• La grande remise à zéro de l’eau : L’ONU et le WEF s’attaquent maintenant à votre eau ! L’eau au service du "développement durable" (Climatedepot.com)
    https://www.crashdebug.fr/la-grande-remise-a-zero-de-leau-lonu-et-le-wef-sattaquent-maintenant-a-vo

    Comment peut-on créer de toute pièce une pénurie sur un élément qui est le plus abondant de tous sur terre : l’eau ! La terre est la planète bleue, elle est composé à 70,8% d’eau ! encore une fois comme ledit Mr Cerise, c’est la ’gouvernance par le chaos’ comme pour le COVID, la réalité n’a aucune forme d’importance, ce qui compte c’est le discours officiel et l’hystérisation qui en est faite..

    .La #Mafia nazie du #WEF qui expliquait comment ils allaient encore manipuler la population en utilisant le thème de l’eau !Ces nazis sont fous et dangereux et plus rien ne les arrête !#Macron #Pègre #Mafia #Nazisme #WEF #Mondialisme #Sicalisme #Borne #SystèmeMafieux https://t.co/pz5ivIByiq — .Francis LALANNE Officiel (@OffLalanne) April 3, 2023

    Au regard de son #planEau scélérat, il aura fallut peu de temps (...)

    #Épinglé #Actualités_internationales #Actualités_Internationales #ROOT

  • Bienvenue en #Géozarbie

    #Enclaves, territoires prêtés, zones disputées, #micro-États, île fantasmée... il existe dans le monde quantité de petits bouts de terre aux frontières ou statuts bizarres ! Mêlant anecdotes loufoques et grands moments de l’Histoire, Bienvenue en Géozarbie nous fait découvrir 10 lieux où l’ubuesque se dispute à l’absurde !

    https://www.arte.tv/fr/videos/RC-022365/bienvenue-en-geozarbie

    #géographie #géographie_politique #frontières #absurdité #série #arte #vidéo #ressources_pédagogiques #Absurdistan

    –—

    Le Mont blanc n’est pas en France

    Saviez-vous que l’île de la Conférence est administrée à égalité de temps par deux pays, la France et l’Espagne ? Que la principauté d’Arbézie, à cheval sur la frontière franco-suisse, est… un hôtel-restaurant ? Ou que la France possède des territoires à Jérusalem ?
    Ce sont ces bizarreries géographiques que nous raconte #Olivier_Marchon dans ce livre étonnant qui rassemble des dizaines d’histoires de ce type, des plus tragiques au plus loufoques : de petits morceaux de terre, enclavés, disputés, au statut à part, parfois étrange, qui chacun à leur manière racontent la grande histoire…

    https://www.editionspoints.com/ouvrage/le-mont-blanc-n-est-pas-en-france-olivier-marchon/9782757895757
    #livre

    ping @reka

  • Menacé de mort, #Dick_Marty vit sous haute protection depuis seize mois

    Une enquête exclusive de Mise au Point révèle que, depuis décembre 2020, Dick Marty a été placé sous très haute protection policière. L’ex-procureur, conseiller d’Etat, conseiller aux Etats (PLR/Tessin) et rapporteur du Conseil de l’Europe, serait menacé de mort par des éléments radicaux des services de renseignement serbes. Le Ministère public n’a pas lancé de commission rogatoire et le DFAE n’aurait pas entrepris d’action diplomatique auprès de Belgrade.

    Tout a commencé il y a seize mois, rapporte Mise au Point, qui a pu s’entretenir avec Dick Marty chez lui au Tessin. « Le 18 décembre 2020, j’ai reçu un appel de la police qui m’informait que j’étais menacé de mort et m’annonçait que j’allais être mis immédiatement sous haute protection policière », rapporte celui qui, en 2007, a dénoncé les enlèvements extrajudiciaires et la torture pratiquée par la CIA avec la complicité de pays européens au lendemain du 11 septembre. FedPol estime qu’il court un danger de degré 5, le maximum, et lui propose de changer d’identité et d’adresse. « Degré 5, c’est disparaître, mais pour moi c’était totalement exclu », témoigne Dick Marty. « Donc on est resté jusqu’à aujourd’hui à un degré très haut : le degré 4. Ça n’a jamais existé en Suisse que quelqu’un reste aussi longtemps à un tel degré de danger. »
    Mesures de protection exceptionnelles

    Placé sous protection de degré 4, Dick Marty et son épouse accueillent chez eux des policiers « armés jusqu’aux dents », pendant quatre mois et demi. Se sachant sous surveillance, le Tessinois restreint ses contacts et ses communications au maximum. « Fin 2020, il m’a envoyé un message crypté me demandant de ne plus entrer en contact avec lui », confirme Franco Cavalli, ancien conseiller national socialiste qui est également son ami. « C’est choquant de penser qu’une telle chose puisse se passer en Suisse. »

    Aujourd’hui, les policiers en civils ne sont plus à demeure. Mais les mesures de protection sont toujours aussi importantes. La maison est truffée de caméras et équipée d’alarmes et d’une pièce sécurisée, une « safe room », où Dick Marty doit se réfugier en cas d’attaque. Des policiers en civil sont postés aux alentours.

    Lors de ses rares déplacements, Dick Marty porte un gilet par-balles, sa voiture est blindée et escortée par des véhicules de policiers en civil.

    Selon Dick Marty, "la menace vient apparemment de certains milieux des services de renseignement serbes qui ont demandé à la pègre, à des tueurs professionnels, de me liquider tout simplement pour faire retomber la faute sur les Kosovars. Quant aux tueurs, ils feraient partie « de la pègre ». « Il y a d’anciens combattants qui se sont spécialisés dans des meurtres sur mandat, sur commission, et donc il ne faut pas énormément d’argent pour faire liquider quelqu’un. »

    Selon l’enquête de Mise au Point, Fedpol a sonné l’alerte en décembre 2020 sur la base d’informations obtenues par les services de renseignement suisses. Une source confidentielle a informé ces derniers des éléments suivants, selon un document du Ministère public de la Confédération (MPC) que Mise au Point a pu se procurer : « Dick Marty doit être assassiné sur ordre des services secrets serbes. L’assassinat de Dick Marty aurait été confié à des hommes serbes qui exécutent depuis longtemps de telles missions pour les services secrets serbes et qui ont été formés par ces derniers. Il s’agirait de ’professionnels absolus’ qui maîtriseraient l’assassinat ’sans laisser de traces’. Pour l’attentat prévu, un Serbe aurait introduit des armes en Suisse dans le courant du mois de décembre 2020. Afin de profiter de l’attention de la presse liée à l’inculpation de Hashim Thaci, le meurtre devrait être présenté comme étant imputable au gouvernement kosovar/albanais (ex-UCK) afin de le discréditer au niveau international. »
    Discréditer le Kosovo

    Dans son pays, Hashim Thaci, 54 ans, est perçu comme un héros de la guerre d’indépendance contre la Serbie. Chef politique de l’Armée de libération du Kosovo (UCK), puis président du Kosovo, il a démissionné de son poste en novembre 2020 après avoir été inculpé de crimes de guerre et de crime contre l’humanité par un tribunal spécial (KSC) à La Haye. Il est actuellement incarcéré dans l’attente de son procès.

    En 2010, pour le Conseil de l’Europe, Dick Marty a rédigé un rapport dénonçant des crimes présumés commis par l’UCK, dont un trafic d’organes, rapport sur la base duquel l’enquête contre Hashim Thaci a été ouverte.

    Les nationalistes serbes n’ont jamais accepté l’indépendance du Kosovo, obtenue suite à l’intervention de l’Otan en 1999.

    « Apparemment, un service étatique veut m’éliminer pour discréditer son adversaire, c’est absolument inacceptable », déclare Dick Marty à Mise au Point. « Nos autorités judiciaires devraient réagir durement et rapidement. »
    Réactions des autorités

    Depuis 2020, le MPC et Fedpol ont tout mis en œuvre pour protéger physiquement Dick Marty. « Je suis très reconnaissant à toutes ces personnes, hommes et femmes, qui assurent ma protection, mais c’est clair que ça ne peut pas continuer indéfiniment de cette façon », souligne-t-il.

    Comme il s’agit d’un crime politique, le MPC a dû demander l’autorisation du Conseil fédéral pour ouvrir une enquête pénale, enquête qui a été ouverte en août 2021.

    Mais le MPC n’a pas encore lancé de commission rogatoire et le Département fédéral des Affaires étrangères (DFAE) n’aurait pas agi par la voie diplomatique pour réduire la menace. Début février, Dick Marty a écrit à FedPol avec copie au MPC : « Je leur dis qu’on ne peut pas continuer à se limiter à la seule protection de la cible, sans avoir une stratégie de neutralisation de la menace. Il ne s’agit pas uniquement de ma personne. Tous ceux qui s’engagent dans la recherche de la vérité méritent non seulement la protection mais aussi la justice. Ils méritent que ceux qui essayent d’attenter à leur vie soient poursuivis. On ne peut pas tolérer ça et moi il me semble qu’on est en train de le faire. »

    Suite à son courrier, les autorités judiciaires auraient décidé « d’envoyer fin avril des policiers à Belgrade pour s’entretenir avec leurs collègues serbes », une mesure que l’ancien procureur tessinois juge insuffisante.

    « Cela signifie que le Procureur de le Confédération ne se rendra pas en Serbie et qu’il ne déposera pas une demande d’assistance judiciaire et que Berne renonce à une action diplomatique. Tout cela malgré l’existence d’indices concrets d’un projet d’assassinat d’un ancien rapporteur du Conseil de l’Europe et sénateur suisse par les services de renseignement d’un pays étranger et des tueurs professionnels ! », s’insurge-t-il.

    Dominique de Buman, ancien conseiller national et ex-vice-président du PDC, estime qu’il y a un risque que la situation s’enlise. « Une personne comme Dick Marty ne peut pas être laissée en plan. On est dans un système suisse d’Etat de droit, où l’État protège ses citoyens contre des menaces injustifiées. Je pense et j’espère que la Confédération n’oubliera pas un de ses serviteurs quand même les plus éminents. »
    Crainte d’une crise internationale ?

    La Suisse craint-t-elle d’envenimer ses relations avec la Serbie alors que Berne est candidate à un siège au Conseil de sécurité de l’ONU ? Le DFAE craint-il de provoquer une crise entre Pristina et Belgrade ? Mise au Point a demandé au DFAE si des considérations politiques expliquaient l’absence d’action diplomatique. Sans répondre clairement à cette question, Pierre-Alain Eltschinger, le porte-parole du DFAE, a répondu : « Le DFAE est en contact avec les autorités partenaires, en premier lieu le Ministère public de la Confédération et Fedpol. En ce qui concerne les procédures pénales en cours, vous devez vous adresser au MPC, et en ce qui concerne les mesures de sécurité, à Fedpol. »

    Mise au Point a demandé au MPC pourquoi une commission rogatoire n’avait pas encore été lancée. La réponse du MPC est la suivante : « Outre les aspects pénaux, le cas implique notamment la garantie de la sécurité des personnes et présente également des composantes politiques en raison du contexte transnational présumé. C’est pourquoi divers services fédéraux et cantonaux sont impliqués dans le cadre de leurs compétences respectives. Dans ce contexte, le Ministère public de la Confédération, Fedpol et les autres autorités partenaires ont mis en place un vaste dispositif de mesures. »

    https://www.rts.ch/info/suisse/13007228-menace-de-mort-dick-marty-vit-sous-haute-protection-depuis-seize-mois.h

    #manace_de_mort #protection_policière #pègre

    • Dick Marty serait traqué par la pègre serbe

      L’ancien conseiller aux Etats Dick Marty (PLR/TI) vit sous très haute protection policière depuis décembre 2020 en raison d’une menace jugée « sérieuse ». Le Ministère public de la Confédération (MPC) parle d’un « vaste dispositif de mesures ».

      Cet arsenal de mesures comprend notamment la sécurisation de l’environnement immédiat de l’ancien rapporteur du Conseil de l’Europe, a indiqué samedi soir le MPC à Keystone-ATS, confirmant des informations de la RTS et du TagesAnzeiger. Il s’agit notamment de la protection rapprochée lors d’apparitions dans l’espace public ou de mesures techniques de protection au domicile.

      Les mesures de sécurité et de protection sont toujours en place, précise le MPC qui ne donne pas de détails, pour éviter de nuire inutilement à leur efficacité.

      Selon Dick Marty, interviewé par « Mise au Point », « la menace vient apparemment de certains milieux des services de renseignement serbes qui ont demandé à la pègre, à des tueurs professionnels, de me liquider tout simplement pour faire retomber la faute sur les Kosovars. » Les tueurs feraient partie « de la pègre ». « Il y a d’anciens combattants qui se sont spécialisés dans des meurtres sur mandat, sur commission, et donc il ne faut pas énormément d’argent pour faire liquider quelqu’un. »

      https://www.blick.ch/fr/news/suisse/sous-tres-haute-protection-dick-marty-serait-traque-par-la-pegre-serbe-id17393

  • OpenLux : Enquête sur le Luxembourg, coffre-fort de l’Europe
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/visuel/2021/02/08/openlux-enquete-sur-le-luxembourg-coffre-fort-de-l-europe_6069132_4355770.ht

    OpenLux est une enquête lancée par Le Monde sur la face cachée du Luxembourg, un paradis fiscal situé au cœur de l’Union européenne. Malgré les engagements pris par le Grand-Duché en matière de transparence et de fair-play fiscal, nos articles révèlent que près de la moitié des entreprises commerciales enregistrées dans le pays sont de pures holdings financières, des sociétés offshore totalisant pas moins de 6 500 milliards d’euros d’actifs. Derrière ces montages savants et ces filiales en cascade, Le Monde a pu identifier entreprises du CAC 40 et grandes fortunes, célébrités et criminels en col blanc.

    #paradis_fiscal #évasion_fiscale

    • OpenLux : Luxembourg, radiographie d’un paradis fiscal, Anne Michel , Maxime Vaudano , Jérémie Baruch et Maxime Ferrer
      https://justpaste.it/8rdhw

      ENQUÊTE Multinationales, milliardaires, artistes, sportifs, criminels : l’enquête du « Monde » révèle pour la première fois de manière exhaustive ce que dissimule le centre financier du Grand-Duché.

      C’est un secret bien gardé, un mystère persistant, une question en suspens depuis des années : que cache le centre financier du Luxembourg ? Que trouverait-on si l’on ouvrait le coffre-fort de ce tout petit Etat situé au cœur de l’Union européenne, placé par de nombreux chercheurs dans le top 5 mondial des paradis fiscaux ? L’enquête OpenLux, conduite par Le Monde avec seize médias partenaires pendant plus d’un an, apporte des réponses : 55 000 sociétés offshore gérant des actifs dont la valeur atteint au moins 6 500 milliards d’euros.

      Ces sociétés fantômes sans bureau ni salarié ont été créées par des #milliardaires, des multinationales, des sportifs, des artistes, des responsables politiques de haut rang et même des familles royales. Le Luxembourg agit comme un aimant pour la richesse du monde : sur un territoire de 2 586 km2, Tiger Woods et la famille Hermès côtoient Shakira et le prince héritier d’Arabie saoudite. Des centaines de #multinationales (LVMH, Kering, KFC, Amazon…) y ont ouvert des filiales financières. De riches familles y font fructifier leur patrimoine immobilier.

      Plus surprenant (...), OpenLux révèle que des fonds douteux, suspectés de provenir d’activités criminelles ou liés à des criminels visés par des enquêtes judiciaires, ont été dissimulés au Luxembourg. C’est le cas de sociétés liées à la #Mafia italienne, la ’Ndrangheta, et à la #pègre russe. La Ligue, le parti d’#extrême_droite italien, y a caché une cagnotte recherchée par les autorités transalpines. Des proches du régime vénézuélien y ont recyclé des fonds de marchés publics viciés.

      #blanchiment

  • DSK l’économiste qui ne s’intéressait pas aux chiffres
    https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-22-fevrier-2020
    https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2020/02/c1aa6d3a-817e-4be5-9612-9c14fe797476/640_210945682-0115.webp

    Dominique Strauss-Kahn tente d’échapper à l’affaire LSK qui le menace depuis cinq ans. L’ancien ministre affirme qu’il ignorait la réalité financière de cette société créée avec l’homme d’affaires Thierry Leyne. Quitte à minimiser son rôle dans certains dossiers. Révélations de la cellule investigation de Radio France

    #économie #banques #pègre

  • Judas, Je lis des trucs
    https://www.facebook.com/110320640373407/photos/a.110337860371685/134359407969530/?type=3&theater

    On a tous, peu ou prou, des problèmes de #famille et des trucs pas toujours réglés avec cette étrange entité. De ce point de vue, toutes les familles peuvent être décrites comme plus ou moins dysfonctionnelles et la plupart des gens ont vécu dans des familles « raisonnablement » dysfonctionnelles. Mais pas Astrid Holleeder. Son daron alcoolique et violent avait déjà mis la barre très haut en plaçant les pains dans la tronche et la torture mentale comme éléments quotidiens de la vie de famille, mais Wim, son frère, a su relever le défi. La plupart d’entre nous, on est plutôt au niveau « J’ai des problèmes pas résolus avec maman/dysfonctionnel », et pas « Mon frère parrain de la #pègre a mis un contrat sur ma tête/dysfonctionnel ». Faut dire que le frangin est du genre spectaculaire et a tendance à résoudre tous les problèmes par le chantage, la #brutalité et le meurtre, au bout d’un moment, forcément, ça crispe.

    Plongée oppressante dans la vie quotidienne avec un psychopathe qui tient tout le monde sous un règne de menace et de terreur, « Judas » est le tableau glaçant d’un monde dont les films sur la pègre ne parlent jamais ou effleurent : celui des proches des truands. Qui, sans surprise, vivent dans un stress permanent au milieu d’histoire sordides et violentes jusqu’à ce que ça devienne la seule réalité, à moins que les victimes ne se décident à rompre la loi du silence, à leur risques et périls. Le livre montre ce qu’est réellement vivre avec le « milieu », et contrairement à ces histoires de « codes d’honneur de truands » dont ces derniers aiment à se gargariser (quand ils ne sont pas glamourisés par des cinéastes brillants mais complaisants, oui Scorsese et Coppola, on parle de vous), dans la pègre il n’y a ni code ni honneur ni morale : rien que la loi du plus violent, du plus menteur, du plus cynique, où on peut faire assassiner un ami et se mettre ensuite en couple avec sa veuve. Et où menacer des mort les enfants des autres est un moyen comme un autre d’arriver à ses fins.

    Un système de #violence qui ne tient que grâce à l’#exploitation des #femmes : ce sont elles qui se chargent de toutes les tâches domestiques et logistiques et toutes, mères, sœurs, épouses, petites amies plus ou moins officielles, prostituées etc. ont intérêt à obéir sans moufter à des sociopathes capables de littéralement tout. Mais en se chargeant de tout, elles sont aussi au courant de tout, jusqu’à ce qu’une poignée d’entre elles se révoltent, entre courage et désespoir.

    #livre

    • A l’Elysée, y savaient pas. Il n’ont pas de profil sur Seenthis.

      https://seenthis.net/messages/136243#message136451
      @souriyam

      https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/trafic-d-organes-au-kosovo-la-controverse-carla-del-ponte_472137.html

      A peine quatre mois après avoir quitté ses fonctions de procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), Carla Ponte publie un livre-témoignage, La chasse, les criminels de guerre et moi, où elle évoque son expérience. Sur les huit années passées à ce poste, un élément surtout a suscité de vives réactions.
      Elle glisse en effet dans son ouvrage des informations sur un trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes par des Albanais du Kosovo. Trafic présumé dans lequel auraient été impliqués, selon elle, des dirigeants de l’actuel Kosovo indépendant, à la fin des années 1990, dont l’actuel Premier ministre Hashim Thaçi.

      http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/04/29/kosovo-cinq-medecins-condamnes-pour-un-trafic-d-organes-international_316837
      Des peines historiques ont été prononcées à Pristina, lundi 29 avril, contre cinq médecins impliqués dans le plus vaste trafic d’organes jamais mis au jour sur le continent européen. La clinique Medicus, au cœur de ce trafic, était située dans la capitale kosovare. C’est donc là qu’a été initiée l’enquête, confiée à Jonathan Ratel, un magistrat international relevant de la mission civile européenne EULEX, qui contribue à l’établissement d’un État de droit au Kosovo.
      Avec implication de Turcs et d’Israéliens :
      Les enquêteurs ont remonté le réseau jusqu’aux pays sources. Notamment en Allemagne, d’où provenaient les fonds d’origine pour la création de la clinique. Un mandat d’arrêt international a été délivré à l’encontre du chirurgien Yusuf Sonmez, surnommé « Docteur Frankenstein » et déjà interpellé pour des faits similaires en 2005, et de Moshe Harel. Celui-ci a joué un rôle clé dans l’organisation du réseau. Arrêté après le raid contre la clinique, il avait été autorisé à rendre visite à sa mère, prétendument malade en Israël, mais n’est jamais revenu au Kosovo.
Les demandes d’extradition envoyées en Turquie et en Israël pour ces deux hommes n’ont pas été satisfaites, car ces pays ne livrent pas leurs ressortissants. Le médecin turc a cependant été entendu à Istanbul en mars 2011.

    • Dick Marty sur le trafic d’organes au Kosovo : « Qui sera assez fou pour témoigner ? »
      https://www.les-crises.fr/dick-marty-sur-le-trafic-dorganes-au-kosovo-qui-sera-assez-fou-pour-temoi

      Devant un public nombreux de l’université de Neuchâtel, où l’émotion des guerres de l’ex-Yougoslavie était bien palpable, Dick Marty, l’auteur du rapport explosif de décembre 2010 sur le trafic illicite d’organes au Kosovo, http://assembly.coe.int/nw/xml/News/FeaturesManager-View-FR.asp?ID=964 s’est exprimé mercredi dans le cadre du « Carrefour de Sarajevo ».

      C’était la première fois depuis des années que Dick Marty, (membre par ailleurs du Conseil de la Fondation Hirondelle, propriétaire de JusticeInfo.net) revenait sur son rapport qui met en cause l’actuel président du Kosovo, Hashim Thaçi. Il accusait celui-ci d’être « l’un des plus dangereux parrain de la pègre albanaise ». Le rapport affirmait que le président du Kosovo et ses proches « ont ordonné, et parfois personnellement veillé au bon déroulement d’un certain nombre d’assassinats, de détentions, d’agressions et d’interrogatoires dans diverses régions du Kosovo et notamment à l’occasion d’opérations menées par l’UÇK sur le territoire albanais, entre 1998 et 2000. »

      Mandaté à trois reprises par le Conseil de l’Europe pour enquêter respectivement sur les prisons secrètes de la CIA en Europe, sur les crimes dans le Caucase du Nord, et sur le trafic d’organes au Kosovo en 1999, Dick Marty a goûté de près au cynisme de la Realpolitik et de la raison d’Etat. Mercredi soir, il a avoué avoir été « ébranlé » par la rédaction de ces trois rapports qui, dit-il, « ont détruit bien des illusions, bien des espoirs que j’avais en la justice : J’ai découvert que les gouvernements mentent, que les gouvernements manipulent l’information, que des hommes ont un double langage, ils parlent le dimanche des droits de l’homme et le lundi matin, ils les bafouent ».

      Revenant sur le rapport lié aux assassinats et au trafic d’organes, dont se sont rendus responsables des responsables de l’UCK (l’armée de libération du Kosovo) et notamment de l’actuel président de la république du Kosovo, Dick Marty s’étonne que l’ex-procureure du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), Carla del Ponte, n’en a fait état que dans son livre paru en 2008, « La traque, les criminels de guerre et moi » ; soit quatre ans après l’échec des enquêtes de ses services pour faire la lumière sur les allégations contenues dans le rapport Marty. « Etonnement » redoublé, raconte Dick Marty, lorsque en 2010, il demande à voir les éléments de preuve que les enquêteurs du TPIY ont récolté sur le trafic d’organes, et qu’on lui dit que « ces preuves ont mystérieusement disparu du bureau du procureur »…

      Pour l’ex-procureur tessinois, la justice sur cette affaire est un leurre : « les Américains ont privilégié la stabilité à court terme. Avec les Européens, ils ont fermé les yeux même s’ils savaient tous parfaitement à quoi s’en tenir sur les têtes du crime organisé au Kosovo et sur les crimes qu’ils commettaient ».
      Dans quelques jours, les Chambres spéciales sur le Kosovo vont devenir opérationnelles et auront pour mandat de poursuivre les auteurs du trafic d’organes mis en lumière par Dick Marty. Mais celui-ci n’attend rien du premier Tribunal jamais créé par l’Union européenne : « Qui, dans ces conditions, serait assez fou pour témoigner vingt ans après les faits ? Beaucoup de témoins ont déjà été assassinés ».

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Marty
      Dick Marty, né le 7 janvier 1945 à Sorengo, est une personnalité politique suisse. Ancien procureur général du canton du Tessin, député au Conseil des États pendant seize ans 2, il a également été membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe pour laquelle il a mené différentes enquêtes qui l’ont fait connaître sur la scène internationale3.

    • http://assembly.coe.int/nw/xml/News/FeaturesManager-View-FR.asp?ID=964
      . . . .
      4. La clinique Medicus
       

      168. Au cours de nos recherches, nous sommes venus à connaissance d’informations qui vont plus loin, par étendue et détails, de ce que nous avons illustré dans ce rapport. Elles semblent indiquer l’existence d’un véritable trafic international criminel d’organes humains, impliquant des complicités dans au moins trois différents pays étrangers (en dehors du Kosovo), pendant plus d’une dizaine d’années. Nous avons notamment récolté des indications crédibles et convergentes qui induisent à conclure que le trafic d’organes qui a eu lieu après la fin du conflit, et que nous avons décrit dans ce rapport est, en fait, étroitement lié à l’affaire contemporaine autour de la clinique « Medicus », avec, du moins en partie, les mêmes acteurs, aussi bien kosovars qu’étrangers. Par respect pour l’enquête et la procédure judiciaire en cours conduite par EULEX et le Bureau du Procureur spécial du Kosovo, nous renonçons, pour le moment, de rendre public les résultats de nos recherches sur cet aspect spécifique. Nous ne pouvons,cependant, que vivement encourager toutes les autorités des pays concernés par l’enquête « Medicus » de collaborer pleinement pour établir la vérité et les responsabilités de ce trafic infâme.

      . . . . .

  • Un reportage en direct du bordel

    Puff-Design : Das ist Berlins erste Bordell-Designerin - B.Z. Berlin
    http://www.bz-berlin.de/erotik/das-ist-berlins-erste-bordell-designerin-article1840177.html
    http://www.bz-berlin.de/multimedia/archive/00487/puff-design_48792127.jpg

    Vielen Berliner Bordellen haftet ein Schmuddel-Image an. Sie seien ranzig eingerichtet mit altmodischen Betten, vergilbten Tapeten und billigen Rotlichtlampen. Ein Image, das Sabrina Schuhmacher aufpolieren will. Die 45-Jährige ist Puff-Designerin. „Ich entschmuddele Bordelle“, sagt sie zur B.Z. „Jetzt, da wieder über Verbote von Prostitution diskutiert wird, ist das sehr wichtig.“
    ...
    „Wichtig sind warme, frische Farben, viele Kissen und selbst entworfene Möbel, die die Individualität der Bordelle widerspiegeln“, sagt Schuhmacher. „Dann fühlen sich nicht nur die Kunden wohler, sondern auch die Prostituierten. Ein stilvoller Arbeitsplatz ist auch im Bordell schon mal die halbe Miete.“

    La presse Springer est connue pour ses reportages succulents. A l’occasion de l’ouverture du plus grand bordel européen à Berlin il avaient obtenu l’exclusivité pour les reportages de l’intérieur. Le reportage récent continue de se servir des contacts dans le milieu berlinois entretenu depuis les années 1950.

    A l’époque existait une dizaine de canards locaux, actuellement il n’y a même plus de rédaction indépendante pour chaque journal. C’est une seule rédaction qui décide si le reportage sur le bordel est publié dans B.Z. ou Bild .

    http://www.sueddeutsche.de/medien/zeitungsmarkt-im-wandel-springer-konzern-verkauft-berliner-morgenpost-a

    Am Mittwoch hatte der Springer-Konzern bekanntgegeben, die Redaktionen von Bild in Berlin und dem Boulevardblatt B.Z. zusammenzulegen. Auch die Online-Bereiche der beiden Titel würden komplett zusammengeführt. Bild-Chefredakteur Kai Diekmann, der als Herausgeber im Impressum sämtlicher Bild-Titel steht, wird auch Herausgeber der B.Z.

    Nach Angaben eines Sprechers fallen durch die Zusammenlegung in beiden Redaktionen ingesamt weniger als 50 Stellen weg. Mit der Kooperation würden die journalistischen Kräfte auf dem umkämpften Berliner Zeitungsmarkt gebündelt, sagte B.Z.-Chefredakteur Peter Huth, der Stellvertreter von Diekmann wird.

    #allemagne #presse #pegre