Arabie : la fille du prince Al-Walid salue sa libération avec une photo – Site de la chaîne AlManar-Liban
▻http://french.almanar.com.lb/758690
Publié par sa fille, image d’al-walid bin talal de retour chez lui après trois mois de #prison_dorée.
Arabie : la fille du prince Al-Walid salue sa libération avec une photo – Site de la chaîne AlManar-Liban
▻http://french.almanar.com.lb/758690
Publié par sa fille, image d’al-walid bin talal de retour chez lui après trois mois de #prison_dorée.
Al-Walid ben Talal cède ses parts dans le Four Seasons de Beyrouth
▻https://www.lecommercedulevant.com/article/28042-al-walid-ben-talal-cede-ses-parts-dans-le-four-seasons-de- ?
D’après l’agence de presse Reuters, al-Walid ben Talal prévoyait depuis longtemps de se départir de ses parts dans l’hôtel libanais. Cette décision n’aurait donc pas de lien avec la récente vague d’arrestations en Arabie Saoudite dont a été victime, entre autres, le prince milliardaire.
On est donc rassuré, il n’a pas été racketé !
Le prince saoudien Al-Walid Ben Talal libéré après « un arrangement » financier - L’Orient-Le Jour
▻https://www.lorientlejour.com/article/1096682/le-prince-saoudien-al-walid-ben-talal-libere-apres-un-arrangement-fin
Suite de ▻https://seenthis.net/messages/663608 ce matin. Le dossier est refermé mais pas forcément clos !
Le prince Al-Walid Ben Talal négocie sa remise en liberté - L’Orient-Le Jour
▻https://www.lorientlejour.com/article/1094224/le-prince-al-walid-ben-talal-negocie-sa-remise-en-liberte.html
Sans doute de l’intox dans cette info, déjà mise en circulation une ou deux fois depuis l’arrestation du prince dans sa #prison_dorée. Hier, on signalait plutôt qu’il irait, avec le reste des princes qui n’ont pas trouvé un arrangement, dans une « vraie » prison...
#Arabie_saoudite : le riche prince Walid, celui qui résiste malgré la purge
Par RFI Publié le 30-12-2017
▻http://www.rfi.fr/ameriques/20171229-haiti-aznavour-concert-elite-economique
Deux fils du défunt roi Abdallah arrêtés il y a près de deux mois ont été relâchés : Fayçal ben Abdallah, l’ancien président du Croissant rouge saoudien et Mechaal ben Abdallah, l’ancien gouverneur de La Mecque.
A chaque fois, il leur est proposé ce marché : vous restituez des sommes que vous avez acquises par la corruption, vous évitez ainsi un procès et vous êtes libres. Le plus souvent, les transactions se chiffrent aux alentours du milliard de dollars.
Multimilliardaire
Mais il en est un qui résiste, connu pour son extravagance et sa philanthropie, mais aussi son redoutable sens des affaires : le prince multimilliardaire Al-Walid ben Talal, 62 ans. Il est le petit-fils d’Ibn Saoud, le premier roi saoudien, fondateur du royaume.
Le prince, réputé pour son franc-parler, réclame au contraire un procès en bonne et due forme. Selon Forbes, la fortune de Talal est estimée à 18 milliards de dollars. Il est le président de la Kingdom Holding Company et détient des parts importantes dans de nombreuses sociétés, notamment News Corp, Citigroup, 21st Century Fox et Twitter. Et selon le Wall Street Journal, il est déterminé à engager un bras de fer avec le nouvel homme fort du pays.
CREDIT AGRICOLE cède 16,2% de la BANQUE SAUDI FRANSI , Fusacq Buzz
▻http://www.fusacq.com/buzz/credit-agricole-cede-16-2-de-la-saoudienne-banque-saudi-fransi-a144071.html
La banque française Crédit Agricole a annoncé mardi la cession de 16,2% de la saoudienne Banque Saudi Fransi (BSF) à Kingdom Holding Co.(KHC), propriété du prince et milliardaire Al-Walid ben Talal, pour quelque 1,3 milliard d’euros.
« La réalisation de cette transaction (...) devrait avoir lieu au cours du second semestre 2017 », indique Crédit Agricole SA dans un communiqué.
Le groupe, présent au capital de Banque Saudi Fransi (BSF) depuis sa création en 1977 au travers de sa banque d’investissement et d’affaires, Crédit Agricole Corporate & Investment Bank (CACIB), précise que sa part sera ainsi réduite à 14,9%, puisqu’il en détenait jusqu’alors 31,1%.
Cette transaction date de la mi-septembre alors qu’Al-Walid ibn Talal est depuis deux mois dans sa #prison_dorée. Selon rai al-rom (▻http://www.raialyoum.com/?p=803281) qui reprend d’autres sources, une transaction autour de 6 ou 7 milliards de dollars aurait pu être trouvée, mais al-Walid propose de la verser en action quand MbS veut du cash !
Arabie saoudite : dix princes et des dizaines d’ex-ministres arrêtés | JDM
▻http://www.journaldemontreal.com/2017/11/04/arabie-saoudite--dix-princes-et-des-dizaines-dex-ministres-arrete
Les titres du Monde et du Figaro ne laissent aucun doute sur leur parti-pris.
Corruption : dix princes et des dizaines d’ex-ministres interpellés en #Arabie_Saoudite
▻http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2017/11/05/corruption-dix-princes-et-des-dizaines-d-ex-ministres-interpelles-en-arabie-
Coup de filet anticorruption en Arabie saoudite
▻http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/11/04/97001-20171104FILWWW00170-coup-de-filet-anticorruption-en-arabie-saoudite.p
Dont al-Walid ben Talal:
▻https://www.nytimes.com/2017/11/04/world/middleeast/saudi-arabia-waleed-bin-talal.html
Saudi Arabia announced the arrest on Saturday night of the prominent billionaire investor Prince Alwaleed bin Talal, plus at least 10 other princes, four ministers and tens of former ministers.
The announcement of the arrests was made over Al Arabiya, the Saudi-owned satellite network whose broadcasts are officially approved. Prince Alwaleed’s arrest is sure to send shock waves both through the Kingdom and the world’s major financial centers.
Allez je risque le #catastrophe_arabe même si la chute probable de la KSA ne me fera pas pleurer à chaudes larmes.
Ces arrestations interviennent quelques heures après la création, par décret royal, de cette commission, dirigée par le prince héritier et homme fort du royaume, Mohammed Ben Salman, âgé de 32 ans. L’agence de presse officielle saoudienne SPA a indiqué que le but de la commission était de « préserver l’argent public, punir les personnes corrompues et ceux qui profitent de leur position ». Le conseil des religieux a rapidement réagi sur son compte Twitter en affirmant que la lutte contre la corruption était « aussi importante que le combat contre le terrorisme ».
(c’est moi qui graisse)
Primum non nocere aux intérêts économiques…
Comment Le Monde et les MSM, et les gouvernements occidentaux,… peuvent-ils croire une seconde à cette fable ? Au vu de l’appropriation des ressources du pays par la famille royale des ressources du pays, le mot corruption a-t-il encore un sens ? Y a-t-il un seul de ses membres qui pourrait échapper à une quelconque commission réunie dans de telles conditions ?
Saudi princes among dozens detained in anti-corruption purge - BBC News
▻http://www.bbc.com/news/world-middle-east-41874117
#Madawi_Al-Rasheed, who is a visiting professor at the London School of Economics’ Middle East Centre, told the BBC the purge gave Prince Mohammed control over the country’s security forces.
“It’s very difficult to see it as an anti-corruption move,” [s]he said.
“This is really a purge that consolidates Mohammed bin Salman’s power base. He wants to remove the last remaining cousin who controls a paramilitary force that is very modern and also capable of challenging his rule. There are no more princes who can do that with a military or security base.”
Pour rappel,
Saudi prince Mohammed bin Salman buys £452m yacht during austerity | The Independent
▻http://www.independent.co.uk/news/world/middle-east/saudi-prince-mohammed-bin-salman-yacht-france-new-york-times-a7365261
What Happened in Saudi Arabia Last Night — And How Washington #Corruption Enabled It
▻https://theintercept.com/2017/11/05/what-happened-in-saudi-arabia-last-night-and-how-washington-corruption
The move marks a moment of reckoning for Washington’s foreign policy establishment, which struck a bargain of sorts with the Crown Prince Mohammed bin Salman, known as MBS, and Yousef Al Otaiba, the United Arab Emirates ambassador to the U.S. who has been MBS’s leading advocate in Washington. The unspoken arrangement was clear: The UAE and Saudi Arabia would pump millions into Washington’s political ecosystem while mouthing a belief in “reform,” and Washington would pretend to believe that they meant it. MBS has won praise for some policies, like an openness to reconsidering Saudi Arabia’s ban on women drivers.
[...]
Whatever legitimate debate there was about MBS ended Saturday — his drive to consolidate power is now too obvious to ignore. And that puts denizens of Washington’s #think_tank world in a difficult spot, as they have come to rely heavily on the Saudi and UAE end of the bargain. As The Intercept reported earlier, one think tank alone, the Middle East Institute, got a massive $20 million commitment from the UAE.
And make no mistake, MBS is a project of the UAE — an odd turn of events given the relative sizes of the two countries. “Our relationship with them is based on strategic depth, shared interests, and most importantly the hope that we could influence them. Not the other way around,” Otaiba has said privately. For the past two years, Otaiba has introduced MBS around Washington and offered assurances of his commitment to modernizing and reforming Saudi Arabia, according to people who’ve spoken with him, confirmed by emails leaked by the group Global Leaks. When confronted with damning headlines, Otaiba tends to acknowledge the reform project is a work in progress, but insists that it is progress nonetheless, and in MBS resides the best chance of the region.
#Etats-Unis #E.A.U.
Il ne prend pas des risques là #Mohamed_ben_Salman ? Les gens auxquels il s’attaque ont quand même un certain pouvoir pour pouvoir se défendre, non ?
En tous cas pour France 24 en ce moment même, MBS c’est, je cite, « le choc de la modernité ».
Key Saudi source, Mujtahidd, alleges Saudi King-to-be delivered $1bn to Trump Organization during Trump visit – The Mideastwire Blog
▻https://mideastwire.wordpress.com/2017/11/06/key-saudi-source-mujtahidd-alleges-saudi-king-to-be-delivered
When Trump was in Riyadh during the second half of May 2017, a private yacht reached the Jeddah Port. Its identity was concealed and it was closely guarded. The regular port authorities were not allowed to deal with the yacht, and only a small group of people reached it while carrying boxes or suitcases containing a billion dollars in cash. Once they dropped the load and came back, the yacht that only stayed in Jeddah for a few hours disappeared to a destination that remained concealed, just like its identity and the location it came from. It was later leaked to us from Mohammad Bin Salman’s close circle that the billion dollars were from Mohammad Bin Salman personally, and that the yacht was indirectly affiliated with Trump’s Organization.”
Quand Nicolas Sarkozy a vendu le château de famille de Carla Bruni pour 15 M d’euros à un prince saoudien
▻https://fr.news.yahoo.com/nicolas-sarkozy-vendu-ch%C3%A2teau-famille-213545653.html
▻https://s.yimg.com/uu/api/res/1.2/ShOIeESC_73FPFLw_OFw_Q--/aD0xNjAwO3c9MjQwMDtzbT0xO2FwcGlkPXl0YWNoeW9u/http://media.zenfs.com/fr-FR/homerun/closermag.fr/ee43d5c91c5efae89fb0dc5cc4e3782f
Quand Nicolas Sarkozy a vendu le château de famille de Carla Bruni pour 15 M d’euros à un prince saoudien
Closer11 octobre 2016
Voir les photos
Dans « Un président ne devrait pas dire ça » Gérard Davet et Fabrice Lhomme évoquent la vente de la demeure familiale de Carla Bruni à un prince saoudien, pour la somme de 15 millions d’euros.
Plus
Un livre politique qui sort cette semaine va encore faire beaucoup de bruit. Il rapporte les confidences du président de la République, François Hollande, qui s’est entretenu régulièrement pendant plusieurs années avec deux journalistes du Monde. Dans « Un président ne devrait pas dire ça » (et dont les bonnes feuilles sont publiées par L’Express cette semaine) Gérard Davet et Fabrice Lhomme rapportent notamment une conversation avec le chef de l’Etat au sujet de Nicolas Sarkozy.
François Hollande évoque devant eux en octobre 2015 la vente, six ans auparavant, du château de la famille de Carla Bruni situé en Italie pour 15 millions d’euros au prince saoudien Al-Walid Ben Talal soit l’homme le plus riche du Moyen-Orient : « Un prince, AlWalid, a acheté la maison que, sous le précédent quinquennat, Sarkozy lui avait demandé d’acheter. Il s’agit de la maison de famille de Carla Bruni en Italie. Cette maison a été vendue très cher, 15 millions d’euros, et le prince n’arrive pas à la revendre... Ça n’a rien d’illégal, vous vendez à qui vous voulez, mais c’est quand même un problème de faire acheter sa maison ou celle de sa femme par un prince saoudien. Il l’a fait quand il était président de la République. Ça en dit long... » raconte François Hollande. Reste à savoir si, avec les 15 millions d’euros , la famille Sarkozy a pu aller s’acheter des oeufs chez la fermière dans un panier en osier.
Ce qui est beau avec les charities c’est que, après avoir été un requin sans pitié, tu peux te faire qualifier de champion de la générosité quand tu « donnes » ta fortune à une organisation qui en fait est plus un hedge fund dispensé d’impôts qu’une distribution d’argent à tout le monde, tout en continuant à en être en réalité propriétaire et en pouvant te faire grassement « indemniser » à chaque fois que tu poses tes fesses sur les fauteuils douillets du Conseil d’Administration. Une retraite bien tranquillou avec blanchiment de la bonne conscience pour pas cher. Et les avantages ne s’arrêtent pas là, puisqu’ensuite tu peux encore nommer ton fils président du CA et ainsi lui transférer ta fortune avec zéro impôts sur la succession.
▻http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/07/02/la-generosite-du-prince_4667538_3234.html
D’autres examples de « philanthropie » : ▻http://www.telegraph.co.uk/news/politics/10224104/30-charity-chiefs-paid-more-than-100000.html
En France, et plus généralement en Europe, tout le monde paye sa part de contribution à la société au travers d’impôts. Mais c’est sûr, ça n’aide pas à faire parler de soi.
Des milliardaires qui s’engagent dans les oeuvres caritatives
▻https://fr.news.yahoo.com/milliardaires-sengagent-oeuvres-caritatives-151503014.html
A l’instar du prince saoudien Al-Walid Ben Talal, qui s’est engagé à allouer à terme sa fortune (32 mds de dollars) à des projets sociaux et humanitaires, d’autres personnalités richissimes ont, elles aussi, investi dans des oeuvres caricatives.
– Bill GATES (cofondateur de Microsoft) et sa femme Melinda, le couple le plus riche du monde, créent en 2000 la Fondation qui porte leur nom. Elle compte quelque 1.200 employés et a déjà mobilisé des milliards de dollars pour combattre diverses maladies, comme le Sida et le paludisme, et favoriser l’éducation. Elle a distribué environ 4 mds de dollars en 2014. Son siège est à Seattle.
– Bill GATES et l’investisseur Warren BUFFETT lancent en 2010 la campagne « Giving pledge » ("Promesse de donation"), demandant aux milliardaires du monde entier de donner la moitié de leur fortune à des organisations caritatives.
Plus d’une centaine de personnalités diverses les ont rejoints, comme Larry ELLISON (Oracle), Mark ZUCKERBERG (Facebook), le créateur de « La Guerre des Etoiles » George LUCAS, l’ex-maire de New York Michael BLOOMBERG, l’investisseur activiste Carl ICAHN, le fondateur du groupe Virgin Richard BRANSON ou l’Allemand Hasso PLATTNER, cofondateur du numéro mondial des progiciels SAP.
Tout comme l’Indien Azim PREMJI, fondateur du géant informatique Wipro, et l’homme d’affaires malaisien Vincent TAN.
– Le milliardaire sud-africain Patrice MOTSEPE est le premier Africain à suivre l’appel de MM. Gates et Buffett, en 2013. M. Motseppe était alors la huitième fortune du continent avec 2,65 mds de dollars, selon le magazine Forbes. Son but : aider les Sud-Africains pauvres, handicapés, chômeurs. M. MOTSEPE a par ailleurs fait don en 2014 d’un million de dollars au fonds Ebola pour lutter contre l’épidémie.
– Un milliardaire ukrainien (Viktor PINTCHOUK dont la fortune est estimée alors par Forbes à 3,7 mds de dollars) et russe (Vladimir POTANINE, fortune estimée à 14,5 mds de dollars) ont rejoint à leur tour « Giving pledge » en 2013.
– Tim COOK, patron d’Apple, annonce en 2015 qu’après sa mort, sa fortune (environ 120 millions de dollars, auxquels s’ajoutent des stock-options qui vaudraient en cas d’exercice quelque 665 millions de dollars) sera intégralement léguée à des oeuvres caritatives.
– Première fortune française, Liliane BETTENCOURT a créé en 1987 avec son mari la Fondation Bettencourt-Schueller (nom de son père, le fondateur de L’Oréal), dédiée au mécénat. Cette fondation finance notamment une ONG de lutte contre le sida, Solthis.
C’est vrai que pour le tax-avoiding, en plus du fait que ces « charities » soient exemptées de beaucoup d’impôts, elles offrent en plus des déductions d’impôts au moment où on les approvisionne en capital, les fameux 66% dans le cas de la France. Du coup quand Liliane Bettencourt verse 34k€ (après déduction) à sa fondation, l’Etat a versé 66k€ à cette fondation, c’est-à-dire essentiellement à Liliane Bettencourt (officiellement elle ne peut pas faire n’importe quoi avec cet argent, genre le donner à l’UMP, mais ça lui laisse quand même encore une grande liberté). Autrement dit dans ces « donations » Liliane gagne plus qu’elle dépense.
En France, la déduction de 66 % est sur les impôts, à savoir que quand on donne 100 €, on en donne en réalité 34 € (mais on donne quand même), puisqu’on récupère 66 € sur les impôts qu’on paye en moins. Il s’agit néanmoins de disposer de l’argent de l’Etat.
Récemment, une association caritative française insistait lourdement que les symboliques 20 € que je leur avais donné n’allaient me coûter en réalité moins de 7 €, du fait de dette déduction d’impôts, justement. Or, ne payant pas d’impôts, car trop pauvre moi-même, c’est bien 100 % de mon don que j’ai donné, que je ne pourrai dépenser en dépenses de base, essentielles.
Si je ne m’abuse, aux USA, les plus fortunés se voient dédouanés de 100 % de leurs dons. En d’autres termes, plutôt que de payer des impôts « comme tout le monde » est rester anonyme, voire raillé de tous, les plus riches ont tout intérêt à fonder des fondations qui ne sont en effet que des niches fiscales. C’est une manière habile de détourner l’impôt non pas au bénéfice de tous, mais au bénéfice de soi. D’abord, pour l’image étonnamment positive que cela engendre. Ensuite, du fait des revenus qu’une telle rente de fait procure.
On est loin ici d’un idéal démocratique où la voix de chacun se vaut : ici, manifestement, les plus aisés ont plus de pouvoir quant au devenir de l’argent qu’ils soustraient aux impôts et au contrôle de l’Etat.
الوليد بن طلال يتبرع بثروته لاعمال خيرية | القدس العربي Alquds Newspaper
▻http://www.alquds.co.uk/?p=365786
الوليد بن طلال يتبرع بثروته لاعمال خيرية
On voudrait que ce soit vrai : le prince saoudien Walid Bin Talal, par ailleurs tycoon médiatique arabe, affirme vouloir faire don de toute sa fortune (32 milliards de dollars) à des oeuvres charitables.
Abdallah - « 1435 » :
On m’a parlé du bouddhisme et de son harmonie
Qu’on m’explique le sort des Rohingyas en Birmanie
Qu’on m’explique le silence de la télé
D’Al-Walid ben Talal, du prix Nobel de la pègre
▻http://www.bbc.com/news/world-middle-east-33353370
The money would be used to “foster cultural understanding”, “empower women”, and “provide vital disaster relief”, among other things, he said.
Mr Gates praised the decision, calling it an “inspiration to all of us working in philanthropy around the world”.
(...)
Invested $590m in struggling Citibank (now Citigroup) in 1991; stake is now worth billions
Has stakes in Disney, 21st Century Fox, News Corp, Apple, GM, Twitter, and a string of hotel chains and luxury hotels, including New York’s Plaza Hotel and the George V in Paris
Considered Westernized and progressive on most issues. Champions women’s rights - most of his staff are women
(...)
The company owns stakes in hotels The Four Seasons, Fairmont and Raffles, as well as News Corp, Citigroup, Twitter and Apple.
#philanthrocapitalisme (pas moi qui invente ce terme barbare)
DUBAÏ, 2 fév 2015 (AFP) - La chaîne de télévision Alarab du richissime prince saoudien Al-Walid ben Talal a brusquement cessé d’émettre lundi, moins de 24 heures après son lancement depuis Bahreïn.
Alarab a déclaré sur son compte Twitter que l’interruption des programmes d’information en continu était liée à « des raisons techniques et administratives », ajoutant : « nous serons de retour bientôt ».
Le directeur des médias à l’autorité des affaires de l’Information, Youssef Mohammed, cité par l’agence bahreïnie BNA, a affirmé : « nous coopérons avec la direction de la chaîne pour la reprise de sa transmission et pour achever les procédures nécessaires le plus vite possible ». Il n’a pas fourni d’autres précisions.
Un quotidien bahreïni, reflétant les vues du gouvernement, a affirmé que la chaîne n’avait « pas respecté les traditions des pays du Golfe, y compris l’impartialité de l’information et le rejet de tout ce qui est de nature à affecter l’esprit d’unité » régionale.
Le premier invité du journal de 16H00 (13H00 GMT), qui avait lancé dimanche la chaîne de télévision par satellite, avait été l’opposant bahreïni Khalil al-Marzouq. Il avait critiqué la décision du royaume de Bahreïn de déchoir de leur nationalité 72 personnes.
Le royaume de Bahreïn, où la dynastie sunnite est secoué par un mouvement de contestation animé par la majorité chiite, est régulièrement accusé par des ONG internationales de violation des droits de l’Homme.
Lundi matin, Alarab continuait de diffuser des spots publicitaires pour ses programmes, mais aucun bulletin d’information n’était annoncé.
Alarab répond à « un besoin réel de chaîne indépendante et impartiale », avait affirmé dimanche son directeur général Jamal Khashoggi.
Le lancement d’Alarab avait été reporté maintes fois depuis l’annonce du projet en 2010 par le prince Al-Walid, homme d’affaires saoudien connu pour son franc-parler et actif notamment dans la finance, l’hôtellerie et les médias. Le prince Al-Walid est le neveu de feu le roi Abdallah.
Alarab vient s’ajouter à une multitude de chaînes de télévision arabes ou arabophones. La première à s’être lancée en 1996 sur ce créneau, Al Jazeera du Qatar, a été concurrencée en 2003 par la chaîne à capitaux saoudiens Al Arabiya.
Ces deux chaînes ont été accusées de refléter les vues de leurs propriétaires, notamment dans leur couverture des remous suivant les révoltes arabes contre des régimes autoritaires.
La couverture du Wasat
«العرب» تنطلق من المنامة باستضافة معارض بحريني في أولى نشراتها | محليات - صحيفة الوسط البحرينية - مملكة البحرين
▻http://www.alwasatnews.com/4531/news/read/957857/1.html
A peine lancée, la chaîne de ben Talal cesse brusquement d’émettre depuis Bahreïn - L’Orient-Le Jour
▻http://www.lorientlejour.com/article/909293/a-peine-lancee-la-chaine-de-ben-talal-cesse-brusquement-demettre-depu
La chaîne de télévision Alarab du richissime prince saoudien Al-Walid ben Talal a cessé d’émettre lundi, moins de 24 heures après son lancement depuis Bahreïn.
Aucune raison n’a été avancée par la chaîne panarabe, mais un quotidien de Bahreïn, reflétant les vues du gouvernement, a affirmé qu’Alarab n’avait « pas respecté les traditions des pays du Golfe, dont l’impartialité de l’information et le rejet de tout ce qui est de nature à affecter l’esprit d’unité » régionale.
Le premier invité du journal de 16H00 (13H00 GMT), qui avait lancé dimanche la chaîne de télévision par satellite, dont les studios se trouvent à Manama, avait été l’opposant bahreïni Khalil al-Marzouq. Il avait critiqué la décision annoncée la veille par le royaume de Bahreïn de déchoir de leur nationalité 72 personnes.
Ne le répétez pas : Al-Walid ben Talal confie à CNN que « des Séoudiens » ont bel et bien financé ISIS. Mais maintenant c’est fini : l’Arabie séoudite ne financera plus que des gentils Mickeys.
Saudi extremist funding ‘has been stopped completely,’ claims Prince Alwaleed
▻http://amanpour.blogs.cnn.com/2014/10/20/saudi-extremist-funding-has-been-stopped-completely-says-prince-
With the scrutiny of the world on ISIS’s alleged Gulf funders, billionaire Saudi businessman Alwaleed Bin Talal insisted in an interview with CNN’s Christiane Amanpour on Monday that his country has completely clamped down on the practice.
“Yes, we had a weakness over there, whereby some unfortunately some extremists in Saudi Arabia…did fund certain extremist elements in Syria. But Saudi Arabia has taken very strict rules to stop that from happening. And yes, right now all this has been stopped completely,” he said.
Qatar has come under the most scrutiny in its alleged funding of extremists like ISIS, as Amanpour discussed with that country’s emir last month.
But wealthy patrons in Saudi Arabia have also been under the spotlight, especially now that the country (along with Qatar and several other Gulf nations) have joined the American coalition against ISIS.