person:antoine jacob

  • 15.000 jeunes accueillis en familles à Riga pour la 39è rencontre œcuménique internationale de Taizé

    https://www.lettonie-francija.fr/riga-taize-rencontre-jeunessse-oecumenique-1180?lang=fr&var_mode=r

    Riga accueille 15000 jeunes : 39è rencontre oecuménique internationale de Taizé

    Les jeunes ont soif de paix et de réconciliation dans un pays qui chante
    Pour la 1ère fois un pays Balte accueille les rencontres internationales de Taizé.

    Le 39è rassemblement œcuménique international de la jeunesse de Taizé, du 28 décembre 2016 au 1er janvier 2017 est à Riga, capitale de la Lettonie. Cette rencontre préparée par la communauté de Taizé, à l’invitation des diocèses luthérien, catholique de Riga et d’autres églises, va rassembler plusieurs dizaines de milliers de jeunes : une nouvelle étape du « pèlerinage de confiance sur la terre » commencé par frère Roger à la fin des années 70. Des jeunes de toute l’Europe et d’ailleurs seront accueillis par les paroisses, les communautés et les familles de toutes confessions de la Lettonie.

    Depuis 1978, entre le 28 décembre et le 1er janvier, la Communauté de Taizé organise un rassemblement annuel qui réunit des dizaines de milliers de jeunes adultes de toute l’Europe, de toutes les Églises chrétiennes et de tous les milieux.

    Frère Benoît, l’un des membres de la communauté de Taizé, rappelle cette longue tradition luthérienne de la capitale européenne au micro d’Antonino Galofaro de Radio Vatican :
    http://media02.radiovaticana.va/audio/audio2/mp3/00562910.mp3

    Taizé {JPEG} Après Rome (2012), Strasbourg (2013), Prague (2014) et Valence en 2015, la rencontre de 2016 a lieu à Riga, en Lettonie, comme l’a annoncé frère Alois, prieur de la communauté de Taizé depuis la mort de frère Roger (août 2005). Pour la première fois dans un pays balte.

    La Communauté installée depuis plus de 76 ans à Taizé, un petit village de Saône & Loire, y accueille chaque année des milliers de jeunes et moins jeunes de toutes nationalités. Il faut avoir été au moins une fois dans sa vie à Taizé, pour mesurer et comprendre son rayonnement pacifique international. Le site web des frères de Taizé, est un des rares traduit en 35 langues dont le letton

    Frère Roger, fondateur de la Communauté, est arrivé dans le village de Taizé en août 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale. «  Depuis ma jeunesse, je pense que jamais ne m’a quitté l’intuition qu’une vie de communauté pouvait être un signe que Dieu est amour, et amour seulement. Peu à peu montait en moi la conviction qu’il était essentiel de créer une communauté avec des hommes décidés à donner toute leur vie, et qui cherchent à se comprendre et à se réconcilier toujours  : une communauté où la bonté du cœur et la simplicité seraient au centre de tout.  » Frère Roger

    "Ce sont les jeunes qui font l’Europe"

    Cette fin d’année 2016 les 39e rencontres européennes de jeunes se déroulent à Riga à l’autre bout de l’Europe. Du 28 décembre 2016 au 1er janvier 2017 près de 15000 jeunes vont être accueillis en Lettonie.

    https://dai.ly/x56io76

    Radio RCF se mobilise pour couvrir la rencontre de Riga.
    Une équipe est sur place pour réaliser reportages, interviews et magazines en direct. Point d’orgue de la programmation spéciale : 3h30 d’antenne en direct le 31 décembre au soir.
    Samedi 31 décembre journée spéciale :

    8H et 8H45 Deux séquences spéciales
    12H-13H Table-ronde spéciale "Accueillir les migrants et les réfugiés" , avec des personnes engagées dans l’hospitalité.
    21H-00H30 Émission spéciale en direct de Riga, avec la participation de nombreux jeunes, des reportages et un temps de prière pour la paix

    Dimanche 1er janvier Journée Mondiale de la Paix .
    Le dimanche 1er janvier à 8h, à l’occasion de la journée mondiale de la paix, séquence spéciale depuis Riga. Sans oublier une couverture de la rencontre de Riga dans tous les journaux de la rédaction à 7h30 et 19h.

    "Les jeunes ont soif de paix"

    L’espoir qui rayonne de ce rassemblement pacifique de la jeunesse internationale est fort. Qu’il se déroule aujourd’hui en Lettonie indépendante, un pays qui a subi l’occupation russe soviétique entre 1940 et 1991 est significatif. Le Pape François l’a bien mesuré en appelant les jeunes à « être des protagonistes de l’histoire et ne pas laisser les autres décider de leur avenir ».

    La Lettonie, pays naturellement œcuménique
    En Lettonie, les chrétiens de toutes confessions ont pris l’habitude de construire des liens profonds. Antoine Jacob, correspondant à Riga l’explique dans son article paru dans la Croix ce 27 décembre :
    "En Lettonie, les Églises chrétiennes « collaborent et dialoguent bien »

    "À Riga même, la majorité des chrétiens sont orthodoxes. Les 2 000 jeunes Ukrainiens et les 100 à 200 Russes attendus cette semaine ne seront pas dépaysés. Limitrophe de la Russie et de la Biélorussie, la Lettonie compte des minorités en provenance de ces pays, arrivés avant la création de l’État letton, en 1918, ou durant la période soviétique (1944-1991).

    Cette spécificité lettonne n’est généralement pas source de tensions, au contraire. Réprimées durant l’occupation, les Églises chrétiennes « collaborent et dialoguent bien » : « Nous nous aidons les unes les autres, autant que possible. Quand le cardinal Pietro Parolin, le secrétaire d’État du Vatican, est venu en mai, il a dit n’avoir jamais vu une aussi bonne entente ailleurs », se félicite l’archevêque catholique, Mgr Zbignevs Stankevics.

    Recevant dans son bureau, au cœur de la vieille ville, ce responsable cite des exemples. « En août, pour le 25e anniversaire de la restauration de notre indépendance, j’ai été invité à faire le sermon principal à la cathédrale luthérienne de Riga. Et tous les 18 novembre, jour de la Fête nationale, nous tenons une liturgie œcuménique », en présence des dirigeants politiques.
    « Les hommes politiques prennent en considération nos points de vue »

    Cette entente sert à peser dans le débat public, en particulier sur des questions de société. Ensemble, les Églises chrétiennes ont obtenu que soit mentionné dans la Constitution de la République le fait que le mariage est « l’union entre un homme et une femme ». En 2014, un préambule est ajouté à ce document, qui évoque les « valeurs communes humanistes et chrétiennes » fondant « l’identité » du pays. Préambule qui se termine par « Dieu bénisse la Lettonie ! » qui est l’hymne national Letton.

    La Lettonie, est le pays qui s’est choisi une prière non violente comme hymne national, parmi des centaines de chansons légendaires, regardez ici quand les lettons entonnent "Dievs, Sveti Latviju"
    https://www.youtube.com/watch?v=PU4RW2a2nK0

    A votre avis, ce naturel œcuménisme, est-il renforcé ou créé, par la culture chorale de la Lettonie ?

    Chanter en grands chœurs, développer la culture chorale dans tout le pays, favorise-t-il cette création de profonds liens de respect dans la société lettone, malgré les difficultés économiques ?

    –* Qu’en pensez-vous ?

    #Riga #Lettonie #oecuménisme #Taizé #Rcf #hymne #églises #chrétiens #orthodoxe #catholique #luthérien #juif #paix #réconciliation

  • La Lettonie accueille les milliers de jeunes européens de Taizé

    http://www.la-croix.com/Religion/Monde/La-Lettonie-prepare-accueillir-jeunes-europeens-Taize-2016-12-27-120081315

    La Lettonie se prépare à accueillir les jeunes européens de Taizé
    Antoine Jacob, correspondant à Riga (Lettonie)

    Quinze mille jeunes sont attendus à partir du 28 décembre et jusqu’au 1er janvier à Riga, en Lettonie, pour la Rencontre européenne de Taizé.

    Les Églises catholique, luthérienne et orthodoxe du pays s’entendent pour peser sur des débats de société.
    « Que près de 15 000 jeunes viennent ici, nouent des relations entre eux et avec les familles d’accueil, c’est formidable ! »
    ZOOM


    « Que près de 15 000 jeunes viennent ici, nouent des relations entre eux et avec les familles d’accueil, c’est formidable ! » / Antoine Jacob

    À l’église Sainte-Gertrude, dans le centre de Riga, le repas de Noël pour les nécessiteux vient à peine de s’achever qu’arrivent les premiers volontaires étrangers, sac au dos. Ceux-ci viennent d’Allemagne. Ils aideront au bon déroulement de la première rencontre européenne organisée par la communauté de Taizé dans un pays balte, à partir du 28 décembre et jusqu’au 1er janvier.

    Krists Kalnins, pasteur officiant dans cette église de style néogothique, n’en revient toujours pas que cette communauté œcuménique basée en Saône-et-Loire ait choisi la capitale de la Lettonie pour la 39e édition de cet événement. « Que près de 15 000 jeunes viennent ici, nouent des relations entre eux et avec les familles d’accueil, c’est formidable ! »

    Pour ce Letton né il y a 47 ans, durant l’occupation soviétique de son pays, l’événement revêt une signification particulière. Une fois l’indépendance lettonne retrouvée, en 1991, il s’est rendu à Taizé à une douzaine de reprises. Comme pour des compatriotes de sa génération, c’était sa première sortie dans le monde occidental.

    « Nous n’avions pas un sou. Les autobus étaient en mauvais état. Nous dormions là où on pouvait. C’était une époque un peu folle… », glisse-t-il. Autre pasteur servant à Sainte-Gertrude, Rinalds Grants, lui, y est allé sept ou huit fois : « Il y avait beaucoup plus de candidats au voyage que de places disponibles. Notre pasteur sélectionnait les chanceux. »
    En Lettonie, les Églises chrétiennes « collaborent et dialoguent bien »

    Cette année, c’est donc vers Riga que convergent des jeunes de toute l’Europe, ainsi que, en nombre plus faible, d’autres continents. L’invitation a été formulée en commun par les responsables des Églises catholique, orthodoxe, évangélique-luthérienne et baptiste de Lettonie.

    Les trois premières d’entre elles sont les mieux représentées dans ce pays peuplé d’à peine deux millions d’habitants, où le christianisme a pris racine au début du XIIIe siècle. Environ un quart de la population est catholique, un quart luthérienne et un quart orthodoxe.

    À Riga même, la majorité des chrétiens sont orthodoxes. Les 2 000 jeunes Ukrainiens et les 100 à 200 Russes attendus cette semaine ne seront pas dépaysés. Limitrophe de la Russie et de la Biélorussie, la Lettonie compte des minorités en provenance de ces pays, arrivés avant la création de l’État letton, en 1918, ou durant la période soviétique (1944-1991).

    Cette spécificité lettonne n’est généralement pas source de tensions, au contraire. Réprimées durant l’occupation, les Églises chrétiennes « collaborent et dialoguent bien » : « Nous nous aidons les unes les autres, autant que possible. Quand le cardinal Pietro Parolin, le secrétaire d’État du Vatican, est venu en mai, il a dit n’avoir jamais vu une aussi bonne entente ailleurs », se félicite l’archevêque catholique, Mgr Zbignevs Stankevics.

    Recevant dans son bureau, au cœur de la vieille ville, ce responsable cite des exemples. « En août, pour le 25e anniversaire de la restauration de notre indépendance, j’ai été invité à faire le sermon principal à la cathédrale luthérienne de Riga. Et tous les 18 novembre, jour de la Fête nationale, nous tenons une liturgie œcuménique », en présence des dirigeants politiques.
    « Les hommes politiques prennent en considération nos points de vue »

    Cette entente sert à peser dans le débat public, en particulier sur des questions de société. Ensemble, les Églises chrétiennes ont obtenu que soit mentionné dans la Constitution de la République le fait que le mariage est « l’union entre un homme et une femme ». En 2014, un préambule est ajouté à ce document, qui évoque les « valeurs communes humanistes et chrétiennes » fondant « l’identité » du pays. Préambule qui se termine par « Dieu bénisse la Lettonie ! »

    Mgr Stankevics parle volontiers des « lettres ouvertes » qu’il a envoyées, avec les responsables des autres Églises, pour plaider, par exemple, en faveur d’une loi « visant à interdire la propagande immorale à l’école, c’est-à-dire, implicitement, la propagande homosexuelle », précise-t-il. Malgré les vives critiques d’une partie de la société civile et des médias, le texte a été adopté en 2015. « Quand nous agissons ensemble, les hommes politiques prennent en considération nos points de vue, même s’ils ne sont pas nécessairement d’accord avec nous », constate l’archevêque.

    À Sainte-Gertrude, le pasteur Krists est sur la même longueur d’onde. Et il regrette que l’Église luthérienne de Suède, de l’autre côté de la Baltique, beaucoup plus libérale que celle de Lettonie, « ait perdu les valeurs communes des Églises chrétiennes, qui viennent de l’Évangile. » Autant de thèmes qui pourraient être abordés parmi les jeunes réunis à Riga.

    > À lire : Quand des jeunes catholiques et protestants font leur confirmation ensemble
    Antoine Jacob, correspondant à Riga (Lettonie).

    #Églises_chrétiennes #Riga #Lettonie #taizé #jeunes #jeunesse #chrétiens #orthodoxes #oecuménisme

  • PASOS | Baltic group : Poland, Lithuania, Latvia and Estonia

    http://pasos.org/14916/baltic-group-poland-lithuania-latvia-and-estonia

    La Russie toujours le grand méchant pour ls Polonais et aussi pour les Baltes.

    Via Antoine Jacob sur FB

    The majority of Poles and the inhabitants of the Baltic states believe that Russia represents a military threat to their countries, although there are big differences among respondents from individual states, according to the results of an Institute of Public Affairs survey.

    The study found that 80 percent of Poles, 60 percent of Lithuanians, 59 percent of Estonians and 43 of Latvians said that they have such concerns.

    “In the case of Latvia and Estonia, the impact of ethnic divisions on the survey results is clearly visible,” the report states. “Among the people of Estonian nationality, the sense of military threat from Russia is almost identical as that among Poles (80%), and among the inhabitants of Latvia who are of Latvian nationality it is only slightly less frequent (69%). Whereas, very few Estonian (7%) and Latvian (5%) Russians point to such threat.”

    #russie #pologne #pays_baltes

  • Arts and a Nation

    The Role of Visual Arts and Artists in the Making of the Latvian Identity, 1905-1940

    signalé par Antoine Jacob que je remercie

    http://www.brill.com/products/book/arts-and-nation

    http://www.brill.com/sites/default/files/styles/large/public/ftp/images/products/295x295/87784.jpg?itok=oaP2jjAk

    Suzanne Pourchier-Plasseraud

    Focusing on the role of arts in the construction of national identity, Suzanne Pourchier-Plasseraud has chosen to study the case of a country lacking an ancient state history of its own, Latvia. This book analyses the part played by the visual arts in transmuting the cultural concept of a nation, advocated by a small intelligentsia, into a widespread claim for independence. By the end of the 19th century, fretting under Russian political domination and German economic and cultural supremacy, the Latvians turned back to their own language, culture and folklore, with a special interest for their dainas, their timeless common heritage rooted into a mythical golden age. Latvian artists thus found themselves entrusted with the mission of creating a national iconographic representation and a specifically Latvian art, freed from Russian and German influences. The author shows how the links between the cultural and political spheres evolved between 1905 and 1940, including during the period of authoritarian government preceding WWII. An enlightening contribution to understanding how art and history can be turned into social and political instruments, this book reaches far beyond the Latvian case to a European and even global scope.

    #art #lettonie #peinture

  • Antoine Jacob, Journaliste à Riga suivant l’actualité du monde nordique, écrit sur facebook :

    http://jacobnordiques.blogspot.no

    « ...Deux semaines après la rentrée des classes en Suède, le plus grand groupe d’écoles "libres" (privées) du pays, Academedia, a indiqué qu’il allait être mis en vente. Son propriétaire, la société de capital risque EQT (famille Wallenberg), a confirmé vouloir s’en séparer. Trouvera-t-il acquéreur, lequel ? Sinon, Academedia sera-t-il introduit en bourse ? Tout se passera bien, on est en Suède ! Pendant ce temps-là, non non et non, les quelque 60 000 élèves étudiant dans les établissements d’Academedia (sans parler des 30 000 adultes qui y suivent des formations) et les 12 000 salariés du groupe n’auront pas l’impression d’être de la marchandise qu’on achète et qu’on vend. Et si on se les échange, c’est qu’ils ont de la valeur, n’est-ce pas ?... »

  • La mort du photographe Lars Tunbjörk

    https://www.agencevu.com/photographers/photographer.php?id=80

    Signalé par Antoine Jacob à Riga.

    Lars Tunbjörk

    Lars Tunbjork est représenté par la Galerie VU’

    Suédois. Né en 1956 à Boras. Vit à Stockholm.

    Qu’il dresse un portrait acide de la Suède, qu’il s’attache à l’univers cauchemardesque des bureaux ou à l’uniformité désolante des zones pavillonnaires pétries de goût petit-bourgeois, qu’il pointe la situation de ceux qui ont été marginalisés dans un pays pourtant vanté pour son système de protection sociale ou qu’il explore l’étrangeté d’une ville proche du cercle polaire, Lars Tunbjörk a totalement oublié le noir et blanc de ses débuts.

    Toute son énergie s’est portée sur l’exploration de la couleur, qu’il traite avec une connaissance profonde des recherches des grands Américains des années soixante-dix. C’est là son point de départ pour un questionnement du monde, série d’interrogations bien plus que constat, qu’il développe sans pessimisme mais avec une indéniable affliction, qu’il soigne par un humour souvent ravageur. Au fil du temps, le propos s’est radicalisé, épuré, est devenu de moins en moins anecdotique, pour aboutir à des séries dans lesquelles il ne représente plus les personnages mais impose les traces, souvent absurdes, de leur présence et de leurs actes.

    #photographie

  • Seljuks on the Baltic: Polish-Lithuanian Muslims in the Ottoman Empire | Historical Document | Worldbulletin News
    http://www.worldbulletin.net/news/154250/seljuks-on-the-baltic-polish-lithuanian-muslims-in-the-ottoman-empire

    Signalé par Antoine Jacob à Riga

    Polish-Lithuanian Muslims des rather from the noble and valiant line of the Seljuks, the ancestors of the Ottomans. Their “Risâle-i Tatar-i Leh” (Polish Tatar Account) was composed with the help of scholars from the Ottoman court and attempted to address the problems of a Muslim people that chose to settle in non-Muslim lands.

    Michael Połczyński

    In 1558 three Muslims from Poland-Lithuania left their homes and set out on hajj. Their journey to the holy cities of Mecca and Medina took them south to Istanbul where they were approached by Grand Vizier Rüstem Pasha and asked to write an account of the history and condition of the Muslim community in Poland-Lithuania for Sultan Süleyman I. As one of the largest integrated, legally protected Muslim populations living in Christian Europe during the early modern period, Poland-Lithuania’s Muslims, called “Lipka Tatars” in later times, had a unique relationship with the most proximate and powerful Muslim power, the Ottoman Empire. The “Risâle-i Tatar-i Leh” (Polish Tatar Account) was composed with the help of scholars from the Ottoman court and attempted to address the problems of a Muslim people that chose to settle in non-Muslim lands and that were compelled by historical legal and social obligations to fight for Christian princes, at times against their fellow Muslims.

    #islam #pays_baltes

  • Estonian man converted to Islam and went to fight with ISIS in Syria - DELFI

    http://www.delfi.ee/news/en/news/estonian-man-converted-to-islam-and-went-to-fight-with-isis-in-syria?id=706200

    signalé par Antoine Jacob à riga

    A man from Tallinn suburb, converted changed his name and became a radical.

    –His Facebook page carried a photo of him shouldering an RPG.

    –Estonian Security Police confirms: Sazanakov travelled to Syria to support and participate in jihad.

    Last Monday, just a few days after tragic events at the office of Charlie Hebdo in Paris, a man named Abdurrahman Azan added two photos on his Facebook page. The first one showed two machine guns of Russian origin placed on snowy ground. He made it his cover photo. The second showed him carrying an RPG, a shoulder-launched anti-tank weapon.

    #estonie #pays_balte #isis #is #jihadistes

  • The End of the Affair? « balticworlds.com

    http://balticworlds.com/the-end-of-the-affair

    signalé par Antoine Jacob à Riga

    The sense of unhappiness is so much easier to convey than that of happiness. In misery we seem aware of our own existence, even though it may be in the form of a monstrous egotism: this pain of mine is individual, this nerve that winces belongs to me and to no other. But happiness annihilates us: we lose our identity.”

    #pays_baltes #lettonie #europe

  • Riga 2014, capitale européenne de la culture - RFI

    http://www.rfi.fr/emission/20140608-1-riga-2014-capitale-europeenne-culture

    Avec entre autre l’excellent Antoine Jacob

    Carrefour de l’Europe est à Riga. Riga, capitale de la Lettonie est cette année capitale européenne de la culture (avec Umeå en Suède). Dix ans après son adhésion à l’Union européenne et cinq ans après une sévère crise économique... Comment va la Lettonie et comment ses habitants se sentent-ils au sein de l’Union Européenne ? Dans un pays ex-soviétique où la minorité russophone est importante, comment vit-on la crise ukrainienne ?

    Émission enregistrée à l’Institut français de Lettonie

    #lettonie

  • EUROPP – Nordic countries are not as similar or as ‘exceptional’ as conventional wisdom would suggest

    http://blogs.lse.ac.uk/europpblog/2014/03/28/nordic-countries-are-not-as-similar-or-as-exceptional-as-conventional-w

    Signalé par Antoine Jacob, journaliste à Riga

    Nordic countries are often treated as a separate, ‘exceptional’ group among European countries. Åsa Bengtsson writes that while this conception is extremely common, a closer look at voting behaviour and political engagement within Nordic countries reveals a different picture. There are in fact notable differences within the Nordic region which are at least as large as the variations between Nordic states and other countries in Western Europe.

    We all know the story. The Nordic countries, those five small states in the Northern parts of Europe are somehow peculiar, maybe because of the strength of the welfare state, maybe because of the number of medals in the Winter Olympics. Rich, stable, equal and perhaps a bit complacent is the usual verdict. When it comes to the political arena, scholars have even presented the Nordic countries as ‘exceptional’ or ‘happy’ democracies.

    #scandinavie #monde_nordique #norvège #perception

  • Lettonie. Entre euro, crise et austérité, un pays traumatisé, par Céline Bayou - La Documentation française

    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/pages-europe/d000704-lettonie.-entre-euro-crise-et-austerite-un-pays-traumatise-par-celine-bayou/article

    Article bien documpenté mais assez sévère sur la Lettonie, et une réaction intéressante d’Antoine Jacob qui vient modérer un peu le propos. Une bonne mise au point sur la Lettonie en cette fin d’année 2013.

    Lettonie. Entre euro, crise et austérité, un pays traumatisé

    Céline Bayou

    Depuis qu’une violente crise s’est abattue sur la Lettonie en 2008 – crise financière internationale doublée d’une crise économique interne –, le pays s’est infligé la plus sévère cure d’austérité d’Europe. Pays des records, il est passé d’une croissance annuelle du PIB fréquemment à deux chiffres (10,4 % en moyenne entre 2004 et 2006), se plaçant parfois en tête du peloton des États de l’Union européenne (UE), à une contraction violente de celui-ci (–17,7 % en 2009), se positionnant dès lors dans le groupe de queue. Le gouvernement a rapidement fait le choix d’une austérité radicale pour sortir au plus vite de la récession, quitte à en payer le prix fort. La constance de la population, manifestée lors des échéances électorales qui ont ponctué la période, en a étonné plus d’un. En effet, le Premier ministre Valdis Dombrovskis, membre du parti Vienotība (Unité, centre droit), a été à chaque fois reconduit dans ses fonctions, tandis que les rares manifestations organisées à Riga pour protester contre les baisses de salaires et autres réductions de prestations n’ont jamais été d’une ampleur susceptible de provoquer l’inquiétude du gouvernement(1).

    un commentaire fort intéressant d’Antoine Jacob, commentaire auquel je souscris :

    Antoine Jacob écrit :

    Dossier complet sur Riga, merci ! Et maintenant cet article. Il est intéressant, lui aussi, mais il me paraît un peu catastrophiste. Le pays n’est pas « traumatisé ». Oui, on encaisse le choc du supermarché, on peste intérieurement contre les ratages du système qui ont abouti à un tel drame, on compte ses sous avant le passage à l’euro en espérant que l’inflation ne sera pas trop forte, on réfléchit à prendre un boulot mieux payé hors du pays, on saisit les opportunités si elles se présentent, on s’interroge sur le pourquoi de la démission de Dombi, on se demande à quelle sauce le prochain gouvernement nous assaisonnera, les « bonnes surprises » qu’il nous réservera... Mais la vie continue, sans illusion aucune (depuis belle lurette) et avec le sentiment que tout ça n’est qu’une comédie. Et on garde un fond de joie de vivre qu’on ne partage le plus souvent qu’avec ses proches. Enfin, dire que la Lettonie « paraît bel et bien traverser une crise politique majeure » me semble exagéré. Les institutions fonctionnent : le gouvernement sortant assure l’intérim, le président de la République consulte (avec ses lubies certes), le parlement travaille (à sa manière certes). Des élections a priori démocratiques auront lieu dans un peu moins d’un an. Quant aux démissions de ministres et aux tensions entre partenaires d’une coalition gouvernementale, ce ne sont pas des spécificités lettonnes. Ces épisodes ne me paraissent pas plus graves ni plus déprimants que ceux qui ont émaillé la vie politique du pays depuis 1991. Voilà pour mes remarques de terrain. Cela dit, la plupart des gens voudraient bien que la relative stabilité gouvernementale des dernières années puisse être maintenue par la suite. Pourquoi pas avec Dombi d’ailleurs, s’il change d’avis ou ne décroche pas un beau job européen, job qu’il espère bien obtenir, le doux Valdis qui s’est sans doute enivré des compléments intéressés qu’on lui a adressés de l’étranger.

  • En Norvège, des élections dans le non-dit

    "Crédité d’environ 16 % des voix par les sondages (contre 22,9 % aux législatives de 2009), le Parti du progrès est « devenu plus fréquentable », estime Bernt Aardal. À moins que cela ne soit les autres formations politiques et la société norvégienne qui aient évolué dans son sens." écrit Antoine Jacob, journaliste fin connaisseur du monde nordique.

    « Dans les années 1990, le FrP avait suscité un tollé en demandant un calcul du coût de l’immigration, estimant que l’État providence en pâtissait. Aujourd’hui, cela ne choque plus et une commission officielle a été chargée du calcul. Sur ce point-là au moins, le parti l’a emporté », constate Kristin Clemet.

    La-Croix.com
    http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/En-Norvege-des-elections-dans-le-non-dit-2013-09-09-1010602

    En Norvège, des élections dans le non-dit

    Absents des discours, les attentats de juillet 2011 ont en partie influencé la campagne législative. Quasiment tous les partis sont favorables à une immigration « plus responsable ».

  • En Norvège, la communauté des amateurs de musées est ultraconnectée | La-Croix.com

    http://www.la-croix.com/Culture/Actualite/En-Norvege-la-communaute-des-amateurs-de-musees-est-ultraconnectee-2013-05

    Signalé par l’ecxellent Antoine Jacob, journaliste indépendant à Riga en Lettonie

    En Norvège, la communauté des amateurs de musées est ultraconnectée

    Dans ce pays scandinave, les amateurs d’expositions peuvent aussi agir via Internet, commenter les objets ou les œuvres mis en ligne ou encore donner des précisions.

  • Don’t Hate Google for Reader — Award It the Nobel Prize for Books | Wired Opinion | Wired.com

    Signalé par Antoine Jacob

    http://www.wired.com/opinion/2013/04/start-essay-and-the-winner-is

    When the Nobel Prizes launched in 1901, possible choices for the award in literature, bestowed upon a living writer to honor their entire life’s work, included such historical titans as Leo Tolstoy, Edith Wharton, and Henry James. The Swedish Academy—18 elders with absolute power to choose the winner—instead gave the first medal to a formalist poet named Sully Prudhomme and the second, in 1902, to a historian named Theodor Mommsen.