang 2024 eingeführt werden, sagte Hermann Waldner, der Vorsitzende von Taxi Deutschland Berlin. Ein Vorbild gibt es bereits: München. Dort heißt es, dass Fahrgäste von Festpreisen profitieren – aber nicht immer. Höhere Kosten sind möglich.

    Es ist ein Projekt, das in Berlin schon einige Zeit köchelt. Seit mehr als zwei Jahren lässt das Personenbeförderungsgesetz Festpreise zum Beispiel für bestellte Taxifahrten zu. So lange befürworten die Senatsverwaltung und die Taxibranche ein solches Tarifangebot schon. Jetzt soll der Plan konkret werden, teilte Constanze Siedenburg, Sprecherin von Verkehrssenatorin Manja Schreiner (CDU), der Berliner Zeitung auf Anfrage mit.

    „Die Senatsverwaltung hat in diesem Sommer mit Gewerbevertretungen bei der Industrie- und Handelskammer zu Berlin einen Austausch zu Festpreisen angeregt“, berichtete Siedenburg. „Uns liegt nunmehr ein Antrag aus dem Taxigewerbe vor, der sich konzeptionell am Münchner Modell orientiert, das zum 1. September 2023 in Kraft getreten ist. Der konkrete Abstimmungsprozess läuft. Mit den Verbänden wurde vereinbart, dass hieran prioritär gearbeitet wird.“ Es geht voran.

    Aus Sicht der Behörde seien Festpreise attraktiv für Fahrgäste. Es gehe um Preissicherheit bei Vorbestellung, sagte die Sprecherin. Wer einen Festpreis wünscht, kann darauf vertrauen, dass es bei dem genannten Betrag bleibt – wobei sich Taxifahrer natürlich weiterhin über Trinkgeld freuen, wie in der Branche betont wird. Anders als derzeit schlagen Wartezeiten vor Ampeln oder in dichtem Verkehr nicht mehr zu Buche.
    „Die Situation ist katastrophal“

    Bei Uber, Bolt und anderen Vertriebsplattformen ist das schon seit langem so. Wer per App eine Fahrt bucht, bekommt den angegebenen Betrag abgebucht – und keinen Cent mehr. Mit dem neuen Tarifangebot, das nun auch Taxifahrten berechenbar macht, möchte die gebeutelte Taxibranche Kunden zurückgewinnen und neue Fahrgäste anlocken. Die Konkurrenz hat dem Gewerbe längst zugesetzt. In diesem August gab es in Berlin 5606 Taxis – aber auch 4449 Mietwagen. Solche Fahrzeuge werden von Unternehmen, die mit den Plattformen zusammenarbeiten, eingesetzt.

    „Die Situation ist katastrophal“, sagte Hermann Waldner von Taxi Deutschland Berlin. „Wir können beobachten, wie es jeden Tag weiter nach unten geht.“ Wie viele andere Taxifunktionäre sprach er davon, dass die Plattformen den Wettbewerb verzerren. Immer wieder wird kritisiert, dass dort Regeln nicht eingehalten werden – wie die, nach jeder Fahrt an den Betriebssitz zurückzukehren, wenn es nicht unmittelbar im Anschluss eine neue Tour gibt.

    Meist liegen die Fahrpreise deutlich unter den Taxitarifen, in Berlin zum Teil um 60 Prozent, wie Waldner beklagt. Er und andere Kritiker bezweifeln, dass es die Mietwagenbetreiber mit „Dumpingtarifen“ schaffen, legal ohne Steuerhinterziehung und Sozialbetrug auszukommen. Die Plattformbranche weist die Kritik zurück.

    Anfang des kommenden Jahres könnte es losgehen

    Mindesttarife für Mietwagen seien in der jetzigen Situation „das Allerwichtigste“, forderte Hermann Waldner. Außerdem müsse künftig auch das Taxigewerbe in der Lage sein, Festpreise anzubieten. Der Verbandschef lobte die Verwaltung, die dem Plan positiv gegenüberstehe. Für Berlin sei ein Tarifkorridor im Gespräch, der nach oben und unten um je 20 Prozent abweicht, so Waldner in einem Podcast. Er zeigte sich zuversichtlich: „Wir hoffen, dass wir Festpreise zum Jahresanfang 2024 anbieten können.“

    Die Konkurrenz: Bei Vertriebsplattformen wie Uber können per App Mietwagen mit Chauffeur gebucht werden. Die Fahrpreise liegen meist deutlich unter den Taxitarifen.

    „Es ist sehr schön, dass Berlin dem Münchener Beispiel folgen möchte“, sagte Florian Bachmann, Vorsitzender des Taxi-Verbands München. In der Hauptstadt des Freistaats Bayern gilt das neue Tarifangebot seit dem 1. September. „Bei uns in München wird dem Fahrgast, wenn er den Festpreis wünscht und die Zieladresse angibt, der Preis nach der kürzesten Strecke berechnet, zuzüglich der Einschaltgebühr“, erklärte er.

    Achtung, Tarifkorridor!

    Nach dieser Rechnung kosten sechs Kilometer Taxifahrt 19,30 Euro. Verkehrsbedingte Wartezeiten kommen in der Festpreisberechnung nicht vor. Normalerweise beträgt der Anteil dieser Tarifposition in München im Durchschnitt rund acht Prozent. Käme sie bei der Beispielrechnung hinzu, würde die Fahrt laut Taximeter 20,80 Euro kosten.

    „Diese acht Prozent bekommt der Kunde quasi geschenkt“, sagte Bachmann. Allerdings gibt es das Geschenk nur dann, wenn die Taxizentrale, bei der die Fahrt gebucht wird, den Tarifkorridor nicht in Anspruch nimmt. Was ist darunter zu verstehen? Das novellierte Gesetz lässt es zu, dass Festpreise über oder unter dem regulären Taxitarif liegen können, erklärte der Verbandsvorsitzende. Konkret ist es in München möglich, dass sie ihn um bis zu 20 Prozent über- oder um bis zu fünf Prozent unterschreiten.

    Warum ist das so? „Der Korridor ist dafür gedacht, dass der Fahrer bei extremen Verkehrsverhältnissen wie Schnee oder Eis dennoch sein Geld verdienen kann“, erläutert Bachmann. Umgekehrt kann nachts, wenn viele Ampeln ausgeschaltet sind, Wartezeit gespart werden. Deshalb ermöglicht der Tarifkorridor auch eine Abweichung nach unten.

    „Die Vorteile von Festpreisen für den Kunden sind relativ klar“, fasste Florian Bachmann zusammen. „Es gab während der Pandemie in München eine Online-Umfrage, was Kunden sich vom Taxi wünschen. Oberster Wunsch war, dass die Fahrgäste vor Antritt der Fahrt wissen wollen, was die Fahrt kosten wird. Das können wir nun anbieten.“

    Taxiunternehmer hätten aktuell eher Nachteile, weil sie für die Fahrten nicht immer den eigentlichen Preis erhalten, so Bachmann. Trotzdem komme von dieser Seite „Unterstützung, weil man hofft, das durch mehr Aufträge wieder auszugleichen“, erläutert Bachmann. Ob die Akzeptanz von Dauer ist, werde sich zeigen. Möglicherweise müsse bei den Taxitarifen nachgesteuert werden, sagte er. Doch klar sei: „Das Taxigewerbe begrüßt die Festpreise, weil sie auch ein Instrument sein können, um der illegalen Konkurrenz von Uber und Konsorten etwas entgegenzusetzen.“

    #Berlin #München #Taxi #Taxitarif #Ortskunde #Festpreis

  • Ashdod : Des passagers haredim empêchent une femme de monter à bord d’un bus public Times of Israel Staff

    Une chaîne de télévision israélienne a diffusé dimanche des images montrant une femme qui se voit refuser l’accès à un bus public à Ashdod parce que des ultra-orthodoxes à bord ont insisté sur le fait qu’il était réservé aux hommes.

    Dans la vidéo, la femme tente de monter dans un bus de la ligne 80, exploitée par la société Electra Afikim.

    On y entend un homme dire : « Seulement pour les hommes » , alors que la femme est arrêtée à la porte avant du bus.


    Le chauffeur lui conseille de marcher ou de prendre une autre ligne.

    Lorsqu’elle fait remarquer au chauffeur qu’elle a le droit de monter à bord, il lui répond : « Que puis-je dire ? Ce n’est pas mon problème ».

    La chaîne n’a pas identifié la femme ni expliqué pourquoi elle portait une caméra cachée. Un incident similaire s’est produit la semaine dernière sur la même ligne de bus.

    En vertu de la loi israélienne, la séparation entre les sexes est illégale dans les espaces publics, y compris dans les transports. Les partis orthodoxes réclament depuis longtemps une législation qui permettrait d’autoriser la séparation entre les sexes lors d’événements financés par des fonds publics.

    En guise d’explication, Electra Afikim a déclaré que les chauffeurs interdisaient parfois aux femmes d’entrer dans les bus pour éviter qu’elles ne soient attaquées par des passagers haredim, mais elle a affirmé qu’elle éradiquerait ce phénomène.

    La semaine dernière, à Ashdod, une jeune fille de 17 ans s’est vu refuser l’accès au bus numéro 80 qu’elle voulait prendre pour rentrer chez elle, a rapporté le site web d’information local Ashdodi.

    La jeune fille et une autre femme ont essayé de monter dans le bus en compagnie d’un homme, mais seul ce dernier a été autorisé à entrer, alors que le chauffeur leur a dit que le bus était exclusivement réservé aux hommes.

    Ashdodi s’est renseigné sur la ligne 80 au stand d’information d’Electra Afikim dans la Gare centrale de bus d’Ashdod, mais les employés ont insisté sur le fait qu’il n’y avait pas de ligne de ce type dans la ville, même si l’itinéraire figurait sur le site d’information d’Electra Afikim.


    La ligne de bus 80 à Ashdod, exploitée par la société Electra Afikim, le 8 mai 2023. (Crédit : Capture d’écran d’Electra Afikim ; utilisée conformément à l’article 27a de la loi sur le droit d’auteur)

    Après de plus amples recherches, Electra Afikim a déclaré à Ashdodi que la ligne avait été spécialement coordonnée par un haut fonctionnaire de la société pour les étudiants en yeshiva, et qu’il s’agissait d’une « ligne privée » réservée aux hommes.

    En tant que service de transport public, la ligne de bus ne peut légalement pas refuser l’accès aux femmes.

    Selon La Douzième chaîne, des incidents similaires se sont produits sur d’autres lignes à Ashdod, la cinquième ville du pays, qui a vu sa population haredi croître rapidement ces dernières années. Des femmes se sont également vu refuser l’accès aux bus des lignes 74 et 79, selon le reportage.

    La chaîne a également signalé qu’à quelques mètres de l’arrêt de bus où la femme s’est vu refuser l’entrée, les visages de femmes et de jeunes filles figurant sur une grande affiche ont été vandalisés. La destruction d’images de femmes dans les espaces publics est une autre tactique adoptée par certains activistes ultra-orthodoxes.

    L’avocate Gili Zinger, directrice-générale adjointe du groupe de défense des droits Israel Women’s Network, a déclaré à la Douzième chaîne que les incidents de discrimination à l’encontre des femmes dans les bus d’Ashdod « font partie d’un phénomène qui devient de plus en plus extrême et qui s’étend chaque jour ».

    « Ce sont des choses qui ne se produisaient pas auparavant. Il faut comprendre que c’est contraire à la loi et que c’est une infraction pénale », a-t-elle souligné.

    Electra Afikim a répondu au reportage de la Douzième chaîne en disant que « la compagnie est contre l’exclusion des femmes, et que suite à l’incident, le chauffeur a été convoqué pour une discussion, et que les instructions ont été clarifiées auprès de tous les chauffeurs ».

    La compagnie a déclaré que lorsque les passagers du bus agissent contre les femmes, « le chauffeur, craignant pour leur sécurité [celle des femmes], propose parfois une autre alternative ».

    Elle a également indiqué que les chauffeurs ont désormais reçu pour instruction d’arrêter le bus et d’appeler la police en cas de problème similaire.

    Le ministère des Transports a répondu que « toute forme de discrimination à l’égard des passagers des transports publics est interdite ».

    Le ministère a ajouté qu’il demanderait aux sociétés de transport public de faire preuve de diligence dans le respect des réglementations et qu’il « prendrait de sérieuses mesures » pour toutes plaintes similaires.

    #Femmes #religion #israël #israel #racisme #orthodoxie #haredim #sexisme #discrimination #transports

    Source : https://fr.timesofisrael.com/ashdod-des-passagers-haredim-empechent-une-femme-de-monter-a-bord-

  • Fleuron des droits des femmes, la maternité des Lilas en proie à des accusations de violences | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/040423/fleuron-des-droits-des-femmes-la-maternite-des-lilas-en-proie-des-accusati

    En décembre 2020, sept soignantes ont porté plainte contre un anesthésiste de l’établissement. Elles l’accusent de harcèlement et d’agressions sexuelles, et dénoncent le manque de soutien de leur direction. Le Conseil de l’Ordre a rejeté les requêtes de 23 sages-femmes.

    Elsa Sabado

    4 avril 2023 à 11h41

    Accouchement dans le silence, dans le noir ou dans l’eau, chant prénatal... La maternité des Lilas (Seine-Saint-Denis), qui lutte depuis plusieurs années pour sa survie, promet aux parents un cocon pour accueillir leur nouveau-né dans un environnement exempt de violences. Parce qu’elles poursuivent cette ambition, des soignantes de la maternité (MDL) ont dénoncé les violences qu’elles disent avoir subies au sein de leur propre institution.

    https://jpst.it/3aqbA

    #maternité_des_lilas #accouchement_sans_douleur #accouchement_physiologique #psycho_prophylaxie_obstétricale #orthogénie #planning_familial #IVG #avortement #féminisme #ARS #Agence_régionale_de_Santé #Politique_de_santé #T2A

  • Der „Ball der Bälle“: Eine kurze Geschichte des Berliner Presseballs
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/der-ball-der-baelle-die-lange-geschichte-des-berliner-presseballs-l

    Presseball Berlin im ICC

    Ehepaar Helmut und Hannelore Kohl auf dem Bundespresseball 1987

    Presseball Berlin, Palais am Funkturm, Januar 1958

    14.1.2023 von Alexander Kulpok -Am Sonnabend findet in Berlin der 150. Presseball statt. Unser Autor blickt zurück auf die bewegte Geschichte des Balls, der Luxus in die Stadt bringen sollte.

    2023 ist für Berlin ein Jahr der Medienjubiläen. Vor 100 Jahren – am 29. Oktober 1923 – wurde in Berlin der deutsche Rundfunk geboren („Achtung! Achtung! Hier ist die Sendestelle Berlin im Vox-Haus auf Welle 400 Meter!“). Und am 14. Januar 2023 geht in Berlin der 150. Presseball übers Parkett. Gern wird in Berlin versucht, an die Tradition jener Bälle anzuknüpfen, die am 9. März 1872 als Charity-Veranstaltung ihren Anfang nahm und über Jahrzehnte und Generationen, politische Systeme und weltpolitische Ereignisse hinweg ihren Reiz bewahrte. Ein Ball als Hauch von Luxus mit Prominenten aus Politik und Kultur.

    Der erste Presseball in Berlin nahm sich den Schriftsteller- und Journalistenball in Wien zum Vorbild und diente der Unterstützung notleidender Kolleginnen und Kollegen. Ein Prinzip, an dem bis in die West-Berliner Tage der Jahrtausendwende festgehalten wurde. Nicht der Journalisten-Verband veranstaltete den Presseball, sondern ein Tochterunternehmen, der Sozialfonds, der auf die Hilfe für nicht so erfolgreiche Journalisten und auf die Ausbildung von journalistischem Nachwuchs ausgerichtet war. Ein Umstand, der – weil ihn die Öffentlichkeit und die Medien nicht so recht einzuordnen wussten – wesentlich zum Niedergang des Berliner Presseballs am Anfang des Jahrtausends beitrug.

    Ab 2009 versuchte dann Mario Koss, der Tausendsassa und erfolgreiche Erfinder der Shape-CD, die in West-Berlin verankerte Presseball-Tradition neu zu beleben. Für den 14. Januar lädt er zum 150. Ball ins Hyatt-Hotel am Potsdamer Platz. In mancher Weise gleichen sich die Bilder zu den Ball-Anfängen in den 70er-Jahren des 19. Jahrhunderts. Die eigenwilligen Verbandsfunktionäre der Journalisten verhedderten sich 1872, als es um die Frage ging, ob der Reichskanzler Otto von Bismarck eingeladen werden sollte oder nicht.

    Durch das Argument, mit einer Einladung an Politiker würde die parteipolitische Neutralität der Journalisten beeinträchtigt, zerstritten sich die Männer im „Ball-Comitee“ und konnten zum zweiten „Ball mit Festsouper“ erst sieben Jahre später einladen. Der „Eiserne Kanzler“ besuchte nie einen Presseball. Ihm waren Journalisten ohnehin suspekt und nur willkommen, wenn sie seine Regierungsarbeit publizistisch unterstützten. Daher richtete er schon 1869 den berühmt gewordenen „Reptilienfonds“ ein, aus dem er regierungsfreundliche Zeitungen bis zum Jahr 1892 bezahlte.

    Aus dem Presseball Berlin wurde sehr schnell der „Deutsche Presseball“ als alljährliches gesellschaftliches Ereignis in der Reichshauptstadt. Veranstaltungsorte waren das Concerthaus am Dönhoffplatz, die Alte Philharmonie in der Bernburger Straße und die Festsäle am Zoologischen Garten. Erklärtes Ziel der Veranstalter war die Verbesserung des Ansehens der Journalisten, die nicht erst nach 1945 in der Bonner Republik als „angepasste Außenseiter“ herabgesetzt wurden.

    Als ab 1909 regelmäßig auch der Reichskanzler zu den Ballgästen zählte, schien der gesellschaftliche Rang der Journalistenbranche gesichert. Nach dem Ersten Weltkrieg, mit dem Beginn der ach so goldenen Zwanzigerjahre, war Kurt Tucholsky einer der humorvollsten und treffsichersten Ballchronisten: „Die Regierung war, soweit man hier von Regierung sprechen kann, vollzählig vertreten. Die Gesandten und Botschafter aller zivilisierten Staaten, sowie Bayerns, waren anwesend ... In einer Loge saßen die leitenden Männer der deutschen Presse, darunter auch ein Redakteur.“ Bissige Beobachtungen eines Top-Journalisten beim Ball des Jahres 1920.

    Schlimmer kam es 1933. Einen Tag vor seiner Machtübernahme ließ Adolf Hitler das Ballereignis ansetzen. Und die BZ am Mittag schrieb später: „Das Pressefest war ganz auf die neue Gestaltung des großen gesellschaftlichen Lebens gestimmt.“ Gleichschaltung war auch hier die Devise, akribisch organisiert von Propagandaminister Joseph Goebbels. Nach 1945 etablierte sich in der provisorischen Bundeshauptstadt Bonn die Bundespressekonferenz, die erst in Bad Neuenahr, ab 1990 ins Bonner Hotel Maritim zu Tanz und Spaß mit der politischen, kulturellen und sportlichen Prominenz bat. Eine geschlossene Veranstaltung, zu der die Mitglieder der Bundespressekonferenz Gäste einladen konnten.

    1970 im November, am Beginn der Brandt-Ära, hieß das Motto in der Bonner Beethovenhalle „Bonnjunktur“ – mit einem Hundertmarkschein im Hintergrund und dem Brandt-Zitat „Wir stehen nicht am Ende unserer Demokratie, wir fangen erst richtig an !“. Meine bleibenden Erinnerungen an diesen Bundespresseball sind ein Interview auf der Bühne mit der damals 23-jährigen Olympiasiegerin Heide Rosendahl und eine peinliche Auseinandersetzung mit Hannelore Kohl, der ich beim Radiointerview mit Helmut Kohl unabsichtlich ein Glas Rotwein aufs Ballkleid gegossen hatte. Frau Hannelore erregte sich verständlicherweise über alle Maßen. Ehegatte Helmut machte sich in Windeseile aus dem Staub. Mit Blick auf seine politischen Ziele als rheinland-pfälzischer Ministerpräsident wollte er sich mit Journalisten offenbar nicht gern anlegen.
    Presseball in den 1980ern: Ballkleider verhakten sich in Rolltreppen

    Die 70er-Jahre brachten die Hochzeit der West-Berliner Pressebälle. Veranstaltet im Palais am Funkturm, gegenüber dem Haus des Rundfunks, fühlte sich der nicht unbedingt ballaffine SFB-Intendant Franz Barsig wohl zu besonderer Unterstützung verpflichtet (wahrscheinlich hatten ihn aber seine Unterhaltungsexperten Dieter Finnern und Peter Lichtwitz beraten). Wiens Altmeister Robert Stolz wurde nach Berlin geholt (wo er übrigens 1975 auch starb) und dirigierte im Palais am Funkturm nicht nur „Du sollst der Kaiser meiner Seele sein“, sondern auch zum Gesang von Udo Jürgens und Mireille Mathieu.

    Presseball Berlin im ICC

    Presseball Berlin im ICCPresseball Berlin

    Als das bombastische ICC erbaut war, zog in den 1980er-Jahren der Berliner Presseball – eines der Aushängeschilder der westlichen Welt, zu dem Bundespräsidenten, Bundeskanzler und Bonner Minister erschienen – um in das riesige Nebengebäude. Dort beklagten sich vor allem die Frauen darüber, dass sie sich mit ihren langen Ballroben immer wieder in den zahlreichen Rolltreppen des ICC verhakten. Mit der Vereinigung von BRD und DDR 1990 schien das allerletzte Stündlein des West-Berliner Presseballs geschlagen.

    Autor, Anarchist, Alkoholiker: Vor 100 Jahren starb „Schwejk“-Erfinder Jaroslav Hasek

    Die aus Ost-Berlin hinzugekommenen Mitglieder des Berliner Journalisten-Verbandes fühlten sich keiner Balltradition verbunden und plädierten für ein jährliches „Pressefest“ im Sommer, wie es das SED-Zentralorgan „Neues Deutschland“ zu DDR-Zeiten veranstaltet hatte. Der Bundespresseball zog konsequenterweise in die wiedergewonnene deutsche Hauptstadt um, eine Zusammenlegung beider Bälle scheiterte an der Engstirnigkeit des von Kontroversen und Intrigen geschüttelten Berliner Verbandes und zwei fulminante Bälle in der Staatsoper Unter den Linden, die Friedrich der Große hatte für derartige Ereignisse erbauen lassen, bildeten einen bunten Schwanengesang.

    Italien und Lateinamerika waren die Themen der beiden Pressebälle in der Staatsoper – mit internationalen Staatsgästen und Prominenz von Gina Lollobrigida bis Antonio Skarmeta. Im Grunde ein würdiger Abschluss einer lieb gewonnenen Tradition. Doch wenn es um den einstigen Ball der Bälle in Berlin geht, hört die Liebe nimmer auf. In Mario Koss fand sich einer, der bereit war, Geduld und Geld in ein Projekt zu investieren, das bereits dem Tod geweiht schien.

    Dieser Beitrag unterliegt der Creative Commons Lizenz (CC BY-NC-ND 4.0).

    #Berlin #Geschichte #Kultur #Journalismus #Ortskenntnis

  • In der Pampa ausgesetzt
    https://seenthis.net/messages/984861

    Am Abend vor Weihnachten wurde eine Studentin, der eine große Plattform eine Mitfahrgelegenheit für 90 Euro nach Thénac im Departement Charente Maritime vermittelt hatte, von der Fahrerin bei Thénac in der Dordogne mitten in der Ödnis und über 150 Kilometer von ihrem Reiseziel entfernt ausgesetzt. Ein Taxi brachte sie weiter in das falsche Thénac, von wo sie, um weitere 240 Euro ärmer, nach einer Nacht im Hotel mit der Bahn zum Ziel ihrer Reise gelangte.

    So kanns gehen, wenn man sich von Amateuren fahren läßt. Ein kleines Mißverständnis, und schon sitzt der Fahrgast in der Sch...
    Wo liegt eigentlich #Bergen? In #Noirwegen, #Belgien oder #Lüchow-Dannenberg?

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Bergen

    #Frankreich
    #Ortskunde #Verkehr #Personenbeförderung #Mitfahrzentrale #Plattformkapitalismus #Digitalisierung #WTF

  • Drei Verletzte bei Taxi-Unfall in Charlottenburg
    https://web.de/magazine/regio/berlin/verletzte-taxi-unfall-charlottenburg-37510750

    Wir einnern uns, im Bundesgesetzblatt 2017, Teil I, Nr. 58, Seite 3233 wurde im August des Jahres 2017 der Wegfall der #Ortskundeprüfung für Fahrer von Krankenwagen und Mietwagen und zum 2.8.2021 auch für Taxifahrer verkündet. Seitdem gibt es keinerlei inhaltliche Eignungsprüfung für Taxifahrer, weder die Beherrschung der deutschen noch irgend einer anderen Sprache ist gefordert von #Ortskenntnis ganz zu schweigen. Die Berichte von Fahrgästen über kommunikationsunfähige, orientierungslose Taxifahrer häufen sich.

    Offenbar sieht es mit den Fahrkünsten vieler neuer Taxilenker nicht besser aus, woher auch, wenn Fahrerlaubnisse im außereuropäischen Ausland beschafft und keine mehrjährige Fahrpraxis in Berlin erworben wurde. Die Betriebe sparen sich anscheinend entsprechende Nachschulungen. Es sieht ganz so aus, als es ob in absehbarer Zeit keinen Unterschied mehr zwischen uberisierten Mietwagen und dequalifizierten Taxis mehr geben könnte.

    Es ist die Rede vom Tod des Taxigewerbes. Bevor der eintritt werden noch einige Menschen durch unqualifizierte Taxi- und MIetwagenschauffeure in den Tod gerissen werden.

    So läuft das eben. Die Verantwortung trägt ...

    26.11.2022 - Bei einem Zusammenstoß von zwei Taxis in Berlin-Charlottenburg sind zwei Menschen schwer und einer leicht verletzt worden.

    Ein 44-jähriger Taxifahrer war am frühen Samstagmorgen mit hohem Tempo von der Cauerstraße auf die Kreuzung Otto-Suhr-Allee/Leibnizstraße gefahren, wie die Polizei mitteilte. Dort stieß er demnach mit einem anderen Taxi zusammen, das Vorfahrt hatte. Dieses krachte gegen einen Ampelmast.

    Der 33-jährige Fahrer kam mit leichten Arm- und Beinverletzungen zur Behandlung in ein Krankenhaus. Ein Mann und eine Frau im Wagen des Unfallverursachers, beide 72 Jahre alt, erlitten stark blutende Verletzungen an Kopf und Hals. Rettungskräfte brachten sie ebenfalls in Kliniken. Die Kreuzung blieb während der Unfallaufnahme und der Bergung für den Verkehr gesperrt.

  • Fachkunde? Aktuell nicht notwendig!
    https://www.taxi-times.com/fachkunde-aktuell-nicht-notwendig

    27.7.2021 von Remmer Witte - Nachdem die Legislative (in diesem Fall der Bund) sich viel Zeit für seine PBefG-Novelle genommen hat, hat sie der Exekutive (in diesem Fall den Ländern) nur wenig Zeit gelassen, seine neuen Anforderungen an die Fachkunde im Gelegenheitsverkehr umzusetzen.

    Die Folge: Entsprechend werden nun zum 2. August dieses Jahres bundesweit die Ortskundeprüfungen für Städte mit mehr als 50.000 Einwohnern abgeschafft. Die neue Fachkunde für alle Antragssteller dieser Fahrerlaubnis kann allerdings noch nicht eingefordert werden, da man sich in der Kürze der Zeit weder inhaltlich noch über die Art und Umsetzung dieses Nachweises hat einigen können.

    Im Ergebnis kann nun jede und jeder bei seiner oder ihrer Kommune den P-Schein beantragen und darf dann für den Rest seines Lebens bundesweit Taxi-, Mietwagen- und Bedarfsverkehre durchführen. Bundesweit? Nein, denn ein einzelnes Bundesland ist ausgeschert und hat immerhin eine konstruktive Teillösung der Problematik hinbekommen. Damit werden in Bayern die neuen P-Scheine zunächst nur mit einer dreijährigen Gültigkeit versehen, und sobald dann die neue Fachkunde angeboten wird, muss sie auch von diesen bayerischen Führerscheininhabern innerhalb eines Jahres nach Einführung dieser Prüfung nachgeholt werden. Mittlerweile sind auch andere Bundesländer mit ähnlichen Übergangsregelungen nachgezogen.
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    Eigentlich müssten sich die Juristen und Rechtsanwälte schon jetzt ins Fäustchen lachen, denn mit dieser Regelung wäre es so, dass der Kölner Neu-Taxler lebenslang auch ohne Fachkundeprüfung in Bayern Taxi fahren dürfte, während die bayerische Neu-Taxlerin, die in Köln arbeiten will, dies nicht ohne nachträglichen Fachkundenachweis darf. Auch wenn der Rechtsgrundsatz „gleiches Unrecht darf nicht sein“ nicht einklagbar ist, ist Führerscheinrecht Bundesrecht, und insofern kann diese Ausnahme nicht rechtskonform sein. Allerdings wird die entsprechende Klagewelle wohl ausbleiben, denn wer überhaupt bereit ist, in Köln oder München als Taxler zu arbeiten, der oder die wird bestimmt nicht vor Gericht ziehen, um dieses Recht auch durchzusetzen.

    Aber in der Sache ist es eigentlich die bayerische Lösung, die dem Gewerbe – letztendlich wohl eher zufällig – einen wirklich guten Weg aufzeigt. Fakt ist: Die Branche benötigt händeringend Personal. Bisher waren es vielfach die Ortskenntnisprüfungen, die zumindest in den Städten eine effektive Personalakquise erschwerten. Sollte nun ein Fachkundenachweis diese Messlatte eins zu eins ersetzen, stehen viele Unternehmen wieder vor dem gleichen Problem.

    Der eigentliche Charme der bayerischen Initiative liegt daher darin, dass Neubewerber dort für eine befristete Zeit zunächst in das Gewerbe hineinschnuppern können, um dann nach einem Jahr belegen zu müssen, dass sie auch ein bisschen was gelernt haben. In anderen Branchen hat diese Grundausbildung, der zum Abschluss eine Prüfung folgt, einen Namen, man nennt sie Lehre. Bei einer Lehre haben letztendlich die Arbeitgeber gemeinsam mit den Mitarbeitern das Interesse, das notwendige Fachwissen bis zur Prüfung zu vermitteln, während es nur in unserer Branche zumindest bisher so war, dass die Bewerber*Innen für die Ortskenntnisprüfung schon vor der ersten Schicht auf eigene Faust pauken mussten, um dann im weiteren Verlauf ihrer Karriere nie wieder irgendwelche Kenntnisse belegen zu müssen.

    Und vielleicht liegt hier auch genau der Knackpunkt der schon seit Jahrzehnten diskutierten Fachkunde. Elektroniklehrlinge lernen am ersten Arbeitstag Plus und Minus zu unterscheiden, warum sollten gerade Taxifahrer sich die notwendigen Kenntnisse schon vorher aneignen. Sind es nicht gerade die Unternehmen, die über das notwendige Fachwissen verfügen, wie Mann oder Frau zum erfolgreichen Taxler wird? Und wer seine Neulinge für die erste Schicht ohne vorherige Schulung als Copilot auf die Straße schickt und davon ausgeht, dass die Straße einen schon alles lehrt, was als Taxler wissenswert ist, der handelt eh unverantwortlich.

    Wenn es künftig dank fehlender Eingangsprüfung vielleicht sogar (viel) mehr Bewerber*Innen für unser Gewerbe gäbe und die Branche dann selbst die Aufgabe hätte, diese Mitarbeiter*Innen zu schulen und dann nach einem Jahr erfolgreich durch eine Prüfung zu geleiten, hätte dann die Branche hier nicht eine riesige Chance, endlich das Pferd von vorne aufzuzäumen? Die Aussage „dieses oder jenes Unternehmen hat mich bei der Prüfung ganz toll unterstützt“ hätte dann einen ganz anderen Stellenwert als bisher, wo teilweise das Fahrpersonal besser als der Unternehmer darauf achtet, dass beispielsweise die Kindersicherungspflichten beachtet werden. Und gleichzeitig würde eine solche Regelung auch die Diskussion erleichtern, welche Kenntnisse denn überhaupt für eine gewerbespezifische Fachkunde erwartet werden können. Bei einer Anlernzeit von einem Jahr darf man schon einiges an Fachkenntnis erwarten.

    Wenn nun also am 19. August die Verbandsvertreter im Bundeswirtschaftsministerium (BMWI) eingeladen sind, um über Art und Durchführung der neuen Fachkunde zu diskutieren (womit die vehemente Forderung des TMV nach einem Runden Tisch nun endlich erfüllt wird), wäre es dort vielleicht sogar möglich, nicht einfach nur einen Konsens auf dem kleinsten gemeinsamen Nenner zu finden, sondern ganz überraschend einen großen Wurf für die Branche zu schaffen. Es ginge dann vielleicht nicht mehr darum, welche Fragen sachgerecht oder möglich sind, und ob ein Teilnahmeschein reicht oder ob es eine echte Prüfung geben muss, sondern es könnte ganz entspannt über wirklich relevante Inhalte gesprochen werden, und die Prüfung könnte ähnlich den theoretischen Führerscheinprüfungen an die Kommunen delegiert werden, da die Bewerber*innen nun ja genügend Zeit haben, ihre Fachkenntnisse nachzuweisen. Der Prüfungsinhalt ergibt sich, indem einige relevante Punkte aus der Führerscheintheorie übernommen werden und um einige fahrgastrelevante Punkte ergänzt werden.

    Das Beste an einer solchen Regelung wäre, dass die angesprochenen Rechtsunsicherheiten sofort wieder obsolet wären, da sie ab dem 20. August gültig sein könnte, denn der Fragenkatalog müsste dann trotzdem noch nicht sofort vorgelegt werden, sondern könnte mit einer gewissen Karenzzeit noch sachgerecht entwickelt werden kann. Schaun mer also mal, ob der „bayerische Weg“ es doch noch schafft, diesem leidigen Thema einen erfolgreichen Abschluss zu bescheren, es wäre der Taxibranche zu wünschen.

    #Taxi #Ortskundeprüfung #Fachkunde

  • Accouchement physiologique : quel avenir ? – Sortant du village
    https://sortantduvillage.info/2022/10/19/accouchement-physiologique-quel-avenir

    Ce texte a été mis en ligne le 19 octobre 2022, soit, à un moment où l’on sait que la maternité des Lilas échappe à la menace de la fusion avec la clinique Vauban de Livry-Gargan et que l’on connaît le nouveau schéma général imposé par l’ARS.

    Selon ce schéma, le service d’orthogénie reste aux Lilas et le service d’accouchement est adossé à une structure médicale d’une autre ville.

    Fait nouveau, qui mérite d’être souligné, il est prévu que cet adossement se fasse auprès d’un établissement public. Deux hypothèses, au titre de nouveau prétendant au mariage forcé, sont à nouveau sorties du tiroir de l’ARS : d’une part, le grand retour du CHI André Grégoire de Montreuil et, d’autre part, la clinique des Bluets, réputée pour être historiquement proche de la maternité des Lilas, du point de vue des méthodes d’accouchement physiologique1.

    Les menaces sur la fin du bail de la maternité semblent levées mais les problèmes posés par les dérives de gestion de l’association Naissance (qui représente officiellement la maternité des Lilas) restent entiers2.

    Je tâcherai, dans un autre texte, de comprendre comment et pourquoi nous en sommes arrivés là. Pour l’heure, il me semble que la priorité devrait être de permettre à la maternité de « sortir de la nasse ».

    En rédigeant les lignes qui suivent, je me suis humblement donné comme but, de contribuer à cet objectif. J’aurais, bien entendu l’occasion de défendre ces positions, lors de la prochaine réunion publique du collectif de soutien à la maternité des Lilas.
    Analyse de la situation, à chaud

    Les informations fournies en octobre 2022 permettent de lever le doute sur les hypothèses des plus inquiétantes que j’ai évoquées après la parution de l’article du Monde du 28 août 2022.

    La maternité dispose donc encore d’un répit supplémentaire, ce qui n’est pas du luxe.

    On pourra dire, comme cela a été évoqué en réunion, que le « recul » de l’ARS représente une victoire, faisant suite à la mobilisation qui s’est mise en place depuis le printemps dernier (rassemblements, pétitions, articles de presse, etc.). Sans aucun doute !

    Néanmoins, il me semble indispensable de rester lucide :

    Primo, depuis plus de dix ans, ce n’est pas la première fois que l’ARS revient sur ce qu’elle a dit ; d’une certaine manière, cela constitue même sa spécialité.

    Quels que soient les obstacles rencontrés, en dépit de ses contradictions ou de ses propres revirements, l’agence régionale de Santé Île-de-France, tel le gros matou d’un dessin animé, retombe toujours sur ses pattes pour finalement parvenir à ses fins.

    Qui pourrait honnêtement prétendre que la situation actuelle de la maternité des Lilas représente une avancée par rapport à celle de juin 2011 ?

    Si l’on regarde sur le temps long, ces multiples revirements s’orientent toujours vers le même but : celui d’empêcher la maternité de continuer d’exister selon les principes féministes inscrits dans ses pratiques professionnelles.

    Secundo, on est bien obligé de reconnaître que le nouveau projet de l’ARS se présente ni plus ni moins sous la forme brutale d’une mutilation. On connaissait la vente à la découpe, nous avons ici affaire ni plus ni moins à une forme de « restructuration publique à la découpe ».

    #maternité_des_lilas #accouchement_physiologique #orthogénie #planning_familial #IVG #avortement #féminisme #ARS #Agence_régionale_de_Santé #Politique_de_santé #injonctions_de_l_État #adossement_administratif #déficit_hôpitaux #patrimoine_féministe_professionnel

  • Mise à jour, suite à la réunion du 11/10/2022

    Chronologie de la maternité des Lilas – Sortant du village
    https://sortantduvillage.info/2022/10/07/chronologie-commentee-de-la-maternite-des-lilas

    Septembre 2022 : des rencontres ont lieu au cours desquelles l’ARS précise ses positions auprès des représentants de la maternité et du maire des Lilas.

    Le 11 octobre 2022, lors de la réunion du collectif de soutien, de nouvelles informations, provenant, pour l’essentiel, de ces rencontres avec l’ARS, sont mises à la connaissance du public :

    L’ARS se prononce contre le projet d’intégration à la clinique Vauban du groupe Avec, à Livry-Gargan.
    L’adossement à un établissement public serait désormais privilégié.
    L’ARS admet que le fonctionnement d’un service d’accouchement physiologique, tel qu’il a lieu aux Lilas, est nécessairement déficitaire mais elle estime que le montant du déficit actuel (4,5 M€ annuel) est trop important.
    Selon plusieurs témoignages (le maires des Lilas et des salariées), l’ARS aurait clairement affirmé que le service d’accouchement physiologique ne restera pas aux Lilas. Même l’hypothèse d’un déménagement sur un autre site de la ville serait exclu.
    Le schéma général de l’ARS semble se dessiner ainsi : d’une part, le service d’orthogénie (planning familial et IVG) resterait aux Lilas et, d’autre part, le service d’accouchement serait déplacé sur une autre structure publique, dans une autre ville, à proximité.
    L’orthogénie, qui resterait donc aux Lilas, serait éventuellement complétée par d’autres formes de services, telle qu’une « maison des naissances ».
    Concernant l’accouchement, L’ARS ne se prononce pas clairement pour savoir s’il s’agirait de maintenir une maternité de « niveau 1 », tel qu’à la maternité des Lilas, ou si cela aurait pour conséquence de fusionner vers des maternités de niveaux 2 ou 3. Cette question est centrale depuis 2011, car le fait de revendiquer le maintien du niveau 1 équivaut à garantir le maintien de l’accouchement physiologique, tel qu’il est pratiqué à la maternité des Lilas.
    Deux pistes principales d’adossement semblent être mises sur la table : la clinique des Bluets et, à nouveau, le CHI André Grégoire à Montreuil mais, cette fois-ci, il ne s’agirait plus d’occuper un local désaffecté, comme en 2013. Le maire a également évoqué la possibilité de l’hôpital Robert-Debré mais cette hypothèse a été catégoriquement rejetée par plusieurs professionnel·les.
    La menace qui pesait sur le non-renouvellement du bail semble levée. Par contre, la direction de l’association Naissance, qui pose de sérieux problèmes de confiance et de crédibilité, est dénoncée pour les différentes formes de dérives qui ont émaillé sa gouvernance. L’association Naissance semble être reconnue de façon unanime comme étant une facteur d’aggravation de la crise qui touche la maternité des Lilas alors qu’elle est censée la représenter officiellement.

    #maternité_des_lilas #accouchement_sans_douleur #accouchement_physiologique #psycho_prophylaxie_obstétricale #orthogénie #planning_familial #IVG #avortement #féminisme #ARS #Agence_régionale_de_Santé #Politique_de_santé #T2A

  • Chronologie de la maternité des Lilas – Sortant du village
    https://sortantduvillage.info/2022/10/07/chronologie-commentee-de-la-maternite-des-lilas

    L’histoire récente de la maternité des Lilas a été marquée par un nouveau rebondissement au printemps 2022. L’incroyable succession de péripéties, que cet établissement a rencontré depuis plus de dix ans pour continuer à exercer son activité, semblait d’ailleurs continuer à s’emballer en août dernier.

    Militant de la CGT des agents territoriaux des Lilas, comme beaucoup de personnes, j’ai participé localement aux mobilisations sociales qui se sont déroulées dans la ville pour « soutenir la mater », notamment de 2011 à 2014.

    Précision importante : je considère que je n’étais qu’un militant de base, plutôt en retrait et beaucoup moins impliqué que bien d’autres personnes dans cette lutte (y compris dans mon syndicat, où Jean-Pierre Blouch, était en permanence sur la brèche). Néanmoins je considère, qu’avec les moyens du bord, je me suis réellement investi sur la mater et qu’il s’agit d’une expérience importante.

    Mes motivations militantes dans cette implication étaient et demeurent d’une extrême simplicité : défendre localement, au sein de mon Union locale, les intérêts des salarié·e·s contre leur patron et contre l’État ; se battre contre la délocalisation et la perte d’emplois ; soutenir les conquêtes féministes que sont l’accouchement physiologique, le droits des femmes à disposer de leur corps, le planning familial et l’IVG.

    Je n’ai jamais été regardant sur mon investissement militant quand je suis convaincu qu’il faut défendre une cause. Toutefois, j’ai été saisi d’un malaise en avril dernier, quand j’ai vu que les choses s’emballaient à nouveau. Ce sentiment s’est accentué en août.

    Repartir comme en 40, tel qu’on me l’a gentiment suggéré, me semblait inconcevable. J’avais tout un tas de bonnes raisons pour ne pas m’associer « aux mobilisations sur la défense de la mater » du printemps dernier, mais ce détachement, en définitive, m’a poursuivi et je n’y ai pas retrouvé mon compte, non plus.

    Alors, plutôt que de foncer tête baissée, d’un côté ou de l’autre, il m’a semblé indispensable d’établir une chronologie, pour me remettre en mémoire le mieux possible les enchaînements des faits. Ce n’est qu’au prix de cet effort de reconstitution, parfois, accompagnée d’analyses que nous avions déjà formulées, qu’il me sera possible, de me positionner correctement sur ce qui se passe aujourd’hui autour de la mater.

    Cela commence par tâcher de savoir s’il s’agit encore d’une lutte, au sens, en tout cas, où je l’entends.

    Cette chronologie commentée se définit clairement comme étant partisane, mais je me suis efforcé qu’elle soit construite à partir de faits incontestables et sourcés sur le web.

    Je propose de partager ce travail car il est probable que d’autres personnes doivent éprouver la même nécessité que moi de redéployer les multiples étapes de cette lutte, après l’avoir côtoyée, même de loin. Gageons qu’au-delà de ce type de motivation, on puisse aussi trouver, dans ce document, toute forme possible d’intérêt.

    Les contributions permettant de corriger ou de compléter les informations qui figurent dans cette chronologie, à partir d’éléments factuels et sourcés, seront les bienvenues.

    #maternité_des_lilas #accouchement_sans_douleur #accouchement_physiologique #psycho_prophylaxie_obstétricale #orthogénie #planning_familial #IVG #avortement #féminisme #ARS #Agence_régionale_de_Santé #Politique_de_santé #T2A #tarification_à_l'activité #promesses_non_tenues_François_Hollande

  • Liste der rechtschreiblich schwierigen Wörter | Duden
    https://www.duden.de/Liste-der-rechtschreiblich-schwierigen-Woerter

    Deutsche Sprache, schwere Sprache, und auch die verschiedenen Rechtschreibreformen erleichtern das Verfassen verständlicher Texte nicht. Die Redaktion des Duden hat zur Erläuterung eine Liste der schwierigsten deutschen Wörter zusammengestellt.

    Damit sind wir bereits bei einer der hinterhältigsten Fehlerfallen der deutschen Sprache:

    Für „Wort“ gibt es zwei Pluralformen. Idealtypisch ist die folgende semantische Unterscheidung üblich:

    Wörter bezieht sich auf einzelne oder vereinzelte Objekte.
    Worte bezieht sich auf eine Äußerung, einen Zusammenhang bildende Wörter.
    Der Plural von Wort lautet dann Wörter , wenn es um das Auftreten mehrerer einzelner davon geht („Das Verzeichnis enthält 100.000 Wörter“). Von Worten spricht man hingegen bei der Verwendung von Wörtern in feststehenden Zusammenhängen (Dankesworte, Grußworte, i. W.) oder geläufigen Ausdrücken (ehrliche Worte, leere Worte, letzte Worte).

    Soweit Wikipedia https://de.wikipedia.org/wiki/Wort
    Und nun folgen die schwierigsten deutschen Wörter .

    Aa
    abgeschlossen adäquat Adresse Agentur Aggression aggressiv akquirieren Akquise Akquisition Akupunktur akustisch am besten Ammenhai Amurtiger angsterfüllt anhand anhand Annalen annullieren Anschluss Antipathie Apartheid Apparat Armatur Arzt asozial Astralkörper Asymmetrie asymmetrisch Atmosphäre Attrappe auf einmal aufgrund aufgrund aufgrund dessen aufhören aufrechterhalten Aufwand aufwendig außerdem Autor autorisieren autorisiert avisieren
    Ää
    Ärgernis
    Bb
    Ballett bar barfuß Barzahlung Beeinflussung Beredsamkeit Bezug nehmend Billard bis auf Weiteres Biskuit bisschen bloß bloß bombardieren Bowle Brezel Brillant brillant Büfett Burgverlies
    Cc
    Charisma Chrysantheme Clementine Commitment
    Dd
    darüber hinaus dass definitiv Dekolleté delegieren Delegierte Delegierter dementsprechend derselbe des Weiteren detailliert dezidiert Diarrhö diffizil Dilettant dilettantisch Diphtherie diskriminieren Dissens
    Ee
    E-Mail eben eben Eiffelturm eigentlich eigentlich eigentlich Einfaltspinsel einmal einzig Ekstase Elefant Empathie endgültig endlich endlich Entgelt Epidemie Epikureer Ergebnis erst mal eruieren essenziell explizit exzellent
    Ff
    Fitness Flachbettscanner Frondienst frönen Fronleichnam Furnier Fuß Fußball
    Gg
    Galerie Galionsfigur galoppieren Garderobe Gebaren gebären geboren Gecko gegebenenfalls Gehör gehören Geisel Geißel geißeln Geiselnahme Geißelung Gelatine gemäß genießen Geratewohl gesamt Ginkgo googeln Graffito Gratwanderung Grieß Griesgram griesgrämig grölen Guerilla Guerilla Guerillakrieg
    Hh
    Häkchen Hals über Kopf hältst hanebüchen Hasardeur heißen heute Morgen Hobby hoffentlich hören
    Ii
    ihrerseits im Einzelnen im Folgenden im Voraus im Wesentlichen immer noch in puncto Inbus Inbusschraube Incentive infolge infolgedessen Inkrafttreten insbesondere insgesamt interessant Interesse inwieweit
    Jj
    Jackett Joghurt
    Kk
    Kai Kaninchen Kannibale Karosserie Karussell katastrophal Katastrophe Katzenhai kennenlernen Kenntnis Kernspintomografie kohärent kolossal Komitee Kommentar Kommilitone Konkurrenz Konsens kopfüber korrigieren Koryphäe krakeelen Kreißsaal Kumulation kumulieren Kuss
    Ll
    Lappalie Laptop Lärche lässt Lerche Libyen Lid Lizenz lizenzieren Loser lynchen
    Mm
    mahlen Mai Mandarine Maschine mindeste minimal Mischpoche Mischpoke Misere mithilfe Mobiliar morgen morgendlich
    Nn
    nach wie vor nämlich nämlich nichtsdestotrotz noch mal
    Oo
    Obolus obsolet ohne Weiteres Oleander online original Ouvertüre
    Pp
    Paket Paneel
    Pappenstiel Papst parallel peripher persönlich Philippinen piken piksen Pinnwand platzieren Platzierung Pogrom Portemonnaie Portfolio potenziell präferieren projizieren prophylaktisch Prozess Pubertät
    Qq
    Quarzuhr
    Rr
    rau recht haben redundant Reflexion Reling Renommee renommiert Rentier Reparatur respektive Ressource Resümee Revanche revanchieren Revision reziprok Rhetorik Rhythmus Rückgrat
    Ss
    Säbelzahntiger Saite Satellit Schlafittchen Schloss schloss Schluss Schmalz Schmalz schmälzen schmelzen schnellstmöglich seid seit seit seit Kurzem selbstständig selig separat Seriosität Silhouette Silvester Siphon Sisyphosarbeit Sisyphusarbeit skurril Smiley sodass sogenannt Souterrain soweit sowie Spaghetti Spaghetto spazieren spülen Stakeholder Standard Stanniol stattdessen Stegreif Stele Stracciatella Stracciatella Strang Straße stringent Strophe subsumieren subtil Symmetrie Sympathie sympathisch
    Tt
    Terabyte Terrasse Tiger Tipp todlangweilig todtraurig tolerant Toleranz Trilogie Triumph triumphieren Turnier
    Üü
    übersät übrigens
    Uu
    unendlich unentgeltlich unsympathisch unter anderem
    Vv
    verhören Verlies vermeintlich verpönt Verwandtschaft verwandtschaftlich Verzeichnis vielleicht vielleicht von klein auf vor allem vor Kurzem vor Ort voraus Voraus Voraussetzung voraussichtlich vorbeikommen
    Ww
    währenddessen wahrnehmen wart weiß weiß weismachen weißt Wermut wider widerfahren widerlegen widerspiegeln Widerspruch widerstehen wie viel wiederum willkommen willkommen heißen
    Zz
    zartbesaitet ziemlich ziemlich zu Ende zu Hause zu viel Zucchini zugrunde liegen zum einen … zum anderen zumindest zurzeit zuwider zuwider

    Zur Klärung von Bedeutung und Schreibweisen dient die Seite des Duden Verlags.
    https://www.duden.de/Liste-der-rechtschreiblich-schwierigen-Woerter
    Sie gibt dabei ausschließlich die zur Zeit übliche sozusagen „offizielle“ Schreibweise wieder. Ältere, häufig mit erweiterten Bedeutungen verbundene Schreibweisen, müssen mit Hilfe anderer Quellen erschlossen werden. Wie wärs mit einer Goethe Erstausgabe? Die „Deutsche Grammatik“ des Jacob Grimm von 1819 wäre auch ein schöner Einstieg in die Materie.
    https://de.wikipedia.org/wiki/Br%C3%BCder_Grimm#Die_%E2%80%9EDeutsche_Grammatik%E2%80%9C

    #Sprache #Rechtschreibung #Orthographie #deutsch

  • Une « pub » pour les femmes orthodoxes soulève des questions sur la tsniout Jackie Hajdenberg - Time of israel
    https://fr.timesofisrael.com/une-pub-pour-les-femmes-orthodoxes-souleve-des-questions-sur-la-ts

    Alors que le débat fait rage pour savoir si l’offre de vente de faux orteils est sérieuse, certains affirment que le problème réside dans le fait que personne ne puisse en être sûr


    Une publicité pour les femmes orthodoxes de vente de faux orteils.(Crédit : Twitter/Design/Jackie Hajdenberg)
    TA – Dès que cette publicité incongrue a commencé à circuler sur les groupes WhatsApp haredim dimanche, le débat a été ouvert : les orteils « de pudeur » existent-ils vraiment ?

    S’adressant aux femmes orthodoxes qui veulent être élégantes tout en se conformant aux normes vestimentaires conservatrices de leur communauté, l’annonce propose des orteils en silicone « durables » et « de haute qualité » que les acheteuses peuvent enfiler par-dessus les leurs, ce qui leur permet de porter des sandales sans que leurs propres pieds ne soient visibles.

    « Voulez-vous être à la mode tout en étant tzniuysdyig ? », propose la publicité, en utilisant une forme yiddish du mot pudeur se référant à la « pudeur vestimentaire ». « Vous voulez être à la mode, alors que vous refusez de porter des chaussures ouvertes ? ».

    La publicité ressemble à de nombreuses vraies publicités qui circulent sur le marché haredi. Sur ce marché, où les innovations qui facilitent l’observance religieuse se multiplient, les commandes doivent souvent être passées par téléphone ou en personne, l’utilisation d’Internet étant fortement désapprouvée.

    Pourtant cette annonce a aussi des allures de parodie, dans un contexte où certaines femmes juives orthodoxes tentent de s’opposer aux normes qui dictent leur tenue vestimentaire, contrôlent les accessoires autorisés et empêchent leur visage d’apparaître dans de nombreuses publications orthodoxes.

    Les spéculations sur l’authenticité de la mystérieuse publicité et sur sa signification pour les communautés orthodoxes ont préoccupé une partie du monde orthodoxe cette semaine. Beaucoup appellent ce produit, le « sheitel à orteil » dû au rôle similaire des sheitels https://www.myjewishlearning.com/article/hair-coverings-for-married-women , ou perruques que certaines femmes orthodoxes mariées portent pour couvrir leurs propres cheveux conformément à la loi juive, ou Halakha .

    « Certains pensent que c’est réel. D’autres pensent que c’est une blague », a déclaré Sharon Weiss-Greenberg, militante de longue date du féminisme orthodoxe, à la Jewish Telegraphic Agency au sujet des sheitels à orteils. « Je pense que c’est une blague. Mais plus encore, le simple fait que tant de personnes pensent que ce n’en soit pas une est un réel problème – le simple fait que ce soit plausible est ennuyeux. »


    Illustration : Une femme marchant en sandales élégantes à talons hauts. (Crédit : Nadtochiy/Stock by Getty Images)
    Pour passer commande, l’annonce indique un numéro de téléphone avec un indicatif régional dans la région de la vallée de l’Hudson, à New York. Les multiples appels passés depuis lundi par la Jewish Telegraphic Agency sont directement tombés sur une messagerie vocale – ce qui atteste peut-être du manque de sérieux de toute cette affaire.

    Il semble qu’au moins une personne soit parvenue à joindre l’entreprise. Dans une vidéo largement diffusée, prise lundi matin, un homme se retient de rire pendant un appel de sept minutes avec la personne lui ayant répondu au téléphone, qui s’est identifiée sous le nom de Chana. L’interlocuteur s’enquiert des différentes offres et apprend que les couvre-orteils peuvent être personnalisés dans différentes couleurs de peau pour des clientes ashkénazes et séfarades. Ils peuvent également être accompagnés de vernis à ongles dans des teintes portant le nom d’écoles orthodoxes.

    Si des acheteurs veulent un oignon ou des grains de beauté pour rendre leurs faux orteils plus réalistes, cela est possible à condition qu’ils soient prêts à payer le prix, explique Chana à son interlocuteur.

    « Vous savez, parfois, quand une femme reçoit un sheitel, elle la saupoudre de fausses pellicules ? Et bien cela revient au même », explique Chana.

    La polémique relève de plusieurs controverses actuelles au sein des communautés orthodoxes. « Les commandes peuvent prendre un certain temps car la chaîne d’approvisionnement en faux orteils en provenance de Chine a été interrompue par la fausse maladie de la COVID », dit la représentante, faisant allusion à la désinformation médicale qui a sévi dans le monde orthodoxe pendant la pandémie de la COVID-19.

    La couleur du nom de la Yeshiva University pourrait changer, dit-elle, si la Cour suprême lui permet de rejeter ce qu’elle appelle « le club gay », en référence au groupe d’étudiants LGBTQ qui se bat contre l’université phare de la mouvance Modern Orthodox pour obtenir le droit d’exister sur le campus. La Yeshiva University de New York City devra reconnaître https://fr.timesofisrael.com/la-yeshiva-university-devra-reconnaitre-son-club-lgbt-dit-la-cour- un club LGBTQ, au moins temporairement, après le refus opposé par la Cour suprême américaine, mercredi, d’intervenir dans ce dossier.

    Après avoir dit à son interlocuteur que les personnes qui s’offrent des vacances coûteuses pendant la période de Pessah peuvent probablement se permettre ce nouveau produit, Chana fait une critique explicite de la consommation ostentatoire qui caractérise certaines communautés orthodoxes.

    « Ce n’est pas censé être une autre mesure de la quantité d’argent que vous avez et du degré de fantaisie que vous pouvez vous offrir », dit-elle. « Bien que nous ayons peur que cela puisse arriver. »

    L’appel était authentique, a publié l’épouse de l’appelant sur Facebook, ajoutant que le couple n’était aucunement lié à l’entreprise ou à la farce, quelle qu’elle soit. Plusieurs personnes, susceptibles de correspondre au profil, ont également déclaré qu’elles n’étaient pas impliquées, tant publiquement qu’auprès de la Jewish Telegraphic Agency , qui a contacté une demi-douzaine de femmes proposées comme suspectes probables en raison de leur militantisme féministe ou de leur publications de vidéos parodiques orthodoxes.

    La tradition de se couvrir les cheveux après le mariage est fermement ancrée dans la Halakha  ; les Juives orthodoxes qui militent pour un plus grand leadership des femmes ne s’y opposent généralement pas. Les orteils ne sont pas soumis à des lois spécifiques, mais il existe un commandement général qui exige de s’habiller pudiquement, ainsi que d’innombrables exemples de décrets rabbiniques et de normes communautaires élargissant les limites de ce qui est considéré comme respectueux de la pudeur.

    Cependant, dans certaines parties du monde orthodoxe, l’utilisation de perruques en cheveux humains, qui peuvent coûter jusqu’à 3 000 dollars et nécessiter des soins, suscite des controverses. Certaines femmes orthodoxes choisissent plutôt de se couvrir les cheveux avec un foulard ou un chapeau. L’existence de perruques de marque peut également exercer une pression financière sur les femmes qui se sentent dans l’obligation de se fondre dans la masse de leur communauté.

    Les sheitels à orteils peuvent être considérés comme relevant de cette dynamique. Mais les images de la publicité ne permettent pas de savoir si ce produit est réel. Les prothèses d’orteils comme celles de l’annonce sont utilisées par des personnes souffrant de blessures aux pieds ou de maladies congénitales, ainsi que par des personnes amputées en raison de complications liées au diabète ; elles peuvent être trouvées facilement en effectuant une recherche rapide sur Google. Les faux orteils de la publicité ressemblent également à ceux utilisés par les prothésistes ongulaires pour pratiquer le nail art , autrement connu sous le nom de stylisme ongulaire.

    D’autres répliques de parties du corps ont été produites pour les Juifs pratiquants par le passé, mais pour de toutes autres raisons. Entre autres exemples, un barbier israélien a sorti en 2015 https://www.jta.org/2015/01/23/culture/magic-kippa-designed-for-attack-wary-observant-jews une kippa en cheveux synthétiques pour que les hommes puissent répondre à l’obligation de se couvrir la tête sans être immédiatement identifiés comme Juifs religieux.

    Hokhmat Nashim, une organisation dont le nom signifie « la sagesse des femmes » et qui vise à inclure les femmes dans la prise de décision orthodoxe, a déclaré en ligne qu’elle n’était pas à l’origine de la publicité. Cette semaine, le groupe s’est concentré sur un nouveau livre de cuisine publié par ArtScroll, un éditeur orthodoxe, dans lequel les femmes sont représentées par des photos d’ingrédients, et non d’elles-mêmes. De nombreuses publications orthodoxes ne montrent pas de femmes, invoquant des raisons de pudeur, une pratique qui, selon Hokhmat Nashim entre autres, exclue les femmes de leurs propres communautés.

    Hokhmat Nashim a déclaré que la publicité pour le sheitel à orteil et la réponse qu’elle avait suscitée avaient soulevé une question importante.

    « Que se passe-t-il lorsque l’on ne sait plus faire la différence entre la réalité et la satire ? », a écrit le groupe dans une publication Instagram. Une personne a commenté qu’elle était certaine qu’il s’agissait bien d’une blague – bien qu’elle ait personnellement entendu un rabbin dire que les orteils des femmes devaient rester couverts.

    « Pour info, il s’agit bien d’une satire », a ajouté plus tard Hokhmat Nashim, sans expliquer ses sources. « La question est de savoir comment faire pour qu’il en soit toujours ainsi. Comment repousser la sexualisation de tout ce qui est féminin et la déformation du judaïsme que nous voyons aujourd’hui et qui, avouons-le, n’est pas très éloignée ? »

    En milieu de semaine, les parodies de ce qui aurait pu être ou ne pas être une blague se sont multipliées, telles que des publicités pour de faux seins ainsi que des T-shirts représentant des seins, conçus pour permettre un « topless pudique », et pour des « dissimulateurs de cou » en plastique destinés à permettre le port de hauts sans bretelles sans trop révéler la clavicule. Des chemises partielles fines couvrant le col et les épaules sous des vêtements qui révèlent ces zones, sont déjà vendues dans les communautés orthodoxes.

    L’adresse électronique de la société qui vend des cache-cols s’est empressée d’envoyer une réponse enthousiaste à une demande de renseignements.

    « La société de cache-cols n’est pas liée à la société de prothèses d’orteils », ont-ils répondu. « Nous ne faisons que présenter le même concept, à savoir essayer d’être pudique… tout en étant capable de porter sa robe (ou sa chemise) préférée. … Nous essayons tous deux d’apporter une rédemption ultime. »

    Un autre courriel a rapidement suivi, exprimant ce que la société de sheitel à orteils n’avait pas dit, à savoir que « toute cette histoire était censée être une blague entre quelques amis, puisque nous avons tous ri de celle des orteils ! »

    #publicité #Canular ? #fake ? #Blague ? #religion #israel #pieds #orteils #mode #religion #vêtements #parodie #blague #orteils #Femmes

  • Wegfall der Ortskunde jetzt tatsächlich besiegelt
    https://www.taxi-times.com/wegfall-der-ortskunde-jetzt-tatsaechlich-besiegelt

    25.8.2017 von Nicola Urban - Der Wegfall der Ortskunde für Krankenwagen – und Mietwagenfahrer wurde jetzt tatsächlich im Bundesgesetzblatt vom 23. August veröffentlicht und ist damit besiegelt.

    Der Bundesrat hatte in seiner Sitzung im Juli der Abschaffung der Ortskundeprüfung für Krankenwagen- und Mietwagenfahrer in Orten mit mehr als 50.000 Einwohnern zugestimmt. Jetzt wurde der Wegfall im Bundesgesetzblatt 2017, Teil I, Nr. 58, Seite 3233 veröffentlicht und damit amtlich. Gestrichen wurde dazu per Änderungsverordnung in § 48 FeV der Nebensatz: „, oder – falls die Erlaubnis für Mietwagen oder Krankenkraftwagen gelten soll – die erforderlichen Ortskenntnisse am Ort des Betriebssitzes besitzt; dies gilt nicht, wenn der Ort des Betriebssitzes weniger als 50.000 Einwohner hat“.

    Bayern hatte auf Empfehlung der Bayerischen Staatsregierung an die Führerscheinstellen, „im Vorgriff auf die zu erwartende Gesetzesänderung“ bereits ab Mai auf die Ortskundeprüfung für Krankenwagen und Mietwagen verzichtet.

    Der GVN bemängelt in seinem gestern versendeten Informationsblatt den Schnellschuss seitens der Gesetzgebung: „In der nächsten Bundestags-Legislaturperiode wäre ohnehin eine Revision des PBefG und seiner Begleitgesetze angestanden. In diesem Kontext hätte man über eine Modernisierung der Ortskunde als Teil eines Gesamtkonzeptes beraten können. Aber man wollte wohl wieder einmal Handlungsfähigkeit zeigen. Gründlichkeit vor Schnelligkeit, Lösungen aus einem Guss statt Stückwerk, langfristiges Denken und nachhaltige Entscheidungen statt kurzfristige Aufmerksamkeit, dies würden wir uns von der Politik wünschen. Dieser Schnellschuss bei der Ortskunde ist ein schlechtes Beispiel.“

    #Mietwagen #Ortskundeprüfung

  • Full Set of Blue Book Runs (001-320)
    https://www.taxitradepromotions.co.uk/green-badge-blue-book-runs/10002.25.html


    Das ist eine kommerzielle Anleitung zum Erlernen des „the knowledge“.

    We are very excited to announce you can now purchase the FULL SET of our new style Blue Book Runs. All 8 books containing all 320 Runs are now available to buy in store and online. There are two versions, Colour (£150) and Black & White (£110). These new Transport for London approved runs have been professionally produced and offer the following features:

    • The most up to date Blue Book Runs available.

    • Large scale accurate bespoke 1/4 mile mapping (no need for an atlas) showing:
      • 8 points plotted with full address.
      • Many One-way Streets / No Left and Right Turns.
      • Blue Book Run arrival and departure highlighted routes.

    • The most up to date Link Runs connecting the end of one Blue Book Run to the next.

    • Plenty of space for your own notes, no need to take a notepad out on the road.

    • Produced in a A4 landscape 4 hole punched single sheet format for ease of use and storage.

    • Supplied in a A4 clear waterproof pocket which slips over your knowledge board to protect your paperwork.

    • Created using our 30 plus years experience in teaching the Knowledge of London.

    #Taxi #London #Ortskundeprüfung

  • The Hackney Hack
    http://hackneyhack.com

    Alle erforderlichen Ressourcen um sich „the knowledge“ anzueignen

    A look into what’s involved in learning the knowledge of London.

    runs http://hackneyhack.com/knowledge_of_london_320_blue_book_runs_by_postcode_north_london.html
    postcode map http://hackneyhack.com/interactive_london_postcode_map_.html

    Exploring the Blue Book Runs, Points of Interest, Books, App’s, Software and anything else that helps in the pursuit of gaining the coveted Green Badge & becoming a London Black Cab Driver.

    THE HACKNEY HACK
    The knowledge of London is a massive undertaking and I have a new found respect for anyone that has passed out and got their green badge.

    This site is just for keeping links and things I design like the London postcode map all together in one place. If you get anything from this website then great, be my guest, if it has saved you time or money then please donate £2.00 a month to London Taxi P.R. who are working hard for your future as a Black Cab Driver.

    Lastly this site cannot replace the expertise that a knowledge school can provide, the single best bit of advice I have had while out on the bike was being told to go along to one of the knowledge schools for the introductory class, a must for beginners, see the links below.

     LINKS
    Some handy links I’ve found,

    London Taxi Radio is great for keeping you informed with the trade and doesn’t hold any punches, The Cab Chat Show takes a lighter look, Jamie and the gang put out a great show every Wednesday. 
    http://www.londontaxiradio.co.uk
    http://cabchat.london

    If you need a TAXI stick your arm out or download the app.
    http://www.taxiapp.uk.com

    Black Cab Knowledge Guy
    https://blackcabknowledgeguy.wordpress.com

    Cabbie Blog
    http://www.cabbieblog.com

    Pubcat London Taxi Log
    https://pubcat.co/author/pubcatblog

    Knowledge Schools -

    Wizann
    https://www.wizann.co.uk/free-classes
    Knowledge Point School
    http://www.taxitradepromotions.co.uk/green-badge-knowledge-free-introductory-ses.html

    TFL Consultations
    https://consultations.tfl.gov.uk/consultation_finder/?sort_on=iconsultable_enddate&sort_order=descending&ho=yes&adv

    https://www.taxinewspaper.co.uk
    https://lcdc.uk
    https://www.taxi-point.co.uk
    http://londontaxipr.com
    https://taxileaks.blogspot.com

    “SUCCESS IS NOT FINAL, FAILURE IS NOT FATAL, IT IS THE COURAGE TO CONTINUE THAT COUNTS.”

    #Taxi #London #Ortskundeprüfung

  • List of the 320 Blue Book Runs
    http://hackneyhack.com/320_blue_book_runs_list.html
    Die Ortskundeprüfung der Londoner Taxifahrer umfasst 320 Zielfahrten, genannt runs , die in Abschnitten von 80 gelernt und geprüft werden. Hier sind sie alle:

    1 – Manor House Station, N4 to Gibson Square, N1
    2 - Thornhill Square, N1 to Queen Square, WC1
    3 - Chancery Lane Station, WC1 to Rolls Road, SE1
    4 - Pages Walk, SE1 to St. Martin’s Theatre, WC2
    5 - Australian High Commission, WC2 to Paddington Station, W2
    6 - Lancaster Gate, W2 to Royal Free Hospital, NW3
    7 - Fitzjohn’s Avenue, NW3 to Fitzhardinge Street, W1
    8 - Ritz Hotel, W1 to Battersea Park Station, SW8
    9 - Ponton Road, SW8 to Camberwell Grove, SE5
    10 - Knatchbull Road, SE5 to Surrey Quays Station, SE16
    11 - Timber Pond Road, SE16 to Grocers Hall Court, EC2
    12 - Barbican, EC2 to Mile End Station, E3
    13 - Beaumont Square, E1 to Cannon Wharf Business Centre, SE8
    14 - New Cross Station, SE14 to National Maritime Museum, SE10
    15 - Maze Hill Station, SE10 to Abbey Road, E15
    16 - West Ham Station, E15 to Dalston Kingsland Station, E8
    17 - Graham Road, E8 to Hanover Gate, Regent’s Park, NW1
    18 - Baker Street Station, NW1 to Halkin Street, SW1
    19 - Lowndes Square, SW1 to Hurlingham Club, SW6
    20 - Fulham High Street, SW6 to Powis Square, W11
    21 - Walmer Road, W11 to Wales Farm Road, W3
    22 - Old Oak Lane, NW10 to Charing Cross Hospital, W6
    23 - Ravenscourt Park, W6 to Gwendolen Avenue, SW15
    24 - Manor Fields, SW15 to Bedford Hill, SW12
    25 - Nightingale Lane, SW12 to Carlyle Square, SW3
    26 - The Boltons, SW10 to Campden Hill Square, W8
    27 - Woodsford Square, W14 to Chiswick Mall, W4
    28 - Turnham Green Station, W4 to Oxford Gardens, W10
    29 - Golborne Road, W10 to Pennine Drive, NW2
    30 - Marble Drive, NW2 to Chetwynd Road, NW5
    31 - Kentish Town Station, NW5 to West Smithfield, EC1
    32 - Armoury House, EC1 to Tower Bridge, SE1
    33 - Sumner Street, SE1 to Mostyn Road, SW9
    34 - Stockwell Park Road, SW9 to West Dulwich Station, SE21
    35 - Frank Dixon Way, SE21 to Cedars Road, SW4
    36 - Clapham North Station, SW4 to Mitcham Lane, SW16
    37 - Ambleside Avenue, SW16 to Sydenham Hill, SE26
    38 - Stanstead Road, SE23 to Milkwood Road, SE24
    39 - Brixton Water Lane, SW2 to Forest Hill Road, SE22
    40 - Barry Road, SE22 to Kennington Cross, SE11
    41 - Kennington Station, SE11 to Nunhead Station, SE15
    42 - Lyndhurst Way, SE15 to Royal Circus, SE27
    43 - St. Julian’s Farm Road, SE27 to Cranmer Terrace, SW17
    44 - Tooting Bec Station, SW17 to Dulwich Wood Park, SE19
    45 - Crown Dale, SE19 to Crofton Park Station, SE4
    46 - Ravensbourne Park, SE6 to Lewisham Station, SE13
    47 - Belmont Hill, SE13 to Pepys Road, SE14
    48 - Sanford Street, SE14 to Lime Street, EC3
    49 - Shadwell Station, E1 to The Oval, SE11
    50 - Lorrimore Square, SE17 to Central Criminal Court, EC4
    51 - Southwark Bridge, EC4 to Goldsmith’s Row, E2
    52 - Cambridge Heath Station, E2 to Mudchute Station, E14
    53 - Billingsgate Market, E14 to Lauriston Road, E9
    54 - Morning Lane, E9 to Silvertown Way, E16
    55 - Star Lane, E16 to Lammas Road E10
    56 - Spitalfields Market, E10 to Manse Road, N16
    57 - Albion Road, N16 to Hornsey Rise, N19
    58 - St. John’s Way, N19 to Woodstock Avenue, NW11
    59 - Wentworth Road, NW11 to Muswell Hill Road, N10
    60 - Fortis Green, N2 to West Green Road, N15
    61 - South Tottenham Station, N15 to Rushmore Road, E5
    62 - Lower Clapton Road, E5 to Market Road, N7
    63 - Holloway Road Station, N7 to Turnpike Lane, N8
    64 - Tottenham Lane, N8 to St. Edmunds Terrace, NW8
    65 - St. John’s Wood Station, NW8 to Brompton Oratory, SW7
    66 - Melton Court, SW7 to Southfields Station, SW18
    67 - Buckhold Road, SW18 to Arundel Terrace, SW13
    68 - Verdun Road, SW13 to Victoria Drive, SW19
    69 - Wimbledon Park Road, SW19 to Plough Road, SW11
    70 - Broomwood Road, SW11 to Philbeach Gardens, SW5
    71 - West Brompton Station, SW5 to East Acton Station, W12
    72 - Sawley Road, W12 to Warrington Crescent, W9
    73 - Maida Vale Station, W9 to Dollis Hill Station, NW10
    74 - Brent Magistrates’ Court, NW10 to Finchley Road Station, NW3
    75 - Fortune Green Road, NW6 to South Grove, N6
    76 - Bishopswood Road, N6 to Westbury Avenue, N22
    77 - Mayes Road, N22 to Highbury Grove, N5
    78 - Petherton Road, N5 to Town Hill Approach Road, N17
    79 - Downhills Park Road, N17 to East Finchley Station, N2
    80 - Lyttelton Road, N2 to Harringay Greens Lanes Station, N4
    81 - Aldwych, WC2 to Gloucester Road Station, SW7
    82 - Cornwall Gardens, SW7 to Norfolk Square, W2
    83 - Leinster Square, W2 to Royal Academy of Dramatic Art, WC1
    84 - British Museum, WC1 to Elspeth Road, SW11
    85 - Battersea Arts Centre, SW11 to Imperial War Museum, SE1
    86 - Jubilee Gardens, SE1 to Royal London Hospital, E1
    87 - Arbour Square, E1 to Sadler’s Wells Theatre. EC1
    88 - Myddleton Square, EC1 to Golden Square, W1
    89 - Palladium Theatre, W1 to Devonshire Square, EC2
    90 - Moorgate Station, EC2 to Canonbury Station, N1
    91 - Canonbury Square, N1 to Townshend Road, NW8
    92 - St. John’s Wood High Street, NW8 to Victoria Coach Station, SW1
    93 - Buckingham Palace, SW1 to Loughborough Junction Station, SW9
    94 - Brixton Market, SW9 to Portland Street, SE17
    95 - Penton Place, SE17 to Narrow Street, E14
    96 - West India Dock Road, E14 to Brookmill Road, SE8
    97 - Deptford Station, SE8 to Honour Oak Park, SE23
    98 - Perry Vale, SE23 to Champion Hill, SE5
    99 - Kings College Hospital, SE5 to Poplar High Street, E14
    100 - Glenworth Avenue, E14 to Burford Road, Stratford, E15
    101 - Stratford Station, E15 to London Chest Hospital, E2
    102 - Bethnal Green Overground Station, E1 to Jamaica Road, SE16
    103 - Salter Road, SE16 to Whitburn Road, SE13
    104 - Ladywell Station, SE13 to East Dulwich Station, SE22
    105 - Overhill Road, SE22 to Marylebone Station, NW1
    106 - Warwick Avenue Station, W9 to Haverstock Hill, NW3
    107 - Primrose Hill Road, NW3 to Donnington Road, NW10
    108 - Craven Park, NW10 to LInden Gardens, W4
    109 - Burlington Lane, W4 to West Hill, SW15
    110 - Lacy Road, SW15 to Olympia, W14
    111 - Oakwood Court, W14 to Carlton Vale, NW6
    112 - Chevening Road, NW6 to Queen’s Gate, SW7
    113 - Royal College of Music, SW7 to Crouch Hill Station, N4
    114 - Harringay Station, N4 to Whitestone Pond, NW3
    115 - New End Square, NW3 to Priory Road, N8
    116 - The Broadway, N8 to Spring Hill, E5
    117 - Warwick Grove, E5 to Angel Station, N1
    118 - York Way, N1 to North Hill, N6
    119 - Highgate Station, N6 to Seven Sisters Station, N15
    120 - Vartry Road, N15 to Oakley Square, NW1
    121 - Euston Station, NW1 to Brixton Prison, SW2
    122 - Streatham Hill Station, SW2 to East Putney Station, SW15
    123 - Dryburgh Road, SW15 to Vicarage Crescent, SW11
    124 - Albert Bridge, SW11 to Streatham Common, SW16
    125 - Leigham Avenue, SW16 to Half Moon Lane, SE24
    126 - Dulwich College, SE21 to Vauxhall Bridge, SW8
    127 - Fentiman Road, SW8 to Wandsworth Prison, SW18
    128 - Swandon Way, SW18 to Landor Road, SW9
    129 - Clapham Common Station, SW4 to Cleveland Square, W2
    130 - Royal Oak Station, W2 to Barons Court Station, W14
    131 - Shortlands, W6 to Edith Grove, SW10
    132 - Elm Park Gardens, SW10 to Exmoor Street, W10
    133 - Pangbourne Avenue, W10 to St. John’s Wood Park, NW8
    134 - Lord’s Cricket Ground, NW8 to Willesden Green Station, NW2
    135 - Dollis Hill Lane, NW2 to Sterne Street, W12
    136 - Lime Grove, W12 to Burton Court, SW3
    137 - Ormonde Gate, SW3 to Leman Street, E1
    138 - Wapping Lane, E1 to Canning Town Station, E16
    139 - East India Station, E14 to London Fields Station, E8
    140 - Homerton Station, E9 to Houndsditch, EC3
    141 - Tower Gateway Station, EC3 to Twelve Trees Crescent, E3
    142 - Parnell Road, E3 to North Greenwich Station, SE10
    143 - Blackwall Lane, SE10 to Southampton Way, SE5
    144 - Queens Road Peckham Station, SE15 to Raymouth Road, SE16
    145 - Redriff Road, SE16 to Bagley’s Lane, SW6
    146 - Seagrave Road, SW6 to Rectory Lane, SW17
    147 - Tooting Broadway Station, SW17 to Jeffreys Road, SW4
    148 - Wandsworth Road Station, SW8 to Ennismore Gardens, SW7
    149 - Montpelier Square, SW7 to Balham Hill, SW12
    150 - Wandsworth Common Station, SW12 to Norwood High Street, SE27
    151 - Sunnyhill Road, SW16 to Honor Oak Road, SE23
    152 - Townley Road, SE22 to Grange Road, SE1
    153 - Stamford Street, SE1 to Stamford Hill, N16
    154 - Cazenove Road, N16 to Malden Road, NW5
    155 - Torriano Avenue, NW5 to The Bishop’s Avenue, N2
    156 - Aylmer Road, N2 to Mackenzie Road, N7
    157 - Caledonian Road Station, N7 to Alexandra Palace, N22
    158 - Muswell Hill, N10 to Avenell Road, N5
    159 - Highbury Fields, N5 to Ruckholt Road, E10
    160 - Abbey Lane, E15 to Balls Pond Road, N1
    161 - Highbury Corner, N1 to Trinity Street, SE1
    162 - Lambeth High Street, SE1 to Hall Road, NW8
    163 - Boundary Road, NW8 to Northampton Square, EC1
    164 - St. John’s Square, EC1 to St. James’s Square. SW1
    165 - St. Stephen’s Club, SW1 to De Vere Gardens, W8
    166 - Vicarage Gate, W8 to Cadogan Gardens, SW3
    167 - Cheyne Walk, SW3 to Pembridge Square, W2
    168 - Bayswater Station, W2 to St. George’s Square, SW1
    169 - Victoria Station, SW1 to Liverpool Street Station, EC2
    170 - Leonard Street, EC2 to Thessaly Road, SW8
    171 - Union Road, SW8 to Red Lion Square, WC1
    172 - Mecklenburgh Square, WC1 to Eastcheap, EC3
    173 - Blackfriars Station, EC4 to Bryanston Street, W1
    174 - Grosvenor Square, W1 to Amelia Street, SE17
    175 - Black Prince Road, SE11 to Agar Grove, NW1
    176 - Hawley Road, NW1 to Bryanston Square, W1
    177 - Savile Row, W1 to Spa Road, SE16
    178 - Rotherhithe Station, SE16 to Bow Church Station, E3
    179 - Knapp Road, E3 to Burwell Road, E10
    180 - Gateway Road, E10 to Dunloe Street, E2
    181 - Arnold Circus, E2 to Salmon Lane, E14
    182 - Cabot Square, E14 to Vallance Road, E1
    183 - Cannon Street Road, E1 to Temple Mill Lane, E15
    184 - Carpenters Road, E15 to Clapton Station, E5
    185 - Downs Road, E5 to Princes Circus, WC2
    186 - St. Martin’s Lane, WC2 to Fulham Broadway Station, SW6
    187 - Eel Brook Common, SW6 to Phillimore Gardens, W8
    188 - Lexham Gardens, W8 to Church Road, SW13
    189 - Barnes Bridge Station, SW13 to Bromyard Avenue, W3
    190 - Acton Central Station, W3 to Kilburn Priory, NW6
    191 - Priory Road, NW6 to Chepstow Road, W2
    192 - Oxford Square, W2 to Latimer Road Station, W10
    193 - Kensal Road, W10 to Kings Cross Station, N1
    194 - Rodney Street, N1 to Hampstead Heath Station, NW3
    195 - Belsize Park Station, NW3 to Tollington Way, N7
    196 - Holloway Prison, N7 to Golders Green Station, NW11
    197 - Meadway Gate, NW11 to Park Road, N8
    198 - Hornsey Station, N8 to Stoke Newington Station, N16
    199 - Lordship Road, N16 to Farringdon Station, EC1
    200 - Lever Street, EC1 to Hackney Town Hall, E8
    201 - Broadway Market, E8 to Camberwell Church Street, SE5
    202 - Camberwell Road, SE5 to Lancaster Avenue, SE27
    203 - Gipsy Road, SE27 to Vassall Road, SW9
    204 - Wiltshire Road, SW9 to Clapham Junction Station, SW11
    205 - Latchmere Road, SW11 to Elmbourne Road, SW17
    206 - Franciscan Road, SW17 to Wimbledon Park Station, SW19
    207 - Earlsfield Station, SW18 to Dawes Road, SW6
    208 - Parsons Green Station, SW6 to South Lambeth Road, SW8
    209 - Silverthorne Road, SW8 to Belsize Square, NW3
    210 - Swiss Cottage Station, NW3 to Middleway, NW11
    211 - North End Road, NW11 to Christchurch Avenue, NW6
    212 - Queen’s Park Station, NW6 to Camden Street, NW1
    213 - York Gate, NW1 to Hyde Park Gardens, W2
    214 - Paddington Green, W2 to Askew Road, W12
    215 - Linford Christie Stadium, W12 to Cadogan Square, SW1
    216 - Ebury Bridge Road, SW1 to Elgar Street, SE16
    217 - The New Den, SE16 to Greenwich South Street, SE10
    218 - Greenwich Market, SE10 to Brockley View, SE6
    219 - Breakspears Road, SE4 to Limeharbour, E14
    220 - Abbott Road, E14 to Fenchurch Street Station, EC3
    221 - Brick Lane, E1 to Kinglake Street, SE17
    222 - Rodney Road, SE17 to Kender Street, SE14
    223 - Meeting House Lane, SE15 to Molesworth Street, SE13
    224 - Howson Road, SE4 to Evelyn Street, SE8
    225 - New Cross Gate Station, SE14 to West Side Clapham Common, SW4
    226 - King’s Avenue, SW4 to Lower Richmond Road, SW15
    227 - Dover House Road, SW15 to Brompton Square, SW3
    228 - Petyward, SW3 to Merton Road, SW18
    229 - Allfarthing Lane, SW18 to Drewstead Road, SW16
    230 - Streatham Place, SW2 to Waldram Park Road, SE23
    231 - London Road, SE23 to Peckham Rye Station, SE15
    232 - Peckham Park Road, SE15 to Tulse Hill, SW2
    233 - Lambeth Town Hall, SW2 to Lambeth Palace, SE1
    234 - Marshalsea Road, SE1 to Tollington Road, N7
    235 - Tufnell Park Road, N7 to St. Ann’s Road, N15
    236 - Turnpike Lane Station, N15 to Malvern Road, E8
    237 - Albion Square, E8 to Upper Holloway Station, N19
    238 - Archway Station, N19 to Gloucester Gate, NW1
    239 - Inner Circle, Regent’s Park, NW1 to Sheldon Avenue, N6
    240 - Highgate Cemetery, N6 to Stoke Newington Church Street, N16
    241 - Clissold Park, N16 to Wilmington Square, WC1
    242 - University College Hospital, WC1 to Carlton Hill, NW8
    243 - Delaware Road, W9 to Camden Square, NW1
    244 - Park Square East, NW1 to Weston Street, SE1
    245 - Tanner Street, SE1 to Artillery Row, SW1
    246 - Warwick Square, SW1 to York Road, SW11
    247 - Battersea Church Road, SW11 to Goodge Street Station, W1
    248 - Half Moon Street, W1 to Fairhazel Gardens, NW6
    249 - Victoria Road, NW6 to De Beauvoir Square, N1
    250 - Penn Street, N1 to Portland Place, W1
    251 - Cavendish Square, W1 to Metropolitan Tabernacle, SE1
    252 - London Bridge Station, SE1 to Squirries Street, E2
    253 - Sidney Square, E1 to Covent Garden Station, WC2
    254 - Surrey Street, WC2 to Peckham Rye, SE15
    255 - Consort Road, SE15 to Ministry of Defence, SW1
    256 - Parliament Square, SW1 to Golden Lane, EC14
    257 - Finsbury Circus, EC2 to Wick Road, E9
    258 - Well Street, E9 to Finsbury Park Station, N4
    259 - Tollington Park, N4 to Forest Road, E8
    260 - Hackney Central Station, E8 to Sidmouth Street, WC1
    261 - Cartwright Gardens, WC1 to Thomas Moore Street, E1
    262 - Glamis Road, E1 to Wordsworth Road, N16
    263 - Aberdeen Road, N5 to Old Street Station, EC1
    264 - Moorfields Eye Hospital, EC1 to Landsdowne Way, SW8
    265 - Caldwell Street, SW9 to Burntwood Lane, SW17
    266 - Streatham Cemetery, SW17 to Queen’s Ride, SW13
    267 - Stevenage Road, SW6 to B.B.C. Television Centre, W12
    268 - Glenthorne Road, W6 to Sutherland Grove, SW18
    269 - Huguenot Place, SW18 to Sloane Square Station, SW1
    270 - Lupus Street, SW1 to Thornton Road, SW12
    271 - Boundaries Road, SW12 to Peterborough Road, SW6
    272 - Townmead Road, SW6 to Old Compton Street, W1
    273 - Tottenham Court Road Station, W1 to Flood Street, SW3
    274 - Royal Hospital, SW3 to Ilderton Road, SE15
    275 - Sumner Road, SE15 to Central Hill, SE19
    276 - Salters Hill, SE19 to Christchurch Road, SW2
    277 - Herne Hill Station, SE24 to Waterloo Station, SE1
    278 - Webber Street, SE1 to Brockley Station, SE4
    279 - Adelaide Avenue, SE4 to Sydenham Hill Station, SE21
    280 - Kirkdale, SE26 to Southwark Crown Court, SE1
    281 - St. Paul’s Station, EC1 to Pancras Road, NW1
    282 - Cumberland Market, NW1 to High Street Kensington Station, W8
    283 - Kensington Mall, W8 to Iverson Road, NW6
    284 - Brondesbury Park Station, NW6 to Holland Park Station, W11
    285 - Arundel Gardens, W11 to Kensal Green Station, NW10
    286 - High Street, NW10 to Temple Fortune Hill, NW11
    287 - Brent Cross Station, NW11 to Gospel Oak Station, NW5
    288 - Highgate Road, NW5 to High Street, N8
    289 - Cholmeley Park, N6 to Cricklewood Station, NW2
    290 - Shoot Up Hill, NW2 to Gloucester Avenue, NW1
    291 - Holmes Road, NW5 to Shepherdess Walk, N1
    292 - Essex Road Station, N1 to Hackney Wick Station, E9
    293 - Old Ford Road, E3 to Tiller Road, E14
    294 - Chrisp Street, E14 to Museum of London, EC2
    295 - Great Eastern Street, EC2 to Shacklewell Lane, E8
    296 - Amhurst Road, E8 to Fortess Road, NW5
    297 - Kentish Town West Station, NW5 to Lisson Grove, NW8
    298 - Abercorn Place, NW8 to Three Kings Yard, W1
    299 - Paddington Street, W1 to Fernhead Road, W9
    300 - Chippenham Road, W9 to Queen’s Club Gardens, W14
    301 - West Kensington Station, W14 to Cambridge Road, SW11
    302 - Bolingbroke Grove, SW11 to Munster Road, SW6
    303 - Chelsea Harbour Drive, SW10 to Marsham Street, SW1
    304 - Belgrave Square, SW1 to Bouverie Street, EC4
    305 - Cannon Street Station, EC4 to Southgate Road, N1
    306 - Pitfield Street, N1 to Junction Road, N19
    307 - Brownswood Road, N4 to West Hampstead Station, NW6
    308 - Chichele Road, NW2 to Royal Crescent, W11
    309 - St. Mark’s Road, W11 to Fitzroy Square, W1
    310 - Mortimer Street, W1 to Blythe Road, W14
    311 - Warwick Gardens, W14 to Harlesden Station, NW10
    312 - Chamberlayne Road, NW10 to Conningham Road, W12
    313 - South Africa Road, W12 to Brondesbury Station, NW6
    314 - Kilburn Lane, W10 to Bolton Gardens, SW5
    315 - Earl’s Court Station, SW5 to Regency Street, SW1
    316 - Lambeth North Station, SE1 to Finborough Road, SW10
    317 - Chelsea & Westminster Hospital, SW10 to Lincoln’s Inn Fields, WC2
    318 - Leicester Square, WC2 to The Guildhall, EC2
    319 - Bancroft Road, E1 to St. Peters Street, N1
    320 - Copenhagen Street, N1 to Charing Cross Station, WC2

    #Taxi #London #Ortskundeprüfung

  • Learn the Knowledge of London - Transport for London
    https://www.tfl.gov.uk/info-for/taxis-and-private-hire/licensing/learn-the-knowledge-of-london

    As taxis can be hailed in the street and asked to go anywhere, taxi drivers must have a thorough knowledge of London. This is why taxi drivers have to learn and pass the world-famous Knowledge.
    London’s taxi service is the best in the world, in part because our cab drivers know the quickest routes through London’s complicated road network. There are thousands of streets and landmarks within a six mile radius of Charing Cross. Anyone who wants to drive an iconic London cab must memorize them all: the Knowledge of London.

    The Knowledge was introduced as a requirement for taxi drivers in 1865.

    Mastering the Knowledge typically takes students three to four years; it’s a challenge, but plenty of help and support is available if you are determined.

    As a taxi driver, you can choose when and where you work and how much you earn. Do you have the pride and passion it takes to become a London cabbie?

    Our Knowledge of London prospectus tells you how you can become a London taxi driver.

    How to become a London taxi driver - Knowledge of London prospectus

    https://tfl.gov.uk/cdn/static/cms/documents/knowledgeoflondonprospectus.pdf PDF 3.98MB

    The World’s Toughest Taxi Test

    Learning the Knowledge
    There are two different types of London taxi drivers:

    All London (green badge) - Drivers can ply for hire anywhere in the Greater London Authority area
    Suburban (yellow badge) - Drivers can ply for hire in one of the nine sectors in the suburbs of the Greater London Authority area
    Whichever licence you choose to apply for, you will have to accumulate an encyclopedic knowledge of the streets and places of interest in that area. This will prove you can navigate your way around the Capital.

    To become a London taxi driver you need to send us an application. Find out about applying for a taxi driver licence.

    Following satisfactory character and medical checks, you will be sent a Knowledge of London introductory pack.

    In this pack you will be given:

    A copy of the guide to learning the Knowledge of London (the Blue Book)
    A booklet of advice on how to learn the Knowledge and how you will be assessed
    The Blue Book lists 320 routes (known as “runs”) within the six mile radius of Charing Cross. You will need to learn these routes, plus all the roads and landmarks within a quarter mile radius of the start and end points of each route.

    Knowledge of London Initial talk
    You will be invited to attend an initial talk with other successful candidates. Here you will receive advice from a Knowledge of London examiner about the different stages of the Knowledge and the best way to approach your studies.

    The Knowledge is done in seven stages, which are outlined here.

    Stage 1: Self assessment
    To check you’re on the right track, within six months of starting you can take the self-assessment, which is based on the first 80 runs in the Blue Book. Taking the self-assessment is optional and no record of the result is made.

    Stage 2: Written examination
    When you are ready, you will sit the written examination. You will be tested on your knowledge of the Blue Book runs (five questions) and the major landmarks ("points") along the way (25 questions). This is a multiple choice test and the pass mark is 60%. This test must be undertaken within two years of being sent your introductory pack.

    Stages 3-5: Appearances
    You will then attend a series of one-to-one oral “appearances” with an examiner. Each appearance usually consists of four questions about the shortest route between any two points in London. An appearance takes about 20 minutes, and you’ll get a score from A-D.

    Depending on your score you will accumulate points; when you have enough you will progress to the next stage, when appearances will become more frequent. However, if you get too many Ds, you may be put back to a previous stage.

    At Stage 3, appearances are about 56 days apart, at Stage 4 they are about 28 days apart, and at Stage 5 they are about 21 days apart. On average you will have to score on four appearances to accumulate enough points to progress to the next stage.

    Stage 6: Suburban examination
    You will need to demonstrate a good working knowledge of London’s suburbs by learning an additional 25 routes.

    Stage 7: Licence application and pre-licensing talk
    Well done! You can make the final application for the issue of your licence. You will then join a group of other successful candidates to receive advice about your responsibilities as a taxi driver from a Knowledge of London examiner. You will also be given your badge and licence at the talk.

    Download a detailed description of the Knowledge test.

    Knowledge of London learning and examination process

    PDF 814KB

    Using a scooter
    Most people who apply to become a licensed taxi driver and take the Knowledge of London exam use a scooter to help learn the runs.

    For information about riding a scooter or bike safely visit ScooterSafe-London or BikeSafe-London.

    Knowledge schools
    You may want to attend one of several Knowledge schools to help you study for appearances. These are independent schools that are not controlled or regulated by Transport for London.

    E4 Knowledge School
    Open: Fridays 14.00 - 17.00 Contact: Tom Quigley
    Email: e4kol@aol.co.uk
    Address: Nuffield Gym Chingford New Road Chingford E4 9EY

    Knowledge Companion
    About: Run by green badge drivers, Knowledge Companion aims to improve your visual Knowledge of London - critical to getting you to the level where you can “see” your way around London at the speed and quality the examiners need to recognise. We do this by providing a library of on-line videos, a library of 17,000 photographed and analysed points, and a systematic appearance question sheet that helps you start covering the detail of London from your first day starting out on the Knowledge. We use a system of simple low-cost weekly and monthly subscriptions with no hidden charges.
    Email: admin@knowledgecompanion.co.uk
    Website:www.knowledgecompanion.co.uk 
    Phone: 07915 231 669

    Knowledge Point School
    Open: Monday to Friday 10:00-17.00
    About: Established in 1985, Knowledge Point is London’s most central and well established Knowledge school. We are placed between Kings Cross and Caledonian Road Station. We have online classes and facilities to accommodate all levels of Knowledge students and our teachers are not only qualified taxi drivers but qualified teachers also.
    Email: admin@taxitradepromotions.co.uk
    Website: www.taxitradepromotions.co.uk
    Twitter: @taxitradepro / Facebook: Knowledge Point School Limited
    Phone: 020 7700 3999,
    Address: Knowledge Point Central, 39-41 Brewery Road (1st Floor London Taxi Company headquarters), Islington, London N7 9QH
    Online Classes: https://www.taxitradepromotions.co.uk/kplive

    The London Knowledge School
    Open: Monday to Friday 08:00 to 20:00 with extended hours Tuesday to Thursday until 22:00.
    About: The London Knowledge School is an extremely encouraging, friendly, welcoming, inclusive school to learn the Knowledge of London. We are based in Grays, Essex near the A13 and M25.
    Email: info@thelondonknowledgeschool.co.uk
    Website: www.thelondonknowledgeschool.co.uk
    Phone: 01375 371 247
    Address: Lawrence Trading Estate, Askew Farm Road, Grays, Essex RM17 5XE

    WizAnn
    Open: For study 24 hours a day, 7 days a week. Reception is open Monday to Thursday 10:30 -14.00.
    About: WizAnn Knowledge school offers classes, apps and study materials at all levels. We provide quiet study facilities for all levels in a modern, clean environment. Our introductory seminar for beginners is available on YouTube. 
    Email: wizann@wizann.co.uk
    Website: www.wizann.co.uk
    Twitter: https://twitter.com/WizAnn
    Phone: 07740 753488 /020 3289 9114
    Address: unit 2a, 16 Blount Street, London E14 7BZ

    Contact the Knowledge department
    If you have any special needs or learning difficulties such as dyslexia please contact the Knowledge department to ensure that you receive reasonable adjustments at your appearances. You will be required to send proof to ensure appropriate adjustments are made.

    If at any time during the examination process you have a complaint or a query you should contact us. All complaints and appeals are treated in confidence and will not have any adverse effect on your progress through the examination system.

    While studying the Knowledge you are obliged to notify us of any changes in your status, such as the following:

    Change of name and address
    Any cautions, convictions or charges
    Further information such as Driving Standards Agency Certificate
    How to contact us:

    Telephone: 0343 222 4444 (TfL call charges)
    Email: TPHKnowledge@tfl.gov.uk

    #Taxi #London #Ortskundeprüfung

  • Satellitennavigation: Große Störungen von GPS im Ostseeraum
    https://www.golem.de/news/satellitennavigation-grosse-stoerungen-von-gps-im-ostseeraum-2203-163765.html

    Was tut ein #Taxifahrer ohne solide #Ortskenntnisse bei Ausfall des #GPS ? Zunächst erhält er keine Aufträge über das GPS- und Internet-basierte Vermittlungssystem. Sodann wird er seine Kunden nicht zu ihrem Fahrtziel befördern können, zumindest nicht auf dem vorgeschriebenen kürzesten Weg. Dieser Artikel beschreibt, dass das US-Navigationssystem sehr andällig gen Funkstörungen ist.

    10.3.2022 von Werner Pluta - Wer stört die Satellitennavigation? Die finnische Behörde für Verkehr und Kommunikation Traficom hat mitgeteilt, dass das Signal des US-Satellitennavigationssystems Global Positioning System (GPS) in Teilen Finnlands gestört sei. Auch andere Teile des Ostseeraums seien betroffen. Flüge hätten deshalb gestrichen werden müssen.

    Piloten mehrerer Fluggesellschaften hätten Störungen im Osten des Landes bis nach Jyväskylä im Landesinnern gemeldet, berichtet Traficom. Es sei daraufhin eine Notice to Airmen veröffentlicht worden, die darauf aufmerksam mache.

    Das Phänomen trat aber nicht nur in Ostfinnland auf. „Unsere Piloten haben in den letzten Tagen GPS-Störungen in der Nähe des Kaliningrader Gebiets festgestellt“, sagte ein Sprecher der Fluggesellschaft Finnair der britischen Nachrichtenagentur Reuters.
    Das GPS-Signal war bis Polen gestört

    Der Twitter-Nutzer John Wiseman hat eine Animation gepostet, die zeigt, dass das Satellitennavigationssystem von Lettland über Litauen bis nach Polen gestört war. Die GPS-Störungen im Ostseeraum seien die stärksten auf dem Planeten gewesen, schrieb Wiseman.

    „Das Fliegen ist nach wie vor sicher. Die Fluggesellschaften haben Verfahren, die sie anwenden, wenn das GPS-Signal ausfällt“, sagte Traficom-Chef ari Pontinen. „Die Flugzeuge können andere Systeme nutzen, um sicher zu navigieren und zu landen. Die Flugsicherung unterstützt die Piloten mit Hilfe anderer Landesysteme.“

    Die litauische Fluggesellschaft Transaviabaltika hat jedoch mehrere Flüge nach Savonlinna gestrichen, weil eine Landung ohne GPS-Signal ihrer Ansicht nach nicht möglich war. Eine Fluggesellschaft müsse selbst entscheiden, ob sie in einem Gebiet operiere, in dem das GPS-Signal gestört sei, teilte Traficom mit.
    Niinisto traf sich mit Biden

    Die GPS-Störungen begannen laut Traficom am vergangenen Wochenende. Zu dem Zeitpunkt war der finnische Präsident Sauli Niinisto zum Staatsbesuch in den USA. Er sprach mit US-Präsident Joe Biden über die Beziehungen Finnlands zum westlichen Verteidigungsbündnis Nato.

    Es ist unklar, ob die Ausfälle, die laut Traficom andauern, durch einen Sonnensturm ausgelöst oder absichtlich herbeigeführt werden und mit dem Krieg zusammenhängen, den Russland gegen die Ukraine führt. Eine Anfrage von Reuters dazu ließ die russische Regierung unbeantwortet. Das finnische Außenministerium untersucht laut der Nachrichtenagentur die Angelegenheit.

    Ein Schwachstelle von GPS ist die geringe Signalstärke. Experten warnen seit Jahren, dass das Satellitennavigationssystemen auch mit günstigen Störsendern leicht getäuscht werden könne.

    #Technik #Ortskunde #Auftragsvermittlung

  • Ortskundekatalog Berlin 2013 kostenlos online lernen
    https://www.karteikarte.com/subject/5049/ortskundekatalog-berlin-2013

    In diesem Fach befinden sich 5 Lektionen

    Strassen 475 Strassen und ihre Begrenzungen (Beispiele), Ortskundekatalog Berlin 2012
    Objekte 426 Objekte, mit Strasse bzw. Platz und Lage
    Ortsteile und Siedlungen 106 Ortsteile, Siedlungen, und ihre Bezirke
    Plätze 73 Prüfungsplätze mit abgehenden Strassen (Beispiele)
    Bezirke und Nachbarbezirke 12 Bezirke und Nachbarbezirke

    #Taxi #Ortskunde #Berlin

  • BMAS - Erleichtertes Kurzarbeitergeld
    https://www.bmas.de/DE/Corona/erleichtertes-kurzarbeitergeld.html

    Von wegen erleichtert - in den seit über einem Jahr durch Lockdowns und Hygienemaßnahmen gebeutelten Branchen kommt die Entlassungswelle zu Ende August, wenn erneut Sozialbeiträge bei Kurzarbeit zu zahlen sein werden. Bei vielen Taxibetrieben ist die Liquidität bereits jetzt mehr als eng, so dass zusätzliche monatliche Zahlungen, denen keine Einnahmen gegenüberstehen, mehr als ungern geleistet werden.

    Was hingegen systematisch geht ist das Drehen an der Lohnschraube - immer schön abwärts, gezahlt wird dann kein KUG sondern nur noch eine magere Umsatzprovision von 40 bis 45 Prozent brutto. Verbleibender Nettolohn: Vier bis 8 Euro für die meisten, einigen erfolgreichen Nachtfahrer erlaubt man Einkünfte auf Mindestlohnniveau, so der Betrieb überlebt.

    Wenn ab dem 1. August zahlreiche neue Kolleginnen und Kollegen dank Wegfall der Hürde #Ortskundeprüfung ihren Dienst antreten, werden sich auch die paar Erfolgreichen wieder mit Hungerlöhnen zufrieden geben müssen.

    Mit dem Beschäftigungssicherungsgesetz, der Zweiten Verordnung über die Bezugsdauer für das Kurzarbeitergeld sowie der Kurzarbeitergeldverordnung wurden die Sonderregelungen zum Kurzarbeitergeld im Wesentlichen bis Ende des Jahres 2021 verlängert.

    Erleichterungen beim Kurzarbeitergeld

    Erweiterung der Hinzuverdienstmöglichkeiten während der Kurzarbeit
    Förderung der beruflichen Weiterbildung während der Kurzarbeit
    So beantragen Sie Kurzarbeitergeld bei der Agentur für Arbeit

    Mit der 3. Änderungsverordnung zur Kurzarbeitergeldverordnung sind der Zugang zu den bis Ende 2021 geltenden Zugangserleichterungen zum Kurzarbeitergeld und die vollständige Erstattung der Sozialversicherungsbeiträge um drei Monate vom 30. Juni 2021 bis zum 30. September 2021 erweitert worden.

    https://www.bmas.de/DE/Service/Gesetze-und-Gesetzesvorhaben/kurzarbeitergeldverordnung.html;jsessionid=D1B1841A2BCAEC76F89B985E789F6746.del

    Grundlage für die Sonderregelungen ist das Gesetz zu Erleichterungen der Kurzarbeit [PDF, 55KB] . Kurzarbeitergeld soll schnell und gezielt helfen, wenn Unternehmen mit ihren Beschäftigten durch die Auswirkungen der COVID-19-Pandemie Arbeitsausfälle haben.

    https://www.bmas.de/SharedDocs/Downloads/DE/Gesetze/kurzarbeit-wird-erleichtert-gesetzentwurf-de-bundestags.pdf

    Diese Unternehmen und ihre Beschäftigten bekommen in dieser besonderen Situation Unterstützung, damit Entlassungen möglichst vermieden werden. Mit der grundsätzlichen Geltung der pandemiebedingten Sonderregelungen bis Ende des Jahres 2021 geben wir den von Arbeitsausfällen betroffenen Unternehmen und Beschäftigten Zuversicht und Planungssicherheit. So sichern wir gemeinsam Arbeitsplätze, sodass Betriebe zusammen mit ihren Beschäftigten nach der Krise unmittelbar wieder durchstarten können.

    Die folgenden erleichterten Voraussetzungen für Kurzarbeitergeld gelten bis zum 31. Dezember 2021:

    https://www.bmas.de/DE/Arbeit/Arbeitsfoerderung/Beschaeftigungssicherung/kug.html

    Für Betriebe, die bis 30. September 2021 mit Kurzarbeit begonnen haben, reicht es weiterhin aus, wenn mindestens 10 Prozent der Beschäftigten von Arbeitsausfall betroffen sind. Sonst muss mindestens ein Drittel der Beschäftigten betroffen sein.

    Beschäftigte müssen auch weiterhin keine Minusstunden aufbauen, bevor Kurzarbeitergeld gezahlt werden kann, wenn mit der Kurzarbeit bis zum 30. September 2021 begonnen wurde.
    Auch Leiharbeitnehmerinnen und Leiharbeitnehmer können weiterhin Kurzarbeitergeld erhalten, wenn der Verleihbetrieb bis zum 30. September 2021 Kurzarbeit einführt.
    Die Bezugsdauer des Kurzarbeitergeldes ist für Betriebe, die bis zum 31. Dezember 2020 Kurzarbeit eingeführt haben, auf bis zu 24 Monate, längstens bis zum 31. Dezember 2021, verlängert.

    Bis zum 30. September 2021 werden die Beiträge zur Sozialversicherung während der Kurzarbeit an die Arbeitgeber in voller Höhe erstattet. Für Betriebe, die bis dahin Kurzarbeit eingeführt haben, werden die Sozialversicherungsbeiträge anschließend bis Dezember 2021 hälftig von der Bundesagentur für Arbeit erstatte t.

    Die Erstattung der Sozialversicherungsbeiträge ist nach Stellung eines Insolvenzantrags bis zur Entscheidung des Gerichts über diesen Antrag oder bis zur Rücknahme des Insolvenzantrages grundsätzlich ausgeschlossen, um mögliche Doppelzahlungen der Bundesagentur für Arbeit zu vermeiden.
    Wenn Arbeitnehmerinnen oder Arbeitnehmer in Kurzarbeit einen Entgeltausfall von mindestens 50 Prozent haben, wird das Kurzarbeitergeld ab dem vierten Bezugsmonat - gerechnet ab März 2020 - auf 70 Prozent (77 Prozent für Haushalte mit Kindern) angehoben.
    Ab dem siebten Monat Kurzarbeit steigt das Kurzarbeitergeld auf 80 Prozent (87 Prozent für Haushalte mit Kindern) des entfallenen Nettoentgelts. Diese Regelungen gelten ebenfalls bis zum 31. Dezember 2021 für alle Beschäftigten, deren Anspruch auf Kurzarbeitergeld bis zum 31. März 2021 entstanden ist.

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    Eine ausführliche und vollständige Beschreibung der Grafik finden Sie unter diesem Link
    Infografik „Stufenweise Erhöhung des Kurzarbeitergeldes“

    Erweiterung der Hinzuverdienstmöglichkeiten während der Kurzarbeit
    Ohne die Sonderregelungen galt: Wenn Sie nach Eintritt von Kurzarbeit eine Nebentätigkeit neu aufnehmen, wird das daraus erzielte Entgelt auf das Kurzarbeitergeld angerechnet. Bis zum 31. Dezember 2021 bleibt es weiter möglich, während der Kurzarbeit in einem während der Kurzarbeit neu aufgenommen Minijob nach § 8 Abs. 1 Nummer 1 SGB IV anrechnungsfrei hinzuzuverdienen. Besteht die Nebentätigkeit schon vor der Kurzarbeit im Hauptberuf bleibt das Entgelt aus der Nebentätigkeit generell anrechnungsfrei.

    Förderung der beruflichen Weiterbildung während der Kurzarbeit
    Mit dem Beschäftigungssicherungsgesetz soll nicht nur Beschäftigung gesichert werden, sondern es sollen auch Perspektiven für die Zeit nach der Kurzarbeit eröffnet werden. Wer seinen Beschäftigten in der Phase der Kurzarbeit berufliche Weiterbildung ermöglicht, bekommt als Arbeitgeber deshalb die Sozialversicherungsbeiträge bis zum 31. Juli 2023 zur Hälfte erstattet. Voraussetzung ist, dass die Weiterbildung während der Kurzarbeit begonnen wird, Träger und Maßnahme nach dem SGB III zugelassen sind und die Maßnahme mehr als 120 Stunden dauert oder nach dem Aufstiegsfortbildungsförderungsgesetz durchgeführt wird. Zusammen mit der bis Ende 2021 befristeten, pandemiebedingten Erstattung der Sozialversicherungsbeiträge bei Kurzarbeit können Arbeitgeber bis zum 31. Dezember 2021 somit weiterhin eine vollständige Erstattung der Sozialversicherungsbeiträge erhalten, auch wenn die pandemiebedingte Erstattung ab 1. Oktober 2021 auf 50 Prozent sinkt (siehe oben).

    Zudem werden dem Arbeitgeber für Weiterbildungsmaßnahmen nach dem SGB III bis zum 31. Juli 2023 auch die Lehrgangskosten in Abhängigkeit der Betriebsgröße pauschal zwischen 15 Prozent und 100 Prozent erstattet. Damit werden starke Anreize gesetzt, die Kurzarbeit für die Weiterbildung der kurzarbeitenden Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter zu nutzen.

    Antworten zu Kurzarbeit und Qualifizierung
    Hier finden Sie Informationen und Antworten auf die häufigsten Fragen zum Thema Kurzarbeit und Qualifizierung.

    So beantragen Sie Kurzarbeitergeld bei der Agentur für Arbeit
    Arbeitgeber sollten in einem ersten Schritt Arbeitsausfälle schnellstmöglich bei der Agentur für Arbeit anzeigen.
    Auch Zeitarbeitsunternehmen können einen Arbeitsausfall bei der Agentur für Arbeit anzeigen, wenn mit der Kurzarbeit bis zum 30. September 2021 begonnen wird.
    Arbeitgeber berechnen dann das Kurzarbeitergeld und zahlen es an die Beschäftigten aus und stellen im Anschluss einen Erstattungsantrag bei der Agentur für Arbeit.

    https://www.arbeitsagentur.de/unternehmen/finanziell/kurzarbeitergeld-bei-entgeltausfall

    #KUG #Arbeit #Taxi #Lohn