• A Nantes, les femmes ont leur Citad’elles | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/104068-000-A/a-nantes-les-femmes-ont-leur-citad-elles

    Citad’elles est un lieu d’accueil pour toutes les femmes victimes de violence, à #Nantes. Ouvert depuis novembre 2019, il fonctionne 7 jours sur 7 et 24h sur 24. Sa spécificité est de réunir en un même lieu tous les services dont une victime peut avoir besoin : avocat, assistante sociale, psychologue... Pilote en France, Citad’elles accueille plus de 80 femmes par semaine et pourrait servir de laboratoire à d’autres villes françaises.

    #parcours_de_combattantes

    • Lorient. Un financement pour l’ouverture d’un lieu pour les femmes victimes de violences
      https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/lorient-un-financement-pour-l-ouverture-d-un-lieu-pour-les-femmes-victi

      Voilà plus de trois ans que le collectif #Nous_Toutes bataille à Lorient (Morbihan) pour la réouverture d’un lieu de prise en charge des #femmes victimes de violence. Pour rappel, la permanence lorientaise « Moments pour elles » avait fermé en 2017, après la suppression de crédits de l’État. Il avait ouvert le 12 novembre 2014, dans un appartement du quai de Rohan.

      Le maire Fabrice Loher avait fait de l’ouverture d’un lieu physique d’écoute et d’orientation pour les femmes victimes de #violences une de ses promesses de campagne (comme d’autres candidats aux municipales). Au pouvoir, il a « contribué à accélérer le calendrier ». L’appel à projet a été lancé en avril ; une ouverture est prévue à la rentrée 2021.

      Le coût de la première année, 100 000 €, sera supporté par l’État (20 000 €), le Département (20 000 €), la Caisse des allocations familiales (20 000 €) et les 25 communes de Lorient Agglomération au prorata du nombre d’habitants, pour les 40 000 € restant. Ainsi Lorient paiera 11 244 €.
      Le lauréat doit être choisi le 18 juin. Il participera au choix du lieu qui reste à définir mais sera « central et assez discret », indique le cahier des charges. Il pourrait se situer à #Lorient ou #Lanester. L’expérimentation durera jusqu’à fin 2022, où une évaluation sera réalisée, avec dans l’idée de pérenniser le dispositif.

      Gaëlle Le Stradic, élue d’opposition de Lorient en commun, se réjouit de cette nouvelle. « Enfin ! » Mais pour elle, « c’est le premier étage de la fusée. Ce projet doit évoluer vers plus d’itinérance, aller vers les victimes. » Elle demande aussi que « chacune des parties prenantes s’engage sur un temps plus long que celui proposé par l’appel à projet, sur cinq ans par exemple. »

      Christelle Leray, de Demain Lorient, aimerait que la ville aille plus loin, en intégrant la prise en charge des agresseurs pour « régler le problème à la source ».