person:alaeddine boroujerdi

  • Election présidentielle. Il faut parler à la Russie plutôt qu’à l’Iran
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/liban/semaine-politique-/item/13775-election-pr%C3%A9sidentielle-il-faut-parler-%C3%A0-la-russie-plut

    Téhéran aurait lancé deux signaux permettant de conclure à une élection présidentielle proche : les propos d’Alaeddine Boroujerdi, chef de la Commission des Affaires étrangères au Parlement iranien, affirmant qu’il espère que sa prochaine visite sera au palais présidentiel, et ceux d’Ali Akbar Velayati, conseiller du guide Ali Khamenei, adressés au ministre Gebran Bassil, souhaitant une élection présidentielle proche.
    Il semble que l’intervention russe bénéficie d’une couverture internationale et régionale globale. Vladimir Poutine ne commettrait pas l’erreur d’une aventure militaire de cette taille en Syrie et ne souhaiterait pas être responsable du déclenchement d’une guerre régionale ou mondiale. Les proches du Hezbollah répètent que le compromis en Syrie se fera probablement au printemps prochain, ce qui veut dire que l’automne et l’hiver syriens seraient témoins d’une immense pression militaire russo-iranienne en vue d’un règlement.
    Des sources proches du 8 mars estiment qu’il n’y aura pas de solution politique en Syrie avant une victoire sur le terrain et l’élimination des groupes terroristes. Elles soulignent que les changements en Syrie sont dans l’intérêt de leur axe, mais ils n’auront pas un aboutissement positif avant l’ouverture de canaux de communication entre l’Iran et l’Arabie pour trouver une solution au Yémen.
    De leur côté, les sources du 14 mars pensent que le Hezbollah a la conviction que l’intervention militaire russe ne mènera pas à une solution rapide de la crise syrienne, contrairement à la campagne qu’il mène et qui s’inscrit visiblement dans le cadre d’une guerre psychologique, surtout que, un mois après son intervention militaire, la Russie n’a toujours pas réussi à changer les faits sur le terrain. Au contraire, Moscou appelle à une solution politique pour le sortir de cette impasse.
    L’échec de la Russie en Syrie la pousserait à chercher un compromis au Liban sous le nom de « l’accord de Moscou ». Si la Russie et l’Iran possèdent une même stratégie en principe, Téhéran n’aurait pas l’intention de laisser la carte du Liban entre les mains des Russes, alors que ceux-ci ont pris possession de la carte syrienne.

  • Les dirigeants iraniens haussent le ton contre l’Arabie saoudite - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/925027/les-dirigeants-iraniens-haussent-le-ton-contre-larabie-saoudite.html

    Un haut responsable iranien a lancé jeudi une violente charge contre le roi d’Arabie saoudite, qu’il a qualifié de « traître à l’Islam » en comparant l’offensive de la coalition arabe contre les miliciens chiites houthis au Yémen aux opérations militaires israéliennes dans les territoires palestiniens.

    En visite à Damas, où il a affiché le soutien de Téhéran au président syrien Bachar el-Assad, Alaeddine Boroujerdi, qui dirige l’influente commission de défense nationale et de politique étrangère, a repris les accusations formulées la veille par le guide suprême de la République islamique.

    L’ayatollah Ali Khamenei a accusé mercredi l’Arabie saoudite de se rendre coupable de « crimes » au Yémen, où des centaines de civils ont été tués depuis le début des bombardements aériens de la coalition constituée par Riyad contre les Houthis et leurs alliés, le 26 mars. « Les Saoudiens ont commis une énorme erreur au Yémen et les conséquences des crimes qu’ils ont commis vont à coup sûr se retourner contre eux », a-t-il dit lors d’un entretien avec le président irakien Fouad Massoum, selon des propos rapportés par l’agence de presse officielle IRNA.

  • Iran accuses Siemens of selling sabotaged nuclear equipment
    http://english.al-akhbar.com/content/iran-accuses-siemens-selling-sabotaged-nuclear-equipment

    Iranian MP Aladin Borujerdi has accused the German firm Siemens of having sold Iran nuclear equipment rigged with mini-explosives, which were allegedly discovered and removed by the Iranians, Press TV reported on Sunday.

    Borujerdi, who chairs the parliamentary national security and foreign policy commission, made the allegation in an interview with parliament’s ICANA news site.

    • Siemens : des terminaux piégés en Iran ?
      http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/09/23/97002-20120923FILWWW00089-siemens-des-terminaux-pieges-en-iran.php

      Un influent député iranien, Alaeddine Boroujerdi, a accusé le géant industriel allemand Siemens d’avoir vendu à son pays des équipements munis de mini-explosifs qui ont été repérés par les services secrets iraniens et retirés.

      Interrogé par l’AFP, un porte-parole de Siemens, Alexander Machowetz, a catégoriquement démenti ces accusations, affirmant : « Siemens n’entretient aucune relation commerciale en lien avec le programme nucléaire iranien et ne livre aucun équipement à cet effet ». Il n’y a donc eu « aucune livraison » qui aurait pu être piégée.
       
      Alaeddine Boroujerdi, qui préside la commission parlementaire de la Sécurité nationale et des Affaires étrangères, a porté cette accusation lors d’un entretien avec le site d’informations du Parlement Icana.
       
      « Les services de renseignements et de sécurité ont découvert des explosifs dans les équipements qui nous avaient été fournis pour nos activités nucléaires », a-t-il affirmé. Les charges « devaient exploser (...) pour perturber l’ensemble du système. Mais, des experts iraniens ont réduit à néant le complot de l’ennemi », a-t-il affirmé à Icana. « L’entreprise Siemens, qui a fourni cet équipement, devra répondre de cette action », a-t-il martelé. La chaîne iranienne Press TV a fait état de cette accusation.