person:achraf rifi

  • La plupart des parties internes veulent le maintien de l’actuel gouvernement - Scarlett Haddad
    https://www.lorientlejour.com/article/1086609/la-plupart-des-parties-internes-veulent-le-maintien-de-lactuel-gouver

    C’est là que serait intervenu le ministre Sabhane avec un plan qu’il croyait infaillible. Ce plan reposait sur les points suivants : Saad Hariri est contraint à démissionner en plaçant le plafond très haut, affirmant notamment qu’il ne peut y avoir un gouvernement avec la participation du Hezbollah, ce dernier doit retirer ses troupes de Syrie et accepter un mécanisme qui aboutit à ce qu’il dépose les armes à l’intérieur du Liban. Immédiatement, des rassemblements populaires devaient s’organiser à Beyrouth et à Tripoli pour appuyer ces revendications. Ce qui ferait monter la tension d’un cran, et le chef de l’État n’aurait d’autre choix que d’accepter la démission et de procéder à des consultations parlementaires qui aboutiraient à la désignation de Baha’ Hariri à la tête du gouvernement. Ce dernier refuserait d’inclure des membres du Hezbollah dans son gouvernement, mais au contraire renforcerait la présence de l’ancien directeur des FSI, le général Achraf Rifi, ainsi que celle des Forces libanaises et de leur chef Samir Geagea. Bref, un gouvernement dit de « faucons », dont la mission serait d’isoler le Hezbollah et de le priver de la légitimité populaire et politique dont il jouit actuellement, en prélude à son affaiblissement.

  • Nouvelle loi électorale au Liban : un système très complexe... personnellement je ne comprends pas encore comment on tient ensemble quotas confessionnels, vote préférentiel local et respect de la proportionnelle... (sachant qu’ils ont renoncé à un quota de sièges féminins : https://www.lorientlejour.com/article/1057277/le-quota-feminin-bete-noire-des-partis-politiques-.html)
    Je crois que les journalistes n’y comprennent rien non plus, ni les futurs candidats. Je pense qu’on est pas au bout du processus...

    Législatives libanaises : ce qu’il faut savoir pour s’en sortir dans l’isoloir - Élie FAYAD - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1057039/legislatives-ce-quil-faut-savoir-pour-sen-sortir-dans-lisoloir.html

    L’accord conclu reste plus ou moins opaque concernant le procédé de décompte des voix accordées aux listes en présence. En théorie, dans la proportionnelle, chaque liste est supposée emporter un nombre de sièges équivalent à la proportion de voix obtenues. Dans une circonscription de dix sièges, par exemple, la liste A, qui a obtenu 40 % des voix, est censée emporter quatre sièges (4 sièges = 40 % des 10 sièges) ; la liste B, avec 30 % des voix, 3 sièges, et ainsi de suite. Mais dans un système conditionné notamment par la répartition des sièges en quotas confessionnels et par le vote préférentiel, rendu obligatoire du fait de l’impossibilité pour les partis politiques au Liban de présenter des listes hiérarchisées, l’affaire est loin d’être entendue.

     

    ... avec un twist : le « coefficient électoral »
    Ce qu’il faut retenir, c’est le paramètre essentiel que constitue pour le décompte des voix la notion de « coefficient électoral ». Ce coefficient est obtenu en divisant le nombre de suffrages exprimés (nombre de voix moins les bulletins blanc et nuls) dans une circonscription donnée par le nombre de sièges que compte cette circonscription. Ainsi, une circonscription où l’on dénombre 100 000 suffrages exprimés et qui compte dix sièges aura un coefficient électoral de 10 000 (ce qui correspond à 10 %). Ce que l’on sait à ce stade, c’est qu’en vertu de l’accord conclu hier, le seuil d’éligibilité pour les candidats qui seront départagés au vote préférentiel a été fixé au coefficient électoral (autrement dit à 10 % dans l’exemple cité plus haut), un seuil très élevé qui signifie grosso modo que le système va rester étroitement verrouillé par les grandes formations politiques.

    Le seuil d’éligibilité ne veut pas dire que tous les candidats ayant un nombre de voix supérieur au coefficient électoral sont élus. Il signifie simplement que tous les candidats n’ayant pas atteint ce coefficient sont éliminés, quel que soit par ailleurs le résultat de leur liste.

    voir aussi :

    Pour rappeler ces éléments, un exemple illustratif. Prenez la circonscription de Jbeil-Kesrouan, où 8 sièges sont à pourvoir, trois pour Jbeil et cinq pour le Kesrouan. Les listes en lice, qu’elles soient ouvertes ou fermées, comportent obligatoirement des candidats des deux cazas. L’électeur doit dans un premier temps choisir l’une des listes, dans son intégralité, c’est-à-dire sans possibilité de panachage (voir, pour rappel, l’article de notre collègue Élie Fayad dans notre édition du mercredi 14 https://www.lorientlejour.com/article/1057039/legislatives-ce-quil-faut-savoir-pour-sen-sortir-dans-lisoloir.html).
    Il est seulement habilité à procéder à un vote préférentiel et à le faire par caza. C’est-à-dire qu’il coche le nom de son candidat favori sur la liste, mais ne peut le faire que pour le candidat issu du caza où il est inscrit. Au moment du décompte, le coefficient d’éligibilité de chaque candidat est calculé en divisant le nombre d’électeurs votants par le nombre de sièges pourvus au niveau de la circonscription. Si l’on retient l’hypothèse de 120 000 votants au niveau de Jbeil-Kesrouan, le seuil d’éligibilité des candidats serait de 15 000 voix (120 000 divisés par 8). Le nombre de suffrages obtenus par chaque liste sera divisé ensuite par 15 000, pour aboutir au nombre de candidats vainqueurs (le résultat est arrondi par défaut). Une liste A ayant recueilli 72 000 votes aura quatre candidats vainqueurs (choisis parmi ceux qui ont obtenu le plus de votes), une liste B avec 48 000 votes, trois vainqueurs. La dernière étape consiste à calculer les votes restants : chaque candidat gagnant implique une soustraction de 15 000 votes du total des suffrages obtenus par sa liste. La liste A ayant donné quatre vainqueurs se voit soustraire 60 000 (4x15 000) de son résultat, la laissant avec 12 000 votes restants. À la fin de cette opération, le vainqueur sera le candidat inscrit sur la liste ayant le plus de votes restants et qui a obtenu le plus grand nombre de votes préférentiels sur cette liste.

    Vers une opposition fédérée ?
    Ce mécanisme aurait plusieurs effets aussi bien sur l’électeur que sur les candidats potentiels. D’abord, le système de listes fermées pourrait conduire l’électeur, à défaut de pouvoir rayer des candidats sur une liste qu’il n’approuve que pour un candidat en particulier, à renoncer finalement au vote. C’est pourquoi M. Chehwane juge que les Forces libanaises (FL) et le Courant patriotique libre (CPL) auraient plus intérêt à former des listes séparées – surtout que les FL seraient plus favorisées que le CPL par ce projet –, selon des avis concordants. L’autre effet de ce mécanisme serait de barrer la route à ceux qui ne parviennent pas à se fédérer dans des listes suffisamment nombreuses (sachant qu’une liste ouverte doit compter un nombre de candidat supérieur ou égal à 40 % du nombre de sièges pourvus). Il est encore tôt pour savoir si les indépendants ou les opposants au pouvoir actuel seraient capables de se fédérer. Des milieux proches de l’ancien ministre Achraf Rifi lancent par le biais de L’Orient-Le Jour un appel dans ce sens. « Une campagne souverainiste, salvatrice et réformiste, contre les armes illégales et la corruption, peut et doit être menée, indépendamment de la loi adoptée », disent-ils, révélant que M. Rifi a l’intention de former des listes complètes à Tripoli et dans d’autres circonscriptions avec des partenaires de la société civile.

  • Législatives : Rifi annonce sa candidature à Tripoli - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1030862/legislatives-rifi-annonce-sa-candidature-a-tripoli.html

    L’ex-ministre libanais de la Justice Achraf Rifi a annoncé dans un entretien au quotidien koweïtien al-Qabas sa candidature à Tripoli, au Liban-Nord, en vue des élections législatives prévues en principe en mai.

    « Allez-vous être personnellement candidat à Tripoli (pour les législatives ?) ou allez-vous plutôt soutenir une liste (de candidats) ? », demande le quotidien dans une interview publiée dimanche. « Je serais candidat à Tripoli, ma ville dont je suis fier », a répondu l’ancien directeur des Forces de sécurité intérieure. « Je vais soutenir, notamment politiquement, des listes dans d’autres circonscriptions », a-t-il ajouté.

    Achraf Rifi, qui se revendique adepte de la pensée de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, assassiné en 2005, est à couteaux tirés avec le fils de ce dernier, l’actuel Premier ministre Saad Hariri, après avoir été proche de la formation qu’il préside, le Courant du Futur.

    Les candidats soutenus par M. Rifi à Tripoli ont remporté les dernières municipales, infligeant une défaite à leurs adversaires du Courant du Futur et confirmant le statut d’Achraf Rifi comme une figure principale de la rue sunnite dans la capitale du Liban-Nord.

  • Après les votes-sanctions, l’heure est aux bilans - Fady NOUN - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/989116/apres-les-votes-sanctions-lheure-est-aux-bilans.html

    Au lendemain du séisme municipal de Tripoli et des « gifles » assénées aux partis et grandes pointures, de Nagib Mikati à Michel Aoun, l’heure est aux bilans. Il n’est pas facile de le faire en toute objectivité. Dans ces bilans, comme dans des jeux de cartes, narguer le perdant est de règle. Il en va ainsi de ces banderoles qui ont fait leur apparition place Sassine, à Achrafieh, à la gloire du grand gagnant des municipales de Tripoli, le général Achraf Rifi. Une autre manière de dire que la volonté d’indépendance et d’intégrité affichée par le ministre, comme le refus des compromissions, est transcommunautaire.

    Samir Geagea a affirmé hier soir que les législatives ne doivent pas être perçues comme des baromètres de popularité. Argument de perdant. En s’alliant au CPL, il était clair que les FL cherchaient à montrer qu’elles représentent la légitimité chrétienne. Les deux partis savaient aussi que les municipalités sont des relais de pouvoir et les édiles de puissantes clés électorales. De toute évidence, les FL et le CPL ont manqué leur objectif. Dans de nombreuses municipalités, une volonté de prendre ses distances à leur égard s’est exprimée qu’il vaudrait mieux s’employer à comprendre qu’à nier.

  • Municipales : Tripoli et les régions chrétiennes du Liban-Nord au révélateur - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/988371/municipales-le-scrutin-se-deroule-dans-le-calme-au-liban-nord-et-au-a

    A Tripoli, l’ancien ministre de la Justice, Achraf Rifi, et l’ancien député Misbah Ahdab vont tenter de jouer les trouble-fêtes face à la liste ayant la faveur des pronostics, notamment soutenue par les deux anciens Premiers ministres Saad Hariri et Najib Mikati.

    « Je m’oppose au statu-quo que les parties traditionnelles tentent d’imposer à Tripoli »,a martelé M. Rifi, à l’issue de son vote dans la principale ville du Liban-Nord, exprimant le refus de voir la ville « souffrir une nouvelle fois de cela ». « J’ai quitté le troupeau. Je ne ne peux suivre personne aveuglément. Personne n’a à dicter le choix des électeurs à Tripoli », a-t-il ajouté.

    De son côté, M. Mikati a indiqué que la page du conflit avec M. Hariri avait été tournée à l’occasion de ce scrutin, ajoutant que l’ancien ministre de la Justice constituait « une composante importante de la ville que personne ne peut éliminer ».

    Quatre listes s’affrontent à Tripoli. La liste présidée par Azzam Awada, soutenue par le leader du Courant du Futur, fait face à une liste présidée par l’ingénieur Ahmad Qamareddine, soutenue par Achraf Rifi, ainsi qu’à une liste incomplète soutenue par l’ancien député Misbah Ahdab et une quatrième liste composée de quatre membres de la société civile.

  • L’alliance Aoun-Geagea suscite à la fois exaltation et craintes
    https://www.lorientlejour.com/article/965644/lalliance-aoun-geagea-suscite-a-la-fois-exaltation-et-craintes.html

    Un enfilage de perles,

    (On verra plus loin que le 14 Mars, lui, a procédé à un « acte révolutionnaire »)

    L’avis prédominant, au sein du 14 Mars, reste que le soutien de Meerab au général Michel Aoun est un « acte #réactionnaire »

    [...]

    (L’acte révolutionnaire" auquel a procédé le "14 Mars, lui, est anti-sectaire)

    Dans un pays privé de son travail de mémoire, et qui subit jusqu’à aujourd’hui les effets pervers d’une guerre qu’il est interdit de revisiter, de comprendre, voire de surmonter, la réconciliation ne saurait se limiter à une poignée de main, aussi méritoire soit-elle. « Que ces deux parties qui disent avoir effectué leur réconciliation nous exposent en détail les apprentissages qu’ils ont fait de leur passé conflictuel depuis 1989 » [...] Jusqu’à preuve du contraire, la réconciliation FL-CPL ne sert donc qu’un objectif étroitement politique, et étroitement communautaire.

    [...]

    (Versus l’"aile modérée", bien sûr étroitement liée à l’"acte révolutionnaire")

    Samir Geagea ferait une « erreur politique grave » : celle de soutenir le candidat du Hezbollah, donc de l’aile radicale iranienne.

    [...]

    (L’"acte révolutionnaire" enfin, pluri-communautaire, anti-sectaire comme il se doit pour tout acte révolutionnaire)

    Une réunion s’est tenue hier à Riyad entre Saad Hariri, rentrant de Paris, et une délégation du courant du Futur, formée notamment par Fouad Siniora, Nouhad Machnouk, Achraf Rifi et Ahmad Fatfat.

    (#OLJ #farce

    • Mais il va leur rester quoi, comme lecteurs, à l’OLJ ? Une fois que tu as (copieusement) insulté les aounistes et les ouwets, il te reste quoi ? Je doute que les maradas soient nombreux dans leur lectorat. Alors bon, une librairie à Bikfaya ?

    • Report : Riyadh Continues to Veto Aoun, Mustaqbal Says No Elections despite Candidacies
      http://www.naharnet.com/stories/en/199838-report-riyadh-continues-to-veto-aoun-mustaqbal-says-no-elections-de

      (Longtemps, l’excuse (des 2 côtés- 8 et 14 Mars-) a été qu’il n’y avait pas d’entente intra chrétienne sur un candidat ; maintenant on voit bien que chacun ne veut de président que taillé sur mesure pour lui-même)

      Al-Mustaqbal chief ex-PM Saad Hariri has informed his movement’s officials that Saudi Arabia continues to veto the candidacy of Free Patriotic Movement founder MP Michel Aoun for the presidency, al-Akhbar daily reported on Wednesday.

      (On rappellera au passage que Mustaqbal est un « parti patriotique indépendant » tandis que le Hezbollah est un parti « inféodé à l’Iran »)

  • Just do it ! Non mais vraiment, fais-le !
    http://www.lorientlejour.com/article/957767/des-facteurs-internes-et-regionaux-gelent-le-compromis-frangie.html

    Selon des informations recueillies par L’OLJ, le ministre de la Justice Achraf Rifi, le seul de son camp à avoir mené une campagne ouverte et constante contre la candidature de Sleiman Frangié, aurait eu un entretien téléphonique tendu, samedi soir, avec le chef du courant du Futur, Saad Hariri. Le ministre aurait même menacé de démissionner de son ministère et de sortir des rangs.

  • Rifi, Fatfat et Kabbara à Djeddah pour rencontrer Hariri (Djeddah en Arabie séoudite d’où, certainement, ils vont abondamment gloser sur les ingérences iraniennes au Liban…)
    http://nna-leb.gov.lb/fr/show-news/46411

    Le ministre de la Justice, Achraf Rifi, les députés Ahmad Fatfat et Mohammad Kabbara ainsi que des anciens députés du bloc du Futur et des responsables au sein du parti, ont quitté Beyrouth, ce dimanche, pour l’Arabie Saoudite où ils rencontreront l’ancien Premier ministre, Saad Hariri.

  • Ne ricane pas : la conférence de « lutte contre la corruption », à Riyad, a adopté la proposition… libanaise. (C’est un peu comme si on organisait des conférences sur la tolérance religieuse en Arabie séoudite… comment ça c’est déjà fait ?)

    Conférence lutte contre la corruption clôture ses travaux à Riyad et adopte la proposition de Rifi
    http://nna-leb.gov.lb/fr/show-news/41844/Conf-rence-lutte-contre-la-corruption-cl-ture-ses-travaux-Riyad-et-adopt

    La Conférence internationale de lutte contre la corruption, tenue à Riyad, a clôturé, ce mardi, ses activités. Les discussions ont porté sur le rôle des instances internationales en matière de contrôle et celui de la société civile dans le renforcement de la transparence ainsi que le rôle des médias dans la lutte contre la corruption.

    Les participants ont adopté la proposition du ministre libanais de la Justice, Achraf Rifi, portant sur les principes de la transparence et de l’intégrité concernant les personnes en charge de la responsabilité publique.

    • Il n’est peut-être pas juriste ?

      Par contre,

      « Tuer des individus innocents à cause de leur religion est un acte terroriste d’une autre époque », a-t-il martelé, dans un communiqué.

      , c’est pas faux, selon les « standards » du moment...

      Je serais curieux de connaitre l’augmentation de la fréquence d’usage du mot « terroriste » ces temps-ci.

      Bon, je reconnais que je ne connais rien ou presque à la vie politique libanaise et j’en profite pour te remercier pour tes seens sur ce sujet ;-)

  • L’armée se trouva bien dépourvue quand la bise fut venue
    http://www.lorientlejour.com/article/883507/larmee-se-trouva-bien-depourvue-quand-la-bise-fut-venue.html

    Scarlett Haddad bien sur,

    Selon une source militaire, l’armée savait lorsqu’elle avait riposté, il y a un mois à l’agression dont elle avait été victime, que cette confrontation ne pouvait pas se terminer facilement, surtout à cause de la position ambiguë de certaines politiques qui continuent, directement ou non, à couvrir les éléments armés. On a vu par exemple, la semaine dernière sur la chaîne NTV, un cheikh pressé par le présentateur du talk show, refuser de qualifier les attaques contre l’armée d’actions terroristes, préférant dire qu’il s’agit d’erreurs.

    De même, dans un autre talk show sur la LBCI, le ministre de la Justice Achraf #Rifi a mis sur un pied d’égalité la menace que représente l’EI et celle que représente le Hezbollah pour le Liban, sachant que le même Hezbollah est représenté dans le gouvernement et que ses membres siègent aux côtés de Rifi.

    Le Premier ministre Tammam Salam a été prié de commenter ces propos de l’un des principaux ministres de son gouvernement, mais il a refusé de le faire.

    C’est dire que la confusion au sujet de la position réelle du #courant_du_Futur ou de certains de ses alliés continue de régner. Même si le chef de ce courant, Saad Hariri, avait lui-même contacté le commandant en chef de l’armée pour lui déclarer son appui dans la guerre menée contre les groupes terroristes. Il avait ensuite dépêché auprès de lui son émissaire personnel, pour confirmer cet appui. Mais la réalité reste moins claire sur le terrain.

    La confrontation du début du mois avait en effet montré que l’armée devait respecter des lignes rouges occultes dans son combat contre l’EI et al-Nosra. D’une part, elle ne devait pas s’approcher des camps de réfugiés syriens et, d’autre part, elle n’avait pas de mandat pour lancer des perquisitions et arrêter des personnes à l’intérieur de Ersal. Finalement, l’armée a réussi à reprendre les positions qui avaient été attaquées, tout en consolidant sa présence su les collines surplombant Ersal. Mais pour aller plus loin dans la confrontation, il lui aurait fallu des moyens plus grands, notamment des hélicoptères de combat, et une couverture politique plus nette. Aujourd’hui, sa mission officielle consiste à surveiller les déplacements des uns et des autres et lorsqu’elle tombe sur un flagrant délit, elle arrête les contrevenants, tout en se voyant obligée de se justifier par le biais de communiqués explicatifs de la direction de l’orientation, pour ne pas essuyer les critiques de la classe politique. Résultat : elle est la cible d’attaques de temps à autre, mais ne peut pas entreprendre une riposte à grande échelle.

    #Liban #pays_psychotique

  • Hariri : La formule armée-peuple-résistance n’a plus droit de cité - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/858955/hariri-la-formule-armee-peuple-resistance-na-plus-droit-de-cite.html

    « Plusieurs interprétations peuvent être faites de la déclaration ministérielle, mais ce qui est clair c’est que la formule armée-peuple-résistance n’a plus droit de cité », a déclaré M. Hariri dans un communiqué.

    « La déclaration ministérielle ne permet à aucune partie d’avoir recours aux armes en dehors de l’autorité de l’Etat, de son armée et de ses institutions sécuritaires », a-t-il ajouté.

    Avant cela,

    Liban : fin de la réunion du Conseil des ministres et adoption d’une déclaration ministérielle - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/858832/liban-fin-de-la-reunion-du-conseil-des-ministres-et-adoption-dune-dec

    Le Conseil des ministres libanais s’est réuni vendredi soir avec plus de deux heures de retard. La réunion, qui s’est terminée il y a quelques minutes, a abouti à l’adoption d’une déclaration ministérielle. Les ministres du parti Kataëb et le ministre de la Justice Achraf Rifi ont toutefois émis des réserves sur la version finale du texte.

    (...)

    Selon différentes sources médiatiques, le terme « peuple libanais » a été remplacé par « citoyens » dans la version finale de la déclaration.

    La déclaration ministérielle devait être rédigée dans un délai d’un mois après la formation du Cabinet.

    • Vu et précisé par Reuters:

      Lebanon to allow citizens to resist Israel -policy statement | Reuters
      http://uk.reuters.com/article/2014/03/15/uk-lebanon-policy-statement-idUKBREA2E02G20140315

      (Reuters) - Lebanon’s new government agreed to a compromise policy statement on Friday that fell short of explicitly enshrining the militant group Hezbollah’s role in confronting Israel but which would give all citizens the right to resist Israeli occupation or attacks.

      The agreement on the compromise language came after weeks of dispute brought the government to the verge of collapse, and now paves the way for Prime Minister Tammam Salam to put his government to a vote of confidence.

      Information Minister Ramzi Jreij told reporters that most ministers had agreed on a compromise statement that declares Lebanese citizens have the right to “resist Israeli occupation” and repel any Israeli attack.

      The deal was reached a few hours after Israel’s army said it fired tank rounds and artillery into southern Lebanon in retaliation for a bomb that targeted its soldiers patrolling the border. No injuries were reported on either side.

      The Israel-Lebanon border has been mostly quiet since Israel and Hezbollah fought an inconclusive war in 2006, but Israeli forces still hold at least three pockets of occupied territory which are claimed by Lebanon.

      “Based on the state’s responsibility to preserve Lebanon’s sovereignty, independence and territorial integrity and the security of its citizens, the government affirms the duty of the state and its efforts to liberate the Shebaa Farms and Kfar Shouba Hills and the Lebanese part of Ghajar through all legitimate means,” the government statement said.

      It also “affirms the right of Lebanese citizens to resist Israeli occupation and repel aggressions and recover occupied territory”.

      Agreement on the declaration paves the way for Salam to put his government to a vote of confidence, almost exactly a year after he was first asked to try to put together a cabinet following the resignation of his predecessor, Najib Mikati.

      The declaration reflected a compromise between the Hezbollah-led political coalition, which sought to guarantee Shi’ite Hezbollah’s right to fight Israel and to justify maintaining its huge weapons arsenal, with Sunni-led political opponents who sought to emphasise the role of the state in carrying arms.

      (...)

      Jreij said some ministers [Rifi et les hommes de Geagea] expressed reservations because the statement failed to spell out Lebanese state control over the military conflict with Israel and because it refers to “resistance”, Hezbollah’s label for its military operations.

  • Rifi ressurgit à l’Intérieur... le Cabinet retardé
    http://mediaramalb.files.wordpress.com/2014/02/mediarama-5212.pdf

    Alors que tout semblait prêt pour l’annonce du gouvernement ce vendredi, avant le début d’une tournée de dix jours à l’étranger du président du Parlement, Nabih Berry, un obstacle de dernière minute est venu retarder ce dénouement attendu depuis presque dix mois par les Libanais.

    Les divergences portent sur le nom du titulaire du ministère de l’Intérieur. Le nom de l’ancien directeur des Forces de sécurité intérieure (FSI), le général Achraf Rifi, avancé par le Courant du futur à ce poste de ministre, a été rejeté par le 8-Mars.

    Plusieurs médias ont indiqué que le président Berry avait affirmé au Premier ministre désigné, Tammam Salam, qu’il était « impossible d’accepter le nom proposé pour le portefeuille de l’Intérieur ».

    Le 8 Mars considère que les positions extrémistes du général Rifi, notamment à l’égard du Hezbollah, l’une des principales composantes du gouvernement et du partenariat national, en fait une personnalité « inacceptable » à l’Intérieur.

    La proposition du nom de M. Rifi à ce poste est d’autant plus surprenante que les tractations des dernières heures avaient permis de surmonter la plupart des obstacles qui entravaient la formation du gouvernement. Il était convenu que le ministère-clé de l’Intérieur serait occupé par le député Jamal Al-Jarrah ou son collègue Samir al-Jisr, tous deux membres du bloc du futur, et dont la désignation ne serait pas perçue comme une provocation par le 8-Mars.

    Des milieux de cette coalition s’étonnent que M. Rifi soit proposé à un poste aussi sensible que l’Intérieur, alors que son nom est fréquemment cité comme le parrain de plusieurs milices armées à Tripoli, sa ville natale.

  • Tripoli sur fond d’affrontement entre Mikati et Rifi :
    http://www.al-akhbar.com/node/196217

    وإلى جانب العدد الكبير للضحايا، تميزت الجولة الـ18 من الاشتباكات بانفجار الصراع المكتوم بين ميقاتي والمدير العام السابق لقوى الأمن الداخلي اللواء أشرف ريفي، وخروجه إلى العلن.

    لم تكن العلاقة بين الرجلين على ما يرام منذ تكليف ميقاتي تأليف الحكومة في مطلع عام 2011 بعد إسقاط حكومة الرئيس سعد الحريري. رغم ذلك لم تقطع شعرة معاوية بينهما. فهما من مدينة واحدة، كما أن لميقاتي الفضل في تعيين ريفي مديراً عاماً لقوى الأمن الداخلي خلال ترؤسه حكومته الأولى عام 2005.

    حتى استقالة ميقاتي قبل نحو تسعة أشهر كانت بسبب رفض الأغلبية الوزارية التجديد لريفي، ما حدا بالأخير إلى زيارة رئيس الحكومة في منزله في طرابلس وسط الحشود، تعبيراً عن تضامنه معه وردّ الجميل له.

    لكن الأيام التالية حملت تطوراً سلبياً لافتاً في العلاقة بين الرجلين لأسباب لم تتضح. فقد شرعت ألسن البعض في طرابلس بتناقل انتقادات حادة يطلقها ريفي بحق ميقاتي في ما يخص سياسة الحكومة تجاه طرابلس وطريقة مقاربتها الوضع الأمني فيها، فهمت للوهلة الأولى أنها محاولة من ريفي لإيجاد «موطئ قدم» سياسي في طرابلس، فكان الهجوم على ميقاتي، برأيه، مدخلاً إلى ذلك.

    سرعان ما بدأت الأمور تتضح من خلال التسريبات والتسريبات المضادة من الطرفين، وتفيد بأن ريفي يُعدّ نفسه ليكون رأس حربة تيار المستقبل لمواجهة ميقاتي انتخابياً في طرابلس.

    جولات الاشتباكات المتتالية، وتحديداً منذ استقالة ميقاتي وإحالة ريفي على التقاعد، كانت الساحة البديلة لمحاولة ريفي التهجّم على ميقاتي، بدأه بدفاعه عن «قادة المحاور».

    • Un extrait traduit sur Mediarama :
      http://mediaramalb.files.wordpress.com/2013/12/mediarama-474.pdf

      Une heure après le communiqué publié par le Premier ministre démissionnaire, Najib Mikati, au sujet de la situation à Tripoli, l’ancien directeur général des Forces de sécurité intérieure (FSI), Achraf Rifi, lui a demandé de « quitter son poste et d’élever la voix pour faire cesser les combats à Tripoli ». Il a notamment déclaré : « Tripoli n’acceptera pas moins que votre
      départ, ainsi que celui de tous les autres comploteurs, qu’ils soient responsables sécuritaires ou politiciens (...) ».

      Des sources proches de M. Mikati ont répliqué que « l’opinion publique doit savoir que celui qui demande à l’Etat de s’en aller est lui-même un comploteur contre Tripoli, il distribue des armes à certains des jeunes de la ville et a transformé les institutions de l’Etat en repaire pour les gangs et les hommes armés. »

      Et la source proche du Premier ministre démissionnaire de poursuivre en s’adressant à Rifi : « Votre appel au départ de l’Etat vise-t-il à transformer Tripoli en repaire pour les voyous proches de vous ? (Achraf Rifi) joue avec le sang des habitants de la ville au moment même où elle est la cible de bombardements. Il utilise un discours électoral qui n’aboutira à rien. Rifi est nerveux car l’armée a arrêté (dimanche) le dénommé Hatem Janzarli et six de ses miliciens, qui sont proches de l’ancien directeur des FSI. Son arrestation est intervenue après qu’il eut ouvert le feu contre une patrouille de l’armée, et le commissaire du gouvernement près du tribunal militaire, Sakr Sakr, a émis un mandat d’arrêt contre Janzarli et sept autres personnes. »

    • Miqati, Rifi Engage in Verbal Spat over Situation in Tripoli
      http://www.naharnet.com/stories/en/108067-miqati-rifi-engage-in-verbal-spat-over-situation-in-tripoli

      Caretaker Prime Minister Najib Miqati lashed out on Monday at former Internal Security Forces chief Maj. Gen. Ashraf Rifi, a day after the official urged the premier to “raise the voice” to stop the deadly clashes in Tripoli or leave his post.

      Miqati expressed surprise in comments published in al-Joumhouria newspaper over Rifi’s statements, saying that “Rifi’s stance is political.”

      “Today, Rifi is giving random advices and suggesting proposals, a matter that he never did when he was handed over important state posts,” sources close to Miqati quoted him as saying.

      The sources slammed Rifi, reminding him that the first spread of arms in the northern city of Tripoli was under his auspices in May 2008 when he launched the “Brigades of Tripoli, during which he was an ISF chief.

      “This suspicious acts (by Rifi) didn’t end here as 15 gunbattles in the city of Tripoli occurred when he was an ISF chief,” the sources said.

      Miqati wondered why Rifi didn’t have these suggestion back then.

    • (12 novembre 2013) Mikati : Si l’Arabie nous ferme ses portes, nous devons entrer par les fenêtres - Scarlett HADDAD
      http://www.lorientlejour.com/article/841604/mikati-si-larabie-nous-ferme-ses-portes-nous-devons-entrer-par-les-fe

      M. Mikati ne se laisse pas entraîner dans les polémiques. Il rappelle qu’il a démissionné à cause de l’affaire du général Achraf Rifi, « mais chacun est libre de faire l’interprétation de son choix », dit-il.

  • Connelly : Le peuple libanais mérite un gouvernement qui reflète ses aspirations
    http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/807548/Connelly+%3A_Le_peuple_libanais_merite_un_gouvernement_qui_reflete_se

    Elle a réaffirmé également que son pays « tient à un Liban stable, souverain et indépendant ».

    Mme Connelly s’est également réunie hier avec le directeur général des FSI, le général Achraf Rifi. La situation sécuritaire dans le pays et l’aide américaine aux FSI ont été discutées.

    L’ambassadrice US a rendu hommage au général Rifi « qui a œuvré pour renforcer la coopération sécuritaire entre le Liban et les FSI », a-t-elle dit. Elle a noté que « l’aide américaine aux FSI a atteint depuis 2006 la valeur de cent millions de dollars, et ce à travers des stages de formation ainsi que de la réhabilitation de bâtiments, de véhicules et de matériel ».

    Le général Rifi s’est aussi entretenu avec l’ambassadeur de France, Patrice Paoli.

    Ah ah, tu as remarqué la contradiction, n’est-ce pas ? Je soutiens le « Liban stable, souverain et indépendant », et en même temps, avec le français, je soutiens très ouvertement Ashraf Rifi, qui est au cœur de la polémique.

    L’aspect banal et routinier des ingérences au Liban est déprimant : il faut vraiment tout le racisme occidental pour ne jamais imaginer quelle serait « notre » propre réaction si la situation était inversée. Si l’ambassadeur libanais à Washington se mettait à soutenir ouvertement tel ou tel individu contesté par le gouvernement pour des nominations sécuritaires aux États-Unis, les ricains l’auraient déjà envoyé paître avec un bon coup de pied au teezo. Encore hier, il m’a semblé entendre Hollande se vanter du fait que, lui, ne ferait pas à Merkel ce que Merkel lui avait fait pendant la campagne électorale française – grandeur d’âme qui ne concerne donc pas les lointaines peuplades méridionales.

  • Un petit point sur l’une des deux raisons invoquées pour la démission de Mikati :

    – Le général Achraf Rifi, chef des Forces de sécurité intérieure, atteint l’âge de la retraite ; l’homme est très proche du 14 Mars. Prochainement également, le chef de l’armée, Jean Kahwagi semble-t-il apprécié du Hezbollah.

    Le Futur a proposé une loi pour prolonger les deux mandants :
    http://www.dailystar.com.lb/News/Local-News/2013/Mar-22/211132-rifi-downbeat-over-term-extension-prospects.ashx

    The Future parliamentary bloc has written an urgent draft law to change the mandatory retirement age for several high-ranking security officials who are set to reach mandatory retirement age this year, including Rifi and Lebanese Army Commander Gen. Jean Kahwagi.

    – Pas question pour le Hezbollah et les aounistes de prolonger Rifi, qui est leur bête noire dans plusieurs affaires :
    http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/806628/Prorogation_du_mandat_de_Rifi_%3A_vers_une_demission_du_gouvernement_

    Le ministre d’Etat, Ahmad Karamé, a averti vendredi que le gouvernement pouvait tomber si le mandat du général Achraf Rifi à la tête des Forces de sécurité intérieure (FSI) n’était pas prorogé lors du Conseil des ministres qui se tient cet après-midi.

    Pour Kahwagi, le Hezbollah serait favorable, mais pas Aoun :
    http://www.dailystar.com.lb/News/Politics/2013/Mar-19/210664-future-seeks-extension-of-rifi-kahwagi-terms.ashx

    Both Hezbollah and ally Free Patriotic Movement leader MP Michel Aoun oppose extending Rifi’s term, given his affiliation with the Future Movement.

    Similarly, some March 14 groups are said to oppose lengthening Kahwagi’s term because of his perceived closeness to Hezbollah. The Islamist party backs adding to Kahwagi’s mandate, but Aoun does not.

    Je n’ai pas trouvé les raisons de l’opposition des aounistes à Kahwagi.

    – Joumblatt prétend qu’il était prévu de remplacer Rifi par le général Ali Hajj, bête noire du clan Hariri :
    http://www.naharnet.com/stories/en/76691-jumblat-reveals-plan-to-replace-rifi-with-ali-hajj-it-s-all-about-pr

    He revealed a plan that consists of replacing Internal Security Forces chief Asraf Rifi with General Ali Hajj.

    Hajj a déjà 58 ans, alors pour remplacer Rifi qui atteint les 59 ans fatidiques le 1er avril, je ne vois bien pas l’intérêt de provoquer des tensions énormes pour seulement quelques mois à la tête des FSI.

    – Pour succéder à Rifi, Roger Salem : « mais Salem est grec catholique ».
    http://www.dailystar.com.lb/News/Politics/2013/Mar-19/210664-future-seeks-extension-of-rifi-kahwagi-terms.ashx

    If Rifi’s term is not extended, ISF Deputy Commander Brig. Roger Salem will become acting head of the ISF until a new director-general is appointed, although Salem too will reach retirement age in only three months. Custom dictates that a Sunni holds the top post at the ISF, but Salem is a Greek Catholic.

    Et pour remonter plus loin sur le background de l’affaire :
    – Achraf Rifi bloquant l’accès du ministre des télécoms, puis refusant d’obéir aux ordres directs du ministre de l’intérieur ; sur fond de réseau téléphonique suspect :
    http://seenthis.net/messages/18989
    – le #cablegate révélait comment Achraf Rifi était très impliqué dans la création de la milice de Saad Hariri :
    http://seenthis.net/messages/15268

    The second issue Jumblatt raised was Saad’s reported training of Sunni militias in Lebanon (allegedly 15,000 members in Beirut and more in Tripoli). In establishing his own “security agencies” in Beirut and Tripoli, Saad was being badly advised by “some people,” Jumblatt said, such as ISF General Ashraf Rifi. In his meeting with Jumblatt, Hassan admitted having knowledge that members of Saad’s Future Movement were being trained. Hassan reportedly opposed such training, but “people around Saad” (i.e., Rifi) were telling him to go ahead.

    L’homme est donc particulièrement central pour les projets américains au Liban, et il semble tout de même totalement inimaginable que le bonhomme bénéficie du moindre traitement de faveur de la part d’un gouvernement auquel il a déjà très ouvertement désobéi (allant jusqu’à la confrontation physique avec un ministre).

  • L’attentat déjoué à Achrafieh aurait visé Rifi et Hassan
    http://www.lorientlejour.com/category/À+La+Une+(Slideshow)/article/742434/Lattentat_dejoue_a_Achrafieh_aurait_vise_Rifi_et_Hassan.html

    Un attentat visant le directeur général des Forces de sécurité intérieure, le général Achraf Rifi et le chef de la branche des renseignements des FSI, le colonel Wissam Hassan, a été déjoué à Achrafieh, rapporte samedi le quotidien an-Nahar.

    (Ne pas oublier d’utiliser le conditionnel.)