• Ce futur système de #réservation de la #SNCF suscite la polémique

    #SNCF_Voyageurs et les régions souhaitent rendre la #réservation_obligatoire dans les TER, comme c’est le cas en Normandie et en test dans le Grand Est.

    L’offre doit-elle s’adapter à la demande (ou l’inverse) ? C’est le principe qui régit la réservation obligatoire ou non à bord des trains. Aujourd’hui, seuls les TGV et certains InterCités, dont ceux de nuit, imposent la réservation obligatoire. Mais des régions (#Normandie et #Grand_Est), qui financent les TER, ont instauré la réservation obligatoire.

    Un collectif d’associations européennes d’usagers a dénoncé la menace d’une généralisation de la réservation obligatoire dans les trains régionaux en France. Ce que dément la SNCF, mais une #pétition réunit de nombreuses signatures.

    « C’est l’échec du report modal »

    Avec François Delétraz, président de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports (Fnaut), qui fut auparavant « expert transports » pendant 40 ans au Figaro, analysons les tenants et les aboutissants de la réservation obligatoire.

    Selon l’élu associatif, la réservation obligatoire est un mécanisme utilisé par le transporteur ferroviaire pour éviter d’ajuster l’offre à la demande. « En ne mettant pas d’offre supplémentaire, c’est le passager qui doit se plier au nombre de sièges offerts, plafonnés par la réservation. C’est l’échec du report modal, de la route vers le train quand on sait que 80 % des trajets de 500 kilomètres sont réalisés en voiture, dont la moitié avec le conducteur seul. Or, pour le report, trois critères doivent être remplis : l’offre, la facilité d’usage et le tarif qui ne vient qu’en troisième place. »
    L’importance de la facilité d’usage

    La facilité d’usage est donc considérée comme essentielle par le voyageur potentiel en TER qui sera rebuté par une réservation souvent complexe à réaliser et surtout à modifier. Dans ce contexte, la Fnaut prône la création d’un distributeur commun à la SNCF et aux régions. Aujourd’hui, il faut compter avec 42 cartes de réduction et la plupart des régions ne prennent pas en compte les 4,5 millions de possesseurs de la carte SNCF Avantage.

    Comme chaque région joue sa stratégie commerciale, la réservation d’un voyage TER + TGV + TER se heurte vite à une usine à gaz tarifaire. « Une hérésie, négation du report modal », déplore François Delétraz.

    https://www.lepoint.fr/economie/sncf-ce-futur-systeme-de-reservation-risque-de-diviser-16-08-2024-2568022_28
    #it's_the_end #it_has_begun #TER #projet #France #transport_ferroviaire #train

  • Contre le développement de l’aérodrome d’Albertville
    https://carfree.fr/index.php/2024/05/16/contre-le-developpement-de-laerodrome-dalbertville

    Les vallées sont déjà envahies de voitures, ils veulent envahir aussi le ciel. Signez la pétition contre le développement de l’aérodrome d’Albertville pour préserver nos montagnes. Fin 2019, suite au Lire la suite...

    #Destruction_de_la_planète #Fin_du_pétrole #Pétitions #Réchauffement_climatique #aéroport #albertville #avions #bruit #hélicologisme #montagne #nuisances

  • Briançon : un cairn en #hommage aux migrants décédés érigé au petit matin

    Ce mardi 6 février, au petit matin, un collectif de « solidaires des personnes exilées » a érigé un cairn en hommage “aux morts aux frontières”, à proximité de la porte du pont d’Asfeld, dans la vieille ville de Briançon.

    Il est un peu plus de 7 heures, ce mardi 6 février à Briançon, et le soleil n’a pas encore percé depuis l’Italie, à quelques dizaines de kilomètres. Sur la petite butte, juste après avoir passé la porte de la cité Vauban en direction du pont d’Asfeld, un petit groupe s’affaire à la frontale et à la truelle : un collectif de « solidaires des personnes exilées » érige un cairn.

    (#paywall)

    https://www.ledauphine.com/societe/2024/02/06/briancon-un-cairn-en-hommage-aux-migrants-decedes-erige-au-petit-matin
    #mémoire #commémoration #Briançon #migrations #réfugiés #6_février #commémor'action #commémoraction #Hautes-Alepes #France #cairn #monument #mémoriel #morts_aux_frontières #mourir_aux_frontières #frontières #frontière_sud-alpine #mémorial #6_février_2024

  • Abandon du projet d’autoroute Toulouse Castres A69/A680 - Abandon du projet d’autoroute Toulouse Castres A69/A680 - Plateforme des pétitions de l’Assemblée nationale
    https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1999

    #pétition

    Texte rédigé par le collectif La Voie Est Libre

    Le projet d’autoroute Toulouse Castres, déclaré d’utilité publique par le gouvernement à travers le décret n° 2018 638 du 19 juillet 2018, vise à relier Castres à Toulouse par la construction d’une autoroute de 53 km (A69) entre Castres et Verfeil prolongée par une bretelle de 9 km (A680) rejoignant l A68 (Toulouse-Albi).
    Il entrainerait l’artificialisation de plus de 366 hectares de terres agricoles et d’espaces naturels.
    Il a fait l’objet de nombreux avis critiques ou négatifs d’autorités indépendantes dont :
    – Autorité environnementale,
    – Commissariat Général à l’Investissement,
    – Conseil national de la protection de la nature,
    – ...
    Et des milliers d’avis négatifs de citoyens lors des enquêtes publiques.

  • #Chartreuse : un #marquis privatise la #montagne, les randonneurs s’insurgent

    Des centaines de personnes ont manifesté dans le massif de la Chartreuse contre un marquis qui interdit de traverser ses terres. Elles réclament un véritable #droit_d’accès à la nature.

    « Entends nos voix, #marquis_de_Quinsonas… » Malgré la fraîcheur de cette matinée de dimanche, ils étaient plusieurs centaines, jeunes et vieux, à être venus pousser la chansonnette au #col_de_Marcieu (#Isère), aux pieds des falaises du massif de la Chartreuse. L’objet de leur chanson et de leur colère ? #Bruno_de_Quinsonas-Oudinot, marquis et propriétaire d’une zone de 750 hectares au cœur de la #Réserve_naturelle_des_Hauts_de_Chartreuse, et sa décision, il y a quelques semaines, d’en fermer l’accès aux randonneurs.

    C’est fort d’une loi du 2 février 2023, qui sanctionne le fait de pénétrer sans autorisation dans une « propriété privée rurale et forestière » [1] que le marquis a fait poser pendant l’été des panneaux « #Propriété_privée » aux abords de son terrain. Et si ces panneaux changent la donne, c’est parce qu’ils sont désormais suffisants pour verbaliser le randonneur qui voudrait entrer ici, chamboulant ainsi des siècles de culture de partage des montagnes.

    Immédiatement après la découverte de ces panneaux, une #pétition rédigée par le #collectif_Chartreuse a été publiée en ligne, réclamant « la liberté d’accès à tout-e-s à la Réserve naturelle des Hauts de Chartreuse » et récoltant plus de 35 000 signatures en quelques semaines (https://www.change.org/p/pour-la-libert%C3%A9-d-acc%C3%A8s-%C3%A0-tout-e-s-%C3%A0-la-r%C3%A9serve-nat). Ciblant le « cas » de la Chartreuse, elle s’oppose « plus globalement à l’accaparement du milieu naturel par quelques personnes pour des objectifs financiers, au détriment du reste de la population », souligne le collectif.

    Car c’est aussi ce qui cristallise la grogne des manifestants en Chartreuse. Tout en fermant l’#accès de son terrain aux #randonneurs et autres usagers de la montagne, le marquis de Quinsonas y autorise des parties de #chasse_privée au chamois, autorisées par le règlement de la #réserve_naturelle, que paient de fortunés clients étrangers.

    « C’est complètement hypocrite »

    « C’est complètement hypocrite », disent Stan et Chloé, deux grenoblois âgés d’une trentaine d’années, alors que le marquis avait justifié sa décision par la nécessité de protéger la faune et la flore de son terrain des dommages causés par le passage des randonneurs.

    « On n’a rien contre les chasseurs, et les #conflits_d’usage ont toujours existé. Mais on dénonce le fait qu’il y a deux poids, deux mesures », explique Adrien Vassard, président du comité Isère de la Fédération française des clubs alpins et de montagne (FFCAM), venu « déguisé » en marquis pour mieux moquer le propriétaire des lieux.

    Beaucoup de manifestants craignent que l’initiative du marquis ne fasse des émules parmi les propriétaires privés d’espaces naturels, alors que 75 % de la forêt française est privée. « On n’est pas là pour remettre en cause la propriété privée, mais un propriétaire ne peut s’octroyer le droit d’accès à toute une montagne, il faut laisser un #droit_de_circulation », martèle Denis Simonin, habitant du massif et bénévole du collectif Chartreuse.

    Propriété privée contre liberté d’accéder à la nature, faudra-t-il choisir ? Les députés Les Écologistes de l’Isère Jérémie Iordanoff et de la Vienne Lisa Belluco ont en tout cas annoncé leur volonté de déposer un projet de loi pour abroger la contravention instaurée par la loi de février 2023, pour ensuite engager « un travail commun vers un vrai droit d’accès à la nature ». Rejoignant les revendications des manifestants, toujours en chanson : « Sache que les gueux ne s’arrêt’ront pas là, notre droit d’accès, oui on l’obtiendra ! »

    https://reporterre.net/Chartreuse-un-marquis-privatise-la-montagne-les-randonneurs-protestent
    #privatisation #résistance

    • Dans le massif de la Chartreuse, #mobilisation contre la « privatisation » de la montagne

      Fort d’une nouvelle législation, le propriétaire d’une zone de 750 hectares dans une réserve naturelle de la Chartreuse a décidé d’en restreindre l’accès aux randonneurs. Partisans d’un libre accès à la nature et défenseurs de la propriété privée s’affrontent.

      « Chemin privé – Passage interdit. » Tous les 500 mètres, le rouge vif des petits panneaux tranche sur le vert des arbres ou le gris de la roche. Les indications parsèment le chemin qui mène jusqu’à la tour Percée, une immense arche rocheuse émergeant à environ 1 800 mètres d’altitude, au cœur de la réserve naturelle des Hauts de Chartreuse, à quelques kilomètres de Grenoble (Isère). Ces panneaux, tout récemment posés, cristallisent depuis quelques semaines un conflit entre les différents usagers de la montagne… et ses propriétaires.

      (#paywall)
      https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/10/15/dans-le-massif-de-la-chartreuse-mobilisation-contre-la-privatisation-de-la-m

    • .... « Chemin privé – Passage interdit. » Tous les 500 mètres, le rouge vif des petits panneaux tranche sur le vert des arbres ou le gris de la roche. Les indications parsèment le chemin qui mène jusqu’à la tour Percée, une immense arche rocheuse émergeant à environ 1 800 mètres d’altitude, au cœur de la réserve naturelle des Hauts de Chartreuse, à quelques kilomètres de Grenoble (Isère).
      ... Théoriquement, un randonneur qui se rendrait à la tour Percée pourrait donc désormais recevoir une amende allant jusqu’à 750 euros.
      ... le conflit en Chartreuse est devenu « le cas d’école d’une situation qui va se développer sur tout le territoire ». « L’intention affichée du texte, de limiter l’engrillagement pour permettre la circulation de la faune sauvage, était bonne », souligne Jérémie Iordanoff. Mais, quand 75 % de la forêt est privée, ce n’est pas acceptable de dire aux gens qu’ils ne peuvent se promener que sur 25 % du territoire. »
      ... Dans les faits, l’application de la loi du 2 février et de la contravention qu’elle instaure s’avère complexe. Selon les textes, seuls les gendarmes et les gardes privés, agréés par la préfecture puis assermentés par le tribunal judiciaire, peuvent verbaliser les randonneurs au titre de la violation de la propriété privée rurale et forestière. Un sujet qui a pu faire naître des tensions autour de la tour Percée, des chasseurs ayant reçu la mission – informelle – de surveiller la propriété. Selon les informations du Monde, à l’heure actuelle, aucun garde privé n’a été dûment habilité pour contrôler le terrain du marquis.

      La tour Percée est une double arche de 30 mètres de haut, située sur la parcelle du marquis de Quinsonas-Oudinot, à 1 800 mètres d’altitude. Le 8 octobre 2023. SOPHIE RODRIGUEZ POUR « LE MONDE »

      avec une série de photos

      https://archive.ph/yCAI1

      #forêts #propriété_foncière

  • #Allemagne : une nouvelle place au nom du résistant camerounais #Rudolf_Douala_Manga_Bell

    Une troisième place au nom de Rudolf Douala Manga Bell, résistant camerounais à la colonisation allemande, a été inaugurée en Allemagne, à #Aalen, le 1er juillet dernier. Une #pétition circule auprès des autorités allemandes pour la #réhabilitation de Rudolf Douala Manga Bell et de #Ngosso_Din.

    Rudolf Douala Manga Bell fut l’ancien roi du clan Bell du peuple Douala au Cameroun pendant la période coloniale allemande. Pour avoir tenté de fédérer les communautés contre le colonisateur, il fut pendu « pour haute trahison » le 8 août 1914 à Douala avec son secrétaire Ngosso Din.

    #Jean-Pierre_Félix_Eyoum, membre de la famille et installé en Allemagne depuis un demi-siècle, travaille depuis trente ans sur cette histoire. La place Manga Bell de Aalen a été inaugurée en présence des représentants des autorités du Cameroun. Avant cela, une place a été inaugurée à #Ulm en octobre, une autre à #Berlin en décembre.

    Jean-Pierre Félix Eyoum a déposé il y a un an une pétition auprès des autorités allemandes pour la réhabilitation de Rudolf Douala Manga Bell et Ngosso Din. Pourquoi une place à Aalen ? Parce que ce fut la ville d’accueil de Roudolf Douala Manga Bell, quand il vient apprendre l’allemand à 16/17 ans en 1891 en Allemagne raconte Jean-Pierre Félix Eyoum, au micro de Amélie Tulet, de la rédaction Afrique.

    La demande de réhabilitation de Rudolf Douala Manga Bell et Ngosso Din, figures de la #résistance contre la #colonisation_allemande, est examinée au Bundestag allemand. Avant sa visite en octobre dernier au Cameroun, la ministre adjointe aux Affaires étrangères allemande avait déclaré : « la peine capitale prononcée contre le roi Rudolf Douala Manga Bell en 1914 est un parfait exemple d’#injustice_coloniale ».

    https://amp.rfi.fr/fr/afrique/20230709-allemagne-une-nouvelle-place-au-nom-du-r%C3%A9sistant-camerounais-r

    #Cameroun #toponymie #toponymie_politique #décolonial #toponymie_décoloniale #colonialisme #mémoire #noms_de_rue

    ping @cede @_kg_ @reka

    • Le #martyr camerounais Rudolf Douala Manga Bell a désormais sa place à Berlin

      Après Ulm, Berlin est la deuxième ville allemande à avoir une rue ou une place du nom de Rudolf Douala Manga Bell, ce roi camerounais, figure de la résistance face aux colonisateurs.

      Le gris et le froid berlinois n’ont pas douché l’enthousiasme de la foule. Et pour cause : la place Gustav Nachtigal, du nom du colonisateur qui hissa le drapeau allemand sur le Cameroun, n’existe plus ; elle s’appelle désormais place Rudolf et Emily Douala Manga Bell.

      Rudolf Douala Manga Bell, c’est ce roi devenu héros national pour avoir osé défier le colonisateur allemand et qui fut exécuté en 1914. « Il s’était opposé à certains plans du gouvernement allemand colonial qui essayait de déposséder les gens, de leur prendre leurs terrains... et évidemment, ça n’a pas plu aux Allemands », raconte Jean-Pierre Félix Eyum, l’un de ses descendants. Emily Douala Manga Bell, l’épouse de Rudolf, fut quant à elle l’une des premières Camerounaises à avoir été scolarisées.
      « Un message d’espoir »

      Mais si Rudolf Douala Manga Bell a maintenant une place à son nom à Berlin, il n’est pas totalement réhabilité, ce qu’attend désormais Jean-Pierre Félix Eyum. « J’attends que le gouvernement allemand prononce enfin ces mots-là : "Nous sommes désolés d’avoir fait ce que nous avons fait". C’est cela que j’appelle réhabiliter Rudolf Douala Manga Bell », indique-t-il. Il se dit optimiste à ce sujet. Il a récemment déposé une pétition dans ce sens au Parlement allemand.

      L’actuel roi de Douala, Jean-Yves Eboumbou Douala Manga Bell, voit quant à lui dans cette cérémonie en l’honneur de son ancêtre « un symbole extraordinairement important de reconnaissance d’une situation qui a été déplorable en son temps ». « Un message d’espoir », dit-il. Cette inauguration est en tout cas une nouvelle étape dans la reconnaissance très récente par l’Allemagne de son passé colonial. Un passé longtemps éclipsé par les crimes commis par le régime nazi durant la Seconde Guerre mondiale.

      https://www.rfi.fr/fr/afrique/20221202-le-martyr-camerounais-rudolf-douala-manga-bell-a-d%C3%A9sormais-sa-plac

    • L’Allemagne inaugure une place Rudolf Douala Manga Bell en hommage au martyr camerounais

      Pour la première fois sur le sol allemand, une place au nom de Rudolf Douala Manga Bell a été inaugurée le 7 octobre, dans une tentative allemande de regarder son passé de colonisateur du Cameroun. Cela à Ulm, dans le sud de l’Allemagne, où le roi Rudolf Douala Manga Bell avait étudié le droit à la fin du XIXe siècle, avant de rentrer au Cameroun, où il fut ensuite exécuté par l’administration allemande pour avoir tenté de fédérer des communautés camerounaises contre les colons.

      Au Cameroun, son nom est dans tous les manuels scolaires : Rudolf Douala Manga Bell était un roi, le roi du clan Bell au sein du peuple Douala. Celui-ci était établi depuis des générations sur la côte Atlantique, au bord de l’estuaire du Wouri, où se trouve l’actuelle ville de Douala, capitale économique du Cameroun.

      C’est son père, le roi Auguste Douala Ndumbe Bell, qui l’envoie étudier en Allemagne pour qu’il maîtrise la langue de ceux dont la présence augmente sur la côte, avec l’arrivée de missionnaires puis l’installation de comptoirs pour le commerce.

      Mais quelques années après le retour de Rudolf Douala Manga Bell au Cameroun, le gouvernement colonial allemand remet en cause le traité de protectorat signé avec les chefs Douala. Le texte stipule que la terre appartient aux natifs, mais le gouverneur allemand veut alors déplacer les populations.

      Rudolf Douala Manga Bell s’y oppose, d’abord de façon légaliste, allant jusqu’au Parlement allemand plaider la cause de son peuple, avant de se résoudre à tenter de fédérer les autres communautés du Cameroun contre le colonisateur allemand. Mais il est arrêté en mai 1914, jugé et condamné en un seul jour. Il est pendu le 8 août 1914 avec son lieutenant pour « haute trahison ».

      Le Cameroun avait été sous domination allemande d’abord, avant d’être placé sous les mandats britannique et français après la Première guerre mondiale.
      Les descendants de la figure camerounaise appellent à la réhabilitation de son image par l’Allemagne

      Les descendants du roi Rudolf Douala Manga Bell attendent notamment sa réhabilitation par les autorités allemandes, pour laver son nom. Un des combats que mène notamment son arrière-petite-fille, la Princesse Marylin Douala Manga Bell qui constate que les choses bougent en Allemagne depuis le milieu des années 2010.

      https://www.rfi.fr/fr/afrique/20221025-l-allemagne-inaugure-une-place-rudolf-duala-manga-bell-en-hommage-au-ma

    • Campaigners celebrate changing of colonial street names in Berlin

      Street and square in north-east of city renamed in tribute to figureheads who resisted forced rule in Africa.

      Campaigners who have fought for decades for Germany to confront its colonial past celebrated the renaming of a square and a street in the north-east of Berlin on Friday in tribute to figureheads who resisted forced rule in Africa.

      Manga Bell Platz in the so-called African Quarter of Berlin’s Wedding district was renamed in memory of Rudolf and Emily Duala Manga Bell, a king and queen of Duala in Cameroon who fought against German colonialism. Rudolf Duala Manga Bell, who had been educated in Germany, was executed along with about 100 other people by German authorities in August 1914 after a sham trial.

      The square, a central part of the African Quarter, had until Friday been known as Nachtigalplatz since 1910, after Gustav Nachtigal, the German empire’s commissioner for west Africa who had a key role in the German colonisation of Togo, Cameroon and Namibia in the 1870s.

      Close by, Lüderitz Strasse, named after colonialist Adolf Lüderitz, a Bremen tradesman once celebrated as the founder of the German-Southwest Africa colony – now Namibia – was given the new name Cornelius Fredericks Strasse. Frederiks was a resistance fighter from the Nama people who was imprisoned in a concentration camp on Shark Island along with a group of almost 1,800 people in 1906. He died on 16 February 1907 from malnutrition and hypothermia. Some of the victims among those held with him were decapitated and their skulls sent to Germany for so-called racial scientists to carry out anthropological research on them.

      In a ceremony attended by the ambassadors of Cameroon and Namibia, as well as the current King Eboumbou of Douala and his wife.

      Jean-Pierre Félix-Eyoum, a great nephew of Manga Bell, paid tribute to his relatives and other resistance fighters who included Emily and many other women, he said.

      “This is a big day,” the retired teacher who lives in Munich, said to a large crowd gathered in a corner of the square as residents looked on from their balconies.

      “With this renaming, Berlin is recognising its historical responsibility,” he said. He paid tribute to historians, writers, politicians and hundreds of the “Dekoloniale” “decolonialist” movement of campaigners who have spent decades calling for recognition of Germany’s colonial era and for a renaming of the street, square and many other similar locations around Germany.

      “I hope that the names of all colonialists still to be found on monuments, streets not only in Germany but across the whole world will one day disappear,” he said.

      Seppo Toko, an IT engineer whose family has its roots in the same Douala tribe as Manga Bell, had travelled from Hildesheim in northern Germany to attend the ceremony. He said: “This is a very, very satisfying day for me and it’s an honour to be here. It’s time now for reconciliation between both sides, for some deep dialogue.”

      Margo Gorman, a novelist from Donegal in Ireland, and her husband, Hans Georg Rennert, a tour guide who traces the neighbourhood’s colonial era connections, were at the unveiling having followed the renaming campaign for years. “Let’s hope this has something of a ripple effect,” Gorman said. “What’s important is that they also take the locals with them.”

      Rennert said there were meanwhile “plenty of other places on the list that now need to follow”, he said. He cited Mohren Strasse (Moor Street) in central Berlin, which is due to be renamed Anton Wilhelm Amo Street after the black philosopher and Nettelbeck Square, also in Wedding, named after Joachim Christian Nettelbeck, a sailor who was involved in the transatlantic slave trade.

      The German Empire came to colonisation in the 1870s, relatively late compared to most other powers and had lost control of most territory by the start of the first world war in 1914. Ambitions to secure lost territories lasted until the 1940s, but gained little ground.

      But it is seen as responsible for one of the most shameful colonial atrocities ever committed, the genocide from 1904 to 1908 of between 60,000 and 100,000 indigenous Herero and Namaqua people.

      Many of its colonisers typically tried to sell their project as a mission to bring Christianity and civilisation to African regions.

      Brigitte Huß, who watched as the Manga Platz street plaque was unveiled, said her Baptist beliefs made her acutely aware of the current relevance of the growing movement to recognise Germany’s colonial past. “This is about us as a society recognising and acknowledging that we cannot continue to exploit other people, and the extent to which we’re prepared to make sacrifices to that end. We need to know our history to understand some of the present predicaments we’re in,” she said.

      Earlier the district mayor, Stefanie Remlinger said that the renaming of streets was only a fraction of the effort that needed to be put into the examination of Germany’s colonial past. “Street names are ways in which we pay tribute to people and part of our culture of remembrance,” she said. “But it’s only a start. A lot more needs to happen in people’s heads and hearts and in the education system”.

      Remlinger acknowledged the resistance some residents had put up to the retitling which she said was often hard for those who had lived on Nachtigalplatz and Lüderitz Strasse for much of their lives. Not least the additional bureaucratic workload which would be required for thousands of residents to now re-register everything from bank accounts to driving licences, she said.

      “We will try to make it as easy as possible for these people to do this quickly and easily and ensure they have priority access to the bureaucrats,” she said.

      Standing on the sidelines, flanked by police officers, two residents looked on, sometimes shaking their heads.

      “No one paid interest in this for years,” said Detlef Skrzypczak who has lived at Nachtigalplatz number 19 since 1977. “As far as most people were concerned it was named after a bird, and didn’t give a thought to colonialists,” he said, in reference to the name Nachtigall which also means nightingale.

      Skrzypczak and his girlfriend who lives at number 13, had both been encouraged to put in petitions against the renaming when they’d heard about it several years ago. “But our petitions were turned down and we were each billed €145 each for administrative costs which seemed a bit rich”.

      Félix-Eyoum, Manga-Bell’s great nephew, thanked the residents for their willingness to embrace the new name. “I know this is a burden for you,” he said. “But you are doing your bit towards this process of reconciliation”.

      https://www.theguardian.com/world/2022/dec/02/campaigners-celebrate-changing-of-colonial-street-names-in-berlin

  • Hautes-Alpes : le principal témoin de la noyade d’une jeune migrante menacé d’expulsion

    Hervé S., un Camerounais de 35 ans, est sous le coup d’une #OQTF. Un « #acharnement », selon son avocat, alors que l’homme avait assisté à la mort d’une jeune Nigériane dans une rivière après qu’elle a été poursuivie par les gendarmes français.

    « Voici comment on traite dans ce pays ceux qui osent interroger les pratiques des forces de l’ordre. » Devant la juge administrative du tribunal de Lyon, Me Jérôme Drahy pose ce jeudi 13 juillet l’enjeu – politique, estime-t-il – de la décision que le tribunal rendra en début de semaine prochaine. Son client, Hervé S., Camerounais de 35 ans, conteste l’#obligation_de_quitter_le_territoire_français (OQTF) prise à son encontre par la préfecture du Rhône et son #expulsion imminente. Il est aussi le principal #témoin à charge dans le dossier de Blessing Matthew. Cette Nigériane âgée d’une vingtaine d’années s’était noyée dans la Durance en crue en mai 2018, poursuivie par les gendarmes mobiles alors qu’elle venait de passer la frontière haut-alpine de Briançon (Hautes-Alpes) par des sentiers de montagne. Hervé était avec Blessing cette nuit-là.

    La justice avait classé sans suite l’enquête préliminaire et a toujours refusé depuis d’ouvrir une enquête judiciaire sur ce drame, malgré deux recours successifs portés par la famille de Blessing, l’association Tous migrants et le collectif de chercheurs Border Forensics. Cette ONG a publié un rapport en 2022, appuyé sur le témoignage d’Hervé et sur les contradictions dans les récits des gendarmes. Sa conclusion : « En poursuivant Blessing, les gendarmes ont pu la mettre en danger, menant à sa chute dans la Durance et à sa mort. » Après le rejet de leur demande de réouverture de l’enquête, Tous migrants et Border Forensics ont déposé une requête devant la Cour européenne des droits de l’homme en octobre 2022, qui n’a pas encore été examinée. Hervé est donc un témoin clé. Pour maître Drahy, « l’empilement de mesures défavorables » à l’égard de son client, relève d’un « acharnement ».

    « Syndrome de stress post-traumatique »

    Hervé S. craint par ailleurs pour sa vie s’il est renvoyé au Cameroun, où il est toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt. Depuis le départ de son pays natal, en 2018, il a connu un parcours « jalonné par la mort et la souffrance », selon son avocat. Harcelé par l’armée camerounaise, en raison de sa liaison avec Aïcha, la fille d’un colonel de gendarmerie musulman, lui qui est chrétien, il est d’abord emprisonné et violemment torturé dans une caserne. Son corps en porte les stigmates. Il décide de prendre la fuite du Cameroun avec Aïcha et leur bébé. Ils sont rançonnés en Libye, où Aïcha est aussi violée. La famille décide de traverser la Méditerranée pour l’Europe, mais Aïcha et son fils se noient – sous les yeux d’Hervé – lors du naufrage de leur embarcation de fortune au large des côtes italiennes.

    L’homme souffre depuis d’un profond sentiment de culpabilité. Pire : selon ses dires, au pays, le colonel n’a jamais cessé de harceler sa famille. Son père est mort d’un AVC après avoir été menacé et sa sœur a péri lors de l’incendie criminel de sa maison. Me Drahy, certificats médicaux récents à l’appui, indique que l’état de son client nécessite aujourd’hui des soins impératifs : « Syndrome de stress post-traumatique et dépression sévère. »

    Une décision « doublement vitale »

    Un diagnostic qui explique, selon l’avocat, l’échec de sa demande d’asile en 2021 : Hervé S. n’a pas su défendre son dossier. Ce jeudi 13 juillet, devant la juge, le Camerounais a en effet beaucoup de mal à s’exprimer. D’une voix sourde, il dit laconiquement qu’il n’a « plus de famille vivante au Cameroun ». Ses souhaits ? « Que justice soit faite, pour moi, pour Blessing, et que je sois bien soigné. » De son côté, la représentante de la préfecture du Rhône se retranche derrière les décisions de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et de la cour nationale du droit d’asile, estimant que les propos d’Hervé S. sont « inconsistants » et son récit « non personnalisé ». Pour Michel Rousseau, vice-président de Tous migrants, présent à l’audience, la décision que va prendre le tribunal est « doublement vitale » : pour Hervé S., « à qui l’on dénie le droit à l’asile et à la santé, condamné à mourir immédiatement ou à petit feu s’il rentre au Cameroun ». Et pour « l’espoir d’obtenir un jour vérité et justice pour Blessing ».

    https://www.liberation.fr/societe/hautes-alpes-le-principal-temoin-de-la-noyade-dune-jeune-migrante-menace-

    #Hervé #Blessing #migrations #asile #réfugiés

    voir aussi :
    Mort de #Blessing, 20 ans, à la frontière : un témoin sort de l’ombre pour accuser les gendarmes
    https://seenthis.net/messages/962473

    25.10.2022. Mort de Blessing Matthew : Face à l’impunité en France, nous introduisons une requête devant la #Cour_européenne_des_droits_de_l’homme
    https://seenthis.net/messages/977402

    • Traduction en italien (rapide):

      Hautes-Alpes: il testimone principale dell’annegamento di una giovane migrante è minacciato di espulsione

      Hervé S., camerunense di 35 anni, ha ricevuto un foglio di via. Secondo il suo avvocato, si tratta di un «accanimento», poiché l’uomo aveva assistito alla morte di una giovane donna nigeriana in un fiume dopo che era stata inseguita dai gendarmi francesi.

      «È così che in questo Paese si trattano le persone che osano mettere in discussione le pratiche della polizia». Giovedì 13 luglio, davanti al giudice amministrativo del tribunale di Lione, l’avvocato Jérôme Drahy ha esposto la posta in gioco - politica, a suo avviso - per la decisione che il tribunale emetterà all’inizio di prossima settimana. Il suo cliente, Hervé S., camerunense di 35 anni, contesta l’obbligo di lasciare il territorio francese (OQTF) impostogli dalla prefettura del Rodano e la sua imminente espulsione. Hervé S. è anche il principale testimone dell’accusa nel caso di Blessing Matthew. Questa donna nigeriana di vent’anni è annegata nella Durance in piena nel maggio 2018, inseguita dalle forze dell’ordine mentre attraversava il confine con le Alpi da Briançon (Hautes-Alpes) lungo i sentieri di montagna. Hervé era con Blessing quella notte.

      I tribunali hanno archiviato l’indagine preliminare e da allora si sono rifiutati di aprire un’inchiesta giudiziaria su questa tragedia, nonostante due successivi ricorsi presentati dalla famiglia di Blessing, dall’associazione Tous migrants e dal gruppo di ricerca Border Forensics. Quest’ultima ONG ha pubblicato un rapporto nel 2022, basato sulla testimonianza di Hervé e sulle contraddizioni dei racconti dei gendarmi. La sua conclusione: «Inseguendo Blessing, i gendarmi potrebbero averla messa in pericolo, causandone la caduta nella Durance e la morte». Dopo che la loro richiesta di riaprire l’inchiesta è stata respinta, nell’ottobre 2022 Tous Migrants e Border Forensics hanno presentato un ricorso alla Corte europea dei diritti umani, che non è ancora stato esaminato. Hervé è quindi un testimone chiave. Per Maître Drahy, «l’accumulo di misure sfavorevoli» nei confronti del suo cliente equivale a «un accanimento».

      Disturbo da stress post-traumatico

      Hervé S. teme anche per la sua vita se venisse rimandato in Camerun, dove è ancora in vigore un mandato di arresto contro di lui. Da quando ha lasciato il suo Paese natale nel 2018, il suo viaggio è stato «segnato da morte e sofferenza», secondo il suo avvocato. Molestato dall’esercito camerunese a causa della sua relazione con Aïcha, figlia di un colonnello musulmano della gendarmeria, è stato imprigionato e violentemente torturato in una caserma. Il suo corpo ne porta ancora le cicatrici. Decide di fuggire dal Camerun con Aïcha e il loro figlio. Vengono imprigionati in Libia, dove Aïcha viene anche violentata e dove dovranno pagare per uscire dai campi di prigionia. La famiglia decide di attraversare il Mediterraneo per raggiungere l’Europa, ma Aïcha e suo figlio annegano - sotto gli occhi di Hervé - quando la loro barca di fortuna affonda al largo delle coste italiane.

      Da allora l’uomo soffre di un profondo senso di colpa. Peggio ancora: secondo lui, a casa, il colonnello non ha mai smesso di perseguitare la sua famiglia. Suo padre è morto per un ictus dopo essere stato minacciato e sua sorella è stata uccisa, nella sua casa, in un incendio di origine dolosa. I certificati medici confermano lo stato di salute di Hervé e l’avv. Drahy indica che le condizioni del suo cliente richiedono oggi cure urgenti: «Disturbo post-traumatico da stress e grave depressione».

      Una decisione doppiamente vitale

      Secondo l’avvocato, questa diagnosi spiega il fallimento della sua domanda d’asilo nel 2021: Hervé S. non era in grado di difendere il suo caso. Giovedì 13 luglio, davanti al giudice, il camerunese aveva grandi difficoltà ad esprimersi. Con voce sorda, ha detto laconicamente di «non avere più una famiglia in Camerun». I suoi desideri? «Che sia fatta giustizia per me, per Blessing, e che io sia curato». Da parte sua, la rappresentante della prefettura del Rodano si nasconde dietro le decisioni dell’Ufficio francese per la protezione dei rifugiati e degli apolidi e del Tribunale nazionale per il diritto d’asilo, ritenendo che le dichiarazioni di Hervé S. siano «incoerenti» e la sua storia «non personalizzata». Per Michel Rousseau, vicepresidente di Tous migrants, presente all’udienza, la decisione del tribunale è «doppiamente vitale»: per Hervé S., «a cui viene negato il diritto all’asilo e alla salute, condannato a morire immediatamente o lentamente se torna in Camerun». E per «la speranza di ottenere un giorno verità e giustizia per Blessing».

  • Scientists want commission to investigate research freedom

    Campaign — Hundreds of researchers have had enough. They want Danish politicians to set up a commission that will investigate the #freedom_of_research. They are now rolling out a nationwide petition.

    Harassment, research theft, and stress. According to a large group of researchers, the state of research freedom in Denmark is now so bad that a commission should be set up to investigate it.

    »This is really serious. It is not just serious for researchers, it is a societal problem,« says PhD student #Maria_Toft, who is one of the initiators behind the new campaign ‘#Set_Research_Free’.

    As part of the campaign, researchers have set up a #petition or ‘charter of liberties’ that is to capture Danish politicians’ attention. They have received more than 500 signatures so far from scientists and PhD students across the country.

    Behind the petition is an initiative group with a number of leading researchers from all over the country. From the University of Copenhagen it is Professor Emeritus from the Department of Sociology Heine Andersen, Associate Professor from the Department of Cross-Cultural and Regional Studies Brian Arly Jacobsen, as well as Professor Ole Wæver and PhD student Maria Toft — both from the Department of Political Science. For them, it has a clear and concise message: Research freedom in Denmark is under some serious pressure.

    »We need to face up to the rotten apples. Both within ourselves and in the settings that we are a part of. It is in the world of research that the ideas for the big changes that we need are fostered, and we cannot exploit this potential if everyone is anxious and frightened. As it is now, the system is based on mistrust,« says Maria Toft, who at the beginning of 2022 set off the #pleasedontstealmywork campaign on research theft at Danish universities.

    READ ALSO: #Pleasedontstealmywork: New campaign to stop the theft of research
    Criticism has been a long time coming

    The petition is the culmination of many years of intense criticism of deteriorating research conditions, and stories of harassment, research theft and stress among researchers.

    The researchers reckon that a commission should scrutinise three areas, according to the petition:

    1) An evaluation and revision of the Danish University Act

    2) More basic funding for free research and more permanent appointments

    3) A general review of the incentive structures and funding of research

    Heine Andersen published the book ‘Freedom of Research – Ideal and Reality’ back in 2017. It criticised non-disclosure agreements and the increasing influence of lobbyists on Danish research.

    In October last year, the Danish University Act was attacked in a white paper sent out by the Research Policy Committee at the Royal Danish Academy of Sciences and Letters. The chairman of the committee, Professor of Political Science Ole Wæver, said then that Danish research will suffer irreparable damage if politicians do not stop the »extreme top-down management« of universities that had been set up with the revised Danish University Act of 2003.

    READ ALSO: Ole Wæver on Danish research: 20 years we will never get back

    More recently, the #pleasedontstealmywork campaign focused on the research theft that takes place at Danish universities when, for example, older researchers take credit for the work carried out by younger colleagues such as PhD students. At the same time, the debate over freedom of research has been taken up by the Danish parliament, where a number of right-wing politicians have held hearings about the state of academic freedoms.
    Layoff anxiety and culture of secrecy

    The first item on the list of researchers’ demands is a revision of the Danish University Act, which has been heavily debated since it was revised in 2003. The purpose of the 2003 revision was to ensure that universities were to a greater extent governed by a market logic.

    But according to the researchers behind the petition, the Danish University Act has failed miserably. It has led to a top-down management structure which, according to Heine Andersen, has taken on the shape of a protected institution, albeit with no supervision over hiring, layoffs, staff conditions and organisation:

    »I’m not afraid to say that there is more arrogance in management today. It is an entirely foreseeable consequence of the Danish University Act that there is far greater distance between management and staff. And management surrounds itself increasingly with sycophants, so they are hardly ever confronted with the many problems that researchers face.«

    This also means that Danish universities are characterised by unprecedented secrecy, and by staff anxiety over layoffs, where many employees do not dare to express criticism of management, the two researchers say. This is also stated in a so-called charter of liberties that has been circulated among the country’s researchers and PhD students.

    »Even among reputable scientists, there is layoff anxiety, and for good reason, due to several rounds of layoffs. And then you sit back and think ‘why did he and she get fired’, and then you remember that the person was critical of the management. It doesn’t have to be true, but just the fact that you think this means that you are cautious about going against management decisions,« says Heine Andersen.

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    Maria Toft adds that the culture quickly turns into a vicious circle that also helps cover up offensive behaviour and harassment:

    »The culture of secrecy is self-perpetuating. This means that different types of offensive behaviours can develop, because you dare not stand up for each other and express criticism. This is a vicious circle,« she says.
    Right-wing politicians threaten research freedoms themselves

    Even though the criticism from researchers is, in particular, focussed on the Danish University Act which is nearly twenty years old, it strikes deep at the heart of a politically-charged debate over the freedom of research. A debate that has been led by some completely different players.

    Most recently, right-wing politicians like Henrik Dahl (LA) and Morten Messerschmidt (DF) have called for hearings in the Danish parliament on the freedom of research and called on MPs to write in the Chicago principles in the Danish University Act. They say that research freedoms are under pressure from activist »pseudo-research« at universities and cancel culture, which in particular have their origin in research on topics like gender, race, ethnicity and migration.

    On the other side of this debate are researchers who believe that it is precisely politicians like Henrik Dahl and Morten Messerschmidt that are the threat to research freedoms as they undermine the arm’s length principle. This criticism is also in the petition, which refers to the fact that researchers are increasingly being exposed to harassment and threats.

    Heine Andersen believes that the criticism from right-wing politicians is unfair and problematic. This can be seen in statements about researchers like the Professor of Islamic Studies Jakob Skovgaard-Petersen from the University of Copenhagen. He was criticised in one of the above-mentioned parliamentary hearings for being and activist and a threat to free research:

    »It is a problem when politicians propose measures to intervene against research based on their political standpoints. When Henrik Dahl says that Jakob Skovgaard-Petersen is biased from the parliamentary rostrum, then it’s cloud-cuckoo-land – and it is dangerous. It emerged that Dahl had not read any of Skovgaard-Petersen’s extensive work. It gets worse when Morten Messerschmidt urges the minister to intervene into specific research fields without any academic basis,« says Heine Andersen.
    Pressure from lobbyists

    In addition to a top-down management structure, the Danish University Act has made universities highly competition-focussed. This is according to Heine Andersen and Maria Toft. Researchers use a significant part of their time fighting for external research funding to finance their projects. This means that independent research is increasingly being replaced by commissioned work from foundations and organisations. In this way, political and commercial interests are increasingly creeping into research, according to Heine Andersen and Maria Toft.

    The researchers in the petition therefore encourage politicians to allocate more basic funding to free research, and more permanent positions at universities where temporary appointments and precarious working conditions have become the norm for many researchers. According to Heine Andersen, the layoff anxiety and the culture of secrecy also stem from this:

    »Some of the mistrust arises from the fact that there is fierce competition internally between researchers, and one of the things you are competing for is grants. Universities compete for these also. This is tough. Politicians could relieve this political pressure by setting up systems that did not lead to competition between universities and between researchers.«

    But why is there even a need for more free research? The purpose of the Danish University Act of 2003 was to make research more market-oriented and competition-based, so that it better matched up with ‘reality’ and the requirements of politicians and business.

    According to the researchers behind the petition, research freedoms in Denmark are in such a poor state that society is missing out on ground-breaking and innovative ideas and analyses. At the same time, skilled researchers are leaving the system because of its »brutality«, and in this way draining the pool of talent, according to Maria Toft:

    »It’s so important that researchers have the freedom to ask the right questions, and not just deliver the right answers. We have to take a step back and ask ourselves what the purpose of research and the university actually is. We have climate crises, war and probably also soon an economic crisis, and we simply do not have time to not create change and to keep on asking the questions that we already know the answers to. This is what we are doing today under this system, because it has become too risky to ask questions that you really do not know the answers to. But we have to do this.«

    Researchers can sign the petition on this link. As of 1 June, the following had signed:

    Adam Paulsen, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Afshin Samani, Associate prof., Health science and technology, Aalborg
    Agnete Meldgaard Hansen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Alex Klinge, Lektor, Department of Management, Society and Communication, CBS
    Alexandra Brandt Ryborg Jønsson, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Alexandra R. Kratschmer, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Alicia Lundby, Professor mso, Biomedicinsk Institut, Københavns Universitet
    Allan Krasnik, Professor emeritus, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Allan Randrup Thomsen, Professor, ISIM, Copenhagen
    Amy Clotworthy, Adjunkt, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Anders Blok, Lektor, Sociologisk Institut, Københavns Universitet
    Anders Engberg-Pedersen, Professor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Anders Horsbøl, Lektor, Institut for Kommunikation og Psykologi, Aalborg Universitet
    Anders Skov Kristensen, Lektor, Lægemiddeldesign og Farmakologi, Københavns Universitet
    Anders Stengaard Sørensen, Lektor, Mærsk Instituttet, SDU
    Anders Thomassen, Ph.d., Klinisk institut, SUND, SDU
    Anders V. Munch, Professor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Andreas Heltberg, Adjunkt, Folkesundhedsvidenskab, afdeling for almen medicin, Københavns universitet
    Andreas Lieberoth, Lektor, Danmarks institut for Pædagogik og Uddannelse (DPU), AU
    Andreas Rieckmann, Adjunkt, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Andrés Felipe Valderrama Pineda, Lektor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Ane Bjerre Odgaard, Postdoc, Institut for Design og Komunikation, SDU
    Ane Qvortrup, Professor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Anette Borchorst, Professor Emerita, Institut for Politik og Samfund, Aalborg Universitet
    Anette Stamer Ørsted, Ph.d.-stipendiat, Institut for Sociaologi og Socialt Arbejde, AAU
    Anette Warring, Professor, Institut for Kommunikations og Humanistisk Videnskab, RUC
    Anita Mašková, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Anja Hvidtfeldt Stanek, Lektor, Institut for Psykologi, SDU
    Anja Marie Bundgaard, Lektor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Ann Fugl-Meyer, PhD fellow, Department of Organization, CBS
    Ann Starbæk Bager , Lektor, Institut for Kommunikation & Kultur, SDU
    Anna Birna Almarsdóttir, Professor, Institut for Farmaci, Københavns universitet
    Anna Cornelia Ploug, ph.d.-studerende, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, Roskilde Universitet
    Anna Thit Johnsen, Lektor, Institut for Psykologi, Syddansk Universitet
    Ann-Dorit Moltke Sørensen, Senior forsker, Fødevareinstituttet, DTU
    Ann-Dorte Christensen, Professor, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, Aalborg Universitet
    Anne Brædder, Postdoc, Institut for Kommunikation og Humanistisk videnskab, Roskilde Universitet
    Anne Gerdes, Professor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Anne Green Munk, Post.doc, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Anne H. Fabricius, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Anne Katrine Hartmann Søby, Ph.d.-stipendiat, Institut for Psykologi, Syddansk Universitet
    Anne Klara Bom, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Anne Mette Nyvad, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Anne Nielsen, Postdoc, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Anne Skorkjær Binderkrantz, Professor, Institut for Statskundskab, Aarhus Universitet
    Anne Sofie Aggestrup, Ph.d.-stipendiat, Psykiatrisk Center København, RH, KU
    Anne-Marie Nybo Andersen, Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Anne-Marie Søndergaard Christensen, Professor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Anne-Sofie Udsen, Ph.d-stipendiat, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Annette Baattrup-Pedersen, Seniorforsker, Ecoscience, Aarhus Universitet
    Antonia Krummheuer, lektor, Institut for Kommunikation og Psykologi, Aalborg Universitet
    Anurag sinha, Postdoc, FØDEVAREINSTITUTTET, DTU
    Arne Remmen, Professor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Asbjørn M. Pedersen, Ph.d.-Stipendiat, Afdeling for Digital Design og Informationsvidenskab, Aarhus Universitet
    Asger Sørensen, Lektor, Pædagogisk filosofi, Aarhus Universitet
    Ask Greve Johansen, Postdoc, Institut for Planlægning, AAU
    Asli Silahtaroglu, Lektor, Institut for Cellulær og Molekylær Medicin,, Københavns Universitet
    Bastian Ljung Franch, Ph.d-stipendiat, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Beate Kraft, Adjunkt, Biologisk Institut, SDU
    Belén Franco Cisterna, Postdoc, Biologisk Institut, SDU
    Bengt-Åke Lundvall, Professor emeritus, Aalborg University Business School, Aalborg Universitet
    Betina Dybbroe, Professor Emerita, Institut for Mennesker og teknologi/Center for Sundhedsfremmeforskning, Roskilde Universitet
    Birger Steen Nielsen, Professor emeritus, Institut for Mennesker og Teknologi (IMT), Roskilde Universitet
    Birgit Anette Rasmussen, Professor, Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Birgitte Elle, Professor emerita, IMT, RUC
    Birgitte Ravn Olesen, Lektor, IKH, Roskilde
    Birte Siim, Professor Emerita, Institut for Politik og Samfund, Aalborg Universitet
    Birthe Larsen, Lektor, Økonomisk institut, CBS
    Bjarke Skærlund Risager, Postdoc, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Bo Allesøe, Lektor, Institut for kommunikation og psykologi, AAU
    Bo Elling, Professor emeritus, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Bo Fritzbøger, Lektor, Saxo instituttet, Københavns Universitet
    Bo Weidema, Professor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Bontu Lucie Guschke, PhD Fellow, Department of Organization, Copenhagen Business School
    Brian Arly Jacobsen, Lektor, Tværkulturelle studier, Københavns Universitet
    Camilla Fløjgaard, Tenure track, Ecoscience, Aarhus Universitet
    Carl Bache, Professor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Caroline Samson, Ph.d.-stipendiat, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Caroline Schaffalitzky, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Carsten Hjorthøj, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Carsten Madsen, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Casper Sylvest, Lektor, Insititut for Historie, SDU
    Catharina Juul Kristensen, Lektor, Institut for Samfundsvidenskab og Erhverv, RUC
    Catharina Thiel Sandholdt, post.doc, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Catherine E. (Rineke) Brouwer, Lektor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Cathrine Hasse, Professor, DPU Pædagogisk antropologi, Aarhus Universitet
    Cathrine Marie Skovbo Winther, Ph.D.-Stipendiat, Institut for Planlægning , AAU
    Cecilie Bjerre, PostDoc, Institut for Historie, SDU
    Charlotte Engberg, Lic.phil, lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Charlotte J. Fabricius, Postdoc, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Charlotte Jacobsen, Professor, Fødevareinstituttet, DTU
    Charlotte Rørdam Larsen, Lektor emerita, Institut for Kommunikation & Kultur, AU
    Christian Brinch, Lektor, DTU Food, DTU
    Christian Damm Pedersen, Adjunkt, Institut for Historie, SDU
    Christian Dyrlund Wåhlin-Jacobsen, Adjunkt, Institut for Organisation, Copenhagen Business School
    Christian Gerlach, Lektor, Institut for Psykologi, Syddansk Universitet
    Christian Groes, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Christian Helms Jørgensen, Professor emeritus, Institut for Mennesker & Teknologi, Roskilde Universitet
    Christian Lund, Professor, Institut for Fødevarer og Ressourceøkonomi, KU
    Christian Poll, Specialkonsulent, DTU Sustain, QSA, DTU
    Christian Rosbøll, Professor, Statskundskab, Københavns Universitet
    Christian Ydesen, Professor, Institut for Kultur og Læring, Aalborg Universitet
    Christina Hee Pedersen, Lektor Emerita, IKH, Roskilde Universitet, Roskilde Universitet
    Christine Stabell Benn, Professor, Klinisk Institut, SDU
    Christoffer Clemmensen, Lektor, Novo Nordisk Foundation Center for Basic Metabolic Research, Københavns Universitet
    Claudia Ciocan, Teaching assistant, Economics, Government and International Business, CBS
    Claus Bossen, Lektor, Institut for Digital Design og Informationsvidenskab, Aarhus Universitet
    Claus Emmeche, Lektor, Institut for Naturfagenes Didaktik, Københavns Universitet
    Daina Crafa, Adjunkt, Institut for Kultur og Samfund, Aarhus Universitet
    Daniel Bach, Phd studerende, Institut for kommunikation og videnskab, Ruc
    David Pinder, Professor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Diana González Martín, Lektor, Institut for Kommunikation of Kultur, AU
    Dion Rüsselbæk Hansen , Lektor, Institut for Kulturvidenskaber , SDU
    Ditte Wiig Tholstrup, Ph.d.-stipendiat, Biologisk Institut, SDU
    Ditte-Marie From, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Domen Bajde, Professor MSO, DBM, University of Southern Denmark
    Dorte Frees, Lektor, IVH, Københavns Universitet
    Dorte Kousholt, Lektor, DPU – Danmarks institut for Pædagogik og Uddannelse, AU
    Edmonia Baker, PhD fellow, Management, Society and Communication, CBS
    Efthymios Siamos, PhD Candidate, DTU FOOD, DTU
    Egon Bech Hansen, Professor, DTU Food, DTU
    Elena, Assistant professor, DTU-Food, DTU
    Elisabeth Engberg-Pedersen, Professor, dr.phil., Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Elke Weik, Associate Professor, Business and Management, SDU
    Emmanuel Raju, Associate Professor, Department of Public Health, University of Copenhagen
    Erik Kristensen, Professor, Biologisk Institut, SDU
    Erik Skyum-Nielsen, Lektor, Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Erik Svendsen, lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Ernst Schraube, Professor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Ethan Weed, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Eva Boxenbaum, Professor, Department of Organization, CBS
    Fabian Holt, lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Finn Arler, Professor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Finn M. Sommer, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Flemming Jessen, Seniorforsker, DTU Fødevareinstituttet, DTU
    Flemming Smedegaard, Lektor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Frands Mortensen, Professor emeritus, Medievidenskab, Aarhus Universitet
    Frank Møller Aarestrup, Professor, Fødevareinstituttet, DTU
    Frank Sejersen, Lektor, ToRS, KU
    Franziska Bergmann, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Franziska Eller, Adjunkt, Institut for Biologi, Aarhus Universitet
    Frederik Martiny, Ph.d.-studerende, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Center for Almen Medicin i København, Københavns Universitet
    Frederik Schaltz-Buchholzer, postdoc, Bandim Health Project, SDU
    Gertie Kolding, ph.d.-studerende, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Gertrud Latif Knudsen, Postdoc., Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Gitta Wortwein, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Gitte Rasmussen, Professor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Gorm Harste, Lektor, dr.scient.pol., Institut for Statskundskab, Aarhus universitet
    Gregers Andersen, Adjunkt, Institut for Kommunikation og Psykologi, AAU
    Gro Hellesdatter Jacobsen, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Hanne Bruubn, Professor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Hanne G Pedersen, Lektor, IKV, Københavns Universitet
    Hanne Knudsen, Lektor, DPU, Aarhus Universitet
    Hanne Marlene Dahl, Professor, Institut for Samfundsvidenskab og Erhverv, RUC
    Hanne Roer, Lektor, Institut for Kommunikation, Københavns Universitet
    Hans Basbøll, Professor Emeritus, *, SDU
    Hans Henrik Bruun, Lektor, Biologi, Københavns Universitet
    Hans Jørgen Limborg, Adjungeret professor, Institut for mennesker og teknologi, Roskilde universitet
    Hans Ulri Rosengaard, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Harry Lahrmann, Lektor, Institut for Byggeri, By og Miljø, Aalborg
    Heine Andersen, Professor Emeritus, Sociologisk institut, Københavns Universitet
    Helene Pristed Nielsen, Lektor, Institut for Politik og Samfund, AAU
    Helle Porsdam, Professor, Det Juridiske Fakultut, Københavns Universitet
    Henning Salling Olesen, Professor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Henning Sten Hansen, Professor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Henriette Langstrup, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Henrik Brønnum-Hansen, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Henrik Holbech, Lektor, Biologisk Institut, SDU
    Henrik Koll, Postdoc, IOA, CBS
    Henrik Kaare Nielsen, Professor, dr.phil., Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Henrik Lund, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Henrik Vardinghus-Nielsen, Lektor, Institut for Medicin og Sundhedsteknologi, Aalborg Universitet
    Henrik Vase Frandsen, Lektor, Danmarks Institut for Pædagogik og Uddannelse (DPU), Aarhus Universitet
    Honey Biba Beckerlee, Ph.d.-stipendiat, ARTS Aarhus University , AU
    Hubert Buch-Hansen, Lektor, Dept of Organization, CBS
    Iben Holck, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Iben Nathan, Lektor, Institut for Fødevare- og Ressourceøkonomi, Københavns Universitet
    Iben Stjerne, Assistant Professor, Department of Organization, Copenhagen Business School
    Ida Krøgholt, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Ida Maria Bonnevie, Adjunkt, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Ida-Marie T. P. Arendt, Ph.d.-stipendiat, Institut for Psykologi, Syddansk Universitet
    Inge Kryger Pedersen, Lektor, Sociologi, Københavns Universitet
    Inge Røpke, Professor emerita, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Inge-Merete Hougaard, Postdoc, Institut for Antropologi, KU
    Isaquel Bartolomeu Silva , pesquisador, Bandim Health Project , SDU
    Jacob Lund, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Jacqueline Ndlovu, PhD Student, Public Health, University of Copenhagen
    Jakob Bøje, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Jakob Christensen-Dalsgaard, Lektor, Biologisk Institut, Syddansk Universitet
    Jakob Egholm Feldt, professor, Institut for kommunikation og humanistisk Videnskab, RUC
    Jakob Rønning, Ph.d.-stipendiat, Biologisk Institut, SDU
    Jan Kyrre Berg Olsen Friis, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Jan Oskar Jeppesen, Professor, Department of Physics, Chemistry and Pharmacy, SDU
    Jan Thorhauge Frederiksen, Lektor, Institut for Kommunikation, Københavns Universitet
    Jane Brandt Sørensen, Adjunkt, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Janine Leschke, Prof. MSO, Management, Society and Communication, CBS
    Janne Seemann , Professor , Organisation og ledelse , Aalborg Universitet
    Jeanet Sinding Bentzen, Associate Professor, Department of Economics, University of Copenhagen
    Jeanette Bresson Ladegaard Knox, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Jens Christian Nielsen, Lektor, DPU – Danmarks institut for Pædagogik og Uddannelse, AU
    Jens Erik Kristensen, Lektor, DPU, Aarhus Universitet
    Jens Friis Lund, Professor, Institut for Fødevare- og Ressourceøkonomi, Københavns Universitet
    Jens Høyrup, docent emeritus, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Jens Peter Gøtze, Professor, overlæge, Klinisk biokemisk afdeling, Rigshospitalet, Københavns Universitet
    Jesper Brahm, Lektor, Insitut for Cellulær og Molekylær Medicin, Københavns Universitet
    Jesper Holm, Lektor, IMT, Roskilde Universitet
    Jesper Jensen, Adjunkt, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Jesper Schlamovitz, Studielektor, IOA, CBS
    Jessica Sorenson, Ph.d.-stipendiat, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Jette Gejl, Studie Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Jimmi Mathisen, Ph.D.-studerende, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Jitka Stilund Hansen, Specialkonsulent, DTU Bibliotek, DTU
    Jo Krøjer, Lektor, IMT, Roskilde Universitet
    Joachim Lund, Lektor, Department of Management, Politics and Philosophy, CBS
    Johan Fynbo, Professor, NBI, Københavns Universitet
    Johan Sæverud, Postdoc, Økonomisk Institut, KU
    Johanna Stärk, Academic staff member (A-tap), Institut for Biologi, SDU
    Johannes Andersen, Lektor emeritus , Institut for Politik og Samfund, AAU
    Johannes Wagner, Professor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    John Andersen, Professor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    John Brandt Brodersen, Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Johnny Kondrup, Professor, Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Jonas Steenholdt Sørensen, Tenure Track Assistant Professor, Fødevareinstituttet, Danmark Tekniske Universitet
    Jonas Thue Treebak, Lektor, Novo Nordisk Foundation Center for Basic Metabolic Research, Københavns Universitet
    Jonas Toubøl, Adjunkt, Sociologi, Københavns Universitet
    Jorun Holm, Ph.d.-stipendiat, Klinisk Institut, SUND, SDU
    Josefine Brink Siem, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Josefine Baark, postdoctoral researcher, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Juan Carlos Finck Carrales, External Lecturer, People and Technology, Roskilde University (RUC)
    Julia Kirch Kirkegaard, Senior Researcher, Vindenergi, DTU
    Julia Suárez-Krabbe, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Julie Münter Lassen, Postdoc., Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Julius Emil Brinck, PhD-studerende, Fødevareinstituttet, DTU
    Jytte Kjærgaard Isaksen, Lektor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Jörg P. Kutter, Professor, Dept. of Pharmacy, University of Copenhagen
    Jørgen Elm Larsen, Lektor, Sociologisk Institut, Københavns Universitet
    Jørgen Huggler, Lektor, DPU – Danmarks institut for Pædagogik og Uddannelse, AU
    Jørgen Lerche Nielsen, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistiske Videnskaber, Roskilde Universitet
    Jørn Erslev Andersen, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Jørn Guldberg, Lektor emeritus, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Jørn Loftager, Lektor emeritus, Statskundskab, Aarhus Universitet
    Jørn Wulff Helge, Professor, Biomedicinsk Institut, Københavns Universitet
    Kai Finster, Professor, Biologi, Aarhus Universitet
    Karen Hvidtfeldt, Professor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Karen Nordentoft, Ph.d-stipendiat, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Karen-Margrethe Simonsen, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur,, AU
    Karl Emil Rosenbæk, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Kasper Grotle Rasmussen, Lektor, Institut for Historie/Center for Amerikanske Studier, SDU
    Kasper Primdahl Olesen, PhD. Stipendiat, Biologisk Institut, SDU
    Katrin Loeschner, Lektor, Fødevareinstituttet, DTU
    Katrine Strandberg-Larsen, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Ken Ramshøj Christensen, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Kerstin Fischer, Professor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Kevin A. Matlock, PhD Research Fellow, Psychology Department, SDU
    Kevin Holger Mogensen, Lektor, Institut for Menneske og Teknologi, RUC
    Khanh Hoang Nguyen, Researcher, National Food Institute, DTU
    Kim Esmark, Lektor, Institut for kommunikation og humanistisk Videnskab, RUC
    Kim N. Mouritsen, Lektor, Institut for Biologi, Aarhus Universitet
    Kim Schrøder, Professor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, Roskilde Universitet
    Kirsten Kaya Roessler, Professor, Institut for Psykologi, SDU
    Kirsten Simonsen, Professor, Social og kulturel geografi, RUC
    Kirstine Rosendal, PhD. Stipendiat, Institut for mennesker og teknologi, Roskilde
    Kirstine Zinck Pedersen, Lektor, Institut for Organisation, CBS
    Kjeld Vindum, Lektor, Det Kongelige Akademi, Institut for Bygningskunst og Kultur, Det Kongelige Akademi
    Klas Abelson, Professor, Department of Experimental Medicine, University of Copenhagen
    Klaus Høyer, Professor, Afdeling for Sundhedstjenesteforskning, Københavns Universitet
    Klaus Rasborg, Lektor, Social Sciences and Business, RUC
    Kristian Bernt Karlson, Lektor, Sociologi, Københavns Universitet
    Kristian Borch, Lektor, Institut for planlægning, Aalborg Universitet
    Kristian Debrabant, Lektor, Institut for Matematik og Datalogi, SDU
    Kristian Mortensen, Lektor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Kristian Tylén, Lektor, Institut for Kommunikation & Kulture , AU
    Kristine Bissenbakker, Ph.d.-studerende, Center for Almen Medicin i København, Københavns Universitet
    Kristine Juul, Lektor, IMT, RUC
    Kristoffer Almdal, Professor, Institut for Kemi, DTU
    Kristoffer Kropp, Lektor, Institut for Samfundsvidenskab og Erhverv, RUC
    Laila Kjærbæk, Lektor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Lars Bodum, Lektor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Lars Båstrup-Spohr, Adjunkt, Biologisk Insititut, Københavns Universitet
    Lars Chresten Lund-Hansen, Lektor, Institut for Biologi, Aarhus Universitet
    Lars Dencik, Senior Professor, Institut for mennesker og teknologi, Roskilde Universitet
    Lars Domino Østergaard, Lektor, Institut for Medicin og Sundhedsteknologi, Aalborg Universitet
    Lars Ellgaard, Professor, Biologisk Institut, Københavns Universitet
    Lars Frode Frederiksen, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, Syddansk Universitet
    Lars Holm, Lektor, DPU, AU
    Lars Hviid, Professor, Inst Immunol Mikrobiol (ISIM) – SUND, Københavns Universitet
    Lars Jensen, Lektor, IKH, Roskilde Universitet
    Lars Kayser, Lektor, Folkesundhedsvidenskab, KU
    Lars Skov Henriksen, Professor, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde,, Aalborg Universitet
    Lau Møller Andersen, Adjunkt, Aarhus Institute of Advanced Studies, Aarhus Universitet
    Laura Feldt, Lektor, Institut for Historie, SDU
    Laura Horn, Lektor, Social sciences and Business, RUC
    Lea Sletting Jakobsen, Forsker, Fødevareinstituttet, DTU
    Lea Somer, Forsknings Data Manager, Biosustain, Technical University of Denmark
    Leif Pedersen, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, Roskilde Universitet
    Lena Skovgaard Andersen, Postdoc, Department of Public Health, University of Copenhagen
    Lene Juel Rasmussen, Professor, Cellular and Molecular Medicine, University of Copenhagen
    Lene Koch, Professor emeritus, Institut for folkesundhedsvidenskab, Københavns universitet
    Lene Larsen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Lennart Bunch, Professor, Centerleder, Institut for Lægemiddeldesign og Farmakologi, Københavns Universitet
    Lila Lee-Morrison, postdoctoral researcher, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Lill-Ann Körber, Professor (tidsbegrænset), Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Linda Kjær Minke, Professor MSO, Juridisk Institut, SDU
    Linda Lapina, Lektor, Department of Communication and Arts, RUC
    Line Lerche Mørck, Professor, DPU, AU
    Line Thomsen, Lektor, IVH, Københavns Universitet
    Lisa Ann Richey, Professor, Centre for Business and Development Studies, Copenhagen Business School
    Lisa Villadsen, Professor, Inst. for Kommunikation, Københavns Universitet
    Lisbeth E. Knudsen, Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Lise Lotte Hansen, Lektor, Institut for Samfundsvidenskab & Erhverv, RUC
    Lise Paulsen Galal, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, Roskilde Universitet
    Lise Rolandsen Agustin, Lektor, Institut for Politik og Samfund, AAU
    Liza Rosenbaum Nielsen, Professor, Institut for Veterinær- og Husdyrvidenskab, Københavns Universitet
    Lona Louring Christrup, professor emerita, Institut for Lægemiddeldesign og Farmakologi, Københavns Universitet
    Lone Kørnøv, Professor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Lone Svinth, Lektor, DPU, Aarhus Universitet
    Lotte Helmark, PhD studerende, Institut for Psykologi, SDU
    Lotte Holm, Professor, Sektion for Forbrug, Bioetik og Regulering, Københavns Universitet
    Lotte Huniche, Lektor, Institut for Psykologi, SDU
    Lotte K. Vogel, Lektor, Institut for cellulær og molekylær medicin, Københavns Universitet
    Louise Marie Bidstrup Jørgensen, Stud.scient.san.publ, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Louise Nyholm Kallestrup, Lektor, Institut for Historie, SDU
    Louise Whiteley, Associate Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Mads Krogh, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Maj Hedegaard Heiselberg, Postdoc, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, Roskilde Universitet
    Maja de Neergaard, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Maj-Britt Quitzau, Lektor, Institut for Planlægning, AAU
    Majken Karoline Jensen, Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Malene Charlotte Larsen, Lektor, Institut for Kommunikation og Psykologi, Aalborg Universitet
    Marco Benkhettab Sindlev, Ph.d.-stipendiat, Biologisk Institut, SDU
    Mari Holen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Maria Appel Nissen, Professor, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, AAU
    Maria Bach, Post.Doc, Institut for psykologi, SDU
    Maria Juul Hansen, Adjunkst, Økonomisk Institut, Københavns Universitet
    Maria Jørgensen, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Maria Louison Vang, Adjunkt, Institut for Psykologi, SDU
    Maria Semkovska, Associate Professor, Psychology, University of Southern Denmark
    Maria Toft, Ph.d.-stipendiat, Statskundskab, Københavns Universitet
    Marian nielsen, Extern lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Marianne Liisberg, Ph.d-stipendiat, Institut for Kommunikation og kultur, AU
    Marianne Sandberg, Seniorforsker, Fødevareinsttuttet, DTU – Danmarks Tekniske Universitet
    Marianne Træbing Secher, Ph.d.- stipendiat, Institut for kommunikation og humanistisk Videnskab, RUC
    Marie Bagge Jensen, Postdoc, Fødevareinstituttet, DTU
    Marie Koldkjær Højlund, adjunkt, Institut for kommunikation og kultur, AU
    Marie Lund, lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Marie Pedersen, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Marit Carolin Clausen, Adjunkt, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Marit Clausen, Adjunkt, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Mark Bayley, Lektor, Institut for Biologi, Aarhus Universitet
    Marlene Wind, Professor, Statskundskab, Københavns Universitet
    Martha Sif Karrebæk, Lektor, Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Martin Laage Kragh, Forsker, Fødevareinstituttet, DTU
    Martin Mølholm, lektor, Institut for Kommunikation & Psykologi, Aalborg Universitet
    Martin Nielsen, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Massimo Pizzol, Professor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Mathias Kristiansen, Lektor, Institut for medicin og sundhedsteknologi, Aalborg Universitet
    Meltem Daysal, Associate Professor, Department of Economics, University of Copenhagen
    Merete Birkelund, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, Aarhus Universitet
    Merete Wiberg, Lektor, Danmarks institut for Pædagogik og Uddannelse (DPU), Aarhus Universitet
    Merethe Riggelsen Gjørding, Ph.d.-stipendiat, DPU – Danmarks insitut for Pædagogik og Uddannelse, AU
    Mette Bech Risør, Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Mette Christine Jørgensen, Lektor, Novo Nordisk Foundation Center for Stem Cell Medicine, Københavns Universitet
    Mette Christoffersen, Lektor, Institut for Klinisk Veterinærmedicin, Københavns Universitet
    Mette Ejrnæs, Professor, Økonomisk Institut, KU
    Mette Gørtz, Professor, Økonomisk Institut, Københavns Universitet
    Mett-Marie Zacher Sørensen, Lektor, Institut for Kommunikation og kultur, AU
    Mia Münster-Swendsen, Lektor, Institut for Kultur og Kommunikation, Roskilde Universitet
    Michael Asgaard Andersen, Lektor, IBBL, Det Kongelige Akademi
    Michael Haldrup Pedersen, Professor, Department of Communication and Arts, RUC
    Michael Hauschild, Professor, DTU Sustain, DTU
    Michael Krabbe Borregaard, Associate Professor, Globe Institute, University of Copenhagen
    Michael Nebeling Petersen, Lektor, Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Michael Søgaard Jørgensen, Lektor, Institut for Planlægning, Aalborg Universitet
    Michala Hvidt Breengaard, Post.doc., DPU, AU
    Michelle Steinmüller, Ekstern lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Mie Engen, Lektor, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, AAU
    Mikael Carleheden, Lektor, Sociologi, Københavns Universitet
    Mikkel Wallentin, Professor, Institut for Kommunikation & Kulture , AU
    Mikkel-Theis Paulsen , Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation & Kultur, AU
    Mira Chandhok Skadegård, Adjunkt, Institut for Kultur og Læring, Aalborg Universitet
    Miriam Wüst, lektor, økonomisk institut, ku
    Mogens Ove Madsen, Lektor, Business School, Aalborg Universitet
    Mohammad Amin Mohammadifar, Associate professor, group leader, Food, DTU
    Mons Bissenbakker, Lektor, NorS, Københavns Universitet
    Morten Boeriis, Lektor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Morten Ejrnæs, Lektor emeritus, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, Aalborg Universitet – CPH
    Morten Fischer Sivertsen, Ph.d.-stipendiat, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Morten Knudsen, Lektor, Department of Organization, CBS
    Morten Michelsen, Professor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Morten Nissen, Professor, Danmarks institut for Uddannelse og Pædagogik, Aarhus Universitet
    Morten Ougaard, Professor, Institut for Organisation, CBS
    Morten Reiffenstein Huno, Forskningsårstuderende, Bandim Health Project, AU
    Morten Rosenmeier, Professor, Det Juridiske Fakultet, Københavns Universitet
    Morten Skovdal, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    My von Euler-Chelpin, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Nan Gerdes, postdoc, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Nanna Grønning-Madsne, Ph.d.-stipendiat, Juridisk Institut, SDU
    Nao Takeuchi-Storm, Forsker, Fødevareinstituttet, DTU
    Neda Trifkovic, Assistant Professor, Department of Economics, KU
    Nermin Ghith, PostDoc research fellow, DTU Food, Technical University of Denmark
    Nicole, Assistant Professor, Management, Society & Communication, Copenhagen Business School
    Niels Brügger, Professor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Niels Heine Kristensen, Professor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Niels Morling, Professor, dr.med., Retsmedicinsk Institut, Københavns Universitet
    Niels Tommerup, Professor, Institut for Cellulær og Molekylær Medicin, Københavns Universitet
    Niklas Alexander Chimirri, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Nils Arne Sørensen, Professor, Institut for Historie, SDU
    Nils Gunder Hansen, Professor, Institut for Kulturvidenskaber, Syddansk Universitet
    Nils Risgaard-Petersen, Lektor, Biologi, Aarhus Universitet
    Nina Bonderup Dohn, Professor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Nina Gringer, Associate Professor, DTU Fødevareinstituttet, DTU
    Ninna Meier, Lektor, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, Aalborg Universitet
    Norbert Wildermuth, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Oana Ciofu, Professor of Antimicrobial Resistance, ISIM, Copenhagen
    Oke Gerke, Professor, Klinisk Institut, SDU
    Ole F. Olesen, Affilieret Professor, Folkesundhed, Global Health, KU
    Ole Hartvig Mortensen, Lektor, Biomedicinsk Institut, Københavns Universitet
    Ole Togeby, professor emeritus, Institut for Kommunikation & Kultur, AU
    Ole Wæver, Professor, Statskundskab, Københavns Universitet
    Oliver Kauffmann, Lektor, Danmarks Institut for Uddannelse og Pædagogik, Aarhus Universitet
    Palle Rasmussen, Professor Emeritus, Institut for Kultur og Læring, Aalborg Universitet
    Pascal Madeleine, Professor, Institut for Medicin og Sunhedsteknologi, Aalborg Universitet
    Patrick Munk, Adjunkt, DTU Food, DTU
    Patrick Njage, Research Scientist, National Food Institute, DTU
    Paul McIlvenny, Professor, Culture and Learning, Aalborg University
    Paul Richardt Metelmann, Ekstern lektor, IKH, Roskilde Universitet
    Pauline Stoltz, Lektor, Institut for Politik og Samfund, Aalborg Universitet
    Peer Bundgård, Lektor, Institut for Kommunikation & Kultur , AU
    Peer Hull Kristensen, Professor Emeritus, Department of Organization, Copenhagen Business School
    Per Richard Hansen, Lektor, Institut for Planlægning, Design for Sustainability, Aalborg Universitet
    Per Øhrgaard, Professor emeritus, Department of Management, Politics and Philosophy, CBS
    Per Aagaard, Professor, Institut for Idræt og Biomekanik, SDU
    Peter Bertram, Lektor, Art and Architecture, Det Kongelige Akademi
    Peter Duelund, Lektor emeritus, Institut for Kunst- og Kulturvidenskab, Københavns Universitet
    Peter Furu, Lektor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, KU
    Peter Grønkjær, Professor, Institut for Biologi, AU
    Peter Hagedorn-Rasmussen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Peter Karnøe, Professor, Institut for Planlægning, Design for Sustainability, Aalborg Universitet
    Peter Kjær Mackie Jensen, Lektor, Global Health, Københavns Universitet
    Peter Lund-Thomsen, Professor MSO, Management, Society and Communication, Copenhagen Business School
    Peter Olsén, Professor Emeritus, Institut for Mennesker og Teknologi (IMT), Roskilde Universitet
    Peter Schneider-Kamp, Professor, Institut for Matematik og Datalogi, Syddansk Universitet
    Peter Aaby, Professor, Bandim Health Project, SDU
    Philip Clausen, Postdoc, Fødevareinstituttet, DTU
    Philip Clausen, Postdoc, Fødevareinstituttet, DTU
    Pia Majbritt Jensen, Lektor, Medievidenskab og journalistik, Aarhus Universitet
    Pia Ringø, Lektor, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, Aalborg Universitet
    Pimlapas Leekitcharoenphon, Researcher, National Food Institute, Technical University of Denmark
    Pirkko Raudaskoski, Professor, Kommunikation og Psykologi, Aalborg Universitet
    Poul Poder, Lektor, Sociologisk institut, Københavns Universitet
    Poul Scheel Larsen, Professor Emeritus, MEK, DTU
    Rachel C. Smith, Associate Professor, Digital Design and Information Studies, Aarhus University
    Rafael Treibich, Associate Professor, Department of Economics, University of Southern Denmark
    Rashmi Singla, Lektor/Associate Professor, Department of People & Technology, Roskilde University
    Rasmus Erjnæs, Seniorforsker, Ecoscience, Aarhus Universitet
    Rasmus Grøn, Lektor, Kommunikation & Psykologi, Aalborg Universitet
    Rasmus Rex Pedersen, Lektor, Institutioner for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, Roskilde Universitet
    Ravinder Kaur, Lektor, Institut for Tværkulturelle og Regionale Studier, Københavns Universitet
    Rebecca Rutt, Lektor, Institut for Fødevarer og Ressourceøkonomi, Københavns Universitet
    Rene Hendriksen, Professor, DTU food, DTU
    Riccardo Fusaroli, Lektor, Institut for Kommunikation & Kulture, AU
    Rikke Buhl, Dyrlæge, professor, Institut for klinisk veterinærmedicin, Københavns Universitet
    Rikke Lund, Professor, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Rikke Vang Christensen, Lektor, Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Robin Smith, Marie Curie Fellow, Department of Organization, Copenhagen Business School
    Rocio Chongtay, Lektor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Rolf Sommer Kaas, Seniorforsker, DTU Food, DTU
    Ronnie N. Glud, Professor, Biologisk Institut, SDU
    Rune Bennike, Adjunkt, Institut for Fødevarer og Ressourceøkonomi, KU
    Rune Møller Stahl, Adjunkt, Politisk økonomi, CBS
    Sara Louise Muhr, Professor, Department of Organization, CBS
    Sarah Bro Trasmundi , Lektor, Institit for Sprog og Kommunikation, SDU
    Sebastian Egholm Lund, Ph.d-stipendiat, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Sébastien Doubinsky, lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Sidsel Lond Grosen, Lektor, Institut for mennesker og teknologi, RUC
    Sidsel Meldgaard Hove, PhD student, Department of Business & Management, SDU, University of Southern Denmark
    Sigga Waleng, Ph.d.-studerende, Institut for Mennesker & Teknologi, RUC
    Signe Uldbjerg, Videnskabelig assistent, Institut for kommunikation og kultur, AU
    Signild Vallgårda, Professor emerita, Institut for Folkesundhedsvidenskab, Københavns Universitet
    Simo Køppe, Professor, Psykologi, Københavns Universitet
    Simon Borchmann, Professor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Simon Nørby, Lektor, Danmarks institut for Pædagogik og Uddannelse, Aarhus Universitet
    Sine Nørhom Just, professor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Sofie Christiansen, Seniorforsker, DTU Fødevareinstituttet, DTU
    Sofie Skovbo Gottlieb, Diversity, Equity & Inclusion Lead, HR, CBS
    Sofie Venge Madsen, Studielektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Sophie Nyborg, Forsker, Institut for Vind og Energisystemer, DTU
    Steen Baagøe Nielsen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Steen Hildebrandt, Professor Emeritus, Ledelse, Aarhus Universitet
    Steen Nepper Larsen, Lektor, DPU Uddannelsesvidenskab, Aarhus Universitet
    Steen Visholm, Professor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Stefan Gaarsmand Jacobsen, Lektor, Institut for Tværkulturelle og Regionale Studier, Københavns Universitet
    Stefanie Steinbeck, PhD Felloe, Ledelse, Politik og Filosofi, CBS
    Stefano Kjerkegaard, Lektor / afdelingsleder, Institut for Kommunikation & Kultur, AU
    Stefano Ponte, Professor, Centre for Business and Development Studies (CBDS), Copenhagen Business School
    Steffen Ernø, Adjunkt, Institut for Sociologi og Socialt Arbejde, AAU
    Sten Pultz Moslund, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Sten Schaumburg-Müller, Professor, Juridisk Institut, SDU
    Stig Hirsbak, Senior forsker, Institut for planlægning, Aalborg Universitet
    Stine Liv Johansen, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Stine Rosenlund Hansen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Stine Thidemann Faber, Lektor, Institut for Politik og Samfund, Aalborg Universitet
    Sune Borkfelt, Studielektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Sune Nielsen, Studieadjunkt, IMT, Roskilde Universitet
    Sune Vork Steffensen, Professor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Sunny Mosangzi Xu, Postdoc, Department of organization, CBS
    Susan Løvstad Holdt, Lektor, Fødevareinstituttet, DTU
    Susana S. Fernández, Professor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Susana Tosca, Lektor, Institut for kommunikation og humanistisk Videnskab, RUC
    Susanne Brix Pedersen, Professor, Institut for Bioteknologi og Biomedicin, DTU
    Susanne Ekman, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Susanne Kaae, Lektor, Institut for Farmaci, Københavns Universitet
    Susanne S Pedersen, Professor, Institutleder, Institut for Psykologi, Syddansk Universitet
    Svend Brinkmann, Professor, Institut for Kommunikation og Psykologi, Aalborg Universitet
    Søren Askegaard, Professor, Institut for Virksomhedsledelse, SDU
    Søren Bec NIelsen , Lektor , Institut for Nordiske Studier og Sprogvidenskab, KU
    Søren Bro Pold, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur,, AU
    Søren Frank, Professor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Søren Jeppesen, Lektor, Center for Business and Development Studies, Department of Management, Society and Communication, CBS
    Søren Molin, Professor, NNF Center for Biosustainability, DTU
    Søren Rysgaard, Professor, Institut for Biologi, Aarhus Universitet
    Søren Sørensen, Professor, Biologisk Institut, Københavns Universitet
    Søren Wind Eskildsen, Lektor, Institut for Design og Kommunikation, SDU
    Tage Koed Madsen, Professor Emeritus, Institut for Virksomhedsledelse, Syddansk Universitet
    Tais W. Dahl, Lektor, Globe Institut, Københavns Universitet
    Tali Padan, PhD fellow, Management, Society and Communication, Copenhagen Business School
    Tanya Karoli Christensen, Professor, Nordiske Studier og Sprogvidenskab, Københavns Universitet
    Teresa Cadierno, Professor, Institut for Sprog og Kommunikation, SDU
    Thomas Bjarnsholt, Professor, Institut for Immunologi og Mikrobiologi, Københavns Universitet
    Thomas Mandrup-Poulsen, Professor, Biomedicinsk Institut, SUND, Københavns Universitet
    Thomas P. Boje, Professor, Institut for Samfundsvidenskab og Økonomi, Roskilde Universitet
    Thomas søbirk petersen, professor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Thorsten Treue, Lektor, Institut for Fødevarer og Ressourceøkonomi, KU
    Tilde Strandbygaard Jessen, Postdoc, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Tim Tolker-Nielsen, Professor, Department of Immunology and Microbiology, University of Copenhagen
    Tina Høegh, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Tina Thode Hougaard, Lektor, Institut for Kommunikation og Kultur, AU
    Tina Wilchen Christensen, Adjunkt, DPU – Institut for Pædagogisk psykologi, AU
    Tine Hald, Professor, Fødevareinstituttet, DTU – Danmarks Tekniske Universitet
    Tobias Pape Thomsen, Lektor, Institut for mennesker og teknologi, Roskilde universitet
    Tobias Wang, Professor, Institut for Biologi, Aarhus Universitet
    Tom Gilbert, Professor, Director DNRF Center for Evolutionary Hologenomics, Globe Institute, University of Copenhagen
    Tomas Ellegaard, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Torsten Bøgh Thomsen, Lektor, Institut for Kulturvidenskaber, SDU
    Trine Wulf-Andersen, Lektor, Institut for Mennesker og Teknologi, Roskilde Universitet
    Troels Lange, Postdoc, Biologisk Institut, Syddansk Universitet
    Tuomas Kilpeläinen, Associate Professor, Novo Nordisk Foundation Center for Basic Metabolic Research, University of Copenhagen
    Ulrik Kohl, Ph.d.-stipendiat, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Ulrik Schmidt, Lektor, Institut for Kommunikation og Humanistisk Videnskab, RUC
    Ushma Chauhan Jacobsen, Lektor, Institut for Kommunikation og kultur, AU
    Viggo Plum, Docent Emeritus, Institut for Mennesker og Teknologi, RUC
    Wietse Tol, Professor, Section for Global Health, KU
    Åse Marie Hansen, Professor, Deprtment of Public Health, University of Copenhagen

    https://uniavisen.dk/en/scientists-want-commission-to-investigate-research-freedom/?_gl=1*1sviamn*_ga*MzgzNDE0NTkyLjE2Nzk4MjUzMjc.*_up*MQ

    #Denmark

    • #Roberto_Mozzachiodi, UK

      SOLIDARITY WITH ROBERTO MOZZACHIODI

      After years of unparalleled academic and political work at Goldsmiths, our colleague, friend, teacher, caseworker, union branch co-Secretary #Roberto_Mozzachiodi has been put through an unfair employment process, and as a result no longer holds a substantive teaching position at the College. Roberto’s case reflects the working conditions of hundreds of staff at Goldsmiths, and thousands of staff employed on precarious, fixed-term, temporary contracts across British Higher Education. It also reflects the risks that come with openly committing to collective, ground-up solidarity that challenges the principles of how university work is organised, and reimagines union work accordingly.

      Roberto has been a leading figure in the fight against casualisation at Goldsmiths, and has been at the heart of campaigns that have radically transformed our place of work and study. He was core in the Goldsmiths #Justice_for_Cleaners and Goldsmiths #Justice_for_Workers movements that brought cleaning and security staff in-house, and core in the fight to extend basic rights to casualised workers at Goldsmiths at the height of the pandemic. He has supported countless staff and students through the grinding labour of union casework, and has worked tirelessly on strengthening and transforming the Goldsmiths branch of UCU through a radical commitment to anti-casualisation, anti-racism, and anti-factionalism, often fighting and organising for the rights of others in far more secure positions.

      Roberto’s specific case mirrors that of thousands across the country employed on temporary, fixed-term, and casualised contracts. Roberto was denied his redundancy-related employment rights when his contract came to an end. This involved, amongst other things, not being consulted on suitable alternative employment, including a permanent position very similar to the role he had been performing on a fixed-term basis over three terms. This amounts to a denial of casualised workers’ employment rights, and is something that is commonplace at Goldsmiths, and across the sector.

      As signatories of this letter, we call on Goldsmiths to act on the unjust treatment of Roberto. We also urge all at Goldsmiths and beyond to actively resist and challenge the endemic nature of precarious work in university life - at all times and at all scales, as Roberto has always done.

      Signed,

      Alice Elliot, Lecturer, Goldsmiths University of London
      Victoria Chwa, President, Goldsmiths Students’ Union
      Alicia Suriel Melchor, Operations Assistant, Forensic Architecture / Goldsmiths.
      Vicky Blake, UCU NEC, former president & Uni of Leeds UCU officer, former Chair of UCU Anti-Casualisation Committee
      Cecilia Wee, Associate Lecturer, Royal College of Art & co-Chair/co-Equalities RCA UCU branch
      Joe Newman, Lecturer, Goldsmiths, University of London
      James Eastwood, Co-Chair, Queen Mary UCU
      S Joss, HW UCU Branch President
      Rehana Zaman, Lecturer Art Department, Goldsmiths University of London
      Marina Baldissera Pacchetti, anti-cas officer, Leeds UCU
      Sam Morecroft, USIC UCU Branch President and UCU Anti Casualisation Committee
      Kyran Joughin, Anti-Casualisation Officer, UCU London Region Executive Committee, UCU NEC Member, former Branch Secretary, UCU-UAL
      Rhian Elinor Keyse, Postdoctoral Research Fellow; Birkbeck UCU Branch Secretary; UCU Anti-Casualisation Committee; UCU NEC
      Joanne Tatham, Reader, Royal College of Art and RCA UCU branch committee member, London
      Bianca Griffani, PhD candidate, Goldsmiths University of London, London
      Paola Debellis, PhD student, Goldsmiths, University of London.
      Ashok Kumar, Senior Lecturer, Birkbeck, University of London
      Chrys Papaioannou, Birkbeck UCU
      Fergal Hanna, PhD Student, University of Cambridge, UCU Anti-Casualisation Committee and Cambridge UCU Executive Committee member
      Robert Deakin, Research Assistant, Goldsmiths, University of London
      Grace Tillyard, ESRC postdoctoral fellow, MCCS Goldsmiths
      Yari Lanci, Associate Lecturer, Goldsmiths University of London.
      Caleb Day, Postgraduate researcher, Foundation tutor and UCU Anti-Casualisation Officer, Durham University
      Rachel Wilson, PhD Candidate, Goldsmiths University of London
      Sean Wallis, Branch President, UCL UCU, and NEC member
      Yaiza Hernández Velázquez, Lecturer, Visual Cultures, Goldsmiths.
      Akanksha Mehta, Lecturer, Goldsmiths, University of London
      Cathy Nugent, PhD Candidate, Goldsmiths, University of London
      Janna Graham, Lecturer Visual Cultures, Goldsmiths
      Isobel Harbison, Art Department, Goldsmiths
      Susan Kelly, Art Department, Goldsmiths
      Jessa Mockridge, Library, Goldsmiths
      Vincent Møystad, Associate Lecturer, MCCS, Goldsmiths
      Dhanveer Singh Brar, Lecturer, School of History, University of Leeds
      James Burton, Senior Lecturer, MCCS, Goldsmiths
      Louis Moreno, Lecturer, Goldsmiths
      Jennifer Warren, Visiting Lecturer, Goldsmiths MCCS
      Anthony Faramelli, Lecturer, Visual Cultures, Goldsmiths, University of London
      Billy Godfrey, Doctoral Researcher, Loughborough University; GTA, University of Manchester
      Fabiana Palladino, Associate Lecturer, Goldsmiths, University of London
      Morgan Rhys Powell, Doctoral Researcher and GTA; University of Manchester
      Tom Cowin, Anti-Casualisation Officer, Sussex UCU
      Conrad Moriarty-Cole, Lecturer, University of Brighton, and former PhD student at Goldsmiths College
      Marina Vishmidt, MCCS Lecturer, Goldsmiths University of London
      George Briley, Universities of London Branch Secretary, IWGB
      Callum Cant, Postdoctoral Researcher, Oxford Internet Institute
      Daniel C. Blight, Lecturer, University of Brighton
      Marion Lieutaud, Postdoctoral Research Fellow, LSE UCU anti-casualisation co-officer, London School of Economics
      Lukas Slothuus, LSE Fellow, LSE UCU anti-casualisation co-officer, London School of Economics
      Matthew Lee, UCL Unison Steward & IWGB Universities of London Representative
      Jamie Woodcock, University of Essex
      Dylan Carver, Anti-Casualisation Officer, University of Oxford
      Annie Goh, Lecturer, LCC UAL
      George Mather, PGR Anti-Casualisation Officer, University of Oxford
      Zara Dinnen, Branch co-chair QMUCU
      Henry Chango Lopez - IWGB Union, General Secretary
      Rhiannon Lockley - Branch Chair Birmingham City University UCU; UCU NEC
      Sol Gamsu, Branch President, Durham University UCU
      Ben Ralph, Branch President, University of Bath UCU
      Myka Tucker-Abramson, University of Warwick UCU
      Lisa Tilley, SOAS UCU
      James Brackley, Lecturer in Accounting, University of Sheffield
      Alex Fairfax-Cholmeley, Communications Officer, Uni of Exeter UCU
      Ioana Cerasella Chis, University of Birmingham (incoming branch officer)
      Muireann Crowley, University of Edinburgh, UCU Edinburgh
      Jonny Jones, associate lecturer, UCL
      Danai Avgeri, University of Cambridge, postdoctoral fellow
      Stefano Cremonesi, Durham University UCU
      Jordan Osserman, Lecturer, Essex UCU Member Secretary
      Danny Millum, Librarian, Sussex UCU Exec Member
      Sanaz Raji, ISRF Fellow, Northumbria University, Founder & Caseworker, Unis Resist Border Controls (URBC)
      Alex Brent, GMB South London Universities Branch Secretary
      Gareth Spencer, PCS Culture Group President
      Floyd Codlin, Environmental & Ethics Officer, Birkbeck
      Clare Qualmann, Associate Professor, University of East London and UCU branch treasurer, UEL
      Kevin Biderman, Brighton UCU anti-casualisation officer
      David Morris, CSM / University of the Arts London UCU
      Ryan Burns, Brighton UCU Secretary
      Julie canavan Brighton UCU
      Charlotte Terrell, Postdoc, Oxford UCU
      Clara Paillard, Unite the Union, former President of PCS Union Culture Group
      Jasmine Lota, PCS British Museum United Branch Secretary
      Joe Hayns, RHUL.
      Adam Barr, Birkbeck Unison
      Dario Carugo, Associate Professor, University of Oxford
      Jacob Gracie, KCL Fair Pay for GTAs
      Rahul Patel, UCU London Region Executive and Joint Sec University of the Arts London UCU
      Billy Woods, Essex UCU
      Lucy Mercer, Postdoctoral Research Fellow, University of Exeter
      Goldsmiths Anti-Racist Action (GARA)
      Saumya Ranjan Nath, University of Sussex
      Islam al Khatib, 22/23 Welfare and Liberation Officer, Goldsmiths SU
      Mijke van der Drift, Tutor, Royal College of Art
      Marini Thorne, PHD student and teaching assistant, Columbia University and member of Student Workers of Columbia
      Genevieve Smart, PhD student, Birkbeck
      Francesco Pontarelli, Postdoctoral fellow, University of Johannesburg
      Gloria Lawton, Outreach Homeless Worker, HARP and undergraduate Birkbeck University.
      Grant Buttars, UCU Scotland Vice President
      Goldsmiths Community Solidarity
      Nicola Pratt, Professor, University of Warwick
      Robert Stearn, Postdoctoral Research Associate, Birkbeck, University of London
      Jake Arnfield, UVW Union
      Jarrah O’Neill, Cambridge UCU
      Owen Miller, Lecturer, SOAS
      Marissa Begonia, Director, The Voice of Domestic Workers
      Neda Genova, Research Fellow, University of Warwick
      Joey Whitfield, Cardiff University UCU
      Leila Mimmack, Equity Young Members Councillor
      Ross Gibson, University of Strathclyde
      Phill Wilson-Perkin, co-chair Bectu Art Technicians, London
      Isabelle Tarran, Campaigns and Activities Officer, Goldsmiths Students Union
      Leila Prasad, lecturer, Goldsmiths
      Malcolm James, University of Sussex
      Natalia Cecire, University of Sussex
      Daniel Molto, University of Sussex
      Emma Harrison, University of Sussex
      Margherita Huntley, University of the Arts London (Camberwell UCU)
      Gavin Schwartz-Leeper, Warwick University UCU Co-Chair
      Mary Wrenn, University of the West of England
      Aska Welford (United Voices of the World)
      855 Unterschriften:Nächstes Ziel: 1.000

      https://www.change.org/p/solidarity-with-roberto-mozzachiodi?recruiter=false

      #petition #UK #Goldsmiths #precarity #union_work #British_Higher_Education #fixed_term #UCU

    • #Maria_Toft, Denmark

      In #Denmark #scientists are rolling out a nationwide #petition for a commission to investigate #research_freedom

      –> https://seenthis.net/messages/1009865

      PhD student at the Department of Political Science #Maria_Toft, in addition to the mentioned petition, also started a campaign under the hashtag #pleasedontstealmywork to stop the theft of research.

      –> https://seenthis.net/messages/1009866

      The national conversation about exploitation with #pleasedontstealmywork campaign was at the cost of #Maria_Tofts Copenhagen fellowship.

      –> https://www.timeshighereducation.com/news/campaigning-doctoral-candidate-resigns-hostile-environment (access if registered)

      This article assesses the #working_conditions of #precariat_researchers in #Denmark.

      –> https://seenthis.net/messages/1009867

      Twitter link: https://twitter.com/GirrKatja/status/1640636016330432512

    • #Heike_Egner, Austria

      Unterstütze #Heike_Egner für Grundrechte von Profs

      https://youtu.be/6w-deHpsmr4

      Ich sammle Spenden für eine juristische Klärung, die zwar meine Person betrifft, jedoch weitreichende Bedeutung für Professorinnen und Professoren im deutschsprachigen Wissenschaftsbereich hat. Die Entlassung einer Professorin oder eines Professors aus einer (unbefristeten) Professur galt bis vor kurzem noch als undenkbar. Mittlerweile ist das nicht nur möglich, sondern nimmt rasant zu.

      Der Sachverhalt: Ich wurde 2018 als Universitätsprofessorin fristlos entlassen. Für mich kam das aus heiterem Himmel, da es keinerlei Vorwarnung gab. Erst vor Gericht habe ich die Gründe dafür erfahren. Der Vorwurf lautet, ich hätte Mobbing und psychische Gewalt gegen wissenschaftliche Nachwuchskräfte und andere Mitarbeiter ausgeübt. Vor Gericht zeigte sich, dass die Vorwürfe durchwegs auf von mir vorgenommene Leistungsbewertungen basieren, die von den Betreffenden als ungerecht empfunden wurden. Die Bewertung von Leistungen von Studierenden und Nachwuchswissenschaftlern gehört zu den Dienstaufgaben einer Universitätsprofessorin, ebenso wie die Evaluierung von Leistungen der Mitarbeiter jenseits der Qualifikationserfordernisse zu den Dienstaufgaben einer Institutsvorständin an einer Universität gehört.

      Mittlerweile liegt der Fall beim Obersten Gerichtshof in Österreich. Ich habe eine „außerordentliche Revision“ eingereicht, da ich der Meinung bin, dass die Art meiner Entlassung von grundlegender Bedeutung für die Arbeitsbedingungen von Professoren an Universitäten ist. Unter anderem ist folgendes zu klären:

      Darf eine Universitätsprofessorin oder ein Universitätsprofessor aufgrund von anonym vorgetragenen Vorwürfen entlassen werden?
      Darf eine Universitätsprofessorin oder ein Universitätsprofessor aufgrund von ihr oder ihm durchgeführten negativen Leistungsbewertungen entlassen werden?

      Sollte die Berufungsentscheidung rechtskräftig bleiben, ist damit legitimiert, dass eine Professorin oder ein Professor aufgrund von freihändig formulierten und anonym vorgetragenen Behauptungen jederzeit entlassen werden kann. Dies entspricht einer willkürlichen Entlassung und öffnet Missbrauch Tür und Tor, da es Universitäten ermöglicht, sich jederzeit ihrer Professoren zu entledigen. Eine Universität ist aufgrund ihrer Struktur und ihres Auftrags eine grundsätzlich spannungsgeladene Organisation; hier lassen sich jederzeit unzufriedene Studenten, Nachwuchskräfte oder Mitarbeiter finden, die eine Beschwerde äußern. Die Möglichkeit willkürlicher Entlassung steht nicht nur in Konflikt mit den Formulierungen und der Zielsetzung des Arbeitnehmerschutzes, sondern auch mit der in der Verfassung verankerten Freiheit von Wissenschaft, Forschung und Lehre.

      Wofür bitte ich um Unterstützung?
      Es ist ein ungleicher Kampf, da die Universität Steuergelder in unbegrenzter Höhe zur Verfügung hat und ich – ohne Rechtsschutzversicherung – das volle Risiko des Rechtsstreits persönlich trage. Die bisherigen Kosten des Verfahrens belaufen sich auf etwa 120.000 € (eigene Anwaltskosten und Anwaltskosten der Gegenseite). Damit sind meine Ersparnisse weitgehend aufgebraucht.

      Mein Spendenziel beträgt 80.000 €.
      Dies umfasst die etwa 60.000 € Anwaltskosten der Gegenseite, die ich aufgrund des Urteils in zweiter Instanz zu tragen habe. Die weiteren 20.000 € fließen in die Forschung über die Entlassung von Professorinnen und Professoren, die ich seit 2020 mit einer Kollegin aus privaten Mitteln betreibe.

      Publizierte Forschungsergebnisse zur Entlassung von Professorinnen und Professoren

      Egner, Heike & Anke Uhlenwinkel (2021). Entlassung und öffentliche Degradierung von Professorinnen. Eine empirische Analyse struktureller Gemeinsamkeiten anscheinend unterschiedlicher „Fälle“. Beiträge zur Hochschulforschung, 43(1-2), 62–84. Download PDF
      Egner, Heike & Anke Uhlenwinkel (2021). Zur Rechtsstaatlichkeit universitätsinterner Verfahren bei Entlassung oder öffentlicher Degradierung von Professor*innen. Ordnung der Wissenschaft, 3(3), 173–184. Download PDF
      Egner, Heike & Anke Uhlenwinkel (2023). Über Schwierigkeiten der betriebsrätlichen Vertretung von Professor(innen). Zeitschrift für Hochschulrecht(22), 57–64.
      Egner, Heike & Anke Uhlenwinkel (2023). Zertifikat als Grundrecht? Über Leistungsansprüche und -erwartungen im Kontext struktureller Veränderungen an Universitäten. Hochschulwesen(1+2), 28–43.

      https://www.gofundme.com/f/fur-grundrechte-von-professoren

      Aus dem Video: Rektor hat Betriebsratsvorsitzenden aufgetragen gezielt belastbares Material in Schriftform gegen Heike Enger zu sammeln. Betreibsrat kam Auffroderung bereiwilling nach und sprach gezielt Mitarbeitende an und bat sie aufzuschreiben, worüber sie sich geärgert haben und dies auszuhändigen. Zeuge der Universität hat dieses Vorgehen vor Gericht vorgetragen.

      #academia #university #Austria #Klagenfurt #professor #dismissal #arbitrary #publications #lawsuit #evaluation #scientific_freedom

    • #Susanne_Täuber, Netherlands

      Reinstate #Susanne_Täuber, protect social safety and academic freedom at the RUG

      10 March 2023

      To prof. Jouke de Vries, President, and members of the Board of the University of Groningen,

      We, the undersigned employees and students of the University of Groningen (UG), joined by concerned observers and colleagues at institutions around the world, are appalled at the firing of Dr. Susanne Täuber. The facts of this case are clear: Dr. Täuber was punished for exerting her academic freedom. The same court that allowed the UG to fire her also made it clear that it was the university’s negative reaction to an essay about her experiences of gender discrimination at the university that “seriously disturbed” their work relationship. Alarming details have also been made public about how the university pressured Dr. Täuber to censor future publications, in order to retain her position.

      The protest in front of the Academy Building on 8 March, International Women’s Day, and the continuing press attention and social media outcry, demonstrate that this case has consequences far beyond one university. Firing a scholar who publishes work that is critical of powerful institutions, including the university itself, sets a disturbing precedent for us all. We, the employees and students, ARE the UG, and we refuse to let this act be carried out in our names. We call on the University Board to reinstate Dr. Täuber, without delay, as an associate professor, and to ensure that she is provided with a safe working environment.

      The firing of Dr. Täuber has surfaced structural problems that necessitate immediate action by the University Board and all UG faculties. It is unacceptable that when a “disrupted employment relationship” emerges within a department, the more vulnerable person is fired. This points to a broader pattern at Dutch universities, as evidenced by the YAG Report (2021), the LNVH Report (2019), and other recent cases: in cases of transgressive behavior, Full Professors, Principal Investigators (PIs), and managers are protected, while employees of lower rank, or students, bear the consequences. If we are to continue performing our education and research mission, then this practice must be reformed, and the University of Groningen has an opportunity to lead here. We call on the University Board to work with labor unions, the LNVH, the University Council, and Faculty Councils to design and implement a safe, independent procedure for addressing violations of social safety: one that prioritizes the protection and support of vulnerable parties.

      Internal reforms will help ensure the safety of students and employees, but they will not repair the damage these events have caused to the reputation of the University of Groningen. The termination of a scholar who publishes field-leading research that is critical of academia has triggered doubts among employees, students, and the public about the UG’s commitment to academic freedom. This action is already raising concerns from talented job candidates, and we fear a chilling effect on critical research at the UG and beyond. We call on the University of Groningen, in partnership with the Universities of the Netherlands (UNL), the Ministry of Education, and the labor unions, to enshrine protections for academic freedom in the Collective Labor Agreement.

      Reinstate Dr. Täuber, reform complaint procedures, and establish binding protections for academic freedom. The relationship between the University of Groningen and the people it employs, teaches, and serves has been severely disrupted in the past weeks, but that relationship can be repaired if the Board begins taking these actions today.

      Sincerely,

      References:
      Leidse hoogleraar ging ‘meerdere jaren’ in de fout. (2022, October 25). NRC. https://www.nrc.nl/nieuws/2022/10/25/leidse-hoogleraar-ging-meerdere-jaren-in-de-fout-a4146291

      LNVH. (2019). Harassment in Dutch academia. Exploring manifestations, facilitating factors, effects and solutions. https://www.lnvh.nl/a-3078/harassment-in-dutch-academia.-exploring-manifestations-facilitating-factors-eff.

      Täuber, S. (2020). Undoing Gender in Academia: Personal Reflections on Equal Opportunity Schemes. Journal of Management Studies, 57(8), 1718–1724. https://doi.org/10.1111/joms.12516

      Upton, B. (2023, March 8). Court rules Groningen is free to fire critical lecturer. Times Higher Education (THE). https://www.timeshighereducation.com/news/court-rules-groningen-free-fire-critical-lecturer

      Veldhuis, P., & Marée, K. (2023, March 8). Groningse universiteit mag kritische docent ontslaan. NRC. https://www.nrc.nl/nieuws/2023/03/08/groningse-universiteit-mag-kritische-docent-ontslaan-a4158914

      Young Academy Groningen. (2021). Harassment at the University of Groningen. https://www.rug.nl/news/2021/10/young-academy-groningen-publishes-report-on-harassment-in-academia

      https://openletter.earth/reinstate-susanne-tauber-protect-social-safety-and-academic-freedom-at

      The article:

      Täuber, S. (2020) ‘Undoing Gender in Academia: Personal Reflections on Equal Opportunity Schemes’, Journal of Management Studies, 57(8), pp. 1718–1724.

      –> https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/joms.12516

  • A69, l’emblème d’une fuite en avant
    http://carfree.fr/index.php/2023/04/24/a69-lembleme-dune-fuite-en-avant

    Ils, elles sont chercheurs, scientifiques (géographes, écologues, économistes, historiens…), députés, sénateurs ou élus européens, personnalités du monde de la culture… et lancent aujourd’hui l’alerte en diffusant une tribune intitulée : A69, Lire la suite...

    #Fin_de_l'automobile #Fin_des_autoroutes #Pétitions #autoroutes #castres #destruction #toulouse

  • En Corrèze, la création d’un centre pour demandeurs d’asile sème la discorde : « Les gens se regardent avec méfiance maintenant »

    Depuis qu’ils ont découvert l’ouverture imminente d’un lieu d’#accueil pour demandeurs d’asile dans l’ancienne auberge de leur village, les habitants de #Beyssenac vivent entre #pétitions, #manifestations de l’extrême droite et brouilles entre voisins.


    L’#auberge_de_la_Mandrie surgit après un virage, laissant le village de Beyssenac derrière soi. Ici, tout le monde connaît l’histoire de cette ancienne école rachetée par le couple Millot, dans les années 70, pour en faire un hôtel-restaurant. De l’autre côté de la départementale qui file vers Pompadour, des pancartes semblent avoir poussé dans les arbres. Les messages à la bombe fluo indiquent « Non au Cada, gardons notre auberge » ou encore « Cada imposé par le préfet, colère augmentée ».

    La nouvelle est tombée début février, lorsque le quotidien la Montagne révèle que les aubergistes de la Mandrie partent à la retraite et que le lieu va devenir un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada). D’ici l’automne, 40 exilés vivront sur place le temps d’obtenir, ou non, le statut de réfugié. Depuis cette annonce, les deux frères ne répondent plus aux sollicitations. « Vous savez, on est pas mal échaudés », dit l’aîné. Peu après la révélation, des manifestations ont éclaté dans ce village de 350 âmes. Les témoins racontent les 150 personnes devant la mairie, les fumigènes et les cagoules. Des membres de l’#Action_française venus de Limoges, à 60 kilomètres de là, ont déployé une #banderole « Immigration nation en danger » dans un face-à-face avec des militants antifas.

    « La peur s’est installée »

    « Du jamais-vu en vingt-trois ans de mandat ! » bout le maire #Francis_Comby (LR). Il a déposé trois plaintes pour #menaces_de_mort et pour #diffamation. On l’accuse d’accepter « des clandestins », d’avoir refusé l’installation d’une résidence senior sur le même site et caché ce nouveau projet. L’élu affirme n’être au courant de rien et, lassé de cette affaire, préfère parler de la deuxième fleur « Villes et Villages Fleuris » que vient de recevoir Beyssenac.

    « Ils ont tardé à mettre les choses au clair et la #peur s’est installée », regrette une habitante qui exige l’anonymat, comme tous ceux voulant bien témoigner. Elle n’a pas signé les pétitions, quitte à s’opposer à ses voisins. « On était un village sans histoire et maintenant, les gens se regardent avec méfiance », décrit une Beyssenacoise. Celle-ci a rejoint le collectif anti-Cada de Christian Cargouet. « On est les gentils, insiste le formateur en hôtellerie de 58 ans. On ne veut pas être un parti politique, juste comprendre. » Le groupe, soutenu par le délégué départemental Rassemblement national Valéry Elophe, a sa théorie : « Il faut nettoyer Paris avant les JO », les exilés ne soutiendront pas l’économie locale et l’association mandatée trempe dans des « magouilles ».

    Le second collectif, « #Sauvons_Beyssenac » appuyé par #Reconquête ! vise la même issue qu’à Callac dans les Côtes-d’Armor : l’abandon du projet. Son créateur, Philippe Ponge, sert l’argument de « l’endroit inadapté ». Tous les villageois le reconnaissent : il n’y a plus de commerces, de médecin ni même de club des aînés. Seuls le comité des fêtes et la société de chasse résistent. Mais avec 1,29 place de dispositif national d’accueil (DNA) pour 1 000 habitants, la Corrèze était le deuxième département le moins bien doté de Nouvelle-Aquitaine – elle-même déficitaire par rapport au niveau national.

    Mi-mars, lors d’une réunion publique longtemps réclamée au préfet, un sentiment d’injustice gronde dans la salle des fêtes bondée. « Et pour les aînés de nos campagnes, vous faites quoi ? Ils n’ont pas le droit aux navettes pour aller chez le médecin », dénonce un quinqua sous les applaudissements. « Ceux qui peuvent se payer la traversée sont blindés. Nous, on n’a pas d’argent », crie un autre. « Ma maison est invendable. C’est terminé pour moi et pour ma famille », ajoute une retraitée avant de déguerpir. « Les oppositions aux Cada sont de plus en plus récurrentes », commente Karine Bouteleux, directrice du pôle asile de Viltaïs. L’association est connue sur le territoire notamment pour avoir organisé l’accueil des réfugiés ukrainiens.

    Des habitants du coin, plus discrets par peur des représailles, ont proposé de donner des cours de français au Cada. « On peut être contre le projet, pas contre les humains », tranche un couple dont les enfants iront à l’école avec les jeunes demandeurs d’asile. Tandis que les opposants s’alarment d’une baisse du niveau scolaire, eux voient la possibilité de sauver une classe de la fermeture.

    De retour aux abords de la Mandrie, la gendarmerie patrouille. Viltaïs peaufine les derniers détails. Il y aura un surveillant vingt-quatre heures sur vingt-quatre, mesure exceptionnelle pour calmer les inquiétudes de la population. « J’espère que le RN ne fera pas d’esclandres », commente Karine Bouteleux. Les premières familles arrivent la semaine prochaine.

    https://www.liberation.fr/societe/en-correze-la-creation-dun-centre-pour-demandeurs-dasiles-seme-la-discord

    #anti-migrants #asile #migrations #réfugiés #France #hébergement #extrême_droite #CADA #opposition

    via @karine4

  • 7G Firewall | Perishable Press
    https://perishablepress.com/7g-firewall

    The 7G Firewall is a powerful, well-optimized set of rewrite rules that checks all URI requests against a set of carefully constructed Apache/.htaccess or Nginx directives. This happens quietly behind the scenes at the server level, which is optimal for performance because it avoids the need to load up PHP and MySQL just to block a bad request. This is one reason why securing at the server level is better than using a plugin or other PHP script.

    #rewrite_rules #htaccess #firewall #SPIP

  • Pourquoi les trottinettes électriques en libre-service posent de nombreux problèmes
    http://carfree.fr/index.php/2023/03/31/pourquoi-les-trottinettes-electriques-en-libre-service-posent-de-nombreux-pr

    Ce dimanche 2 avril 2023, les Parisiens devront se prononcer sur l’avenir des trottinettes en libre-service dans la capitale. Faut-il ou non continuer à les autoriser ? Si plusieurs villes les ont Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Argumentaires #Insécurité_routière #Marche_à_pied #Pétitions #critique #paris #sécurité_routière #trottinette

  • Pétition pour la dissolution de la BRAV-M
    https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1319

    La répression policière qui s’abat sur notre pays doit conduire à remettre à l’ordre du jour l’impératif démantèlement de la BRAV-M. Le pays étouffe de témoignages d’exactions violentes et brutales commises par ces brigades motorisées à l’encontre des manifestants qui tentent de faire entendre leur opposition à un projet de régression sociale. (...) Nous demandons la dissolution de la BRAV-M. Stoppons le massacre. Source : Assemblée nationale

  • Mise en place d’un barème du montant des amendes proportionnel aux revenus des contrevenants #pétition du Sénat
    https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1289


    #égalité

    Le montant des #amendes forfaitaires, en particulier pour les infractions au code de la route est actuellement uniforme pour tous les contrevenants. Cela implique une distorsion de la capacité à payer en fonction des revenus et donc une capacité de dissuasion réduite de l’amende pour les citoyens qui ont des revenus élevés.
    Afin de réduire cette inégalité devant l’amende et lui redonner son caractère dissuasif, je propose que les amendes soient calculées en France, comme cela se fait depuis plusieurs années en Finlande, en multiples des revenus d’une journée de travail.
    De cette manière, le coût pour le contrevenant a le même impact proportionnel sur son revenu mensuel, quel que soit le montant de ses revenus et retrouve son caractère dissuasif.

    #démocratie #sécurité_routière

    Marche déjà très bien en 🇫🇮

    Un gars au RSA fait un petit excès de vitesse < 10 km/h avec sa vielle R5 de 715 kgs : ça lui coutera 90€ (amende minorée) soit 16% de son revenu mensuel et 1 point de permis. C’est énorme !

    Une personne très aisée en SUV Maserati de 2 Tonnes gagnant 20k€/mois fait un excés de vitesse < 10 km/h : ça lui coutera aussi 90€ et 1 point, mais ça ne représentera que 0,45% de son revenu mensuel, soit rien !

    16% vs 0,45%

    🖍️ Signez et 🔁 boostez cette pétition lancée par @fredB 🙏

    https://framapiaf.org/@lyon5avelo@masto.bike/109723117801000812

  • Pour un moratoire sur les projets routiers destructeurs
    http://carfree.fr/index.php/2022/10/10/pour-un-moratoire-sur-les-projets-routiers-destructeurs

    En janvier 2022, plusieurs collectifs en lutte se sont rassemblés pour créer une coalition interlutte contre les projets routiers destructeurs. Nous avons publié en mai un appel à coalition des Lire la suite...

    #Etalement_urbain #Fin_de_l'automobile #Fin_des_autoroutes #Pétitions #autoroutes #routes

  • Village’s Tribute Reignites a Debate About Italy’s Fascist Past

    This village in the rolling hills east of Rome is known for its fresh air, olive oil and wine — and its residual appreciation of Benito Mussolini, whose image adorns some wine bottles on prominent display in local bars.

    This month, the town’s fascist sympathies became the subject of intense debate when its mayor unveiled a publicly financed memorial to one of its most controversial former citizens: Rodolfo Graziani, a general under Mussolini who was accused of war crimes at the end of World War II and earned the title of “the Butcher” in two campaigns during Italy’s colonization of North Africa in the 1920s and ’30s.

    The monument, in a style reminiscent of fascist architecture, sits on the town’s highest hill, with the Italian flag flying from the top and inscriptions reading “Honor” and “Homeland.” Inside sits an austere marble bust of General Graziani, surrounded by original copies of the front pages of the newspapers from the day of his death in 1955, a plaque from a street once dedicated to him here and a list of his deeds and honors.

    The dedication elicited harsh criticism from left-wing politicians and commentators in the pages of some Italian newspapers, and has raised deeper questions about whether Italy, which began the war on the side of the Axis powers and ended it with the Allies, has ever fully come to terms with its wartime past.

    In an interview, Ettore Viri, the mayor of Affile, brushed off the criticism. “The head is a donation of a citizen,” he said, glancing proudly at the bust, before quickly acknowledging that he was the citizen. “Actually, I had it in my living room,” he said, adding that he had given large donations of his own money to maintain Mussolini’s grave in northern Italy.

    Yet the mayor’s political opponents are aghast at the town’s honoring General Graziani — and using $160,000 in public money to do so. In a statement released the day before the dedication ceremony, Esterino Montino, a regional leader of the Democratic Party, said, referring to the Nazi leader Hermann Goering: “It’s as if some little village in some German province built a monument to Goering. The fact that such a scandal is planned in a small village outside of Rome does not downgrade the episode to provincial folklore.”

    By and large, however, the memorial appears to have won acceptance in this mostly conservative town of 1,600. More than 100 people attended the dedication, some of them holding flags of far-right extremist groups and wearing black shirts in a nod to Mussolini’s Blackshirt squads, according to several people who attended.

    For some, General Graziani’s crimes from World War II pale in comparison to what he did in Africa earlier, killing hundreds of thousands of people — sometimes with chemical weapons — and wiping out entire communities, especially in Eritrea.

    In the 1930s, General Graziani commanded some of the Italian troops who invaded Ethiopia under the reported slogan “ ‘Il Duce’ will have Ethiopia, with or without the Ethiopians.” He later became the viceroy of Ethiopia, where he earned his second title as butcher — the first came in Libya — for a particularly brutal campaign in reprisal for an attempt on his life.

    After the fall of Mussolini’s government in 1943, General Graziani remained loyal to him and became the minister of war of the Italian Social Republic, a rump government led by Mussolini in the parts of Italy not controlled by the Allies. General Graziani was never prosecuted for any war crimes in Africa, but in 1948 the United Nations War Crimes Commission said there were plausible charges against him and other Italians.

    In 1948, an Italian court in Rome sentenced General Graziani to 19 years in prison for collaborating with the Nazis, but he received a suspended sentence that was later commuted.

    But it was the African campaigns, which went entirely unpunished, that critics say are the greatest stain on his record, and the strongest argument against a memorial. “A monument to somebody who committed crimes against humanity in his fierce repression using gas against young Ethiopians is serious and unacceptable, regardless of where it happens,” Mr. Montino, the left-wing lawmaker, wrote.

    Here in Affile, many regard General Graziani more as a local boy who made good than the perpetrator of some of the most heinous massacres in Mussolini’s bloody colonization campaigns.

    “To me it’s a recognition of our fellow citizen who was the youngest colonel of the Italian Army,” said Alberto Viri, a 65-year-old retiree who lives in Milan but was vacationing on a recent afternoon in his native Affile. “He defended the homeland until the end, as he was loyal to our first allies, the Germans, even after Sept. 8,” Mr. Viri added, referring to the armistice when Italy shifted from the Axis to the Allies.

    Some are more upset by the financing than by the monument itself. “I am not a fascist,” said Aldo Graziani, 72, a retiree (no relation) who joined in the conversation in a local bar. “I am not bothered by the monument to Graziani, per se. I am rather bothered by the fact that they should have built it with their own money, not with public money.”

    Mr. Viri, the retiree, has childhood memories of General Graziani riding around the village on his white horse with a white dog to get the paper at the Viri family’s news kiosk. He remembers how soldiers attending the general’s funeral in 1955 distributed food to hungry local children.

    Some scholars say that Italy’s failure to bring fascist officials to justice has caused a “selective memory” of the fascist era, where visions of the past fall along contemporary political lines.

    “Antifascist culture has remained the privilege of the left, some liberals and Christian Democrats,” said Luca Alessandrini, the director of the Parri Institute in Bologna, referring to the centrist Catholic party that dominated in the postwar era. “The big weakness of Italian history is that these forces have failed to produce an historical judgment on fascism,” he added.

    Much the same is true of the colonial era. Compared with Britain and France, Italy developed colonial aspirations rather late in the game, invading Libya in 1911 and Ethiopia, for the second time, in 1935. (The first Ethiopian invasion, in 1895, failed.) Even today, few Italians are particularly aware of the colonial episodes, which have not been central to national debate.

    “Italy was so poor and destroyed after World War II that nobody really worried about the colonies, and the loss thereof, let alone people’s education on this,” said the historian Giorgio Rochat.

    In Affile, many deny that General Graziani was a fascist tyrant, arguing that he just obeyed his superiors’ orders. But some are outraged by the monument.

    “This has always been a center-right village,” said Donatella Meschini, 52, a teacher who served on the City Council from 2003 to 2008 under the only center-left mayor in Affile in 50 years. “But after this memorial, what can we expect? That they call us up on Saturday to do gymnastics in the main square like the fascist youth used to do?”

    “April 25 has just never arrived here,” Ms. Meschini added, referring to the day of the Allied liberation of Italy in 1945.

    https://www.nytimes.com/2012/08/29/world/europe/village-reignites-debate-over-italys-fascist-past.html

    #Affile #mémoire #fascisme #histoire #Italie #Mussolini #Benito_Mussolini #Rodolfo_Graziani #Graziani #mémorial #colonisation #passé_colonial #Italie_coloniale #colonisation #monument #patria #onore #Ettore_Viri

    –—

    ajouté à la métaliste sur la #colonialisme_italien :
    https://seenthis.net/messages/871953

    ping @cede @olivier_aubert

    • Flash mob dell’ANPI ad Affile, Pagliarulo: «Il monumento al boia Rodolfo Graziani è un’ ignominia!»

      In occasione dell’84esimo anniversario della strage di Debra Libanos (Etiopia) ordita dal criminale di guerra Rodolfo Graziani. L’intervento del Presidente nazionale ANPI Gianfranco Pagliarulo

      Oggi 28 maggio alle 18 si è svolto ad Affile (Roma) un flash mob promosso dall’ANPI - con la presenza del Presidente nazionale Gianfranco Pagliarulo e del Presidente dell’ANPI provinciale di Roma Fabrizio De Sanctis - in occasione dell’84esimo anniversario della strage di Debra Libanos (Etiopia).

      Dal 21 al 29 maggio 1937 nel monastero di Debra Libanos furono trucidati monaci, diaconi, pellegrini ortodossi, più di 2.000, per opera degli uomini del generale Pietro Maletti, dietro ordine di Rodolfo Graziani, viceré d’Etiopia. Ad Affile è situato un monumento dedicato proprio a Graziani.

      In un passaggio del suo intervento così si è espresso Pagliarulo: «Siamo qui per denunciare una grande ignominia: un monumento intitolato non al soldato affilano più rappresentativo, come incautamente affermato, ma all’uomo delle carneficine, delle impiccagioni, dei gas letali. Perché questo fu Rodolfo Graziani. E le due parole sulla pietra del monumento, Patria e Onore, suonano come il più grande oltraggio alla Patria e all’Onore. Onore è parola che significa dignità morale e sociale. Quale onore in un uomo che sottomette un altro popolo in un’orgia di sangue? Patria. La nostra patria è l’Italia. La parola Italia è nominata nella Costituzione due sole volte: L’Italia è una repubblica fondata sul lavoro, L’Italia ripudia la guerra. Tutto il contrario di un Paese fondato sul razzismo imperiale. Perché, vedete, le stragi di Graziani furono certo l’operato di un criminale di guerra, e non fu certo l’unico. Ma furono anche stragi dello Stato fascista, di una macchina di violenza e di costrizione verso l’altro».

      Era presenta anche una delegazione dell’Associazione della Comunità etiopica di Roma.

      https://www.anpi.it/articoli/2504/flash-mob-dellanpi-ad-affile-pagliarulo-il-monumento-al-boia-rodolfo-graziani-e
      #résistance #flash_mob

    • Nicola Zingaretti: no al monumento per ricordare un criminale di guerra fascista, stragista del colonialismo. #25aprile

      Caro Presidente Nicola Zingaretti,

      mi chiamo Igiaba Scego, sono una scrittrice, figlia di somali e nata in Italia. Sono una della cosiddetta seconda generazione. Una donna che si sente orgogliosamente somala, italiana, romana e mogadisciana.

      Le scrivo perchè l’11 Agosto 2012 ad Affile, un piccolo comune in provincia di Roma, è stato inaugurato un “sacrario” militare al gerarca fascista Rodolfo Graziani. Il monumento è stato costruito con un finanziamento di 130mila euro erogati della Regione Lazio ed originariamente diretti ad un fondo per il completamento del parco di Radimonte.

      Rodolfo Graziani, come sa, fu tra i più feroci gerarchi che il fascismo abbia mai avuto. Si macchiò di crimini di guerra inenarrabili in Cirenaica ed Etiopia; basta ricordare la strage di diaconi di Debra Libanos e l’uso indiscriminato durante la guerra coloniale del ’36 di gas proibiti dalle convenzioni internazionali.

      Dopo la fine del secondo conflitto mondiale, l’imperatore d’Etiopia Hailè Selassié, chiese a gran voce che Rodolfo Graziani fosse inserito nella lista dei criminali di guerra. La Commissione delle Nazioni Unite per i crimini di guerra lo collocò naturalmente al primo posto.

      Il monumento a Rodolfo Graziani è quindi un paradosso tragico, una macchia per la nostra democrazia, un’offesa per la nostra Costituzione nata dalla lotta antifascista.

      In questi ultimi giorni, i neoparlamentari Kyenge, Ghizzoni e Beni hanno depositato un’interpellanza affinché il Governo si pronunci sulla questione di Affile.

      Io in qualche modo legandomi alla loro iniziativa chiedo a lei, Presidente Zingaretti un impegno concreto contro questo monumento della vergogna. Non solo parole, ma fatti (demolizione e/o riconversione del monumento) che possano far risplendere un sole di democrazia in questa Italia che si sta avviando a celebrare il 68° anniversario del 25 Aprile.

      Mio nonno è stato interprete di Rodolfo Graziani negli anni ’30. Ha dovuto tradurre quei crimini e io da nipote non ho mai vissuto bene questa eredità. Mio nonno era suddito coloniale, subalterno, costretto a tradurre, suo malgrado, l’orrore. Oggi nel 2013 io, sua nipote, ho un altro destino per fortuna. Per me e per tutt* le chiedo un impegno serio su questa questione cruciale di democrazia.

      _____________________________________________________________

      Dear President Nicola Zingaretti,

      My name is Igiaba Scego, I am a writer, born in Italy, daughter of Somali people.

      I am one of the so-called «second generation». A woman who proudly feel herself both Somali, Italian, Roman.

      I am writing to you because on the 11th of August 2012, in Affile, a small town in the province of Rome, it was inaugurated a monument in honour of the fascist Rodolfo Graziani. The monument was built with a loan of 130 thousand euro from the Lazio region, a fund originally intended to finance the Radimonte park.

      Rodolfo Graziani, as you know, was one of the most ferocious commander that fascism has ever had. He was found guilty of war crimes in Cyrenaica and Ethiopia; the massacre of deacons in Debra Libanos and the use of prohibited gas during the colonial war of ’36 are just two of those massacres that can be mentioned.

      After the end of World War II, the emperor of Ethiopia, Haile Selassie, firmly asked for Rodolfo Graziani to be included in the list of war criminals. The Commission of the United Nations War Crimes placed him at the first place in that list.

      The monument to Rodolfo Graziani is therefore a tragic paradox, a stain on our democracy, an insult to our constitution born from the struggle against fascism.

      In the recent days, the neoparlamentari Kyenge, Ghizzoni and Beni filed an interpellation to address this problem to the Government.

      I am somehow trying to be with them, by asking to you, Mr President Zingaretti, a real commitment against this monument of shame. I am not only asking for words but for a real commitment (demolition and / or conversion of the monument) that can let the sun of democracy to shine again in Italy, approaching the 68th anniversary of the April 25.

      My grandfather had to translate Graziani’s crimes, he was a colonial victim, and had to translate the horror, against his will. Today in 2013, his niece, has another destiny. For me and for all I am asking to you a serious commitment on this crucial issue of democracy.

      https://www.change.org/p/nicola-zingaretti-no-al-monumento-per-ricordare-un-criminale-di-guerra-fasci

      #pétition

  • Appel à désarmer les criminels climatiques !

    Ne laissons pas les ultra-riches et leurs multinationales détruire la planète

    Cet été nous avons vécu une succession de catastrophes climatiques : canicules, sécheresses extrêmes, mégafeux. Les restrictions d’eau ont touché l’ensemble du territoire. Orages, tornades, inondations ont également causé des dégâts parfois mortels.

    Dans le même temps, nous avons assisté, avec colère, à l’indécence des ultra-riches. Bernard Arnault (LVMH), Vincent Bolloré, Martin Bouygues, François Pinault (Kering) ou Patrick Pouyanné (Total) ont multiplié les trajets de loisir ou de confort dans leur jet privé ou leur méga-yacht, et, en pleine pénurie d’eau, des dérogations ont permis l’arrosage des golfs.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2022/09/16/appel-a-desarmer-les-criminels-climatiques

    #politique #pétition

  • Une campagne d’ingérence étrangère proaméricaine démantelée sur Twitter et Facebook Jeff Yates - Radio Canada
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1907927/ingerence-etrangere-americaine-moyen-orient-iran-asie-centale-faceb

    L’opération était gérée depuis les États-Unis, mais il n’est pas possible de savoir si le gouvernement se cache derrière.

    Des chercheurs ont détecté une campagne clandestine sur les réseaux sociaux visant à promouvoir les intérêts des États-Unis et à alimenter la méfiance envers leurs adversaires, selon un nouveau rapport publié mercredi https://fsi.stanford.edu/news/sio-aug-22-takedowns .

    Cette campagne clandestine, active depuis 2017, visait à influencer les utilisateurs de réseaux sociaux habitant en Asie centrale, en Iran, en Afghanistan et au Moyen-Orient. À l’aide de faux comptes se faisant passer pour des médias et des habitants locaux, la campagne cherchait à attiser le ressentiment envers la Russie, l’Iran et la Chine. Près de la moitié des comptes visaient la population iranienne.

    Les chercheurs, travaillant pour la firme d’analyse des réseaux sociaux Graphika, ainsi que pour l’Observatoire de l’Internet de l’Université Stanford, jugent qu’il s’agit de “la plus vaste opération d’influence pro-occidentale sur les réseaux sociaux jamais analysée par des chercheurs œuvrant dans le renseignement d’origine sources ouvertes (open source)”.

    En tout, l’équipe a analysé près de 300 000 tweets provenant de 146 faux comptes Twitter, ainsi que 39 faux comptes, 16 pages, 2 groupes sur Facebook et 26 comptes Instagram. Les chercheurs ont aussi trouvé des faux comptes associés sur d’autres réseaux sociaux de langue russe. Selon leur analyse, tous ces faux comptes agissaient de façon coordonnée.

    Meta, l’entreprise qui détient Facebook et Instagram, et Twitter ont supprimé l’entièreté du réseau et affirment que ces faux comptes auraient été gérés depuis les États-Unis. Ni ces entreprises ni les chercheurs ne peuvent dire avec certitude qui est derrière cette campagne.

    Les chercheurs notent toutefois qu’une version archivée d’un des faux comptes montre que celui-ci indiquait en 2021 appartenir à CENTCOM, le commandement central des États-Unis, responsable des opérations militaires au Moyen-Orient et en Asie centrale, entre autres.

    Le réseau a même utilisé des portraits générés par l’intelligence artificielle pour créer des faux profils plus réalistes. Ces comptes ont répandu des articles provenant de sites web de faux médias locaux, des caricatures, ainsi que des pétitions comportant un message pro-occidental.

    Quelques faux profils appartenant au réseau et visant le Moyen-Orient. Les photos de profil ont été créées à l’aide de l’intelligence artificielle. Photo : Graphika/Stanford University

    Peu après le début de l’invasion russe de l’Ukraine, plusieurs de ceux-ci ont cherché à dépeindre la Russie comme étant un agresseur et à mettre l’accent sur les atrocités alléguées commises par les soldats russes.

    “Jusqu’à maintenant, presque toute la recherche sur les opérations d’influence se penchait sur des activités liées à des régimes autoritaires. Notre rapport offre un des premiers regards sur une opération clandestine proaméricaine sur les réseaux sociaux”, juge Shelby Grossman, qui fait partie des auteurs du rapport et chercheuse à l’Observatoire de l’Internet de Stanford.

    Elle et ses collègues soulignent que la campagne était relativement de piètre qualité. Certains textes étaient par exemple traduits de l’anglais au russe de façon approximative. Les publications de ces faux comptes ont généré peu d’engouement chez les populations visées. Le tweet moyen associé à cette campagne a reçu 0,49 j’aime et 0,02 retweet, fait remarquer Mme Grossman. . . . . . . .

    #USA #CIA #twitter #facebook #méta #manipulation #algorithmes #réseaux_sociaux #ia #intelligence_artificielle #pétitions #influenceurs #influenceuses #centcom #médias #ukraine