• Borne To Be Green 💚 #oupas hop | Mediapart | 18.09.23

    https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/180923/planification-ecologique-semaine-de-verite-pour-le-gouvernement

    Alors que la loi énergie-climat n’est toujours pas programmée au Parlement, la première ministre doit présenter lundi aux chefs de partis politiques quelques mesures phares de planification écologique. Ou comment l’exécutif tente de changer le plomb macronien en or vert.

    par Lucie Delaporte et Jade Lindgaard

    probablement assez réaliste de ne s’attendre à rien - même pas de la comm de moyenne qualité

    • Borne reçoit ce lundi 18 septembre les chef·fes de partis politiques pour leur présenter les grands axes de la planification écologique promise par le président de la République. « L’enjeu est de poser le débat politique », indique Matignon, qui précise que toutes les organisations du spectre partisan ont répondu présent. Le rendez-vous se déroulera à huis clos, sans collaborateurs ni téléphone portable, comme lors des rencontres de Saint-Denis avec Emmanuel Macron.

      Ce sera la première étape d’une semaine ponctuée par un conseil national de la refondation consacré à ce sujet mardi, avant une déclaration du chef de l’État attendue en début de semaine prochaine. Le projet de loi de finances bientôt discuté au Parlement comportera plusieurs points relatifs à la planification écologique.

      La question de la souveraineté devrait être au cœur de l’intervention de la première ministre, alors que Matignon explique que « sortir des énergies fossiles, on le fait pour le climat mais aussi pour nos économies, pour le pouvoir d’achat, car le pétrole est à l’origine de beaucoup des crises économiques qu’a vécues notre pays ces dernières années ».

      Autre axe de discussion : la tension entre les tenants de l’« innovation » et ceux de la « sobriété ». « Nous pensons qu’il faut sortir de l’opposition et combiner les deux », assure Matignon, qui avance que les échanges avec les chef·fes de partis porteront également sur « la répartition juste des efforts » pour mener cette transition entre entreprises, ménages et collectivités territoriales notamment. Car l’intensité de l’effort à fournir implique aussi de s’interroger sur la manière de « rendre ces mesures acceptables pour les citoyens ».
      Ces communications de l’exécutif font suite à des mesures structurantes égrenées depuis le début de l’année : 100 milliards d’euros sur cinq ans pour la décarbonation des industries, 4 milliards en plus d’aides de l’État pour les propriétaires qui engageront des travaux de rénovation énergétique (MaPrimeRenov’) ou encore 264 millions d’euros supplémentaires pour la biodiversité. Au total, l’État devrait dépenser 7 milliards d’euros de plus qu’en 2023 pour financer la transition écologique.

      Il y a aussi les 300 millions d’euros de soutien à l’avion bas carbone et les 200 millions pour la production de biocarburants, la hausse du bonus sur les voitures électriques (dévoilée par Les Échos), le développement des RER métropolitains, le plan eau, et le lancement des travaux en vue du plan Ecophyto 2030.

      Ovni dans la technocratie

      En tout, vingt-deux chantiers ont été identifiés par l’exécutif : construction et rénovation des logements, voitures et infrastructures routières, décarbonation de l’industrie, numérique responsable, préservation de l’eau, etc. C’est beaucoup mais c’est l’échelle d’action indispensable pour respecter les objectifs de réduction des gaz à effet de serre, premières causes du dérèglement climatique. En application de l’accord de Paris sur le climat et du plan européen « Fit for 55 », la France doit réduire de 55 % ses émissions de CO2 d’ici à 2030, et de 80 % d’ici à 2050.

      En juillet, à l’occasion du conseil national de la transition écologique réunissant associations, collectivités, entreprises, syndicats et représentant·es de l’État, des indicateurs de la planification écologique ainsi que des leviers d’action de décarbonation ont été rendus publics par le gouvernement : montée du covoiturage et électrification des flottes de véhicules d’entreprise, changements de chaudières, efforts de sobriété, objectif de rénovation des bâtiments, gestion plus durable des forêts, etc.

      Mais cette floraison d’annonces à dimension écologique se fait dans une grande incertitude politique. Le projet de loi énergie-climat n’a toujours pas de date de discussion parlementaire alors qu’il devait être voté avant l’été. Il pourrait être reporté à 2024. Or de lui dépend l’établissement de la nouvelle programmation pluriannuelle énergétique (PPE), qui est l’un des principaux outils de planification. Elle définit les objectifs de sources renouvelables, d’efficacité, la part du nucléaire dans le mix électrique ou les politiques de réduction du coût de l’énergie.

    • Lors de l’examen des lois d’accélération des renouvelables et de celle sur le nouveau nucléaire, au premier semestre 2023, l’exécutif avait renvoyé à ce nouveau texte législatif [le projet de loi énergie-climat] la discussion sur la part du nucléaire dans la production d’électricité.

      Si les mondes politique et économique attendent un discours d’Emmanuel Macron pour marquer de son sceau l’entrée dans l’ère de la planification écologique, le travail a en réalité déjà commencé. En juillet 2022, un décret a créé le secrétariat général à la planification écologique (SGPE). Véritable ovni dans la technocratie française, ce conseil d’expert·es est directement rattaché à Élisabeth Borne.

      C’est une sorte de cerveau collectif extérieur, dirigé par un membre de son cabinet, ancien conseiller du chef de l’État et ancien directeur général d’En marche !, Antoine Pellion. « C’est un peu comme une extension du cabinet, décrit un de ses membres, on sert à challenger les ministères. » Ingénieur·es, diplômé·es de l’école des Mines, scientifiques, ils apportent des réponses techniques à des questions de politique générale et s’autosaisissent de problèmes à résoudre. « Si Antoine trouve que c’est une bonne idée, ça passe en interministériel ». Avec trente-cinq personnes, c’est un petit laboratoire de têtes chercheuses à visée opérationnelle.

      Nouvelle ère, nouvelles méthodes. Le SGPE publie sur son site une partie de ses documents de travail, version provisoire d’indicateurs, « powerpoints » présentés en réunion. Antoine Pellion les relaie sur son compte Linkedin. L’open data fait partie de la culture de cette nouvelle génération d’expert·es.

    • face aux ministères qui refusent de s’adapter à la nouvelle donne climatique. Le ministre de l’agriculture, Marc Fesneau, s’est illustré à la mi-juillet en déclarant qu’« on a plutôt des températures qui sont assez normales pour un été ». Alors que les températures estivales de 2023 sont en quatrième position des températures les plus chaudes depuis 1900 selon Météo-France.

      La question agricole est d’ailleurs l’un des points durs de blocage de la bifurcation écologique. Le 12 juillet, à la veille d’un important conseil national de la transition énergétique (CNTE), qui doit discuter des premières grandes lignes de la planification écologique, le SGPE met la dernière main à ses « slides ». Dans la soirée, Matignon les envoie aux autres ministères en demandant de les garder confidentiels. Le lendemain matin, en CNTE, le représentant de la FNSEA (premier syndicat agricole) en livre une critique très précise. Trop détaillée pour avoir été improvisée, selon un participant. Le syndicat agricole avait à l’évidence bénéficié d’une fuite.

      donc, bien penser à dissoudre la #FNSEA => https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1385 ping @politipet

    • Les arbitrages en faveur de l’écologie restent toujours aussi durs à obtenir en macronie. Difficile, par exemple, de faire entrer le sujet du poids des véhicules dans les leviers d’action pour décarboner les transports. Pourtant, des voitures plus légères polluent beaucoup moins. Mais Bercy ne veut pas de mesures jugées défavorables à l’industrie automobile française.

      Il est, de plus, toujours aussi difficile de faire accepter les objectifs de sobriété : moins de déplacements, moins de construction, moins de consommation de viande. Tout comme le besoin de contraintes et de régulation, sans lesquelles les objectifs climat risquent de n’être atteints que sur le papier.

  • ni la beuh ni la manne  _

    « je ne sais pas d’où elle vient » ni la beuh
    ni la manne la mystique surnage-t-elle
    ou rapé cuit tout est vraiment ooh dommage
    on s’en veut pour des riens mais on coule #oupas
    et puis laisse la zik & ferme ta grande gueule
    il faut dépasser Tadzio le mot d’ordre
    retentit deux galaxies qui font l’amour
    ça en fout partout jusques en recoins
    insoupçonnables la forme d’une vie
    en dépend parfois ce ne sont qu’aléas
    ridicules Bouzignac m’en soit témoin
    Jourdain de Saxe aussi & Diane d’Andalo
    y di Prima y la Chloé da Rosa
    n’en reste qu’un je me tais je ne sais pas


     c] bituur esztreym aka e-m gabalda, 2022, LAL1.3

  • Claude Got : « Nous n’avons pas encore intégré les méthodes qui ont réduit la mortalité en Chine »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/28/claude-got-nous-n-avons-pas-encore-integre-les-methodes-qui-ont-reduit-la-mo

    Quand le bilan de l’épidémie du Covid-19 sera terminé, l’insuffisance de dispositifs de protection personnelle apparaîtra comme l’erreur de gestion la plus grave. Minimiser l’intérêt des masques pour l’ensemble des personnes exposées a été une manœuvre pour réduire la faute des pouvoirs publics qui n’ont pas maintenu le stock de masques commandé par [l’ancienne ministre de la santé] Roselyne Bachelot, en 2009

    • Je repense depuis quelques jours à mon projet de voile laïque. En tout cas je vais pouvoir ressortir avec une voilette en plus de mon foulard de braqueuse comme ca je me touche pas le visage. Je verrai bien toute la population en abaya. Ca me ferai bien marrer de voire tous ces coqs gaulois élécteurs du FN contraint de porter le voile.
      #voile_laïque

    • La seconde erreur a été de dénigrer les méthodes de protection dites « artisanales » permettant d’attendre le retour à une production professionnelle suffisante. Il fallait définir les méthodes et les produits utilisables, validés par des spécialistes avant la fin du mois de février. La Chine a fait le bon choix d’associer le confinement dans les habitations et l’obligation d’être protégé par un masque. Elle a su mettre en œuvre plusieurs choix dans un délai très court que ce soit dans la fabrication d’hôpitaux ou le passage de 10 millions à 100 millions de masques par jour. Nous n’avons pas eu cette réactivité.

      https://www.craftpassion.com/face-mask-sewing-pattern

    • oui mais en france « On est les plus forts » ce gvt viriliste préfère dire « allez donc à la guerre à poil, les habits faits à la maison ne servent à rien, d’ailleurs les habits ne servent que quand vous êtes morts. Et puis on a #Geodis, mieux que les avions de l’armée car ils souspayent leurs ouvriers et d’ici 3 mois vous les aurez vos masques (#oupas) »

      tu as vu https://seenthis.net/messages/835160
      A propos de Geodis
      https://lemediapresse.fr/social/derriere-les-profits-records-de-geodis-la-souffrance-de-ses-ouvriers

      #engraissement_en_vue
      #profiteurs_de_guerre

    • Le vrai danger, c’est que le képi qui fait les contrôles, il voit le type, il va illico être persuadé qu’il le prend pour un con. (Et comme tu sais, le képi, il aime pas qu’on le prenne pour une con.)

    • Cent fois oui. Mais depuis le CHU de Grenoble (pour pallier la #pénurie) et de multiples initiatives venus d’en bas (masques fabriqués un peu partout, y compris à domicile, pour soi, les proches, voire au delà, fabrication avec imprimante 3D de visières de protection pour des soignants, de pièces de rechange pour des respirateurs), des initiatives émergent, circulent, se diffusent, par exemple :

      Distribution de repas à la Cantine des Pyrénées [ et de masques par les mêmes ] , publié le 23 mars.
      https://paris-luttes.info/distribution-de-repas-a-la-cantine-13688

      Utilisons ce temps libre pour imaginer la société de demain.
      La #Cantine_des_Pyrénées avait sous la main des masques FFP2, en grande quantité, et nous en avons distribué 30 000 à des structures de soin et du personnel soignant. Mais il en faudra bien plus.

      Ces apports immanents à la société sont d’ailleurs souvent cités par les personnels soignants ("les seuls masques qu’on a c’est des dons", « on demande et ou on nous apporte des repas », tandis que d’autres effectuent des gardes sans autre nourriture que celle qu’ils apportent individuellement, etc.).

      Si le retard de la star up nation persiste (et se reproduit, cf la pénurie de médicaments indispensables qui s’annonce), les institutions les plus officielles doivent désormais s’en mêler, suivre le mouvement, sans que cela fasse l’objet d’une politique effective (on est loin loin loin du raout Raoult).

      Téléchargez AFNOR Spec – Masques barrières version 1.0
      https://telechargement-afnor.org/masques-barrieres?_ga=2.21063035.130567097.1585335913-61532588

      AFNOR met à disposition de tous un référentiel de fabrication de masques, dit « #masques_barrières ». Pensé pour les néofabricants de masques et les particuliers, il permet de concevoir un masque destiné à équiper toute la population saine et complète la panoplie des indispensables gestes barrières face à l’épidémie de Coronavirus.

    • Testing the efficacy of homemade masks: would they protect in an influenza pandemic? - PubMed - NCBI (2013)
      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24229526

      CONCLUSION:

      Our findings suggest that a homemade mask should only be considered as a last resort to prevent droplet transmission from infected individuals, but it would be better than no protection.

    • ah c’est bizarre moi je n’ai pas de blocage sur cet article (et je ne suis pas abonnée).

      PostEverything
      Perspective

      Simple DIY masks could help flatten the curve. We should all wear them in public.

      by Jeremy Howard

      Jeremy Howard is a distinguished research scientist at the University of San Francisco, founding researcher at fast.ai and a member of the World Economic Forum’s Global AI Council.

      March 28, 2020 at 8:18 p.m. GMT+1

      When historians tally up the many missteps policymakers have made in response to the coronavirus pandemic, the senseless and unscientific push for the general public to avoid wearing masks should be near the top.

      The evidence not only fails to support the push, it also contradicts it. It can take a while for official recommendations to catch up with scientific thinking. In this case, such delays might be deadly and economically disastrous. It’s time to make masks a key part of our fight to contain, then defeat, this pandemic. Masks effective at “flattening the curve” can be made at home with nothing more than a T-shirt and a pair of scissors. We should all wear masks — store-bought or homemade — whenever we’re out in public.

      At the height of the HIV crisis, authorities did not tell people to put away condoms. As fatalities from car crashes mounted, no one recommended avoiding seat belts. Yet in a global respiratory pandemic, people who should know better are discouraging Americans from using respiratory protection.

      Facing shortages of the N95 masks needed by health-care workers, the U.S. surgeon general announced on Feb. 29 that masks “are NOT effective in preventing general public from catching #Coronavirus,” despite significant scientific evidence to the contrary. This is not just a problem in the United States: Even the World Health Organization says, “you only need to wear a mask if you are taking care of a person with suspected 2019-nCoV infection.”

      There are good reasons to believe DIY masks would help a lot. Look at Hong Kong, Mongolia, South Korea and Taiwan, all of which have covid-19 largely under control. They are all near the original epicenter of the pandemic in mainland China, and they have economic ties to China. Yet none has resorted to a lockdown, such as in China’s Wuhan province. In all of these countries, all of which were hit hard by the SARS respiratory virus outbreak in 2002 and 2003, everyone is wearing masks in public. George Gao, director general of the Chinese Center for Disease Control and Prevention, stated, “Many people have asymptomatic or presymptomatic infections. If they are wearing face masks, it can prevent droplets that carry the virus from escaping and infecting others.”

      My data-focused research institute, fast.ai, has found 34 scientific papers indicating basic masks can be effective in reducing virus transmission in public — and not a single paper that shows clear evidence that they cannot.

      Hospitals battling coronavirus are short on vital supplies. This aid group is rushing to help.

      Direct Relief provides aid to global hotspots during disasters. Now they are responding to the coronavirus outbreak at home, as U.S. hospitals appeal for help. (Ray Whitehouse, Julia Weissman, Nicholas Weissman/The Washington Post)
      Studies have documented definitively that in controlled environments like airplanes, people with masks rarely infect others and rarely become infected themselves, while those without masks more easily infect others or become infected themselves.

      Masks don’t have to be complex to be effective. A 2013 paper tested a variety of household materials and found that something as simple as two layers of a cotton T-shirt is highly effective at blocking virus particles of a wide range of sizes. Oxford University found evidence this month for the effectiveness of simple fabric mouth and nose covers to be so compelling they now are officially acceptable for use in a hospital in many situations. Hospitals running short of N95-rated masks are turning to homemade cloth masks themselves; if it’s good enough to use in a hospital, it’s good enough for a walk to the store.

      I’m an ER doctor. The coronavirus is already overwhelming us.

      The reasons the WHO cites for its anti-mask advice are based not on science but on three spurious policy arguments. First, there are not enough masks for hospital workers. Second, masks may themselves become contaminated and pass on an infection to the people wearing them. Third, masks could encourage people to engage in more risky behavior.

      None of these is a good reason to avoid wearing a mask in public.

      Yes, there is a shortage of manufactured masks, and these should go to hospital workers. But anyone can make a mask at home by cutting up a cotton T-shirt, tying it back together and then washing it at the end of the day. Another approach, recommended by the Hong Kong Consumer Council, involves rigging a simple mask with a paper towel and rubber bands that can be thrown in the trash at the end of each day.

      Masks used to ward off coronavirus show up on Hong Kong beaches
      Many Hong Kong residents have been wearing masks during the global coronavirus outbreak, but now discarded masks are washing up on area beaches. (Reuters)
      It’s true that masks can become contaminated. But better a mask gets contaminated than the person who is wearing it. It is not hard to wash or dispose of a mask at the end of the day and then wash hands thoroughly to prevent a contaminated mask from spreading infection.

      The virus makes us weigh the value of a life. We can’t know if we’ve gotten it right.

      Finally, the idea that masks encourage risky behavior is nonsensical. We give cars anti-lock brakes and seat belts despite the possibility that people might drive more riskily knowing the safety equipment is there. Construction workers wear hard hats even though the hats presumably could encourage less attention to safety. If any risky behavior does occur, societies have the power to make laws against it.

      Many authorities still advise only people with symptoms to wear masks. But this doesn’t help with a disease like covid-19, since a person who does not yet show symptoms can still be contagious. A study in Iceland, where there has been unprecedented levels of testing, found that “about half of those who tested positive [for covid-19] are nonsymptomatic,” according to Iceland’s chief epidemiologist, Thorolfur Gudnason. In fact, in early February, National Institute of Allergy and Infectious Diseases Director Anthony S. Fauci warned there was strong evidence that covid-19 spreads even among people without symptoms. If we all wear masks, people unknowingly infected with the coronavirus would be less likely to spread it.

      I also have heard suggestions that widespread usage of masks in the West will be culturally impossible. The story of the Czech Republic debunks this notion. Social media influencers campaigning to encourage DIY mask creation catalyzed an extraordinary mobilization by nearly the whole population. Within three days, there were enough masks for everyone in the country, and most people were wearing them. This was an entirely grass-roots community effort.

      When social distancing requirements forced a small bar in Prague to close, its owner, Štefan Olejár, converted Bar Behind the Curtain into a mask manufacturing facility. He procured sewing machines from the community and makes about 400 cotton masks per day. The bar employs 10 people, including a driver who distributes the masks directly to people who are not able to leave their homes.

      There are “mask trees” on street corners around the country, where people hang up masks they have made so others can take them.

      The most important message shared in the Czech Republic has been this: “My mask protects you; your mask protects me.” Wearing a mask there is now considered a prosocial behavior. Going outside without one is frowned on as an antisocial action that puts your community at risk. In fact, the community reaction has been so strong that the government has responded by making it illegal to go out in public without a mask.

      When I first started wearing a mask in public, I felt a bit odd. But I reminded myself I’m helping my community, and I’m sure in the coming weeks people who don’t wear masks will be the ones who feel out of place. Now I’m trying to encourage everyone to join me — and to get their friends to wear masks, too — with a social media campaign around #masks4all.

      Community use of masks alone is not enough to stop the spread. Restrictions on movement and commerce need to stay in place until hospital systems clearly are able to handle the patient load. Then, we need a rigorous system of contact tracing, testing and quarantine of those potentially infected.

      Given the weight of evidence, it seems likely that universal mask wearing should be a part of the solution. Every single one of us can make it happen — starting today.

    • Not wearing masks to protect against coronavirus is a ‘big mistake,’ top Chinese scientist says | Science | AAAS
      https://www.sciencemag.org/news/2020/03/not-wearing-masks-protect-against-coronavirus-big-mistake-top-chinese-sc

      (après ça je vais arrêter de spammer seenthis à propos de l’utilité des #masques ; je pense qu’on en est tous et toutes convaincues)

  • « Si la presse chinoise était libre, le coronavirus ne serait peut-être pas devenu une pandémie » , dénonce RSF | RSF

    Reporters sans frontières (#RSF) démontre que, sans le contrôle et la #censure imposés par les autorités, les médias chinois auraient informé bien plus tôt le public de la gravité de l’épidémie de coronavirus, épargnant des milliers de vies et évitant peut-être la pandémie.

    Dans une analyse publiée le 13 mars, des chercheurs de l’université de Southampton suggèrent que le nombre de cas de coronavirus en Chine aurait pu être réduit de 86% si les mesures de lutte contre l’épidémie, prises en Chine à partir du 20 janvier, avaient été anticipées de deux semaines. Au vu de la chronologie des premiers jours de la crise, Reporters sans frontières (RSF) démontre que, sans le contrôle et la censure imposés par les autorités, les médias chinois auraient informé le public bien plus tôt de la gravité de l’épidémie, épargnant des milliers de vies et évitant peut-être la pandémie.

    18 octobre : la presse chinoise aurait relayé les résultats glaçants d’une simulation de pandémie

    Le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, a effectué le 18 octobre 2019 une simulation de pandémie de coronavirus et alerté la communauté internationale de son résultat glaçant : 65 millions de morts en 18 mois.

    Si l’internet chinois n’était pas isolé par un système élaboré de censure électronique et si les médias n’étaient pas contraints de suivre les instructions du Parti communiste, le public et les autorités se seraient sans doute intéressés à cette information provenant des États-Unis et qui fait écho à l’épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), qui avait causé plus de 800 morts et affecté 8000 personnes principalement en Chine en 2003.

    20 décembre : les autorités de la ville de Wuhan auraient informé les journalistes

    Le 20 décembre, un mois après le premier cas documenté, la ville de Wuhan compte déjà 60 malades atteints d’une pneumopathie inconnue ressemblant au SRAS, dont plusieurs ont fréquenté le marché aux poissons de Huanan. Malgré la situation, les autorités ne jugent pas utile de communiquer ces informations aux médias.

    Si les autorités n’avaient pas caché aux médias l’existence d’un début d’épidémie liée à un marché très populaire, le public aurait de lui-même cessé de fréquenter ce lieu avant sa fermeture officielle, le 1er janvier.

    25 décembre : la docteure Lu Xiaohong aurait pu faire part de ses craintes à la presse

    La docteure Lu Xiaohong, directrice du département de gastroentérologie de l’hôpital numéro 5 de la ville de Wuhan, entend parler de cas d’infection touchant le personnel médical dès le 25 décembre et se doute dès la première semaine de janvier que l’infection est transmissible d’humain à humain.

    Si les sources des journalistes en Chine ne risquaient pas de graves sanctions pouvant aller d’un blâme professionnel à de lourdes peines de prison, la docteure Lu Xiaohong aurait sans doute pris la responsabilité d’alerter les médias, forçant les autorités à agir trois semaines plus tôt qu’elles ne l’ont fait.

    30 décembre : l’appel des médecins lanceurs d’alerte aurait été repris par les médias

    La directrice du service des urgences de l’hôpital central de Wuhan, Ai Fen, et un groupe de médecins lancent l’alerte sur internet dès le 30 décembre. Huit d’entre eux, dont le docteur Li Wenliang, mort depuis des suites de la maladie, seront interpellés par la police le 3 janvier pour avoir fait circuler de « fausses rumeurs ».

    Si, dès cette date, la presse et les réseaux sociaux avaient pu reprendre librement l’information transmise par les lanceurs d’alerte, le public aurait pris conscience du danger et fait pression sur les autorités pour qu’elles prennent des mesures limitant l’expansion du virus.

    31 décembre : les réseaux sociaux auraient relayé en Chine l’alerte officielle

    La Chine alerte officiellement l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 31 décembre mais oblige dans le même temps la plateforme de discussion WeChat à censurer un grand nombre de mots-clés faisant référence à l’épidémie.

    Sans la censure, le réseau social WeChat, qui compte un milliard d’utilisateurs actifs en Chine, aurait pu permettre aux journalistes de diffuser des reportages et des conseils de prophylaxie contribuant à un meilleur respect des règles préconisées par les autorités de santé.

    5 janvier : la presse scientifique aurait diffusé plus tôt le génome du coronavirus

    L’équipe du professeur Zhang Yongzhen au sein du Centre clinique de santé publique de Shanghai parvient à séquencer le #virus dès le 5 janvier, mais les autorités semblent réticentes à publier la séquence du génome. Le 11 janvier, jour où la Chine confirme son premier décès dû au virus, les chercheurs font fuiter l’information sur des plateformes en libre source, ce qui occasionnera la fermeture du laboratoire en représailles.

    Si les autorités chinoises avaient joué la carte de la transparence, elles auraient immédiatement communiqué la séquence du génome du coronavirus à la presse scientifique, permettant à la communauté internationale de gagner un temps précieux dans ses recherches pour la mise au point d’un vaccin.

    13 janvier : la communauté internationale aurait anticipé le risque d’une pandémie

    Le premier cas d’infection au coronavirus hors de #Chine est répertorié en Thaïlande le 13 janvier sur une touriste chinoise originaire de #Wuhan.

    Si, à cette date, les #médias internationaux avaient eu un accès complet aux informations détenues par les autorités chinoises sur l’ampleur de l’épidémie, il est probable que la communauté internationale aurait pris la mesure de la crise et mieux anticipé sur le risque d’une propagation de l’épidémie hors de Chine, évitant peut-être sa transformation en pandémie.

    https://rsf.org/fr/actualites/si-la-presse-chinoise-etait-libre-le-coronavirus-ne-serait-peut-etre-pas-devenu

    #covid-19 #coronavirus #epidemie #pandemie

    • La preuve, par la France, et l’Europe en général, dans le monde Libre de la Presse libre, le Virus a été maîtrisé instantanément, du fait de nos communications à la censure électronique pas élaborée et à l’absence d’instructions (et d’éléments de langage) des Partis néo-libéraux.

    • @biggrizzly tu oublies que la france a sauvé le 49.3 (un chiffre porte bonheur) et le premier tour des élections municipales (un vote porte bonheur) en prenant pour alerter plus de deux mois de retard (une date porte bonheur).
      En france, on vit dans de merveilleuses croyances virilistes, c’est nous les plus forts, le pouvoir démocratique y organise de grandes messes où tout le monde se postillonne dessus (à l’Assemblée, à l’église, au stade de foot, et même dans les mairies) et surtout sans mettre aucun masque (c’est nous les plus forts). Mais heureusement, en france, on sait compter jusqu’à 3 quand on gagne, on n’est pas racistes ni nostalgiques des colonies, personne n’a à nous faire de leçons, on est libres et indépendants et on sait ce qu’on fait grâce à des médias libres et indépendants.

  • Partyshare - Free file sharing
    https://partysha.re

    A free, open source file sharing application, built on the peer-to-peer hypermedia protocol #IPFS.

    Quelques avantages de ipfs : c’est #décentralisé et « incensurable », on peut se mettre #offline, on est certain que ce qu’on récupère est exactement ce qu’on a envoyé.

    (Inconvénient : une fois qu’on a partagé un truc impossible de le supprimer du réseau.)

    #partage

  • Pour en finir avec la « surveillance de masse »
    http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2016/09/13/pour-en-finir-avec-la-surveillance-de-masse

    La loi renseignement, adoptée dans la foulée des révélations Snowden sur la « surveillance de masse« , a été présentée par ses opposants comme permettant « une interception de l’ensemble des données des citoyens français en temps réel sur Internet« . La DGSE espionne-t-elle tous les Français ? En a-t-elle le droit, les moyens techniques, et financiers ? #Oupas… ? [tl ;dr : non] C’est le sujet du dernier n° de What The Fact, la websérie qu’IRL (la chaîne des « nouvelles écritures » de France Télévisions) m’a (...)

    #surveillance #DGSE #écoutes #web #Loi_sur_le_renseignement_(France)

    ##Loi_sur_le_renseignement__France_

  • #Présidentielle2017 : la soupe est bonne… #oupas
    https://gauchedecombat.net/2016/08/21/presidentielle2017-la-soupe-est-bonne-oupas

    Depuis ma mise au vert dans les Côtes de Meuse, particulièrement bénéfique pour la décontraction de mes neurones soumis à des cadences infernales pour cause d’actualités quotidiennes soutenues, les candidatures à la candidature suprême s’égrainent de manière monotone. Les plus récentes, celles de Hamon, Duflot, Montebourg, viennent s’ajouter à celle, encore floue, de l’actuel Président. […]

    http://0.gravatar.com/avatar/9faa4d044bbecc32a5bef02aba121599?s=96&d=&r=G

  • Hé oh, hé oh, on vend la loi boulot #oupas Un meeting „Hé oh la gauche !“ annulé à Poitiers en raison des manifshttp://www.sudouest.fr/2016/06/13/un-meeting-he-oh-la-gauche-annule-a-poitiers-en-raison-des-manifestations-2 …
    https://twitter.com/el_portaplumas/status/742420106995728386

    Hé oh, hé oh, on vend la loi boulot #oupas Un meeting „Hé oh la gauche !“ annulé à Poitiers en raison des manifshttp://www.sudouest.fr/2016/06/13/un-meeting-he-oh-la-gauche-annule-a-poitiers-en-raison-des-manifestations-2

  • Ciel ! #Facebook m’a censuré ! Quelle honte #Oupas
    https://reflets.info/ciel-facebook-ma-censure-quelle-honte-oupas

    C’est assez récurrent, on voit apparaître des messages sur #Twitter (il faut bien se rabattre sur un réseau social ou un autre) expliquant à qui veut bien lire que Facebook (ou un autre, insérez ici le nom de votre réseau social honni) a censuré un post ou une image jugé à tort (par l’auteur) comme […]

    #Tribunes #_e_bleu_sur_le_bureau #Censure #Internet #Seins #Web

  • Des ressources Javascript pour ajouter un contrôle vocal à son site
    http://www.blogduwebdesign.com/ressources-javascript/ressources-javascript-ajouter-controle-vocal-son-site/1973

    Les mobiles et leurs assistantes personnelles comme Google Now ou Siri aidant, les interfaces vocales sont de plus en plus banalisées. Que ce soit pour manipuler son téléphone avec les mains prises, ou pour faire une tache annexe sans lâcher son clavier, le passage par la voix est vraiment quelque chose de pratique.

    Vous savez ce qui est le plus beau ? C’est maintenant une formalité à intégrer à son site ! Si vous avez envie d’essayer, je vous propose ces ressources Javascript pour vous y aider.

    (Pas essayé du tout, j’ai pas le temps, mais je conserve, c’est p’têt intéressant… #oupas).

  • Alerte : l’Etat Islamique va avoir la bombe atomique, #Oupas
    https://reflets.info/alerte-letat-islamique-va-avoir-la-bombe-atomique-oupas

    Vous avez peut-être lu ici ou ailleurs que l’Etat Islamique pourrait se doter de l’arme nucléaire. L’information trouve en fait son origine dans un article du journaliste John Cantlie, aux mains de l’EI. Il publie des papiers dans Dabiq, le magazine du groupe. Son dernier papier évoque un scénario dans lequel l’EI pourrait se doter […]

  • Les mèmes, grains de sable dans la machine propriétaire (#OuPas)
    http://scinfolex.com/2015/04/23/les-memes-grains-de-sable-dans-la-machine-proprietaire-oupas

    Cette semaine, Rémi Sussan propose un article passionnant sur Internet Actu, intitulé « Splendeur et misère des mèmes« . Il y souligne la nature ambivalente de ce concept née dans le champ de la biologie et qui sert aujourd’hui à décrire les phénomènes de propagation virale de motifs culturels, particulièrement sur Internet. Une des facettes des mèmes qui, à mon sens, n’a pas encore retenu suffisamment l’attention est leur rapport ambigu avec la notion de propriété. Source : : : S.I.Lex : :

  • ALERTE : Blue Coat pourrait réaliser les boites noires du gouvernement français. #Oupas
    http://reflets.info/alerte-blue-coat-pourrait-realiser-les-boites-noires-du-gouvernement-franc

    Une pluie d’articles ces derniers jours n’a pas manqué d’interpeller la rédaction de Reflets. Un programme des auditions prévues dans le cadre du projet de loi sur le renseignement annonçait la société Blue Coat et, ce qui est passé plus inaperçu, son agence de communication : L’Agence Rumeur Publique. Allez savoir pourquoi les parlementaires voulaient […]

  • ALERTE : Libération pillé par Google !!! #Oupas
    http://reflets.info/alerte-liberation-pille-par-google-oupas

    Le comique de répétition, ça marche toujours assez bien. Et le coup de « Google pille la presse« , c’est un classique. Reflets avait déjà abordé ce sujet plusieurs fois. La presse, voudrait à la fois que Google la référence au mieux, lui envoie des millions de visiteurs clics et n’utilise pas ses articles pour faire venir […]

  • Crypto : on est fichus… #oupas
    https://www.techn0polis.net/2015/01/03/crypto-on-est-fichus-oupas

    Au-delà, les réactions aux dernières révélations du Spiegel posent aussi la question du « modèle de menace » dont parle Okhin. Les connexions en HTTPS ne sont peut-être pas toujours « NSA-proof », mais jusqu’à nouvel ordre, elles sont un moyen efficace d’empêcher le premier pirate informatique venu d’accéder au détail de mes transactions bancaires, de récupérer le mot de passe de mon compte Twitter ou d’éplucher le détail de mes requêtes Google.

    avec des morceaux de @stephane ...

  • Troisième volet de l’état des #services_secrets français post-#Snowden par @manhack (sorte de factchecking/désintox comme on dit maintenant par rapport aux articles parfois sensationnalistes du Monde).

    DGSE/Orange : joue-là comme SuperDupont (#oupas)
    http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2014/05/20/dgseorange-joue-la-comme-superdupont-oupas

    Or, les télécommunications relayées par Orange ont de quoi fortement intéresser la #DGSE : implanté dans 21 pays d’Afrique et du Moyen-Orient (dont la Côte d’Ivoire, l’Irak, la Jordanie, le Mali, le Maroc, le Niger et la Tunisie, notamment), où le groupe revendique plus de 100 millions d’abonnés, ainsi que, via sa filiale Sofrecom, en Syrie, dans la Libye de Kadhafi, la Tunisie de Ben Ali, en Éthiopie (où Human Rights Watch vient de révéler l’existence d’un vaste réseau de #surveillance des télécommunications), Orange se vante, via son autre filiale Business Services, d’avoir « le plus grand réseau voix/données sans couture au monde couvrant 220 pays et territoires », avec 231 millions de clients.

    De plus, France Télécom Marine, filiale à 100% d’#Orange, dispose d’une flotte de 6 navires câbliers, et a installé, depuis 1975, près de 170 000 km de câbles sous-marins dans tous les océans -dont 140 000 en fibre optique-, soit 20% des 800 000 kilomètres de #câbles_sous-marins actuellement en service... de quoi attirer l’attention des services de renseignement.

    Pour autant, ces câbles ne transitent pas que les seules communications des abonnés d’Orange. Or, les révélations du Monde ciblaient les seuls « clients français d’Orange »...

    1er volet : http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2013/07/11/la-dgse-a-le-droit-despionner-ton-wi-fi-ton-gsm-et-ton-gps-a

    2e : http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2014/03/27/la-nsa-nespionne-pas-tant-la-france-que-ca

  • Les commandes de deux navires Mistral pour la Russie ne sont pas remises en cause - Construction navale (civile ou militaire)
    http://www.usinenouvelle.com/article/les-commandes-de-deux-navires-mistral-pour-la-russie-ne-sont-pas-remi

    Malgré les tensions en cours en Ukraine, la France devrait livrer comme prévu les deux bâtiments à la Russie, le Vladivostok et le Sébastopol. Le contrat pour la commande des deux navires signé en 2011 avec DCNS, est estimé à plus d’1 milliard de dollars.

    En pleine crise russo-ukrainienne, la France ne compte pas tirer un trait ou geler les commandes de deux navires militaires de type Mistral pour la marine russe. Le message est venu du plus haut sommet de l’Etat : « Nous respecterons les contrats qui ont été signés, nous ne sommes pas à ce stade là et nous voulons éviter d’en arriver là », a déclaré jeudi 6 mars le président François Hollande lors d’une conférence de presse à l’issue du sommet européen sur l’Ukraine.

    Pour l’instant la campagne d’essais des navires vient même de franchir un nouveau cap. Le premier des deux navires commandés, le Vladivostok, a pris la mer mercredi dernier pour faire ses premiers essais. La livraison est programmée pour la fin de l’année, celle du second bâtiment en 2016.

    UN contrat de un milliard d’euros

    Les enjeux sont significatifs pour les industriels français. Le contrat pour la commande des deux navires signé en 2011 avec DCNS, est estimé à plus d’1 milliard de dollars. STX France, agissant en tant que sous-traitant de DCNS réalise la moitié avant du navire, tandis que la moitié complémentaire est à la charge des chantiers russes OSK de Saint Petersbourg. Une option pour deux autres navires qui devraient être construits en Russie, n’a pas encore été levée par la marine russe. Le contrat prévoit également des transferts de technologies et la formation des équipages russes à Saint-Nazaire.

    La France dispose déjà de trois navires de ce type, le Mistral, le Tonnerre et le Dixmude. Ces bâtiments long de 200 mètres environ et qui disposent d’un équipage réduit de 170 marins, croisent à 18 nœuds soit 33 km/h. Ils combinent les fonctions de porte-hélicoptères, d’hôpital, de transport de troupes, et de mise en œuvre de moyens d’assaut amphibie.

    #Construction-navale ( militaire)
    #commandes
    #navires
    #Mistral
    #France
    #Russie

  • Pourquoi la NSA espionne aussi votre papa (#oupas) — Jean-Marc MANACH
    http://www.legrandsoir.info/pourquoi-la-nsa-espionne-aussi-votre-papa-oupas.html
    Excellent vade mecum de l’affaire Prism and co par un blogueur
    #surveillance
    # snowden
    #nsa
    #prism

    Pourquoi la NSA espionne aussi votre papa (#oupas)

    Jean-Marc MANACH
    Les révélations d’Edward Snowden, le « lanceur d’alerte » américain, sur l’ampleur des opérations d’espionnage et de surveillance des télécommunications de la National Security Agency (NSA), ont incité de nombreux journalistes à me demander si cela pouvait aussi concerner des Français.

    En l’espèce, votre papa, votre maman, vos grands-parents, vos enfants, collègues, amis, tous ceux avec qui vous êtes en contact peuvent effectivement être espionnés, ou l’ont peut-être même déjà été. L’explication figure noir sur blanc dans un rapport top secret de l’inspecteur général de la NSA révélé par le Guardian.

  • Basile de Koch, l’avant-garde des historiens de garde ? | Les historiens de gardeLes historiens de garde
    http://www.leshistoriensdegarde.fr/basile-koch-lavant-garde-historiens-garde

    En ce début d’année 2014, notre site se propose d’accueillir un article d’un jeune historien, Michel Deniau, qui nous propose de découvrir un travail annonçant celui des Historiens de garde : L’Histoire de France de Cro-Magnon à Jacques Chirac. Si une bonne partie du discours de Max Gallo, Dimitri Casali, Lorànt Deutsch et Franck Ferrand est en germe dans ce livre, il est intéressant de noter qu’au moment de sa sortie, en 2004, il n’a eu qu’une diffusion limitée et que son auteur devait masquer ses outrances sous le couvert de l’humour. Aujourd’hui, le roman national se pare de sérieux ; ce sont des figures plus médiatiques, et, parfois, plus crédibles, qui assurent sa promotion auprès d’un public beaucoup plus large. Il n’en reste pas moins, le livre de Basile de Koch permet d’entrevoir les fondements politiques du discours des historiens de garde.

    #historiographie #extrême-droite #satire

  • La surveillance électronique de masse, c’est fini ! #Oupas
    http://reflets.info/la-surveillance-electronique-de-masse-cest-fini-oupas

    Historiquement, on tue le messager. On dit aussi qu’avoir raison avant tout le monde est une mauvaise idée. D’ailleurs, on nous reproche souvent d’écrire dans nos articles que nous avions prévu tel ou tel développement. Et puis… Ça fait tellement prétentieux de dire : « je l’avais dit…« , même avec une grosse pointe d’amertume face à […]

    • #désespoir #surveillance

      Il n’y a rien à faire pour contrer la surveillance de masse sur Internet. Tout au plus peut-on compliquer un peu la tâche des surveillants. Je sais, le sentiment d’#impuissance est toujours désagréable et il n’aide pas les spécialistes qui ont tant de solutions à proposer. Ce serait tout leur « business » qui s’écroulerait. Quant au messager qui apporte les mauvaises nouvelles (Reflets), tuons-le, c’est la tradition.

  • Pourquoi la NSA espionne aussi votre papa (#oupas) | BUG BROTHER
    http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2013/06/30/pourquoi-la-nsa-espionne-aussi-votre-papa-oupas

    Contrairement aux écoutes téléphoniques classiques, ce qui intéresse la NSA, ce n’est pas tant le contenu des télécommunications que leur contenant, ce que l’on appelle des méta-données : qui communique avec qui, quand, d’où, au sujet de quoi, en utilisant quels logiciels, passerelles, fournisseurs d’accès, adresses IP, etc (voir à ce sujet l’excellent et très pédago guide du Guardian, ou encore comment les méta-données d’une photographie a permis de géolocaliser puis d’arrêter John McAfee).

    L’objectif est en effet de constituer un "graphe social" des personnes et organisations ciblées ("targeted") par la NSA, la CIA et le FBI, en demandant à ses analystes d’effectuer ce qu’elle qualifie de "contact chaining" :

    « En général, ils analysent les réseaux situés à deux degrés de séparation de la cible. »

    Autrement dit, la NSA espionne aussi ceux qui communiquent avec ceux qui communiquent avec ceux qui sont espionnés.

    –—

    "le contenant devient plus intéressant que le contenu" :

    « Et toutes ces méta-données, on les stocke, sur des années et des années, et quand on s’intéresse à une adresse IP ou à un n° de tel, on va chercher dans nos bases de données, et on retrouve la liste de ses correspondants, pendant des années, et on arrive à reconstituer tout son réseau. »

    #prism #dgse #nsa #6degreesofseparation

  • Pour les opposants politiques, le Royaume promet répression et torture ; pour les anciens d’Al Qaeda, des vacances dans un spa avec piscine, sauna et cours de rattrapage en wahhabisme.
    http://english.al-akhbar.com/content/saudi-opens-luxury-resort-rehabilitate-qaeda-prisoners

    Saudi Arabia is hoping to turn jailed al-Qaeda militants off terrorism with counselling, spa treatments, exercise and by insisting on its slightly less radical brand of Salafism at a new luxury rehabilitation center in Riyadh.

    In between sessions with counselors and talks on religion, prisoners will be able to relax in the center’s facilities which include an Olympic-size indoor swimming pool, a sauna, a gym and a television hall.

    The new complex is the work of the Prince Mohammed bin Nayef Center for Counselling and Care, a body set up seven years ago to rehabilitate extremists jailed during a Saudi crackdown on the local branch of al-Qaeda.

    “Just under 3,000 (Islamist prisoners) will have to go through one of these centers before they can be released,” interior ministry spokesman General Mansur al-Turki told AFP during a tour of the new center.

    La preuve : ça marche !

    But not everyone is convinced that the program could tame the fighters. There have been some high-profile returns to the ranks of the jihad, such as Saeed al-Shehri, who became deputy leader of al-Qaeda in the Arabian Peninsula after supposedly being rehabilitated.

    Si le centre respecte les habitudes des princes séoudiens en matière de luxe, il doit aussi y avoir prostituées venues d’Europe de l’Est avec un visa artistique. #oupas

  • HUBOT MARKET : le n°1 du Bot sur internet

    Working girl, homme d’affaire, couple d’aventuriers, famille nombreuse ou senior résolument moderne ? HUBOT MARKET a le Bot qu’il vous faut.

    http://hubotmarket.arte.tv/fr

    Oui, nous à HUBOT MARKET, on aime les robots qui prennent soin d’eux. Alors n’hésitez pas, une à deux fois par mois, lavez-les au jet en extérieur, ils en raffolent !
    Attention ! l’usage de l’eau peut entraîner des dégradations sur les modèles autonettoyants, ou à nettoyer uniquement à la main. Référez-vous au mode d’emploi de votre Hubot, vous y trouverez les consignes d’entretien, à respecter impérativement !

    #hubot #realhumans