Anouar Brahem « The Astounding Eyes Of Rita » Live at Acropolis, Athens - 2021
▻https://www.youtube.com/watch?v=E3KBT8hBSVM
#musique #oud #Anouar_Brahem #live
Anouar Brahem « The Astounding Eyes Of Rita » Live at Acropolis, Athens - 2021
▻https://www.youtube.com/watch?v=E3KBT8hBSVM
#musique #oud #Anouar_Brahem #live
Merci, c’est absolument magique.
J’ai eu le plaisir de le voir sur scène à Paris. La claque.
J’ai pu le voir sur scène aussi il y a quelques années dans le tout bel auditorium de Bordeaux, avec un son incroyable, magique aussi :)
Je l’ai vu en concert a l’époque de cet album (et d’autres fois). Un de ses meilleurs albums a mon avis. Et Puis Klaus gesing a la clarinette basse ... Rahhh...
Titi Robin • La culture contre la barbarie
▻https://www.kedistan.net/2023/01/02/titi-robin-culture-contre-barbarie
Hommage aux victimes de l’attentat du 23 décembre 2022 à Paris, tout en musique et en images... (Video) Cet article Titi Robin • La culture contre la barbarie a été publié par KEDISTAN.
Super musicien, Titi Robin
▻https://www.youtube.com/watch?v=X30Wb-5v-9A
Éthiopie : mort de Ali Birra, icône de la musique oromo
C’est une grande figure de la chanson éthiopienne qui a disparu dimanche 6 novembre, à l’hôpital d’Adama, au sud-ouest d’Addis-Abeba. Ali Birra, le chanteur le plus célèbre de la nation oromo, le premier dans l’Histoire à avoir enregistré un disque dans sa langue natale, l’afaan oromo, est mort d’un cancer à l’âge de 72 ans, après plus de soixante ans de carrière.
▻https://www.youtube.com/watch?v=5r0JjR2C5v4&t=246s
L’Éthiopie fait naître et mourir des légendes de la chanson. Et Ali Birra était une légende de l’Oromiya, la nation la plus peuplée d’Éthiopie. Après l’assassinat du jeune Hachalu Hundessa en 2021, la disparition de ce vieux sage est donc un nouveau deuil pour les Oromos, qui pendant 60 ans ont chanté ses chansons malgré tous les périls.
Né Ali Momahed Musa dans un petit village près de Dire Dawa, il avait commencé à chanter dans la rue. Il devait son nom de scène, « Birra » – ce qui signifie l’aube ou le printemps – à son premier succès.
Jouant sur une guitare accordée comme un oud, Ali Birra avait été recruté tout jeune dans l’orchestre de l’Empereur, qu’il avait quitté, trop indocile, après trois ans de service. Après quoi son succès, malgré les dictatures et l’oppression, avait été grandissant.
#Habibi_Funk réédite #Sharhabil_Ahmed, héros du swinging #Khartoum
Le label allemand sort de l’oubli sept titres d’une figure cardinale de la scène soudanaise, à l’époque où Khartoum swinguait comme jamais. Sharhabil Ahmed, 85 ans aujourd’hui, en fut un des soleils.
▻https://pan-african-music.com/habibi-funk-sharhabil-ahmed
▻https://habibifunkrecords.bandcamp.com/album/habibi-funk-013-the-king-of-sudanese-jazz
Moi devant mon ordinateur à l’instant :
@sinehebdo Plutôt 60’ semble-t’il :
Au tournant des années 60, la révolution musicale qui accompagne les soubresauts de la jeunesse en pleine rébellion ne touche pas que les sociétés européennes et américaines. Dans plusieurs régions du monde, l’aspiration à une liberté universelle s’exprime de mille manières. Au Soudan, l’indépendance des esprits passe par une relecture audacieuse de l’#Haqiba, un art vocal populaire qui connaîtra une seconde jeunesse grâce au chanteur Sharhabil Ahmed dont les enregistrements d’hier sont aujourd’hui ressuscités dans une anthologie intitulée The King of Sudanese Jazz dont la valeur patrimoniale mérite une attention toute particulière.
▻https://musique.rfi.fr/jazz/20200715-le-jazz-joe-sharhabil-ahmed
“I started out by learning to play the #oud and traditional Sudanese music, and got a diploma from the music institute of Khartoum University. But my ambition was to develop something new. For this, the guitar seemed like the best instrument. Western instruments can approximate the scales of Sudanese music very well. After all, a lot of Western music is originally from Africa. I have absorbed different influences, from traditional Sudanese rhythms to #calypso and #jazz, and I hold them together in my music with no difficulty.”
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Sharhabil_Ahmed
Il me plait de plus en plus cet album !
Du Maroc au Liban, Habibi Funk dévoile une nouvelle compilation de trésors oubliés
▻https://www.fip.fr/musiques-du-monde/habibi-funk-devoile-sa-deuxieme-compilation-de-tresors-19182
des videos sur le site de #Fip.fr (va s’y voir) moi j’affectionne Bandcamp.
Amine & Hamza 7tet feat. Vincent Peirani - Live at Cully Jazz Festival 2017 - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=ruqaBiiMDTs
Amine Mraihi - Oud
Hamza Mraihi - Kanun
Baiju Bhatt - Violin
Valentin Conus - Saxophone
Prabhu Edouard - Tablas/Percussions
Vincent Peirani - Accordion
Maxence Sibille - Drums
Jean-Pierre Schaller - Bass
# 140
▻http://www.radiopanik.org/emissions/drache-musicale/-140
« Tu me dis si tu veux que je la sorte »
#gnawa #maloya #zouk #gwo_ka #mais_c'est_bien_sur #oud #visao #gnawa,maloya,zouk,gwo_ka,mais_c’est_bien_sur,oud,visao
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/drache-musicale/-140_06353__1.mp3
Madjid Fahem, Joan Garriga., Amel Zen, Fermin Muguruza . BLACK IS BELZA : Conexión Algeriana
▻https://www.youtube.com/watch?v=Va_S5S2XyPE
جريدة الأخبار
▻http://dev-srv2:8050/Last_Page/71543
Al-Akhbar consacre un article au décès d’Elias Jubran, l’extraordinaire luthier père des membres du trio Jubran.
►http://www.desordre.net/musique/habka.mp3
Conte oriental (non, pas si loin)
Il était une fois. Il était une fois un instrument ventru joué par une toute petite fée, très mignonne la toute petite fée. Il était une fois une mandoline qui venait de loin, de très loin, de l’Orient, non peut-être pas de si loin. Et la joueuse de mandoline était une autre fée, très mignonne aussi et pas très grande non plus ? et d’ailleurs sa mandoline n’était pas une mandoline mais un oud, une mandoline orientale, non, pas si loin, et pas vraiment une mandoline. Ces deux fées ne parlaient pas la même langue mais avaient inventé une manière bien à elles de se raconter des histoires, des charades et se réciter des poèmes. En fait elles n’étaient pas vraiment des fées ? mais elles étaient vraiment mignonnes et vraiment pas très grandes ? non pas des fées. Ça va bien comme ça, les contes, tout le monde sait que rien n’est vraiment vrai dans un conte. C’est juste que j’avais envie, une fois, une toute petite fois, de commencer une histoire par Il était une fois , comme si je la racontais à une petite fille, parce que cette histoire est une histoire de filles (très mignonnes) et une affaire de femmes (pas très grandes). Non, l’histoire que je voudrais raconter est une histoire vraie, mais parfois les histoires vraies ressemblent à des contes, elles se déguisent, sans compter que parfois aussi les contes aimeraient bien qu’on croit en eux et se déguisent, eux aussi, en histoires vraies. Donc je reprends, deux fées pas très grandes : les deux musiciennes qui n’étaient pas des fées, étaient, en revanche des femmes puissantes, deux femmes puissantes, qui avaient de sacrés-satanés pouvoirs aux bouts des doigts ? c’est pour cela que j’ai pu les confondre, un moment, avec des fées. Avaient-elles des armes ? Oui. Des arcs. Des arcs sans flèches. Elles ouvraient ces arcs qui n’envoyaient pas de flèches, non, de vrais arcs, des arcs qui maintiennent les assaillants à bonne distance. L’archère orientale, non pas de si loin, un peu avant, et son oud tout doux se servait, en plus, de cordes secrètes, des cordes invisibles et en jouait redoutablement. Avec ses cordes, invisibles-vocales, elle électrisait, immobilisait ou, plus exactement, elle enveloppait les assaillants et ces derniers devenaient doux, tout doux dis donc, on a même vu, un soir, une armoire à glace fondre, bouleversée ? ça fait toujours un drôle d’effet une armoire à glace qui pleure, mais parfois les armoires à glace sont sensibles, faut pas croire ?, au premier rang. Parce que les foules qui voulaient s’approcher des deux petites (et mignonnes) archères devenaient plus nombreuses et plus touffues, les deux musiciennes ont levé une armée, une petite armée, un trio, d’archers, mais des archers très forts, très puissants, notamment le plus petit des trois archers qui, lui, venait de loin, de vraiment très loin, de plus loin encore. Ces puissants archers se sont assis avec leurs arbalètes à la droite ? à jardin ? des deux musiciennes et le pouvoir de ces deux dernières a été décuplé, mais elles n’en abusaient pas, il est même possible, c’est même sûr, que tel le grand magicien, le plus grand magicien de tous les temps, elle aient tout ignoré de leurs immenses pouvoirs, parce qu’ils sont vraiment immenses ? Les Pouvoirs de la parole tels que René Daumal a tenté de les décrire, tout en sachant qu’il échouerait, parce que René Daumal ( ▻http://desordre.net/textes/bibliotheque/daumal.html ) était, lui-même, sans le savoir, un puissant magicien, ignorant de ses pouvoirs, comme les grands magiciens, astuce suprême des pouvoirs magiques que de se cacher chez des hôtes qui ignorent tout de la magie, mon comptable est un magicien, il l’ignore, mais je dévie, c’est souvent que je dévie. La magicienne à cour a même ouvert la mer en deux, sur ses partitions la musique courait de gauche à droite, mais la poésie de ses paroles, en arabe, elles, les paroles, courait, elle, la poésie, de droite à gauche et c’est sans doute dans cette gouttière, là où les notes ne sont plus accrochées à leur portée, que coule cette magie de pouvoirs qui s’ignorent. Tel le capitaine Haddock, pas plus malin, dans Les Sept boules de cristal , je suis allé plusieurs fois au music-hall pour tenter de percer à jour tant de magie. Hier soir la lame est passée à ça... Mais que croyez-vous ? que l’on puisse percer à jour les plus grandes magiciennes qui soient ? Caramba ! encore raté !
La musique de Kamilya Jubran et Sarah Murcia échappe, élude, et résiste à la description, elle se dérobe à l’étreinte, on voudrait la capturer, notre main se refermerait sur du vent, le vent d’un air marin, d’un air poisseux et méditerranéen, et dans votre paume, le souvenir du sel, pas n’importe quel sel d’ailleurs. La musique de Kamilya Jubran et Sarah Murcia est comme le silence, elle disparait dès que l’on murmure son nom.
Comme le capitaine Haddock, pas plus malin, chaque fois que j’ai tenté de comprendre le mystère de tout ceci, j’ai reçu des décharges qui me maintenaient loin, non pas si loin, et qui me disaient : « mais enfin, écoute, écoute avec ton cœur, pas avec ta tête, et peut-être, enfin, tu auras l’intuition, tu ne résisteras pas, plus, tu laisseras les poils sur tes avant-bras se dresser, tu te laisseras envelopper sans étreindre toi-même, tu te laisseras toucher, là même où peu de mains finalement se sont aventurées, du côté de toi qui n’existe que par intermittence et enfin, tel Saint Thomas, tu verras (entendras), toucheras (te laisseras toucher) et tu pourras croire et cesser au contraire de croire que tu peux tout décrire, et in fine tout décortiquer-expliquer. Au risque de tout casser et de tout détruire dans des tentatives dégoûtantes de vivisection. »
J’étais guéri. Enfin. Comme par magie. Il était temps. Merci.
Ce soir Kamilya Jubran et Sarah Murcia jouent à la Dynamo de Pantin : le concert de l’année.
Je me suis trompé du tout au tout à propos de ce concert, ce n’était pas le concert de l’année mais celui de la décennie !
Ce soir avec Marie Richeux sur France Culture dans son émission Par les temps qui courent de 21h à 22h.
pas de podcast pour l’instant.
▻https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/kamilya-jubran-et-sarah-murcia
@vanderling Oui, ça a même été un peu le gag hier soir, parce que surpassant toute timidité, j’allais m’enhardir de présenter mon amie Sarah à Marie Richeux (qui était là hier soir), Sarah et moi n’en menions pas large, Sarah a fini par réaliser, juste à temps, avant que je ne me couvre de ridicule, que mais si c’est la femme chez qui je cause demain.
J’écoutais ça et je me suis dit… seenthis ?
▻https://www.youtube.com/watch?v=GKF_tV9CIhg
Prochainement en tournée (ou concert/création) avec Rodolphe Burger.
@fil, Yep! Ces deux-là je les adore.
BlaBlaMix n°12 | #Radio_Canut
▻https://blogs.radiocanut.org/blablamix/2016/12/11/blablamix-n12
#BlaBlaMix n°12
Spéciale #Syrie, spéciale Fanny, #oud en live et #cinéma-documentaire. Avec l’association #Alwane et le groupe #Talawine, via Hassan, Hala, élève de #CinéFabrique, École nationale supérieure de Cinéma et de Multimédia et Fanny de #Singa #Lyon, l’association qui fait du bien aux #réfugiés et aux "lyonnais.
Sumon est en régie. En studio, Véronique anime et interviewe, Dipù s’entraîne. Florian à l’agenda et Lena aux photos et réseaux sociaux.
Naseer Shamma
MAQAMAT ZIRYAB - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=x15cC8NnjgU
Naseer Shamma, né en 1963 à Al-Kût, est un joueur de #oud irakien. Il a commencé à jouer du luth dès l’âge de 12 ans. Il a étudié la #musique à l’Institut de musique arabe, notamment sous la direction de Jamil et Munir Bashir
Wikipédia
#beau
autre joueur de oud Irakien que j’ai découvert récemment : Ahmad Al Khatib (ici avec le percussioniste David Cuckhermann)
▻https://www.youtube.com/watch?v=lnP-mdkeOPE
Dhafer Youssef
Soupir Eternel
▻https://www.youtube.com/watch?v=eJwSZIajEvI
#oriental #spatial #influences_soufi #oud #clarinette #jazz #musique
Un des rares morceaux filmés d’Anouar Brahem. Je pourrais pleurer à chaque fois que je l’écoute celle-là…
2004 - Anouar Brahem - Leila au Pays du Carrousel
▻http://www.youtube.com/watch?v=lT0FSc_IZng
L’album Astrakan Café est à pleurer aussi, avec ses grands espaces de rêves.
▻http://www.dailymotion.com/video/x1xuww_astrakan-cafe-anouar-brahem_music
Heeeh oui déjà…
Ce sont les deux albums que j’ai en vrais disques, Astrakan Café et Le pas du chat noir.
Ah #merci.
Pour ma part, je l’ai rencontré sur « Madar », le disque qu’il a fait avec Jan Garbarek et Ustad Shaukat Hussain.
Weekend in #Stellenbosch
▻http://africasacountry.com/weekend-in-stellenbosch
On Sunday, walking past the Exclusive Books store, it was interesting to see #Kees_van_der_Waal’s new edited text, Winelands, Work and Wealth: Transformations in the Dwars Valley prominently displayed in the window. I found it striking because it brought to the fore something that is so obvious but so well hidden in Stellenbosch town. Walking through the oak lined streets steeped in Cape Dutch vintage, it’s hard to tell that all of it was built up by the sweat of black slaves and workers over roughly 3 centuries. I could not find a slave or workers monument in the town, despite noticing how rich the public art culture (...)
#OPINION #Cape_Town #Khayamandi #Oude_Libertas #racism #Schoon_de_Companje #slavery #South_Africa #whiteness
Trio Joubran, à Lyon, le 12 octobre 2007 - YouTube
►http://www.youtube.com/watch?v=tgT10jqy7O0&feature=related
J’adoooore