• Opinion | Crashing Crypto: Is This Time Different? - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2022/05/17/opinion/crypto-crash-bitcoin.html

    By now, we’ve all heard of them, but what exactly are cryptocurrencies? Many people — including, I fear, many people who have invested in them — probably still don’t fully understand them. Saying that they’re digital assets doesn’t really get at it. My bank account, which I mainly reach online, is also a digital asset, for all practical purposes.

    What’s distinctive about cryptocurrencies is how ownership is established. I own the money in my bank account because the law says I do, and the bank enforces that legal claim by requiring, one way or another, that I prove that I am, in fact, me. Ownership of a crypto asset is established through what’s known as the blockchain, an encrypted (hence the name) digital record of all previous transfers of ownership that supposedly obviates the need for an external party, such as a bank, to validate a claim.

    In the past, cryptocurrencies kept going up by attracting an ever-growing range of investors. Crypto was once held by a small clique that often had the feel of a cult, motivated in part by a combination of libertarian ideology and fascination with the clever use of technology. Over time, rising crypto prices drew in large numbers of additional investors and some big Wall Street money.
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    And in the past year or so, crypto marketing has gone really mainstream, with endorsements from celebrities — including Matt Damon, Kim Kardashian and Mike Tyson — not to mention political figures like Mayor Eric Adams of New York and the (unsuccessful) Republican Senate candidate Josh Mandel, who declared his intention to make Ohio “pro-God, pro-family, pro-Bitcoin.” Given all this, it’s hard to see who else there might be to recruit into crypto investing.

    One disturbing aspect of this marketing push, by the way, is that those who bought cryptocurrencies relatively recently — and have therefore lost a lot of money in the crypto crash — probably consist disproportionately of the kind of people most likely to be influenced by celebrity endorsements. That is, they are probably poorer and less sophisticated than the average investor and badly positioned to handle the losses they’ve taken over the past few months.

    As it is, cryptocurrencies play almost no role in economic transactions other than speculation in crypto markets themselves. And if your answer is “give it time,” you should bear in mind that Bitcoin has been around since 2009, which makes it ancient by tech standards; Apple introduced the iPad in 2010. If crypto was going to replace conventional money as a medium of exchange — a means of payment — surely we should have seen some signs of that happening by now. Just try paying for your groceries or other everyday goods using Bitcoin. It’s nearly impossible.

    And then there’s El Salvador, which tried to force the process by making Bitcoin legal tender and heavily promoting and subsidizing its use, in an attempt to make it a true medium of exchange. All indications are that the experiment has been an abject failure.

    #Cryptomonnaires #Monnaie_numérique #Paul_Krugman

  • Avec les « #Fake_News_Awards », Donald Trump vise une nouvelle fois la presse
    http://www.lemonde.fr/donald-trump/article/2018/01/18/avec-les-fake-news-awards-donald-trump-cible-une-nouvelle-fois-la-presse_524

    Le président des Etats-Unis a tenu parole. Mercredi 17 janvier, Donald Trump a dévoilé via un lien sur son compte Twitter les noms promis depuis deux semaines des médias qu’il déteste le plus, gratifiés de « prix » de « l’information bidon ». Sans surprise, le New York Times, la chaîne d’information continue CNN et le Washington Post, régulièrement pris à partie par l’occupant du bureau Ovale, prennent une bonne place dans une liste aux allures de tract de campagne publiée sur le site du Parti républicain. Le premier prix de ce classement infamant est d’ailleurs attribué non pas à un journaliste mais à un chroniqueur, le Prix Nobel d’économie #Paul_Krugman, contempteur infatigable du président dans les colonnes du quotidien new-yorkais.
    […]
    John McCain, qui lutte contre une tumeur au cerveau, a publié dans le Washington Post une tribune dans laquelle il a invité le président à mettre un terme à ses attaques. « L’expression “#fake_news ” à laquelle le président américain a donné une légitimité, est utilisée par des autocrates pour réduire au silence des journalistes », a déploré M. McCain.

    S’exprimant au Sénat, Jeff Flake a abondé dans ce sens, notant que le président syrien, Bachar Al-Assad, son homologue philippin, Rodrigo Duterte, et le président vénézuélien, Nicolas Maduro, y avaient tous eu recours au cours des derniers mois pour écarter les critiques, tout comme les autorités birmanes ou de Singapour. Le sénateur a rappelé que l’expression d’« ennemi du peuple » avait été utilisée par Staline pour stigmatiser ses opposants. « Le fait qu’un président américain puisse s’adonner à un tel spectacle défie l’entendement, mais voilà où nous en sommes, a regretté Jeff Flake, un président américain qui ne supporte pas les critiques et qui doit toujours trouver quelqu’un d’autre à blâmer, trace une voie très dangereuse. »

  • L’Obamacare dans une mauvaise passe _ RTBF - Paul Krugman - 20 Aout 2016 -
    http://www.rtbf.be/info/article/detail_l-obamacare-dans-une-mauvaise-passe-paul-krugman?id=9383880

    Voilà plus de deux ans et demi que l’Affordable Care Act, également connu comme l’Obamacare, est entré pleinement en vigueur. Depuis lors, la grande majorité des nouvelles concernant la réforme de santé ont été de bonnes nouvelles, mettant à mal les prédictions désastreuses du catastrophisme de droite. Mais cette semaine a apporté son lot de mauvaises nouvelles : le géant des assurances, Aetna, a annoncé qu’il allait se retirer d’une grande partie des « échanges », ces marchés d’assurance spéciaux établis par la loi.

    Cela ne veut pas dire que la réforme est sur le point de s’effondrer. Mais de véritables problèmes vont émerger. Certains problèmes seraient relativement faciles à régler dans un système politique normal, un système dans lequel les partis peuvent faire des compromis pour que le gouvernement puisse travailler. Mais ils ne seront pas résolus si nous élisons un président qui n’a aucune idée de quoi faire (bien qu’il se tournerait vers des gens formidables, les meilleurs, pour être conseillé. Croyez-moi. Pas du tout). Et ils seront difficiles à résoudre même avec un président compétent et qui sait ce qu’elle fait si elle doit faire face à une opposition digne d’une politique de la terre brûlée de la part d’un Congrès hostile.
Voici ce qu’il en est aujourd’hui : depuis que l’Obamacare est entré en vigueur en janvier 2014, deux choses se sont produites. Tout d’abord, le pourcentage d’américains qui ne sont pas assurés a chuté brutalement. Deuxièmement, la croissance des coûts de santé a fortement ralenti, ce qui fait que la loi coûte moins que prévu à la fois aux consommateurs et aux contribuables.

    Où est donc le problème ?
    Eh bien l’Obamacare est un système qui repose sur les compagnies d’assurance privées qui fournissent une grande partie de la couverture étendue de cette loi (pas entièrement, parce que Medicaid étendu est également une grande partie du système). Et une grande partie de ces assureurs privés se retrouvent aujourd’hui à perdre de l’argent, parce que des américains qui n’étaient pas assurés auparavant et qui s’inscrivent s’avèrent être plus malades et plus en demande de soins qui coûtent cher que ce que l’on pensait.

    . . . . . .
    #Paul_Krugman #Etats_unis #Médicare

  • Le Business de la misère une valeur sure ! Hillary Clinton payée pour parler dans des universités, même publiques et Paul Krugman qui percevra 225.000 dollars par an pour étudier… les inégalités | Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances
    http://leblogalupus.com/2014/07/03/le-business-de-la-misere-une-valeur-sure-hillary-clinton-payee-pour-pa

    Le Business de la misère une valeur sure ! Hillary Clinton payée pour parler dans des universités, même publiques et Paul Krugman qui percevra 225.000 dollars par an pour étudier… les inégalités

    200 000 dollars, c’est la somme minimum que reçoit Hillary Clinton pour venir faire un discours dans une université américaine. L’affaire choque dans un pays où la dette des étudiants dépasse les 1100 milliards de dollars A l’heure où la dette des étudiants américains dépasse les 1100 milliards de dollars et que les frais universitaires ont augmenté de façon dramatique au cours des dix dernières années pour atteindre dans bon nombre d’alma mater les 50 000 dollars par an, Hillary Clinton s’est fait l’auteur d’une vive controverse. Au cours des neuf derniers mois, soulève le « Washington Post », elle a tenu plusieurs discours dans des universités moyennant une grasse rémunération. Même des universités publiques ont payé de gros cachets à l’ex-secrétaire d’Etat.

    L’Université du Connecticut, par exemple, qui vient d’augmenter ses frais d’inscription de 6,5%, a versé l’impressionnante somme de 250 000 dollars à la possible candidate à l’investiture démocrate en 2016. L’Université de Californie à Los Angeles l’a rémunérée à hauteur de 300 000 dollars. Comme elle est habituellement payée au moins 200 000 dollars pour ses allocutions, au cours des neuf derniers mois, Hillary Clinton pourrait avoir été rémunérée pour plus de 1,8 million de dollars pour ses seuls discours dans les universités américaines.....

    #États_Unis
    #Business
    #misère
    #Hillary_Clinton
    #universités
    #Paul_Krugman
    #inégalités

    >>> Le Business de la misère une valeur sure ! Hillary Clinton payée pour parler dans des universités, même publiques et Paul Krugman qui percevra 225.000 dollars par an pour étudier… les inégalités <<<

  • ÉCONOMIE • La France cible d’un complot | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2013/11/12/la-france-cible-d-un-complot?page=all

    Car le complot contre la France - j’ironise certes un peu, mais nombreux sont ceux qui cherchent à ternir sa réputation - montre clairement qu’en Europe comme en Amérique, les zélotes du budget ne se soucient guère des déficits. Au lieu de cela, ils jouent sur la peur liée à la dette pour poursuivre des objectifs idéologiques. Et la France, qui refuse de se prêter à ce jeu, est désormais la cible d’une propagande négative de tous les instants.

    #dette #économie #Paul_Krugman

  • Les ploutocrates se sentent persécutés - RTBF Chroniques Paul Krugman
    http://www.rtbf.be/info/chroniques/detail_les-ploutocrates-se-sentent-persecutes?id=8100256

    Robert Benmosche, le président de l’American International Group, a dit quelque chose de stupide l’autre jour. Et nous devrions nous en réjouir car ses commentaires permettent de mettre en lumière une conséquence importante mais dont on discute rarement des inégalités extrêmes de revenus – à savoir l’augmentation d’un petit groupe puissant que l’on ne peut qu’appeler des sociopathes.
    Pour ceux qui l’auraient oublié, AIG est une gigantesque compagnie d’assurance qui a joué un rôle crucial dans la mise en place de la crise économique mondiale, exploitant les niches fiscales de la réglementation financière pour vendre un certain nombre de garanties de dettes qu’il ne put honorer. Il y a cinq ans, les autorités américaines, craignant que l’effondrement d’AIG ne déstabilise tout le système financier, lui ont apporté un énorme renflouement. Mais même les responsables se sont sentis utilisés à des fins négatives – par exemple, Ben Bernanke, le président de la Réserve Fédérale, a témoigné plus tard que c’était l’épisode de la crise qui le mettait le plus en colère.

    Et ce n’est pas terminé. Pendant un temps, AIG fut essentiellement une dépendance du gouvernement fédéral, qui contrôlait la majorité de ses actions, et AIG continua pourtant à verser des primes importantes aux cadres dirigeants. Les gens, et on les comprend, entrèrent dans une fureur noire.

    Voici alors ce que fit Benmosche dans un entretien avec le Wall Street Journal : il compara les réactions horrifiées à propos des primes avec les lynchages dans le Sud profond de l’Amérique – les vrais, ceux qui se terminent par un meurtre – et déclara que les récriminations à propos des primes étaient « aussi négatives et aussi foncièrement mauvaises ».

    L’on pourrait trouver cela incroyable que quelqu’un considère cette comparaison appropriée, ne serait-ce que l’espace d’un instant.

    Mais, en fait, il y a toute une série d’histoires comme ça. En 2010, par exemple, il y a eu une sortie comparable de Stephen Schwarzman, le président du Blackstone Group, l’un des groupes de capital investissement les plus importants au monde. Donnant son avis sur les propositions de mettre un terme à la niche fiscale des intérêts reportés – qui permettent aux cadres dirigeants de grandes entreprises comme Blackstone de ne payer que 15 pourcent d’impôts sur la plupart de leurs revenus – Schwarzman avait déclaré : « c’est la guerre ; c’est comme lorsque Hitler a envahi la Pologne en 1939 ».....

    #Paul_Krugman
    #économie
    #AIG

  • Blog gaulliste libre : Quand le Monde se moque du monde sur l’euro
    http://www.gaullistelibre.com/2013/09/quand-le-monde-se-moque-du-monde-sur.html

    Quand le Monde se moque du monde sur l’euro

    Arnaud Leparmentier vient de signer un éditorial absolument navrant sur l’euro, recourant à tous les poncifs qui existent pour critiquer la proposition de retour au franc. Il ferait mieux de lire les critiques de la monnaie unique exprimées par la bagatelle de 9 « prix Nobel d’économie ».

    Faire peur, la dernière ligne de défense

    Bien sûr, cette tribune s’intitule « euro boche contre franc le pen » et il ne s’agit pas pour moi de venir en aide à la présidente du FN. Comme hier, je continuerai à la combattre, parce qu’elle est d’extrême-droite, qu’elle ne cesse de mentir et qu’elle est incompétente. Mais ce n’est pas parce qu’il vise Marine Le Pen qu’il ne faut pas répondre à ce torchon du Monde, où la rigueur intellectuelle ne cesse de reculer. En fait, la stratégie des partisans de la monnaie unique européenne est assez simple. Parce qu’il est impossible d’en prouver le moindre bienfait, leur dernière ligne de défense est la peur.

    C’est bien ce qui ressort de cette avalanche d’arguments tous plus faux les uns que les autres. Il ne manque plus que les sauterelles et le sang dans la Seine… Naturellement, il évoque un cataclysme monétaire comparable à la faillite de Lehmann. Ensuite, nos taux s’envoleraient. Puis il fait un sort à la dévaluation en affirmant que cela « donnerait de l’air au capital et pénaliserait retraités, fonctionnaires, salariés des services » (du fait de la hausse du prix de pétrole). Il évoque même la tutelle du FMI de la Grande-Bretagne. Il condamne la probable irresponsabilité budgétaire tout en disant que « l’euro a permis (à la France) de se comporter de manière irresponsable. Enfin, il affirme que cela provoquerait une augmentation de la dette de 400 milliards et que les iPhone s’échangeraient au marché noir.

    #Arnaud_Leparmentier
    #Euro
    #François_Lenglet
    #Le_Monde
    #Paul_Krugman

  • « L’inflation n’est pas le problème, c’est la solution » - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/01/30/paul-krugman-l-inflation-n-est-pas-le-probleme-c-est-la-solution_1636446_323

    Le problème de la zone euro, c’est sa construction même. Tout cela n’arrive pas par surprise : il y a vingt ans déjà, cette union monétaire provoquait des débats académiques, on se demandait comment ce système pouvait gérer un choc asymétrique, une récession plus profonde dans un pays que dans un autre. Mais la question a été négligée. Aux Etats-Unis, ces chocs asymétriques sont gérés, pas toujours parfaitement, grâce à un système budgétaire intégré et une mobilité très élevée.

    L’Europe n’a aucun de ces deux atouts. II lui faut donc quelque chose d’autre pour donner plus de souplesse au système. Une politique monétaire moins stricte avec une inflation plus élevée - autour de 4 % - offrirait une part de la flexibilité qui manque à la zone euro.

    #économie #Paul_Krugman