person:adrienne rich

    • L’histoire de la fièvre puerpérale est longuement détaillée dans l’ouvrage d’Hempel « Éléments d’épistémologie » dans son chapitre sur la formulation des hypothèses scientifiques, notamment dans la définition de la demarche empirique, la partie consacrée à Semmelweiss qui a été confronté à ce problème dans les services de maternité de son hopital.

    • Sur le cairn il y a ceci que j’ai pas encore lu :
      https://www.cairn.info/revue-spirale-2010-2-page-21.htm
      La tragédie des maternités hospitalières au xixe siècle et les projets de réaménagement
      parScarlett Beauvalet, historienne, professeur d’histoire à l’université de Picardie.
      Il y a peut être la ref que tu cherche dans les notes :

      Notes
      [1]

      E. et J. de Goncourt, Germinie Lacerteux (1865), Le Livre de poche, 1990, p. 100-101.
      [2]

      P. Peu, Pratique des accouchements, Paris, 1682, p. 268.
      [3]

      J. Tenon, Mémoire sur les hôpitaux, Paris, 1788.
      [6]

      S. Beauvalet, La population à l’époque moderne. Démographie et comportements, Paris, Belin, 2008, p. 196.
      [7]

      J.-M. Audin-Rouvière, Essai sur la topographie physique et médicale de Paris, Paris, 1794.
      [8]

      P.J.G. Cabanis, Observations sur les hôpitaux, Paris, 1789-1790.
      [9]

      S. Beauvalet, Naître à l’hôpital au xixe siècle, Paris, Belin, 1999, p. 233.
      [10]

      S. Tarnier, Recherches sur l’état puerpéral et les maladies des femmes en couches, thèse de médecine, Paris, 1857.
      [11]

      A. Husson, Étude sur les hôpitaux considérés sur le rapport de leur construction, de la distribution de leurs bâtiments, de l’ameublement, de l’hygiène, Paris, 1862, p. 7.
      [12]

      E. Hervieux, « Étiologie et prophylaxie des épidémies puerpérales », Gazette médicale de Paris, 1865, pp. 713-716 ; 762-765 ; 799-803 ; 813-820. Il s’agit d’un mémoire lu à la Société des hôpitaux le 23 août 1865.
      [13]

      S. Beauvalet et P. Boutouyrie, « Du geste qui tue au geste qui sauve. Épidémies et procédures médicales invasives à Paris au xixe siècle : l’exemple de la maternité de Port-Royal », Annales de Démographie Historique, 1997, p. 135-156.
      [14]

      E. Hervieux, « Étiologie et prophylaxie des épidémies puerpérales », op. cit., p. 715.
      [19]

      G. Ancelet, « Hygiène des maternités. Conditions générales d’hygiène que doit remplir une maternité modèle », dans Annales d’hygiène publique et de médecine légale, 3e série, tome XXXVI, 1896, p. 216-246. Ancelet est l’auteur d’une thèse sur la question : Essai historique et critique sur la création et transformation des maternités à Paris, thèse pour le doctorat en médecine, Paris, 1896.
      [20]

      Ancelet citant Tarnier et Potocki, De l’aspsie et de l’antisepsie en obstétrique, Paris, 1894.
      [21]

      G. Ancelet, « Hygiène des maternités… », op. cit., p. 245-246.
      [22]

      A. Pinard, « Du fonctionnement de la Maison d’accouchement Baudelocque, clinique de la faculté, depuis sa création jusqu’au 1er janvier 1904 », Bulletin de l’académie de médecine, 1904, tome 1, p. 63-76.

      peut être qu’il y a la ref que tu cherche dans la bibliographie de
      Sorcières, sages-femmes et infirmières. Une histoirE des femmes soignantes par Ehrenreich, English
      https://www.cambourakis.com/spip.php?article550

  • Comprendre pour combattre
    Présentation du livre de Violaine Girard, Le vote FN au Village

    http://lmsi.net/Comprendre-pour-combattre

    Tous-tes les sociologues aimeraient écrire des livres rigoureux, originaux et utiles à la fois. Cet objectif est très exactement atteint par l’ouvrage de Violaine Girard qui, en étudiant des habitants du périurbain, rompt avec la focalisation, de droite comme de gauche, sur la figure de l’ouvrier chômeur déclassé, « forcément » exaspéré par la proximité des immigrés. Des classes populaires stables, connaissant de petites mobilités, n’expriment pas tant, à travers leur vote pour Le Pen, leur désarroi qu’une quête de respectabilité. L’auteure du Vote FN au village paru aux éditions Le Croquant explore les ressorts de cette posture, et remet au premier plan le rôle des élites dans la production de cette « conscience sociale » aux conséquences politiques ravageuses.De nombreuses recherches l’ont montré : les électeurs du Front national ne forment pas un groupe homogène, mais un « conglomérat », pour reprendre l’expression de Daniel Gaxie. La thèse du « gaucho-lepénisme », qui a popularisé l’idée d’un transfert des votes communistes des ouvriers vers le Front national, a été maintes fois réfutée. Mais la réduction persistante du vote d’extrême-droite aux classes populaires déclassées ne relève pas que de l’erreur d’analyse. Elle a une fonction politique, bien analysée par Annie Collovald. Le « populisme du Front national » jette le discrédit sur les classes populaires, une fois encore rejetées dans une irrationalité que les élites, elles foncièrement « républicaines », s’efforceraient de contenir.

    • http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=2783

      En marge des fermetures d’usines, de nombreuses collectivités territoriales se sont engagées dans des politiques de développement économique local. Or, sous couvert de favoriser l’emploi, elles tentent également de satisfaire les exigences des chefs d’entreprise. Nous revenons ici sur l’exemple d’une politique d’aménagement menée dans l’intérêt du patronat local, des années 1970 à aujourd’hui.

      Dans un contexte de hausse du chômage et de fermetures d’usines, on sait que le chantage à l’emploi sert souvent à imposer d’importants reculs aux salarié-e-s, en termes de rémunération, de temps de travail ou de conditions de travail. Mais l’on sait moins que certaines collectivités ont également pu contribuer, plus ou moins directement, à certains reculs sociaux. Au travers de l’exemple d’un territoire rural qui accueille un parc industriel, nous effectuons ici un retour sur certains aspects, peu connus, des politiques de développement économique local. Afin de préserver l’anonymat des personnes qui travaillent sur ce parc, nous avons ici choisi de changer les noms de lieux.

    • C’est encore plus vrai de l’accession à la propriété, qui nécessite des revenus réguliers et la « stabilité conjugale […], condition majeure de réussite de ce qui constitue avant tout un projet familial » (p. 100). L’engagement dans le couple est en quelque sorte une nécessité, sous peine de mettre en péril ce projet. Cette « contrainte à la conjugalité », pour paraphraser Adrienne Rich [2], ne joue-t-elle pas aussi dans les goûts ascétiques de ces salarié-e-s modestes, et dans la disqualification de ceux qui ne s’y conforment pas ? La valorisation de la famille et la stigmatisation des comportements déviants par le Front national semblent faire écho à cette poursuite éperdue de stabilité. Le coût mental et affectif de ces choix de vie ne conduit-il pas aussi à vouloir le faire payer à d’autres ?

      Ce ne sont que des hypothèses, mais Violaine Girard nous dit bien que cette respectabilité tant recherchée a une dimension morale. On regrette parfois que cet aspect de la conscience sociale des périurbains, et son lien avec les valeurs hétérosexistes et familialistes portées haut et fort par le Front national, ne soient pas davantage creusés.

      #hétérosexisme #famille #misogynie #domination_masculine

    • souligné par @mad_meg

      Violaine Girard nous dit bien que cette respectabilité tant recherchée a une dimension morale. On regrette parfois que cet aspect de la conscience sociale des périurbains, et son lien avec les valeurs hétérosexistes et familialistes portées haut et fort par le Front national, ne soient pas davantage creusés.

      https://seenthis.net/messages/613419

      Comme la société autoritaire se reproduit à l’aide de la famille autoritaire dans les structures individuelles des masses, la réaction politique est forcée de considérer la famille autoritaire comme le fondement « de l’État, de la culture et de la civilisation ». En lançant sa propagande dans ce sens, elle peut tabler sur des facteurs irrationnels profondément ancrés dans la foule. Le politicien réactionnaire ne peut avouer ses intentions véritables.

      Chapitre V. La famille autoritaire vue dans la perspective de l’économie sexuelle La psychologie de masse du fascisme
      http://psycha.ru/fr/reich/1933/la_psychologie_de_masse_du_fascisme1.html

  • Les femmes, l’histoire et nous | Comme un poisson sans bicyclette
    http://www.zinzine.domainepublic.net/?ref=2685

    La place des femmes dans l’histoire et notamment dans les manuels scolaires, à travers l’étude du centre Hubertine Auclert et à travers un article de Michelle Zancarini-Fournel.Puis deux portrait de femmes à travers leur livre ou leur biographie dont Adrienne Rich avec « La contrainte à l’hétérosexualité et autres essais » ainsi que « Maria Nikiforova, la révolution sans attendre. L’épopée d’une anarchiste à travers l’Ukraine » (1902-1919). Durée : 1h09. Source : Radio Zinzine

    http://www.zinzine.domainepublic.net/emissions/CUP/2016/CUP2016-11-18-CUP13histoirefemme.mp3

  • Arts of the Possible: Adrienne Rich on Writing, Capitalism, Freedom, and How Silence Fertilizes the Human Imagination – Brain Pickings

    https://www.brainpickings.org/2015/05/19/adrienne-rich-arts-of-the-possible-capitalism

    “When power corrupts, poetry cleanses,” John F. Kennedy proclaimed in his piercing eulogy to Robert Frost, contemplating the artist’s role in society and urging us to “never forget that art is not a form of propaganda; it is a form of truth.” More than three decades later, another of humanity’s greatest poets and custodians of dignity explored this enduring relationship between art, power, and truth more closely and dimensionally than anyone before or since.

    The poet was Adrienne Rich (May 16, 1929–March 27, 2012) and the exploration a remarkable 1997 lecture that became the title piece in Arts of the Possible: Essays and Conversations (public library) — the same anthology that gave us the spectacular letter with which Rich became the only person to decline the National Medal of Arts in one of creative culture’s most courageous acts of political dissent.

  • Quelques extraits de Bell Hooks, Ne suis-je pas une femme ? - Femmes noires et féminisme, 1981 via Prenez ce couteau http://prenezcecouteau.tumblr.com

    L’absence de solidarité politique de la majorité des réformatrices blanches avec les personnes noires a été mise en évidence lors du conflit qui a eu lieu autour du vote. Lorsqu’il a été clair que les hommes blancs pourraient accorder le droit de vote aux hommes noirs tout en laissant les femmes blanches privées de ce même droit, les suffragettes blanches n’ont pas réagi collectivement en exigeant que toutes les femmes et tous les hommes obtiennent le droit de vote. Elles n’ont fait qu’exprimer leur colère et leur indignation par rapport au fait qu’il semblait plus important pour les hommes blancs de maintenir les hiérarchies sexuelles que les hiérarchies raciales au coeur de l’arène politique.
    (…)
    Les suffragettes blanches avaient l’impression que les hommes blancs insultaient les femmes blanches en refusant de leur accorder les privilèges qu’ils s’apprêtaient à accorder aux hommes noirs. Elles blâmaient les hommes blancs non pour leur sexisme, mais pour leur intention de permettre au sexisme d’éclipser les alliances raciales. Stanton, comme d’autres militantes blanches pour les droits des femmes, ne souhaitait pas voir les Noir-e-s réduit-e-s en esclavage, mais elle ne souhaitait pas voir le statut des personnes noires amélioré cependant que le statut des femmes blanches ne changeait pas.

    –----

    Lorsque le mouvement des femmes a débuté à la fin des années 1960, il était évident que les femmes blanches qui le dominaient avaient l’impression que c’était “leur” mouvement, le moyen par lequel les femmes blanches pouvaient faire entendre leurs critiques envers la société. Non seulement les femmes blanches ont agi comme si l’idéologie féministe n’existait que pour servir leurs propres intérêts sous prétexte qu’elles avaient réussi à attirer l’attention du public sur les questions féministes, mais elles ont aussi refusé de reconnaître que les femmes non-blanches faisaient partie du groupe des femmes aux Etats-Unis. Elles exhortaient les femmes noires à rejoindre “leur” mouvement ou dans certains cas le mouvement des femmes, mais dans leurs discours et leurs écrits, leurs attitude envers les femmes noires était aussi raciste que sexiste. Leur racisme ne prenait pas la forme d’une haine ouverte ; il était beaucoup plus subtil. Il prenait la forme de l’ignorance pure et simple de l’existence des femmes noires, ou celle de l’utilisation dans leurs écrits de stéréotypes racistes et sexistes courants.
    (…)
    Dans la plupart de leurs écrits, l’expérience de la femme blanche états-unienne est rendue synonyme de l’expérience de la femme états-unienne. Alors qu’il n’est en aucun cas raciste d’écrire un livre parlant exclusivement des femmes blanches, il est en revanche fondamentalement raciste que soient publiés des livres qui ne s’intéressent qu’à l’expérience des femmes blanches états-uniennes dans lesquels on part du principe que cette expérience est l’expérience de LA femme états-unienne.

    –-----

    Dès que les femmes noires essayaient d’exprimer aux femmes blanches ce qu’elles pensaient de leur racisme, ou leur sentiment que les femmes à l’avant-garde du mouvement n’étaient pas des femmes opprimées, on leur répondait qu’“on ne peut pas hiérarchiser les oppressions”. L’insistance des femmes blanches sur “l’oppression commune” dans leur tentative d’interpellation des femmes noires afin qu’elles rejoignent le mouvement ne faisait qu’aliéner davantage ces dernières. Puisque de nombreuses femmes blanches du mouvement employaient des domestiques non-blanches et blanches, les femmes noires vivaient cette rhétorique de l’oppression commune comme une agression, comme l’expression d’un insensibilité bourgeoise et un manque de préoccupation pour la position des femmes des classes populaires dans la société.
    Parler d’oppression commune était en réalité une attitude condescendante envers les femmes noires. Les femmes blanches partaient du principe qu’il leur suffisait d’exprimer un désir de sororité, ou le désir de voir des femmes noires rejoindre leurs collectifs, et que les femmes noires en seraient ravies. Elles pensaient agir de manière généreuse, ouverte et antiraciste, et étaient choquées par les réactions de colère et d’indignation des femmes noires. Elles ne voyaient pas que leur générosité servait leur propre cause et qu’elle était motivée par leurs désirs opportunistes.
    Même s’il est démontré que les femmes blanches des classes moyenne et supérieure aux Etats-Unis souffrent des discriminations et des violences sexistes, elles ne sont pas, en tant que groupe, aussi opprimées que les femmes blanches PAUVRES, ou noires, ou jaunes. C’est leur réticence à faire la distinction entre les différents degrés de discrimination ou d’oppression qui a mené les femmes noires à les considérer comme des ennemies. Alors même qu’elles souffraient moins de l’oppression sexiste, de nombreuses féministes blanches des classes moyenne et supérieure tentaient d’attirer toute l’attention sur elles-mêmes ; elles ne pouvaient donc accepter une analyse qui postulait que toutes les femmes n’étaient pas également opprimées, certaines femmes pouvant utiliser leurs privilèges de classe, de race et d’éducation pour résister de façon collective à l’oppression sexiste.

    –------

    Lorsque les féministes blanches ont mis en avant le travail comme moyen d’accéder à la libération, elles n’ont pas prêté attention à ces femmes qui sont les plus exploitées dans la population active états-unienne. Si elles avaient mis en avant le sort des femmes des classes populaires, l’attention aurait été détournée de la femmes au foyer banlieusarde qui est allée à l’université et qui cherche à occuper les emplois dévolus aux classes moyenne et supérieure. Si l’attention s’était portée sur les femmes qui travaillaient déjà et qui étaient exploitées en tant que main-d’oeuvre de remplacement bon marché, cela aurait terni l’image de la quête d’un “emploi qui ait du sens” par les femmes de la classe moyenne. Sans vouloir minimiser l’importance de la résistance des femmes à l’oppression sexiste par l’entrée sur le marché du travail, il faut reconnaître que le travail n’a pas été une force de libération pour un grand nombre de femmes états-uniennes. Et il y a déjà longtemps que le sexisme ne les empêche pas de rejoindre la population active. Si les femmes blanches des classes moyenne et supérieure telles que Betty Firedan les décrit dans “The Feminine Mystique” étaient des femmes au foyer, ce n’était pas parce que le sexisme les avait empêchées de rejoindre la population active salariée, mais parce qu’elles avaient volontairement adopté l’idée qu’il était mieux pour elles d’être des femmes au foyer que de travailler. Le racisme et le classisme des féministes blanches étaient particulièrement évidents lorsqu’elles parlaient du travail comme force libératrice pour les femmes. Dans de telles conversations, c’était toujours la “femme au foyer” de classe moyenne qui était décrite comme la victime de l’oppression sexiste et pas les pauvres femmes noires et non noires qui étaient les plus exploitées dans l’économie états-unienne.

    –----
    #intersectionnalité #féminisme #blackfeminism #féminisme_blanc #racisme #historicisation #droit_de_vote #ségrégation

    • Dès le début du mouvement contemporain pour la révolution féministe, les militantes blanches ont tenté de minimiser leur position dans la hiérarchie raciale de la société états-unienne. Dans leurs tentatives de se distinguer des hommes blancs (de nier leurs connexions fondées sur l’appartenance à une classe raciale commune), les femmes blanches impliquées dans le mouvement féministe ont affirmé que le racisme est inhérent au patriarcat blanc et ont prétendu quelles ne pouvaient être tenues pour responsables de l’oppression raciste.

      (…)

      Pour les femmes noires, le problème n’est pas de savoir si les femmes blanches sont plus ou moins racistes que les hommes blancs, le problème est qu’elles soient racistes. Si les femmes engagées dans la révolution féministe, fussent-elles noires ou blanches, veulent un jour espérer atteindre une compréhension des “fortes connexions” (ndlt : citation d’une expression qu’a employé Adrienne Rich, féministe blanche, pour décrire les relations entre les femmes blanches et les femmes noires) existant entre les femmes blanches et les femmes noires, alors nous devons d’abord être prêtes à analyser la relation des femmes à la société, à la race et à la culture états-unienne telle qu’elle est vraiment et pas telle que nous voudrions qu’elle soit idéalement. Cela implique d’affronter la réalité du racisme des femmes blanches. La discrimination sexiste a empêché les femmes blanches d’endosser le rôle dominant dans la perpétuation de l’impérialisme racial blanc, mais cela ne les a pas empêchées d’intégrer, de soutenir et de prôner l’idéologie raciste ou d’agir individuellement en tant qu’oppresseures racistes dans diverses sphères de la vie états-unienne.

      Bell Hooks, Ne suis-je pas une femme ? - Femmes noires et féminisme, 1981

      (Source : prenezcecouteau)
      http://prenezcecouteau.tumblr.com/post/134120494784/d%C3%A8s-le-d%C3%A9but-du-mouvement-contemporain-pour-la