Oui, @unagi, c’est pas les bourrins qui manquent, surtout chez les organisateurs et les profs, là comme ailleurs, et sur les bords de Seine. Dans la frime des apparences qui tient lieu de contenant, ça surjoue avec une stupidité acharnée de partout, tango ou pas. Mais de l’exemple à la généralisation, il y un... pas. Je vos pas comment le comment compterais pas, comment il en serait pas divers.
Pour ce qui est de la pratiques des arts martiaux, il peut y avoir une telle variété de manière d’organiser, procéder, s’entrainer que ces pratiques s’avèrent à tout prendre fortement antinomiques. On va pas dans une salle ou des flics et des fafs s’entraînent, ça se sait ; on peut préférer un endroit mixte, et si il y a des cracks qui passent leur temps en salle, à s’entraîner quotidiennement dans divers arts martiaux et à combattre, on se préoccupe de la manière dont ils se comportent avec les béotiens, les coincés, les débutants, les pas combattifs qui veulent être là.
Idem pour le zen, ou le tai chi, ça peut être accompagné de baratins bouddhisants parfaitment niais et insupportables ou moins, ou pas.
Je dis ça mais je me fout du tango, ça me plait pas, ça me dit rien, et j’ai aussi ces a priori. Juste, c’est ennuyeux de pas voir que c’est l’usage qui fait exister le sens, et pas forcément l’usage dominant et/ou débectant.