person:ali abunimah

  • Une vidéo montre un couteau “placé” à côté du terroriste de Hébron abattu
    La vidéo a été présentée pendant le procès d’Elor Azaria, elle montre l’assaillant quelques secondes avant le tir
    Times of Israel Staff 1 juin 2016,
    http://fr.timesofisrael.com/une-video-montre-un-couteau-place-a-cote-du-terroriste-de-hebron-a

    Une vidéo produite pendant le procès pour homicide d’un soldat accusé d’avoir abattu un assaillant palestinien blessé à Hébron en mars dernier montre une personne mettant un coup de pied dans un couteau en direction du corps de l’assaillant, une tentative apparente visant à modifier les preuves.

    Selon la Deuxième chaîne, qui s’est procurée la vidéo, une ambulance sur place roule sur le couteau, qui n’est pas près de l’attaquant, le déplaçant ainsi légèrement. A ce moment, une personne non visible pousse le couteau avec son pied vers Abdel Fattah al-Sharif, qui est allongé au sol, saignant après s’être fait tirer dessus.

    Sharif était l’un des deux assaillants qui ont poignardé un soldat israélien dans la ville divisée de Cisjordanie le 24 mars, le blessant modérément.

    Quelques 30 secondes après les évènements filmés, le soldat Elor Azaria tire un seul coup dans la tête de Sharif et le tue.

    https://twitter.com/Channel2News/status/737971602260889600

    • Israel indicts Palestinian astrophysicist despite Thursday decision to free him
      May 29, 2016 8:39 P.M. (Updated: May 29, 2016 9:03 P.M.)
      http://www.maannews.com/Content.aspx?id=771674

      RAMALLAH (Ma’an) — Palestinian professor and astrophysicist Imad Barghouthi is facing charges of “incitement” by Israeli authorities, despite a decision Thursday by the Israeli military appeals court to release him from custody due to lack of sufficient evidence, according to the Palestinian Prisoner’s Society (PPS).

      In a statement released by PPS on Sunday, the group said Israeli military prosecution submitted the indictment to the military court accusing Barghouthi of incitement against Israel on Facebook.

      Earlier on Sunday, the statement added, Israeli intelligence questioned Barghouthi at Ofer prison, where he is being held under Israel’s notorious policy of administrative detention — commonly used as a means of internment without charges or trial based on undisclosed evidence.

      PPS senior lawyer Jawad Boulous described the decision to keep Barghouthi in custody as “extremely absurd,” taking into account that the Israeli military prosecutor announced at Thursday’s court hearing that there was not enough evidence to indict him.

      The appeal presented to the Israeli court was signed by hundreds of scientists and academics from all over the world demanding Barghouthi’s release. A similar petition signed by academics was submitted to Israeli courts during the imprisoned professor’s court hearing earlier in May.

  • Un film palestinien déprogrammé à Cannes
    Nadia Sweeny | Lundi, Mai 16, 2016
    https://www.zamanfrance.fr/article/film-palestinien-deprogramme-a-cannes-21544.html

    Ce 16 mai Munich : A Palestinian Story, devait être projeté à l’occasion du salon des professionnels ayant pour but de commercialiser les œuvres cinématographiques en marge du festival de Cannes qui a démarré le 11 mai et qui se clôturera le 22.

    Or, à la suite de plaintes émanant notamment de Roger Cukierman, le président du Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF), le film qui évoque la prise d’otage par des activistes palestiniens de sportifs israéliens lors des JO de Munich en 1972 a été déprogrammé.

    #Cannes_Palestine

  • Israel lobby fails to block screening of Palestinian film at Cannes | The Electronic Intifada
    https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/israel-lobby-fails-block-screening-palestinian-film-cannes

    A Palestinian work was screened at the Cannes Film Festival’s Marché du Film as planned on Monday, despite an intense campaign by Israel lobby groups to have it canceled.

    Nasri Hajjaj’s Munich: A Palestinian Story was one of four films excerpts of which were screened to industry professionals in collaboration with the Dubai International Film Festival.

    Hajjaj told The Electronic Intifada from Cannes that the screening of a 14-minute segment passed without incident and he received a positive response from those present.

    As The Electronic Intifada reported last week, France’s main pro-Israel lobby group CRIF had been exerting intense pressure on authorities to ban the film, even enlisting the support of the mayor of Cannes.

    CRIF claimed that the film engages in “historical revisionism” about the 1972 raid on the Munich Olympics by the Palestinian group Black September, in which 11 Israeli athletes, a German police officer and five hostage takers died.

    But CRIF could not know this since the unfinished documentary had never been publicly screened.

    Hajjaj said that CRIF and other critics have made a number of false claims about his film, which they have not seen.

    CRIF boss Roger Cukierman even claimed on Twitter that he had been personally assured by Cannes Film Festival president Pierre Lescure that Hajjaj’s film would not be shown.

  •  Intense lobyying pro-israélien pour censurer un film palestinien au festival de Cannes
    13 mai 2016 - Ali Abunimah - The Electronic Intifada -
    Traduction : Info-Palestine.eu
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article16038

    Le maire de Cannes a été jusqu’à déclarer que le déroulement de la séance prévue pourrait menacer « l’ordre public. »

    Un court extrait d’une œuvre de Nasri Hajjaj en cours de réalisation, « Munich : Une histoire palestinienne », devrait être projeté lundi dans le cadre du Marché du Film, une collaboration entre le Festival de Cannes et le Festival International du Film de Dubaï.

    L’initiative permet à un certain nombre de travaux en cours réalisés par des cinéastes arabes d’accéder à des publics et distributeurs internationaux potentiels.

    Le 3 mai, Roger Cukierman, président du principal groupe de pression pro-israélien en France, le CRIF, a écrit au responsable du festival de Cannes pour exprimer « l’inquiétude et le malaise profond » de son organisation au sujet de la projection prévue de l’œuvre de Hajjaj.

    Cukierman a affirmé que le film se livre à « un révisionnisme historique » à propos du raid de 1972 sur les Jeux Olympiques de Munich par le groupe palestinien Septembre noir, au cours duquel 11 athlètes israéliens, un officier de police allemand et cinq preneurs d’otages sont morts.

    Mais comment Cukierman peut-il avoir une idée du film puisque que celui-ci, encore inachevé, n’a jamais été projeté devant aucun public ?...

    #Cannes_Palestine

    • Munich : pourquoi Israéliens et Palestiniens ont-ils masqué le rôle allemand ?
      Par Georges Malbrunot le 5 septembre 2012
      http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2012/09/munich-comment-israeliens-et-p.html

      Officiellement, un commando palestinien issu du groupe « Septembre noir », placé sous la double casquette d’Abou Daoud, dépêché sur place en RFA, et d’Abou Iyad, le chef des services de renseignements de l’OLP, resté lui à Tunis, le siège alors de la Centrale palestinienne. Comme bien souvent, la réalité est quelque peu différente. Et comme bien souvent en Israël, où la presse est extrêmement coriace dans sa recherche d’informations, c’est de l’Etat hébreu que la vérité a fini par percer.

      Le 16 juillet 1992, soit près de vingt ans après le drame, la journaliste israélienne Netty C. Gross, dans le quotidien Jerusalem Post, émettait une autre hypothèse : les otages israéliens n’auraient pas été victimes des seuls Palestiniens, qui attendaient de quitter la RFA pour Le Caire à bord de deux hélicoptères. La journaliste s’étonnait en effet que les Allemands n’aient jamais rendu publics les résultats de l’autopsie des Israéliens, ni les examens balistiques, qui auraient révélé l’origine des projectiles les ayant tués. Seul un rapport « provisoire » d’autopsie fut publié une semaine après le drame, et d’après ses conclusions, l’un des neuf Israéliens, tous ligotés à leurs sièges à l’intérieur des deux hélicoptères qui les avaient transportés depuis le stade olympique, serait mort intoxiqué par la fumée dans celui qui prit feu sur le tarmac de l’aéroport. On peut admettre, ajoutait le rapport, que les huit autres ont tous été tués par de « nombreuses balles ».

      Une semaine plus tard, le 23 juillet 1992, un autre journal israélien, Yédiot Aharonot, affirmait, pour la première fois, que huit des neuf athlètes israéliens tués à l’aéroport l’avaient été par la police ouest-allemande. Le journal s’appuyait sur le rapport des médecins légistes allemands en date du 6 septembre 1972, auquel l’avocat des familles des victimes avait eu accès.

      Pourquoi les Palestiniens n’ont-ils jamais reconnu ces faits ? « Munich avait été pour nous une extraordinaire caisse de résonance » , nous déclara il y a quelques années Abou Daoud, depuis sa résidence damascène, où il mourut en 2010. L’un des cerveaux de Munich le raconte d’ailleurs fort bien dans ses Mémoires, écrites en collaboration avec le journaliste français Gilles du Jonchay, aujourd’hui disparu (Palestine de Jérusalem à Munich, Editions Anne Carrière, 1999).

      « Il faut avouer que tout au long des années qui ont suivi Munich, nous n’avons jamais cherché à faire toute la lumière – et encore moins à informer le monde – sur ce qui s’était réellement passé. On en rajouta même dans la désinformation » , confiait-il au journaliste français. Quelques heures après le drame, alors qu’Abou Daoud avait pu regagner Tunis, sans être inquiété le moins du monde par la police allemande à l’aéroport de Munich, Abou Iyad lui confiait ceci :
      « Bravo, nous n’avons pas obtenu la libération de certains de nos camarades emprisonnés en Israël, (c’était le but de la prise en otages des athlètes israéliens, ndlr), mais nous avons atteint tous nos objectifs, et même au-delà. L’opinion mondiale a entendu parler du drame palestinien (cinq ans seulement après la défaite sévère de Juin 1967, ndlr). Quant à l’épilogue tragique, les autorités ouest-allemandes (…) en portent la lourde responsabilité. Enfin, dans le camp arabe et palestinien, notre coup a porté atteinte à l’image d’invulnérabilité des Israéliens »

  • Des milliers d’Israéliens se rassemblent en soutien au soldat qui a « exécuté » un Palestinien
    Middle East Eye | Rori Donaghy |20 avril 2016
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/des-milliers-d-isra-liens-se-rassemblent-en-soutien-au-soldat-qui-ex-

    TEL AVIV, Israël – Plus de 2 000 personnes se sont réunies dans le centre de Tel Aviv ce mardi soir à l’occasion d’un rassemblement nationaliste mouvementé pour manifester leur soutien à un soldat israélien qui a suscité une controverse en tuant un assaillant palestinien présumé déjà blessé en Cisjordanie occupée.

    Par une chaude soirée au cœur de la ville méditerranéenne, des foules de personnes portant un drapeau israélien autour de leurs épaules ont descendu une avenue bordée de palmiers pour gagner la place Rabin en centre-ville et contester la décision judiciaire d’inculper le sergent Elor Azarya pour homicide suite au meurtre d’Abed al-Fatah al-Sharif à Hébron le 24 mars.

    L’enregistrement du meurtre publié après les faits par le groupe israélien de défense des droits de l’homme B’Tselem a suscité l’indignation internationale : on y voit Azaria abattre Sharif d’un tir à la tête alors qu’il gisait par terre, blessé. Sharif avait prétendument pris part à une attaque et blessé un soldat posté dans la ville-poudrière d’Hébron et a été abattu onze minutes après que l’attaque présumée a été déjouée.

    Mardi soir, des Israéliens jeunes et plus âgés issus de l’ensemble du spectre politique se sont unis sur la place Rabin dans une ambiance qui ne peut être décrite que comme festive, où les participants buvaient de la bière, fumaient des cigarettes et s’occupaient de leurs enfants tout en scandant des slogans en soutien à Azaria, qui est actuellement détenu dans une base militaire dans l’attente de son procès.(...)

    #Abdul_Fatah_al-Sharef

  • Un haut diplomate européen instamment prié d’annuler sa présence à une conférence anti-BDS – Ali Abunimah - Publié le 25 mars 2016 sur The Electronic Intifada
    Traduction : Jean-Marie Flémal
    http://www.pourlapalestine.be/un-haut-diplomate-europeen-instamment-prie-dannuler-sa-presence-a-un

    Il était prévu que l’ambassadeur Lars Faaborg-Andersen, chef de la délégation de l’UE à Tel-Aviv, prenne part le 28 mars à un groupe de travail sur le thème « Combattre le boycott via l’action de l’État », en compagnie du dirigeant des colons en Cisjordanie, Dani Dayan.

    Le groupe de travail en question s’inscrit dans la conférence « Non au boycott » organisée à Jérusalem par les organes de presse israéliens Yediot Ahronot et Ynet.

    En feront partie des responsables israéliens, y compris le ministre de la Sécurité Gilad Erdan, qui supervise les efforts anti-BDS du gouvernement, de même que des dirigeants des groupes de pression d’Israël opérant aux États-Unis, dont « Stand With Us » (Soyez avec nous) et l’Anti-Defamation League » (Ligue anti-diffamation).

  • Une femme arrêtée en France pour un t-shirt qui critiquait Israël
    Ali Abunimah, Electronic Intifada, le 11 mars 2016
    http://www.bdsfrance.org/une-femme-arretee-en-france-pour-un-t-shirt-qui-critiquait-israel

    #Palestine #France #BDS #féminisme #repression #sexisme #Boycott #Justice #Cour_de_cassation #Censure #Liberté_d_expression #JeSuisBDS #criminalisation_des_militants

    Précisons qu’il s’agissait d’une femme arabe et ajoutons le tag #racisme

  • Manifestation du 6 mars 2016 – Paris : Puissance féministe et répression politique
    Le Collectif 8 mars Pour TouTEs, le 7 mars 2016
    http://8marspourtoutes.org/actions/manifestation-du-6-mars-2016-paris-puissance-feministe-et-repressio

    "Au cours de cette manifestation la police s’est attaquée à cette force collective qui se déployait dans les rues parisiennes. A l’angle de la rue Réaumur et de la rue Saint Martin, des policiers en civil et en uniforme ont arrêté une manifestante dans son cortège. Pourquoi ? Parce qu’elle arborait un T-shirt de la campagne Boycott Désinvestissement Sanction contre l’apartheid israélien : « Boycott Israel Apartheid ».

    La manifestation a stoppé sa progression pendant une heure, rassembléEs en masse devant le commissariat pour exiger sa libération : cette stratégie a payé, la manifestation a obtenu sa libération.

    La manifestante est maintenant convoquée au commissariat du 3eme, lundi 14 mars à 14h pour répondre d’ « incitation à la haine en raison de l’origine par écrit« .

    Le soutien des manifestantEs a été sans faille dans la rue et ne s’arrêtera pas là.

    La campagne BDS France a déjà été contactée et la mobilisation de solidarité s’organise pour assurer le soutien politique et militant nécessaire à la manifestante.

    Le Collectif 8 mars Pour TouTEs tient également à alerter l’ensemble du mouvement social et militant : cette arrestation en pleine manifestation est des plus inquiétantes quant à la politique de criminalisation des luttes politiques. A travers cette arrestation, la police montre encore une fois qu’elle se sent en toute confiance sous l’autorité de ce gouvernement. L’État policier, la répression politique et raciste ne cessera que par un rapport de force offensif et intraitable : notre solidarité doit être sans faille, nous y appelons aujourd’hui plus que jamais."

    Playlist de la #ManifBelleville :
    https://www.youtube.com/watch?v=yew6L7H8qts&index=49&list=PLARfQcQfDWkhO7V__d4NPaqaGuJj7Rmol

    et @mad_meg au moins pour la playlist !

    #Palestine #France #BDS #féminisme #repression #sexisme #racisme #musique #playlist #Boycott #Justice #Cour_de_cassation #Censure #Liberté_d_expression #JeSuisBDS

    http://seenthis.net/messages/455619
    http://seenthis.net/messages/453837
    http://seenthis.net/messages/442912

  • Nazi genocide and “girls in bikinis” failing to sell #Israel, experts say | The Electronic Intifada
    https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/nazi-genocide-and-girls-bikinis-failing-sell-israel-experts-say

    The conference heard from #Frank_Luntz, the prominent US Republican pollster, that Israel’s propaganda messaging was failing even among American Jewish students.

    According to Luntz’s findings, only 42 percent of Jewish students believe that Israel wants peace, just 39 percent view Israel as a “civilized and Western country” and a mere 31 percent consider Israel to be a democracy.

    As many as one fifth of Jewish students believe the US should support the Palestinian side and a similar proportion sees Israel as racist.

    One of the conference participants told NRG that Israel’s tourism ministry “came out very badly.”

    The participant characterized Israel’s marketing in these terms: “ ‘we have girls in bikinis, we have beaches, we have beer and bars – come to us,’ and this does not work.”

    Indeed, Israel’s tourism industry went into freefall as a result of Israel’s summer 2014 attack on Gaza that killed more than 2,200 Palestinians, including 551 children, and has still not recovered.

    The conference was also told that instrumentalizing the Nazi genocide of European Jews – a favorite tactic to deflect criticism of Israel’s occupation and violent colonization of the Palestinians – is also not a winning strategy.

    “They explained that the moment an Israeli speaker speaks about the Holocaust or about Nazis it hurts us, it doesn’t come across well on campuses,” one participant recalled.

    #hasbara #propagande #Israël #échec

    • Le génocide nazi et les “filles en bikini” ne peuvent faire vendre Israël, disent les experts
      Ali Abunimah
      http://www.pourlapalestine.be/le-genocide-nazi-et-les-filles-en-bikini-ne-peuvent-faire-vendre-isr

      (...) Le participant a défini le marketing d’Israël en ces termes : «  »Nous avons des filles en bikini, nous avons des plages, nous avons de la bière et des bars – Venez donc chez nous. » Et ça ne marche pas. »

      En effet, l’industrie israélienne du tourisme a été en chute libre, suite à l’agression israélienne de l’été 2014 contre Gaza, qui a tué plus de 2 200 Palestiniens, dont 551 enfants, et elle n’a toujours pas connu de reprise depuis lors.

      Il a également été communiqué à la conférence que l’instrumentalisation du génocide nazi des Juifs européens – une tactique de prédilection pour détourner les critiques à l’encontre de l’occupation israélienne et de la colonisation violente des Palestiniens – n’est pas non plus une stratégie gagnante.(...)

  •  Fayha Shalash lance un appel au monde pour sauver la vie de son époux Muhammed al-Qiq
    jeudi 18 février 2016 -
    Ali Abunimah
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article15912

    Dans cette vidéo, Fayha Shalash lance un appel urgent au nom de son mari, qui est gravement affaibli et peut mourir à tout moment après 85 jours de grève de la faim.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=93&v=WykA2mUDWB0

    Muhammad al-Qiq, âgé de 33-ans et le père de deux enfants, a refusé toute nourriture depuis le 25 novembre, pour protester contre sa détention sans inculpation ni jugement par Israël.

    « Muhammad se bat pour sa liberté », déclare Shalash dans la courte vidéo en langue anglaise : « Il est en grève de la faim parce qu’il veut être libre. »

    La vidéo montre également al-Qiq criant de douleur sur son lit d’hôpital.

    Al-Qiq est journaliste pour l’agence saoudienne d’informations Al-Majd, et Shalash dit qu’il a été arrêté pour avoir exercé sa profession.

    « Nous appelons les gens libres dans le monde qui peuvent nous aider à faire pression sur le gouvernement israélien pour que Muhammad soit libre », dit Shalash. (...)

  • À la surprise générale, la France refuse le drone israélien -7 février | Ali Abunimah pour The Electronic Intifada |Traduction JPP pour l’AURDIP
    http://www.aurdip.fr/a-la-surprise-generale-la-france.html

    Les militants de la campagne BDS en France se félicitent de la décision prise par l’armée de leur pays de ne pas acheter le drone Watchkeeper, un drone fabriqué sur le modèle d’un drone utilisé par Israël lors de ses centaines d’agressions meurtrières contre les civils palestiniens.

    Watchkeeper est fabriqué dans le cadre d’un projet commun entre le plus gros fabricant d’armes d’Israël, Elbit Systems, et la filiale britannique de Thales en France.

    Defense News a rapporté que le « Watchkeeper était ultra-favori pour être sélectionné », mais à la place, le gouvernement français a préféré le drone Patroller, fabriqué par un consortium national, Sagem (Safran). (...)

  • Infographic: 7 ways the Palestinian Authority helps Israeli occupation | The Electronic Intifada
    https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/infographic-7-ways-palestinian-authority-helps-israeli-occupatio

    Authority helps Israeli occupation

    Ali Abunimah Rights and Accountability 26 January 2016

    The Ramallah-based Palestinian Authority works closely with the Israeli occupation.

    Earlier this month, for instance, Israeli officials praised the PA for “cracking down” on opposition and resistance to Israel’s occupation in the West Bank.

    The PA’s leader, Mahmoud Abbas, has previously called this so-called security coordination a “sacred” duty.

    But there’s near unanimity among Palestinian political factions that this collaboration with the occupation must stop.

    The PA’s intelligence chief Majid Faraj boasted to Defense News recently that his forces had arrested 100 Palestinians in recent months and were working closely with Israeli occupation forces to prevent the unpopular PA from collapsing.

    “We, together with our counterparts in the Israeli security establishment, with the Americans and others, are all trying to prevent that collapse,” Faraj said.

    Faraj added that his goal was to protect Israel from the Islamic State group.

    “They’re already in Iraq, Syria, Sinai, Lebanon and Jordan, but Ramallah, Amman and Tel Aviv must remain immune from them,” the PA general said.
    Keeping yourself occupied

  • Pétition : Nous appelons au boycott des produits israéliens !
    La Campagne BDS France, le 21 janvier 2016
    http://www.bdsfrance.org/petition-nous-appelons-au-boycott-des-produits-israeliens

    Le 19 janvier, des personnalités lançaient un appel au boycott des produits israéliens : « Nous ne nous plierons pas à la décision de la Cour de cassation du 20 octobre 2015 ! ». Cet appel est maintenant suivi d’une pétition allant dans ce sens : « Nous nous associons à l’appel publié dans le Club de Mediapart le 19 janvier 2016, nous appelons à soutenir et renforcer le mouvement BDS et à boycotter les produits israéliens. »

    Les 1760 signatures obtenues les premières 24h sont sur le site de la Campagne BDS France :
    http://www.bdsfrance.org/petition-nous-appelons-au-boycott-des-produits-israeliens

    Les suivantes, près de 5000, sont recueillies ici pour les francophones :
    http://boycottproduitsisraeliens.wesign.it/fr

    Ici pour les anglophones :
    http://boycottproduitsisraeliens.wesign.it/en

    Et ici pour les "académiques" :
    Academics in support of the right to call for a boycott of Israeli goods in France
    http://www.aurdip.fr/academics-in-support-of-the-right.html

    Sign on : French intellectuals call for boycott of Israel, defy state repression
    http://www.usacbi.org/2016/01/sign-on-french-intellectuals-call-for-boycott-of-israel-defy-state-repressio

    Ont déjà signé :
    les philosophes Etienne Balibar et Jacques Rancière
    l’historien Enzo Traverso
    le politologue François Burgat
    les sociologues Zahra Ali, Saïd Bouamama, Sonia Dayan-Herzbrun, Christine Delphy, Nacira Guénif et Nicolas Jounin
    les écrivains Rony Brauman, Julien Cendres et Christian Salmon
    le journaliste Alain Gresh
    l’éditeur Farouk Mardam Bey
    les juristes Paul Alliès et Monique Chemillier-Gendreau
    le physicien Jean-Marc Lévy-Leblond
    les mathématiciens Ahmed Abbes, Arnaud Beauville, Ivar Ekeland, Michael Harris et Joseph Oesterlé
    le peintre Ernest Pignon-Ernest
    les cinéastes Alain Guiraudie et Eyal Sivan
    les dessinateurs Tardi et Siné
    les chanteuses Dominique Grange, Elli Medeiros et Francesca Solleville
    la député européenne Marie-Christine Vergiat
    le maire Azzedine Taïbi
    l’ancienne sénatrice Alima Boumedienne
    les militant.e.s Sihame Assbague, Olivier Besancenot, Ismahane Chouder, Annick Coupé, Mireille Fanon Mendes-France, Jean-Baptiste Libouban, Michèle Sibony et Omar Slaouti

    Tou.te.s bravent l’arrêt scandaleux de la Cour de Cassation et affirment : "Nous appelons au boycott des produits israéliens !"

    L’appel initial :
    Nous appelons au boycott des produits israéliens !
    Ahmed Abbes, Sihame Assbague, Etienne Balibar, Saïd Bouamama, Rony Brauman, Sonia Dayan, Christine Delphy, Alain Gresh, Nacira Guénif, Christian Salmon, Azzedine Taïbi, Marie-Christine Vergiat, Médiapart, le 19 janvier 2016
    https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/190116/nous-appelons-au-boycott-des-produits-israeliens

    http://seenthis.net/messages/451644
    http://seenthis.net/messages/442912

    #Palestine #France #BDS #Boycott #Justice #Cour_de_cassation #Censure #Liberté_d_expression #JeSuisBDS #criminalisation_des_militants

  • Shadeyna al-heil (Renforcer notre Résistance) des Gaza Revolution Makers (les frères Osama et Mohammed Elsusi, avec Ahmad Murad, de Gaza) :
    https://www.youtube.com/watch?v=uCPiv6127-Q

    Un article sur le sujet :

    Ecoutez : Un nouveau chant de liberté venu de Gaza
    Ali Abunimah, Electronic Intifada, 20 novembre 2015
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2016/01/22/ecoutez-un-nouveau-chant-de-liberte-venu-de-gaza

    #Palestine #Gaza #Musique #Rap #Gaza_Revolution_Makers

  • Valls envisage des mesures contre les manifestations en faveur du boycott de produits israéliens
    Le Monde, le 19 janvier 2016
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/01/19/valls-envisage-des-mesures-contre-les-manifestations-pro-boycott-de-produits

    Manuel Valls promet de prendre des sanctions contre le mouvement BDS
    Nadir Dendoune, Le Courrier de l’Atlas, le 19 janvier 2016
    http://www.lecourrierdelatlas.com/1074719012016Manuel-Valls-promet-de-prendre-des-sanctions-contre

    Nous appelons au boycott des produits israéliens !
    Ahmed Abbes, Sihame Assbague, Etienne Balibar, Saïd Bouamama, Rony Brauman, Sonia Dayan, Christine Delphy, Alain Gresh, Nacira Guénif, Christian Salmon, Azzedine Taïbi, Marie-Christine Vergiat, Médiapart, le 19 janvier 2016
    https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/190116/nous-appelons-au-boycott-des-produits-israeliens

    Le boycott des produits des colonies israéliennes fait de nouveau débat
    Antoine D’abbundo, La Crois, le 19 janvier 2016
    http://www.la-croix.com/Economie/Monde/Le-boycott-des-produits-des-colonies-israeliennes-fait-de-nouveau-debat-20

    http://seenthis.net/messages/451644
    http://seenthis.net/messages/451522

    #France #Palestine #BDS #Manuel_Valls

  • Nous appelons au boycott des produits israéliens ! | Édition | Le Club de Mediapart

    https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/190116/nous-appelons-au-boycott-des-produits-israeliens

    De nombreuses associations s’indignent de la décision de la Cour de cassation du 22 octobre 2015, qui a déclaré illégal l’appel à boycotter des produits israéliens. Voici un nouvel appel signé par plusieurs militants, intellectuels et responsables politiques en défense de la campagne BDS lancé par les Palestiniens le 4 juillet 2005.

    Nous ne nous plierons pas à la décision de la Cour de cassation du 22 octobre 2015 ! Le 22 octobre 2015, par deux arrêts, la Cour de cassation a déclaré illégal l’appel à boycotter des produits israéliens et confirmé la lourde condamnation de plusieurs militants du mouvement Boycott désinvestissement sanctions (BDS). Elle a utilisé pour cela, un article de la loi de la presse qui évoque le délit de «   provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée   ».

    Ahmed Abbes, Directeur de recherche au CNRS, Paris
    Sihame Assbague, militante associative
    Etienne Balibar, Professeur émérite, Université de Paris-Ouest Nanterre
    Saïd Bouamama, sociologue
    Rony Brauman, médecin, essayiste
    Sonia Dayan, Professeure émérite à l’Université Paris Diderot-Paris7
    Christine Delphy, sociologue, cofondatrice de Nouvelles Questions Féministes
    Alain Gresh, journaliste
    Nacira Guénif, sociologue, Université Paris 8
    Christian Salmon, écrivain
    Azzedine Taïbi, maire de Stains
    Marie-Christine Vergiat, députée européenne

  • 3 Palestinians shot dead after alleged Gush Etzion stabbing attempt
    an. 7, 2016 8:26 P.M. (Updated: Jan. 7, 2016 10:05 P.M.)
    http://www.maannews.com/Content.aspx?id=769699

    BETHLEHEM (Ma’an) — Israeli forces shot dead three Palestinian cousins on Thursday night after they allegedly attempted to stab Israeli soldiers at the Gush Etzion junction in the southern occupied West Bank, Israeli and Palestinian sources said.

    An Israeli army spokesperson alleged that all three Palestinians were “armed with knives” and had attempted to “attack Israeli soldiers guarding the Gush Etzion junction.”

    She said Israeli forces “thwarted” the attack and “responded to the imminent danger” by opening fire on the Palestinians.

    While two of them were immediately confirmed dead, the Israeli army initially said that the third was being treated on site. However, an army spokesperson later confirmed he had succumbed to his wounds.

    A spokesperson for Magen David Adom confirmed that no Israelis were injured in the attack.

    Meanwhile, a spokesperson for the Palestinian Red Crescent said that their ambulance crews “were not allowed to get close to the scene.”

    The three Palestinians were later identified as cousins Ahmad Salim Abd al-Majid Kawazba, Alaa Abed Muhammad Kawazba, and Muhannad Ziyad Kawazba, all from the town of Sair northeast of Hebron.

    #Palestine_assassinée

    • 4 Palestinians shot dead after alleged stabbing attempts in West Bank
      Jan. 7, 2016 8:26 P.M. (Updated: Jan. 7, 2016 11:02 P.M.)

      Shortly after the incident, another Palestinian from the same town, identified as 16-year-old Khalil Muhammad al-Shalaldah , was shot dead by Israeli forces after he allegedly attempted to carry out a stabbing attack at the Beit Einun junction northeast of Hebron.

      An Israeli army spokesperson said the teenager was “armed with a knife,” but that Israeli soldiers “thwarted the attack, and shot the assailant, resulting in his death.” There were no Israeli injuries reported.

      Since October, around 145 Palestinians have been shot dead by Israelis, the majority in the occupied West Bank.

    • Quatre Palestiniens tentent de poignarder des soldats israéliens avant d’être abattus
      http://www.romandie.com/news/664527.rom

      Jérusalem - Quatre Palestiniens ont été abattus jeudi par les forces israéliennes après avoir tenté d’attaquer des soldats dans deux incidents séparés en Cisjordanie occupée, a indiqué l’armée.

      Trois assaillants, armés de couteaux, ont tenté de poignarder des soldats qui gardaient le carrefour de Gush Etzion, a indiqué un communiqué militaire, ajoutant que les troupes avaient répondu à l’attaque en tirant sur les assaillants.

      Une source militaire a affirmé à l’AFP qu’ils étaient tous morts.

      Le carrefour du Gush Etzion, sur la route entre Bethléem et Hébron dans le sud de la Cisjordanie occupée, a été le théâtre de plusieurs attaques anti-israéliennes ces dernières semaines.

      Un peu plus tard, un Palestinien armé d’un couteau a tenté de poignarder des soldats israéliens au nord-est de Hébron, a indiqué un communiqué militaire. Les forces ont déjoué l’attaque et tiré sur l’assaillant, qui est mort.

      Les trois assaillants présumés de Gush Etzion ont été identifiés par les médias palestiniens comme Muhanad Kawazbeh, 20 ans, Ahmed Kawazbeh, 21 ans et Alaa Kawazbeh, 20 ans , tous originaires du village de Saïr au nord-est de Hébron.

      Ils seraient des membres de la famille de Ahmed Kawazbeh, 18 ans, tué mardi après avoir poignardé un soldat au carrefour de Gush Etzion également.

    • Killings of Palestinians in West Bank hit 10-year high
      Ali Abunimah Rights and Accountability 8 January 2016
      https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/killings-palestinians-west-bank-hit-10-year-high

      On Thursday evening, Israeli forces shot dead four Palestinians from the village of Sair, near Hebron in the occupied West Bank.

      Three cousins, Ahmad Salim Abd al-Majid Kawazba, 21, Alaa Abed Muhammad Kawazba, 17, and Muhannad Ziyad Kawazba, 20, were fatally shot near the Gush Etzion bloc of Israeli settlements north of Hebron.

      An Israeli army spokesperson alleged that all three were “armed with knives” and attempted to “attack Israeli soldiers guarding the Gush Etzion junction,” Ma’an News Agency reported.

      The Palestinian news site Quds quoted local sources who said the three young men all worked as laborers inside present-day Israel.

      A short time later, 16-year-old Khalil Muhammad al-Shalalda was shot dead by Israeli forces after he allegedly attempted to stab a soldier at the Beit Einoun junction near Hebron, according to Ma’an News Agency.

      No Israelis were reported injured.

      Khalil al-Shalada’s brother, Mahmoud, was fatally shot by Israeli occupation forces during confrontations near Beit Einoun junction on 13 November.

      As news of the killings spread, residents of Sair gathered at the family homes of the dead youths and confrontations broke out with Israeli occupation forces.

      Sair villagers have witnessed intense violence by Israeli forces in recent months. At least 10 villagers have been killed since the start of October, including the November execution in a Hebron hospital room of Abdallah Azzam al-Shalalda and the killing of a disabled father of a young baby in December.

      On New Year’s Eve, Israeli occupation forces seized a plot of land belonging to Sair villager Ismail Abed Rabbu al-Shalalda in order to set up a military post, a provocation likely only to further inflame tension.

      On Wednesday this week, thousands of people in Sair attended the funeral of Ahmad Younis Ahmad Kawazba.

  • Le nouveau document de Seymour M. Hersh: Military to Military: US intelligence sharing in the Syrian war
    http://www.lrb.co.uk/v38/n01/seymour-m-hersh/military-to-military

    The military’s resistance dates back to the summer of 2013, when a highly classified assessment, put together by the Defense Intelligence Agency (DIA) and the Joint Chiefs of Staff, then led by General Martin Dempsey, forecast that the fall of the Assad regime would lead to chaos and, potentially, to Syria’s takeover by jihadi extremists, much as was then happening in Libya. A former senior adviser to the Joint Chiefs told me that the document was an ‘all-source’ appraisal, drawing on information from signals, satellite and human intelligence, and took a dim view of the Obama administration’s insistence on continuing to finance and arm the so-called moderate rebel groups. By then, the CIA had been conspiring for more than a year with allies in the UK, Saudi Arabia and Qatar to ship guns and goods – to be used for the overthrow of Assad – from Libya, via Turkey, into Syria. The new intelligence estimate singled out Turkey as a major impediment to Obama’s Syria policy. The document showed, the adviser said, ‘that what was started as a covert US programme to arm and support the moderate rebels fighting Assad had been co-opted by Turkey, and had morphed into an across-the-board technical, arms and logistical programme for all of the opposition, including Jabhat al-Nusra and Islamic State. The so-called moderates had evaporated and the Free Syrian Army was a rump group stationed at an airbase in Turkey.’ The assessment was bleak: there was no viable ‘moderate’ opposition to Assad, and the US was arming extremists.

    Lieutenant General Michael Flynn, director of the DIA between 2012 and 2014, confirmed that his agency had sent a constant stream of classified warnings to the civilian leadership about the dire consequences of toppling Assad. The jihadists, he said, were in control of the opposition. Turkey wasn’t doing enough to stop the smuggling of foreign fighters and weapons across the border. ‘If the American public saw the intelligence we were producing daily, at the most sensitive level, they would go ballistic,’ Flynn told me. ‘We understood Isis’s long-term strategy and its campaign plans, and we also discussed the fact that Turkey was looking the other way when it came to the growth of the Islamic State inside Syria.’ The DIA’s reporting, he said, ‘got enormous pushback’ from the Obama administration. ‘I felt that they did not want to hear the truth.’

    ‘Our policy of arming the opposition to Assad was unsuccessful and actually having a negative impact,’ the former JCS adviser said. ‘The Joint Chiefs believed that Assad should not be replaced by fundamentalists. The administration’s policy was contradictory. They wanted Assad to go but the opposition was dominated by extremists. So who was going to replace him? To say Assad’s got to go is fine, but if you follow that through – therefore anyone is better. It’s the “anybody else is better” issue that the JCS had with Obama’s policy.’ The Joint Chiefs felt that a direct challenge to Obama’s policy would have ‘had a zero chance of success’. So in the autumn of 2013 they decided to take steps against the extremists without going through political channels, by providing US intelligence to the militaries of other nations, on the understanding that it would be passed on to the Syrian army and used against the common enemy, Jabhat al-Nusra and Islamic State.

    Germany, Israel and Russia were in contact with the Syrian army, and able to exercise some influence over Assad’s decisions – it was through them that US intelligence would be shared. Each had its reasons for co-operating with Assad: Germany feared what might happen among its own population of six million Muslims if Islamic State expanded; Israel was concerned with border security; Russia had an alliance of very long standing with Syria, and was worried by the threat to its only naval base on the Mediterranean, at Tartus. ‘We weren’t intent on deviating from Obama’s stated policies,’ the adviser said. ‘But sharing our assessments via the military-to-military relationships with other countries could prove productive. It was clear that Assad needed better tactical intelligence and operational advice. The JCS concluded that if those needs were met, the overall fight against Islamist terrorism would be enhanced. Obama didn’t know, but Obama doesn’t know what the JCS does in every circumstance and that’s true of all presidents.’

    Once the flow of US intelligence began, Germany, Israel and Russia started passing on information about the whereabouts and intent of radical jihadist groups to the Syrian army; in return, Syria provided information about its own capabilities and intentions. There was no direct contact between the US and the Syrian military; instead, the adviser said, ‘we provided the information – including long-range analyses on Syria’s future put together by contractors or one of our war colleges – and these countries could do with it what they chose, including sharing it with Assad.

    […]

    The military’s indirect pathway to Assad disappeared with Dempsey’s retirement in September. His replacement as chairman of the Joint Chiefs, General Joseph Dunford, testified before the Senate Armed Services Committee in July, two months before assuming office. ‘If you want to talk about a nation that could pose an existential threat to the United States, I’d have to point to Russia,’ Dunford said. ‘If you look at their behaviour, it’s nothing short of alarming.’ In October, as chairman, Dunford dismissed the Russian bombing efforts in Syria, telling the same committee that Russia ‘is not fighting’ IS. He added that America must ‘work with Turkish partners to secure the northern border of Syria’ and ‘do all we can to enable vetted Syrian opposition forces’ – i.e. the ‘moderates’ – to fight the extremists.

    Obama now has a more compliant Pentagon. There will be no more indirect challenges from the military leadership to his policy of disdain for Assad and support for Erdoğan.

  • Vidéo : « J’ai tué pour vous, avec les mains que voici ! » explique le soldat israélien aux députés | par Ali Abunimah | Publié le 1er décembre 2015 sur The Electronic Intifada | traduction Jean-Marie Flémal
    http://www.pourlapalestine.be/video-jai-tue-pour-vous-avec-les-mains-que-voici-explique-le-soldat-

    « J’ai tué pour vous, et avec les mains que voici ! Et vous parlez de terroristes qui ont du sang sur les mains ? Moi, j’ai tué plus de 40 personnes pour vous ! Je les ai tuées ! »

    Cet aveu tranchant venait d’Ido Gal Razon, un ancien soldat israélien, que l’on voit sur la vidéo ci-dessus alors qu’il parle devant une commission du Parlement israélien, la Knesset, le 11 novembre dernier.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=156&v=6TkKm2eEV1A

    Razon n’exprimait nullement ses remords pour ces homicides, mais se plaignait de ce qu’on ne lui eût pas proposé de traitement suite au grave impact psychiatrique qu’avait exercé sur lui la boucherie qu’il avait perpétrée au service d’Israël.

    « Personne ne me donne une thérapie et je le déplore ! Je crie ! », dit-il. « Je fais pipi la nuit, avec ce traumatisme. Il s’amène près de moi et il me dit : ‘Pourquoi m’as-tu tué ? Pourquoi m’as-tu tué ? »

    On ne voit pas très bien qui vient hanter Razon la nuit, mais il pourrait faire allusion à chacune de toutes les personnes qu’il a tuées.

    Razon explique qu’il a été blessé alors qu’il faisait partie du 51e bataillon de l’armée israélienne, la brigade Golani, alors qu’il participait à l’Opération Clair comme du Vin – une attaque contre les Palestiniens dans la partie centrale de la bande de Gaza, le 20 décembre 2007.

  • Video: “I killed for you, with these hands,” Israeli soldier tells lawmakers | The Electronic Intifada
    https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/video-i-killed-you-these-hands-israeli-soldier-tells-lawmakers
    https://www.youtube.com/watch?v=6TkKm2eEV1A

    Israeli soldier tells lawmakers

    Ali Abunimah Rights and Accountability 1 December 2015

    “I killed for you, with these hands! You say, ‘Terrorists with blood on their hands?’ I killed more than 40 people for you! I murdered!”

    This stark admission was made by Ido Gal Razon, a former Israeli soldier, seen in the video above speaking to a committee of the Israeli parliament, the Knesset, on 11 November.

    Razon wasn’t expressing remorse for the killings, but complaining that he has not been offered treatment for the severe psychiatric impact the butchery he committed in service of Israel has had on him.

    “No one gives me therapy, and I complain! I shout,” he says. “I pee at night from post trauma. He comes to me and says: ‘Why did you kill me? Why did you kill me?’”

    It’s not clear who is haunting Razon at night, but he could be referring to any of the people he says he killed.

    Razon says he was injured while a member of the 51st battalion of the Israeli army’s Golani Brigade when he took part in Operation Clear as Wine – an attack on Palestinians in the central Gaza Strip on 20 December 2007.

  • La France plus sévère qu’Israël : des citoyens condamnés car ils veulent appliquer le droit français/international ?

    Appels au boycott : la France aujourd’hui plus répressive qu’Israël (Electronic Intifada)

    Ali Abunimah
    Le 20 octobre [2015], la chambre criminelle de la plus haute juridiction de France a confirmé la condamnation d’une dizaine de militants de la solidarité avec la Palestine pour avoir appelé publiquement au boycott des produits israéliens.

    Cette décision de la Cour de cassation en ajoute aux préoccupations déjà croissantes concernant la répression sévère de la liberté d’expression, soutenue par le Président français François Hollande, depuis les assassinats de journalistes dans les bureaux du magazine Charlie Hebdo en janvier.

    Elle fait aussi de la France, avec Israël, le seul pays à pénaliser les appels à ne pas acheter les produits israéliens.

    Mais la loi française qui prévoit des sanctions pénales est probablement plus sévère que celle d’Israël, laquelle autorise de poursuivre les partisans du boycott pour dommages financiers, mais pas de les emprisonner.

    « Un triste jour »

    « Cette décision est une mauvaise nouvelle concernant le respect de la liberté d’expression dans notre pays » déclare la Ligue des Droits de l’Homme, organisation centenaire de défense des droits humains. "Elle constitue un des aboutissements de la volonté de faire taire toute critique de la politique des gouvernants israéliens et tout acte d’opposition aux graves violations des droits de l’Homme dont ils se rendent coupables." (1)

    Pour le groupe de la campagne BDS France, la décision marque un "triste jour pour la démocratie française où l’appel au boycott d’un Etat criminel qui viole les droits humains ne va plus de soi", et où le gouvernement peut "détourner l’esprit de la loi dès qu’elle s’attaque à un partenaire politique".

    Le CRIF, groupe leader du lobbyisme pro-Israël en France s’est réjoui de la décision.

    Les organisations françaises anti-palestiniennes soutiennent activement cette répression judiciaire – sous le couvert de la lutte contre l’antisémitisme – avec l’espoir qu’elle mettra un terme à la campagne de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS).

    Criminalisation d’une protestation pacifique

    En 2009 et 2010, des dizaines de militants BDS étaient entrés dans des supermarchés dans l’est de Mulhouse, où ils ont crié des slogans, distribué des tracts et porté des vêtements appelant au boycott des produits israéliens.

    Leur but, explique BDS France, était « d’informer les consommateurs des problèmes éthiques que pose l’achat de produits provenant d’Israël », et notamment que leur production « est indissociable de la situation d’apartheid vécue par le peuple palestinien, de la spoliation de ses terres (et) du refus du droit au retour des réfugiés »

    Mais en 2010, Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Justice, avait donné comme instruction aux procureurs de poursuivre les militants BDS à travers le pays.

    En décembre 2011, les militants de Mulhouse ont été relaxés pour les accusations portées par les procureurs locaux, mais en 2013, la cour d’appel les en a déclarés coupables sur la base de la loi de 1972 qui prévoit jusqu’à un an de prison et d’importantes amendes pour quiconque aura « provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

    Les militants ont été condamnés à des amendes et aux dépens pour un montant de 30 000 €.

    La Cour de cassation vient de confirmer la condamnation de 2013.

    « La nation israélienne »

    Les militants ont été reconnus coupables de propos appelant à une « discrimination » contre des producteurs et fournisseurs de produits en raison de leur appartenance à la « nation israélienne ».

    Dans une suprême ironie, apparemment pas appréciée par les juges français, la Haute Cour d’Israël elle-même a rejeté en 2013 l’existence de toute « nation israélienne ».

    Israël ne reconnaît que la nationalité juive, et aussi d’autres catégories ethniques et sectaires dans lesquelles il range des citoyens et des non-citoyens contre leur volonté.

    Le magistrat français Ghislain Poissonnier fournit le contexte et l’analyse juridique de l’affaire de Mulhouse dans un article pour l’AURDIP (http://www.aurdip.fr/pour-la-cour-de-cassation-la.html), une organisation d’universitaires qui soutient les droits palestiniens.

    Il y écrit que la loi de 1972, un amendement à la loi française sur la presse de 1881, a été conçue pour lutter contre « les discriminations dont sont victimes les personnes physiques, et en aucun cas pour interdire les appels pacifiques au boycott de produits issus d’un État dont la politique (est) critiquée ».

    Poissonnier ajoute que la Cour de cassation a violé les principes établis dans le droit français et le droit européen, et que sa décision est d’autant plus contestable vu l’abondance des appels, ces dernières années, aux boycotts des produits venant d’États accusés de violer les droits de l’homme.

    Les juges, dit-il, n’ont pas tenu compte de faits majeurs : les actions sur les supermarchés sont totalement pacifiques et les gérants de magasins ne portent aucune accusation ; il n’y a aucune ingérence dans la liberté de commercer ; le but des militants était d’amener au respect du droit international ; et souvent les produits israéliens portent des étiquettes falsifiées pour cacher qu’ils proviennent des colonies qui sont illégales en vertu du droit international. Les militants – et la campagne BDS en France – sont, en outre, engagés publiquement contre toute formes de discrimination raciale et religieuse, dont l’antisémitisme.

    Autre ironie, le gouvernement français est à l’heure actuelle en train de pousser fortement en faveur de nouvelles règles à l’échelle européenne pour que soient étiquetés clairement les produits des colonies, probablement pour que les consommateurs puissent les boycotter.

    Suppression de la liberté d’expression

    Le journaliste et militant pour la liberté d’expression Glenn Greenwald s’est montré particulièrement virulent à propos de l’hypocrisie de la France pour la liberté d’expression, avec sa marche de Paris après le massacre à Charlie Hebdo, qui était « conduite par des dizaines de dirigeants du monde entier, dont beaucoup emprisonnent, voire tuent des gens, parce qu’ils ont exprimé des opinions interdites ».

    Le dirigeant de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, s’était joint aux leaders mondiaux à Paris, dans la marche du 11 janvier pour la liberté d’expression, incluant le droit des dessinateurs français à représenter le prophète Mahomet d’une manière bestiale. (Philippe Wojazer – Reuters)
    S’exprimant dans The Intercept, Greenwald affirme que « l’absurdité d’une France qui s’honore elle-même pour la liberté d’expression » est clairement mise en évidence avec la condamnation des militants BDS.

    « Pensez combien c’est pernicieux. Il est parfaitement légal de recommander des sanctions contre l’Iran, ou la Russie, ou le Soudan, ou pratiquement n’importe quel autre pays », observe Greenwald. « Mais il est illégal – criminel – de préconiser des boycotts et des sanctions contre un pays : Israël ».

    Il note que les dirigeants des organisations anti-palestiniennes en Europe veulent que la répression par la France serve de modèle aux autres pays, objectif partagé par le puissant groupe de lobby pro-Israël aux États-Unis, l’AIPAC.

    Le gouvernement conservateur canadien du Premier ministre sortant, Stephen Harper, a déjà menacé d’utiliser des lois contre les discours haineux afin de pouvoir cibler les militants BDS.

    Compte tenu de son bilan en attaques contre les militants BDS et de son rapprochement avec Israël, ces derniers jours, il y a peu de raisons d’espérer que le Premier ministre entrant du Parti libéral, Justin Trudeau, soit moins intolérant.

    Pour ce qui est de la France, même le groupe de réflexion Freedom House, du Département d’État US, manifeste son inquiétude devant les restrictions grandissantes à la liberté d’expression.

    Dans son dernier rapport annuel sur la liberté sur Internet, la France se voit dégrader sérieusement. Freedom House affirme que le gouvernement et la police sont passés en « surmultipliée » depuis les meurtres à Charlie Hebdo, poursuivant des gens pour des choses qu’ils ont dites en ligne et votant des décrets donnant aux ministres le pouvoir de bloquer des sites.

    De telles mesures, déclare Freedom House, « menacent la liberté sur Internet dans le pays ».

    L’un des cas cités par le rapport est celui du lycéen arrêté pour avoir publié une caricature ironique sur Facebook.

    Invaincu

    Ghislain Poissonnier déplore qu’avec la décision de la Cour de cassation, « notre pays devient le seul État au monde – avec Israël – à pénaliser les appels citoyens à ne pas acheter de produits israéliens ».

    Il espère que les militants feront appel de leurs condamnations devant la Cour européenne des droits de l’homme.

    Sa jurisprudence, dit-il, est « traditionnellement plus protectrice de la liberté d’expression » que celle du système judiciaire français et ainsi, elle « donne des raisons d’espérer à tous ceux qui sont choqués par une décision qui isole totalement la France ».

    BDS France demande qu’il soit mis un terme aux poursuites des militants basées sur le décret Alliot-Marie de 2010, et il affirme son soutien aux personnes condamnées pour leur expression.

    Invaincu par la répression du gouvernement, BDS France « appelle toutes les personnes, en France comme partout dans le monde, à continuer de mettre en œuvre la décision du peuple palestinien : promouvoir une campagne de boycott, désinvestissement et sanctions contre l’État d’Israël, jusqu’à ce qu’il respecte le droit international et les principes universels des droits humains.

    « Pour tout citoyen de conscience, soucieux des droits et de la dignité des peuples, BDS est non seulement un droit, mais aussi un devoir moral ! »

    Ali Abunimah

    Traduction : JPP pour BDS France

    Source : Electronic Intifada : https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/france-now-more-repressive-boycott-calls-israel

  • Appels au boycott : la France aujourd’hui plus répressive qu’Israël
    Ali Abunimah Electronic Intifada |4 November 2015| Traduction : JPP pour BDS France
    http://bdsfrance.org/index.php?option=com_content&view=article&id=3889%3A2015-11-06-20-33-29&c

    Le 20 octobre, la chambre criminelle de la plus haute juridiction de France a confirmé la condamnation d’une dizaine de militants de la solidarité avec la Palestine pour avoir appelé publiquement au boycott des produits israéliens.

    Cette décision de la Cour de cassation en ajoute aux préoccupations déjà croissantes concernant la répression sévère de la liberté d’expression, soutenue par le Président français François Hollande, depuis les assassinats de journalistes dans les bureaux du magazine Charlie Hebdo en janvier.

    Elle fait aussi de la France, avec Israël, le seul pays à pénaliser les appels à ne pas acheter les produits israéliens.

    Mais la loi française qui prévoit des sanctions pénales est probablement plus sévère que celle d’Israël, laquelle autorise de poursuivre les partisans du boycott pour dommages financiers, mais pas de les emprisonner.(...)

  • Sur le jugement de la Cour de cassation concernant l’appel au boycott de produits israéliens : suite

    http://seenthis.net/messages/422647
    http://seenthis.net/messages/422778
    http://seenthis.net/messages/423141
    http://seenthis.net/messages/423789
    http://seenthis.net/messages/425462
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2015/11/06/declarationsanalyses-contre-la-criminalisation-de-la-campagne-b

    Appels au boycott : la France aujourd’hui plus répressive qu’Israël
    Ali Abunimah, The Electronic Intifada, 4 November 2015
    http://www.bdsfrance.org/index.php?option=com_content&view=article&id=3889%3A2015-11-06-20-33-29&c

    When ‘free speech’ is French for ‘imperialism’
    Faraz Talat, Dawn, 6 novembre 2015
    http://www.dawn.com/news/1217886/when-free-speech-is-french-for-imperialism

    Un article d’avant l’arrêt de la cour de cassation :

    La tentative de pénalisation des appels au boycott des produits israéliens par les circulaires Alliot-Marie et Mercier
    Ghislain Poissonnier et Jean-Christophe Duhamel, RDLF 2015
    http://www.revuedlf.com/non-classe/la-tentative-de-penalisation-des-appels-au-boycott-des-produits-israeliens

    #Palestine #BDS #France #Boycott #Justice #Cour_de_cassation #Censure #Liberté_d_expression #JeSuisBDS
    #recension