person:ahmad yousef

16-year-old shot dead after attempting stabbing outside blockaded village
▻http://www.maannews.com/Content.aspx?id=770626

BETHLEHEM (Ma’an) — Israeli forces shot dead a 16-year-old Palestinian boy after he attempted to carry out a stabbing attack at a military checkpoint outside the blockaded village of al-Zawiya in Salfit district on Wednesday morning.

Al-Zawiya in the northern West Bank was placed under military blockade late on Tuesday after it is believed one of its residents carried out a stabbing attack near Tel Aviv.

On Wednesday morning, Israeli army spokesperson told Ma’an that an “assailant armed with a knife” approached a military checkpoint on the outskirts of al-Zawiya intending to stab soldiers there.

She said that Israeli forces “thwarted” the attack, shooting the Palestinian dead. No Israelis were injured during the incident.

Locals said that Israeli soldiers shot and wounded a second Palestinian during the deadly encounter, although the army spokesperson had no information about a second Palestinian being shot during the incident.

Local official Naim Shqeir told Ma’an that both Palestinians were “left bleeding” when Palestinian Red Crescent ambulances were prevented from accessing them.

Shqeir said that Israeli soldiers also assaulted a vendor selling vegetables in a pickup truck who was travelling in the area.

The boy was identified 16-year-old Ahmad Yousef Amer , and it later emerged he had written a will before his death, saying goodbye to his parents and asking them for forgiveness. He also told them of a debt of 60 shekels he owed his school friends.

The village of al-Zawiya in the northern West Bank was placed under military blockade late on Tuesday after Israel alleges one of its residents carried out a stabbing attack near Petah Tikva, around seven miles east of Tel Aviv.

The 17-year-old, identified as Abd Al-Rahman Radad , was shot dead after wounding an Israeli man. However, the exact circumstances of the incident remained unclear, with early reports suggesting it may have been a brawl between the Israeli and Palestinian as opposed to an attack.

Radad was one of four Palestinians shot dead on Tuesday after a series of attacks left an American tourist dead and at least 12 Israelis wounded.

The violence carried into Wednesday, with another two Palestinians shot dead outside Jerusalem’s Old City in the morning after they allegedly carried out a shooting that left a Palestinian with Israeli citizenship in critical condition.

#Palestine_assassinée

On its 51st anniversary, is Fatah facing identity crisis? - Al-Monitor: the Pulse of the Middle East
▻http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2016/01/palestinian-fatah-movement-challenges.html

The Fatah gestures toward Hamas appear to have produced some positive feedback. While the Hamas leadership in Gaza continues to ban large public celebrations of Fatah’s anniversary, one of the moderate Hamas leaders has taken the extraordinary step of publicly congratulating Fatah on its anniversary.

On his Facebook page, Ahmad Yousef, a former adviser to Hamas’ Ismail Haniyeh, wished Fatah success in its efforts for reconciliation. “Political disagreements might have kept us apart, but we should work together hand in hand for a better national and social future.”

Many saw in this statement a positive hint toward an end to the split and the opening of a new page between the two movements with the beginning of the new year.

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Une Interview d’Ahmad Yousef, conseiller politique du mouvement Hamas
▻http://www.info-palestine.net/spip.php?article15037

Yousef est un dirigeant du Hamas et l’un des plus éminents intellectuels dans la bande de Gaza. Il a terminé ses études supérieures aux États-Unis et est devenu peu après membre du Conseil de la Choura du Hamas. Ses prises de position ont été considérées parfois comme très controversées. Sur la scène politique, il est vu et apprécié comme l’un des dirigeants les plus ouverts d’esprit du Hamas.

Ce qui suit est une interview de Youssef réalisée par Al-Akhbar.

(...) Al-Akhbar : Parler d’une liste électorale commune avec le Fatah à la lumière de vos différents en cours, soulève de nombreuses questions.

AY : Dans le passé, la compétition politique a conduit à la rupture des relations et à la marginalisation de l’autre. Aujourd’hui, cependant, tout le monde cherche à forger des alliances parce que les membres du Hamas et du Fatah sont conscients qu’il est impossible de procéder par exclusion réciproque. La question, cependant, est soumise à la situation au sein du Fatah et dépend de si sa base électorale veut une unité sous une seule direction. Mais le Hamas se rend compte qu’il a besoin d’un partenaire national afin d’éviter tout ostracisme.

Al-Akhbar : Tout a un prix. Pour en revenir aux annonces faites par le Fatah, pouvez-vous accepter un programme politique basé sur des négociations avec l’occupant israélien ?

AY : En ce qui concerne le Hamas, nous avons supprimé tous les obstacles à une dynamisation des institutions politiques. Le problème est qu’il se trouve des éléments au sein de l’Autorité palestinienne (AP) qui entravent notre tentative de rejoindre des institutions comme l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), le Conseil national palestinien (CNP), et le Conseil central, de peur que le Hamas ne domine le processus de prise de décision.

L’accès à ces institutions est encore interdit aux mouvements islamiques et à certains mouvements nationaux, en dépit des promesses répétées et des mémorandums d’accord signés au Caire, à Damas, à Doha et à Gaza même.

Pour ce qui est des négociations avec l’occupant israélien, la position du Hamas est que Abou Mazen (Mahmoud Abbas), à la tête de l’OLP, peut négocier, mais dans un cadre avec lequel nous sommes tous d’accord et qui protège les droits de notre peuple en Palestine et dans la Diaspora. Le Hamas se rend bien compte que les négociations sont un élément central de toute solution politique au conflit. Voilà pourquoi cette question ne devrait pas être laissée à la décision d’une seule organisation, mais être l’objet de consultations.

Dans le même temps, nous nous rendons compte qu’Israël n’envisage aucune paix avec les Palestiniens et agit de son mieux pour imposer des faits sur le terrain. Nous ne sommes pas dupes. Nous ne nions pas que les négociations sont un passage obligé, mais l’Histoire nous montre que les conflits ne sont pas résolus uniquement par des négociations. La justice exige toujours qu’il y ait quelqu’un pour la défendre.
(...)
Al-Akhbar : La dernière guerre [israélienne contre Gaza] a-t-elle amélioré la façon dont le Hamas considère l’Iran ?

AY : Comme un témoignage livré à l’Histoire, nous nous sommes battus seuls,soutenus par la fermeté de notre peuple dans la bande de Gaza. Mais nous admettons que nos frères en Iran méritent un vrai crédit pour les compétences démontrées dans les combats et la fabrication d’armes. Politiquement, l’Iran s’est comportée de manière plus honorable que certains États arabes. Alors que les dirigeants arabes étaient incapables de nous soutenir, les déclarations de Hassan Nasrallah ont exprimé son soutien et ont fait l’éloge de nos capacités sur le champ de bataille.

Indépendamment de considérations politiques et des positions de certains partis, notre relation avec Téhéran et le Hezbollah devraient continuer à être forte. Nous ne devons pas oublier ce que la révolution islamique représente dans notre lutte contre Israël. Nous sommes dans le même bateau, alors que l’Occident, les États-Unis et Israël s’activent avec perfidie contre nous.

Par « assassinat ciblé », il faut comprendre qu’Israël « cible » très largement : pour essayer de tuer Ahmad Jaabari, ils avaient déjà massacré avec précision son fils ainé, son frère et plusieurs de ses cousins :
►http://english.ahram.org.eg/NewsContent/2/8/58131/World/Region/Ahmed-alJaabari-A-life-of-fighting-Israeli-occupat.aspx

Jaabari had previously been the apparent target of more than one Israeli assassination attempt, including a 2004 air strike that killed his eldest son Mohammed, along with his brother and several of his cousins.