person:abdel aziz

  • Les EAU se seraient ingérés dans les évènements algériens à la demande de la France – Site de la chaîne AlManar-Liban
    http://french.almanar.com.lb/1283834

    Les Emirats arabes Unis semblent tenter vouloir s’immiscer dans les récents évènements algériens, émaillées par des manifestations qui refusent que le président Abdel Aziz Bouteflika brigue un 5ème mandat. Et ce à la demande de la France.

    Selon un célèbre compte Twitter baptisé « Without Shaddow », dont l’opérateur se présente comme étant un officier des services de sécurité émirati, le prince héritier d’Abu Dhabi a accordé son soutien au chef d’état-major algérien et vice-ministre de la Défense Ahmad Kayed Saleh qui a visité les EAU dernièrement.

    « Cheikh Mohamad ben Zayed voudrait en soutenant le chef d’état-major et vice-ministre de la Défense Ahmad Kayed Saleh l’utiliser comme une carte de chantage contre le roi du Maroc », a-t-il tweeté le samedi 9 mars.
    Il y indique aussi que ce même soutien devrait lui accorder une carte gagnante en faveur du maréchal libyen Khalifat Haftar en Libye et contre le président turc Recep Tayyip Erdogan.

    Toujours selon le même tweeter, c’est le président français qui aurait donné son feu vert à MBZ pour s’ingérer dans les affaires internes algériennes et de rentrer en contact avec le général Saleh. D’autant que des manifestants français d’origine algérienne ou détenant la double nationalité ont commencé eux aussi à manifester en France.

    Selon une vidéo diffusé par le site en ligne d’informations alKhaleej Online, durant les manifestations du vendredi 8 mars, les manifestants algériens ont arboré des pancartes hostiles à MBZ, au côté de ceux contre la 5ème candidature de M. Bouteflika. On y voit inscrit : « A bas les EAU ».

    Les médias algériens ont évoqué amplement cette ingérence émiratie, relayant des militants et tweeters qui s’expriment au nom des EAU, lesquels ont semblé être particulièrement réjouis par les contestations qui ont éclaté dans ce pays.

    La contestation est même montée d’un cran lorsque l’agence de presse officielle émiratie a diffusé les photographies de l’accueil réservé par cheikh Mohammad ben Zayed, le vice-président des EAU et gouverneur de Dubaï au général algérien et à la délégation qui l’a accompagné.

    Un colonel algérien à la retraite, Hussein Ben Hadid a même accusé ce dernier de prendre ses ordres des EAU, et de contribuer à exacerber la crise en semant la peur parmi les manifestants.

    L’Arabie saoudite aussi se trouve dans le collimateur des manifestants algériens. Le vendredi, ils ont scandé des slogans anti-saoudiens, poussant la chaine de télévision saoudienne al-Arabiyyat à suspendre son direct.

    (Pour ma part, j’ai également remarqué la couverture très favorable aux manifestants d’Al-Jazeera qatarie...)

  • Maroc-Israël: Hassan II, la grande imposture, par René Naba – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/11/22/maroc-israel-hassan-ii-la-grande-imposture-par-rene-naba

    Le Roi Hassan II du Maroc, Président du Comité Al Qods » (Jérusalem), hôte du premier sommet islamique de l’époque contemporaine (Rabat 1969), apparaît rétrospectivement comme l‘un des grands traîtres à la cause arabe et son long règne de 38 ans (Mars 1961-Juillet 1999) une vaste supercherie, si toutefois sont avérées les révélations contenues dans le livre du journaliste israélien Ronen Bergman « Rise and Kill First : The secret History of Israel’s targeted assassinations », ED. Penguin Random House.

    LES DIRIGEANTS ARABES PLACÉS SUR ÉCOUTE SUR ORDRE DE RABAT
    Réputé pour son sérieux, chroniqueur militaire de Yedioth Aharonoth et du New York Times, l’auteur soutient que les dirigeants arabes ont été placés sur écoute des services israéliens grâce à la connivence marocaine lors du Sommet arabe de Casablanca de septembre 1965. Du jamais vu même dans les fictions les plus satiriques, cette trahison dénote la désinvolture du monarque chérifien à l’égard de ses pairs et de son mépris pour la cause palestinienne.

    Version arabe de ce récit selon la recension de l’ouvrage établi par le site en ligne Ar Rai Al Yom à l’intention du locuteur arabophone.
    https://www.raialyoum.com/?p=821705

    La date n’est pas anodine. Scellé par la signature d’un pacte de solidarité et de coexistence pacifique entre régimes arabes, ce sommet s’est tenu en septembre 1965, au terme d’un été particulièrement brûlant au Maroc, marqué par la terrible répression de la révolte étudiante de Casablanca (23 mars 1965) qui fit officiellement 7 morts et 168 blessés. En fait 400 morts selon l’ambassade de France à Rabat.

    Sentant le vent du boulet, le jeune monarque a eu la lumineuse idée de se tourner alors vers les Israéliens, comme garde fou aux débordements de son opposition interne et externe. Autrement dit, contre la volonté de son peuple, il s’allia aux ennemis du Monde arabe pour la survie de son trône, dans la pure tradition de la servitude coloniale. Un schéma identique sera observé 70 ans plus tard par le trône wahhabite, bradant la Palestine, par une alliance ouverte avec Israël.

    Dans une sorte d’échange de bons procédés, Hassan II percevra le prix de sa forfaiture au plan arabe, un mois plus tard, par l’élimination d’un des espoirs de la renaissance arabe, Mehdi Ben Barka.

    Figure mythique de l’opposition démocratique marocaine, l’ancien professeur de mathématiques d’Hassan II sera enlevé en octobre 1965 à Paris avec la complicité du Mossad, et carbonisé par des sbires marocains, un mois après la tenue du sommet de Casablanca.

    Principal opposant socialiste au roi Hassan II et leader du mouvement tiers-mondiste et panafricaniste, Mehdi Ben Barka a été enlevé le 29 octobre 1965 à Paris alors qu’il tentait, en sa qualité de « commis-voyageur de la révolution », de fédérer les mouvements révolutionnaires du tiers-monde en vue de la Conférence Tri-continentale devant se tenir en janvier 1966 à la Havane en vue de faire converger « les deux courants de la révolution mondiale : le courant surgi avec la révolution d’Octobre et celui de la révolution nationale libératrice ». Pour l’historien René Galissot, « c’est dans cet élan révolutionnaire de la Tri-continentale que se trouve la cause profonde de l’enlèvement et de l’assassinat de Ben Barka ».

    Sur ce lien, Le rôle de Mehdi Ben Barka et de la tri-continentale dans le réveil des peuples colonisés

    https://www.madaniya.info/2015/12/20/non-alignes-tricontinentale-60-eme-anniversaire-1-2
    https://www.madaniya.info/2015/12/26/non-alignes-tri-continentale-60-eme-anniversaire-2-2
    La mise sur écoute des dirigeants arabes a permis aux Israéliens de prendre note de la stratégie de reconquête de la Palestine, comme des divergences inter arabes. La décision marocaine aura constitué « Le plus grand trésor stratégique d’Israël ». Le journaliste israélien a estimé que cette information était « la raison principale qui a poussé Israël à prendre la décision de faire la guerre aux États arabes en Juin 1967 », deux ans après le sommet de Casablanca, et qui a infligé une terrible défaite à l’Égypte, à la Syrie et à la Jordanie.

    L’incendie de la Mosquée Al Aqsa par un illuminé israélien, en 1969, donne l’occasion au souverain chérifien de se refaire une virginité politique à l’occasion du sommet Islamique de Rabat, en 1969. Deux ans après la défaite de juin 1967, dont il en a été indirectement responsable, le « Commandeur des Croyants » va cumuler cette fonction spirituelle avec celle plus politique de président du « Comité Al Qods ».

    Le sommet islamique de Rabat a marqué, sur le plan idéologique, le début de l’instrumentalisation de l’Islam comme arme politique contre l’athéisme soviétique et le nationalisme arabe, et, sur le plan stratégique, le détournement du combat pour la libération de la Palestine, vers des contrées périphériques, à des milliers de km du champ de bataille de la Palestine, avec Al Qaida en Afghanistan et les djihadistes arabo afghans au Caucase et en Bosnie au Kosovo, avant d’être dirigé contre les pays arabes à structure républicaine (Libye, Syrie) à l’occasion du déclenchement de la séquence dite du « printemps arabe » et le surgissement de groupements terroristes islamistes Daech, Jabat An Nosra, Jaych al Islam, opérant, dans le sud de la Syrie, en coopération avec Israël.

    Le Maroc figurera lors de cette séquence comme l’un des plus gros exportateurs du terrorisme islamique vers l’Europe occidentale (Attentat de Madrid 2004 qui a fait 200 morts, l’assassinat de Théo Van Gogh, les attentats de Bruxelles en 2015 et les attentats de Barcelone en 2017).

    Pour aller plus loin sur ce thème

    http://www.renenaba.com/de-l-instrumentalisation-de-l-islam-comme-arme-de-combat-politique

    Nonobstant la coopération sécuritaire entre le Maroc et Israël, Hassan II, fait rarissime dans les annales, devra faire face à deux séditions militaires, à son palais de Skhirat, le 10 juillet 1971, jour de son anniversaire, puis l’année suivante contre son propre Boeing par un groupe d’aviateurs ; indice d’un fort ressentiment à son égard, deux ans après son sacre de Rabat.

    Au delà du rôle du Mossad dans l’enlèvement de Mehdi Ben Barka, la vassalité du trône alaouite à l’égard de l’État Hébreu s’est concrétisée sous le règne de son successeur Mohammad VI avec le scandale du « Collier de la Reine » dans sa version tropicale ; un scandale qui titre son nom du bijou offert par l’épouse du Roi à Tzipi Livni, ancien ministre israélien des Affaires étrangères, dans la foulée de la destruction de la bande de Gaza (2007-2008), dont l’ancienne agent du Mossad en Europe en a été la coordonnatrice.

    Pour aller plus loin sur l’affaire du collier de la reine
    http://www.renenaba.com/le-collier-de-la-reine

    LE MAROC, PIVOT CENTRAL DU DISPOSITIF OCCIDENTAL EN AFRIQUE VIA LE SAFARI CLUB
    Pivot central du dispositif occidental en Afrique, le Royaume fondera, en 1976, avec la France, l’Egypte, l’Iran et l’Arabie saoudite, le « Safari Club », se donnant ainsi l’illusion de « jouer dans la cour des grands ». En pleine négociation de paix égypto-israélienne, il assumera le rôle de gendarme, non sur le champ de la confrontation israélo-arabe, mais à des milliers de kilomètres de là, non pour la récupération des Lieux Saints de l’Islam, mais pour le maintien au pouvoir d’un des dictateurs les plus corrompus de la planète le Zaïrois Mobutu, agent attitré des Américains dans la zone centrale de l’Afrique, l’assassin de Patrice Lumumba, le chef charismatique de l’Indépendance du Congo ex belge.

    En soutien à Jonas Savimbi, l’agent de la CIA en Angola ; ou encore l’ivoirien Félix Houphouet Boigny, le principal pourvoyeur des djembés et des mallettes à une caste politico médiatique française vénale.

    Le Maroc était représenté au sein de cette structure par le général Ahmad Dlimi, un des artisans de la liquidation de Mehdi Ben Barka, l’ancien lieutenant du général Mohamad Oufkir, l’homme des basses oeuvres de la dynastie alaouite, tous les deux liquidés sans autre forme de procès sur ordre du Palais royal.

    À propos du safari Club

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Safari_Club

    La dynastie chérifienne a constamment justifié sa relation privilégiée avec Israël par la spécificité du judaïsme marocain.

    Cf sur ce point, l’analyse d’Abraham Sarfati, l’un des plus célèbres opposants marocain à Hassan II.
    http://www.renenaba.com/jordanie-et-maroc-additif

    Il n’en demeure pas moins que le règne d’Hassan II, malgré les prosternations d’une presse française vénale, sera néanmoins qualifié de « Règne du Bagne et de la Terreur », dont le cas le plus illustre aura été le bagne de Tazmamart et l’arbitraire qui frappa notamment les Frères Bourequat.

    Pour aller plus loin sur cette affaire, cf le lien suivant
    http://www.renenaba.com/maroc-les-trois-freres-bourequat-40-ans-apres-le-retour-des-fantomes-vivan

    LE MAROC, POURVOYEUR DE PROSTITUÉES POUR LES PÉTROMONARCHIES ET REFUGE DE LA MAFIA ISRAÉLIENNE
    Un des principaux pourvoyeurs de la prostitution à destination du Golfe pétro monarchique, où près de vingt mille marocaines y font l’objet d’exploitations sexuelles, le Maroc passe de surcroît pour être un refuge pour la mafia israélienne. Le royaume aurait accueilli plusieurs anciens membres de la mafia israélienne, selon le quotidien israélien Haaretz, en date du vendredi 14 septembre 2012.

    Gabriel Ben-Harush et Shalom Domrani, deux figures puissantes de la mafia israélienne, recherchées depuis des années par l’Interpol, figuraient parmi les noms cités par le journal. Cf à ce propos : http://www.yabiladi.com/articles/details/12903/maroc-refuge-pour-mafia-israelienne.html

    Pour aller plus loin sur ce sujet cf :
    http://www.renenaba.com/yves-mamou-et-le-phenomene-de-serendipite

    Ronen Bergman mentionne 2700 assassinats ciblés orchestrés par Israël ; soit en moyenne 40 opérations par an. Les Israéliens n’auront fait que reprendre les méthodes en vigueur en Palestine par les britanniques, notamment le général Orde Wingate, qui avait créé dans la décennie 1930 les « Special Night Squads », les « Escadrons Nocturnes Spéciaux » composés de combattants juifs chargés des raids contre les villages arabes en procédant à l’élimination des meneurs.

    La France en a fait usage pendant la guerre d’Algérie et François Hollande a même admis que Paris y avait eu recours dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Les deux derniers présidents américains ont eu également recours aux « assassinats extrajudiciaires », George W. Bush jr, après les attentats terroristes du 11 Septembre 2001, et Barack Obama a ordonné plusieurs centaines d’exécutions ciblées par drones.

    YASSER ARAFAT, CHEIKH AHMAD YASSINE, ABDEL AZIZ RANTISSI
    La connivence israélo-marocaine s’est poursuivie en dépit de la décapitation du leadership palestinien, par les Israéliens, et le recours aux assassinats « extra judiciaires » des deux principaux dirigeants du Hamas, Cheikh Ahmad Yassine et son successeur Abdel Aziz Rantissi. Une collision qui acte une forme de forfaiture de la part du pouvoir chérifien.

    Le livre suggère aussi clairement qu’Israël a utilisé un poison radioactif pour tuer Yasser Arafat, le chef historique palestinien, ce que les dirigeants israéliens ont toujours nié. Bergman écrit que la mort d’Arafat en 2004 correspondait à un modèle et avait des partisans. Mais il évite d’affirmer clairement ce qui s’est passé, expliquant que la censure militaire israélienne l’empêche de révéler ce qu’il pourrait savoir.

    Deux monuments ont été édifiés au Maroc pour immortaliser l’oeuvre d’Hassan II : son mausolée à Rabat et la Mosquée de Casablanca, l’une des plus grandes du monde, qui porte son nom. Mais celui que la presse occidentale, particulièrement la presse française engourdie par la diplomatie de la Mamouniya, encensait comme un « Machiavel arabe doté de la baraka », se révélera être, à la lecture des révélations du livre de Ronen Bergman, un mauvais génie, une imposture.

    Et les deux monuments édifiés à la gloire posthume du Commandeur des Croyants et Président du comité Al Qods, -mais néanmoins un des principaux artisans du bradage de la Palestine, au même titre que l’Arabie saoudite-, se perçoivent, rétrospectivement, comme les stigmates du règne hideux d’un parfait sous traitant de l’impérium israélo-occidental. D’un être maléfique. D’un souverain vil et servile.

    Source : Madaniya, René Naba, 17-11-2018                                           https://www.les-crises.fr/maroc-israel-hassan-ii-la-grande-imposture-par-rene-naba

    • . . . . . . . .
      CI JOINT LA LISTE DES PERSONNALITÉS IRAKIENNES LIQUIDÉES, SELON LA LISTE ÉTABLIE PAR LE QUOTIDIEN EN LIGNE « AR RAI AL YOM »

      Dirigé par Abdel Bari Atwane, fondateur du journal trans-arabe Al Qods Al Arabi » : http://www.raialyoum.com/?p=454552

      Université de Bagdad (40 membres du corps enseignant asssassinés)

      1- Dr Mohamad Abdallah Al Rawi : Recteur de l’Université de Bagdad, Président de l’Ordre des Médecins iraien, assassiné à sa clinique sise quartier Al Mansour (Bagdad).
      2- Makki Habib Al Mou’men : diplomé de l’Université du Michigan (États-Unis), spécialiste de l’Histoire contemporaine, ancien professeur aux universités irakiennes (Bassorah, Bagdad, Irbil et Souleymaniyeh), ainsi qu’à l’Institut des Études Palestiniennes.
      3 – Mohamad Abdallah Moneim Al Azmiralli : Titulaire d’un doctorat en Chimie, scientifique distingué, en poste dans des centres de recherches spécialisés. Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad, Département de Chimie. Cet égyptien, titulaire de la nationalité irakienne, a été liquidé par les Américains dans le camp aménagé à proximité de l’aéroport de Bagdad, en 2003.
      4- Issam Charif Al Takriti : Ancien ambassadeur d’Irak en Tunisie. Titulaire de la chaire d’Histoire à l’Université de Bagdad, il a été liquidé en compagnie de 5 de ses collègues, le 22 octobre 2003, dans le secteur d’Amiryah (Bagdad) .
      5- Majed Hussein Ali : Savant atomique, spécialiste de la physique nucléaire (Université de Bagdad, Faculté des Sciences), éliminé début 2004.
      6- Imad Sarsour : Doyen de la Faculté de médecine de Bagdad, spécialiste de la chirurgie réparatrice.
      7- Soubeiry Moustapha Al Bayyat i : Chef du département de géographie de l’Université de Bagdad , tué en 2004.
      8- Ahmad Al Raw i : Professeur d’agronomie à l’Université de Bagdad, en charge du centre d’épidémiologie. Tué avec sa femme, en 2004, sur l’autoroute Bagdad-Al Ghazalyah.
      9- Housni Kamal : Physicien, Faculté des Sciences, Université de Bagdad.
      10- Marwane Mouzher Al Hayti : Ingénieur chimiste ; Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad.
      11- Moustapha Al Machahandi : Professeur de civilisation islamique. Faculté des lettres, Université de Bagdad.
      12- Khaled Mohamad Al Janabi : Titulaire de la chaire Histoire de l’Islam- Faculté des Lettres – Université de Bagdad.
      13- Hassan Abd Ali Daoud Al Rabihi : Vice doyen de la Faculté de Médecine de l’Université de Bagdad.
      14- Marwane Rachid : Vice-doyen de la Faculté de Génie- Université de Bagdad
      15- Abdel Latif Ali Al Mayyah : Adjoint au Directeur du Département du Monde arabe-Université de Bagdad. Assassiné en 2004 au lendemain de son apparition sur une chaîne de télévision arabe pour réclamer la tenue d’élections législatives.
      16- Hicham Charif : Chef département Histoire – Université de Bagdad
      17- Raad Chalah : Chef du département de Biologie – Faculté des Sciences-Université de Bagdad.
      18 -Fouad Ibrahim Mohamad Al Bayyati : Chef du département de l’Allemand (langue et civilisation allemandes) -Faculté des Langues- Université de Bagdad. Assassiné devant sa maison, quartier de Ghazala (Bagdad), le 19 avril 2005.
      19- Mohammad Kard Al Jammali : Spécialiste de la langue anglaise-Université de Bagdad. Directeur général du ministère de l’Éducation nationale. Assassiné le 10 juin 2004 dans le secteur d’Al Amiryah (Bagdad).
      20- Haifa Alawane Al Helli : Physicienne- Faculté des Sciences-Section féminine- Université de Bagdad.
      21- Abdel Razzak Al Na’as : Faculté des Sciences de la communication- Université de Bagdad. Assassiné le 28 janvier 2004.
      22- Haykal Mohammad Al Moussawi : Faculté de Médecine- Université de Bagdad.

      23- Hazem Abdel Hadi : Faculté de Médecine-Université de Bagdad.
      24- Abbas Al Attar : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad
      25- Bassam Al Moudaress : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad.
      26 – Bassel Al Kerkhi : Spécialiste Chimie. Faculté des Sciences – Université de Bagdad.
      27- Nasser Amir Al Obeidy : Université de Bagdad
      28- Nafeh Abboud : Spécialiste de la Littérature arabe- Université de Bagdad
      29- Marwane Al-Rawi : Génie civil – Université de Bagdad
      30- Rafi Sarkissian Vanagan : Magistère en Langue Anglaise – Professeur à la Faculté des Lettres- Université de Bagdad.
      31- Nafiha Hamad Khalaf : Professeur de Littérature arabe – Faculté des Lettres- Université de Bagdad
      32- Khalil Ismail Abd Ad Dahiry : Faculté de l’Éducation sportive – Université de Bagdad
      33- Ghaleb Al Hayti : Professeur de Chimie- Université de Bagdad. Assassiné en mars 2004.
      34- Hussein Ali Ibrahim Al Karbassy : Ingénieur géomètre- Spécialiste de la Topographie- Institut de Technologie Bagdad – Al Zaafaranyah. Assassiné le 16 avril 2006 dans le quartier Al Amiryah.
      35- Mohammad Al Douleimy : Faculté de Génie – Université de Bagdad. Assassiné en 2004.
      36- Hassan Al Rabihi : Faculté d’Art Dentaire – Université de Bagdad. Assassiné le 25 décembre 2004, alors qu’i roulait en voiture en compagnie de son épouse.
      39- Jassem Mohammad Al Issawi : Professeur de Sciences Politiques- Université de Bagdad. Membre du comité de rédaction du quotidien irakien « Al Syada » (La Souveraineté), un des négociateurs au sein du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assasiné le 22 juin 2005 dans le secteur Al Chaaba à Bagdad, à l’âge de 61 ans.
      40- Abdel Sattar Saber Al Khazarji : Faculté de Génie – Université de Bagdad – Assassiné le 4 juin 2005 dans la caserne « Madina Al Horra » (La Ville Libre) à Bagdad.

      Université de Bassorah – Sud de l’Irak (14)

      41 – Ala’a Daoud : Vice-Recteur de l’Université de Bassorah pour la division scientifique.
      42- Assad Salem Choureyda : Docteur en génie civil. Doyen de la Faculté de Génie- Université de Bass
      43- Omar Fakhry : Biologiste – Faculté des Sciences de l’Université de Bassorah.
      44- Khaled Chreyda : Titulaire d’un Doctorat en Génie civil -Faculté du Génie – Université de Bassorah.
      45- Abdel Latif Al Fadel : Spécialiste en Chimie. Faculté des Sciences- Université de Bassorah.
      46- Joumhour Karim Khamas Al Zarzani : Critique littéraire réputé. Chef du Département de Langue Arabe – Faculté de Lettres- Université de Bassorah. Enlevé le 7 juillet 2005, son cadavre a été retrouvé à Qiblah, à 3 kms de Bassorah.
      47- Ghadab Jaber Attar : Faculté de Génie – Université de Basssorah
      48- Kifaya Hussein Saleh : Faculté des Lettres – Université de Bassorah
      49- Ali Ghaleb Abed Ali : Faculté de Génie – Université de Bassorah
      50- Saad Al Rabihi : Biologiste- Faculté des Sciences. Université de Bassorah.
      51- Naoufal Ahmad : Faculté des Beaux-Arts-Université de Bassorah.
      52- Abdel Karim Hussein : Faculté d’Agronomie-Université de Bassorah. Assassiné le 11 avril 2006.
      53- Ala’a Abdel Hamid : Doyen Faculté de Médecine – Université de Bassorah.
      54- Haydar Al Ba’aj : Directeur du CHU de Bassorah.

      Université de Mossoul (Nord de l’Irak, capitale éphémère de L’Etat Islamique, dix ans après l’invasion américaine de l’Irak) : 12 membres

      55- Abdel Jabbar Moustapha : Doyen de l’Université de Mossoul ; Professeur de Sciences Politiques.
      56- Leila Abdallah Said : Doyenne de la Faculté de Droit de l’Université de Mossoul, assassinée en compagnie de son époux.
      57- Mounir Al Khaïrou : Professeur de Droit à l’Université de Mossoul, époux de la doyenne Leila Abdallah Said, tuée en sa compagnie.
      58- Imane Younes : Chef du département de l’Interprétariat – Université de Mossoul.
      59- Nouayl Boutros Mathew : Faculté de Médecine-Université de Mossoul.
      60- Mohammad Al-Douleimy : Génie mécanique. Faculté de Génie. Université de Mossoul.
      61- Khaled Faysal Hamad Cheikhou : Faculté de l’Éducation Sportive – Université de Mossoul.
      62- Mahmoud Younes Zannoune : Faculté des Lettres- Université de Mossou
      63- Imane Abdel Moneim Younés : Faculté des Lettres – Université de Mossoul
      64- Mahfouz Mohammad Hassan Al Kazzaz : Professeur de Lettres- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université de Mossoul. Tué lors d’une intervention des forces d’occupation américaines, le 25 Décembre 2004, à proximité de la Mosquée Dr Oussama Kachmoula- Province de Ninive.
      65- Inmar Al Ticq : L’un des plus célèbres ophtalmologistes irakiens. Professeur à la Faculté de Médecine – Université de Mossoul. Assassiné en Octobre 2004.
      66- Madame Falha Saleh Ahmad : Professeure de Sciences Politiques- Université de Mossoul. Assassinée en 2004

      Université Al Moustansariyah (15 membres)

      67- Sabah Mahmoud Al Rabihi : Doyen de la Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah
      68- Salem Abdel Hamid : Doyen de la Faculté de Médecine à l’Université d’Al Moustansariyah, spécialiste de la médecine préventive.
      69- Falah Ali Hussein : Doyen de la Faculté des Sciences- Université Al Moustansariyah.
      70- Ibrahim Talal Hussein : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah.
      71- Houba Eddine Ahmad Mahmoud : Chef du Département de l’Éducation- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah.
      72- Moussa Salloum Amir Al Rabihi : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah. Assassiné le 28 Mai 2005-Quartier Al Bayyyah (Bagdad).
      73- Abdel Samih Al Janaby : Doyen de la Faculté des Sciences -Université Al Moustansariyah. Poignardé lorsqu’il a mis en application une décision du ministère de l’enseignement supérieur prohibant la transformation des enceintes universitaires en tribunes religieuses.
      74- Mohammad Fakhr Al Douleimy : Titulaire d’un doctorat en Physique. Vice-Doyen de la Faculté des Sciences – Université Al Moustansari
      75- Zaki Zaker Al Ani : Professeur de Langue Arabe. Faculté des Lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      76- Hadi Abdel Karim : Faculté des lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      77- Mohamad Najib Al Kaissy : Département de la recherche – Université Al Moustansariyah.

      78- Samir Yelda Gergis : Vice-Doyen de la Faculté de Gestion et d’Économie- Université Al Moustansariyah. Enlevé devant l ‘entrée de l’Université, en Août 2005, son cadavre a été retrouvé un mois plus tard, dans une ruelle le 25 septembre 2005.
      79- Kazem Talal Hussein : Vice-Doyen de la Faculté de l’Enseignement Fondamental. Université Al Moustansariyah. Assassiné le 25 Novembre 2005 dans le quartier Moussayleh en compagnie de trois des ses gardes de corps.
      80- Ali Mouhaych : Doyen de la Faculté de Génie. Université Al Moustanssariyah. Assassiné le 13 Novembre 2006.
      81- Kazem Battine Al Hayani : Professeur de Psychologie – Faculté des lettres- Université al Moustanssariyah. Enlevé par des membres d’une milice religieuse le 3 Mars 2006. Son cadavre, mutilé, a été retrouvé à l’Institut Médico-légal.
      82- Mohammad Abdel Rabih Al Ani : Professeur de Droit à l’Université Al Moustansaryah. Doctorant à la Faculté des Sciences Islamiques à l’Université de Bagdad. Assassiné le 27 avril 2006 devant la Mosquée « Imam Farouq », proche de la Rue Palestine, dans le centre de Bagdad. Son cadavre a été retrouvé cinq jours plus tard le 2 Mai 2006 à l’Institut Médico-légal de Bagdad.

      Université de technologie Bagdad (8 membres)

      83- Mohie Hussein : Génie mécanique-Université de Technologie
      84- Mohammad Abbas Khodeyr : Génie mécanique- Université de Technologie.
      85- Qahtane Kazem Hatem : Faculté des Sciences-Université de Technologie.
      86- Amir Mouzher Al Dayni : Ingénieur Télécommunications.
      87-Mohamad Abdel Hassan Wahed : Institut de Gestion Technologique- Bagdad.
      88- Amr Ibrahim Hamza : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      89- Issam Saad Abdel Karim : Géologue. Chercheur au Centre National des Recherches. Enlevé le 28 Septembre 2004, assassiné le 1 er Octobre 2005.
      90- Mohannad Saleh Mehdi : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      91- Saad Yassine Al Ansari : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.

      Université Al Anbar (Ouest de l’Irak qui abrite les deux villes rebelles à la présence américaine Ramadi et Falloujah) : (7 membres)

      92- Raad Okhsen Al Binno : Faculté de Médecine-Université Al Anbar.
      93-Ahmad Abel Rahman Al Qobeissy : Professeur faculté de Médecine-Université Al Anbar
      94- Ahmad Abdel Hadi Al Rawi : Faculté d’Agronomie – Université Al Anbar.
      95- Chaker Mahmoud Jassem : Faculté d’Agronomie – Université d’Al Anbar.
      96- Abdel Karim Mokhallaf Saleh : Faculté des Lettres – Département de Langue Arabe – Université d’Al Anbar.
      97- Nasser Abdel Hamid Moukhlef Al Douleimy : Université Al Anbar

      98- Hamid Faysal Antar : Faculté de l’Éducation Sportive – Université Al Anbar.
      99- Abdel Majid Al Karbouly : Université Al Anbar

      Université Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate). 3 membres

      100- Akil Abdel Jabbar Al Bahadl y : Vice-Doyen Faculté de Médecine-Université d’Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate).
      101- Laith Abdel Aziz Abbas : Faculté des Sciences – Université d’Al Nahrayne.

      102- Mohammad Falah Houeidy Al Jazairy : Chirurgie réparatrice- Faculté de Médecine – Université d’Al Nahrayne. Assassiné le jour de son retour du pèlerinage de La Mecque début 2006. Médecin au CHU (Centre Hospitalier Universitaire) d’Al Kazmiyah (Bagdad).

      Université de Dyala : (Ouest de l’Irak, 6 membres)

      103- Abdel Sattar Al Assady : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      104- Salem Hussein Al Mahdawi : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 9 avril 2006.
      105- Mouchhen Hardane Mazloum Al Alawi : Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      106- Mayss Ghanem : Membre du corps professoral du Département de langue et de civilisation anglaise – Université de Dyalla.
      107- Abdel Sattar Jabbar : Faculté de Médecine Vétérinaire- Université de Dyalla. Assassiné le 22 avril 2006.
      108- Taleb Ibrahim Al Zahar : Spécialiste de physique nucléaire – Professeur-à la Faculté des Sciences- Université de Diyala. Assassiné à Ba’aqouba en Mars 2005.

      Université de Tikrit (centre de l’Irak, Région natale de Saddam Hussein)

      109- Fadl Moussa Hussein : Faculté de l’Education Sportive – Université de Tikrit.
      110- Mahmoud Ibrahim Hussein : Faculté des Lettres – Université de Tikrit

      Université Al Ma’moun

      111- Mohsen Abbas Khodeir Al Salmane : Chef du département au ministère de l’irrigation. Professeur à l’Université Al Ma’moun, tué à Falloujah en 2004

      Divers

      112- Wajih Mahjoub Al Taï : Directeur général de l’enseignement supérieur au ministère de l’Éducation Nationale
      113-Chaker Al Khafaji : Directeur de l’Office Central de la Maîtrise de la Qualité.
      114- Moustapha Abel Hamid Al Hayti : Spécialiste des maladies infantiles.
      115-Wissam Al Hachimi : Président de l’Association des Géographes d’Irak.
      116- Raad Abdel Latif Al Saadi : Linguiste. Conseiller en langue arabe au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Assassiné le 28 mai 2005, quartier d’Al Bayyah (Bagdad).

      117- Hussein Nasser Khalaf : Chercheur à la Faculté d’Agronomie. Centre des études « Al Nakhil » (Palmiers-Dattiers) de Bassorah. Enlevé le 18 Mai 2005, son cadavre a été retrouvé, quatre jours plus tard, le 22 Mai 2005, dans le quatier Al Bayyah-Bagdad.
      118- Taqi Al Talqua’ay : Titulaire d’un doctorat en physique nucléaire.
      119- Khawla Mohammad Taqi : Faculté de Médecine-Université de Coufa
      120- Zaki Jaber Lafta Al Saadi : Faculté de médecine vétérinaire.
      121- Mohsen Souleimane Al Oujeily : Faculté d’Agronomie- Université de Babel.

      122- Dr Liwa Al Sannanne Abdel Jabbar Abou Halhal : Université Al Bakr pour les Hautes Études. Assassiné à la prison d’Abou Ghraib en 2004.
      123- Ali Mabak Al Malki : Expert comptable – Direction des impôts – Ministère des Finances.
      124- Achoura Awdat Al Rabihi : Titulaire d’un Magistère en Géographie Humaine de l’Université de Michigan. Directeur du Centre d’Études « Al Mansour ». Assassiné dans le quartier Al Amriyah (Bagdad) en 2004.
      125- Moujber Al Cheikh Issa al Jouboury : Juriste. Membre du « Comité de Rédaction de la Constitution.
      126- Damman Hussein Alaoui Al Obeidy : Doyen de la Faculté de Droit de l’Université de Salaheddine et membre du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assassiné le 12 juillet 2005 à Bagdad.
      127- Sabah Aziz Hachem : Institut de technologie – Province de Bassorah. Tué devant l’entrée de l’établissment le 11 Avril 2006.
      128 – Faydi Mohammad Al Faydi : Membre du Haut Comité des Théologiens de l’Islam. Titulaire d’un Doctorat de l’Université de Législation islamique (promotion 1990). Tué devant la Mosquée dans le secteur d’Al Mouthanna (district de Mossoul).
      129- Amid Mounzer Al Bayati : Médecin. Asssassiné le 16 juin 2005 devant sa maison située dans le quartier Al Sayyeh.
      130- Amid Sadeq Al Abadi : Medecin. Assassiné le 1 er septembre 2005 devant le complexe médical qu’iil avait édifié pour les soins aux nécessiteux.
      131- Amer Mohammad Falah : Chef du département de Chirurgie au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Républicain de Bagdad. Assassiné devant son domicile le 3 Octobre 2004.
      132- Reda Amine : Assistant technique – CHU de Kirkouk. Assassiné le 15 septembre 2004 à Kirkouk.
      133- Abdallah Saheb Younes : Hopital Naaman-Al A’Azamiyah-Bagdad. Assassiné le 18 Mai 2005.

      134- Ibrahim Ismail : Directeur général du Département de l’Éducation Nationale à Kirkouk. Assassiné le 30 Septembre 2004, alors qu’il était en route vers l’Institut de Technologie de Kirkouk.
      135- Rajeh Al Ramadani : Inspecteur au ministère de l’Éducation Nationale. Assassiné le 29 septembre 2004, alors qu’il sortait de la Mosquée Ziad Al Iraqi à Ninive.

      Source : Madaniya, René Naba, 21-09-2018

      #génocide

  • Qui est Cunégonde ?

    https://fr.wikisource.org/wiki/Candide,_ou_l%E2%80%99Optimisme/Beuchot_1829/Chapitre_27

    Cunégonde et la vieille servent chez ce prince dont je vous ai parlé, et moi je suis esclave du sultan détrôné. Que d’épouvantables calamités enchaînées les unes aux autres ! dit Candide. Mais, après tout, j’ai encore quelques diamants ; je délivrerai aisément Cunégonde. C’est bien dommage qu’elle soit devenue si laide.

    Une première réponse
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Candide#Cun%C3%A9gonde

    Voltaire était ami avec une dame allemande, comtesse dans une minuscule principauté endettée. Ses déboires et son caractère auraient servi de source d’inspiration quand Voltaire inventa le personnage de Cunégonde. En réalité ce fut une femme extraordinaire féministe avant le mot.

    Charlotte Sophie von Bentinck Aldenburg
    http://www.correspondance-voltaire.de/html/bentinck.php

    Bentinck, Charlotte Sophie Gräfin von
    * 5.8.1715 Varel (Oldenburg), † 4.2.1800 Hamburg. (reformiert)
    https://www.deutsche-biographie.de/sfz3764.html

    Charlotte Sophie, countess Bentinck, her life and times, 1715-1800 : Le Blond, Aubrey, Mrs : Internet Archive
    https://archive.org/details/charlottesophiec01lebliala

    Full text of "Charlotte Sophie, countess Bentinck, her life and times, 1715-1800"
    https://archive.org/stream/charlottesophiec01lebliala/charlottesophiec01lebliala_djvu.txt

    CHARLOTTE SOPHIE, Countess Bentinck, nee Countess of Aldenburg, Sove-reign Lady of Varel, Kniphausen, etc. (to give her, once for all, her full title), lived in an extremely interesting period of European history. During the eighty-five years of her life from 1715 to 1800 France passed from Louis XIV
    through the age of Voltaire and Rousseau to the Revolution, and when Charlotte Sophie died Napoleon held all Europe in his grip. The Empire, under Marie Therese, and Prussia, under Frederick the Great, entered on the long struggle of the Seven Years* War, and Russia was for many years in the hands of Catherine II. Of what transcendent interest passing events must have been to a woman who was personally acquainted with all the people involved

    Charlotte Sophie von Aldenburg Bentinck (comtesse de, 1715-1800) : nom d’alliance
    http://data.bnf.fr/13174416/charlotte_sophie_von_aldenburg_bentinck

    Charlotte Sophie Bentinck – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Charlotte_Sophie_Bentinck


    L’article en allemand est assez complèt contrairement à l’entrée en anglais.

    In Hamburg (ab 1768)
    Nachdem sich Charlotte Sophie mit mehreren deutschen Höfen überworfen hatte, zog sie 1768 nach Hamburg, wo sie über dreissig Jahre wohnte - länger als an keinem anderen Ort. Hier wohnte sie in prominenter Lage am Jungfernstieg Nr. 3, Ecke Neuer Wall und zog später ins ländliche Eimsbüttel. Wegen der engen persönlichen Beziehungen zur aristokratischen Gesellschaft der Generalstaaten und wegen ihrer zahlreichen Verwandtschaft in England verstand sie sich als Repräsentantin des Adels. In ihrem Salon, den sie aufgrund ihrer vielseitigen literarischen Bildung veranstaltete, verkehrten Diplomaten, die in Hamburg akkreditiert waren und dem Adel angehörten und nach 1789 Angehörige des französischen Adels, die vor den Schrecken der Revolution geflohen waren. Mit ihrem Salon bildete sie einen anerkannten Gegenpol zu den bürgerlichen Zirkeln in Hamburg. Einer dieser Zirkel, genauer der von Elise Reimarus und Margaretha Büsch, gab sich zum Zwecke der Abgrenzung den Namen „Theetisch“.

    Hamburg, Jungfernstieg 4-5, la maison Jungfernstieg 3 sur la Alster a fait place à un pavillon touristique.
    https://www.openstreetmap.org/search?query=Hamburg%20Jungfernstieg%204#map=19/53.55198/9.99343
    https://www.google.de/maps/place/Jungfernstieg+3,+20095+Hamburg/@53.5537658,9.9917507,3a,75y,48.88h,100.46t/data=!3m6!1e1!3m4!1sH2GLvHSTkbo8XIocg7cCeA!2e0!7i13312!8i6656!4m5!3m4!1s0x47b

    Schloss Bückeburg
    https://de.wikipedia.org/wiki/Schloss_B%C3%BCckeburg

    Les secrets de fabrication de « Candide »
    http://www.lefigaro.fr/livres/2007/11/08/03005-20071108ARTFIG00104-les-secrets-de-fabrication-de-candide.php?mode=im

    Voltaire a parlé de Ragotski dans le chap. XXII du Siècle
    de Louis XIV
     ; voyez tome XX. Ragotski est mort en 1785. B.

    François II Rákóczi — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_II_R%C3%A1k%C3%B3czi


    Un admirateur et protégé de Louis XIV. , personnage dont se sert Voltaire pour ironiser la cour de Versailles et sa politique. Dans Candide il est mentionné comme le roi déchu Ragotski .

    Rákóczi, « L’Autobiographie d’un prince rebelle. Confession • Mémoires »
    https://www.notesdumontroyal.com/note/449

    Rákóczi Ferenc II Prince of Transylvania 1676-1735 [WorldCat Identities]
    http://www.worldcat.org/identities/lccn-n80019655

    Works: 679 works in 1,228 publications in 10 languages and 4,540 library holdings
    Genres: History Sources Biography Records and correspondence Fiction Art Pictorial works
    Roles: Author, Honoree, Editor, Other, Creator, Dedicatee, Signer
    Classifications: DB932.4, 943.91

    Candide ou le détour oriental de monsieur de Voltaire, Abdel Aziz Djabali, p. 93-112
    http://books.openedition.org/cedej/234

    #histoire #littérature #philosophie #politique

  • Hariri est arrivé à Paris. Il serait accompagné de sa femme et de son fils aîné (Houssam, né en 1999). Le détail qui va passionner les Libanais (mais pas les autres) : ses deux autres enfants (mineurs) seraient restés en Arabie séoudite (Loulwa née en 2001 et Abdel Aziz né en 2005).

    Selon le Akhbar, c’était une des conditions pour que Saad Hariri soit autorisé à quitter le royaume :
    http://www.al-akhbar.com/node/286673

    بقاء ابنَي الحريري في الرياض بدا أشبه بالشروط التي تُفرَض على الموقوف بعد صدور قرار بإطلاق سراحه. وهذا الأمر (عدم مغادرة جميع أفراد عائلة الحريري معه)، أبلغه «الوسيط» الفرنسي إلى الرئيس ميشال عون أمس، ما سبّب انزعاجه. فعون، الذي سبق أن أعلن أن الحريري موقوف ومحتجز في السعودية، كان قد طالب بخروجه مع عائلته من الرياض، وعودتهم إلى لبنان، لضمان حرية قرار رئيس الحكومة بعد كل ما تعرّض له في الأسبوعين الماضيين. ورئيس الجمهورية بات يملك تصوراً تفصيلياً لكل ما جرى للحريري، منذ صباح يوم 4 تشرين الأول، تاريخ إجباره على إعلان استقالته.

    (Note : j’écris au conditionnel au sujet des 2 enfants, je manque de sources à cette heure.)

    • Not Without Dignity: Views of Syrian Refugees in Lebanon on Displacement, Conditions of Return, and Coexistence

      Discussions about a future return of refugees and coexistence among groups currently at war in Syria must begin now, even in the face of ongoing violence and displacement. This report, based on interviews with refugees, makes it clear that the restoration of dignity will be important to creating the necessary conditions for return and peaceful coexistence — and building a stable post-war Syria one day.


      https://www.ictj.org/publication/syria-refugees-lebanon-displacement-return-coexistence
      #rapport

    • New ICTJ Study: Syrian Refugees in Lebanon See Security, Restoration of Dignity as Key Conditions for Return

      A new report from the International Center for Transitional Justice argues that discussions about a future return of refugees and coexistence among groups currently at war in Syria must begin now, even in the face of ongoing violence and displacement. The report makes it clear that the restoration of refugees’ sense of dignity will be important to creating the necessary conditions for return and peaceful coexistence — and building a stable post-war Syria one day.

      https://www.ictj.org/news/study-syrian-refugees-lebanon-conditions-return

    • We Must Start the Conversation About Return of Syrian Refugees Now

      If millions of displaced Syrians are to go home one day, we need to understand refugees’ conditions for returning, attitudes to justice and the possibility of coexistence, say the authors of an International Center for Transitional Justice study of refugees in Lebanon.

      https://www.newsdeeply.com/refugees/community/2017/06/21/we-must-start-the-conversation-about-return-of-syrian-refugees-now

    • Nowhere Left to Run: Refugee Evictions in Lebanon in Shadow of Return

      Lebanon wants to evict 12,000 refugees who live near an air base where foreign military assistance is delivered. The evictions, which began in spring and recently resumed after a short respite, have left refugees more vulnerable amid rising demands they return to Syria.


      https://www.newsdeeply.com/refugees/articles/2017/09/28/nowhere-left-to-run-refugee-evictions-in-lebanon-in-shadow-of-return
      #Liban

    • Syrian Refugees Return From Lebanon Only to Flee War Yet Again

      Refugees who returned to Syria from Lebanon under cease-fire deals this summer have been displaced again by fighting. Those who stayed behind are pressing for international guarantees of safety on return, as Lebanese officials explore ways to get more refugees to leave.


      https://www.newsdeeply.com/refugees/articles/2017/10/11/syrian-refugees-return-from-lebanon-only-to-flee-war-yet-again

    • Dangerous Exit: Who Controls How Syrians in Lebanon Go Home

      AS HALIMA clambered into a truck leaving Lebanon in late June, she resolved that if the men driving the vehicle were arrested at the Syrian border, she would get out and walk back to her village on her own. The 66-year-old grandmother had not seen the son and daughter she left behind in Syria for five years. Wearing an embroidered black dress and a traditional headdress, her crinkled eyes shone with determination. “I’m coming back to my land,” she said.

      Having begged her not to leave, Halima’s two daughters staying in Lebanon wept on her shoulders. “We’re afraid she won’t come back,” 42-year-old Sherifa said, as her voice cracked. Sherifa cannot follow her mother to Syria; her eldest son, who has single-handedly kept the family afloat with odd jobs because of his father’s disability, would be sent to war.

      Huddled in groups at the checkpoint in northeast Lebanon, other families also said their goodbyes. A teenage girl knelt on the dirt road, refusing to let go of her 19-year-old brother’s legs. Their mother, Nawal, held her as he left for a truck to the border. “I don’t know how he will live on his own in Syria. Only God knows what will happen to him,” Nawal said. “I didn’t think he would actually leave. It all happened very fast.”

      A few months earlier, 3,000 Syrians in the Lebanese border town of Arsal had registered their names with Syrian and Lebanese intelligence agencies to return to their villages just over the mountains in Syria’s Qalamoun region. When the first group of several hundred people was approved to leave on June 28, many families were separated, as some members either decided not to register or were not approved by Syrian authorities.

      “We need a political solution for these people to go back, but the politics doesn’t start here in Lebanon,” a Lebanese intelligence agent said, as a scuffle broke out that scorching June morning. A Syrian man lunged at Khaled Abdel Aziz, a real estate businessman who had been put in charge of signing up fellow refugees to return. Abdel Aziz sweated in his suit as he dashed between television interviews, repeating that Syrians had a country of their own to go back to. “You’re protecting the army, not protecting yourself,” the man yelled, before being pulled away.

      The TV cameras rolled as dozens of trucks and tractors piled high with timber, water tanks and chicken coops were checked off a list by Lebanese intelligence agents and headed with an army escort to the Syrian border. A line of TV reporters announced to their Lebanese viewers that these refugees were going home.

      The next day, on the other side of Arsal, a small group of refugees held a sit-in, to much less fanfare. “We’re asking for return with dignity,” one banner read, “with guarantees from the international community and the U.N.”

      “We’re not against the return, but we want conditions, guarantees,” said Khaled Raad, one of the organizers. His refugee committee has been petitioning the U.N. and sympathetic Lebanese politicians for international protection for returning Syrians for a year. “I mean, this is not like taking a cup of tea or coffee to say, after seven years, go ahead and return to your houses. It’s not an easy thing.”

      “WE NEED A POLITICAL SOLUTION FOR THESE PEOPLE TO GO BACK, BUT THE POLITICS DOESN’T START HERE IN LEBANON.”

      By then, Halima had arrived back in Syria. Apart from some tractors breaking down en route, they had no problem crossing the border. Halima went to stay with her son while she waited to hear about the situation in her hometown, the mountaintop village of Fleeta. Her granddaughters had grown up quickly while she was in Lebanon, and she loved spending time with them in the neighboring town.

      But as more of their friends and relatives returned to Fleeta, with subsequent groups departing Arsal in July, word came to the family of empty homes and little power, water or work in the Syrian village. Sherifa received messages from relatives who had returned to Fleeta but now wanted to escape again. With no easy way to come back to Lebanon legally, they planned to smuggle themselves back across the border.

      Without her mother, and with bad news from Fleeta making it less likely she would ever return to Syria, Sherifa became increasingly desperate. Her husband, who is unable to work for health reasons, sunk into depression. “By God, dying is better than living,” Sherifa said. “I seek refuge in God from this return.”

      LONGING FOR HOME, AFRAID TO RETURN
      RETURNING TO SYRIA during this eighth year of conflict is both an excruciating personal decision and a political calculation: by refugees, the government in Syria, and other nations with a stake in the war. As the government recaptures more territory from opposition groups, and fighting quells in certain areas, some refugees are considering returning, while others are terrified of the increasing pressure to go back. After Lebanon began organizing small group returns this year, including from Arsal, these dilemmas became more urgent.

      To return is to take a political gamble: Refugees must weigh the risks of staying against the risks of going. They try to figure out who can be trusted to tell them the truth. They gather snippets of information from their cities, towns and villages about what happens to people who return. They struggle to decipher the intentions of the mercurial and multi-layered Syrian authorities and their foreign allies.

      Some of the broader dangers are well-known: an estimated half a million people killed in Syria’s war, including thousands dead this year; some one million people forced to leave their homes this year alone; a third of all houses and half of all schools and hospitals damaged or destroyed; in government-controlled areas, mandatory conscription into battle for men under 43, fear of arrest and torture, and the difficulties of reintegrating into a society and economy fractured by war.

      Until now, few refugees have considered this a risk worth taking. In 2017, the U.N. said 77,300 refugees went back independently to Syria, out of 5.6 million who had fled the country. The vast majority of Syrian refugees have consistently told U.N. and independent surveys they hoped to return home one day, but do not yet feel safe to do so.

      There are also risks to staying. More than 80 percent of Syrian refugees remain in three neighboring countries: Turkey, Lebanon and Jordan. There, they face soaring poverty, years out of work or school, lack of official documents, risk of arrest and, above all, an increasing public clamoring for Syrians to be sent back.

      In Lebanon, where at least 1.5 million Syrians have sought refuge – increasing the country’s population by a quarter – the pressure to leave is the most intense. Few Syrians have legal status, even fewer can work. Many towns have imposed curfews or carried out mass evictions. At the U.N. General Assembly last year, Lebanon’s president Michel Aoun insisted Syrians must return, voluntarily or not. “The claim that they will not be safe should they return to their country is an unacceptable pretext,” he told world leaders.

      https://www.newsdeeply.com/refugees/articles/2018/08/08/dangerous-exit-who-controls-how-syrians-in-lebanon-go-home
      #Liban

    • Turkish minister: 255,300 Syrian refugees have returned home

      Turkish Interior Minister Süleyman Soylu said on Sunday that 255,300 Syrian refugees have returned home over the past two years, the state-run Anadolu news agency reported.

      “Some 160,000 of them returned to the Euphrates Shield region after Turkey brought peace there,” added Soylu, speaking to reporters in the southern province of Hatay bordering Syria.

      Turkey carried out Operation Euphrates Shield between August 2016 and March 2017 to eliminate the terrorist threat along the border in the northern Syrian regions of Jarabulus, Al-Rai, Al-Bab and Azaz with the help of the Free Syrian Army.

      Expressing concern about a possible operation in the Idlib region of Syria by regime forces, the minister underlined that Turkey would not be responsible for a wave of migration in the event of an offensive.

      Soylu also noted that an average of 6,800 irregular migrants a day used to enter Greece from western Turkey in 2015 and that now it has been reduced to 79.

      https://www.turkishminute.com/2018/09/09/turkish-minister-255300-syrian-refugees-have-returned-home

    • The fate of Syrian refugees in Lebanon. Between forced displacement and forced return

      Recent news reports have surfaced on a possible United States-Russia deal to arrange for the return of refugees to Syria—reports that coincided both with the announcement that thousands of Syrians have died in regime prisons, and with one of the worst massacres in the conflict, perpetrated by ISIS in the city of Swaida. The US-Russia deal has been welcomed by Lebanese politicians, particularly those who have been scheming to repatriate Syrians for years now. But, unsurprisingly, the absence of a clear and coherent strategy for repatriation by the Lebanese government puts Syrian refugees at grave risk.

      In June, UNHCR interviewed Syrian refugees in Arsal who had expressed their willingness to go back to Syria in order to verify that they had the documentation needed for return and to ensure they were fully aware of the conditions in their home country. In response, caretaker Foreign Minister Gebran Bassil accused the agency of impeding refugees’ free return and ordered a freeze on the renewal of agency staff residency permits.

      This tug of war raises two main questions: What are the conditions in Lebanon that are pushing refugees toward returning to Syria while the conflict is ongoing and dangers persist? And what are the obstacles preventing some Syrians from returning freely to their homes?

      Conditions for Syrians in Lebanon

      Syrians began fleeing to Lebanon as early as 2011, but the Lebanese government failed to produce a single policy response until 2014, leading to ad-hoc practices by donors and host communities.

      By the end of 2014, the government began introducing policies to “reduce the number of displaced Syrians,” including closing the borders and requiring Syrians to either register with UNHCR and pledge not to work, or to secure a Lebanese sponsor to remain legally in the country and pay a $200 residency permit fee every six months. In May 2015, the government directed UNHCR to stop registering refugees. These conditions put many Syrians in a precarious position: without documentation, vulnerable to arrest and detention, and with limited mobility. Municipalities have been impeding freedom of movement as well, by imposing curfews on Syrians and even expelling them from their towns.

      In addition to the difficulties imposed by the state, Syrians face discrimination and violence on a day-to-day basis. Refugee settlements have been set on fire, Syrians have been beaten in the streets, and camps are regularly raided by the Lebanese army. All the while, Lebanese politicians foster and fuel the hatred of Syrians, blaming them for the country’s miseries and painting them as existential and security threats.

      Despite the polarization among Lebanese politicians regarding the situation in Syria, there is a consensus that the Syrian refugees are a burden that Lebanon cannot bear. Politicians across the board have been advocating for the immediate repatriation of refugees, and state officials are beginning to take action. President Michel Aoun made a statement in May declaring that Lebanon would seek a solution regarding the refugee crisis without taking into account the preferences of the UN or the European Union. This was followed by Bassil’s move, to freeze the residency permits of UNHCR staff, the leading agency (despite its many shortcomings) providing services for, and protecting the interests of, Syrian refugees. While UNHCR maintains that there are no safe zones in Syria as of yet, Lebanon’s General Security has begun facilitating the return of hundreds of refugees from Arsal and nearby towns. This process has been monitored by UNHCR to ensure that the returns are voluntary. Hezbollah has also established centers to organize the return of Syrians to their homes in collaboration with the Syrian regime.

      Syrian regime obstructing refugees’ free return

      As the situation for Syrian refugees in Lebanon becomes more and more unbearable, conditions for them back home remain troubling. Since 2012, the Syrian regime has been taking deliberate measures that would effectively make the situation for returning Syrians extremely difficult and dangerous.

      Conscription

      Syrian males aged 18 to 42 must serve in the Syrian Armed Forces. While exemptions were allowed in the past, a decree issued in 2017 bans exemptions from military service. Refusing to serve in the Syrian army results in imprisonment or an $8,000 fine, which most Syrians are unable to pay, thus risking having their assets seized by the regime.

      Property as a weapon of war

      Law No. 66 (2012) allowed for the creation of development zones in specified areas across the country. Under the pretense of redeveloping areas currently hosting informal settlements or unauthorized housing, the law is actually being used to expropriate land from residents in areas identified in the decree, which are mostly former opposition strongholds such as Daraya and Ghouta.

      Law No. 10 (2018), passed in April, speeds up the above process. This law stipulates the designation of development or reconstruction zones, requiring local authorities to request a list of property owners from public real estate authorities. Those whose have property within these zones but are not registered on the list are notified by local authorities and must present proof of property within 30 days. If they are successful in providing proof, they get shares of the redevelopment project; otherwise, ownership reverts to the local authority in the province, town, or city where the property is located. Human Rights Watch has published a detailed Q&A that explains the law and its implications.

      These laws, coupled with systematic destruction of land registries by local authorities, fully equip the regime to dispossess hundreds of thousands of Syrian families. Reports indicate that the regime has already begun reconstruction in areas south of Damascus.

      Statements by Syrian officials

      Syrian officials have made several public statements that reveal their hostility toward refugees. On August 20, 2017, at the opening ceremony of a conference held by Syria’s foreign ministry, President Bashar al-Assad gave a speech in which he said: “It’s true that we lost the best of our young men as well as our infrastructure, but in return we gained a healthier, more homogeneous society.” On another occasion, Assad stated his belief that some refugees are terrorists.

      In September 2017, a video of Issam Zahreddine, a commander in the Syrian Armed Forces, went viral. In the video, Zahreddine threatens refugees against returning, saying: “To everyone who fled Syria to other countries, please do not return. If the government forgives you, we will not. I advise you not to come back.” Zahreddine later clarified that his remarks were meant for rebels and ISIS followers, but that clarification should be taken with a grain of salt given his bloody track record in the war up until his death in October 2017. Along similar lines, leaked information from a meeting of top-ranking army officers just last month reported the following statement by the head of the Syrian Air Force Intelligence administration, General Jamil Al-Hassan: “A Syria with 10 million trustworthy people obedient to the leadership is better than a Syria with 30 million vandals.”

      Unknown fate

      Considering the unwelcoming policies in Lebanon and the treacherous conditions in Syria, what is the fate of Syrian refugees, specifically those who oppose the Assad regime? Until now, the return championed by Lebanese politicians implies return to a fascist regime that has caused the largest refugee crisis since the Second World War and unapologetically committed countless war crimes. While Lebanese politicians continue to focus on repatriation, they are failing to acknowledge the major barriers preventing Syrians from returning home: the Assad regime and ongoing mass violence.

      We cannot speak of safe, dignified, and sustainable returns without demanding justice and accountability. Regime change and trials for those who committed war crimes over the span of the last seven years are a long way off, and all evidence currently points toward the Assad regime retaining power. Any strategy must therefore prioritize the safety of Syrians who are likely to be detained, tortured, and killed for their political views upon return, or simply denied entry to Syria altogether. Lebanese policy makers must take into account that Syrians residing in Lebanon are not a homogenous entity, and some may never be able to return to their homes. Those Syrians should not be forced to choose between a brutal regime that will persecute them and a country that strips away their rights and dignity. It is time for Lebanon to adopt clear policies on asylum, resettlement, and return that ensure the right of all Syrians to lead a safe and dignified life.

      http://www.executive-magazine.com/economics-policy/the-fate-of-syrian-refugees-in-lebanon

    • Le retour des réfugiés en Syrie commence à préoccuper la communauté internationale

      Lors d’une conférence sur la Syrie à Bruxelles, le retour des réfugiés syriens dans leur pays a été évoqué. Démarrée en 2011, la guerre en Syrie touche à sa fin

      La situation en Syrie est loin d’être stabilisée. Les besoins de financement, de nourriture de matériel sont même en constante augmentation. Selon un haut fonctionnaire de l’ONU, un éventuel assaut contre la dernière enclave rebelle pourrait entraîner une « catastrophe humanitaire ». Pourtant, alors que 12 millions de Syriens, soit près de la moitié de la population syrienne avant la guerre, a fui le pays ou a été déplacée à l’intérieur, la question du retour, étape indispensable à la reconstruction, commence à se poser.

      C’est le principal message ressorti de la conférence « Supporting the Future of Syria and the Region » , qui vient de se tenir à Bruxelles. Les diplomates européens ont mis l’accent sur les difficultés de l’Europe à isoler le Président Bashar al-Assad, vainqueur de la guerre, soutenu par la Russie et l’Iran, pendant que les États-Unis retirent leurs troupes.

      L’UE a rappelé qu’un soutien à la reconstruction à long terme dépendrait du processus de paix de l’ONU pour mettre fin à une guerre responsable de la mort de centaines de milliers de personnes.

      Les Européens sont toutefois divisés sur la question de la reconstruction du pays, dans la mesure où le processus de paix de l’ONU est bloqué, que l’intervention militaire russe de 2015 s’avère décisive et que les pays arabes voisins envisagent de rétablir des liens diplomatiques.

      « Les États-Unis se retirent et les Russes n’ont pas l’argent. Voilà le contexte », a expliqué un haut fonctionnaire de l’UE, cité par Reuters. L’Allemagne, la France et les Pays-Bas défendent ouvertement l’idée de libérer les fonds de reconstruction uniquement quand le pays aura démarré sa transition politique et que Bashar-al-Assad ne sera plus au pouvoir. Aucun représentant officiel de la Syrie n’a été invité à la conférence. L’Italie, l’Autriche et la Hongrie, grands détracteurs de la politique migratoire européenne, plaident en revanche pour une négociation avec les autorités syriennes pour que les millions de réfugiés puissent rentrer chez eux.

      Mogherini craint le « ni guerre ni paix »

      La cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a déclaré qu’il y avait un risque que le pays se retrouve coincé dans une situation de « ni guerre ni paix ». Le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, a déclaré qu’il était prévisible que 2019 soit la première année depuis le début de la guerre « où il y aura plus de Syriens (réfugiés et déplacés internes) qui rentreront chez eux que de nouveaux déplacés. S’étant rendu en Syrie la semaine dernière, le Haut Commissaire a déclaré avoir été « marqué et touché » par la résilience du peuple syrien.

      « C’est dans un contexte de grandes destructions, avec des zones encore dangereuses et un manque de produits de première nécessité (nourriture, médicaments, eau) et d’emplois que de nombreux Syriens rentrent chez eux. Les agences humanitaires font ce qu’elles peuvent, mais un très grand nombre de déplacés internes et quelques réfugiés prennent la décision difficile de rentrer chez eux, et les besoins en produits de première nécessité ne font qu’augmenter », a-t-il expliqué, ajoutant que la plupart des réfugiés voyaient leur avenir dans leur pays natal et que « nous savons que 56 000 Syriens sont rentrés chez eux via des mouvements organisés l’année dernière, mais ce chiffre est certainement plus élevé ».

      Engagements financiers

      « Je suis heureux de vous annoncer que nous collaborons notamment avec le gouvernement syrien. Et j’aimerais particulièrement remercier la Fédération de Russie pour sa coopération face aux problèmes que le retour des réfugiés syriens implique pour eux », a ajouté Filippo Grandi. Dans le cadre de l’appel de l’ONU, 3,3 milliards de dollars seraient nécessaires pour venir en aide aux déplacés internes et 5,5 milliards de dollars pour les réfugiés et les communautés d’accueil dans les pays voisins.

      Le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires, Marc Lowcock, a déclaré à la presse que les engagements financiers s’élevaient « au moins à 6,5 milliards de dollars » et peut-être même à près de 7 milliards de dollars. « C’est un très bon résultat, et si nous y parvenons vraiment en fin de compte, nous serons très heureux », a-t-il déclaré. Federica Mogherini a déclaré que l’UE contribuerait à hauteur de 560 millions d’euros pour venir en aide au peuple syrien durant l’année 2019 et que le même montant serait libéré les années suivantes.

      Filippo Grandi a également exprimé son inquiétude quant à la situation en déclin de la ville d’Idlib, près de la frontière turque. Près de 90 personnes y ont été tuées par des obus et des frappes aériennes, et la moitié d’entre elles étaient des enfants.

      « La pire des catastrophes humanitaires »

      « Permettez-moi de répéter ce que nous avons déjà dit à maintes reprises. Une attaque militaire d’envergure sur la ville d’Idlib occasionnerait la pire catastrophe humanitaire du 21ème siècle. Ce serait tout simplement inacceptable », a déclaré Filippo Grandi.

      Avec l’aide d’avions russes, l’armée syrienne a attaqué des villes au mains des forces rebelles dans la région d’Idlib, dernier bastion rebelle du pays. Ce bombardement a été le plus important depuis des mois. Les forces rebelles qui se sont battues depuis 8 ans pour faire tomber le Président al-Assad sont désormais confinées dans une enclave du nord est du pays, près de la frontière turque. Près de 4 millions de Syriens y vivent aujourd’hui, dont des centaines de milliers d’opposants au régime qui ont fui d’autres régions du pays.

      La Turquie, qui a commencé à patrouiller dans la zone tampon vendredi, a condamné ce qu’elle a qualifié de provocations croissantes pour mettre fin à la trêve et a averti qu’une offensive des forces russes et syriennes causerait une crise humanitaire majeure. De nombreux résidents sont exaspérés de l’incapacité des forces turques à répondre aux bombardements. L’armée syrienne a appelé au retrait des forces turques.

      L’enclave est protégée par une zone de « désescalade », un accord négocié l’an dernier par les pays qui soutiennent Bashar al-Assad, la Russie, l’Iran ainsi que la Turquie, qui avait auparavant soutenu les forces rebelles et envoyé des troupes pour surveiller la trêve. Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Çavuşoğlu, a déclaré que 320 000 Syriens avaient pu rentrer chez eux grâce aux « opérations anti-terrorisme » menées par la Turquie et la Syrie.

      https://www.euractiv.fr/section/migrations/news/return-of-refugees-to-syria-timidly-comes-on-the-agenda

    • Assad asks Syrian refugees to come home — then locks them up and interrogates them

      Guarantees offered by the government as part of a ’reconciliation’ process are often hollow, with returnees harassed or extorted.

      Hundreds of Syrian refugees have been arrested after returning home as the war they fled winds down — then interrogated, forced to inform on close family members and in some cases tortured, say returnees and human rights monitors.

      Many more who weathered the conflict in rebel-held territory now retaken by government forces are meeting a similar fate as President Bashar al-Assad’s regime deepens its longtime dependence on informers and surveillance.

      For Syrian refugees, going home usually requires permission from the government and a willingness to provide a full accounting of any involvement they had with the political opposition. But in many cases the guarantees offered by the government as part of this “reconciliation” process turn out to be hollow, with returnees subjected to harassment or extortion by security agencies or detention and torture to extract information about the refugees’ activities while they were away, according to the returnees and monitoring groups.

      Almost 2,000 people have been detained after returning to Syria during the past two years, according to the Syrian Network for Human Rights, while hundreds more in areas once controlled by the rebels have also been arrested.

      “If I knew then what I know now, I would never have gone back,” said a young man who returned to a government-controlled area outside Damascus. He said he has been harassed for months by members of security forces who repeatedly turn up at his home and stop him at checkpoints to search his phone.

      “People are still being taken by the secret police, and communities are living between suspicion and fear,” he said. “When they come to your door, you cannot say no. You just have to go with them.”

      Returnees interviewed for this report spoke on the condition of anonymity or on the understanding that their family names would be withheld, because of security threats.

      Since the war erupted in 2011, more than 5 million people have fled Syria and 6 million others have been displaced to another part of the country, according to the United Nations – together representing slightly more than half the Syrian population.

      In the past two years, as Assad’s forces have largely routed the rebels and recaptured much of the country, refugees have begun to trickle back. The United Nations says that at least 164,000 refugees have returned to the country since 2016. But citing a lack of access, the United Nations has not been able to document whether they have come back to government- or opposition-held areas.

      Assad has called for more homecomings, encouraging returnees in a televised address in February to “carry out their national duties.” He said forgiveness would be afforded to returnees “when they are honest.”

      According to our data, you are the exception if nothing happens to you

      A recent survey of Syrians who returned to government-held areas found that about 75 percent had been harassed at checkpoints, in government registry offices or in the street, conscripted into the military despite promises they would be exempted, or arrested.

      “According to our data, you are the exception if nothing happens to you,” said Nader Othman, a trustee with the Syrian Association for Citizens’ Dignity, which said it had interviewed 350 returnees across Syria. “One of our most important takeaways is that most of those people who came back had thought that they were cleared by the regime. They thought their lack of opposition would protect them.”

      The Syrian government did not respond to multiple requests for comment about the treatment of returnees and other Syrians now back under government control.

      Outside Syria, many refugees say they were already apprehensive about going home, with fears over a lack of personal security only growing with reports that the government is reneging on its guarantees. Aid groups say there are few signs that a large-scale return will begin anytime soon.

      And in conversations with UN representatives, senior Syrian officials have made it clear that not all returnees are equally welcome. According to two European officials who recounted the conversations, individuals with links to opposition groups, media activism or humanitarian work will be least well received.

      But pressure on the refugees to return is rising across the Middle East, with Syria’s neighbours tightening restrictions on them in part to get them to leave.

      Homs

      Hassan, 30, left his home in the western province of Homs in 2013. Before returning at the end of last year, he secured what he believed were guarantees for his safety after paying a large bribe to a high-ranking security official.

      But officers from the state security directorate met him at the airport and took him for interrogation. “They knew everything – what I’d done abroad, which cafes I’d sat in, even the time I had sat with opposition supporters during football matches,” he recalled.

      A week later, he was arrested during a visit to a government registry office and taken to a nearby police station. In a dingy room, officers took turns beating and questioning him, he said, accusing him of ferrying ammunition for an armed opposition group inside Syria in 2014.

      “I kept telling them that they knew I wasn’t in the country then,” he said. “All they did was ask me for money and tell me that it was the way to my freedom.”

      At one point, he said, the guards dragged in a young woman he had never met. “They beat her with a water pipe until she screamed, (then) told me they would do the same if I didn’t cooperate,” Hassan said.

      He said he was released at the end of January after relatives paid another bribe, this time $7,000.

      Syrians returning from abroad, like Hassan, often have to gain security approval just to re-enter the country, in some cases signing loyalty pledges and providing extensive accounts of any political activities, according to documents listing questions to be asked and statements to be signed.

      https://nationalpost.com/news/world/assad-asks-syrian-refugees-to-come-home-then-locks-them-up-and-interro

    • Weighed down by economic woes, Syrian refugees head home from Jordan

      Rahaf* and Qassem lay out their plans to return to Syria as their five-year-old daughter plays with her toys in their small apartment in the Jordanian capital, Amman.

      It is early October, six years after they fled their home in Damascus, and the couple have decided it’s time to give up trying to make a life for themselves in Jordan.

      Last year, 51-year-old Qassem lost his job at a cleaning supplies factory when the facility shut down, and Rahaf’s home business as a beautician is slow.

      For months, the couple have resorted to borrowing money from friends to cover their 200 Jordanian dinar ($282) monthly rent. They are three months overdue. “There’s nobody else for us to borrow money from,” explains Rahaf.

      Weeks later, Qassem crossed the border and headed back to their old neighbourhood, joining an increasing tide of Syrian refugees who are going home, despite the dangers and a multitude of unknowns.

      According to the UN’s refugee agency, UNHCR, 34,000 registered Syrian refugees have returned from Jordan since October 2018, when a key border crossing was reopened after years of closure. It’s a fraction of the 650,000 registered Syrian refugees remaining in Jordan, but a dramatic jump from previous years, when annual returns hovered at around 7,000.

      Syrian refugees from the other main host countries – Turkey and Lebanon – are making the trip too. UNHCR has monitored more than 209,000 voluntary refugee returns to Syria since 2016, but the actual figure is likely to be significantly higher.

      Some Syrian refugees face political pressure to return and anti-refugee rhetoric, but that hasn’t taken hold in Jordan.

      Here, many refugees say they are simply fed up with years spent in a dead-end job market with a bleak economic future. The uptick appears to be driven more by the fact that Syrians who wish to go home can now – for the first time in three years – board a bus or a shared taxi from the border, which is about an hour and a half’s drive north of Amman.

      People like Rahaf and Qassem are pinning their hopes on picking up what is left of the lives they led before the war. Their Damascus house, which was damaged in the conflict, is near Qassem’s old shop, where he used to sell basic groceries and cleaning supplies.

      Qassem is staying with relatives for now. But the family had a plan: if and when he gave the green light, Rahaf and their children would join him back in Damascus.

      While she waited for his signal, Rahaf sold off what little furniture and other possessions they acquired in Jordan. “Honestly, we’ve gotten tired of this life, and we’ve lost hope,” she said.
      Money problems

      Before he lost his job, Qassem endured years of verbal abuse in the workplace, and few clients made the trip to Rahaf’s home.

      When she tried to set up a salon elsewhere, their refugee status created bureaucratic hurdles the couple couldn’t overcome. “I did go ask about paying rent for one shop, and they immediately told me no,” Qassem said. “[The owners] wanted a Jordanian renter.”

      Their story echoes those of many other refugees who say they have found peace but little opportunity in Jordan.

      Syrian refugees need a permit to work in Jordan – over 153,000 have been issued so far – but they are limited to working in a few industries in designated economic zones. Many others end up in low-paying jobs, and have long faced harsh economic conditions in Jordan.

      Thousands of urban refugees earn a meagre living either on farms or construction sites, or find informal work as day labourers.

      Abu Omran, who returned to Syria three months ago, fled Damascus with his family in 2013, and for a while was able to find occasional car mechanic jobs in Amman. Work eventually dried up, and he struggled to find ways to make money that did not require hard manual labour.

      “He spent the past three years just sitting at home, with no job,” recalled Abu Omran’s wife, Umm Omran.

      Speaking to The New Humanitarian in her Amman living room several months after her husband’s departure, she was soon joined for coffee and cigarettes by her youngest son, 19-year-old Badr. Newly married, he wore a ring on one finger.

      Times were so hard for the family that Abu Omran left Jordan before he had a chance to attend the wedding, and Badr has also been contemplating a return to Syria – the country he left as a young teenager.

      Badr works in a factory near Amman that produces cleaning products, but the pay is low. And although his older brother brings in a small salary from a pastry shop, it’s getting harder and harder for the family to pull together their rent each month.

      “I’m not returning because I think the situation in Syria is good. But you don’t enter into a difficult situation unless the one you’re currently in is even worse.”

      Entering a void

      While return may seem the best option for some, there are still more unknowns than knowns across the border in Syria.

      President Bashar al-Assad’s government forces control most of the country, but there are still airstrikes in the rebel-held northwest, and the recent Turkish invasion of the northeast has raised new questions about the country’s future.

      “I’m not returning because I think the situation in Syria is good,” said Farah, a mother of three who spoke to TNH in September – about a month before she packed up her things to leave. “But you don’t enter into a difficult situation unless the one you’re currently in is even worse.”

      In 2012, Farah and her husband left their home in the Yarmouk Palestinian refugee camp on the outskirts of Damascus for Jordan, where she gave birth to her three children.

      Her husband suffers from kidney stones, and the manual labour he has managed to pick up is just enough for them to pay for the rent of a shared house – crammed in with two other refugee families.

      The vast majority of Syrian refugees in Jordan – including Farah and Abu Omran’s families – live in urban areas like Amman, rather than in the country’s three refugee camps. They are still eligible for aid, but Farah had decided by October that she was “no longer able to bear” the poverty in Amman, even though UN food vouchers had covered some of her expenses.

      She took her three young children and crossed the border into Syria to stay with her mother, who lives in a southeastern suburb of Damascus. TNH has not been able to contact her since.

      Farah’s husband stayed behind in Jordan, fearing arrest or forced military conscription by Syrian government authorities.

      This has happened to other people who have gone back to Syria from Jordan, Turkey, Lebanon, or other host countries. Despite promises to the contrary from the government, hundreds – and possibly thousands – of returnees have reportedly been detained.

      “There are issues with what information is made available to refugees… about what is going to happen to them on the other side, in Syria.”

      Lebanese authorities have also forcibly deported thousands of Syrian refugees, and Human Rights Watch says at least three of them were detained by Syrian authorities when they got back. It isn’t clear if any Syrians have faced the same fate returning from Jordan.

      Sara Kayyali, a researcher for Human Rights Watch based in Jordan, told TNH she has yet to verify reports of disappearance, conscription, and detainment of returnees from Jordan.

      “There are issues with what information is made available to refugees… about what is going to happen to them on the other side, in Syria,” said Kayyali. “Partially because people inside are too scared to talk about the conditions in government-held areas, and partially because the restrictions applied and the behaviour of the Syrian security forces is so arbitrary that it’s difficult to predict.”

      Kayyali pointed to the 30 Jordanian citizens detained in Syria since the border opened a year ago – Amman said they entered for tourism and were arrested without reason – as a sign of what could be to come for Syrians.

      “[If those threats] apply to Jordanians, then they’re most certainly going to be applied to Syrians, potentially on an even larger scale,” said Kayyali.

      There are other obstacles to return, or challenges for people who manage to get back, including destroyed homes and lost jobs. Healthcare and water provision is scattershot in certain parts of the country, while violence and war is ongoing in others.

      Francesco Bert, a UNHCR spokesperson in Jordan, said the agency “does not facilitate returns, but offers support to refugees if they voluntarily decide to go home”.

      Asked whether it is safe for refugees to go back to Syria, Bert said the agency “considers refugees’ decisions as the main guideposts”, but gives refugees considering or planning to return “information that might inform their decision-making”, to help ensure it is truly voluntary.
      The waiting game

      Despite the obstacles, more and more people are making the trip. But families often can’t travel back together.

      For Rahaf, that meant packing her things and waiting, before finally joining her husband last weekend.

      For Umm Omran, however, that means wondering if and when she will ever see her husband again.

      The family had hoped that Abu Omran could find a job repairing cars again in Damascus, and if that didn’t work out at least he could live rent-free with his sister’s family.

      But plans for his wife and sons to join him someday, once he had found his footing, now look increasingly unlikely.

      “He hasn’t said yet if he regrets going back home,” said Umm Omran, who communicates regularly via WhatsApp with her husband and other family members who never left Syria. They live in government-controlled Damascus and don’t give away much in their chats for fear of retaliation by security forces, who they worry could be monitoring their communications.

      What Umm Omran has managed to piece together isn’t promising.

      Her husband has yet to find a job in Damascus, and is beginning to feel like a burden at his sister’s home. Their own house, where he and Umm Omran raised their sons, is bombed-out and needs extensive repairs before anyone can move back in.

      For the time-being, Umm Omran has ruled out her own potential return to Syria, fearing her two sons would insist on joining her and end up being conscripted into the armed forces. So, for now, the family remains split in two.

      “When I ask him how things are going, he just says, ‘Thank God’. He says little else,” said Umm Omran, scrolling through chats on her mobile phone. “I think he’s upset about leaving us.”

      https://www.thenewhumanitarian.org/news-feature/2019/11/19/Syrian-refugees-return-Jordan
      #Amman #Jordanie

  • This Oil Fire in Iraq Has Been Burning for 3 Months
    http://time.com/4477599/iraq-oil-fire-burning

    The fire appears to have multiple sources, most likely oil wells from the Qayyarah oil field, NASA reports. ISIS militants set fire to the wells before abandoning the town to be recaptured by the Iraqi military, Reuters reported on August 30th.

    A resident, Abdel Aziz Saleh, told Reuters he wants Baghdad to put out the fires as soon as possible. “They are suffocating us,” he said. “The birds, the animals are black, the people are black. Gas rains down on us at night. Now the gas has reached the residential areas.”

  • Moujtahed lache sa bombe : les propos de Ben Nayef sont véridiques
    http://french.almanar.com.lb/adetails.php?eid=306943

    Le fameux Tweeter saoudien , Moujtahed a encore une fois créé la surprise en affirmant que « le site saoudien alWatan n’a pas été piraté » comme ce dernier l’a prétendu et que par conséquent, les déclarations du prince héritier saoudien Mohammed ben Nayef dans lesquelles il a critiqué l’Arabie Saoudite sont vraies" a rapporté la chaine satellitaire alAlam.

    Il a écrit sur son compte Tweet que « le quotidien saoudien Watan n’a pas été victime d’un quelconque piratage et que les déclarations publiées de Mohammed bin Nayef sont vraies ».

    Il a ajouté que « le fait de supprimer ces déclarations du site prouvent que Mohamed ben Salman est le plus puissant », indiquant qu’"il publiera le texte intégral de ces déclarations plus tard".

    Rappelons que le prince héritier saoudien Mohammed ben Nayef, avait déclaré sur le site internet alWatan que « son pays avait échoué en Syrie et au Yémen » notant que « les promesses des Etats-Unis et de la Turquie d’évincer le régime du président syrien Bachar al-Assad, ne se sont pas réalisées .

    Il avait ajouté que » l’Arabie Saoudite compte présenter de sérieuses concessions dans les dossiers syrien et yéménite".

    Suite à cela, alWatan avait supprimé ces déclarations en désactivant son site pendant des heures, avant de le ré-activé, avec l’annonce « piraté ».

    Le site alWatan a écrit qu’"il a été piraté et que par conséquent de fausses déclarations ont été diffusée et et attribuées à Son Altesse le prince héritier Mohammed bin Nayef bin Abdel Aziz".

    Suite de ce signalement : http://seenthis.net/messages/496157

    #arabie_saoudite

  • Du kidnapping comme mode de suppression de toute contestation
    http://www.madaniya.info/2016/03/20/du-kidnapping-comme-mode-de-suppression-de-toute-contestation

    L’ambassadeur d’Arabie saoudite à Berne (Suisse) a alerté le cabinet royal sur les prémisses d’une grave crise entre la confédération Hélvétique et le Royaume d’Arabie saoudite qui pourrait prendre la forme d’un convocation, au pénal, de l’ambassadeur saoudien et de diverses autres personnalités politiques.

    L’affaire remonte à 2003 du temps du règne du Roi Fahd et de l’invasion américaine de l’Irak.

    Les personnes qui pourraient faire l’objet de cette convocation sont les suivantes :

    – Le Prince Abdel Aziz Ben Fahd, le propre fils de l’ancien roi Fahd (1982-2005)
    – Saad Hariri, ancien premier ministre du Liban et compagnon festif du prince Abdel Aziz, alias azouz
    – Saleh Al Cheikh, ministre des Affaires islamiques

    L’enquête, qui viserait ces trois personnes, porterait sur l’enlèvement d’une personne, réalisé sur le territoire suisse, en coordination avec l’ambassadeur saoudien. Un groupe d’avocats a réussi à convaincre le parquet général de Genève d’engager une procédure visant à enquêter sur les conditions de la disparition du prince Sultan Ben Turki Ben Abdel Aziz, petit fils du fondateur du Royaume.

    Sultan a été enlevé dans le palais du Roi Fahd à Genève, à la suite d’un traquenard, drogué et exfiltré de Suisse via un avion d’évacuation sanitaire vers l’Arabie saoudite où il a été maintenu sous contrôle entre hospitalisation et résidence surveillée. Son tort est d’avoir dénoncé un vaste réseau de corruption entre Rafic Hariri, ancien premier ministre du Liban et père de Saad et des princes de la famille royale saoudienne. Son rapatriement forcé a été décidé alors.

    Avec, en fin d’article, lien vers :
    Saudi prince alleges kidnap (2004, Brian Whitaker)
    http://www.theguardian.com/world/2004/jan/22/saudiarabia.brianwhitaker

    A Saudi prince who launched a campaign against corruption is claiming that he was kidnapped in Switzerland by members of the royal family, drugged, flown to Saudi Arabia, detained in hospital for two months under armed guard and then held under house arrest.
    Prince Sultan bin Turki, a nephew of King Fahd, told the story of his alleged abduction in a phone conversation with the Associated Press from the Saudi capital, Riyadh - his first reported contact with the outside world since he disappeared last June.

    et al-Akhbar, juillet 2015, abordant l’affaire dans le cadre des « Saudi Leaks », dont Madaniya reprend les grandes lignes :
    « مجتهد » يسرّب برقيات سعودية : سويسرا تلاحق الحريري وأمراء | الأخبار
    http://www.al-akhbar.com/node/236900

    غرّد الناشط السعودي الشهير «مجتهد»، على حسابه على «تويتر»، أن السفارة السعودية في جنيف أبلغت الديوان الملكي السعودي عن بوادر أزمة كبيرة تتمثل في احتمال استدعاء جنائي للسفير السعودي وشخصيات سيادية أخرى.

    ووفقاً لـ»مجتهد»، الذي ينقل عن نص رسالة مسربة من سفارة الرياض في سويسرا، يشمل الاستدعاء عبدالعزيز بن فهد بن عبدالعزيز وصالح آل الشيخ وزير الشؤون الإسلامية وسعد الحريري رئيس وزراء لبنان الأسبق وأسماء أخرى. وجاء في رسالة السفارة للملك أن الاستدعاء سيكون للتحقيق على خلفية جريمة خطف جرت على الأراضي السويسرية شارك فيها المذكورون بالتنسيق مع السفارة.

  • Syrie-opposition : Le mic-mac du journal le Monde avec l’opposant syrien Haytham Manna
    Par La Rédaction • février 9, 2016
    http://www.madaniya.info/2016/02/09/syrie-opposition-le-mic-mac-du-journal-le-monde-avec-lopposant-syrien-hay
    Note

    Le journal Le Monde a demandé à M. Haytham Manna d’écrire un article sur les négociations de Genève. Manna a reçu le jour de sa publication prévu, la réponse suivante : « Je vous remercie pour l’article. Mais il ne convient pas ni sur la forme, ni sur le fond. Sur la forme, il est beaucoup trop long. Il faudrait le ramener à 6000 signes espaces compris. Sur le fond, il est trop anglé témoignage et pas assez analyse des négociations en Syrie. Bien cordialement ».

    Les dessous d’une négociation mal préparée, par Haytham Manna

    La révolte de 18 mars 2011 est partie de ma ville natale (Dera’a), propulsée par des mots d’ordre d’avant-garde de la résistance civile : la istibdad wala fassad, la Ikhwan wala salafia bidna daoula madaniya.. (Non au despotisme et à la corruption, Ni Salafistes ni Frères Musulmans, nous voulons un État civil et civilisé).

    Pour notre courant, la militarisation du conflit de Syrie ne pouvait qu’accentuer la riposte militaro-sécuritaire du pouvoir Assad et détourner le mouvement de protestation populaire de son cours civique et civile vers l’islamisation, l’extrémisme et la confessionnalisation du conflit.
    Deux mois après le début du soulèvement, le pouvoir Assad a relâché, en Mai 2011, les djihadistes salafistes de la prison de Sednaya, à la périphérie de Damas, et procédé, parallèlement, à l’arrestation d’une centaine des militants de la résistance civile.

    Entre le 1er et le 15 août 2011, le pouvoir Assad a assassiné mon frère Maen, un des principaux dirigeants de la résistance civile et une dizaine des militants pacifistes.

    En dépit de cette épreuve personnelle, nous avons néanmoins maintenu le cap et confirmé nos options : résistance civile et solution politique.

    En Septembre 2011, je me suis rendu au Caire en compagnie d’Abdel Aziz al Khaiyer, Raja al Nasser et Saleh Muslim (1) pour conclure un programme commun avec le Conseil National Syrien.(...)

  • Les Saoudiens tentés par une intervention à haut risque en Syrie
    Abdel Bari Atwan
    8 février 2016 - Rai Alyoum -
    Traduction : Info-Palestine.eu - Jean Cartier
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article15895

    Dimanche, le monarque saoudien Salmane ben Abdel Aziz a profité de l’ouverture du festival culturel Janadriya à Riyad pour parler aux auteurs et aux journalistes des affaires étrangères. En particulier, il a paru réprimander l’Iran, que le Royaume considère comme un fauteur de troubles, déclarant que « nous avons le droit de nous défendre, sans nous mêler des affaires des autres et nous demandons que les autres ne se mêlent pas des nôtres ».

    Le roi Salmane a aussi mentionné la coopération des États sunnites pour la « défense » du Yémen, décrivant les opérations du Royaume comme étant destinées à « assurer leur indépendance et préserver leurs systèmes de gouvernement, tels qu’ils sont avalisés par leurs peuples »

    Le Roi s’exprime ainsi alors que son pays se prépare à envoyer des troupes en Syrie, ayant mené des exercices militaires en coopération avec des pays tels que l’Égypte et le Soudan en préparation pour cette opération dénommée Tonnerre du Nord. On s’attend à ce que la Turquie soit la porte d’entrée de ces troupes en territoire syrien.

    Cette opération est présentée comme étant une bataille contre l’État islamique (EI) mais le vrai but est de contrecarrer les récentes avances de l’armée syrienne sous la couverture aérienne russe et de soutenir les forces rebelles.

    #Syrie #Arabie_saoudite #Turquie

  • Arabie saoudite : le roi désigne Mohammed ben Nayef nouveau prince héritier
    http://french.xinhuanet.com/monde/2015-04/29/c_134195348.htm

    Le roi Salmane ben Abdel Aziz d’Arabie saoudite a relevé mercredi son demi-frère, le prince Moqren, de ses fonctions de prince héritier et de premier vice-Premier ministre, et a désigné comme héritier au trône son neveu Mohammed ben Nayef, qui était deuxième dans l’ordre de succession, ont rapporté des médias locaux.

    Le roi a également désigné son fils, le prince Mohammed ben Salmane, comme futur prince héritier, et a remplacé le ministre des Affaires étrangères, le prince Saud al-Faisal, par l’ambassadeur du royaume à Washington, Adel al-Jubeir, selon la chaîne de télévision d’Etat.

    Saud al-Faisal était le ministre séoudien des affaires étrangères depuis… 1975. Al-Jubeir est généralement considéré comme un homme de Bandar bin Sultan.

    Et pour mémoire, quand Saad Hariri avait qualifié Assef Chawkat d’« assassin » sur un enregistrement audio fuité, il avait précisé que ce dernier « était semblable au prince saoudien Mohammad ben Nayef » :
    http://seenthis.net/messages/335081
    Oui, Saad, tout le monde comprend que tu as beaucoup à te faire pardonner : ce type est ton prochain roi (on essaiera de te trouver un petit boulot à Sukleen).

  • World Leaders Mourn #Saudi_king Abdullah as Oil Prices Surge
    http://english.al-akhbar.com/node/23352

    Updated at 12:32 pm (GMT+2): Arab and Western leaders have mourned Saudi Arabia’s King Abdullah bin Abdulaziz, who died early Friday at the age of 91, while international media reported a surge in oil prices following the news.

    #Abdullah_bin_Abdel_Aziz #Arab_nations #King_Salman #turkey #US

  • The Rationale Behind the Regionalization of #Iraq
    http://english.al-akhbar.com/node/23211

    The expansion of the Islamic State of Iraq and Syria (ISIS) in the north of Iraq has revived the debate about establishing new regions in Iraq. It is important to keep track of the “regionalization” proposal as it reflects the Iraqi people’s vision for their country in the post-US invasion years, independent from the ill-founded view that administrative and political divisions are mere means to design the form of government in any country.

    #Abdel_Aziz_al-Hakim #Articles #Baghdad #Basra #Grand_Ayatollah_Sayyed_Ali_al-Sistani #Iraqi_Forces_Union #Iraqi_National_Alliance #ISIS #Joe_Biden #Kirkuk #Kurdistan_Alliance #Kurds #Najaf #Shia #Sunnia #US #Mideast_&_North_Africa

    • #OEI @gonzo : c’est nul sur le fond cet article ?

      Wahhabisme

      En 1744, Mohammed Ibn Saoud, un émir local du Najd, une région de la péninsule arabique, signe avec un réformateur musulman, Mohammed Ibn Abdel Wahhab, un pacte pour faire triompher, selon les termes de l’orientaliste français Henri Laoust, « fût-ce par les armes, la parole de Dieu ». Après deux brèves tentatives au XIXe siècle, un membre de la famille Al-Saoud, Abdel Aziz, s’empare de Riyad en 1901. Il va conquérir une partie importante de la péninsule, dont les villes saintes de La Mecque et de Médine. Le royaume d’Arabie saoudite ainsi créé va défendre la doctrine d’Ibn Abdel Wahhab : une lecture rigide de l’islam fondée sur l’unicité de Dieu, le rejet des innovations, le refus des intercessions. Il diffusera cette vision, notamment après 1973, quand les revenus pétroliers du royaume exploseront et lui permettront de financer des institutions à travers le monde musulman en s’appuyant sur l’« exportation » de milliers de prêcheurs.
      http://www.monde-diplomatique.fr/2012/11/A/48360

  • Egypte : une figure de la révolte de 2011, Alaa Abdel Fattah , libéré sous caution
    http://www.romandie.com/news/Egypte-une-figure-de-la-revolte-de-2011-Alaa-Abdel-Fattah-libere/517591.rom

    Le Caire - Un tribunal égyptien a ordonné lundi la libération sous caution d’Alaa Abdel Fattah, une figure de la révolte populaire de 2011 qui chassa du pouvoir le président Hosni Moubarak, a indiqué un avocat de la défense.

    Alaa Abdel Fattah était jugé dans un nouveau procès après avoir été condamné par contumace à 15 ans de prison. Il était accusé d’avoir attaqué un policier durant une manifestation illégale.

    Le tribunal a ordonné la libération sous caution d’Alaa Abdel Fattah et de deux autres détenus, a indiqué un avocat de la défense Mohamed Abdel Aziz, précisant que la caution était de 5.000 livres égyptiennes (environ 540 euros).

    La cour s’est récusée (...) en raison du manque de respect des prévenus à son égard, a ajouté M. Abdel Aziz.

    Le tribunal a également demandé une enquête du parquet pour l’utilisation de vidéos personnelles appartenant à M. Abdel Fattah qui constitue une violation de l’intimité du prévenu, a précisé l’avocat.

    Lors d’une audience précédente, le parquet avait diffusé des vidéos personnelles de M. Abdel Fattah, sans aucun lien avec l’affaire, selon M. Abdel Aziz.

    Le 11 juin, le même tribunal avait condamné par contumace M. Abdel Fattah et 24 autres personnes à 15 ans de prison pour avoir participé à des violences lors d’une manifestation illégale.

    Ce verdict avait été annoncé par surprise, le jeune militant de gauche et deux autres prévenus qui se trouvaient à l’extérieur du tribunal s’étaient vu refuser l’entrée par la police. Ils avaient été arrêtés immédiatement après l’annonce du verdict.

    Depuis que les militaires ont destitué en juillet 2013 l’ex-président islamiste Mohamed Morsi, les autorités installées par l’ex-chef de l’armée et actuel président Abdel Fattah al-Sissi mènent une répression implacable contre tout type d’opposition, islamiste comme laïque.

    La répression ciblant les pro-Morsi a fait au moins 1.400 morts. Des centaines de partisans du président islamiste ont également été condamnés à mort dans des procès expéditifs, tandis que 15.000 autres ont été arrêtés.

    Et cette répression d’abord limitée aux islamistes, s’est élargie aux mouvements de la jeunesse, fer de lance de la révolte de 2011. Des dizaines de militants ont ainsi été emprisonnés pour avoir violé une loi controversée limitant le droit de manifester.

    (©AFP / 15 septembre 2014 12h06)

  • Qui est le prince saoudien braqué aux portes de Paris ?
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/08/19/abdel-aziz-ben-fahd-prince-saoudien-peu-discret-braque-aux-portes-de-paris_4

    Quelques heures après l’attaque « crapuleuse », assure le ministère de l’intérieur, du prince Abdel Aziz Ben Fahd , le vol de 250 000 euros en liquide et de quelques documents, la France a d’ailleurs fait parvenir un message au roi Abdallah pour exprimer « ses regrets » et assurer une enquête rapide et aussi discrète que possible.

    1) attaque « crapuleuse » ?

    Après s’être rapidement emparés de « 250 000 euros en petites coupures », selon le témoignage des victimes, et de mallettes contenant des documents « sans importance ni stratégique ni diplomatique », assurait lundi 18 août le quai d’Orsay, les braqueurs ont relâché leurs victimes, sans avoir tiré un coup de feu ni blessé qui que ce soit.

    2) 250000 € divisés par huit, ça fait 31250 €. Ce n’est pas le braquage de l’année.
    Il faut en effet une enquête discrète pour savoir pourquoi 8 personnes risquent ce coup pour piquer l’argent de poche d’un prince saoudien.

  • Petits arrangements (2)
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/236-juin-2014/article/petits-arrangements-2-4730

    Même scénario avec la #Mauritanie. Selon Jeune Afrique (18/05), le président mauritanien Abdel Aziz (arrivé au pouvoir par un putsch en 2008), « semble avoir gagné ses galons de partenaire privilégié, Le Drian lui a demandé, en tant que président en exercice de l’UA, de pousser les pays du continent à envoyer des hommes en #Centrafrique, et, en tant qu’ami de Déby, de lui parler... En signe de bonne volonté, le président lui a annoncé l’envoi de 1 000 soldats mauritaniens. Une bonne nouvelle pour la France, (...)

    #236_-_juin_2014

    / Centrafrique, Mauritanie, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • Clichés arabe

    Un photographe saoudien se plaint de constater que la photo (artistique) qu’il a faite quelque part avec son neveu en Arabie saoudite est devenu un document sur les horreurs de la guerre en Syrie !

    http://img3.beirut.com/GetImage3/syrian/article/30914/490x368

    This Viral Photo Purporting to Show an Orphaned Syrian Boy Isn’t What You Think It is : : Beirut.com : : Beirut City Guide
    http://www.beirut.com/l/30914

    #clichés_arabes

  • Quand l’état n’arrive plus à contrôler Twitter et demande à ses usagers un peu de coopération...

    Saudi Arabia’s minister for media and culture, Abdel Aziz Khoga, has confirmed censorship of Twitter imposed by a series of government bodies, the Saudi Al-Watan Online reported Wednesday. Khoga called on Saudi citizens to “raise their awareness” and contribute to the censorship initiative taken up by the ministry. “People have to take care of what they are writing on Twitter,” the minister said. “It is getting harder to observe around three million people subscribing to the social network in the kingdom,” Khoga added.

    http://english.ahram.org.eg/NewsContent/2/8/64782/World/Region/Saudi-minister-admits-censorship-of-Twitter.aspx

  • « Islamist-dominated umbrella », « Islamic bent », « a degree in Islamic law »… (mais avec un t-shirt, le WINEP pourra t’assurer que ce sont des laïcs) :
    http://online.wsj.com/article/SB10000872396390444233104577593432792462056.html

    Mr. Shehab Eddin is one of the four rural commanders of the Tawheed Division, an Islamist-dominated umbrella force that is leading Syrian rebels’ fight around the country’s largest city, Aleppo, against forces loyal to President Bashar al-Assad.

    […]

    Many of the rebel courts have taken on an Islamic bent. Tawheed Division commanders forbid the torture of detainees. But that ban doesn’t include whipping the soles of detainees’ feet, Tawheed commander Abdel Aziz Salama told several people, including a Human Rights Watch team.

    […]

    He was brusquely questioned by the sheik’s aide, Ali al-Haji, a 28-year-old former tank commander with a degree in Islamic law.

    Et ça tombe bien, le gars n’a presque pas le look salafiste :

  • Saudi Ties the Tongues of Its Journalists
    http://english.al-akhbar.com/content/saudi-ties-tongues-its-journalists

    Once again, Saudi Arabia has adopted a new law that goes against the global trend towards freedom. A few days ago, the Saudi cabinet issued a law proposed by the Information and Culture Minister, Abdel Aziz Khoja, confining the practice of journalism to journalists accredited by the Saudi Journalists Association (SJA).

    The law, which is now in effect, transforms the SJA into a governmental body forcing workers in this profession to request membership in the association in order to make their work legitimate. The regime will, of course, interfere in the process of accepting or rejecting applicants’ membership, which in turn will prevent some journalists from writing in Saudi media outlets.

    Never in the history of the world press has journalists’ ability to write in newspapers been conditional on their membership in a trade union or association.