person:alain veinstein

    • cc @gresh qui va se souvenir d’un formidable déjeuner avec Butel, Alice qui manque était là aussi, accompagné de Jean, et Butel nous racontait son journalisme, histoire de rêver un peu à des temps révolus. Et dire qu’on a failli faire un truc avec lui, puis pour je ne sais quelle raison, ça n’a pas marché. Un peu loin de Paris et du travail et du bureau, mais ce soir un peu nostalgique.

    • L’écrivain et homme de presse #Michel_Butel est mort ce 26 juillet 2018 à l’âge de 77 ans. Célèbre notamment pour avoir fondé et dirigé de 1984 à 1993 un titre marquant, L’Autre journal, il s’entretenait en 2012 avec Alain Veinstein au moment de la sortie d’une nouvelle aventure journalistique, L’Impossible.-
      https://www.franceculture.fr/emissions/du-jour-au-lendemain/michel-butel-un-journal-est-dembl%C3%A9e-politique-lie-aussi-au-sortil

      On me renvoie toujours à cela. L’Autre journal, je l’ai inventé, je ne m’en cache pas puisque je le dis même avec peut-être trop de gloriole à certains moments, je l’ai vraiment conçu, comme L’Impossible. J’ai imaginé une maquette, un contenu, des rubriques. Mais c’était facile : je ne pensais pratiquement qu’à ça depuis que j’avais 4 ou 5 ans, vraiment. Mais pour l’âme même du journal, je ne l’aurais jamais fait, je ne pouvais pas le faire sans celles et ceux qui m’ont rejoint. Et les discordes, y compris extraordinairement violentes, je ne vois pas comment elles ne le seraient pas si il y a de la sincérité et de la loyauté, ces discordes ne contreviennent en rien, en rien en la perpétuation des sentiments d’origine.

      https://www.franceculture.fr/histoire/quand-michel-butel-duras-et-mitterrand-sous-leurs-voix-ecoutez-bien-le

    • Triste monde - Joffrin est vivant, Butel est mort par Jean-Baptiste Bernard dans De l’autre côté du papier @cqfd
      http://cqfd-journal.org/Triste-monde-Joffrin-est-vivant

      Il y a quatre jours, affairé à préparer un proche déménagement, je me suis retrouvé à trier de vieux carnets de notes, vestiges d’anciens papiers ou interviews n’ayant jamais été menés à bout. Parmi ceux-ci, les mots saisis sur le vif d’un entretien (pour feu Article11) avec l’ami Michel Butel, six ans en arrière. Je m’en souviens très bien, il faisait chaud, Paris à l’été 2012, on se trouvait à la terrasse d’une brasserie près de République à causer de la presse pas pareille. L’Impossible, étrange et bel ovni papier, qui n’a finalement déployé ses petites ailes [1] en kiosques qu’une année avant de baisser le rideau, avait sorti son premier numéro quelques mois avant. Et on (c’est-à-dire Lémi et moi) avait décidé de mettre son fondateur et animateur sur le grill, avec l’idée de le faire parler du « modèle économique » des canards alternatifs et des coûts de distribution.

      Ouhlà. Grossière erreur. L’argent, ce n’était pas son truc, à Michel. Mais alors, pas du tout. Ce jour-là, il était parti dans tous les sens, répondant succinctement aux questions avant de s’emballer sur tout autre chose, sautant du coq à l’âne pour mieux éviter le cœur du sujet. Résultat : un entretien foutraque, mêlant vagues considérations économiques et classieuses fulgurances sur la poésie, la littérature et la presse pas pareille. L’une de ces interviews qui ne voit finalement jamais le jour sur papier, faute de réelle colonne vertébrale – difficile d’ordonner à l’écrit ce feu d’artifices oral tous azimuts. Et depuis, donc, mes notes prenaient la poussière dans un carton, au milieu d’autres articles décédés avant terme. Ça arrive. Ça n’avait d’ailleurs rien d’une surprise : amis avec Michel depuis un an ou deux, on savait fort bien qu’il préférait mille fois s’emballer sur la beauté des mots et des choses que de rentrer dans le détail du fragile équilibre financier des publications (plus ou moins) marginales.

      En vrai, il n’était pas fait pour vendre des revues. Non, lui, sa came, c’était d’en faire. Des foutrement classes. Surprenantes. Inattendues. Des publications comme des bras d’honneur à l’ordre comptable du monde et à la pesanteur matérielle des choses. Si elles ont parfois connu un certain succès (voire un succès certain dans le cas de la première mouture du mythique Autre Journal, au milieu des années 1980), c’est presque à la manière d’un accident de parcours. Fortuitement. C’est qu’elles étaient pensées pour être belles et bravaches, sûrement pas pour équilibrer recettes et dépenses (ainsi des 200 pages sur papier glacé de L’Autre Journal, au coût d’impression pas piqué des hannetons). Des revues à l’image de leur fondateur, poète agité et passionné qui se souciait comme d’une guigne des fins de mois – à tel point que certain.e.s de ses amis et admirateurs avaient mis en place un versement automatique mensuel, chacun.e donnant un petit peu pour lui permettre de vivre et créer en toute liberté.

      De toute façon, Michel n’était pas homme à se laisser abattre par les contingences matérielles. Non plus qu’à céder aux coups de boutoir que lui infligeait son propre corps - ce salopard. On l’a toujours connu malade. Un asthme sévère, moult problèmes respiratoires et plein de complications plus ou moins graves. Il avait souvent la respiration sifflante, s’arrêtait parfois de causer pour s’enfiler deux grandes bouffées de Ventoline, rougissait s’il parlait trop longtemps, presque suffoquant, et se fatiguait vite. Mais peu importe, il gardait envers le monde le même enthousiasme et la même curiosité. Et toujours, une putain de gentillesse chevillée à ce corps fatigué. Là où tant d’autres auraient succombé à l’amertume et à la lassitude causés par la pesanteur de la maladie et des nombreux passages aux urgences, lui continuait à foncer droit devant, hardi, un cerveau qui turbine à fond, vingt idées à la minute et autant de digressions.

      Alors forcément, il n’était pas toujours facile à suivre. Parfois, on perdait le fil. Mais jamais longtemps, parce qu’il avait ce truc pour te récupérer par la manche quand tu pensais t’être égaré dans ses tirades bondissantes et aléatoires. Tu n’y étais plus, et boum d’un coup, entre trois salves de postillons et deux gorgées de rosé, tu y étais à nouveau, à la fois noyé et enthousiasmé par le flot des mots et l’ivresse du discours. Homme d’un autre temps, sans qu’on sache lequel, Michel naviguait toujours entre deux eaux, à la fois ancré dans le monde et totalement ailleurs. Les pieds sur terre et un peu à l’ouest. Il me faisait penser à la description que donne Hunter S. Thompson de son avocat samoan, l’azimuté Oscar Zeta Acosta, dans Las Vegas Parano : « Prototype personnel de Dieu, mutant à l’énergie dense jamais conçu pour la production en série. Il était le dernier d’une espèce : trop bizarre pour vivre, mais trop rare pour mourir... »

      Bah finalement, non – pas trop rare pour mourir. Michel a passé l’arme à gauche jeudi [2]. Et moi, comme un con, j’ai jeté les notes de l’entretien trois jours avant. C’est déjà assez triste comme ça (même si je l’avais perdu de vue depuis trois ans), alors je n’aimerais pas penser qu’il y a un lien de cause à effet. S’il y a bien une chose à ne pas faire avec les mots d’un poète insurgé, c’est de les mettre à la poubelle. Et s’il y a bien une chose que ne devait pas faire Michel Butel, c’est de mourir. Putain de sacrilège.

      http://cqfd-journal.org/De-l-autre-cote-du-papier
      #cqfd

  • #Peter_Handke | Ce n’est pas la peine d’écrire si on ne sent pas trembler l’univers
    http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article2385

    Peter Handke - quelques propos notés en écoutant l’entretien du 19 juin 2014 avec #Alain_Veinstein (Du jour au lendemain)

    #Peter_Handke

    / #littérature_autrichienne, Peter Handke, Alain Veinstein, #Einsamkeit, #solitude, #imagination

  • Précarité à #Radio_France : à partir de combien de CDD le système va-t-il exploser ?
    http://www.telerama.fr/radio/la-precarite-le-systeme-couteux-de-radio-france,129109.php

    Limogé en 2014 par France Culture, Alain Veinstein, qui faisait de la conversation radiophonique une merveille de dispute érudite et d’intimité poétique, ne s’est pas défendu aux prud’hommes, mais il analyse avec sévérité les nouvelles méthodes de la station publique, lui qui y est entré sur concours, en 1975 : « Aujourd’hui, on veut des gens souples, dociles, paniqués à l’idée de perdre leur boulot. Tout le monde travaille dans la terreur. Je serais curieux de savoir combien de producteurs sont actuellement traités pour dépression ! »

    Ancienne directrice de la station, Laure Adler, qui fut elle-même critiquée pour son intransigeance lors de son passage à la tête de la station, affirme que « le pouvoir de vie ou de mort des patrons des chaînes » devient insensé, si aucun effort n’est fait pour trouver « un accompagnement ou une solution de reclassement ». Tout aussi désabusé, Serge Le Vaillant pronostique, un poil caustique : « A terme, peut-être que l’on n’emploiera plus que des animateurs dépourvus d’autonomie, qui se contenteront d’adopter des concepts inventés par des cabinets conseils, payés très cher... » La fin de la précarité comme mode de gestion des personnels est-elle vraiment à ce prix ?

  • Il y a un an… la censure
    http://radiofanch.blogspot.com/2015/07/il-y-un-la-censure.html

    Dans la nuit du 4 au 5 juillet 2014, la direction de France Culture a coupé le sifflet d’Alain Veinstein pour la dernière « Du jour au lendemain ». Fait sans précédent à la radio depuis 50 ans. Trois billets et plus de trente commentaires racontent ce moment de radio qui, mais on ne le savait pas à l’époque, présageait d’autres étapes douloureuses à la casse programmée de l’audiovisuel public.

  • France Culture remercie Colette Fellous et Sophie Nauleau
    http://www.telerama.fr/radio/france-culture-remercie-colette-fellous,127591.php

    L’une des voix emblématiques de #France_Culture ne viendra plus bercer les oreilles des auditeurs à la rentrée : Colette Fellous, 65 ans, ne fera pas partie de la nouvelle grille. Productrice à Radio France depuis 1980, elle a animé Les Nuits magnétiques de 1990 à 1999 et présente Carnet nomade, chaque samedi à 20h. Autant de voyages radiophoniques portés par son charisme  : « Je voulais faire de la radio comme on écrit, comme on rêve, comme on invente, comme on compose… », confiait la romancière l’année dernière à Télérama.

    Après le départ d’Alain Veinstein, animateur et producteur de l’émission littéraire Du jour au lendemain jusqu’en juin 2014, la direction pousse ainsi vers la sortie un autre pilier de la station. Après lui avoir reproché de fournir une émission « trop littéraire », son directeur Olivier Poivre d’Arvoir lui aurait toutefois proposé de réfléchir à une longue série d’été pour l’été 2016.

    Les amoureux des mots ne retrouverons pas non plus l’émission Ça rime à quoi produite par Sophie Nauleau, qui était à l’antenne depuis 2008. Le seul rendez-vous de #poésie à #Radio_France disparait lui aussi de l’antenne. « Olivier Poivre d’Arvor m’a dit que l’émission ne générait pas assez de #podcasts, rapporte Sophie Nauleau, dépitée. Et il estime que d’autres sujets méritent d’être davantage mis en avant, comme la photographie ». La productrice ne décolère pas : « C’est cavalier, et sans argument qui tienne la route ». D’une façon générale et pour des raisons d’économie, il semble que le nombre de producteurs doive diminuer sur France Culture.

    • La poésie, ça ne fait pas partie du cahier des charges de Culture, quelle que soit l’#audience ?!

      Sinon je n’avais pas vu la charge d’Acrimed contre Fellous la semaine dernière :

      Les éditocrates n’ont pas le monopole des échanges circulaires des invitations et/ou des gratifications. Le microcosme médiatico-culturel compte aussi ses spécialistes en la matière. Parmi eux, une virtuose méconnue, exemple exemplaire de cette pratique consistant à privatiser l’antenne du service public pour ses intérêts propres et ceux de ses amis : Colette Fellous, animatrice sur France Culture de « Carnet nomade », qu’elle devrait rebaptiser « Carnet d’adresses ».

      http://www.acrimed.org/article4683.html

    • Emission littéraire dézinguée par Acrimed, supprimée par France Culture - Arrêt sur images
      http://www.arretsurimages.net/breves/2015-06-06/Emission-litteraire-dezinguee-par-Acrimed-supprimee-par-France-Cultu

      Jointe par @si, Colette Fellous ne décolère pas contre l’article d’Acrimed : « Je suis choquée et dégoûtée par ce torchon. Evidemment j’ai invité Garcin, car j’ai aimé son livre. Haenel, je le connais depuis longtemps. J’aime suivre le parcours des écrivains, c’était aussi le principe de mon émission. Les gens de ma collection, je ne les ai jamais invités pour des livres que je publiais ». Et Fellous de nous raconter son entretien avec le directeur de France Culture, Olivier Poivre d’Arvor : « J’ai lu cet article le matin, et j’avais rendez-vous avec Olivier Poivre d’Arvor. Il m’a dit qu’ils étaient obligés de faire des économies, que ce n’est pas un problème de fond, même si,mon émission était parfois trop littéraire, un peu trop entre soi. Et il m’a dit qu’il y avait un truc qui circulait sur internet. J’ai bondi et il a reconnu que c’était effectivement malfaisant. Je ne sais pas qui est derrière cet article mais je crois que je vais porter plainte pour préjudice moral si ça a joué dans la décision ».

  • "La radio la nuit, “c’est plus feutré, intime”, Marine Beccarelli"
    http://www.telerama.fr/radio/la-radio-la-nuit-c-est-plus-feutre-intime-marine-beccarelli,124436.php

    Un autre rythme, d’autres thèmes, un autre ton. Les émissions radiophoniques nocturnes sont un mon de parallèle. Dans “Les Nuits du bout des ondes”, Marine Beccarelli retrace l’histoire des “sans sommeil”. Entretien.

    A propos de son #livre Les Nuits du bout des ondes : introduction à l’histoire de la radio nocturne en France, 1945-2013 (#Ina Edition)
    http://www.inatheque.fr/publications-evenements/publications-2014/les-nuits-du-bout-des-ondes-marine-beccarelli.html

    Ce livre retrace l’histoire des programmes qui ont rompu le silence du paysage radiophonique nocturne français, des Nuits du bout du monde à Allô Macha, en passant par Le Pop Club, Les Nocturnes, Poubelle night ou encore Les choses de la nuit…

    Allumer la radio la nuit revient à rompre le silence, à rendre palpable une présence invisible. Qu’a-t-on diffusé pendant les heures nocturnes, sur les ondes des chaînes de radio stations nationales et périphériques, radios « pirates » puis radios libres ? Pourquoi ? En quoi la radio de nuit se distingue-t-elle de la radio de jour, tant dans le contenu de ses programmes que dans son contexte d’écoute et ses secrets de fabrication ? Ne serait-elle pas le lieu propice à la rencontre entre auditeur et animateur ?

    Plus qu’une simple élaboration de l’histoire des émissions, l’ouvrage décortique les conditions de production de cette radio de l’ombre et dresse les portraits des hommes et des femmes qui la fabriquent. En s’appuyant sur de nombreux entretiens avec ces professionnels de la radio de nuit – retranscrits en annexe -, ce livre constitue un objet de mémoire de la nuit radiophonique.

    Et pour poursuivre, cet entretien de Marine Beccarreli avec #Alain_Veinstein dans Syntone
    http://seenthis.net/messages/311962

    Alain Veinstein, né en 1942, « entré en radio » en 1978, a été un des producteurs fameux des nuits de France Culture : Nuits magnétiques, Surpris par la Nuit, Du Jour au lendemain. Lauréat du Prix de la Scam pour l’ensemble de son œuvre radiophonique en juin 2014, son parcours s’arrête brutalement par son éviction de l’antenne, quelques jours plus tard, le 4 juillet. Ce jour-là, ce qui devait être la dernière émission de sa carrière est censurée par la direction de la station.

    Deux ans auparavant, Marine Beccarelli s’était entretenue avec Alain Veinstein dans le cadre d’une recherche universitaire sur la radio de nuit, qui aboutit ces jours-ci à la publication du livre Les Nuits du bout des ondes (plus d’information en pied d’article). Marine Beccarelli nous a proposé de publier en avant-première cet entretien qui perce quelques secrets de l’expérience du métier radiophonique.

    En vis-à-vis, nous avons trouvé intéressant de revenir sur la censure des adieux d’Alain Veinstein. Cet aller-retour, entre le récit du métier et celui de sa répudiation, nous amènera à réfléchir à la place de l’auteur·e de radio, aujourd’hui et demain, à la radio.

    #radio #nuit

  • « C’étaient les nuits radiophoniques d’Alain Veinstein »
    http://syntone.fr/cetaient-les-nuits-radiophoniques-dalain-veinstein

    Alain Veinstein fut de celles et de ceux qui ont véritablement œuvré à la radio. Il nous en livre ici le récit... Depuis, il aura vu la dernière émission de sa carrière censurée par #France_Culture.

    Et ça commence comme ça :

    À la limite, ne le répétez pas, il n’y a plus de nuit.

    La nuit n’existe plus à la radio. Depuis Internet, avec le podcast, on peut écouter les émissions de nuit à n’importe quelle heure.

    Mon émission, par exemple, est beaucoup plus écoutée actuellement, dans le monde entier, à des heures indéterminées, pas forcément nocturnes.

    #radio #Alain_Veinstein #Du_jour_au_lendemain #Marine_Beccarelli #Nuits_magnétiques #Surpris_par_la_nuit #Yves_Jaigu

  • Alain Veinstein : "Kafka m’a rattrapé"

    Après 29 ans à la radio (France Culture), Alain Veinstein raconte comment il a été "remercié".

    "Kafka m’a rattrapé, si vous voulez. Je suis un peu dans la situation de quelqu’un qui ignore la faute qu’il a commise et se trouve pris tout d’un coup dans l’engrenage de la chute.

    « Quand on est invité dans le monde, écrit Kafka, il est clair qu’on franchit tout bonnement le seuil, qu’on monte l’escalier, et presque sans s’en apercevoir tant on est plongé dans ses pensées. C’est seulement ainsi qu’on agit comme il faut à son propre égard et à l’égard du monde. »

    C’est dans son « Journal », à la date du 19 février 1911. Le problème, c’est qu’un jour il faut redescendre, car le « monde », enfin, le monde de la radio, ne fait pas de cadeau. Il crie que l’heure tardive a assez duré, en temps de détresse économique. C’est ce que dit sans le dire le mail de 7h45."

    http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20140902.OBS7923/kafka-m-a-rattrape-alain-veinstein-publie-son-emission-censuree.

    Lire également :

    http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article2434

    #AlainVeinstein
    #Bibliobs
    #Oeuvresouvertes
    #Kafka