#Balancetonporc : Boutin dénonce un « dégueulis d’accusations » et défend la « grivoiserie »
▻http://www.huffingtonpost.fr/2017/10/21/balancetonporc-boutin-denonce-un-degueulis-daccusations-et-defend-la-
Le « climat du moment » est « insupportable » et risque d’"abîmer profondément les relations entre les hommes et les femmes", a jugé l’ex-ministre du Logement. Pour Christine Boutin, il est regrettable que les femmes en viennent à avoir des « a priori » dès qu’elles reçoivent un compliment. « La grivoiserie fait partie de l’identité française et j’aime bien la grivoiserie », a-t-elle fait valoir.
Oh si les hommes ne peuvent plus violé tranquillement qu’est ce qu’il va advenir des relations hommes-femmes en France. Avec 600000 viols et agressions sexuelles en France par an c’est vrai que ca se passe tellement bien.
#grivoiserie #culture_du_viol #pasionaria #boutin #manif_pour_tous #sens_commun #identité_francaise #culture_du_viol #sexisme #masculinisme #compliment #misogynie #FN
Mme Boutin donne quant même une bonne nouvelle, elle prétend quitté la politique. Mais comme cette femme est parfaitement abjecte, je ne croie pas qu’on soit débarrassé d’elle.
]]>Angela Davis, la rebelle, condamnée à mort, est acquittée le 4 juin 1972
►https://rebellyon.info/Angela-Davis-la-rebelle-condamnee-a-mort
Aux cotés de Malcom X et Martin Luther King, Angela Davis est une grande figure du mouvement Noir américain qu’elle paiera en étant condamnée à mort en 1972. C’est une mobilisation d’une ampleur internationale qui permit sa libération. Aujourd’hui, elle est toujours militante des luttes sociales et politiques : « La jeunesse est plus révoltée et plus créative que jamais ! »
/ #Répression_-_prisons, #Mémoire, #Discriminations, #Manchette
]]>Algérie. Les femmes bousculent un régime discrédité | L’Humanité
▻http://www.humanite.fr/algerie-les-femmes-bousculent-un-regime-discredite-585599
L’Algérie entre dans une phase sensible, marquée par des changements à la tête de l’appareil sécuritaire qui pourraient annoncer la succession de Bouteflika. Le pays traverse une période de grande incertitude, entre rumeurs et pronostics. Fait pour le moins paradoxal, alors que la guerre de succession est lancée, ce sont 3 femmes qui font régulièrement l’actualité. Mais la religiosité ne cesse de gagner du terrain et le machisme s’affirme avec force jusque sur les bancs du Conseil de la nation (Sénat), où les islamo-conservateurs bloquent le projet de loi criminalisant la violence faite aux femmes.
Iman Houda Feraoun, 36 ans, physicienne de formation, est la benjamine du gouvernement. Elle a été récemment nommée ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (15 mai 2015). Les médias couvrent le moindre de ses déplacements et se font l’écho de toutes ses interventions. Le public se délecte de ses sorties sur le terrain, de ses coups de gueule devant des responsables qui ont failli et qu’elle n’hésite pas à sanctionner. D’autres ministres, dans des secteurs à la dérive, la santé notamment, en font autant. Les mauvaises langues laissent entendre que c’est pour redorer le blason d’un gouvernement décrédibilisé, désemparé devant l’ampleur de la crise conséquente à la chute du prix du baril.
La jeune ministre n’en est pas moins déjà réputée compétente et porteuse de véritables projets pour son secteur. Tout comme d’ailleurs sa collègue aux commandes du ministère de l’Éducation depuis le 5 mai 2014, Nouria Benghabrit Remaoun. Sociologue de formation, chercheuse, fem me de gauche, la soixantaine, elle défraie également la chronique avec sa posture de battante déterminée à apporter un souffle de modernité dans un secteur, l’école, resté, longtemps chasse gardée des islamo-conservateurs et qui a naguère été une véritable fabrique de terroristes potentiels. Sa récente décision d’introduire l’usage de l’arabe dialectal, langue maternelle, dans les enseignements, lui a valu les foudres de la presse intégriste et d’une partie des syndicats. Les pressions se sont multipliées pour réclamer sa démission. La ministre, qui a tenu bon, reçoit encore un très large soutien sur les réseaux sociaux et a la caution du premier ministre, Abdelmalek Sellal.
Elle, c’est une pasionaria qui fait très souvent la une de la presse et dont les déclarations et positions retiennent l’attention d’une partie non négligeable de l’opinion, tant son discours se distingue du brouhaha de la classe politique : Louisa Hanoune est secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT, trotskiste). Elle a ouvertement soutenu Bouteflika durant ses trois mandats, mais sans s’abstenir de critiquer vertement ses gouvernements successifs, leur reprochant des ratés dans la réalisation de son programme social, notamment. Mais, à un peu plus d’une année du 4e mandat, Louisa Hanoune a singulièrement radicalisé son discours. Elle ne ménage plus le chef de l’État, l’accuse de n’avoir pas tenu ses promesses et de laisser le champ libre aux détenteurs de « l’argent sale ».
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pasionaria - encore une #pasionaria - ►http://www.lesnouvellesnews.fr/pasionaria-egerie-muse-mere-madone
“Communardes !”, de Lucy Mazel et Wilfrid Lupano - Livres - Télérama.fr
▻http://www.telerama.fr/livre/decouvrez-les-premieres-planches-des-communardes-de-lucy-mazel-et-wilfrid-l
Paris, hiver 1870. L’armée prussienne assiège la capitale, les habitants ont faim mais résistent bec et ongles. La Commune se profile… Dans cette ambiance insurrectionnelle, deux portraits de femmes : une petite fille qui s’occupe des éléphants du Jardin des Plantes et d’Elisabeth Dmitrieff, la pasionaria russe des barricades… Ces deux premiers volumes, “Les Eléphants rouges” et “L’Aristocrate fantôme” marquent la rencontre du scénariste Wilfrid Lupano et de la dessinatrice Lucy Mazel. Chaque semaine, nous vous faisons découvrir avant publication un album qui a piqué notre curiosité, mais que nous n’avons pas encore forcément lu.
Moi non plus mais je référence :) #la_commune #communardes #femmes #bd
]]>Ayn Rand, pasionaria du capitalisme ! (3)
▻http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2893
AYN RAND, c’est la lutte des classes à l’envers. Depuis plus de 50 ans, ses romans et ses idées ont profondément pénétré la mentalité américaine avec le soutien des banques et des plus riches fondations, comme l’ARI (Ayn Rand Institute) qui propage ses idées partout.
Le troisième et dernier volet d’un reportage à New York de Giv Anquetil et Daniel Mermet.
]]>Ayn Rand, pasionaria du capitalisme ! (2)
▻http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2892
Inconnue en France, AYN RAND (1905-1982) a écrit le livre le plus influent après la Bible, traduit en 17 langues, vendu à 10 millions d’exemplaires, ATLAS SHRUGGED est une apologie populiste délirante du capitalisme.
La suite d’un reportage à New York de Giv Anquetil et Daniel Mermet.
]]>Ayn Rand, pasionaria du capitalisme !
▻http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2891
Le capitalisme c’est la vertu ! Sur terre il y a les entrepreneurs et les parasites, les MAKERS et les TAKERS ! Votre ennemi c’est l’altruisme, à bas la solidarité, VIVE L’ÉGOÏSME ! C’est ce que disait AYN RAND, celle qui - selon une sérieuse étude de la Bibliothèque du Congrès - « a le plus influencé les Américains, après la Bible ».
Un reportage à New York de Giv Anquetil et Daniel Mermet.
]]>Gilda Sabatini, la pasionaria romaine des locataires expulsés
▻http://fr.myeurop.info/2013/12/06/gilda-sabatini-pasionaria-romaine-locataires-expulses-12663
Ariel Dumont
Avec la montée du chômage, bon nombre d’Italiens ne peuvent plus payer leurs loyers et les #Expulsions se multiplient. A Rome, un syndicat de #locataire intervient pour bloquer les huissiers. Récit d’une tentative d’expulsion.
Il est neuf heures, hier matin à Rome, quand une cinquantaine de personnes se rassemblent devant un immeuble à priori anodin. lire la suite
#Social #Italie #crise_du_logement #DAL #droit_au_logement #propriétaire
]]>Rosecelavi, pasionaria des droits des chômeurs
▻http://emploi.blog.lemonde.fr/2013/05/08/rosecelavi-pasionaria-des-droits-des-chomeurs
Depuis bientôt cinq ans, il n’y a pas beaucoup de journées que Rose-Marie Péchallat passe sans se connecter au moins une fois à son site dédié à aider les chômeurs en prise avec Pôle emploi. « Si je ne le fais pas, j’ai ensuite trop de boulot à rattraper », explique cette dynamique retraitée de 63 ans depuis le petit bureau de son appartement situé sur le colline de la Croix-Rousse, à Lyon, d’où elle répond en continu aux demandes d’aide sur le forum de Recours-radiation. Source : En quête (...)
]]>Le monde arabe en révolution(s) - Zineb El Rhazoui : « La révolution est une femme »
►http://monde-arabe.arte.tv/zineb-el-rhazoui-la-r%C3%A9volution-est-une-femme
Les femmes sont partout : dans les manifestations, les commissariats, les prisons, les réseaux sociaux, les réunions clandestines, elles se sont même immolées par le feu… Mais lorsqu’il s’agit de cueillir les fruits politiques des révolutions, elles disparaissent. Les démocraties émergentes dans les pays dits arabes se feront avec elles, ou ne se feront pas.
Comment oublier le visage de cette pasionaria, accrochée à un grillage tunisois, criant son indignation à la foule lorsque les forces de police ont tiré à balles réelles sur les manifestants ? Ce jour-là, Ben Ali était encore au pouvoir, et nul ne pouvait imaginer qu’il le quitterait par la petite porte quelques heures plus tard. Un tel acte de bravoure sous le règne du despote de Carthage pouvait coûter quelques années de réclusion, ou un accident de voiture… Comment oublier cette terrible vidéo où Fadoua Laroui, mère célibataire marocaine de 25 ans, s’est immolée par le feu pour protester contre sa condition de paria ? Peu instruite, démunie et certainement apolitique, son acte cristallise pourtant tout le drame que subissent les femmes de sa condition dans les pays où le statut des filles d’Ève est encore régi par les patriarcales lois de la charia. Fadoua a jeté le discrédit sur l’image de « roi de la moudawana » (code du statut personnel marocain) dont se prévaut Mohammed VI auprès de ses alliés occidentaux.
Femmes courage
Du haut de son voile, une manifestante yéménite interpelle le tout-puissant Ali Abdallah Saleh au micro d’Al Jazeera : « Tu nous as tant menacés de subir un sort à l’irakienne ou à la somalienne, nous te menaçons aujourd’hui de subir un sort à la tunisienne ». Il faut faire preuve de beaucoup de courage pour lancer une telle invective au potentat à l’heure où ils n’étaient guère plus de quelques dizaines à réclamer ouvertement son départ ? Quelques jours plus tard, des centaines de milliers de Yéménites allaient descendre dans les rues. En Libye aussi, peu de médias ont mentionné que derrière les images de virils insurgés, hissés sur des véhicules de combats, mitraillettes à l’épaule, ce sont les femmes qui assuraient le « back-office ». Ce sont elles aussi d’ailleurs qui ont donné le coup d’envoi de la révolution, lorsque ces mères, épouses, sœurs et filles ont décidé de manifester pour réclamer la vérité sur les 1200 détenus de la prison d’Abou Salim, exécutés par le régime de Kadhafi en 1996. Le 15 février 2011, la police du dictateur ouvre le feu sur le rassemblement des femmes, déclenchant l’embrasement de la Libye pour de longs mois.
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