person:amar saadani

  • Le Cartel du FLN dirigiste met au placard Saâdani...
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2945

    Amar Saâdani, profil conventionnel du gotha des détrousseurs et médiocres qui font des biens publics et de l’économie algérienne un butin qui leur est promis, est passé par la présidence de l’assemblée nationale, avant de prendre en main le destin du parti FLN. Parvenu des bas grades aux hautes hiérarchies, il rebondit dans la diplomatie avec sa loyauté à Bouteflika. De la direction d’un appareil à gagner les élections, auquel le clan présidentiel enjoint un contrôle absolu, il continua les holdups qui (...)

    développement durable, préservation, richesse nationale, population, activité, synergie, perspective.

    / censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , #crise,_capitalisme,_économie,_justice,_Bourse, économie, politique, arts, (...)

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  • DOCUMENT. Quelle fut la mission de Saadani ? - Le blog de algerie-infos
    http://www.algerieinfos-saoudi.com/2016/10/document.quelle-fut-la-mission-de-saadani.html

    DOCUMENT. Quelle fut la mission de Saadani ?
    "Fin de mission", est le titre choisi par de nombreux journaux après la démission et le remplacement de Amar Saâdani, secrétaire du FLN depuis le 29 août 2013. Quelle mission ? Quelques semaines après sa nomination à la tête du principal parti de la "majorité", des déclarations tonitruantes à l’agence Reuter sont suivies d’une interview au site TSA-Algérie, où il affirme : « Le DRS continuera à jouer son rôle mais ne sera plus impliqué dans la vie politique, dans les partis, les médias et la justice », « Le temps des "faiseurs de rois" est terminé parce que l’objectif de Bouteflika est de bâtir un État civil ». Notre blog l’avait alors mis en ligne sous le titre "une intéressante interview du secrétaire général du FLN".

    Propos recueillis par Achira Mammeri, 3 novembre 2013

     L’Agence Reuters a rapporté des déclarations qu’elle vous a attribuées sur le rôle du DRS et de l’armée. Avez-vous tenu ces propos ? Les avez-vous démentis ?

    Amar Saadani. J’ai démenti ceux qui, à l’intérieur ou à l’extérieur du parti, ont tenté de démentir mes déclarations à Reuters. À ces gens-là, je dis, SVP, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Ne démentez pas à ma place. Je l’ai dit et je le répète. Aucun département n’a le droit de s’impliquer dans la vie politique, la justice et la presse. Il faut en finir avec le pouvoir parallèle.
    Lorsque le journaliste de Reuters m’a posé la question sur le rôle du DRS, j’ai dit simplement que ce département ne doit pas avoir une quelconque influence ou pouvoir sur la presse, la justice et la politique. C’est très clair et je n’ai cessé de répéter cela depuis 2006. Oui, je répète que le pouvoir parallèle ne doit plus exister. Il faut instaurer une République où les institutions travaillent dans le cadre arrêté par la Constitution et non en dehors de ce cercle.

    Pourquoi attendre la veille des élections présidentielles pour opérer des changements au sein du DRS ?
     Depuis son élection en 1999, le président de la République s’emploie à bâtir un État civil où les droits sont respectés et les devoirs consolidés. Il a amorcé ce processus en instaurant des réformes dans différents secteurs. Après la levée de l’état d’urgence, il a estimé que chaque département et chaque institution doit reprendre son rôle initial. C’est dans ce contexte que les changements au sein du DRS ont été annoncés.
     Aujourd’hui, il est impératif de libérer l’action politique, médiatique et la justice. J’ai bien cité ces trois éléments dans un organe étranger, puisque dans le monde entier une justice libre, une presse forte et une classe politique indépendante sont les trois fondements d’un État civil. Je ne comprends pas pourquoi certains veulent préserver la mainmise du DRS sur ces trois domaines. Gérer la presse, la justice et la classe politique n’est pas des prérogatives du DRS.
    Certains défendent le DRS comme si, au FLN, on l’avait accusé de quoi que ce soit. Il ne faut pas perdre de vue que le DRS n’est qu’un département au sein du MDN. Ce n’est pas une institution. Lui permettre d’exercer en dehors de ce cadre serait l’inciter à sortir du cadre fixé par la Constitution.
     Personnellement, je ne comprends pas pourquoi les militaires sont présents aux APC, dans les différentes administrations, etc. Pourquoi le DRS mène des enquêtes d’habilitation pour les cadres alors que c’est une prérogative de la justice. Est-il normal qu’un citoyen algérien soit interrogé à l’intérieur d’une caserne ? Comment expliquer ces pressions exercées sur la presse à travers la publicité ? Et ce tutorat exercé sur la classe politique ?
     Par ailleurs, Il y a d’autres éléments qui ont précipité ces changements. Je citerai, entre autres, l’attaque de Tiguentourine et le fait que le Président soit en fin de mandat et veut réaliser son projet, celui d’instaurer un État civil. Il est le seul apte à mener et à défendre à terme ce projet.

    On vous accuse aussi de mener une campagne contre des institutions de l’État…

    Je le répète : d’abord le DRS n’est pas une institution, mais un département du ministère de la Défense nationale. Ensuite, le FLN appuie et défend l’armée nationale et ne peut que soutenir ses actions, menées dans le cadre de la protection de nos frontières, ainsi que ses missions humanitaires.

    Depuis votre élection à la tête du FLN, vous vous êtes exprimé sur des questions très importantes en relation directe avec la gestion des affaires de l’État. Certains pensent que le SG du FLN a outrepassé ses prérogatives ? Qu’en pensez-vous ?

    Je dirige le parti de la majorité au Parlement. Nous sommes là pour concrétiser notre projet politique, celui d’instaurer un État civil. Dans ce cadre, mes positions en ma qualité du chef du FLN, je les exprime en toute liberté et sans hésitation. À ceux qui pensent que le ton a changé, je leur dirais que le FLN se renouvelle et sera désormais présent pour commenter l’actualité.

    Abdelmalek Sellal, à partir de Sétif, a reproché « à certains » sans les citer de « vouloir parler au nom des institutions ». Une déclaration qui sonne comme un rappel à l’ordre au SG du FLN…
     
    Sellal n’est pas fait pour la politique. Sur ce terrain, il est un mauvais joueur. Il devrait se contenter de son rôle dans l’exécutif.

    Vous avez appelé le Président à briguer un quatrième mandat, alors que ce dernier s’est complètement effacé de la scène politique depuis plusieurs mois, à l’exception de quelques apparitions brèves sur la télévision nationale…

    Beaucoup de voix se sont élevées pour empêcher le président Bouteflika de se présenter aux élections présidentielles de 2014. Au FLN, on confirme : Bouteflika est notre candidat.
     

    Va-t-il se présenter à cette échéance ?

    Oui. Bouteflika sera candidat. Il l’annoncera au moment opportun.
     

    Est-il en mesure de diriger le pays malgré sa maladie ?

    Bouteflika se rétablit doucement mais sûrement et d’ici le mois d’avril, il sera prêt pour mener cette course. Seuls ses médecins sont habilités à définir son état de santé. Le Président n’est pas absent. Il rencontre les cadres. Il donne les orientations. Et c’est lui qui gère le pays.

    Ali Benflis a l’intention de se porter candidat...
    Nous n’avons rien contre M. Benflis. Il est libre de tenter sa chance, mais ça ne sera pas avec le FLN.

    Le projet de révision constitutionnelle est-il maintenu ?

    Absolument. La loi fondamentale sera revue avant les présidentielles.

    Des partis de l’opposition ne voient pas l’utilité de revoir ce texte avant les présidentielles contrairement au FLN…

    En tant que parti majoritaire, cette Constitution nous arrange parfaitement ; mais notre objectif qui est celui de Bouteflika aussi est d’instaurer un État civil. Et ça, seul Bouteflika est capable de le faire. Je ne comprends pas l’attitude de certains partis qui s’interrogent sur la finalité de cette démarche, alors que ces mêmes partis ont pris part aux discussions dirigées à l’époque par Abdelkader Bensalah. Ces partis sont concentrés sur les présidentielles. Rien d’autre ne les intéresse.

     Que va apporter la nouvelle Constitution ?
    Il y aura des changements en rapport avec la nature du régime, le contrôle de l’exécutif, l’indépendance des pouvoirs…

    Hier, à l’occasion d’une réunion avec ses cadres, le secrétaire général par intérim du RND a ouvertement critiqué le FLN. Bensalah a estimé que « Bouteflika est grand pour être le candidat d’un seul parti ». Comment avez-vous reçu ses messages ? 
    M. Bensalah ignore l’histoire et fait semblant d’ignorer l’histoire de Si Abdelkader. Ceux qui veulent faire du FLN un wagon et non une locomotive sont des personnes qui vivent dans le passé. Le peuple a donné la majorité au FLN. Notre parti ne sera jamais un wagon mais la locomotive.

    Contrairement à TAJ et au PT, le RND n’a pas répondu à l’initiative de dialogue que vous avez lancée avec les partis politiques…

    On va discuter avec le RND après le congrès. M. Bensalah semble nous demander de stopper ce dialogue jusqu’à la l’élection des nouvelles instances du RND, ce qui serait une erreur politique.

    Vous avez envoyé une lettre à Hocine Ait Ahmed, assisté à la conférence sur l’énergie organisée par le FFS. Allons-nous vers un rapprochement entre les deux formations ?
    Je n’ai pas envoyé une lettre politique à Hocine Ait Ahmed. Je n’attends pas de réponse de sa part. Cette lettre est pour moi un geste de reconnaissance envers cet homme, envers cette grande figure de l’histoire algérienne. Sur le plan politique et historique, je trouve qu’on a été injuste avec cet homme et avec son parti. Il faut que cette situation cesse. Sur le plan politique, je n’ai engagé aucune discussion avec le FFS, ni solliciter son aide. 

    Êtes-vous pour l’officialisation de Tamazight ?
    Tamazight c’est une langue nationale. Au FLN, on appuie toutes les mesures qui visent à consolider et à enseigner cette langue.

    Le drapeau algérien a été arraché au Maroc. Les relations entre les deux pays sont très tendues. Quelle est votre réaction ?
    Au FLN, l’on appelle à l’apaisement. L’instabilité dans la région n’est ni dans l’intérêt de l’Algérie ni dans celle du Maroc. Ce qu’a fait le jeune Marocain à Casa est très grave. Mais encore une fois, on appelle au calme et à l’apaisement.

  • La session du comité central du FLN, qui a la majorité des sièges de l’assemblée nationale, le mardi 24 juin, a vu le maintien à sa tête d’Amar Saadani qui a moins compté sur les voix de ses partisans que sur les coups de ses hommes de main...

    Il faut une guerre de libération contre le FLN
    http://www.lequotidien-oran.com/?news=5199972

    Il faut une guerre de libération contre le FLN
    par Kamel Daoud

    Obsédante : la photo qui circule. Celle de cet homme gabarit videur, ceinture en cuir à la main, marcel sur la peau, dans le hall de l’Aurassi, l’hôtel d’Alger. C’était à l’occasion d’une réunion du FLN, entre ses deux ailes et ses dix mille pieds. Affrontement par videurs et hommes de main interposés. A peine un changement d’avec la vieille recette des dobermans à Mostaganem. C’est votre parti unique. Le dépositaire de votre mémoire. Le gardien de votre souvenir. L’artisan de votre guerre de libération. Le représentant de votre identité de peuple à peine venu au monde. C’est le FLN niveau rats. A coups de bâton et de pieds. A coups de malfrats. L’homme qui avait été exilé en 79, inculpé pour détournement et exposé dans El Moudjahid, doit bien se réjouir. « Mangez-vous entre vous ! ». Assouvissement. Pour le reste, l’indignité nous frappe depuis si longtemps que l’on peine à trouver en soi un semblant de réaction. De Larbi Ben M’hidi, assis dans sa geôle souriant, à ce Saïdani, affalé sur un fauteuil en cuir, visage gras, souriant de sa victoire contre le bon sens et la décence. On l’a déjà dit.

    Il ne reste presque rien pour réagir. Si un jour, on nous montre une bataille de proxénètes dans un hôtel, sous le sigle de ce vieux parti, personne ne trouvera rien à dire. On n’a ni la peau, ni le sens, ni l’envie de sortir de la tombe. Rien qui n’atteigne le mort. C’est sa solution. Se transformer en cadavre est le seul moyen de survivre à la poubelle qui vous entoure. Ne pas respirer, ne pas cligner des yeux. Se concentrer sur le ciel ou la dalle. Cela finira par passer. Cela ne me concerne pas. Je ne suis pas vivant, donc pas responsable. Je ne bouge pas et ils finiront par s’en aller. Je ne suis rien. Qu’ils prennent tout. Ils finiront pas tomber dans un puits ou dans l’obésité et mourir. Ou se lasser.

    Sauf que cela n’est pas vrai. Soit on meurt, soit on est concerné.

    Il faut qu’un jour neuf Algériens se réunissent en cachette dans une arrière-boutique. Décident de front. Puis sortent dans la rue, aillent chez le coiffeur pour se faire beau et prendre une photo historique. Puis déclenchent la guerre de libération contre le FLN. Le traquer en national et en international. Le cerner. Déclencher des grèves, des marches, des opérations rideaux baissés. Mener une lutte implacable pour libérer le pays du FLN. Les douars, les villes, juger les caïds et les indicateurs de ce parti. S’armer du reste de l’alphabet et des évidences et des révélations. Créer une fédération de France pour traquer les biens immobiliers, les enfants scolarisés, les crédits et les comptes. Revoir les couplets de l’hymne. « Non FLN, je ne te fais aucun serment ». Poursuivre avec foi et hymne la Libération-bis jusqu’à ce que ce parti soit dissous, rendu à la mémoire ou exilé ou jugé.

    C’est le seul moyen. Car si non, l’indépendance n’est qu’une délocalisation de colons. Car autrement, on en finira pas avec ces histoire d’hôtels, d’agréments de videurs, de chiens, de tamponné au front, de danseur Kabuki et de petits malfrats.

  • Algérie ; Autre interprétation de la diatribe e Saadani contre Toufik, l’opposition persistante de ce dernier à un 4e mandat présidentiel de Bouteflika...

    Le scrutin du 17 avril divise
    Pourquoi le clan présidentiel cible Toufik
    http://www.elwatan.
    le 04.02.14 | 10h00 67 réactions

    Le secrétaire général du FLN a mené hier une attaque en règle contre le chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le général-major Mohamed Médiène dit Toufik. Visiblement sonnés de voir s’éloigner l’option d’un 4e mandat pour Bouteflika, Amar Saadani et ceux, comme lui, qui y travaillent depuis des mois semblent ainsi perdre leur sang-froid.

    L’attaque virulente de Amar Saadani contre le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) et plus particulièrement contre son chef, en la personne du général-major Mohamed Médiène dit Toufik, cache mal l’état de panique chez les partisans du 4e mandat pour le président sortant, Abdelaziz Bouteflika, toujours convalescent. Ce déchaînement violent (voir l’extrait de l’entretien diffusé sur un site électronique) semble plutôt une réaction de bête blessée. Cette attaque intervient étrangement au lendemain du démenti formel apporté par le ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz, à l’information (donnée d’ailleurs par le même média) selon laquelle le président Bouteflika aurait retiré le formulaire de candidature. 

    Les propos de M. Belaïz résonnent comme une déclaration de « la non-candidature » du président Bouteflika pour des raisons qui seraient strictement liées à son état de santé. Cela bien que le concerné ne se soit jusque-là jamais exprimé sur la question. Du moins de manière officielle.

    Visiblement sonnés par le fait de voir s’éloigner l’option tant défendue d’un 4e mandat, Amar Saadani et ceux, comme lui, qui travaillent depuis des mois dans ce sens semblent ainsi perdre leur sang-froid. Si le président Bouteflika capitule, cela acterait la fin politique de tous ceux qui font la promotion, avec zèle et insistance, de son maintien au pouvoir. C’est ce qui expliquerait cette sortie grave du patron contesté du FLN, qui s’attaque frontalement et sans retenue au chef du DRS, qu’il accuse de tous les maux de l’Algérie. Amar Saadani, de l’avis de beaucoup d’observateurs, n’aurait pas agi seul.

    Il aurait été donc ligué contre le DRS par ceux qui veulent imposer un 4e mandat non pas parce qu’ils veulent, comme il le dit, instaurer un « Etat civil », mais plutôt pour protéger des intérêts énormes et surtout se garantir une impunité. Cette analyse est d’ailleurs corroborée par les propos de l’auteur lui-même, Saadani en l’occurrence, qui affirme qu’il n’y a pas de corruption en Algérie et que les affaires de Sonatrach et autres ont été préfabriquées par les agents du DRS sur ordre du général-major Toufik contre des hommes dits « intègres », à l’instar de Chakib Khelil dont il défend la probité.

  • les nationalistes du FLN et les trotskistes du PT dénoncent ensemble le Printemps arabe.

    Le printemps arabe, un chaos programmé avec un soutien étranger (PT et FLN) - APS : Algérie Presse Service
    http://www.aps.dz/Le-printemps-arabe-un-chaos.html

    ALGÉRIE
    (APS) lundi 4 novembre 2013 11 : 03
    Le printemps arabe, un chaos programmé avec un soutien étranger (PT et FLN)
    ALGER - Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Amar Saadani et la secrétaire générale du parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune ont affirmé dimanche lors d’une conférence de presse conjointe à Alger que les prétendues « révolutions du printemps arabe ne sont qu’un chaos programmé avec le soutien de parties étrangères ».

    Le PT rejoint le point de vue du FLN sur le prétendu printemps arabe qui n’est en vérité qu’ « un chaos programmé dans le but de déstabiliser les Etats et les peuples » appelant tous les partis politiques à assumer leur responsabilité, a affirmé la secrétaire générale du PT.

    Les deux partis, a-t-elle dit « ne veulent donner l’occasion à aucune partie étrangère pour s’ingérer dans les affaires internes de l’Algérie qui est souveraine dans ses décisions ».

    « Ces prétendues révolutions relèvent de manœuvres de parties hostiles aux peuples et les Etats puissants qui les soutiennent sont dans une situation embarrassante car l’organisation terroriste Al-Qaida est présente en Syrie et le terrorisme active en Libye », a ajouté Mme Hanoune.

    « Ce que vivent certains Etats est loin d’être une révolution. C’est un complot financé de l’extérieur avec procuration émanant de l’intérieur », a-t-elle insisté