• Chungking Express, Wong Kar-Wai, 1994

    Il s’agit bien de respecter le principe des critiques à 2 balles de parler de tous les films que je vois. Parce que celui là il mériterait bien un visionnage supplémentaire et des petites recherches préliminaires de l’histoire de la filmographie de Jean Michel Wai (traduction occidentale de Wong Kar Wai) parce que je sens bien que quelques points de l’histoire me manquent. Et puis ma blague ne fonctionne pas du tout parce que son prénom n’est pas Wong Kar mais Wong. Je suis pris en flagrant délit d’imbécilité niaiseuse.
    A ne pas vouloir tomber dans des lieux communs de « c’est très beau », de « on retrouve les motifs chers à un auteur tourmenté (poil au nez) par l’amour » et tout ça, je me rends compte que j’ai vachement de mal à écrire ce papier.
    C’est un éternel rendez-vous manqué du héro décrit dans trois de ses histoires successives... ou quatre ou cinq, c’est là que je me demande si j’ai pas raté des choses. J’ai vachement aimé l’allusion de début à Paris Texas mais il se peut fort bien qu’il n’y ait aucune allusion particulière et que l’héroïne du début aime simplement porter des perruques.
    #critique_a_2_balles #wong_kar-way #1994 #rendez-vous_manqué #inconsistante #paris_texas
    https://www.youtube.com/watch?v=8DY-HNI8iaQ