person:avigdor liberman

  • Proche-Orient : Le poids de l’axe irano-russe et la donne israélienne - International - El Watan
    http://www.elwatan.com/international/proche-orient-le-poids-de-l-axe-irano-russe-et-la-donne-israelienne-07-06-2

    Alors que les négociations sur la Syrie se poursuivent en Jordanie pour désamorcer le risque d’un conflit ouvert entre Iraniens et Israéliens, les analyses concluent déjà à un deal « gagnant-gagnant » pour Israël.

    Focalisées sur les contradictions entre Iraniens et Russes dans un contexte où le ministre de la Défense, Avigdor Liberman, s’était rendu à Moscou pour obtenir des garanties relatives à la sécurité des intérêts israéliens, ces analyses tendent à ignorer qu’un éventuel arrangement sur le retrait de l’ensemble des forces étrangères présentes dans le sud de la Syrie n’aurait pas d’impact significatif sur la présence iranienne dans ce pays.

    Si les Russes tentent aujourd’hui de trouver un équilibre qui préserve à la fois leurs succès militaires et les impératifs de sécurité israéliens en cherchant à se prémunir contre le risque d’un conflit généralisé, ces pressions ne sont pas de nature à modifier la relation irano-russe construite sur un ensemble de convergences stratégiques.

    Poser le diagnostic d’une défaite de l’Iran en Syrie en raison de quelques décalages de perception dans la gestion du dossier syrien, c’est à la fois ignorer le poids de la convergence stratégique russo-iranienne contre les Etats-Unis et occulter l’importance du rôle de l’Iran dans l’équation de stabilisation de la Syrie.

  • Natalie Portman and the Crisis of Liberal Zionism
    http://nymag.com/daily/intelligencer/2018/04/natalie-portman-and-the-crisis-of-liberal-zionism.html

    This month, Israeli snipers shot hundreds of Palestinian protesters — including one journalist wearing a vest marked “PRESS” — who posed no life-threatening danger to them, or to the people they’re meant to protect. Israeli Defense Minister Avigdor Liberman then justified these shootings on the grounds that “there are no innocent people in the Gaza Strip,” suggesting that the area’s 1.8 million Palestinian men, women, and children are all legitimate targets of state violence. Meanwhile, Israel reneged on an agreement with the United Nations to grant legal status to 40,000 African asylum-seekers (whom the Netanyahu government had previously intended to jail en masse or deport), leaving those long-suffering refugees in a state of limbo.

    #israël #bds #palestine

  • Israël vote une loi facilitant le processus décisionnel pour l’entrée en guerre | The Times of Israël

    La Knesset approuve la clause controversée de la nouvelle loi qui autorise Netanyahu à lancer des opérations militaires de masse en ne consultant que le ministre de la Défense

    Par SUE SURKES, RAOUL WOOTLIFF et AFP

    https://fr.timesofisrael.com/israel-vote-une-loi-facilitant-le-processus-decisionnel-pour-lentr

    Le Parlement israélien a voté lundi en faveur d’une loi permettant au Premier ministre et au ministre de la Défense de décider d’entrer en guerre sans réunir le gouvernement, sur fond de tensions croissantes entre Israël et certains de ses voisins.

    Cette loi, votée à 62 voix contre 41, donne la responsabilité au cabinet restreint de sécurité de décider d’une opération militaire ou d’une guerre sans se concerter avec le reste du gouvernement.

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    Mais un paragraphe précise qu’en cas de « conditions extrêmes », le Premier ministre et son ministre de la Défense, seuls, pourront décider d’une telle opération.

    La loi ne précise pas quelles sont exactement ces « conditions extrêmes », ou qui les déterminera, en indiquant seulement que la décision s’appliquera, « si la question est nécessaire en raison de l’urgence ».

    Des soldats de l’armée israélienne à Hébron, le 17 juin 2014. (Crédit : AFP Photo/Hazem Bader)
    Le projet de loi initié par la ministre de la Justice Ayelet Shaked est un amendement d’une loi fondamentale qui, auparavant, donnait au gouvernement uniquement la possibilité de décider de lancer une opération militaire avec la présence de la majorité des ministres.

    Présenté par Netanyahu depuis l’année dernière – le projet avait été rejeté plus tôt dans la journée par les membres de deux comités clés de la Knesset : Droit et Justice, et Affaires étrangères et Défense. Il a toutefois été soumis à nouveau par Avi Dichter, membre du Likud et président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense, lors des deuxième et troisième lectures d’un amendement plus large et a été voté dans ce cadre législatif plus large.

    Cet amendement plus large permet au gouvernement de déléguer le pouvoir de déclarer la guerre dans des circonstances normales, ou de se mobiliser pour une opération militaire majeure, à un forum composé « d’au moins la moitié » de tous les ministres du Cabinet.

    Le président de la Commission des affaires étrangères et de la défense, Avi Dichter (D), dirige une réunion de la Commission à la Knesset, le 30 avril 2018. (Miriam Alster/Flash90)
    Il y a environ huit ans, Netanyahu et Ehud Barak, alors ministre de la Défense, avaient chargé le chef d’état-major et le chef du service de renseignement du Mossad de placer l’armée en état d’urgence, mais ces derniers lui ont répondu que cela était illégal car cette action n’avait pas été dûment approuvée et pouvait mener à la guerre.

    Cependant, à de nombreuses occasions, des décisions de même nature ont été prises par le seul Cabinet de sécurité, un petit groupe de ministres chargé d’élaborer des politiques en matière de guerre et de paix, ou d’autres petits groupes de ministres.

    Onze ministres sont membres du cabinet restreint de sécurité actuel sur les 22 ministres qui composent le gouvernement Netanyahu.

    Yaakov Amidror (à droite) avec le chef d’état-major général de Tsahal Benny Gantz (Crédit photo : Miriam Alster/Flash90).
    Un comité créé en 2016 sous la direction d’un ancien conseiller à la sécurité nationale, le major-général Yaakov Amidror, pour examiner le fonctionnement du cabinet de sécurité et la manière dont il informe et met à jour les ministres a recommandé de mettre la loi en conformité avec ce qu’il a dit être devenu la « pratique normale ». En juin de l’année dernière, le cabinet a voté en faveur d’une modification de la loi.

    Ayelet Shaked a justifié l’amendement en expliquant devant le Parlement que « dans la situation sécuritaire actuelle, il faut pouvoir rendre plus efficace le travail du gouvernement et du Cabinet ».

    Deux députés de l’opposition – Omer Bar Lev de l’Union sioniste, officier de réserve de l’armée israélienne ayant le grade de colonel et ancien commandant de l’unité d’élite Sayeret Matkal, et Ofer Shelah de Yesh Atid, commandant de compagnie de la Brigade de parachutistes de réserve qui a perdu un œil pendant la guerre du Liban de 1982 – ont averti les comités que le libellé de la nouvelle législation pourrait permettre au Premier ministre d’exclure les députés opposés à une opération militaire et de soumettre une telle opération à un vote en l’absence de ces derniers.

    Le député Ofer Shelah (Yesh Atid) s’exprime lors d’une conférence de presse sur ce que l’on appelle la « loi sur la conscription » à Tel Aviv le 12 septembre 2017. (Miriam Alster/Flash90)
    Ils ont également déclaré que permettre au Premier ministre et au ministre de la Défense de décider quand une situation est considérée comme « conditions extrêmes » leur donnerait le plein pouvoir de déclencher une guerre sans aucun contrôle.

    Shelah a ensuite accusé les membres de la coalition d’avoir voté « contre leurs propres opinions, en matière de vie et de mort » à cause de la pression exercée par Netanyahu.

    « Le mépris de Netanyahu pour tous ceux qui l’entourent et pour tout ce que nous avons appris au cours de nos nombreuses guerres a pris le pas sur la considération de nombreux membres compétents et expérimentés de la Knesset », a-t-il dit.

    L’Institut israélien pour la démocratie a soumis une série de réserves aux commissions au sujet du projet de loi, notamment en exigeant l’approbation du Premier ministre, du vice-Premier ministre et des ministres de plusieurs ministères clés et en suggérant de définir les activités militaires qui nécessitent l’approbation du Cabinet et celles qui ne le sont pas. Aucune des recommandations de l’institut n’a été acceptée.

    Bien qu’ils se soient opposés sans succès au projet de loi à la Knesset, les partis d’opposition ont déclaré lundi soir au Times of Israel qu’il n’y avait aucun projet de recours contre le projet de loi devant la Haute Cour.

    Cette loi est votée dans un contexte de tensions avec les Palestiniens alors que, depuis le 30 mars, des manifestations dans la bande de Gaza, le long de la frontière avec Israël, ont donné lieu à des affrontements avec les forces israéliennes dans lesquels 45 Palestiniens auraient été tués.

    Par ailleurs, le ministre israélien de la Défense Avigdor Liberman a averti jeudi que son pays s’en prendrait à toute tentative d’“implantation militaire” iranienne en Syrie, après une attaque dans ce pays le 9 avril attribuée à l’Etat hébreu.

    Tout en veillant à ne pas se laisser entraîner dans le conflit syrien, Israël a mené des attaques contre des positions du régime syrien ou des convois d’armes présentés comme provenant d’Iran et destinés au groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah qui soutient le président syrien Bashar el-Assad.

    EN SAVOIR PLUS SUR :
    Israël Inside Cabinet de sécurité Armée israélienne Députés de la Knesset Benjamin Netanyahu Avigdor Liberman Ministère de la Défense Commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset Avi Dichter Loi fondamentale Ehud Barak Mossad Agence de renseignements israéliens Benny Gantz Yaakov Amidror Likud Union sioniste Yesh Atid Omer Bar-Lev Ofer Shelah Institut israélien de la démocratie Haute Cour de justice Ayelet Shaked Gadi Eizenkot
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  • The maritime border dispute between Lebanon and Israel explained

    The comments made by Israel’s Defense Minister Avigdor Liberman at a Tel Aviv conference on January 31 sparked outrage in Lebanon. It brought the issue of the maritime border dispute between Lebanon and Israel back into the spotlight and managed to catch Washington’s attention once again.

    Little was happening on this front after the change of Administration in the U.S. After a few months, Lebanese officials stopped announcing that a resumption of mediation efforts was imminent. Then, in October, the decision, by a Total-led consortium to place a bid for Block 9 (which includes a disputed area) in Lebanon’s first licensing round, rekindled interest once again in the topic. But the buzz was discreet, confined to experts and diplomatic circles, until it was out in the open when Liberman described Lebanon’s offshore tender as “very provocative” and urged international companies not to bid, about a month and a half after licenses were awarded (see our roadmap).

    The dispute unfolded in December 2010, when Cyprus and Israel signed a maritime border agreement that was denounced by Lebanon because it encroached on parts of its Exclusive Economic Zone (EEZ). On July 10, 2011, the Israeli cabinet approved a map of Israel’s northern maritime border, and two days later, the Israeli mission to the United Nations submitted a list of geographical coordinates for the delimitation of the northern limit of Israel’s territorial sea and EEZ. Some of the points defined in the Cypriot-Israeli agreement and submitted later to the U.N. overlap with the Lebanese EEZ.


    https://www.mesp.me/2018/03/05/maritime-border-dispute-lebanon-israel-explained
    #disputes_territoriales #frontières_contestées #Liban #Israël #frontières #frontières_maritimes
    cc @reka

  • A l’encontre » Palestine. Les écoles : une cible privilégiée de l’armée en Cisjordanie, afin de contraindre à un « départ silencieux »
    Par Orly Noy | 24 janvier 2018 | +972 | Traduction de l’anglais par A l’Encontre
    http://alencontre.org/moyenorient/palestine/palestine-les-ecoles-une-cible-privilegiee-de-larmee-en-cisjordanie-afin

    Lorsque les enfants de Beit Ta’mar, un village situé au sud-est de Bethléem, ont quitté leur école improvisée pour des vacances d’hiver il y a environ deux semaines, ils ne savaient pas si le bâtiment serait encore debout à leur retour.

    Appeler le bâtiment une école, c’est une exagération. Il est composé de cinq salles en béton au sommet d’une colline, construites par les habitants du village, qui ont également construit la route de l’école.

    « En août dernier, nous avons demandé à l’armée la permission de construire une école pour les enfants du village », explique Hassan Brigiah en route pour le site. Nous n’avons pas reçu de réponse, et après avoir parlé à un avocat, nous avons décidé d’installer six caravanes pour servir de classes d’école. L’armée est venue et a démonté les caravanes. Pendant qu’ils faisaient ça, je leur ai dit : “Mais vous ne nous avez donné aucune réponse.” Ce qui ne nous a pas aidés. Nous avons alors décidé de construire quelques salles de classe en béton, et pendant ce temps, un avocat a réussi à obtenir une décision juridique pour empêcher leur démolition jusqu’à ce que le gouvernement nous donne une réponse. »

    L’armée a depuis fourni une réponse négative, comme prévu. Comme toujours, les raisons sont techniques et bureaucratiques. Depuis lors, la menace de démolition pèse sur les premières classes de troisième année du primaire. L’Autorité palestinienne a fourni des tables et des chaises, ce qui est indiqué sur une plaque. « Nous construirons la patrie avec le pouvoir de la connaissance » est peint sur l’un des murs.

    L’école est située dans la zone C [zone sous contrôle total d’Israël pour la sécurité et l’administration, elle représente 62% du territoire de Cisjordanie], mais à proximité de la zone B sous contrôle civil palestinien et dont les terres sont des propriétés privées. Birgiah ajoute que la construction de l’école a été financée par les villageois eux-mêmes.

    « Nous sommes très proches de Tekoa et Noqdim, où vit Avigdor Liberman [ministre de la Défense] », ajoute Birgiah. « Les colons ont beaucoup d’influence sur le gouvernement. Presque tous les jours, ils se tiennent sur la colline surplombant l’école et surveillent nos enfants avec des jumelles. L’armée est aussi là tout le temps, se promenant, prenant des photos et s’en allant. Ils veulent nous montrer qu’ils sont là, pour que nous continuions à vivre dans la peur. » (...)

  • Les diplomates suisses privés de voyage à Gaza -
    Le Temps - Luis Lema | Publié mercredi 29 novembre 2017
    https://www.letemps.ch/2017/11/29/diplomates-suisses-prives-voyage-gaza

    Découvrant des photos sur le site du Hamas, les autorités israéliennes s’en prennent au rôle de médiateur de la diplomatie suisse

    C’étaient les photos de trop. Les images montrent le représentant suisse dans les territoires palestiniens, Julien Thöni, s’entretenant avec le nouveau chef du Hamas, Yahya Sinouar. Il y a aussi celle qui voit poser côte à côte le responsable suisse de la politique de paix au Moyen-Orient, Roland Steininger, au côté d’Ismaïl Haniyeh, un autre chef du mouvement islamiste palestinien. Circonstance aggravante : les deux hommes tiennent un tableau représentant Jérusalem, que les Palestiniens revendiquent comme leur capitale, où l’on distingue un dôme du Rocher, tout de bleu et d’or, s’élevant derrière les murailles de la vieille ville…

    Ces photos, publiées ces dernières semaines sur le site internet du Hamas, ont provoqué l’ire des autorités israéliennes. Et plus précisément du ministre de la Défense, Avigdor Liberman : les diplomates suisses, a-t-il fait savoir mercredi, sont désormais privés de tout voyage à Gaza. Pour le dirigeant du parti d’extrême droite Israel Beytenou, l’affaire demande des « éclaircissements », a-t-il fait valoir auprès de la radio de l’armée israélienne.

    La présence, à intervalles réguliers, de diplomates suisses à Gaza est un secret de polichinelle. Ou plutôt une constante connue de tous depuis que la Suisse s’est érigée en médiateur (parmi d’autres) entre le Hamas, qui contrôle Gaza, et le Fatah du président Mahmoud Abbas au pouvoir en Cisjordanie. Bien plus : voilà des années que la Suisse partage son initiative avec tous les Etats qui, de près ou de loin, sont parties prenantes de la question mais qui, pour beaucoup, considèrent le Hamas comme un mouvement terroriste et s’interdisent donc tout contact avec ses dirigeants. (...)

  • Israel bars Swiss officials from visiting Gaza after Hamas meetings
    By TOI staff 28 November 2017,
    https://www.timesofisrael.com/israel-bars-swiss-officials-from-visiting-gaza-after-hamas-meetings-r

    Israel has reportedly banned Swiss officials from entering the Gaza Strip from its territory following a series of meetings between representatives of the European country and Hamas leaders.

    The ban was issued by Defense Minister Avigdor Liberman after the matter was brought to his attention by the Israel Defense Forces’ Coordinator of Government Activities in the Territories (COGAT) Yoav Mordechai, Hadashot news (formerly Channel 2) reported Tuesday.

    #GAZA

  • IDF prepares for ’new’ Syria - Al-Monitor: the Pulse of the Middle East
    https://www.al-monitor.com/pulse/en/originals/2017/11/israel-iran-syria-lebanon-hezbollah-idf-army-guerilla.html

    Defense Minister Avigdor Liberman surprised everyone by dropping a bomb on the Cabinet table this week. Back in 2015, then-Defense Minister Moshe Ya’alon and Chief of Staff Gadi Eizenkot had agreed to Israel’s defense budget as part of a multi-year plan to cover defense costs up until 2020. Liberman now insists that he needs an urgent injection of another 4.8 billion shekels ($1.4 billion).

    The official reason given for this is “new threats” in the region. The unofficial reason being discussed by critics of Israel’s defense establishment is that Israel has invested the lion’s share of its money and efforts over the last few years contending with strategic threats in a third, more distant circle, while neglecting its first circle of defense. Israel’s security doctrine is based on different strategies vis-a-vis the three circles of threats according to closer/more distant enemies.

    #Israel

  • Israël-Palestine. Acharnement d’Israël contre Salah Hamouri | L’Humanité | Pierre Barbancey | Mardi 19 Septembre 2017
    https://www.humanite.fr/israel-palestine-acharnement-disrael-contre-salah-hamouri-642208

    L’avocat franco-palestinien Salah Hamouri est maintenant définitivement placé en détention administrative pour six mois. Ainsi en a décidé un juge israélien, suivant la demande établie par le ministère de la Défense, dirigé par Avigdor Liberman, homme d’extrême droite, opposé à la paix avec les Palestiniens. Salah Hamouri serait un danger pour la sécurité d’Israël. Où sont les éléments du dossier permettant de priver de liberté un homme ? Nous ne le savons pas. Israël, en contrevenant au droit international, considère qu’il peut, sur la base d’un dossier secret, emprisonner les Palestiniens sans procès, sans qu’un accusé ne puisse se défendre, sans même que ses avocats aient le droit de consulter les pièces à charge. D’ailleurs, celles-ci existent-elles ? Pourquoi ne pas les produire si la « justice » israélienne est sûre de son action ? (...)

    #Salah_Hamouri

  • Après une comparaison des religieux nationaux au Hezbollah, Liberman appelle au boycott de Haaretz
    The Times of Israël | By Times of Israel Staff | avril 13, 2017,
    http://fr.timesofisrael.com/apres-une-comparaison-des-religieux-nationaux-au-hezbollah-liberma

    Le ministre de la Défense Avigdor Liberman a appelé jeudi les Israéliens à cesser de lire le quotidien Haaretz après la publication par le journal de gauche d’un éditorial qui affirmait que la communauté nationale religieuse d’Israël était plus dangereuse que le groupe terroriste du Hezbollah.

    L’article de Yossi Klein [lien en hébreu], publié dans l’édition de mercredi de Haaretz, accusait la communauté nationale religieuse d’Israël, généralement caractérisée par son opinion belliqueuse et son attachement aux implantations, de tenter de prendre le contrôle du pays et de le soumettre tout en menant une campagne de nettoyage ethnique.

    « Haaretz est devenu depuis un certain temps une plate-forme qui accorde une expression totale des opinions de ceux qui haïssent Israël, mais la publication de l’article de Yossi Klein, un journaliste frustré et sans importance, franchit toutes les lignes rouges », a écrit Liberman sur sa page Facebook.

    « J’appelle immédiatement chaque citoyen d’Israël à cesser d’acheter et de lire Haaretz. » (...)

  • What are Israel’s Liberman, Fatah’s Dahlan plotting?
    http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2017/03/israel-palestinians-fatah-mohammed-dahlan-avigdor-liberman.html

    The one Israeli leader who Dahlan is interested to engage with is Defense Minister Avigdor Liberman. Dahlan and Liberman know each other for many years and share the same language of crude force. According to the official, Dahlan is ready to test the defense minister’s alleged pragmatism and possibly negotiate with him on the basis of his plan for territorial and population exchange, as well as the 2002 Arab Peace Initiative.

    The official noted that some elements in Liberman’s plan could possibly serve as the basis for a two-state solution. The way Dahlan interprets the plan, a framework for a two-state solution should include elements such as advocating two independent states; that the scope and territory of the Palestinian state be equal in size to the West Bank and Gaza; that in most areas the border could be the 1967 lines; that land swaps for the Palestinian state could include some pre-1967 Israeli territory (Dahlan estimates that such land swaps could reinforce Palestinian society cohesion); and that East Jerusalem, with its Palestinian population, would come under Palestinian sovereignty.

    Evidently, Dahlan would consider these elements only as a basis for negotiations, together with all of the elements of the Arab Peace Initiative. With Liberman, Dahlan could actually agree to negotiate with an Israeli right-wing partner. This is a point he would impress upon the United States, the support of which he may need one day. Given the volatility of the PA and Egypt’s shifting approach — which according to Palestinian press reports is adopting nowadays a more lenient approach vis-a-vis Hamas — this scenario is a possibility to be considered.

    Read more: http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2017/03/israel-palestinians-fatah-mohammed-dahlan-avigdor-liberman.html#ixzz4bqa

  • The Architecture of the State of Emergency in France (Harvard Design Magazine 2016)

    In January 2015, two successive attacks in Paris led to the assassination of 12 people at the offices of the satirical newspaper Charlie Hebdo and the arbitrary murders of five more at a kosher supermarket two days later. Overshadowing the mourning of the victims of these attacks, an ideological debate quickly fragmented French citizens into those who affirmed the slogan “Je suis Charlie,” and many others who, despite sharing a sense of shock over the violence, refused to associate themselves with a publication famous for insulting religion in general and Islam in particular. While millions of people rallied in France on January 11th to defend “the freedom of speech against terrorism,” others feared the political instrumentalization of an event attended by demagogic politicians like Nicolas Sarkozy, Viktor Orbán, Ahmet Davutoğlu, Benjamin Netanyahu, and Avigdor Liberman. But this gathering was not the only political gesture made in response to the attacks. On January 12th, the implementation of so-called Operation Sentinel enabled the deployment of 11,000 soldiers in major cities across France to patrol airports and train stations, as well as stand guard in front of religious buildings and offices of the press. Police officers, who days earlier carried only handguns, were armed with machine guns and rifles, contributing to an atmosphere of aggression and paranoia—not to mention the economic prosperity of arms manufacturers.

    https://thefunambulist.net/architectural-projects/architecture-state-emergency-france-harvard-design-magazine-2016

    Avec une série édifiante de photos d’hôtels de police bunker

  • Syrie : tirs de missiles israéliens près d’une base aérienne proche de Damas
    AFP / 07 décembre 2016 12h20
    http://www.romandie.com/news/Syrie-tirs-de-missiles-israeliens-pres-dune-base-aerienne-proche-de-Damas/759237.rom

    Damas - Plusieurs missiles israéliens ont frappé mercredi à l’aube les environs de la base militaire de Mazzé, à la périphérie de la capitale syrienne, a indiqué l’agence officielle Sana.

    L’aéroport militaire de Mazzé, qui se trouve à 8 km au sud-ouest de Damas, est le siège des redoutables services de renseignements de l’armée de l’air qui y disposent d’une vaste prison.

    A 03H00 (01H00 GMT), l’ennemi israélien a tiré plusieurs missiles sol-sol à partir des territoires occupés, a indiqué l’agence citant une source militaire. Elle a rapporté que l’attaque avait provoqué un incendie mais pas de victimes.

    L’Observatoire syrien des droits de l’Homme, qui dispose de nombreux informateurs à travers la Syrie, a lui fait état d’une explosion dans l’aéroport.

    L’agence Sana a précisé que les missiles ont été tirés d’une position à l’ouest de Tall Abou Nada, une hauteur dans le plateau du Golan syrien occupé par Israël.

    C’est la seconde fois en huit jours qu’Israël, toujours techniquement en guerre avec la Syrie, frappe des positions militaires proches de Damas.

    Durant les cinq ans de guerre civile en Syrie, Israël a mené plusieurs attaques contre sa bête noire, le Hezbollah libanais engagé dans ce pays aux côtés des troupes loyalistes.

    • Liberman reconnaît des attaques en Syrie contre le Hezbollah
      Israël aurait bombardé un important aéroport militaire et des installations proches de Damas ; plusieurs combattants du Hezbollah auraient été tués
      Dov Lieber 7 décembre 2016
      http://fr.timesofisrael.com/israel-aurait-frappe-larmee-syrienne-et-le-hezbollah

      Le ministre de la Défense Avigdor Liberman a reconnu mercredi qu’Israël était responsable de récentes attaques en Syrie. Il a déclaré qu’elles avaient pour objectif d’ « empêcher la contrebande d’armes sophistiquées, d’équipement militaire et d’armes de destruction massive entre la Syrie et le Hezbollah ».

      Devant les représentants de l’Union européenne, Liberman n’a pas précisé à quel(s) incident(s) il faisait référence.

      Mercredi matin, Israël a été accusé d’une frappe près d’un aéroport militaire de Damas, et la semaine dernière, des avions israéliens auraient frappé un entrepôt d’armes près de la capitale syrienne.

      Le ministre de la Défense a également souligné qu’Israël n’était pas intéressé par une implication dans la guerre civile syrienne, mais qu’il défendrait ses citoyens et sa souveraineté.

      « Quand on me demande, encore et encore, à quoi ressemblerait un futur accord avec la Syrie, je réponds que ma position est que quel que soit l’accord qu’il y aura en Syrie, les Iraniens et [le président syrien Bashar el-]Assad devront être sortis de Syrie et ne faire partie d’aucun accord », a déclaré Liberman.

  • François Hollande : La capitulation en rase campagne du foudre de guerre de Syrie . René Naba - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/12/francois-hollande-la-capitulation-en-rase-campagne-du-foudre-de-gu

    L’homme de l’année 2016

    Fait sans précédent dans les annales de la Vème République, François Hollande a annoncé jeudi 1 er décembre 2016, qu’il renonçait à briguer un deuxième mandat présidentiel, tragique aveu d’une grande impuissance.

    L’homme qui avait mené deux batailles au Mali et en Syrie, a renoncé à livrer bataille sur le plan intérieur pour défendre son bilan. Pour un foudre de guerre sur la scène internationale, qui avait eu le plus grand mal à se retenir de bombarder la Syrie en 2013, ce renoncement a retenti comme une capitulation en rase campagne. Une implosion en plein vol.

    « L’Homme d’état de l’année 2016 » aura eu un triomphe météorique, à l’image de ses prédécesseurs malchanceux, les conservateurs européens, l’espagnol José Marie Aznar ou le britannique David Cameron (lauréat 2015) ; à l’image de l’adhésion populaire dont il a bénéficié à son élection, plombée à son envol par le tweet ravageur de la « première peste de France » (1), soutenant le rival de la propre mère des quatre enfants de son compagnon, symptomatique de la confusion mentale qui a régné au plus haut niveau de l’état, tant au niveau de la vie privée du premier magistrat de France que de sa politique.

    Scipion l’Africain au Mali (2), général Flamby (3) en Syrie, Scooter One Rue du Cirque -quel cirque- François II aura été aux antipodes de son prédécesseur. Falot et mal fagoté, au regard d’un florentin brillant et flamboyant, grand manœuvrier devant l’éternel. Retour sur la dérive de ce quinquennat calamiteux.

    De la trahison au Parti Socialiste ou le vaudeville d’une « présidence normale ».

    « La gauche de gouvernement devient suspecte dès qu’elle accède aux responsabilités et son destin est de toujours être accusée de trahison », soutient François Hollande dans un entretien à la revue débat.

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/09/15/francois-hollande-la-gauche-de-gouvernement-est-toujours-accusee-de-trahison

    Non François Hollande, au vu de votre comportement et celui de votre gouvernement tout au long de votre mandat, ce n’est pas la gauche de gouvernement qui est accusé de trahison, c’est le gouvernement lui même qui a trahi et la nomenklatura « solférienne » avec.
    L’exemple vient de très haut, du premier des socialistes François Hollande lui même, qui a trahi sa compagne d’alors et mère de ses 4 enfants, avant de lui saborder sa campagne présidentielle, en 2007, puis de récidiver avec sa compagne présidentielle, la dénonciatrice des « sans dents », un scandale qui a terni durablement son mandat.

    Engagé sur deux théâtres d’opérations extérieurs (Syrie-Mali) et sur le front intérieur du chômage, ce vaudeville consternant a plombé durablement sa mandature présidentielle et sinistré le parti socialiste, faisant du socialo-motoriste, le plus impopulaire président de la Vme République
    Jean Pierre Jouyet, une prime à la trahison.

    En 2ème position, l’ami le plus proche du président, Jean Pierre Jouyet, en aura été l’incarnation la plus achevée. Ralliant sans hésitation ni vergogne, Nicolas Sarkozy au poste de ministre des Affaires européennes, le camarade de l’ENA « promotion Voltaire » sera néanmoins repêché par François Hollande au secrétariat général de l’Élysée. Un repêchage perçu comme une prime à la trahison. Autres transfuges célèbres, Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères du néo gaulliste atlantiste Nicolas Sarkozy, de même qu’Eric Besson et Jean Marie Bockel, le « Tony Blair de gauche ». Une trahison à sens unique de la gauche vers la droite, sans le moindre mouvement en sens inverse.

    Sur fond d’un paysage dévasté par une considérable destruction de l’emploi industriel, de l’ordre de 1,4 millions d’emplois en 25 ans, – 407 usines fermés en deux ans, 190 usines en 2015 et 217 en 2014, l’armée française désormais équipée d’armes allemandes et de rangers allemands- de l’hémorragie du vote ouvrier vers le Front National, de la préemption démagogique des mots d’ordre sécuritaire de l’extrême droite sous l’effet d’une panique nationale (déchéance de nationalité), la fonction de la gauche depuis le début du XXI me siècle a surtout consisté à servir d’appoint électoral à la droite, sans renvoi d’ascenseur. Un marche pied.

    « Le PS a zappé le peuple ». L’admonestation de Pierre Mauroy lors de la présidentielle 2002, fatale à Lionel Jospin, demeure d’actualité. Plutôt que d’initier une politique de la demande et de la relance de la consommation par l’augmentation du pouvoir d’achat, l’ennemi de la haute finance s’est révélé un zélé passeur de plats du grand patronat. En 2015 et 2016, les entreprises françaises ont été les plus gros payeurs de dividendes d’Europe sur fond de casse sociale.
    La social démocratie préconisée par François Hollande apparaît rétrospectivement comme l’enterrement en grande pompe du socialisme par la mort du social.
    De Lionel Jospin ( 1997-2002) à François Hollande (2012-2017), la gauche s’est réduite à soutenir une droite qui se distingue de moins en mois de l’extrême droite.

    Ainsi le « Front Républicain de 2002 » est apparu comme une prime à la corruption en ce que Jean Marie Le Pen n’avait aucune chance de gagner la bataille présidentielle alors que Jacques Chirac avait été le dirigeant qui avait institutionnalisé la corruption au plus niveau de l’État, le seul président français depuis Pétain a être condamné par la justice pour des faits ayant rapports avec l’argent illicite.

    Il en a été de même avec le « Front Républicain pour les régionales 2016 », qui a débouché sur la propulsion du motoriste Christian Estrosi à la tête du PACA et l’élimination du PS de tous les exécutifs régionaux. La récidive a été fatale au crédit de la gauche de gouvernement qui a donné l’impression de courir derrière une droite de plus en plus contaminée par le discours Lepeniste. La démarcation s’est dissipée dans l’esprit des électeurs.
    Servir d’appoint électoral à la droite radicale et continuer à ostraciser un authentique homme de gauche, Jean Luc Mélenchon, relève de l’aberration mentale et explique la dispersion des forces du progrès en France et la perplexité de nombre de personnes se réclamant de la gauche, qui y voient un jeu d’apparatchik contre productif.

    De François Mitterrand à Lionel Jospin, à Harlem Désir et Jean Christophe Cambadélis, en passant par le socialo motoriste Hollande, le charisme du leadership socialiste s’est considérablement dégradé. Le PS souffre d’absence de clarté dans son positionnement. D’une locomotive. Évident manque d’appétence à son égard.

    Du bon usage de « Munich et des Sudètes de Tchécoslovaquie » : « Le changement, c’est maintenant »

    MUNICH : Seul pays au Monde à faire un usage intensif de ce terme pour stigmatiser ce qu’il considère être « le défaitisme » des adversaires de sa politique, « Munich » et par extension « Munichois », est en fait l’apanage du socialisme français. Son arme de destruction massive pour neutraliser toute critique à son égard.

    Harlem Désir, en la matière, n’est en fait que le piètre successeur de Guy Mollet, le dernier Premier ministre socialiste de la IV République, l’homme de Suez et d’Alger, -beau palmarès-, qui avait brandi cet argument pour disqualifier les opposants à l’agression tripartite de Suez, en 1956, contre Nasser. 57 ans après, Harlem Désir nous ressert la même rengaine… Le changement, c’est maintenant. Vraiment ?

    Dans la terminologie de l’époque, l’« expédition punitive » anglo-franco-israélienne, -menée, faut-il le souligner, par les deux puissances coloniales de l’époque en association avec leur pupille israélien-, devait châtier le « Bickbachi ». Terme de l’ordonnancement militaire ottoman équivalant au grade de Colonel, le Bickbachi Nasser sera ainsi désigné à la vindicte publique comme le nouvel Hitler de l’après-guerre, sous le vocable de Rayïss, que l’on faisait rimer dans le subconscient européen avec le Reich.

    Le 2ème Hitler arabe sera naturellement Yasser Arafat, le chef de l’Organisation de Libération de la Palestine. Figure de croquemitaine dans l’imaginaire occidental, l’Arabe, surtout lorsqu’il est porteur d’une revendication nationaliste, est un Hitler en puissance, quand bien même les Arabes et les Africains (chrétiens et musulmans) ont été parmi les principaux pourvoyeurs de « chairs à canon » pour la libération de la France, à deux reprises en un même siècle, phénomène rarissime dans l‘Histoire. De Gamal Abdel Nasser (Égypte) à Mohammad Mossadegh, à l’Ayatollah Ruhollah Khomeiny et Mahmoud Ahmadinejad (Iran) en passant par Yasser Arafat et Cheikh Ahmad Yassine (Palestine), à Moqtada Sadr (Irak) et Hassan Nasrallah (Liban), tous ont eu l’honneur d’assumer cette fonction sans que jamais personne n’ait songé à établir un lien entre l’arrogance occidentale et la radicalisation des contestataires de sa suprématie.

    Munich, spécialité française, est d’autant plus vigoureusement brandie que les socialistes, plutôt répressifs en ce domaine, n’ont jamais apporté le moindre soutien aux guerres de libération du tiers-monde. Pour exemple, Léon Blum, le chef du gouvernement du « Front Populaire » ne lèvera pas le petit doigt pour le « Fronte Popular » espagnol, ses confrères Républicains, lors de la guerre d’Espagne (1936) et Guy Mollet agressera l’Égypte nassérienne, ordonnant en prolongement les ratonnades d’Alger. C’est Pierre Cot, ministre communiste de l’aviation du gouvernement Léon Blum et son directeur de Cabinet, le mythique Jean Moulin, de connivence avec André Malraux qui doteront les Républicains espagnols de l’escadrille ESPANA.

    Alors Harlem Désir, Munich, la Chambre des Communes qui a infligé une retentissante leçon de démocratie à la France ? Munich, Barack Obama, qui a jugé plus conforme à l’éthique démocratique de prendre l’avis des représentants de la nation ?

    Munich, l’Inde qui a vaincu le colonialisme par la non-violence ? Munich, l’Afrique du Sud qui triomphé de la ségrégation raciale par une réconciliation nationale et non par la stigmatisation ? Munich, le Pape François qui prie pour la paix en Syrie quand le mufti de l’Otan, le prédicateur millionnaire du Qatar, Youssef Al Qaradawi, supplie que la Syrie soit bombardée par ces anciens colonisateurs ?

    Munich à la manière de Guy Mollet, comme en 1956…. Le changement, c’est maintenant ? Ou tout bonnement Harlem Désir, tête brûlée pour une politique de terre brûlée.

    Les Palestiniens, les Sudètes du XXI e siècle

    Dans sa démarche vis-à-vis de la Syrie, François Hollande, nous a chuchoté le quotidien Le Monde -jamais avare de confidence dès lors qu’il s’agit d’épauler le nouveau pouvoir socialiste au point de lui servir d’amplificateur médiatique et de relais diplomatique-, est hanté par le précédent de la Tchécoslovaquie et le sort des Sudètes (1938) qu’Hitler absorba sans crier gare du fait de la passivité européenne, résultante des accords de Munich.

    Le conditionnement idéologique est tel, la servitude intellectuelle si forte que les ravages de la pensée socialiste paraissent incommensurables. Ainsi Laurent Fabius, qui passe, à tort, pour être l’un des esprits les plus brillants de la République, préconisait avec morgue et suffisance d’armer l’opposition syrienne pour établir une parité militaire et créer les conditions équilibrées à une négociation avec le pouvoir syrien. Il suggérait de même une action énergique en vue de favoriser le retour des réfugiés syriens dans leur pays. Préoccupation humanitaire légitime qui aurait pu honorer son auteur si elle s’était accompagnée d’une requête similaire concernant les Palestiniens, dépouillés, exilés et déplacés, eux, depuis soixante ans…Eux, les véritables Les Sudètes du XXI me siècle.

    « La Syrie, le drame du XXIe siècle » ? La Syrie ou l’Irak ?

    Le premier drame du XXIe siècle est non la Syrie, comme le soutient François Hollande, mais l’Irak tant par son antériorité que par son ampleur. L’Irak où s’est refusé à s’enliser Jacques Chirac et non la Syrie ou se sont laissés embourbés Nicolas Sarkozy et François Hollande, deux philo-sionistes atlantistes patentés. « Des néoconservateurs américains avec un passeport français », selon l’expression du transfuge socialiste Eric Besson.

    Sauf à concéder à l’auteur de ce constat l’excuse de troubles précoces de mémoire, une telle approximation est inexcusable. Que dire de l’Irak, désormais dénommé « Le pays des veuves » ? Invasion américaine, Daech.., Mossoul, Falloujah, près de deux millions de victimes. Et des dizaines d’autres quotidiennement depuis treize ans.

    La prostitution en guise de survie alimentaire. Quatre millions d‘exilés, sans la moindre assistance humanitaire. De l’Uranium appauvri, arme de destruction massive prohibée par le droit international, abondamment utilisé contre biens et personnes par « le plus vieil allié de la France » et son nouveau partenaire dans l’équipée syrienne. Un fait avéré, qui ne fera l’objet de la moindre enquête dans l’ancien journal de référence Le Monde, davantage soucieux de faire office de caisse de résonance au Quai d’Orsay avec ses enquêtes préprogrammés et ses blogs relais.

    Le tropisme philo-sioniste ou le prurit belligène du socialisme français.

    De l’expédition de Suez contre Nasser, en 1956, ordonnée par Guy Mollet, aux ratonnades d’Alger par Robert Lacoste (1955-1958), au caillassage de Lionel Jospin à Bir Zeit pour avoir traité de « terroriste » le Hezbollah libanais, l’unique formation politico-militaire du monde arabe à avoir infligé un double revers militaire à Israël (2000-2006), à l’esplanade David Ben Gourion dédiée par Khoyya Bertrand Delanoë, le Maire de Paris, au fondateur de l’armée israélienne au lendemain de l’attaque navale israélienne contre un convoi humanitaire turc en direction de Gaza…. Le registre est connu et bien tenu.

    La filiation est lointaine et ne se dément pas, remontant au grand manitou du socialisme français, Léon Blum, qui invoquera son « trop d’amour » pour son pays « pour désavouer l’expansion de la pensée et de la civilisation française », admettant « le droit et même le devoir des races supérieures d’attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture ». Cette profession de foi surprenante est parue dans le journal « Le Populaire » en date du 17 juillet 1926, sans que ce vénérable humaniste, premier chef du gouvernement socialiste de la France moderne, artisan des premières conquêtes sociales sous le gouvernement du Front Populaire (1936), ne se doute que, lui-même, à son tour, subira, quinze ans plus tard, les lois de l’infériorité raciale de la part de ses compatriotes non coreligionnaires.

    La relève : Manuel Valls et Laurent Fabius (4)

    L’éviction de la vie politique française de Dominique Strauss Khan, un des parangons d’Israël, de même que la dérive xénophobe du gouvernement israélien matérialisée par la présence au sein du cabinet de l’ultra droitier Avigdor Libermann, ministre des Affaires étrangères puis de la défense, n’ont pas pour autant réduit la vigueur du tropisme pro-israélien au sein de la hiérarchie socialiste, en ce que la relève est désormais pleinement assurée par Manuel Valls, un sarkozyste de gauche, dont il a hérité de son poste à Beauvau, ainsi que Laurent Fabius.

    Manuel Valls, lié de son propre aveu, « de manière éternelle à la communauté juive et à Israël », stigmatise le boycott d’Israël, mais non la phagocytose de la Palestine ou sa rétention des recettes d’exportation des produits de Cisjordanie. Il se place ainsi sur la même longueur que Richard Prasquier, le président du CRIF, dont la tonitruance inconditionnellement pro-israélienne s’accommode mal du positionnement qui se veut « normal » du nouveau président français. En résonance avec son comportement abusivement dilatoire dans l’affaire Georges Ibrahim Abdallah où la diplomatie française a subi les diktats de Hillary Clinton à l’époque secrétaire d’État.

    Laurent Fabius : L’esbroufe comme mode opératoire.

    L’esbroufe aura été son mode opératoire. De même que le mépris et la morgue, ses deux plus implacables ennemis. En trois ans de parade au Quai d’Orsay, Laurent Fabius aura poussé les travers français à leurs expressions les plus extrêmes. Donné toute la mesure de ses faux talents, un mélange de malveillance, de bonne conscience, d’outrecuidance, de morgue et de mauvaise foi (5).

    La propulsion du premier ministre des Affaires étrangères de François Hollande à la tête d’une prestigieuse institution, clé de voûte du système juridique et politique français, loin de constituer le couronnement d’une carrière publique exemplaire, paraît devoir s’apparenter à une opération d’évacuation par le haut d’un personnage à bien des égards calamiteux, en application du vieux adage latin, plein de sagesse, « Promoveatur ut Amoveatur » dont la traduction administrative courante se décline en français par le principe anglais du « Principe de Peter ». Au delà des lauriers, au delà des louanges, la propulsion de Laurent Fabius à la présidence du Conseil Constitutionnel signe sa congélation politique ad vitam dans un placard doré, terme ultime d’un parcours désastreux.
    En fait Laurent Fabius avait été déjà carbonisé en direct par ses amis américains incommodés par son rôle de « bad cop » tant dans les négociations sur le nucléaire iranien que sur un éventuel règlement politique en Syrie.

    Les révélations de la presse américaine sur les frasques casinotières de l’aîné des Fabuis, Thomas, -sur des faits datant de 2013 mais fuités le 29 octobre 2015 à la veille de la première conférence multilatérale de Vienne sur la Syrie-, ont retenti comme un rappel à l’ordre américain renvoyant à ses pénates le paternel de l’enfant prodige.
    En lui suggérant de se préoccuper de ses affaires domestiques plutôt que de se trémousser dans la gestion des affaires du Monde, les États-Unis lui montraient par là même le chemin de la sortie.

    Les attentats de Paris-Bataclan quinze jours plus tard, le 13 novembre 2015, à la veille du deuxième round de Vienne, ont signé la fin de sa lévitation en même temps qu’ils scellaient son sort en ce que de nombreux observateurs ont perçu ce massacre collectif de Parisiens comme la sanction d’une politique erratique du socialo motoriste François Hollande en tandem avec son âme damné Fabiuçius.

    Bachar Al Assad « ne mérite pas d’être sur terre »

    Bachar Al-Assad « ne mérite pas d’être sur terre ». Laurent Fabius ne s’imagine sans doute pas les millions de personnes qui ont formulé pareil vœu à son égard tant sa morgue, sa suffisance et ses outrances verbales ont indisposé et choqué venant du chef de la diplomatie d’un pays réputé pour sa courtoisie et sa finesse d’esprit.

    Le plus capé des socialistes, réputé pour ces somnolences dans les forums internationaux, passera ainsi dans l’histoire comme « le petit télégraphiste des Israéliens dans les négociations sur le nucléaire iranien », le piètre pensionnaire du Quai d’Orsay de la gauche française, à l’égal du transfuge sarkozyste du socialisme Bernard Kouchner.

    François Hollande, non un homme de poids, mais un homme empesé

    Atteint de plein fouet sur le plan domestique par les gazouillis de la « Première peste de France » , caramélisé sur le plan international par la défection de ses deux alliés atlantistes, les États-Unis et le Royaume Uni, François Hollande, en dépit d’une reprise pondérale n’est pas un homme de poids, mais un homme empesé, affligé d’une posture dépareillée par un langage suranné, secondé par le pire ministre socialiste des Affaires étrangères de la Vème République.

    En contre pied de l‘aîné corrézien passé à la postérité pour sa gestuelle gaulliste de Chirac d’Irak, le point d‘orgue de sa double mandature par ailleurs calamiteuse, le cadet socialiste de Tulle, à dix ans de distance, s’est laissé happé par la tourmente d’un « anus horribilis », Scipion l’Africain du Mali, en janvier 2013, Général Flamby en Syrie, à l’automne de la même année, une performance qui sonnait prématurément son crépuscule diplomatique.
    Camouflet supplémentaire, « le plus vieille allié des États Unis » n’a pas échappé à l’espionnage de son partenaire outre atlantique, qui lui a dérobé près de 70 millions de communications électroniques entre décembre 2012 et Janvier 2013, en pleine campagne du Mali et de Syrie. Véritable dindon de la farce, que n’a-t-il perçu cela avant de s’engouffrer dans la brèche syrienne alors que ce scandale marquait et l’affaiblissement et la duplicité des États Unis.

    Ségolène Royal, meilleure présidente que François Hollande.

    En cinq ans de gouvernance, seul fait indubitable, François Hollande par ses bourdes successives pourrait accréditer l’idée que Ségolène Royal, la précédente postulante socialiste à la magistrature suprême, aurait fait meilleure présidente que lui, dans tous les cas de figure, qu’il a, comble de cynisme, lui, en tant que secrétaire général du PS, elle, en sa qualité de la mère de ses quatre enfants, plaqué au paroxysme de la campagne présidentielle ; indice indiscutable d’une grandeur d’âme.

    Quarante ans après Epinay, le glorieux parti de Jean Jaurès, le parti du conquérant François Mitterrand qui rêvait d’un dépassement du socialisme par l’Europe n’est plus que l’ombre de lui-même. Un syndicat de barons arc boutés sur des privilèges surannés. Sans créativité, ni réactivité. Sans novation ni innovation. Sans vitalité. Un électro-encéphalogramme plat.

    La Syrie apparaîtra rétrospectivement comme l’ultime expédition post coloniale d’un pays en déclin : « Parmi les grands perdants de la mondialisation, parmi les grands perdants de l’Européanisation », selon l’expression de Marcel Gauchet (6), la France de François Hollande figure aussi parmi les grands perdants en Syrie et, indice patent de la déflagration mentale des socialistes français, les meilleurs alliés des Saoudiens et néoconservateurs américains, des néo conservateurs israéliens.

    « JE RESTERAI TOUJOURS UN AMI D’ISRAËL » « Tamid esha’er haver shel Israel ! »*

    Accueilli en grande pompe par Benyamin Netanyahou, dès son atterrissage à Tel-Aviv, François Hollande entendait visiblement faire honneur au « tapis rouge » que le premier ministre droitier avait annoncé dérouler pour la visite du président français. Au point de le clamer, en hébreu dans le texte : « Je resterai toujours un ami d’Israël ».

    Une déclaration qu’aucun des présidents français n‘avait osé faire auparavant, pas même Nicolas Sarkozy, qui passait jusqu’à présent comme le plus philo-sioniste des dirigeants français. Chapeau l’artiste socialiste tel qu’en lui-même l’éternité le figera. CF : Le « chant d’amour » de François Hollande « pour Israël et ses dirigeants ».

    Malheur aux vaincus : L’ingratitude est la loi cardinale des peuples pour leur survie. Le naufrage collectif du socialisme français portera les noms de Dominique Strauss Khan et Jérôme Cahuzac, de parfaits représentants de la déliquescence du socialisme et non de sa quintessence, de même que sur le plan diplomatique, le nom du tandem comique Laurel et Hardy, alias Lolo et Flamby, une risée planétaire.

    Référence

    http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/exclu_-_julie_gayet_et_francois_hollande_leurs_stratagemes_pour_garder_leur_his

    1- La première peste de France :
    http://www.madaniya.info/2014/10/02/journalisme-metier-deontologie sport-combat/

    http://www.grazia.fr/societe/phenomenes/articles/valerie-trierweiler-la-premiere-peste-de-france-487191

    2-Scipion l’Africain (Publius Cornelius Scipio Africanus) est un général et homme d’État romain, né en 235 av. J.-C. mort en 183 av. J.-C. à Linterne en Campanie. Vaincu par le carthaginois Hannibal Barca à la bataille de Cannes, près de l’actuelle Canossa, il s’emploiera à prendre sa revanche à sa nomination Consul en 205 av. J.-C. A la tête d’une armada de 50 vaisseaux de guerre et 400 navires de transport, emportant près de 35.000 soldats, il passe en Afrique. Deux ans plus tard, il réussit à vaincre le général Carthaginois Hannon et prend le titre Scipion l’africain.

    3-Flamby : Pâtisserie sans œufs ni crème désigne péjorativement un être mollasson et onctueux. Sobriquet réservé à François Hollande avant son accession à la présidence de la république française.

    4-Le gouvernement Ayrault satisfait les Français d’Israël
    http://jssnews.com/2012/05/16/ayrault1

    Ainsi qu’ à propos du tropisme socialiste à l’égard d’Israël : La France gagnée par le sionisme, par Eyal Sivan
    http://www.rue89.com/2013/10/07/eyal-sivan-cineaste-israelien-france-est-gagnee-sionisme-246345

    5-Laurent Fabuis et la réforme du droit de veto au Conseil de sécurité de l’ONU http://www.madaniya.info/2016/02/10/5762

    6-Marcel Gauchet in « Les quatre failles d’une présidence », Le Monde en date du 1er octobre 2013, article de Françoise Fressoz, page 6.

    Illustration

    François Hollande et son prix, entourés notamment (de gauche à droite) par le milliardaire Carlos Slim et l’ancien secrétaire d’Etat Henry Kissinger le 19 septembre 2016. AFP PHOTO / STEPHANE DE SAKUTIN

    http://www.renenaba.com

  • Contre la présence provocatrice d’Israël au Salon Eurosatory

    http://www.france-palestine.org/Contre-la-presence-provocatrice-d-Israel-au-Salon-Eurosatory

    Le Salon international de défense et de sécurité Eurosatory se tiendra du 13 au 17 juin à Villepinte. Le précédent salon, marqué par une présence israélienne massive, s’était tenu en juin 2014, quelques jours avant le début de l’agression contre Gaza.
    ...

    Ce « savoir-faire technologique israélien » est largement testé sur le terrain contre les Palestiniens, ce qui constitue pour les marchants d’armes un puissant argument de vente.

    Le site mentionne SIBAT, Direction de la coopération internationale du Ministère israélien de la Défense, et sept entreprises israéliennes mais la vidéo de présentation de SIBAT à Eurosatory (http://www.sibat.mod.gov.il/Exhibitions/Eurosatory/Pages/default.aspx) parle de plus de trente entreprises israéliennes, coordonnées par le Ministère de la défense.

    Le Ministère de la défense, dont le chef est désormais le raciste ultranationaliste Avigdor Liberman, est chargé en particulier de l’administration des territoires occupés, c’est-à-dire de l’appui à la colonisation et de la répression du peuple palestinien.

    #Israël #France #Fabricants-d'armes #Ventes-d'armes #Commerce-des-armes #colonisation #refus-du-droit #refus-du-droit-international

  • Quand faut-il faire confiance aux robots qui prennent des décisions ? - Harvard Business Review
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/144544801874

    Sur la Harvard Business Review, Vasant Dhar (@vasantdhar), scientifique des données et spécialiste en #analyse_prédictive, éditeur du Journal Big Data, explique qu’un bon moyen d’évaluer la confiance que l’on peut avoir dans les algorithmes et les systèmes de recommandation automatisés consiste à tenter de mesurer leur caractère prédictif et le coût de leurs erreurs. La prévisibilité consiste à distinguer les systèmes dont la #prédiction peut-être proche de l’aléatoire et qui peuvent progresser de manière marginale, des systèmes déterministes. Le calcul du coût des erreurs, lui, consiste à évaluer le coût des erreurs des systèmes automatisés (très faible pour un filtre anti-spam, pour la publicité ou pour le trading à haute fréquence et bien plus élevé pour un système de voiture autonome ou le pilotage de (...)

    #nossystemes

  • Liberman demande à son parti d’acheter et de distribuer le dernier Charlie Hebdo | The Times of Israël
    http://fr.timesofisrael.com/liberman-demande-a-son-parti-dacheter-et-de-distribuer-le-dernier-

    Le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman a déclaré dimanche qu’il avait demandé aux militants du parti Yisrael Beytenu d’acheter des milliers de copies de la dernière édition du magazine satirique français Charlie Hebdo et de les distribuer au public, en réponse à la colère musulmane contre l’hebdomadaire controversé.

    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/58878-150125-80-des-francais-favorables-a-la-creation-d-un-service-national-

    Steimatzky, principale chaîne de librairie israélienne a annulé la vente du journal satirique français, après qu’un député arabe israélien ait menacé la chaîne.

    « Steimatzky promeut pleinement la liberté d’expression », avait ensuite affirmé la librairie. « Cependant, nous avons décidé d’annuler la vente de Charlie Hebdo dans les magasins », avait précisé le groupe, ajoutant que la vente de l’exemplaire sur le site internet de la chaîne serait disponible dès lundi.

  • #chutzpah

    Le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman a comparé samedi le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à l’Etat islamique et déclaré que l’appel du dirigeant palestinien à protéger le mont du Temple des « colons » est la preuve de sa tentative d’attiser les flammes du conflit israélo-palestinien et de le transformer en guerre de religion.

    http://fr.timesofisrael.com/liberman-abbas-incite-au-djihad-a-rejoint-les-rangs-de-lei

  • Laurent Fabius lutte contre l’apartheid avec un ministre israélien “qui veut réoccuper entièrement Gaza” (Mon billet)

    http://sanstransition.tumblr.com/post/89951968571/laurent-fabius-lutte-contre-lapartheid-avec-un

    Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius recevra aujourd’hui son homologue israélien Avigdor Liberman pour « évoquer la situation actuelle dans les Territoires palestiniens, les questions régionales ainsi que les relations bilatérales entre Israël et la France » dit le communiqué officiel.
    Rappel : https://twitter.com/LaurentFabius/status/408723265520410624

    Vous ne connaissez pas Avigdor Liberman ?
    Rapide revue de presse (non exhaustive)

  • Israël : Avigdor Liberman acquitté dans son procès pour « fraude et abus de confiance ». Cette décision lui ouvre la voie pour un retour au ministère des affaires étrangères | JPost

    http://www.jpost.com/National-News/Liberman-acquitted-in-fraud-trial-paving-way-for-return-to-Foreign-Ministry-3

    Rappel du dossier http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130217.OBS9174/israel-lieberman-devant-la-justice-pour-fraude-et-abus-de-confi

    Fondateur et dirigeant du parti d’extrême-droite Israel Beytenou « Israël notre maison », Il a été ministre des affaires étrangères et vice-premier-ministre d’Israël entre 2009 et 2012.

    #justice #Israël #Liberman

  • Europe Holds No Promise For the Middle East - Al-Monitor: the Pulse of the Middle East
    http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2013/02/europe-holds-no-promise-for-the-middle-east.html

    Last week, they were uttered publicly by a senior German politician, Hans-Gert Pöttering, one of those closest to Chancellor Angela Merkel. Pöttering, who served for many years as president of the European Parliament, spoke at a packed auditorium in the center of Brussels. “Were it not for the Holocaust, Germany would not have abstained at the UN vote on the recognition of Palestine as a non-member state,” said the man who was appointed last year to chair the Konrad Adenauer Foundation, named after the first post-World War II German chancellor who was responsible for the reparations agreement between Israel and Germany. “It would have voted in favor.” Pöttering did not attempt to conceal his hope that Avigdor Liberman — whose name (meaning “a beloved man” in German) does not suit him, he said — would not be coming back to Brussels as Israel’s foreign minister.
    He finished by saying that the Israeli-Palestinian conflict makes it hard for Europe to conduct a dialogue with the Muslim world. “Previously, the Israelis did not want European involvement, now you are also opposed to American involvement,” he lashed out.
    On the stage, to the left of the German speaker, sat Adm. (Res.) Ami Ayalon, who has served as a cabinet minister, head of the Shin Bet security service and commander of the navy, and Gilad Sher, a lawyer who was Prime Minister Ehud Barak’s chief of staff and policy coordinator. In the front row were philanthropist and peace activist Orni Petruschka, Ayalon and Sher’s partner in the leadership of Blue White Future, [a pro-peace movement] and the organization’s CEO, Dar Nadler. They came to the capital of the European Union at the instigation of the Hanns Seidel Foundation to persuade the Europeans to exert their influence on the Americans. Ayalon and Sher sought to equip the Europeans with their diplomatic blueprint, the gist of which is Israeli recognition of a Palestinian state and the launch of negotiations on a permanent agreement, based on the Arab Peace Initiative (peace and normalization of relations with members of the Arab League in return for Israeli withdrawal to the 1967 borders) and a declaration that Israel has no territorial claims on the eastern side of the security/separation fence.
    The leaders of Blue White Future warned that European inactivity until the end of negotiations on land exchanges, the division of Jerusalem and a solution to the Palestinian refugee problem would bring about the demise of a Jewish and democratic Israel. They presented senior EU officials with a plan for the immediate evacuation of all settlements east of the fence, including a precise mapping of vacant lands within the Green Line [the de facto 1967 border] on which the Israeli evacuees could be resettled. They recommended that everyone learn the lessons of the unilateral Israeli withdrawal from the Gaza Strip, which dropped the Strip like a ripe fruit into the hands of Hamas (Europe supported the disengagement from Gaza) and replace that totally unilateral action with coordinated unilateral steps.
    The Seidel Foundation invited me to join the fascinating three-day journey of the “Blue White Future” leadership through the endless corridors of the European Union. I participated in meetings with leading officials of the European Commission, with a senior official in the office of EU foreign secretary Catherine Ashton and with members of the European Parliament. I was exposed to the frustrations of the umbrella organization of 27 states, whose population is greater than that of the United States. Parliament member Ivo Vajgl, Slovenia’s former foreign minister, recounted how Israeli government ministers refused to meet the European Parliament delegation, which he headed, and Israeli members of Knesset [parliament] left them waiting a long time outside their meeting room. “Israel is humiliating us,” said Vajgl. 
    I was struck by the helplessness of the European Union, which was honored last year with the Nobel Peace Prize, regarding peacemaking between Israel and the Palestinians, an end to settlements and to the occupation.
    All the senior officials we met in Brussels, without exception, listened attentively to the guests’ plan, made remarks and at the end sent them to Berlin, Paris, London and Prague, too, which had voted at the UN against upgrading status of the Palestinian Authority. One journalist even asked angrily, “Why did you come here, anyway?” When Ayalon, Sher and Petruschka explained why economic sanctions would not jump-start the diplomatic process, the hosts said they were in complete agreement that there’s no chance the 27 countries represented in Brussels could reach agreement regarding punitive steps of any kind against Israel for its construction in the settlements.
    Past experience teaches us that the recommendations of the European consuls to take steps against Israel, such as imposing economic sanctions on the settlements — as published this week in the Haaretz newspaper — are gathering dust in the desk drawers of the European Union.
    On the other hand, they stressed that as long as Israel continues to expend settlements in the West Bank and East Jerusalem, there’s not even a slim chance that members of the Union will arrive at a consensus regarding the upgrading of Israel’s position. In addition, a senior European official pointed with no small amount of embarrassment to the fact that the EU is incapable of agreeing to include Hezbollah in the list of terror organizations, even after the official Bulgarian government investigation concluded with certainty that the organization was responsible for the attack in which five Israeli tourists were murdered last year in a Bulgarian resort town.
    Europe is mostly busy with its own problems, the financial crises and the integration of new members (next in line is Croatia. For the information of reader Prime Minister Benjamin Netanyahu — this was made possible after the Croatians met the EU’s demand to erase from their constitution the article stating that Croatia is the national home of the Croatian people). The Quartet, the mechanism established with the aim of advancing the diplomatic process, has turned into a joke. In answer to my question about former Prime Minister Tony Blair’s activity as the special envoy of the Quartet (the US, Russia, the European Union and the UN), the two officials sitting across from us exchanged meaningful looks and burst out laughing. They said the EU has decided to stop funding Blair, who has disappeared somewhere in East Jerusalem.
    Thus, the Europeans are directing their eyes westward, to the 2009 Nobel Peace Prize laureate, US President Barack Obama. So far, the Union’s special envoy to the Middle East, Andreas Reinicke, is the only bearer of good news. He says EU’s foreign policy chief, Lady Catherine Ashton, and Obama have set themselves a one-year deadline to bring about a permanent settlement, not an interim arrangement, not a Palestinian state within temporary borders, but rather the establishment of a sovereign Palestinian state side-by-side with the state of Israel. The impression in Ashton’s office, on the other hand, is that Obama will focus his meeting with Netanyahu on the Iranian nuclear issue. We heard there that at his last meeting with Ashton, each time the European minister wished to raise the Israeli-Palestinian conflict, Netanyahu said this was a marginal issue which deflects attention from the big Iranian threat. “If this is a marginal issue”, Ashton is said to have answered, “let’s get it out of our way so we can be free to deal with the main issue.” The prime minister, we were told, did not respond.
    Brussels hopes the next Israeli government will have a response. They are not holding their breath.

    • Bizarre, pourtant j’ai lu une info de @pierre1 qui nous mettait en garde contre la propagande. J’comprends plus rien, plus rien du tout !!

      Alors c’est pas les palestiniens les méchants ? Ce serait les israéliens ? Est-ce que la mort des 9 gars ne serait pas un truc de plus bidonné par les arabes pour faire passer l’armée la plus démocratique du monde (Tsahal, c’est comme ça que botul le bon la décrit) pour une bande de méchants alors que ce sont les gentils ?
      Ah, propagande encore de ces satanés palestiniens qui prétendent encore être des victimes de la seule démocratie de la région !!

      Y’en a marre, ils avaient réussit à me faire croire que Avigdor Liberman n’était pas un humaniste, je suis tombé dans le panneau une fois, pas deux.
      #nakba #palestine #vol #génocide #crimes_contre_l_humanité

    • Butadaie, pourquoi crois-tu que je l’avais publié ? Pour accréditer la version d’Israël qui voulait faire croire que toute image en défaveur d’Israël était un montage travaillé ?

      Bien sûr, je crois que les deux camps font un travail de désinformation. Ceci dit, il y a aussi des acteurs dans les deux camps qui cherchent une solution pacifique au conflit. C’est à ces gens-là qu’il faut rendre hommage, sans cesser de dénoncer ceux qui font tout pour que la situation empire.

      En ce qui concerne les 9 humanitaires de la flottille « Free Palestine », j’ai trouvé ridicule qu’elle cherche à forcer le blocus sur Gaza. Autant mettre sa main dans le feu pour dire « le feu m’a brûlé ». Alors quand il y a 9 tués, on devrait avoir suffisamment de pudeur pour ne pas faire le V de la victoire. C’est galvauder la vie des victimes, si tu veux mon avis. L’humanitaire est suffisamment en péril comme ça, pour ne pas offrir leur vie pour rien, comme des trompes-la-mort dans des actions inconsidérées.

      Si Tsahal est responsable, il y a aussi des responsabilités à chercher chez ceux qui ont organiser la flottille. Ils n’avaient pas blanc seing pour risquer la vie de ces gens.

    • @Pierre1, moi je crois qu’un seul camp fait un travail de désinformation, c’est le camp israélien. Le camp palestinien ne fait …. rien, car il n’a AUCUN pouvoir. C’est pourquoi des zozos comme moi font de temps en temps de la ré-information, quelque fois avec le sourire, quelque fois en hurlant, mais toujours dans le but de montrer au monde la sauvagerie israélienne.

      Ceux qui cherchent une solution au conflit ne sont pas dans les deux camps, ils sont dans le camp unique des êtres humains : pas de race, pas de nationalité, pas de religion, pas de connerie, que des êtres humains.

      Moi je n’ai pas trouvé ridicule que la flottille cherche à forcer ce blocus inhumain, comme je n’ai pas trouvé ridicule après coup que des êtres humains sauvent d’autres êtres humains en 1940 parce que ces derniers étaient juifs. Toi tu penses que le feu t’a brûlé quand tu prends un peu de courage, moi je regarde les mecs et j’admire. Ils n’ont rien à gagner, ils n’ont rien à attendre en retour si ce n’est l’espoir d’arrêter le supplice et l’enfermement dans un camp de concentration de plus d’un million de femmes et d’enfants et ils vont donner leur vie pour ça.

      @pierre1, toi tu penses que leur vie ont été données pour rien, moi je pense que la vie de Jean Moulin n’a pas été donnée pour rien, que la vie de toute résistance à l’ignominie n’est jamais donnée pour rien.

      Enfin @pierre1, je crois que je te l’avais déjà demandé : peux-tu, à la place de « tsahal » utiliser le terme approprié selon l’ONU qui est « armée d’occupation » ? Merci.
      #nakba #palestine #génocide #antisémitisme

    • Imaginez un blocus qui emprisonne votre village, votre quartier, votre région ou votre pays...
      Pour vous soumettre à la mendicité...
      Et pour, après des générations, l’extermination.
      Le colonialisme des Amériques a similitude avec celui israélien de notre époque.
      Il y a celui qui a prétendu, au 19è siècle en Afrique et ailleurs, civiliser les indigènes, dans son genre il a fait des auxiliaires (harkis) qui se sont révoltés...

    • Salut butadaie, si j’utilise tsahal au lieu « d’armée d’occupation », c’est parce que tsahal désigne bien cette armée d’occupation là. C’est comme si tu me demandais de ne plus citer « Israël » lorsque je parle du pays responsable de la nakba.

      En ce qui concerne les 9 morts de la flottille, je pense effectivement qu’ils sont morts pour rien. Plus personne n’en parle, ça n’a été qu’un feu de paille. Si tu considères le contraire et qu’ils ont été des « martyrs », tu devrais citer leur nom à chaque fois que tu en parles.

      Il y aura toujours un point de vue israélien et un point de vue palestinien, de la même manière qu’il y a un point de vue extérieur à ces deux points de vue. Si on veut être objectif, il faut considérer tous les points de vue. Il y a des salauds et des braves types dans tous les camps, et ce n’est que normal puisque ce sont des êtres humains. C’est précisément parce qu’Israël ne considère que sont point de vue comme référence que sa politique à l’égard des palestiniens est une politique raciste.

      Si seul le rapport de force est pris en compte pour qualifier les coupables et les victimes, alors tôt ou tard les palestiniens seront coupables aussi. Moi je ne rentre pas dans ce jeu-là. Pour moi, il y a des actes inéquitables ou pas. C’est ceux-là que je dénonce en tant qu’humaniste. Dans mon jeune temps, je suis devenu objecteur de conscience (je suis passé devant un tribunal militaire). Je n’ai pas changé depuis.