person:béatrice guenet

  • http://www.comingout-info.be/2012/07/09/loeil-du-cyclone-5-seche-tes-larmes-et-agis-demain-sera-le-printemps

    L’Oeil du Cyclone (5) : Sèche tes larmes et agis, demain sera le printemps

    Par Jeep Novak, Béatrice Guenet et Linda Mondry

    Les politiciens, de quelque bord qu’ils soient, utilisent depuis toujours les mêmes dialectiques, les mêmes trucs, et ce sont toujours sur les mêmes ficelles qu’ils tirent… Ils nous endorment avec de belles paroles, mais pour ce qui est du concret, toutes les excuses sont bonnes. Voir les marches arrières spectaculaires de François Hollande et de Di Rupo. Le bonheur du peuple, le sacrifice qui grandit l’âme, les lendemains qui chantent, toujours la même rhétorique pour nous endormir. Caresser la bête dans le sens du poil, lui faire entendre ce qu’il a envie d’entendre, titiller ses bas instincts, jalousie, envie, méchanceté et, surtout, ne pas lui dire la vérité surtout si elle est douloureuse et qu’elle ne fait pas plaisir. Ca c’est du populisme, le PP de Mischaël Modrikamen en est le parfait exemple. Au contraire de gens honnêtes, comme François Asselineau, mais les gens honnêtes n’ont pas de succès, hélas, car les électeurs ne veulent pas qu’on les confronte avec la réalité…

  • http://www.comingout-info.be/2012/06/26/loeil-du-cyclone-3-la-ou-autours-souffle-le-vent-terrible

    L’Oeil du cyclone (3) : Là où, autours, souffle le vent terrible…
    26 juin 2012, 13:57 - Par Jeep Novak, Béatrice Guenet et Linda Mondry

    Créer des problèmes, puis apporter des solutions…

    Cette méthode globale est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Cette situation peut être expliquée par deux raisons : d’abord par la peur engendrée par le phénomène de « précarisation ». Ensuite le mensonge, sans lequel l’exercice du mal et de la violence ne peut pas perdurer. La boucle est bouclée, lorsque la stratégie collective de défense rejoint la compréhension de la situation pour l’alimenter et s’en nourrir. On est alors dans l’idéologie défensive, et la violence se profile à l’horizon.