• L’Invention du colonialisme vert
    http://blog.ecologie-politique.eu/post/L-Invention-du-colonialisme-vert

    Guillaume Blanc fait l’histoire du colonialisme vert, cette manière d’appréhender l’environnement africain en refusant aux paysages un caractère anthropique qui est pourtant compris et reconnu en Europe. Au XIXe siècle, les colons voient l’Afrique comme un Éden… loin d’avoir été modelé par ses habitant·es depuis des milliers d’années, il en aurait été mystérieusement préservé mais désormais les hordes d’humains dégradent irrémédiablement leur milieu. Édénique mais déjà aux dernières limites de la dégradation : Blanc note le paradoxe à plusieurs reprises car cette longue histoire se répète. De fait, lors de la période coloniale, les équilibres écologiques sont perturbés mais ce n’est pas, nous assure l’historien, en raison des pratiques de subsistance des cultivateurs et pasteurs. C’est en raison bien plus sûrement des cultures d’exportation et les colons, dans un intérêt bien compris, refusent de le voir. Ce serait la faute à des habitant·es par ailleurs déconsidéré·es et plus mal traité·es parfois que des bêtes.

    #Guillaume_Blanc #Histoire #colonialisme #Afrique #racisme #écologie #paysage #livre #recension

  • La Terra Nuova - Inchiesta di Nicola Adelfi (1952)

    Documentario che illustra i progressi economici nel Mezzogiorno avvenuti nei primi anni del secondo dopoguerra.


    https://patrimonio.archivioluce.com/luce-web/detail/IL3000052960/1/la-terra-nuova-inchiesta-nicola-adelfi.html?startPage=0&jso{%22jsonVal%22:{%22query%22:[%22emigranti%20clandestini%22],%22fieldDate%22:%22dataNormal%22,%22_perPage%22:20}}

    #archive #histoire #Italie #Italie_du_Sud #modernisation #agriculture #misère #progrès #investissements #routes #infrastructure_routière #puits #machines_agricoles #villages_ruraux #film #vidéo #Gaudiano #bonification #paysage
    On parle de «#marche_vers_le_sud»
    #colonisation

  • #Journal du #Regard : Septembre 2020
    http://liminaire.fr/journal/article/journal-du-regard-septembre-2020

    https://www.youtube.com/watch?v=r1u3-1-7U5o&feature=youtu.be

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Le silence enveloppe une grande partie des sons de telle façon qu’ils évoluent dans l’espace sans s’entraver les uns les autres, et qu’ils s’interpénètrent. Il n’y a pas de solution définitive à ce paradoxe, c’est (...) #Journal / #Art, #Poésie, Journal, #Paris, #Paysage, #Ville, Regard, #Quotidien, #Dérive, #Journal_du_regard, #Biographie, #Vidéo, (...)

    #Voix

  • Mon combat pour la toponymie aïnoue
    https://topophile.net/savoir/mon-combat-pour-la-toponymie-ainoue

    Si tout le monde sait que « la géographie, ça sert d’abord à faire la guerre » (selon l’expression d’Yves Lacoste), on ignore plus souvent la puissance culturelle de la toponymie dans l’oppression d’un peuple par un pouvoir colonial. C’est précisément ce que nous révèle le géographe japonais Ono Yûgo à travers son combat pour la réhabilitation... Voir l’article

  • Petites erreurs du réel
    http://liminaire.fr/palimpseste/article/petites-erreurs-du-reel

    La place située entre la #Gare de l’Est et le Centre des Recollets, à #Paris dans le 10ème arrondissement, a été réaménagée et végétalisée en 2012 et porte depuis le nom de la résistante et femme politique Madeleine Braun, première femme vice-président de l’Assemblée nationale. En 1951, écartée du Parti Communiste, elle s’éloigne de la politique et devient co-directrice avec Louis Aragon des Éditeurs français réunis, où elle publie de nombreux auteurs comme Paul Valéry, Paul Eluard ou Vladimir Maïakovski. Cet (...) #Palimpseste / #Photographie, Paris, #Paysage, #Ville, #Regard, #Quotidien, Société, #Solitude, #Traces, #Rêve, #Poésie, (...)

    #Société
    http://museedelaresistanceenligne.org/media5438-Place-Madeleine-Braun-Paris-Xe
    https://www.seuil.com/ouvrage/le-propre-du-langage-voyages-au-pays-des-noms-communs-jean-christophe-bailly/9782020315623
    http://liminaire.fr/IMG/mp4/place.mp4

  • Téléphonie mobile : la #5G divise la #Suisse

    Les grands projets de la Confédération et des entreprises de #télécommunications pour doter la Suisse du dernier standard de téléphonie mobile se heurtent à des #résistances dans la population. Une véritable guerre d’opinions sur le progrès a éclaté dans ce pays alpin bien pourvu en high-tech.

    Un chiffre, une lettre : 5G. L’abréviation décrit la dernière génération de la technologie de téléphonie mobile, qui permet de transmettre encore plus vite des volumes de données encore plus grands que l’actuelle 4G très répandue en Suisse. Chaque génération de téléphonie mobile apporte son lot de nouvelles possibilités, ce que les consommateurs ont bien accueilli jusqu’ici. En comparaison avec l’international, les Suisses dépensent beaucoup pour les équipements numériques mobiles avec lesquels ils surfent sur Internet. Ils streament de la musique et des films, effectuent des appels vidéo et utilisent des applications. La Suisse a également pris les devants sur le plan international quand la Confédération, début 2019, a mis aux enchères les premières fréquences 5G.

    La 5G est d’une « importance capitale » pour la numérisation du pays, a estimé l’autorité de régulation qui a octroyé les concessions. Trois entreprises en ont obtenues : Swisscom, leader semi-étatique du marché, Sunrise et Salt. Elles ont versé pour cela 380 millions de francs à l’État. Le CEO du groupe Swisscom, Urs Schaeppi, justifie cette mise à niveau technologique par l’utilisation accrue du réseau mobile, qui double tous les 18 mois : « Nous devons étoffer le réseau maintenant avant d’avoir des embouteillages de données », dit-il.
    La Suisse, pionnière technologique

    La 5G est aussi censée stimuler l’innovation en Suisse. Grâce au flux aérien ultrarapide des données, les promoteurs assurent qu’il sera possible de relier machines et appareils en temps réel. Cet « Internet des objets » rendra nos ménages intelligents et servira l’industrie. La 5G, disent-ils, favorisera l’émergence des voitures autonomes, de la télémédecine, des réalités virtuelles et des smart cities, ces villes du futur techno-connectées et écologiques. Grâce à l’avancée de l’attribution des fréquences 5G, la Suisse est en passe de devenir une pionnière. Un rôle qu’elle se voit bien jouer dans le domaine du progrès technologique.

    Mais l’offensive a été freinée. Si le réseau 5G est disponible çà et là, c’est la plupart du temps en version restreinte. Car les opérateurs ne peuvent pas avancer aussi vite que prévu. Une opposition contre la 5G s’est formée dans la société civile. Des mouvements citoyens bloquent la construction d’antennes destinées à la 5G. À l’appel d’organisations anti-5G, des milliers de personnes ont manifesté à Berne. Des interventions politiques ont été déposées dans les communes et les cantons, des paroisses ont refusé l’installation d’antennes 5G dans les clochers des églises. Et bien que l’affaire relève de la Confédération, des cantons romands ont décrété des moratoires sur la 5G sur leur territoire. Des actes de vandalisme isolés ont même été perpétrés contre des antennes émettrices.
    « La santé est prioritaire »

    Les adversaires de la 5G exigent un moratoire à l’échelle suisse. Ils mettent en garde contre les dangers potentiels du rayonnement électromagnétique pour la santé. Ils se soucient de la préservation du paysage, de la hausse de la consommation d’énergie et de l’environnement. Et ils pointent du doigt les risques d’espionnage si des composants techniques chinois sont intégrés aux antennes. « La santé est prioritaire », souligne Rebekka Meier. L’horlogère soleuroise est membre du comité de l’association « Schutz vor Strahlung » (protection contre le rayonnement). Elle craint qu’avec la puissance d’émission accrue de la 5G, les effets négatifs du rayonnement de la téléphonie mobile s’aggravent « dans une mesure dépassant tout ce qu’on connaissait jusqu’ici ».

    Pour Rebekka Meier, la promesse d’innovation de la branche des télécoms n’est que pur marketing : « On crée des besoins artificiels. » Ce n’est pas parce que « certains accros aux données veulent pouvoir streamer constamment en haute résolution » que tout le pays doit être truffé de mâts émetteurs. Certaines applications judicieuses, médicales par exemple, peuvent être mises en place avec moins de rayonnements, elle en est persuadée.
    Des opposants très divers

    L’éventail des opposants à la 5G en Suisse est très divers. Il va des théoriciens du complot à tous ceux qui s’en distinguent expressément : protecteurs du pays et de la nature, anticonsuméristes, stressés du numérique, personnes sensibles aux rayonnements, Médecins en faveur de l’Environnement, politiciens écolos de gauche et conservateurs de droite. La conseillère nationale PS Martina Munz (SH) a présenté leurs doutes au Parlement fédéral. Elle dit qu’elle n’est pas contre la technologie, mais souhaite que la Suisse déploie la 5G avec aussi peu de rayonnements que possible, « 8 % de la population se déclarant électrosensible ». Au lieu de laisser les signaux 5G traverser tous les murs, elle préconise que l’on relie mieux les bâtiments à un bon réseau de fibre optique. Ainsi, chez soi, on continuerait d’être protégé contre les rayonnements mobiles indésirables.

    La quantité de rayonnement à laquelle les personnes peuvent être exposées est fixée par la loi en Suisse. Le Conseil fédéral souhaite maintenir les limites en vigueur pour la téléphonie mobile : il l’a décidé au printemps, allant ainsi plutôt dans le sens des opposants que de celui de la branche des télécoms, qui souhaitait un assouplissement pour devoir installer moins d’antennes.
    Les promoteurs de la 5G en soulignent les opportunités

    Des résistances contre les stations émettrices, les entreprises de téléphonie mobile suisses en ont régulièrement connues ces vingt dernières années. Mais jamais l’opposition n’a été aussi forte qu’avec la 5G. Pour l’influent think tank libéral Avenir Suisse, cette lutte est « irrationnelle ». Le quotidien libéral « NZZ », quant à lui, considère qu’« une fronde contre le progrès » est à l’œuvre. La branche des télécoms elle-même met en garde contre de graves conséquences sur la performance des réseaux de communication et demande plus de soutien de la part des politiques. Au Parlement, des voix favorables à la 5G se font entendre chez les Vert’libéraux et les Libéraux-Radicaux : la 5G offrirait des opportunités non seulement économiques, mais aussi pour le développement durable, notamment dans l’agriculture.

    Sur les préoccupations concernant la santé, le conseiller national libéral-radical Christian Wasserfallen (BE) déclare : « 90 ?% des rayonnements auxquels nous sommes exposés proviennent de notre propre téléphone mobile, et non de l’antenne de transmission ». Il réclame par conséquent une campagne d’information officielle sur la 5G. Reste à voir si cela sera suffisant. Une chose est claire : les Suisses veulent avoir voix au chapitre dans la construction de l’infrastructure technologique du XXIe siècle. Qui l’emportera, des modernisateurs ou des conservateurs ? Cela pourrait bien se décider dans les urnes : pas moins de cinq initiatives populaires contre la 5G sont annoncées. Face à une caméra de TV, l’un des opposants l’a affirmé : « Une révolution populaire est en marche ! »

    « Vendre son âme »

    En Suisse, les #églises sont souvent situées au milieu du village. L’emplacement et la hauteur des #clochers en font des lieux très convoités pour les antennes de #téléphonie_mobile. Cachée dans un clocher, une antenne ne défigure pas le #paysage. Et les contrats avec les télécoms rapportent de l’argent aux paroisses. Cependant, sous la pression de la base, plusieurs d’entre elles ont déjà refusé d’adapter les installations existantes pour la 5G ou d’installer de nouvelles antennes 5G dans leur clocher (#Oberburg (BE), #Alpnach (OW), #Kriegstetten (SO) et #Belfaux (FR)). Outre la crainte de l’#électrosmog, les membres des communes ont fait entendre des préoccupations éthiques. L’église ne doit pas « vendre son âme », a lancé, selon le journal régional, un participant au débat à Kriegstetten. Et quand à Alpnach, un votant a souligné que « nos clochers ont toujours servi à transmettre des informations », son avis est resté minoritaire.

    https://www.revue.ch/fr/editions/2020/05/detail/news/detail/News/telephonie-mobile-la-5g-divise-la-suisse

    • « La technique n’est jamais apolitique »

      Le fait que la 5G se heurte à des oppositions en Suisse n’étonne pas l’historienne #Daniela_Zetti. Car la question va bien au-delà de la technologie.


      Daniela Zetti, la forte opposition contre la 5G en Suisse vous étonne-t-elle ?

      Pas du tout. Je suis plutôt surprise par le fait qu’elle arrive tard. Le réseau suisse de téléphonie mobile numérique est apparu en 1993. Dans l’image que la Suisse se fait d’elle-même, la technologie est importante : des ouvrages comme la traversée du Gothard ou le barrage de Contra sont devenus des monuments de la technique. On va les voir comme on va voir des sites naturels. C’est justement parce que la Suisse est très technicisée que les débats ont toujours été vifs à ce sujet. Car la question est aussi la suivante : dans quel pays souhaite-t-on vivre ?

      Y a-t-il des controverses comparables à celle de la 5G dans l’histoire technologique suisse ?

      Un petit exemple parlant est l’émetteur à ondes courtes de Schwarzenburg (BE), que les anciens PTT ont mis en service en 1939. Grâce à lui, Radio Suisse Internationale diffusait des nouvelles dans le monde entier, mais petit à petit le mécontentement a grandi au sein de la population locale. Il y avait des problèmes de santé, on entendait de la musique dans les chenaux des toits, un bourdonnement permanent emplissait l’air. Cet exemple montre un autre motif pour lequel une telle opposition peut naître dans un pays technicisé : la technologie est intégrée au paysage, où elle commence à vivre. On la voit, on l’entend, on la sent, comme une infrastructure de l’ombre qui peut menacer le corps.

      Les adversaires de la 5G se soucient aussi de la santé des gens.

      Oui, mais tandis qu’à l’époque, avec l’autorité de leur monopole, les PTT pouvaient affirmer que cet émetteur était indispensable pour la Suisse, les entreprises de téléphonie mobile d’aujourd’hui doivent davantage se justifier au coeur d’un marché libéralisé. Et elles sont soumises à une forte concurrence. Dans les années 1990, grâce à l’accès à l’infrastructure des nouveaux moyens de télécommunication, il y avait beaucoup d’argent à gagner. Cette époque est révolue.

      Les défenseurs de la 5G affirment aujourd’hui aussi que la Suisse a besoin de cette technologie pour ne pas être dépassée.

      Cet argument réapparaît régulièrement depuis les années 1970 lorsqu’il s’agit de numérisation. On échafaude et on promet à chaque fois un avenir innovant, ce qui tend à occulter les conséquences sur le milieu de vie. Ainsi, pour une 5G couvrant toute la Suisse, on a besoin de nombreuses antennes à courte portée. Par ailleurs, les gens se demandent à quoi sert cette nouvelle technologie, qui y a accès et qui en profite. J’ai l’impression qu’en ce qui concerne la 5G, il manque des alliances capables de démontrer à la population suisse son utilité au sens large.

      Pourtant, la plupart des gens utilisent des smartphones et veulent une bonne couverture réseau.

      Cette couverture est largement assurée en Suisse. Reste la tentative d’affirmer que certaines choses, comme la voiture autonome, sont un progrès pour toute la société, rendu possible par la 5G. Mais il est probable que cela suscite autant d’effroi que de fascination et ne suffise pas pour emporter une large adhésion.

      Historiquement parlant, comment se sont résolues les controverses technologiques les plus dures ?

      Par la négociation au sein du processus démocratique. La technique n’est jamais apolitique, elle a toujours une dimension sociétale. Les exploitants du réseau de téléphonie mobile répondent actuellement au scepticisme par des protestations concernant la sécurité. Ils avancent qu’il n’existe aucune preuve scientifique de nocivité pour la santé. Cela me rappelle l’exemple des exploitants de centrales nucléaires. Surpris par la vigueur des résistances, les experts ont tenté de prouver par des études et des statistiques à quel point le risque d’accident était minime pour l’individu. Cette stratégie a échoué. L’évaluation purement technique des risques ne prenait pas en compte les diverses préoccupations des opposants au nucléaire : depuis la protection des eaux jusqu’au fédéralisme.

      https://www.revue.ch/fr/editions/2020/05/detail/news/detail/News/la-technique-nest-jamais-apolitique

  • Lo spot anti frontalieri. Lo spot dell’Udc svizzera contro la libera circolazione

    Voici le texte, en italien:

    Vedo una natura bella e incontaminata.
    Vedo montagne grandi e imponenti.
    Abbiamo fiumi con acque trasparenti.
    La mia mamma mi dice sempre che viviamo nel Paese più bello del mondo.
    Lo so, dobbiamo proteggere il nostro paesaggio.
    Siamo liberi e non conosciamo guerre.
    Possiamo dire apertamente ciò che pensiamo.
    Io vado a scuola e stiamo ancora abbastanza bene.
    Il mio papà mi dice sempre che la nostra cultura è molto importante. Dobbiamo difenderla e promuoverla.
    Siamo un piccolo paese per il quale il nonno ha lavorato duramente.
    Quando sarò grande mi impegnerò anch’io come lui.
    Da sempre dobbiamo fare attenzione. Molta gente crede di poter approfittare del nostro Paese.
    Sempre più persnoe vogliono venire in Svizzera. E ciò, anche se non c’è posto per tutti.
    C’è sempre più gente sulle strade. Ci sono code e tante auto ovunque.
    Il papà ha da poco perso il suo lavoro.
    Giocare davanti a casa nel quartiere è diventato meno sicuro.
    Nella mia classe, ormai solo Sara e Giorgio sono svizzeri.
    Ogni giorno la televisione parla di ladri e criminali. E ho paura quando in inverno torno da sola da scuola.
    Dappertutto ci sono uomini che gironzolano in strada e alla stazione invece che lavorare.
    Il tram è sempre pieno e non posso mai sedermi.
    Non stiamo esagerando? Perché lasciamo andare così il nostro paese?
    E’ il momento di dire basta!
    Avete la responsabilità del nostro futuro e di quello della Svizzera.
    Per favore, pensate a noi.

    https://www.laprovinciadicomo.it/videos/video/lo-spot-anti-frontalieri_1047819_44
    https://www.laprovinciadilecco.it/videos/video/lo-spot-anti-frontalieri_1047819_44
    #anti-migrants #UDC #Suisse #vidéo #campagne #libre_circulation #frontières #fermeture_des_frontières #migrations #extrême_droite #nationalisme #identité #paysage #géographie_culturelle #liberté #chômage #criminalité #stéréotypes #sécurité #trafic #responsabilité

    #vidéo publiée dans le cadre de la campagne de #votation «#oui_à_une_immigration_modérée»:


    https://www.udc.ch/campagnes/apercu/initiative-populaire-pour-une-immigration-moderee-initiative-de-limitation
    #initiative

    Site web de la campagne:


    https://www.initiative-de-limitation.ch

    #votations

    via @albertocampiphoto et @wizo

    ping @cede

    • A lire sur le site web de l’UDC...

      Iniziativa per la limitazione: chi si batte per il clima dovrebbe votare SI

      Chi si batte per il clima dovrebbe votare SI all’iniziativa per la limitazione. Sembra un paradosso, ma in realtà non è così: è in realtà una scelta molto logica e sensata. Vediamone il motivo.

      Dall’introduzione della piena libertà di circolazione delle persone nel 2007, un numero netto di circa 75.000 persone è immigrato in Svizzera ogni anno, di cui 50.000 stranieri dell’UE. Ognuna di queste persone ha bisogno di un appartamento, un mezzo di trasporto, usa servizi statali e consuma acqua ed elettricità. Allo stesso tempo, la Svizzera dovrebbe ridurre le emissioni di CO2, smettere di costruire sui terreni coltivati e tenere sotto controllo i costi sanitari.

      Per dare abitazione al circa 1 milione di immigrati abbiamo dovuto costruire nuove abitazioni su un’area grande come 57.000 campi da calcio. Si tratta di 407 milioni di metri quadrati di natura che sono stati ricoperti di cemento. Questo include circa 454.000 nuovi appartamenti.

      Un milione di immigrati significa anche 543.000 auto in più e 789 autobus in più sulle strade e 9 miliardi di chilometri percorsi in più. Se la Svizzera dovesse raggiungere davvero entro il 2030 la popolazione di 10 milioni di abitanti, sarà necessario un ulteriore aumento della rete stradale, in quanto sempre più auto saranno in circolazione, emettendo anche ulteriore C02. L’ufficio federale dello sviluppo territoriale prevede infatti che il numero di automobili in circolazione nel 2040 aumenterà ancora del 26%.

      L’immigrazione incontrollata ha conseguenze anche sul consumo di energia. Con la Strategia energetica 2050, la Svizzera ha deciso che entro la fine del 2035 il consumo di energia pro-capite deve diminuire del 43% rispetto al 2020. Ciò per compensare l’elettricità prodotta dalle centrali nucleari, che devono essere chiuse per motivi politici. Tra l’anno di riferimento 2000 e il 2018, il consumo di energia pro-capite è diminuito del 18,8%, soprattutto a causa del progresso tecnico (motori a combustione efficienti, nuova tecnologia edilizia, lampade a LED, apparecchi a basso consumo, produzione interna di energia solare, ecc.) Nello stesso periodo, tuttavia, il consumo totale di energia in Svizzera è diminuito solo dell’1,9%. In altre parole, gli effetti di risparmio di ogni singolo svizzero sono quasi completamente assorbiti dalla crescita della popolazione a causa dell’immigrazione incontrollata

      Secondo l’accordo sul clima di Parigi, la Svizzera dovrebbe ridurre le emissioni di C02 del 50% entro il 2030. Quando la Svizzera siglò il trattato, nel 1990, aveva però 6,5 milioni di abitanti. Con la libera circolazione delle persone, nel 2030 in Svizzera vivranno 10 milioni di persone, che consumano, si spostano e producono CO2. Anche supponendo un graduale rinuncio alle automobili e una netta riduzione di emissioni nel settore industriale, con una popolazione così grande sarà impossibile per una Svizzera con oltre 10 milioni di abitanti di raggiungere l’obbiettivo previsto dell’accordo di Parigi.

      È pertanto necessario che la Svizzera torni a gestire in modo autonomo la propria immigrazione. Una Svizzera da 10 milioni di abitanti non è sostenibile né dal punto di vista economico ne dal punto di vista climatico.

      https://www.iniziativa-per-la-limitazione.ch/artikel/iniziativa-per-la-limitazione-chi-si-batte-per-il-clim

      #climat #changement_climatique

    • C’était il y a 3 ans et déjà (encore, plutôt,…) l’UDC.

      https://www.youtube.com/watch?v=pqvqq7Tt3pQ

      L’affiche du comité contre la naturalisation facilitée, représentant une femme voilée, a suscité une vaste polémique. Nous avons visité l’agence qui l’a conçue.
      Extrait du 26 minutes, une émission de la Radio Télévision Suisse, samedi 21 janvier 2017.

      #26_minutes, un faux magazine d’actualité qui passe en revue les faits marquants de la semaine écoulée, en Suisse et dans le monde, à travers des faux reportages et des interviews de vrais et de faux invités. Un regard décalé sur l’actualité, présenté par Vincent Veillon et Vincent Kucholl de l’ex-120 secondes.

  • #Journal du #Regard : Août 2020
    http://liminaire.fr/journal/article/journal-du-regard-aout-2020

    https://youtu.be/UfxTnB3qmUM

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Après avoir épuisé nos ruses, nous sommes gagnés par la fatigue. Je songe à mes multiples escales à Paris et à ce que j’aime toujours dans cette ville sans pareille, à sa vie, à son charme et ses beautés. Nous (...) Journal / #Musique, #Biographie, #Journal_du_regard, #Corse, #Poésie, #Normandie, #Paysage, #Dérive, Regard, #Voyage, #Ciel, #Nature, #Vidéo, #Voix, (...)

    #Sons

  • Seeing this news feels very depressing, because the designed tram rail has to pass through the most densely populated #Uyghur residential area of ​​#Turpan City, which shows that the demolition of will might cause tremendous damage to the Uyghur community culture.

    1) Here are the possible tram rail passage, as you can see, it will pass through densely #Uyghur populated area, where has #Kariz tunnels network underground, it could also be disastrous for the Uyghur cultural heritage. This is as worse as the demolition of the #Kashgar old town.


    2) Seeing this news feels very depressing, because the designed tram rail has to pass through the most densely populated #Uyghur residential area of ​​#Turpan City, which shows that the demolition of will might cause tremendous damage to the Uyghur community culture.

    3) Seeing this news feels very depressing, because the designed tram rail has to pass through the most densely populated #Uyghur residential area of ​​#Turpan City, which shows that the demolition of will might cause tremendous damage to the Uyghur community culture.

    https://twitter.com/HUyghur/status/1298325729999036417

    #paysage #géographie_culturelle #invisibilisation #Ouïghours #Chine #transports_publics #tram #démolition #culture #ressources_pédagogiques

    ping @reka

  • Tempus fugit avec Bud Powell à Édenville : Jazz à l’Hôtel des Falaises dans les années 60

    http://liminaire.fr/palimpseste/article/tempus-fugit-avec-bud-powell-a-edenville

    Vers le milieu des années 1940, aux États-Unis, le jazz a connu une révolution sans précédent : Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Thelonious Monk et Bud Powell commencèrent à improviser sur les accords et non plus sur les mélodies. Quittant les grands orchestres dans lesquels ils avaient fait leur premiers pas, ils se mirent à jouer en petites formations afin que chaque instrumentiste puisse se lancer dans de savantes improvisations pour leurs solos respectifs, la batterie prenant une dimension nouvelle avec l’arrivée de musiciens comme Kenny Clarke ou Max Roach. Le be-bop était né. (...) #Jazz / #musique, #Art, #Biographie, #Musique, #Sons, #Paris, #Bebop, #Paysage, #Poésie, #Powell #Recit #mémoire #Photographie #Cassavates (...)❞

  • Histoire du sucre, histoire du monde

    Suivre le sucre pour éclairer l’histoire du monde : tel est le stupéfiant voyage auquel nous invite #James_Walvin. Tout commence avec la #colonisation des #Caraïbes, de l’Amérique et l’essor des #plantations. C’est la naissance d’un nouvel ordre, fondé sur la #déportation de millions d’Africains réduits en #esclavage. Après avoir exterminé les populations indigènes, détruit les #paysages et les forêts tropicales, on implante les premières usines polluantes pour fabriquer sucre et #rhum. Sans compter une organisation du travail implacable qui, plus tard, inspirera #Henry_Ford.
    Mais il fallait aussi que ce sucre, quasiment inconnu jusqu’au XVIIe siècle, soit consommé. D’abord produit de #luxe réservé à la table des #élites, il devient, avec la #révolution_industrielle, l’aliment de base des #classes_ouvrières, pendant que le rhum, l’un de ses produits dérivés, fait des ravages parmi les plus démunis. Cette consommation massive de sucre, qui bouleverse les habitudes alimentaires, est désastreuse : #caries, #obésité et #diabète se répandent sur tous les continents. Une course folle s’engage ; la consommation de boissons et de céréales sucrées gagne du terrain, et continue de s’étendre aujourd’hui encore.
    De Bordeaux à Bristol, des fortunes colossales se sont bâties sur le sucre et l’esclavage, marquant les débuts du #capitalisme. Plus tard, des entreprises sans scrupule, dont #Coca-Cola reste la plus emblématique, développeront leurs pouvoirs de ravager le monde en même temps que leur surface financière. Et finiront parfois par dicter la politique des grands États.

    https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Histoire_du_sucre__histoire_du_monde-9782348046216.html
    #livre #histoire #sucre #géohistoire #géo-histoire #ressources_pédagogiques #fordisme #alimentation

  • Le long de la frontière : Superpositions sonores et variations visuelles (autour des films « Shadows » de John Cassavetes, « La Soif du mal » d’Orson Welles et la musique de Charles Mingus)

    http://liminaire.fr/entre-les-lignes/article/superpositions-sonores-et-variations-visuelles

    Le texte ci-dessus est un extrait d’un projet de récit autour de Charles Mingus, la vie, le caractère, l’engagement et la créativité artistique du compositeur américain : Autoportrait en trois couleurs (...) #Journal / Journal, #Art, #Biographie, #Voix, #Vidéo, #Inventaire, #Musique, #Sons, #Paris, #Ville, #Paysage, #Poésie, #Mingus #Recit #Quotidien, #Mexique #Cinéma #Welles #Cassavates (...)❞

  • #Journal du #Regard : Juillet 2020
    http://liminaire.fr/journal/article/journal-du-regard-juillet-2020

    https://www.youtube.com/watch?v=HVd4Huea-bc&list=UULy-MbfjP3iZwGVHlLtglZg

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions On est plongé en permanence dans des couleurs des vagues et des paysages, c’est prodigieux d’ailleurs cette façon de décrire la couleur blanche, on est porté par l’air, le vent. La même lenteur que la chute des (...) #Journal / Journal, #Art, #Biographie, #Voix, #Vidéo, #Inventaire, #Musique, #Numérique, #Sons, #Paris, #Ville, #Paysage, #Journal_du_regard, #Poésie, #Quotidien, (...)

  • #Roma_negata. Percorsi postcoloniali nella città
    Un viaggio attraverso la città per recuperare dall’oblio un passato coloniale disconosciuto.

    Libia, Somalia, Eritrea, Etiopia: quali sono le tracce dell’avventura coloniale italiana a Roma? Roma negata è un viaggio attraverso la città per recuperare dall’oblio un passato coloniale disconosciuto e dare voce a chi proviene da quell’Africa che l’Italia ha prima invaso e poi dimenticato. Igiaba Scego racconta i luoghi simbolo di quel passato coloniale; Rino Bianchi li fotografa, assieme agli eredi di quella storia. Il risultato è una costruzione narrativa e visiva di un’Italia decolonizzata, multiculturale, inclusiva, dove ogni cittadino possa essere finalmente se stesso. Negli anni trenta del secolo scorso Asmara, Mogadiscio, Macallè, Tripoli, Adua erano nomi familiari agli italiani. La propaganda per l’impero voluta da Benito Mussolini era stata battente e ossessiva. Dai giochi dell’oca ai quaderni scolastici, per non parlare delle parate, tutto profumava di colonie. Di quella storia ora si sa poco o niente, anche se in Italia è forte la presenza di chi proviene da quelle terre d’Africa colonizzate: ci sono eritrei, libici, somali, etiopi. Il libro riprende la materia dell’oblio coloniale e la tematizza attraverso alcuni luoghi di Roma che portano le tracce di quel passato dimenticato. I monumenti infatti, più di altre cose, ci parlano di questa storia, dove le ombre sono più delle luci. Prende vita così un’analisi emozionale dei luoghi voluti a celebrazione del colonialismo italiano, attraverso un testo narrativo e delle fotografie. In ogni foto insieme al monumento viene ritratta anche una persona appartenente a quell’Africa che fu colonia dell’Italia. Scego e Bianchi costruiscono così un percorso di riappropriazione della storia da parte di chi è stato subalterno. «Volevamo partire dal Corno D’Africa, dall’umiliazione di quel colonialismo crudele e straccione, perché di fatto era in quel passato che si annidava la xenofobia del presente (…) Da Roma negata emerge quel Corno d’Africa che oggi sta morendo nel Mediterraneo, disconosciuto da tutti e soprattutto da chi un tempo l’aveva sfruttato».

    https://www.ediesseonline.it/prodotto/roma-negata

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    Citations :

    «Ma non tutte le memorie, lo stavo scoprendo con il tempo, avevano lo stesso trattamento.
    C’erano memorie di serie B e serie C. Memorie che nessuno voleva ricordare, perché troppo scomode, troppo vere.»

    (pp.16-17)

    «Ahi, il colonialismo italiano ferita mai risanata, ferita mai ricucita, memoria obliata»

    (p.18)

    «Ora la stele sta ad Axum, insieme alle sue sorelle etiopi. Ma a Piazza di Porta Capena cos’è rimasto di quel passaggio?
    Solo vuoto, solo silenzio, assenza, oblio, smemoratezza in salsa italica».

    (p.18)

    «E anche dimenticare la storia che lega Africa e Italia è un’infamia. Perché dimenticandola si dimentica di essere stati infami, razzisti, colonialisti. Italiani brava gente, ti dicono i più autoassolvendosi, e si continua beatamente a rifare gli stessi errori. Ieri i colonizzati, oggi i migranti, vittime di un sistema che si autogenera e autoassolve. Ecco perché sono ossessionata dai luoghi. E’ da lì che dobbiamo ricominciare un percorso diverso, un’Italia diversa.»

    (p.25)

    Sur le Cinema Impero :

    «Il colonialismo italiano era davanti ai loro occhi tutti i giorni con i suoi massacri, i suoi stupri, la sopraffazione dei corpi e delle menti. Era lì con la sua storia di lacrime e di sangue sparso. Era lì a testimoniare quel legame tra Africa e Italia. Un legame violento, cattivo, sporco e non certo piacevole. Anche nel nome quel cinema era violento. L’impero era quello che Benito Mussolini sognava per aver prestigio davanti alle altre potenze europee e soprattutto davanti a quell’Adolf Hitler che lo preoccupava tanto. L’imprero era quello del Mare Nostrum dove le faccette nere sarebbero state costrette a partorire balilla per la nazione tricolore. L’impero era quello che era riapparso ’sui colli fatali di Roma’. Un impero che Benito Mussolini nel discorso del 9 maggio 1936 aveva dichiarato
    ’Impero fascista, perché porta i segni indistruttibili della volontà e della potenza del Littorio romano, perché questa è la meta verso la quale durante quattordici anni furono sollecitate le energie prorompenti e disciplinate delle giovani, gagliarde generazioni italiane’.
    Era la violenza delle squadracce, ma anche gli sventramenti indiscriminati del tessuto urbano delle città africane.
    L’Africa colonizzata dagli italiani si rempì così di archi di trionfo, busti pavoneggianti, palazzi improbabili. In Somalia per esempio De Vecchis, uno dei quadrumviri della marcia su Roma, aveva voluto costruire una cattedrale che fosse l’esatta copia di quella di Cefalù con le sue due torri altissime. Una volta costruita alcuni somali notarono l’altezza sproporzionata delle torri rispetto ai palazzi nei dintorni e cominciarono a definire la costruzione ’la doppia erezione’. E poi come dimenticare il faro di Capo Guardafui trasformato in un fascio littorio? Asmara (ma in generale l’Eritrea) fu quella che però subì più trasformazioni di tutti. Infatti fu chiamata da più parti la piccola Roma. Tra il 1935 e il 1941 gli architetti italiani si sbizzarrirono in questa città creando uno stile assai stravagante che mischiava modernismo, futurismo e un teutonico stile littorio.»

    (pp.32-33)

    Poésie de Ulisse Barbieri (anarchico poeta direttore del giornale « Combattiamo »), Dopo il disastro :

    «No, non è patriottismo, no, per DIO!
    Al massacro mandar nuovi soldati,
    Né tener lì... quei che si son mandati
    Perché dei vostri error paghino il Fio!
    Ma non capire... o branco di cretini...
    Che i patriotti... sono gli Abissini?»

    (p.56)

    «Il Risorgimento, se vogliamo dare anche questa lettura, fu la lotta di liberazione degli italiani dal dominio straniero, dal dominio coloniale. Una liberazione portata avanti da un’élite che si era legata ad uno strano potere monarchico, quello dei Savoia, ma pur sempre una liberazione. Ecco perché il colonialismo italiano è tra quelli europei uno dei più assurdi. Gli italiani, che avevano sperimentato sulla propria pelle il giogo straniero, ora volevano sottoporre lo stesso trattamento brutale a popolazioni che mai si erano sognate di mettersi contro l’Italia. Ma l’Italia voleva il suo posto al sole. Questa espressione sarà usata nel secolo successivo da Benito Mussolini per la guerra d’Etiopia, ma disegna bene le mire espansionistiche italiane anche durante questi primi passi come nazione neocoloniale. L’Italia, questa giovincella, viveva di fatto un complesso di inferiorità verso l’altra Europa, quella ricca, che conquistava e dominava. Si sentiva da meno di Gran Bretagna e Francia. Si sentiva sola e piccolina. Per questo l’Africa si stava affacciando nei pensieri di questa Italietta provinciale e ancora non del tutto formata. L’Italia voleva contare. Voleva un potere negoziale all’interno del continente europeo. E pensò bene (anzi male, malissimo!) di ottenerlo a spese dell’Africa.»

    (pp.56-57)

    «Venne infatti collocato davanti al monumento ai caduti un leone in bronzo proveniente direttamente da Addis Abeba. Non era un leone qualsiasi, bensì il celeberrimo #Leone_di_Giuda, simbolo che suggellava il patto dell’Etiopia con Dio. Sigillo, quindi, della tribù di Giuda, dal quale discendevano molti profeti e Cristo stesso.»

    (p.61)

    #Piazza_dei_cinquecento

    «E chi lo immaginava che proprio questa piazza babilonia fosse legata alal storia del colonialismo italiano? Infatti i cinquecento citati nel nome della piazza sono i cinquecento caduti di Dogali. Non so bene quando l’ho scoperto. Forse l’ho sempre saputo. E forse anche per questo, per un caso fortuito della vita, è diventata la piazza dei somali, degli eritrei, degli etiopi e anche di tutti gli altri migranti. Una piazza postcoloniale suo malgrado, quasi per caso. Perché è qui che la storia degli italiani in Africa orientale è stata cancellata. Nessuno (tranne pochi) sa chi sono stati i cinquecento o che cosa è successo a Dogali».

    (p.68)

    «Quello che successe in quei vent’anni scerellati non era solo il frutto di Benito Mussolini e dei suoi sgherri, ma di una partecipazione allargata del popolo italiano.
    Ed è forse questo il punto su cui non si è mai lavorato in Italia. In Germania per esempio non solo ci fu il processo di Norimberga contro i criminali di guerra nazisti, ma anche un lavoro incessante e certosino sulla memoria. Nel nostro paese si preferì invece voltare pagina senza capire, interiorizzare, percorrere la memoria delle atrocità vissute e/o perpetrate. In Italia la memoria è divisa o dimenticata. Mai studiata, mai analizzata, mai rivissuta, mai ripensata. Soprattutto la storia in Italia non è mai stata decolonizzata. Il colonialismo fu inghiottito da questo oblio e quelli che furono dei punti di riferimento simbolici del fascismo furono lasciati andare alla deriva come fossero delle zattere fantasma in un fiume di non detto.»

    (p.87)

    –—
    Obelisco di Axum, sur la Piazza Capena :

    «#Piazza_di_Porta_Capena fu teatro di alcune manifestazioni, e alcune riguardarono proprio le proteste per la restituzione dell’obelisco all’Etiopia. Ma in generale si può dire che il monumento era di fatto dimenticato. Stava lì, i romani lo sapevano, ma non ci facevano più tanto caso.
    Era lì, sola, immobile, eretta, dimenticata...
    Era lì lontana da casa...
    Era lì spogliata di ogni significato.
    Era giusto uno spartitraffico. Più imponente e raffinato di altri... certo, ma non tanto dissimile dai tanti alberi spennacchiati che svolgevano la stessa funzione in giro per la città.
    Nessuno per anni si occupò della stele. Qualcuno di tanto in tanto vagheggiava una ipotetica restituzione. Ma tutto era lento, tutto sembrava quasi impossibile.»

    (p.90)
    –-> 2005 :

    «Poi i soldi si trovarono e la stele ritornò a casa tra canti e balli popolari»

    (p.95)
    Et une fois restitué...

    «Ma il vuoto, mi chiedo, non si poteva colmare?
    Improvvisamente Piazza di Porta Capena divenne invisibile. Lo era già prima con la stele. Ma almeno con lei presente capitava che qualche romano la guardasse distrattamente e si interrogasse altrettanto distrattamente. Ma senza la stele il luogo è rimasto un non detto. Tutta la storia, tutto il dolore, tutte le nefandezze sparite con un colpo di spugna.»

    (p.96)

    «Quello che mi colpisce di questa polemica, di chi era contrario a una nuova stele e chi era a favore di un monumento nel sito del fu obelisco di Axum, è la totale assenza del dibattito del colonialismo italiano.
    Nessuno, da Fuksas a La Rocca, nominò mai i crimini di guerra che l’Italia fascista aveva compiuto contro l’Africa. Nessuno sottolineò il fatto che quella stele era un bottino di guerra. Nessuno percepì quel vuoto nella piazza come un vuoto di memoria. Anche un urbanista serio e sensibile come Italo Insolera disse non a caso che di obelischi era piena la città.
    Ora un monumento è stato messo. Ne ho parlato all’inizio del nostro viaggio. Un monumento per ricordare le vittime dell’11 settembre. Due colonne anonime di cui i romani ignorano il significato.»

    (pp.97-98)

    «La memoria non è negare quello che è stato, ma rielaborare quella vita passata, contestualizzarla e soprattutto non dimenticarla.»

    (p.101)

    «E poi la democrazia non si insegna, non si esporta, non si crea dal nulla. La democrazia è un moto spontaneo dell’anima. Ognuno ha il suo modo, i suoi tempi, le sue sfumature.»

    (p.103)

    Sur l’inscription sur le #Ponte_Principe_Amedeo_di_Savoia :

    «Comandante superiore delle forze armate dell’Africa Orientale Italiana durante unidici mesi di asperrima lotta isolato alla Madre Patria circondato dal nemico soverchiante per mezzo per forze confermava la già sperimentata capacità di condottiero sagace ed eroico. Aviatore arditissimo instancabile animatore delle proprie truppe le guidava ovunque per terra sul mare nel cielo in vittoriose offensive in tenaci difese impegnando rilevanti forze avversarie. Assediato nel ristretto ridotto dell’#Amba_Alagi alla testa di una schiera di prodi resisteva oltre il limite delle umane possibilità in un titanico sforzo che si imponeva all’ammirazione dello stesso nemico. Fedele continuatore delle tradizioni guerriere della stirpe sabauda puro simbolo delle romane virtù dell’Italia Imperiale Fascista. Africa Orientale Italiana 10 Giugno 1940, XVIII 18 maggio 1941. Motivazione della Medaglia d’Oro al valor militare conferita per la difesa dell’Impero.»

    «Ad Asmara gli abitanti del villaggio di Beit Mekae, che occupavano la collina più alta della città, furono cacciati via per creare il campo cintato, ovvero il primo nucleo della città coloniale, una zona interdetta agli eritrei. Una zona solo per bianchi. Quanti conoscono l’apartheid italiano? Quanti se ne vergognano?»

    (p.107)

    «Girando per Roma questo si percepisce molto bene purtroppo. I luoghi del colonialismo in città vengono lasciati nel vouto (Axum), nell’incuria (Dogali), nell’incomprensione (quartiere africano). Si cancella quello che è troppo scomodo. E’ scomodo per l’Italia ammettere di essere stata razzista. E’ scomodo ammettere che il razzismo di oggi ha forti radici in quello di ieri. E’ scomodo ammettere che si è ultimi anche nel prendersi le proprie responsabilità.»

    (p.107)

    «Etiopia e Eritrea avevano imbracciato le armi per una contesa sorta sul confine di Badme. Il confine era stato tracciato in modo incerto nel 1902 tra l’Italia (allora paese colonizzatore dell’Eritrea) e il regno d’Etiopia. E dopo più di un secolo Etiopia ed Eritrea si combattevano per quel mal nato confine coloniale»

    (p.112)

    «L’Europa è colpevole tutta per lo sfacelo di morte e dolore che sta riversando in uno dei mari più belli del mondo.»

    (p.124)

    «Per la maggior parte degli italiani, e dei media, erano semplicemente disperati, i soliti miserabili morti di fame (quasi un’icona, come il bambino del Biafra macilento e schelettrico), in fuga da guerra, dittatura e carestia. Una sorta di stereotipo universale, quello del disperato senza passato, senza presente e con un futuro impossibile da rivendicare.»

    (p.124)

    «Occupare uno spazio è un grido di esistenza.»

    (p.125)

    «La crisi è quando non sai che strada percorrere e soprattutto che strada hai percorso.»

    (p.125)

    «E come si fa a smettere di essere complici?
    In Somalia tutti i nomadi sanno che il miglior antidoto all’ignoranza, a quella jahilia che ci vuole muti e sordi, è il racconto. Io, che per metà vengo da questa antica stirpe di nomadi e cantastorie, so quanto valore può avere una parola messa al posto giusto. La storia va raccontata. Mille e mile volte. Va raccontata dal punto di vista di chi ha subito, di chi è stato calpestato, di chi ha sofferto la fame e la sete. La visione dei vinti, dei sopravvissuti, di chi ha combattuto per la sua libertà. Solo raccontando, solo mettendo in fila fatti, sensazioni, emozioni possiamo davvero farcela. Solo così le narrazioni tossiche che ci avvelenano la vita ci possono abbandonare. Il concetto di narrazione tossica viene dal collettivo Wu Ming:
    ’Per diventare ’narrazione tossica’, una storia deve essere raccontata sempre dallo stesso punto di vista, nello stesso modo e con le stesse parole, omettendo sempre gli stessi dettagli, rimuovendo gli stessi elementi di contesto e complessità.
    E’ sempre narrazione tossica la storia che gli oppressori raccontano agli oppressi per giustificare l’oppressione, che gli sfruttatori raccontano agli sfruttati per giustificare lo sfruttamento, che i ricchi raccontano ai poveri per giustificare la ricchezza.’»

    (p.128)

    –-> sur la #narration_toxique (#narrazione_tossica) :
    https://www.wumingfoundation.com/giap/2013/07/storie-notav-un-anno-e-mezzo-nella-vita-di-marco-bruno

    «La madre patria era nulla senza le sue colonie, per questo amava mostrarle succubi. Si era inventata il fardello dell’uomo bianco, la civilizzazione, la missione di Dio, solo per poter sfruttare il prossimo senza sensi di colpa.»

    (p.130)

    –-

    Sur la gestion des #funérailles et de l’#enterrement des victimes du #naufrage du #3_octobre_2013 :
    https://seenthis.net/messages/971940

    #mémoire #livre #colonialisme_italien #colonisation #Italie #Rome #traces #paysage #géographie_urbaine #post-colonialisme #toponymie #monuments #mémoire #Igiaba_Scego #passé_colonial #photographie #oubli_colonial #histoire #Asmara #Erythrée #architecture #urbanisme #stele_di_dogali #Dogali #Tedali #Adua #massacre #ras_Alula #Saati #maggiore_Boretti #Ras_Alula #Tommaso_De_Cristoforis #Vito_Longo #Luigi_Gattoni #Luigi_Tofanelli #basci-buzuk #Ulisse_Barbieri #Taitù #regina_Taitù #Pietro_Badoglio #Rodolfo_Graziani #italiani_brava_gente #oubli #ponte_Amedeo_d'Aosta #Principe_Amedeo #mémoire #démocratie #troupes_coloniales #dubat #meharisti #Badme #frontières #frontières_coloniales #zaptiè #retour_de_mémoire #Affile #Ercole_Viri

    –—

    ajouté à la métaliste sur la #colonialisme_italien :
    https://seenthis.net/messages/871953

    ping @cede @albertocampiphoto @olivier_aubert

    • Citation tirée du livre «#La_frontiera» de #Alessandro_Leogrande:

      «Si è acceso qualcoa dentro di me quando ho scoperto che alcuni dei campi di concentramento eretti negli ultimi anni da Isaias Afewerki per reprimere gli oppositori sorgono negli stessi luoghi dove erano disposti i vecchi campi di concentramento del colonialismo italiano.
      In particolare nelle isole di #Dahlak, cinquanta chilometri al largo di Massaua, dove le galere italiane sono state prima riutilizzate dagli occupanti etiopici e in seguito dallo stesso regime militare del Fronte.
      Il penitenziario di #Nocra, una delle isole dell’arcipelago, fu attivo dal 1887 (proprio l’anno dell’eccidio di Dogali) al 1941, come ricorda Angelo Del Boca in Italiani, brava gente? Vi furono rinchiusi prigionieri comuni, ascari da punire, detenuti politici, oppositori e, dopo l’inizio della campagna d’Etiopia nel 1935, ufficiali e funzionari dell’impero di Hailé Selassié, perfino preti e monaci. (...) L’idea di fare di Nocra e delle isole limitrofe una gabbia infernale si è tramandata nel tempo, da regime a regime»

      (p.85-86)

      –---

      Sul Campo di concentramento di Nocra

      Il campo di Nocra o carcere di Nocra fu il più grande campo di prigionia italiano nella Colonia eritrea e dal 1936 il più grande dell’Africa Orientale Italiana. Venne aperto nel 1887 e chiuso nel 1941 dagli inglesi. Era situato nell’isola di Nocra, parte dell’Arcipelago di Dahlak, a 55 chilometri al largo di Massaua. Dal 1890 al 1941 fece parte del Commissariato della Dancalia. Arrivò a detenere tra un minimo di 500 prigionieri e un massimo di 1.800[1].


      https://it.wikipedia.org/wiki/Campo_di_concentramento_di_Nocra

      #camp_de_concentration #Tancredi_Saletta #Oreste_Baratieri

    • #Igiaba_Scego: “Scopriamo i simboli della storia coloniale a Roma per riempire un vuoto di memoria”

      Igiaba Scego, scrittrice italo somala autrice di libri come ‘Roma negata’ e ‘La linea del colore’, racconta e spiega i simboli del colonialismo presenti nella capitale. Spesso sconosciuti, ignorati, o lasciati nel degrado, narrano una storia che l’Italia ha rimosso: quella delle guerre coloniali che ebbero luogo anche prima del fascismo, e che oggi rappresentano il ‘vuoto di memoria’ del nostro paese. Un dibattito che si è accesso a Roma dopo la decisione di intitolare la stazione della metro C al partigiano italo-somalo #Giorgio_Marincola e non chiamarla più #Amba_Aradam.

      A Roma da qualche settimana si parla dei simboli e dei nomi del rimosso coloniale italiano, grazie alla proposta di intitolare la stazione della metro C su via dell’Amba Aradam a Giorgio Marincola, partigiano italo-somalo morto durante la Resistenza. Una proposta diventata realtà con il voto del consiglio comunale che ha deciso che Roma non appellerà una stazione della metropolitana ‘Amba Aradam’, l’altipiano montuoso dove l’esercito italiano massacrò 20.000 uomini e donne con bombardamenti a tappeto e l’utilizzo di armi chimiche. Di questo e altro abbiamo parlato con la scrittrice Igiaba Scego.

      Quali sono i simboli coloniali a Roma che andrebbero spiegati e sui quali bisognerebbe accendere l’attenzione?

      Non sono molti ma sono collocati in punti simbolici. A Roma, tra piazza della Repubblica e la stazione Termini c’è la Stele di Dogali, a riprova che il colonialismo non è stato solo fascista ma anche ottocentesco. L’obelisco è egiziano ma ha un basamento ottocentesco dedicato alla battaglia avvenuta nel 1887 a Dogali, in Eritrea, dove una colonna italiana venne intercettata e massacrata. Da lì anche il nome di piazza dei 500 davanti la stazione Termini. Di questa battaglia ne ho parlato in due libri, ‘Roma negata’ e ‘La linea del colore’. E nella piazza dove c’è la Stele, s’incontra il colonialismo con le migrazioni di oggi. Questo monumento, che nessuno conosce, è tra l’altro lasciato nel degrado. C’è poi il ponte Duca d’Aosta nei pressi del Vaticano, o il Cinema Impero a Tor Pignattara, che oggi si chiama Spazio Impero. Oltre al fatto di inserire il termine ‘impero’ nel nome, la struttura è quasi uguale a un cinema che è stato realizzato ad Asmara in Eritrea. Ma la cosa che colpisce di più sono i vuoti. Negli anni ’30, venne portata da Mussolini come bottino di guerra dall’Etiopia la Stele di Axum. Questa fu posizionata a piazza di Porta Capena, dove inizia anche il libro ‘Roma negata’. Dopo la guerra, non è stata restituita subito. Nel 1960, Abebe Bikila (campione olimpionico etiope) ha vinto i Giochi di Roma correndo a piedi nudi. Ho sempre pensato che il motivo della sua vittoria non fu solo la sua capacità fisica e la sua caparbietà, ma anche il dover essere costretto a passare per ben due volte davanti la Stele sottratta al suo popolo. Sono convinta che gli abbia dato lo sprint per vincere. La Stele fu poi restituita all’Etiopia negli anni Duemila, tra mille polemiche. Il problema è che ora in quella piazza non c’è nulla, solo due colonnine che rappresentano le Torri Gemelli e di cui nessuno sa nulla. Sarebbe stato giusto ergere sì un monumento per ricordare l’11 settembre, ma soprattutto uno per ricordare le vittime del colonialismo italiano e chi ha resistito ai colonizzatori. Un monumento riparatore per avvicinare i popoli vista la storia scomoda. Quella piazza rappresenta il vuoto di memoria, è come se qualcuno avesse fotografato il rimosso coloniale".

      Quali potrebbero essere i passi da compiere per far emergere il rimosso coloniale?

      Inserirlo nei programmi scolastici e nei libri di testo. Negli ultimi anni è emersa una certa sensibilità e tanti libri sono entrati a scuola grazie agli insegnanti. Sarebbe bello però avere anche nei programmi non solo la storia del colonialismo, ma anche il punto di vista del sud globale. Mi piacerebbe che la storia italiana fosse studiata globalmente, e far emergere le connessioni dell’Italia con l’Europa, l’Africa, l’America Latina e l’Asia. Non penso solo al colonialismo, ma anche alla storia delle migrazioni italiane. Alle superiori andrebbe studiata soprattutto la storia del ‘900. L’altro giorno è scoppiata quella bomba terribile a Beirut: quanti studenti e studentesse sanno della guerra civile in Libano? Sempre nella direzione di far emergere il rimosso coloniale, sarà istituito un museo che si chiamerà ‘Museo italo – africano Ilaria Alpi’. Ma la cosa che servirebbe tantissimo è un film o una serie tv. Presto sarà tratto un film da ‘The Shadow King’, libro di Maaza Mengiste, una scrittrice etiope – americana, che parla delle donne etiopi che resistono all’invasione fascista degli anni ’30. Un libro bellissimo e importante, come è importante che la storia del colonialismo italiano sia raccontata da un prodotto culturale potenzialmente globale. Ma perché un film sul colonialismo italiano lo deve fare Hollywood e non Cinecittà? Perché c’è ancora questa cappa? Non penso a un film nostalgico, ma a una storia che racconti la verità, la violenza. Serve sia lo studio alto sia il livello popolare. Altrimenti il rischio è che diventi solo un argomento per studiosi. È bello che escano libri all’estero, ma dobbiamo fare un lavoro anche qui.

      Quali sono le figure, magari anche femminili, che dovrebbero essere valorizzate e raccontate?

      Metterei in scena la collettività. Un’idea è fare un murales. Nel Medioevo le cattedrali erano piene di affreschi, e attraverso le immagini è stata insegnata la storia della chiesa. Userei la stessa tecnica, mostrando le immagini della resistenza anche delle donne etiope e somali. Servirebbe poi creare qualcosa che racconti anche le violenze subite nel quotidiano, perché non ci sono solo le bombe e i gas, ma anche i rapporti di potere. Mio padre ha vissuto il colonialismo e mi raccontava che prima dell’apartheid in Sudafrica c’era l’apartheid nelle città colonizzate, dove c’erano posti che non potevano essere frequentati dagli autoctoni. Racconterei queste storie sui muri delle nostre città e nelle periferie. È importante ricordare ciò che è stato fatto anche lì.

      https://www.fanpage.it/roma/igiaba-scego-scopriamo-i-simboli-della-storia-coloniale-a-roma-per-riempire-
      #histoire_coloniale #mémoire #symboles

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      –-> sur la nouvelle toponymie de la station de métro:
      https://seenthis.net/messages/871345

    • Citations tirées du livre « #La_frontiera » de #Alessandro_Leogrande :

      «Dopo aver letto Roma negata, il libro di Igiaba Scego sui monumenti, le targhe, le lapidi e i palazzi della capitale che ricordano il colonialismo, sono andato a vedere l’#oblisco_di_Dogali. (...) Il libro è un viaggio nelle pieghe di Roma alla ricerca delle tracce del passato coloniale.
      (...)
      Il paradosso è che la rimozione del passato coloniale riguarda esattamente quelle aree che a un certo punto hanno cominciato a rovesciare i propri figli verso l’Occidente. Sono le nostre ex colonie uno dei principali ventri aperti dell’Africa contemporanea. I luoghi di partenza di molti viaggi della speranza sono stati un tempo cantati ed esaltati come suolo italiano, sulle cui zolle far sorgere l’alba di un nuovo impero»

      (pp.80-81)

      «In realtà il mausoleo [l’obelisco di Dogali], realizzato già nel giugno 1887 dall’architetto #Francesco_Azzurri, fu inizialmente collocato nella vicina piazza dei Cinquecento, l’enorme capolinea degli autobus che sorge davanti alla stazione Termini e si chiama così in onore dei caduti di #Dogali. Ma poi, nei primi anni del regime fascista, fu spostato qualche centinaio di metri in direzione nord-ovest, verso piazza della Repubblica. Ed è lì che è rimasto»

      (pp.82-82)

      https://www.feltrinellieditore.it/opera/opera/la-frontiera

  • Un jour à tenir le #Paysage debout
    http://liminaire.fr/palimpseste/article/un-jour-a-tenir-le-paysage-debout

    Promenade photographique entre le tronçon de la Petite Ceinture au niveau de La Gare (salle de concerts jazz située au n°1 de l’Avenue Corentin Cariou, #Paris 19ème) et le Parc de la Villette (Les jardins Passagers, jardin partagé, exposition photographique d’Adeline Care dans Le Jardin des miroirs (création de Bernard Tschumi), dans le cadre de Plaine d’Artistes) L’herbe fraîchement coupée et l’heure de la sieste qui arrive. Il fait un jour à tenir le paysage debout. S’effacer dans le mouvement de (...) #Palimpseste / #Architecture, #Art, #Poésie, #Photographie, #Ville, Paris, Paysage, #Regard, #Dérive, #Ciel, (...)

    #Sensation
    https://www.facebook.com/LaGareJazz
    http://jardinons-ensemble.org/spip.php?article220
    https://www.adelinecare.net
    http://publicartmuseum.net/wiki/Le_Jardin_des_miroirs_(Bernard_Tschumi)
    http://www.tschumi.com
    https://lavillette.com/programmation/plaine-d-artistes_e912

  • #Journal du regard : Juin 2020
    http://liminaire.fr/journal/article/journal-du-regard-juin-2020

    https://youtu.be/y2f-L_RgRVE

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Soulever le couvercle des apparences, retourner les poches des choses. Dans un sens, toute lutte génère ce contre quoi elle combat. Monter à l’assaut. Se dire, en trois paroles. Avec cette lassitude que l’on a et (...) #Journal / #Architecture, #Biographie, #Art, #Voix, #Vidéo, #Sons, #Poésie, Journal, #Dérive, #Journal_du_regard, #Ville, #Paysage, (...)

    #Paris

  • Noms de villes
    http://liminaire.fr/au-lieu-de-se-souvenir/article/noms-de-villes

    https://youtu.be/tLtWGLgrFXk

    Cet #Atelier s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers d’écriture sur le thème de la #Ville que j’anime, depuis janvier 2020 et jusqu’en juin, pour le compte de la bibliothèque François Villon (fermée en ce moment pour travaux de rénovation) à la Maison des Associations et de la vie Citoyenne du 10ème. Dans l’impossibilité de le mener encore une fois sur place pour des raisons sanitaires, je propose aux participants inscrits une version #Vidéo, à distance, de cet atelier d’écriture. J’en profite pour (...) #Au_lieu_de_se_souvenir / Vidéo, Atelier, #Livre, #Dérive, #Numérique, #Écriture, #Photographie, #Paris, Ville, #Paysage, #Voix, #Lecture, (...)

    #Livre
    https://www.paris.fr/equipements/bibliotheque-francois-villon-1722
    https://www.mairie10.paris.fr/vie-citoyenne/vie-associative/maison-des-associations-154

  • Imaginer le métier de vivre
    https://topophile.net/savoir/imaginer-le-metier-de-vivre-questions-a-christophe-laurens

    Depuis 10 ans, en banlieue parisienne, se déploie une expérience pédagogique étonnante où enseignants et étudiants imaginent « de nouveaux modes d’exercice des métiers de l’architecture, du paysage et de la scénographie en phase avec les enjeux et les nécessités de notre époque pour contribuer à l’émergence de ce que l’on pourrait appeler une écologie sociale... Voir l’article

  • Square Colbert (Maison Belhomme)
    http://liminaire.fr/derives/article/square-colbert-maison-belhomme

    https://youtu.be/CzMp9ioD1WM

    La pension Belhomme était un ensemble de bâtiments situé au 157-163, rue de Charonne, à #Paris 11ème, d’abord utilisé par Jacques Belhomme comme maison de santé pour les déments, les vieillards et tous ceux que des familles fortunées souhaitaient confier à la fin du XVIIIe siècle. Philippe Pinel, précurseur de la psychiatrie, y fera d’ailleurs ses premières armes dans le traitement des malades mentaux. Belhomme, « suspect de concussion et d’incivisme » est incarcéré dans une maison de santé rivale tenue par (...) #Dérives / Paris, #Ville, #Paysage, #Dérive, #Histoire, #Regard, #Vidéo, #Photographie, #Information

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Pension_Belhomme
    http://www.paris-a-nu.fr/la-maison-de-sante-du-docteur-belhomme
    http://jardinons-ensemble.org/spip.php?article183
    http://www.culturesenherbes.org

  • #Arab_urbanism (@araburbanism)

    A platform for critical ideas on the past, present, and future of cities and urbanism in the Arab region.

    Urbanisation is one of the central forces shaping social life in the Arab region. As cities grow, disappear, and organise new realities, critical debate on urban policies, histories and everyday life is increasingly crucial. More than giving answers, our primary concern is to raise questions regarding how urban realities are made, remade, and unmade. Who are the powerful agents in these processes and how is their power contested? Can we speak of an ‘Arab’ urbanism?

    The magazine is a project that has been a year in the making. It developed out of our desire to begin a conversation on how and why our cities are designed, built, and destroyed. We envision it as a platform for critical engagement with voices based across the region in diverse spaces that subvert, create and renew perceptions of urban history, planning, architecture, geography and resistance.

    As academia and urban practices grow further apart, we thought of ways to bring together researchers, practitioners and residents to critically debate changes happening in our cities. As an open access platform, the magazine opens a space for the expression of new and critical ideas. These ideas guide our understanding of the past and present of our urban sphere, and draw imaginaries for its future. Having the space to speak, construct and contest is crucial to develop new pathways to understand urban realities as they are negotiated on a daily basis.

    In these early days, our main objective has been to build a collective that crosscuts discipline, context, and practice. Having received over 80 contributions to our call for submissions, ranging from short interventions and academic research to visual statements and short films; the need for dialogue is clear and visible. The result is the magazine’s first issue, a collaboration between authors and editors enriched by their diversity of languages, geographical locations and disciplines. These first contributions are the experimental ground for an open source of knowledge production in the region.

    As Arab Urbanism continues to grow with its contributors and members, we envision a way forward that amplifies the voice of underrepresented urban communities in the region (including non-Arab groups and migrant communities), cultivates cross regional conversations on urbanisation, and highlights critical perspectives on how we understand, study and live in our cities.

    https://www.araburbanism.com
    #revue #urbanisme #urban_matter #géographie_urbaine #pays_arabes

    ping @reka @nepthys

  • Le Plus Grand Que Moi, une juste mesure du paysage
    https://topophile.net/savoir/le-plus-grand-que-moi-une-juste-mesure-du-paysage

    Au cours de leur carrière, les enseignants inventent et développent continuellement des exercices particuliers. Nous en recueillons quelques-uns, libre à vous de vous les approprier, de les transformer, d’y ajouter votre grain de sel. Aujourd’hui Françoise Crémel qui enseigne le paysage à l’ENSP de Versailles nous livre l’exercice favori de ses étudiants : le Plus Grand... Voir l’article

  • #Journal du #Regard : Mai 2020
    http://liminaire.fr/journal/article/journal-du-regard-mai-2020

    https://youtu.be/3e4iX0h3YrE

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Vivre est une chose, découvrir le langage afin d’exprimer la vie en est une autre. Déjà vu dans mes rêves les branches des arbres s’agiter comme des vagues en collision. Les flocons suspendus dans le bleu du #Ciel (...) #Journal / #Biographie, Journal, #Numérique, #Voix, #Vidéo, #Sons, #Poésie, #Musique, #Paris, #Paysage, #Ville, #Journal_du_regard, Ciel, #Dérive, #Quotidien, Regard, (...)

    #Nature

  • Nocturne urbain
    http://liminaire.fr/au-lieu-de-se-souvenir/article/nocturne-urbain

    https://youtu.be/qdgOdRpuN0w

    Cet #Atelier s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers d’écriture sur le thème de la #Ville que j’anime, depuis janvier 2020 et jusqu’en juin, pour le compte de la bibliothèque François Villon (fermée en ce moment pour travaux de rénovation) à la Maison des Associations et de la vie Citoyenne du 10ème. Dans l’impossibilité de le mener encore une fois sur place pour des raisons sanitaires, je propose aux participants inscrits une version #Vidéo, à distance, de cet atelier d’écriture. J’en profite pour (...) #Au_lieu_de_se_souvenir / Vidéo, Atelier, #Nuit, #Dérive, #Numérique, #Écriture, #Photographie, #Paris, Ville, #Paysage, #Voix, #Lecture, (...)

    #Livre
    https://www.paris.fr/equipements/bibliotheque-francois-villon-1722
    https://www.mairie10.paris.fr/vie-citoyenne/vie-associative/maison-des-associations-154
    https://ateliers-clairelecoeur.com
    https://clairelecoeur.files.wordpress.com/2013/12/cl-un-jardin-dans-la-ville.pdf

  • Navire à la dérive
    http://liminaire.fr/derives/article/navire-a-la-derive

    Sur le navire, tu marches sans savoir où tu vas, tu avances au hasard, le chemin que tu empruntes est toujours le même, malgré toi, tu suis aveuglement ce qui est écrit, le plan dessiné que tu déchiffres non sans mal. Sur le navire, tu poursuis ton chemin. Les murs qui t’entourent sont trop hauts pour te permettre de voir au loin, l’horizon est invisible et tu avances le nez dans ton plan, la carte ne t’est d’aucune aide, elle t’empêche même de savoir où tu es, où tu vas et si tu n’es pas totalement (...) #Dérives / #Zoo_Project, #Voyage, #Nature, #Dérive, #Ciel, #Photographie, #Peinture, #Voix, #Sons, #Récit, #Portrait, #Art, #Lecture, #Paysage, (...)

    #Poésie