person:ayed

  • Electro palestinienne : levant en poupe
    Guillaume Gendron, Libération, le 25 février 2019
    https://next.liberation.fr/musique/2019/02/24/electro-palestinienne-levant-en-poupe_1711373

    A l’occasion de la carte blanche donnée à Electrosteen à Paris, rencontre avec les figures majeures de « l’Arab Touch », une scène qui ne cesse de grandir et de s’exporter avec succès, donnant une visibilité inédite aux diverses facettes de l’identité palestinienne.

    Aux oreilles non arabisantes, le nom du club, Kabareet, sonne anodinement exotique. Confusion savamment pensée entre « cabaret » et le mot arabe pour « allumette ». Ce n’est pas tant que ce club soit un brasier mais plutôt une lueur : l’épicentre de la scène électronique palestinienne, ici à Haïfa, au nord d’Israël, dans cette ville mixte où les juifs vivent en haut de la colline et les Arabes au bord de la mer. Un refuge où tout le monde peut venir danser, boire et s’oublier. Y compris les Palestiniens de Cisjordanie entrés sans permis, parfois en escaladant les huit mètres de béton du mur de séparation.

    Nimbé dans une lumière pourpre, sous les voûtes d’une vieille bâtisse aux pierres apparentes, Ayed Fadel, cheveux ras à l’exception d’un luxuriant chignon de dreadlocks, annonce au micro le prochain DJ, venu spécialement de Londres. Le charismatique pilier du collectif Jazar Crew, maître des lieux, appelle la foule - piercée, tatouée, surlookée - à « s’aimer, à refuser le racisme, le sexisme et l’homophobie ». Dans une pièce attenante, à côté d’une tireuse à bière, Nasser Halahlih est d’humeur rétrospective. Ce lieu, ce n’est pas tant qu’il en avait rêvé, c’est que longtemps, il n’avait jamais songé qu’il puisse exister. « Il fallait un public, dit-il. Quand j’ai commencé, j’étais putain de seul. Il y a encore dix ans, avant le Jazar, t’aurais jamais pu ouvrir un tel endroit. Les choses ont beaucoup changé. »

    Nasser Halahlih, 37 ans (qui se produit le 1er mars à l’Institut du monde arabe (Paris Ve) dans le cadre des Arabofolies et de la carte blanche au projet « made in Palestine » Electrosteen) est souvent présenté comme le pionnier de cette scène palestinienne. Aussi protéiforme et éparpillée que soudée et cohérente, et désormais scrutée à l’échelle mondiale à l’heure où le microcosme techno se déchire sur la question du boycott culturel d’Israël. Le fiasco du Meteor Festival, en septembre, en a donné l’illustration flagrante, voyant la majorité des musiciens européens se retirer suite aux appels du collectif #DJsForPalestine, après des jours de débats houleux sur les réseaux.

    Bandes d’ados et raves sauvages
    Fils d’une figure du théâtre palestinien, Nasser Halahlih a grandi entre Nazareth et Haïfa, les deux grandes villes arabes d’Israël, avec un passeport affichant le chandelier à sept branches, comme tous ceux que l’Etat hébreu désigne comme la minorité « arabe-israélienne ». Les concernés se réfèrent généralement à eux-mêmes en tant que Palestiniens de « 48 », la date de création d’Israël. Et, du point de vue arabe, de la nakba (« la catastrophe »). Distinguo crucial, tant l’identité palestinienne est fragmentée - entre la diaspora, les réfugiés, les Gazaouis, les habitants de Cisjordanie sous occupation et donc « ceux de 48 ».

    Les années, l’isolation et la séparation des communautés ont creusé les différences sociales et culturelles, que ce mouvement cherche à enjamber, si ce n’est combler. D’où le nom du combo electro-pop emblématique de la diaspora, 47Soul (« l’âme de 47 »), quatuor faisant la navette entre la Jordanie et Londres et dont le tube de 2015 Intro to Shamstep (sham signifiant le Levant en arabe) constitue le climax des soirées de Ramallah à Jaffa (ville arabe accolée à Tel-Aviv). En 2018, The Guardian a même listé le shamstep comme l’un des sons de l’année.

    Les choses ainsi posées, Halahlih se gratte la tête et refait, à travers son parcours, l’archéologie du mouvement. Fan de rap, « comme tout le monde en Palestine dans les années 90-2000 », il s’inscrit à un atelier de DJing à 15 ans. Les autres participants sont juifs israéliens. Ils l’initient à la house, la trance, l’EDM. Les choses s’enchaînent : à Nazareth et Haïfa, il joue dans les mariages (« seule façon de vivre de la musique ici ») et s’aguerrit en parallèle à New York et Tel-Aviv. En 2008, il sort sur un label berlinois son premier EP, Checkpoint, avec le mur de séparation entre Israël et la Cisjordanie sur la pochette. « De la progressive psytrance », précise-t-il, même s’il se sent alors mal à l’aise dans ce milieu « bouffé par la drogue », sans référence à sa culture. « A l’époque, pour les Arabes, l’electro, c’était un truc tombé de l’espace, ils y pigeaient rien ! Partout, je cherchais des producteurs arabes et j’en trouvais jamais. »

    Cascades harmoniques
    Il finit par abandonner l’idée d’en vivre et part « bosser dans un bureau ». Jusqu’à ce que le Jazar Crew, à l’origine une bande d’ados de Haïfa organisant des raves sauvages, le sorte de sa retraite, au milieu des années 2010. Suivront les projets Fawda, en 2014 (des beats agrémentés d’oud électrifié et de slams politisés d’Ayed Fadel) et aujourd’hui Zenobia, en duo avec le claviériste Isam Elias, 27 ans. Halahlih espère en faire le « Daft Punk palestinien ». Moins de la mégalomanie qu’une volonté de se définir populaire et exigeant, audible partout mais fidèle au terreau originel. « Comme il y a eu la French Touch, voici l’Arab Touch, plaisante-t-il. Zenobia, c’était une reine, dont le royaume s’étendait de Palmyre jusqu’en Egypte. Le Levant, c’est notre ADN musical. Comme elle, on veut conquérir le monde et mélanger cet ADN à tous les genres, faire quelque chose sur lequel tu peux danser, du Brésil au Japon. »

    La formule de Zenobia se rattache à la mouvance electro-chaâbi, abusivement qualifiée de bande-son du printemps arabe et symbolisée par l’improbable trajectoire du chanteur de mariages syrien Omar Souleyman, devenu collaborateur de Diplo et adulé par les lecteurs de Pitchfork - Souleyman, de par son allégeance à Bachar al-Assad, est controversé au Moyen-Orient : le Jazar Crew, par exemple, refuse de jouer ses morceaux.

    Si, en live, Nasser Halahlih et Isam Elias revêtent un keffieh comme Souleyman, ils préfèrent citer le succès de 47Soul comme catalyseur de ce retour aux mélodies folkloriques. Pendant que Halahlih sculpte des nappes électroniques léchées, alternant vibe éthérée et kick martelant le rythme du dabké (la danse levantine du « coup de pied »), Elias laisse sa main droite de jazzeux marathonien broder en cascades les gammes mineures harmoniques, typiquement orientales, sur synthé acide. Le tandem, qui doit sortir un premier EP début avril, a signé à l’automne sur le label d’Acid Arab, duo français défricheur de l’orientalisme techno et ainsi aux premières loges pour voir le mouvement éclore.

    « Il y a toujours eu des gens qui faisaient du son dans les Territoires occupés, observe Guido Minisky d’Acid Arab. Mais longtemps, c’était plutôt des choses pas passionnantes autour de l’abstract hip-hop. La vague actuelle est plus popisante. Le risque serait qu’elle tombe dans les clichés avec la derbouka, les violonades et un sample de muezzin, mais eux cherchent à construire un truc intelligent, jouant de leurs codes culturels tout en adoptant une production moderne. C’est l’expertise qu’on leur apporte pendant qu’eux nous mettent à l’amende sur les mélodies au clavier. Quand il y a cette sincérité des deux côtés, Orient et Occident, on sort de la "recette" bête et méchante. »

    Ainsi, Acid Arab s’est aligné sur les convictions de cette scène émergente. A l’instar de Nicolas Jaar, icône électronique d’origine palestino-chilienne, les Français évitent désormais Tel-Aviv pour privilégier les clubs tenus par des « Palestiniens de 48 » ou dans les Territoires, sous l’égide du Jazar Crew. Las, leur premier concert à Ramallah en décembre a dû être annulé, les forces israéliennes ayant ce jour-là bouclé tous les accès au siège de l’Autorité palestinienne. Exemple des obstacles constitutifs de cet underground palestinien.

    Dynamique panarabe
    L’organisation l’été dernier d’un événement estampillé Boiler Room [1] à Ramallah, doublée du tournage d’un documentaire-manifeste, a achevé de mettre sur la carte sonique cette simili-capitale en Cisjordanie occupée, mal aimée mais berceau de créativité. Elle complète une sorte de triangle par-delà le mur et les check-points avec Haïfa et Jaffa - bien que ce dernier point soit en danger, le club phare Anna Loulou ayant récemment fermé, victime de la gentrification.

    La figure de proue est une jeune femme de 28 ans, Sama Abdulhadi, dite SAMA’ - sans doute l’étoile la plus brillante du mouvement, on pourra aussi l’entendre à l’IMA à Paris. Née en Jordanie et élevée dans une famille aisée à Ramallah, pianiste classique rompue à Chopin, la « première DJ de Palestine » a choisi une voie à l’opposé de l’electro-chaâbi. Sa techno sombre est dépouillée de références orientales (« cinq notes de oud sur un track, c’est pas de la musique arabe, c’est de la paresse », cingle-t-elle) et privilégie une sécheresse minérale. « J’ai découvert la techno à Beyrouth, pendant la Deuxième Intifada, raconte-t-elle. J’avais beaucoup de colère en moi, et ça m’a libérée. J’ai toujours mixé ce que je ressentais. Puis un jour, on m’a dit : "T’as un son berlinois." J’avais jamais mis les pieds en Allemagne… »

    Ingé-son nomade (formée en Grande-Bretagne, installée un temps au Caire et désormais partagée entre Paris et Ramallah), SAMA’ inscrit le mouvement dans une dynamique panarabe plus large, incluant l’Egypte et le Liban, mais ne perd pas de vue sa spécificité. « J’aime comparer cette musique à ce qui se jouait à Berlin avant la chute du Mur. En tant que Palestinien, où que tu sois, tu transportes le conflit. Pour moi, la techno, ce n’est pas une échappatoire liée aux drogues, mais plutôt quelque chose qui tient de la science-fiction : un lien avec le futur, un endroit sans politique, sans frontière, sans occupation. » Surtout, la musique lui a permis de créer des liens : « Avec les gars de Haïfa, de Jaffa, la diaspora, on est à nouveau une famille. »

    Au cœur du réacteur, le Jazar Crew joue les entremetteurs et les influenceurs. « A la base, la philosophie électronique a toujours été "rave against the machine", de Berlin à Detroit, prêche Ayed Fadel entre deux sets. Aujourd’hui, tu peux faire entendre le message palestinien en bookant SAMA’ dans ton festival ou en jouant à Kabareet. » Mais le plus important pour lui, c’est d’avoir créé « notre propre dancefloor. "Safe", ouvert à tous, même aux Israéliens. Du moins ceux qui respectent et comprennent que ce dancefloor vient autant de l’amour que de la colère ». Pour cette voix du mouvement, « il est très important que la scène électronique internationale comprenne que tout ne se limite plus à la bulle de Tel-Aviv, où le conflit est invisible. Cette bulle n’est pas underground, elle n’unit personne : elle ignore. Notre monde parallèle, lui, n’exclut pas : il montre qu’on peut faire les choses autrement. »

    [1] Collectif londonien qui organise de très suivies soirées branchées retransmises sur le Web.

    #Palestine #Sama #Musique #Musique_et_politique #Underground #Electro #Techno #Rap #Rave

    Sur le même sujet :
    https://seenthis.net/messages/752617
    https://seenthis.net/messages/760253

  • Names and ages of Palestinians killed by Israeli troops in Gaza

    These are the names of the unarmed Palestinians shot dead by Israeli troops since Friday 30 March, 2018. They were protesting at the Gaza border for the right of return to their ancestral lands and homes, from which they were driven out in 1948. The list does not include the many thousands wounded by live fire.

    Name and age of victims :
    01. Omar Wahid Samour, 31 years old
    02. Mohammed Kamal al-Najjar, 25 years old
    03. Jihad Zuhair Abu Jamous, 30 years old
    04. Amin Mansour Abu Muammar, 22 years old
    05. Ibrahim Salah Abu Sha’er, 17 years old
    06. Nagy Abdullah Abu Hjeir, 25 years old
    07. Musab Zuhair Al-Soloul, 23 years old
    08. Abd al-Qader Mardi al-Hawajri, 42 years old
    09. Mahmoud Saadi Rahmi, 23 years old
    10. Mohammed Naeem Abu Amro, 26.
    11. Ahmed Ibrahim Ashour Odeh, 19.
    12. Jihad Ahmed Farina, 34 years old
    13. Abdel-Fattah Abdel-Nabi, 18 years old
    14. Bader Fayiq al-Sabbagh, 22 years old
    15. Sari Walid Abu Odeh, 27 years old
    16. Hamdan Isma’il Abu Amsha, 23 years old
    17. Fares Al-Ruqab, 29 years old
    18. Ahmad Omar Arafah, 25 years old
    19. Osama Khamis Qdeih, 38 years old
    20. Majdi Ramadan Shabat, 38 years old
    21. Hussein Muhammad Adnan Madi, 13 years old
    22. Subhi Abu Atawi, 20 years old
    23. Mohammad Said al-Haj-Saleh, 33 years old
    24. Sedqi Faraj Abu Atawi, 45 years old
    25. Alaa al-Din Yahya Ismail al-Zamli, 15 years old
    26. Hamza Abd al-Al, 20 years old
    27. Yaser Murtaja, 30 years old
    28. Ibrahim Al-‘ur, 19 years old
    29. Mujahed Nabil Al-Khudari, 25 years old
    30. Marwan Odeh Qdeih, 45 years old
    31. Mohammed Hjeila, 30 years old
    32. Abdallah Al-Shahri, 28 years old
    33. Tahrir Wahba, 17 years old
    34. Saad Abu Taha, 29 years old
    35. Mohammed Ayoub, 15 years old
    36. Ahmed Abu Hussein, 25 years old
    37. Abdullah Shamali, 20 years old
    38. Ahmad Rashad Al Athamna, 23 years old
    39. Ahmed Nabil Aqel, 25 years old
    40. Mahmoud Wahba, 18 years old
    41. Ahmed Dabour, 23 years old
    42. Ayed Hamaydeh, 23 years old
    43, Amjad Qartous, 18 years old
    44. Hesham Abdul-Al, 22 years old
    45. Abd al-Salam Bakr, 29 years old
    46. Mohammed Amin al-Maqeer, 21 years old
    47. Khalil Na’im Mustafa Atallah, 22 years old
    48. Azzam Oweida, 15 years old
    49. Anas Shawqi, 19 years old
    50. Jaber Salem Abu Mustafa, 40 years old
    51. Amin Mahmoud Muammar, 26 years old
    52. Hani Fayez al-Ardarba, 23 years old
    53. Mohammed Khaled Abu Reida, 20 years old
    54. Jamal Abu Arahman Afaneh, 15 years old
    55. Laila Anwar Al-Ghandoor, 8 months old
    56. Ezz el-din Musa Mohamed Alsamaak, 14 years old
    57. Wisaal Fadl Ezzat Alsheikh Khalil, 15 years old
    58. Ahmed Adel Musa Alshaer, 16 years old
    59. Saeed Mohamed Abu Alkheir, 16 years old
    60. Ibrahim Ahmed Alzarqa, 18 years old
    61. Eman Ali Sadiq Alsheikh, 19 years old
    62. Zayid Mohamed Hasan Omar, 19 years old
    63. Motassem Fawzy Abu Louley, 20 years old
    64. Anas Hamdan Salim Qadeeh, 21 years old
    65. Mohamed Abd Alsalam Harz, 21 years old
    66. Yehia Ismail Rajab Aldaqoor, 22 years old
    67. Mustafa Mohamed Samir Mahmoud Almasry, 22 years old
    68. Ezz Eldeen Nahid Aloyutey, 23 years old
    69. Mahmoud Mustafa Ahmed Assaf, 23 years old
    70. Ahmed Fayez Harb Shahadah, 23 years old
    71. Ahmed Awad Allah, 24 years old
    72. Khalil Ismail Khalil Mansor, 25 years old
    73. Mohamed Ashraf Abu Sitta, 26 years old
    74. Bilal Ahmed Abu Diqah, 26 years old
    75. Ahmed Majed Qaasim Ata Allah, 27 years old
    76. Mahmoud Rabah Abu Maamar, 28 years old
    77. Musab Yousef Abu Leilah, 28 years old
    78. Ahmed Fawzy Altetr, 28 years old
    79. Mohamed Abdelrahman Meqdad, 28 years old
    80. Obaidah Salim Farhan, 30 years old
    81. Jihad Mufid Al-Farra, 30 years old
    82. Fadi Hassan Abu Salah, 30 years old
    83. Motaz Bassam Kamil Al-Nunu, 31 years old
    84. Mohammed Riyad Abdulrahman Alamudi, 31 years old
    85. Jihad Mohammed Othman Mousa, 31 years old
    86. Shahir Mahmoud Mohammed Almadhoon, 32 years old
    87. Mousa Jabr Abdulsalam Abu Hasnayn, 35 years old
    88. Mohammed Mahmoud Abdulmoti Abdal’al, 39 years old
    89. Ahmed Mohammed Ibrahim Hamdan, 27 years old
    90. Ismail Khalil Ramadhan Aldaahuk, 30 years old
    91. Ahmed Mahmoud Mohammed Alrantisi, 27 years old
    92. Alaa Alnoor Ahmed Alkhatib, 28 years old
    93. Mahmoud Yahya Abdawahab Hussain, 24 years old
    94. Ahmed Abdullah Aladini, 30 years old
    95. Saadi Said Fahmi Abu Salah, 16 years old
    96. Ahmed Zahir Hamid Alshawa, 24 years old
    97. Mohammed Hani Hosni Alnajjar, 33 years old
    98. Fadl Mohamed Ata Habshy, 34 years old
    99. Mokhtar Kaamil Salim Abu Khamash, 23 years old
    100. Mahmoud Wael Mahmoud Jundeyah, 21 years old
    101. Abdulrahman Sami Abu Mattar, 18 years old
    102. Ahmed Salim Alyaan Aljarf, 26 years old
    103. Mahmoud Sulayman Ibrahim Aql, 32 years old
    104. Mohamed Hasan Mustafa Alabadilah, 25 years old
    105. Kamil Jihad Kamil Mihna, 19 years old
    106. Mahmoud Saber Hamad Abu Taeemah, 23 years old
    107. Ali Mohamed Ahmed Khafajah, 21 years old
    108. Abdelsalam Yousef Abdelwahab, 39 years old
    109. Mohamed Samir Duwedar, 27 years old
    110. Talal Adel Ibrahim Mattar, 16 years old
    111. Omar Jomaa Abu Ful, 30 years old
    112. Nasser Ahmed Mahmoud Ghrab, 51 years old
    113. Bilal Badeer Hussein Al-Ashram, 18 years old
    114. Unidentified
    115. Unidentified
    116. Unidentified

    –-> https://medium.com/@thepalestineproject/names-and-ages-of-palestinians-killed-by-israeli-troops-in-gaza-29bad3a12db6

  • » Four Palestinian Fighters Killed East of Rafah
    IMEMC News | April 14, 2018 7:43 PM
    http://imemc.org/article/four-killed-in-israeli-shelling-east-of-rafah

    Four people were killed and several others injured, on Saturday, in what initially appeared to be an Israeli artillery attack targeting a group of Palestinians who were riding a three-wheeled “tuk tuk” motorcycle (rickshaw) east of Rafah, in the southern Gaza Strip. Other accounts indicated that the four died in a training accident.

    The four were identified as Amjad Qartous, 18, Ayed Hamaydeh , 23, Hesham Kallab, 18, and Hesham Abdul-Al , 22. All four were from from the southern Gaza Strip city of Rafah.

    Islamic Jihad claimed the four young men as fighters in their armed wing, and published a photo of the four wearing the uniform of Islamic Jihad.

    Initial reports from the PNN stated that Israeli artillery shelled the eastern border of Rafah, targeting a group of young men who were moving rubber tires near the eastern border of the city.

    But a later report indicted that the four men may have been killed by an explosive that went off in a training accident.

    The four deaths follow a day of protests at various places along the Israel-Gaza border, in which one Palestinian was killed and 969 Palestinians were wounded .

  • Graffitis en Cisjordanie : les artistes servent-ils vraiment la cause palestinienne ?

    « De notre point de vue, le mur aurait dû rester comme il était, il n’aurait pas fallu le transformer en un tableau beau à regarder » estime Jamal Juma, coordinateur du mouvement palestinien Stop the Wall Campaign, qui lutte contre le mur de séparation et la colonisation en Cisjordanie.

    « Mais nous ne pouvons pas empêcher les gens de s’exprimer » explique le militant palestinien. « Disons la vérité, les graffitis drainent tellement de business que nous ne pouvons pas nous y opposer » ajoute Ayed Arafah.

    https://www.equaltimes.org/graffitis-en-cisjordanie-les?lang=fr
    #Graffiti #StreetArt #ArtWashing

  • En sol majeur avec Ayed Nabaa
    Par Yasmine Chouaki | Diffusion : dimanche 22 octobre 2017
    Ayed Nabaa
    http://www.rfi.fr/emission/20171022-ayed-nabaa
    http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/magazines/r213/en_sol_majeur_20171022.mp3

    Le Maroc est encore dans nos cartons… car, en revenant du Festival Europe Orient du Film Documentaire de Tanger (dont la 5ème Edition s’est déroulée
    du 18 au 23 septembre 2017), on a pu ramener les bobines de films du réalisateur-producteur Ayed Nabaa. Pourquoi lui, c’est vrai, au milieu de tous ces réalisateurs jordaniens, irakiens, libanais, espagnols ou allemands à l’affiche de ce Festival qui jouait la carte de l’Europe et de l’Orient, pourquoi ce réalisateur franco-jordano palestinien ? Sa présence au monde cinématographique n’est pas anodine. D’ailleurs, au milieu des Masterclasses et autre conférences, le Festival lui a confié un Atelier du scénario pour les jeunes réalisateurs de Tanger. Conversation enregistrée, il y a quelques semaines, dans cette ville de rêve économique et culturel qu’est Tanger...

  • Saudi Arabia executes Shiite cleric Nimr al-Nimr along with 47 people
    http://www.middle-east-online.com/english/?id=74540

    Saudi Arabia on Saturday executed 47 people convicted of “terrorism”, including a prominent Shiite cleric behind anti-government protests, the interior ministry said.

    The cleric, Nimr al-Nimr, was a driving force of the protests that broke out in 2011 in the Sunni-ruled kingdom’s east, where the Shiite minority complains of marginalisation.

    But the list does not include Nimr’s nephew, Ali al-Nimr, who was 17 when he was arrested following the protests.

    • Ça commence à circuler aujourd’hui, assez nettement en contre-feu sectaire à l’indignation internationale contre l’Arabie séoudite, mais l’info date de la semaine dernière : Al Adl wal Ihssane dénonce la condamnation à mort de 27 sunnites en Iran
      http://www.yabiladi.com/articles/details/41206/ihssane-denonce-condamnation-mort-sunnites.html

      Al Adl wal Ihssane dénonce le verdict de la cour suprême de Téhéran condamnant un groupe de 27 religieux et prédicateurs sunnites à la peine capitale. Ils étaient poursuivis pour « activités hostiles au rite chiite », le seul reconnu officiellement par la constitution iranienne rédigée au lendemain de la chute du régime du Chah Mohammad Reza Pahlavi en 1979.

      Du coup, attention : ce n’est pas directement « en réponse » à l’exécution de Nimr, mais c’est tout aussi sûrement le bon chemin vers la #catastrophe.

      (Et pour l’instant, les sources sur cette info ne sont pas forcément les plus fiables.)

    • http://www.spa.gov.sa/french/content.php?cid=22&pg=1&titresonly=1&open=1

      0011 Communiqué du ministère de l’Intérieur saoudien : Exécution d’un certain nombre de condamnées pour terrorisme (3) Riyadh, 22 Rabi’I 1437. 02 janv. 2016 (SPA) -
      Les mentionnés ci-dessus ont commis les crimes suivants :

      1- Embrasser l’approche blasphématoire contenant les doctrines des kharijites qui contrecarrent le Livre Saint et la Sunna et le consensus des prédécesseurs de la nation, la publier par des moyens trompeux, la promouvoir par divers moyens, l’appartenance à des organisations terroristes et la mise en œuvre de leurs plans criminels , à travers : le bombardement du « complexe résidentiel Al-Hamra », du « complexe résidentiel Finil » et le « complexe résidentiel Ichbilia », à l’est de Riyadh le 11/03/1424 H, en plus de l’irruption du complexe de la « Compagnie Arabe des Investissements pétroliers », (AB Corp)," et la « société (Centre Petroleum), » le « complexe résidentiel Oasis » dans la province d’Al-Khobar dans la région Est, le11/4/1425 H, en utilisant des grenades et des armes à feu différent, provoquant des morts et des blessés parmi les citoyens et les agents de la sécurité et de nombreux résidents, et en mutilant de leurs corps, en procédant au ciblage d’un certain nombre de complexes résidentiels à travers le Royaume d’Arabie Saoudite pour les faire exploser, à l’empoisonnement de l’eau publique et à l’enlèvement d’un certain nombre de résidents dans le but de les tuer, à la fabrication d’explosifs et les faire passer en contrebande dans le Royaume d’Arabie Saoudite, la possession d’armes et de bombes fabriqués localement et importés ainsi que l’acquisition de matières explosives de haute capacité de destructrion et la possession d’une variété de bombes et de roquettes.
      –-SPA 14:03 LOCAL TIME 11:03 GMT

      0010 Communiqué du ministère de l’Intérieur saoudien : Exécution d’un certain nombre de condamnées pour terrorisme (2) Riyadh, 22 Rabi’I 1437. 02 janv. 2016 (SPA) - En voici les noms des condamnés pour terrorisme dont la peine de mort leur a été infligée : (suite)

      23 Abdallah ben Moualla ben ’Ali - la nationalité saoudienne.
      24 Abdellaziz Rashid ben Hamden Al-Tawili’ - nationalité saoudienne.
      25 Abdelmohsen Hamed ben Abdallah Al-Yahya - Arabie nationalité.
      26 Issam Khalaf Mohamed Al-Modhra’ - nationalité saoudienne.
      27 Ali Saïd Abdallah Al-Rabh - un ressortissant saoudien.
      28 Ghazi Mahissen Rashed - nationalité saoudienne.
      29 Faris Ahmed Jamaan Al-Shouweil - nationalité saoudienne.
      30 Fikri Ali ben Yahia Faqih - Arabie nationalité.
      31 Fahd ben Ahmed ben Hanash Al-Zamel - nationalité saoudienne.
      32 Fahd Abderrahmen Ahmed Al-Baridi - nationalité saoudienne.
      33 Fahed Ali Ayedh Al Jibrane - un ressortissant saoudien.
      34 Majed Ibrahim Ali Al-Mghinim - nationalité saoudienne.
      35 Majed Maïdh Rashed - un ressortissant saoudien.
      36 Mishaal ben Hamoud ben Jouir Al-Faraj - nationalité saoudienne.
      37 Mohamed Abdellaziz Mohamed Al-Mouhareb - nationalité saoudienne.
      38 Mohamed Ali Abdelkarim Souimel - nationalité saoudienne.
      39. M. Mohamed Fethi Abdel A’ati Assayed- de nationalité égyptienne.
      40 Mohamed ben Faisal ben Mohamed Al-Chioukh- de nationalité saoudienne.
      41 Mostafa Mohamed Al-Taher Abkar - de nationalité tchadienne.
      42 Moaïdh Mofreh Ali Al-Chokr - de nationalité saoudienne.
      43 Nasser Ali Ayedh Al-Jobrane - de nationalité saoudienne.
      44 Nayef Saad Abdallah Al-Bridi - de nationalité saoudienne.
      45 Najib ben Abdellaziz ben Abdallah Al-Bahiji - de nationalité saoudienne.
      46 Nimr Baker Amine Al-Nimr - de nationalité saoudienne.
      47 Nimr Sahaj Zaïd Al-Krizi - de nationalité saoudienne.
      –-SPA 13:15 LOCAL TIME 10:15 GMT

      0009 Communiqué du ministère de l’Intérieur saoudien : Exécution d’un certain nombre de condamnées pour terrorisme (1) Riyadh, 22 Rabi’I 1437. 02 janv. 2016 (SPA) - Le ministère de l’Intérieur a publié, aujourd’hui, la déclaration suivante :

      Un groupe de criminels ayant perdu le chemin de la vérité après avoir été séduits par la passion et suivi les traces du diable, ont commis des diverses actions terroristes pour répandre le sang infaillible et l’attentat à la pudeur dans la religion, ciblé de saper la sécurité et semé la discorde et les troubles et pour avoir interpolé la religion d’Allah par ignorance et passion.
      En voici les noms des condamnés pour terrorisme dont la peine de mort leur a été infligée :

      1 Amine Mohamed Abdallah Al-Akala - de nationalité saoudienne.
      2 Anwar Abderrahman Khalil Al-Najjar - de nationalité saoudienne.
      3 Badr ben Mohamed ben Abdallah Al-Bader - de nationalité saoudienne.
      4 Bandar Mohamed ben Abderrahmen Al-Ghaith - de nationalité saoudienne.
      5 Hassan Hadi ben Chouja’ Al-Masarir- de nationalité saoudienne.
      6 Hamad ben Abdallah ben Ibrahim Al-Hamidi - de nationalité saoudienne.
      7 Khaled Mohamed Ibrahim Al-Jarallah - de nationalité saoudienne.
      8 Ridha Abderrahmen Khalil Al-Najjar - de nationalité saoudienne.
      9 Saad Salama Hamir - de nationalité saoudienne.
      10 Salah ben Saïd ben Abderrahim Al-Najjar - de nationalité saoudienne.
      11 Salah ben Abderrahmen ben Mohamed Al-Houssein - de nationalité saoudienne.
      12 Saleh ben Abderrahmen ben Ibrahim Shamsan - de nationalité saoudienne.
      13 Saleh ben Ali ben Saleh Al-Jomoa- de nationalité saoudienne.
      14 Adel ben Saad ben Jaza Al-Dhabiti - de nationalité saoudienne.
      15 Adel Mohamed Salem Abdallah Yamani - de nationalité saoudienne.
      16 Abdel Jabbar ben Hamoud ben Abdellaziz Al-Touijri - de nationalité saoudienne.
      17 Abderrahmen Dakhil Faleh Al-Faleh - de nationalité saoudienne.
      18 Abdallah Sayer Moawadh Massad Al-Mhamdi - de nationalité saoudienne.
      19 Abdallah ben Saad ben Mouzhar Sharif - de nationalité saoudienne.
      20 Abdallah Saleh Abdellaziz Al-Ansari - de nationalité saoudienne.
      21 Abdallah Abdellaziz Ahmed Al-Mogrine - de nationalité saoudienne.
      22 Abdallah Msallem Hamid Al-Rahif - de nationalité saoudienne.
      –-SPA 13:14 LOCAL TIME 10:14 GMT

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      0017 La Commission des droits de l’Homme : Les décisions judiciaires concernant les 47 condamnés à mort sont une application de la justice et remplissent les exigences légales.
      http://www.spa.gov.sa/french/ContentPage.php?cid=22&id=198623
      Riyadh, 22 Rabi’I 1437 - 02 janvier 2016

      (SPA) - La Commission des droits de l’Homme a confirmé aujourd’hui que les décisions judiciaires contre les 47 personnes condamnées à mort étaient venues pour faire respecter la justice, une application de la charia et de la loi, et protéger la sécurité de la société et sa stabilité.
      La Commission des droits de l’Homme a également déclaré que les crimes terroristes commis par les 47 personnes étaient des crimes les plus graves, ajoutant que ces crimes ont entraîné la mort de dizaines de civils innocents, des militaires, des citoyens et des expatriés.
      La Commission des droits de l’Homme a souligné qu’elle avait suivi et participé aux jugements de ses affaires, et a fait en sorte que les procès ont été fait en conformité avec les procédures légitimes. La Commission a également déclaré que les cas ont été examinés par trois juges spécialisés de la Cour pénale et les peines ont été présentées devant cinq juges de la Cour d’appel mais aussi, devant cinq juges de la Cour suprême.
      La Commission des droits a souligné que la réalisation de la justice et la protection des droits de l’homme exige la mise en œuvre des décisions judiciaires ainsi que la mise en œuvre des peines contre quiconque viole les droits, tue des innocents et menacent la sécurité et la stabilité.

    • @nidal contrefeu ou pas, il faut reconnaitre que dans les statistiques internationales, le futur client iranien est un serial killer patenté, même si il reste derrière la Chine et si l’Arabie Saoudite essaie de le rattraper...


      il faudrait trouver les chiffres pour les années suivantes. Des données partielles ici : http://www.lefigaro.fr/international/2015/05/13/01003-20150513ARTFIG00154-peine-de-mort-plus-de-condamnations-en-2014-moins avec un graph montrant même l’Iran qui caracole en tête, nettement devant l’AS justement.

    • The Angry Arab News Service/وكالة أنباء العربي الغاضب: Liz Sly and the Saudi regime talking points on the mass executions
      http://angryarab.blogspot.com/2016/01/liz-sly-and-saudi-regime-talking-points.html

      Liz Sly does not mention one peculiar methodology of Amnesty International: Amnesty International for some reason adds to the list of executions in Iran its own numbers of unacknowledged executions when it does NOT do that for Saudi Arabia. What gives?

    • Saudi Nimr’s execution: Condemnation and hypocrisy
      Sharif Nashashibi
      Thursday 7 January 2016
      http://www.middleeasteye.net/columns/saudi-nimrs-execution-condemnation-and-hypocrisy-1182188250

      However, in any situation, condemnation is meaningless when based on hypocrisy. As such, Iran - which has arguably been most vocal about Nimr’s execution - does not have a leg to stand on. “It is perhaps surprising that a regime which imprisons journalists, censors cartoonists and holds activists without charge for years on end should be in any position to moralise against another,” wrote Evan Bartlett, news editor at The Independent newspaper.

      It is galling - almost comical - for the world’s second-biggest executioner after China to criticise the third-biggest on the subject of executions. It carries the same moral authority as the US lecturing others about gun control, or Japan discouraging other countries from whale-hunting.

      The number of people Saudi Arabia executes annually does not even come close to Iran’s tally. The former executed 158 people in 2015, its highest recorded number in a single year since 1995.
      Slow death via cranes

      However, between January and 1 November last year, Amnesty International recorded 830 executions in Iran, which are carried out by hanging via a crane that is lifted up from the ground, ensuring a slow death. That is equivalent to almost three executions per day, or 984 for the whole year (more than six times as many as Saudi Arabia’s 20-year record high).

  • #Gaza: #Israel puts paramedics in its crosshairs
    http://english.al-akhbar.com/content/gaza-israel-puts-paramedics-its-crosshairs

    A destroyed Civil Defence ambulance is seen on a street following an Israeli military offensive on the Shujayeh neighborhood between Gaza City and the Israeli border, which has left more than 50 people dead in a blistering bombardment which began overnight, medics said on July 20, 2014. (Photo: AFP-Mohammed Abed) A destroyed Civil Defence ambulance is seen on a street following an Israeli military offensive on the Shujayeh neighborhood between Gaza City and the Israeli border, which has left more than 50 people dead in a blistering bombardment which began overnight, medics said on July 20, 2014. (Photo: AFP-Mohammed Abed)

    Reham is used to not seeing her husband Ayed for several days on end. During war times, she rarely (...)

    #Culture_&_Society #Articles #Ayed_al-Buraey #Beit_Hanoun #International_Committee_of_the_Red_Cross #Khan_Younes #Palestine #Palestinian_Red_Crescent_Society

  • #Israël : de plus en plus d’#enfants #palestiniens placés en isolement carcéral
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/05/12/israel-de-plus-en-plus-d-enfants-palestiniens-places-en-isolement-carceral_4

    Le nombre d’enfants palestiniens détenus dans les quartiers d’isolement des prisons israéliennes est en train d’augmenter, dénonce dans un rapport publié lundi 12 mai l’ONG Défense des enfants international.

    « Le recours au placement en quartier d’isolement d’enfants palestiniens pendant les interrogatoires est de plus en plus fréquent », a indiqué dans un communiqué l’ONG, évoquant une augmentation de 2 % de cette pratique depuis 2012.

    « Il s’agit d’une violation des #droits des enfants et la communauté internationale doit exiger des explications et des solutions, a déclaré Ayed Abou Eqtaish, représentant de cette ONG dans les Territoires palestiniens. En général, les enfants palestiniens sont détenus à l’isolement, soit par mesure disciplinaire, soit pour les séparer de la population adulte de la prison. »

  • #Saudi_Arabia beheads 70th convict this year
    http://english.al-akhbar.com/content/saudi-arabia-beheads-70th-convict-year

    Saudi authorities on Sunday beheaded a citizen in the southern Najran province after he was convicted of killing another man, the interior ministry said. Zafer al-Batheen shot dead Ayed al-Qashaneen using a machine gun, following a dispute between the two. His execution brings to 70 the number of people executed in Saudi Arabia so far this year, according to an AFP count. In 2012, the conservative Muslim kingdom carried out 76 executions, according to a tally based on official figures. (...)

    #beheadings #medieval_times #Top_News