person:bandar ben sultan

  • Un accord a été trouvé pour clore le dossier Khashoggi, par Abdelbari Atwan - Actuarabe
    http://actuarabe.com/un-accord-a-ete-trouve-pour-clore-le-dossier-khashoggi

    a question est maintenant de savoir qui sera le « bouc-émissaire » sacrifié à la place du Roi saoudien, du Prince héritier et des dirigeants du Royaume ? Quel est le prix à payer à la Turquie et aux Etats-Unis pour étouffer ce crime ?

    La transaction de Lockerbie
    Pour répondre à cette question, du moins en partie, il faut revenir à l’affaire de Lockerbie et la transaction qui a été trouvée pour sauver le Colonel Muammar Khadafi et lever le terrible blocus de la Libye. Il est d’ailleurs paradoxal que le Royaume d’Arabie saoudite et le prince Bandar Ben Sultan, son ambassadeur à Washington de l’époque, ait été parmi les principaux artisans de cette transaction.

    J’ai rencontré en personne le principal accusé, ou plutôt le « bouc-émissaire » libyen de cette affaire, Abdelbaset Al-Megrahi. C’était un agent des services de sécurité libyens, qui a été condamné à la prison à vie pour avoir mis une bombe dans une des valises de l’avion de la Pan Am qui a explosé au-dessus de l’Ecosse et fait environ 300 victimes. Al-Megrahi, qui m’avait invité à lui rendre visite dans sa prison à Glasgow, m’a affirmé qu’il n’avait rien à voir avec ce crime. Il souffrait d’un cancer de la prostate en phase terminale et n’avait plus que quelques mois à vivre. Il s’est alors mis à pleurer à chaudes larmes, comme jamais je n’ai vu quelqu’un pleurer.

    Al-Megrahi m’a dit qu’il aurait assez de courage pour dire qu’il avait commis ce crime car il n’avait plus rien à perdre mais m’a affirmé qu’il avait été sacrifié pour sauver d’autres personnes. Abdel Rahman Shalgham, ancien Ministre libyen des affaires étrangères et camarade de classe, m’a confirmé quelques semaines plus tard que la Libye n’avait rien à voir avec Lockerbie et qu’ils avaient payé environ trois milliards de dollars en compensation aux Etats-Unis afin que le blocus soit levé. Cet homme est toujours vivant…

  • Ghouta Orientale : Sac de noeud et chèvre des néocons – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/03/06/ghouta-orientale-sac-de-noeud-et-chevre-des-neocons

    Les médias occidentaux pètent les plombs sur la situation en Ghouta Orientale. La propagande va crescendo et se vautre dans l’hystérie. Ou plutôt, elle est coordonnée pour préparer l’opinion publique à un type encore plus obscène d’intervention occidentale, à la mise en scène propagandiste endémique partout où on trouve ceux qu’on appelle « casques blancs ». Il n’y a pas le moindre reportage occidental en provenance d’Afrin, quotidiennement bombardée par les Turcs, alliés des Américains. Non, il n’est question que de la Ghouta, où les terroristes de l’Amérique et de l’OTAN sont en attente d’annihilation.Peu ou pas du tout d’informations non plus sur le carnage d’inspiration saoudienne au Yémen…

    Il est évident que les Forces du Tigre ne se lanceront pas à l’attaque tant que les groupes terroristes Al Qaeda, Hay’at Tahrir al-Cham, Jaych al-Islam, Faylaq al-Rahmane, et d’autres qui ne sont pas compris dans le cessez-le-feu négocié par Moscou, n’auront pas été pilonnés jusqu’à la déroute. On dit que le Major-Général Souheil al-Hassan a été démoralisé par le peu d’enthousiasme du Dr Assad de s’engager dans une victoire totale dans la Ghouta, certaines sources prétendant qu’il a été accueilli avec beaucoup d’affection par le Président, mais qu’on lui a dit de se retenir jusqu’à ce que l’atmosphère « politique » se soit améliorée. En réalité, rien de tout cela n’est vrai. On a laissé au général Al-Hassan toute latitude pour décider quand il convenait de lancer sa grande offensive, et il est évident qu’il a opté pour la continuation du processus de ramollissement, de manière à préserver ses propres acquis et la vie de ses hommes. Plus important encore, le général Al-Hassan est obligé de prendre en compte la vie des civils innocents, qu’on est en train de mettre dans des cages pour s’en servir comme boucliers humains. Mohamed « Allouche », criminel de guerre par excellence*, a donné l’ordre à ses gorilles de construire un millier de cages pour empêcher toute attaque aérienne.

    Sur la base d’informations que j’ai glanées chez mes propres sources, l’attaque a commencé comme manœuvre de sondage destinée à tester les défenses des rats retranchés. Certaines sources occidentales ont estimé le nombre des rongeurs enfermés dans la Ghouta à plusieurs milliers, un grand nombre d’entre eux ayant acquis des compétences non négligeables dans l’art de terroriser les populations. D’autres sources estiment que ces vermines sont moins d’un millier. Ma source ne peut pas se prononcer sur leur nombre mais estime qu’il est très « gérable ». Quoi qu’il en soit, si les lignes de défense sont aussi faibles qu’elles en ont l’air et si l’arsenal mis à la disposition des rongeurs a été épuisé avec peu de possibilités de réapprovisionnement du fait de l’encerclement de la Ghouta, alors, dans ce cas, l’opération ne devrait durer que peu de semaines et ce délai, à cause de la présence d’environ 400.000 civils.

    À en juger par les réactions à de nombreux d’articles des médias « mainstream », il est clair que personne ne croit aux contes occidentalo-sionistes. Presque tous les lecteurs qui postent des commentaires accusent les MM de diffuser des fables propagandistes. Si on se réfère au nombre de commentaires générés par la Syrie et si on les compare à ceux sur des sujets se rapportant davantage à la politique intérieure américaine, on peut en conclure que très peu de gens [aux USA, ndt] suivent les événements de Syrie. Ce que je veux dire, c’est que les MM ont misérablement échoué à sortir le public occidental de son apathie. Il semble qu’il ne trouve pas la Syrie aussi intéressante que le Super Bowl ou les massacres de Floride.

    Mohamed “Allouche” sait qu’il n’y a, pour lui, nul autre endroit où aller que l’enfer. Comme celles d’Abdullah al-Muhaysini, les traces de ses pas sont les marques sanglantes laissées par des milliers de civils innocents et de soldats gouvernementaux. Dès qu’ils seront morts, l’un et l’autre entreront dans l’oubli qu’ils méritent amplement et, au fur et à mesure que le temps passe, ils pourraient se mettre à soupçonner qu’Allah n’est pas du tout de leur côté et que peut-être… peut-être… l’Enfer plein de flammes promis aux pécheurs par le Coran ne demande qu’à être élargi pour les accueillir, eux et leurs sous-fifres.

    Les tanks T-72 font chauffer les moteurs et se préparent à entrer très bientôt en action, dans ce qui sera une avancée lente, étape par étape, et qui aura pour objectif de préserver au maximum les vies des civils et des soldats. Le dispositif de basculement anti-TOW a été énormément amélioré, rendant les plateformes anti-blindage de fabrication américaine inutilisables contre les tanks des Forces du Tigre. Les soldats syriens sont aguerris au combat et superbement entraînés sur le terrain où ils opèrent depuis près de sept ans. Voici venu le temps des comptes, où les cannibales qui infestent la Ghouta vont devoir se mettre à écrire leurs lettres d’adieu à leurs nuisibles parents de Tchétchénie, du Xinjiang ou d’Albanie, ou de n’importe lequel des pays qui les a engendrés – USA, France, Grande Bretagne, Allemagne ou Arabie Saoudite, entre autres.

    L’État d’Apartheid Sioniste, l’Arabie Saoudite, le Qatar, la France, l’Angleterre et le Koweit sont atterrés à l’idée qu’ils vont perdre la Ghouta et qu’elle va tomber aux mains du gouvernement. Une fois la Ghouta délivrée de la puanteur des chimpanzés wahhabites, l’Armée Syrienne, qui compte maintenant près d’un demi-million de combattants (si on y comprend les milices) aura les mains libres pour s’occuper d’Idlib et y mettre à mort les plans de Bandar ben Sultan, dont la tête est littéralement mûre pour être cueillie. Les États-Unis sont de toute évidence à la manoeuvre et participent au bruit et à la fureur dont le but est de subvertir les plans de la Syrie pour extirper la menace terroriste. Pourquoi ?

    Parce que la Russie et l’Iran ont gagné. Pour l’Iran, c’est le gazoduc, le Croissant Fatimide et le libre accès au Hezbollah et à la Palestine. Pour la Russie, c’est le rêve d’un port sur la Méditerranée et d’une base aérienne à Humaymim. Malgré des décennies de loyauté syrienne envers Moscou, il n’y a jamais eu un gouvernement syrien qui ait été disposé à louer un port ou une base aérienne pour cent ans. L’échec de l’Amérique à ralentir la croissance de cette nouvelle alliance : Russie-Iran-Irak-Chine-Syrie et Liban, vole en cercles concentriques, comme un grand albatros, autour des têtes des néocons, ou leur pend dessus comme une épée de Damoclès. Les Sionistes s’obstinent à poursuivre une politique totalement désespérée qui soulagerait leur amertume. Ils n’acceptent tout simplement pas leur défaite et sont plus que jamais déterminés à brutaliser la CIA pour obtenir qu’elle s’enfonce dans une misérable aventure étrangère de plus.

    Incapables d’exciter les passions du public américain pour lui faire soutenir une autre guerre étrangère, ils ont pris le parti d’utiliser les médias en guise de substitut chargé de fantasmer de stridentes démonstrations et de pousser avec insistance à une action militaire susceptible de stopper l’inévitable ascension de la nouvelle alliance. Les défaites succédant aux défaites, on ne peut que supposer que les jours des terroristes de la Ghouta sont comptés.

    *En français dans le texte.

    L’auteur, Ziad Fadel, est avocat depuis 35 ans, traducteur-juré et interprète (arabe-anglais) pour la Cour Suprême des États-Unis. Il est le rédacteur en chef de Syrian Perspective (The Real Syrian Free Press)

    Traduction : c.l. pour Les Grosses Orchades

    – Source : Syrian Perspective (Syrie)
     http://zejournal.mobi/index.php/news/show_detail/14685

  • Révélations sur les liaisons dangereuses de la France avec l’Arabie saoudite
    http://www.marianne.net/revelations-les-liaisons-dangereuses-france-arabie-saoudite-100240919.html

    Cette semaine, Marianne publie donc un dossier de douze pages décryptant les relations diplomatiques et économiques de la France avec l’Arabie Saoudite. A la lumière de plusieurs documents exclusifs que nous révélons, notamment des télégrammes diplomatiques, l’instrumentalisation de la France par le royaume saoudien pour faire pression sur l’administration Obama sur le dossier syrien est manifeste.

    Nous publions notamment le compte-rendu d’une rencontre secrète au printemps 2013 entre plusieurs diplomates français et le Prince Bandar ben Sultan, ancien chef des services extérieurs du royaume saoudien, qui flatte alors ses interlocuteurs français en rappelant que la position de la France sur la Syrie « est très appréciée et que Sa Majesté a été impressionné par le courage du président Hollande ». Lors de cette rencontre, le chef des services secrets saoudiens de l’époque évoque avec détails le financement et l’armement des rebelles syriens par l’Arabie Saoudite. Sans susciter de grandes interrogations côté français…

    Dès octobre 2012, l’ex-ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, est pourtant alerté par une note émanant de la direction de la prospective du Quai d’Orsay. Il y est délivré des informations provenant d’activistes syriens qui s’inquiètent d’une dynamique d’ « islamisation par le financement (et par les services) du Golfe » des mouvements en lutte contre Bachar Al-Assad.

    « alerté », « octobre 2012 » ? Je sens le sujet à l’eau tiède, là…

  • Syrie : Clap de fin pour Robert Ford et Bandar Ben Sultan
    http://www.renenaba.com/syrie-clap-de-fin-pour-robert-ford-et-bandar-ben-sultan

    Première victime majeure de cette hécatombe, Robert Ford qui se voulait le Paul Bremer de Syrie, du nom du premier proconsul américain en Irak. Mais auprès d’une opposition syrienne off-shore, polymorphe, hydrique, sans âme, sans foi ni loi, cet ancien adjoint de John Negroponte en Irak, en sera son cerbère, la cornaquant constamment, la tançant plus de besoin, au point d’en faire la risée des observateurs internationaux et le désespoir de ses nombreux parrains (1).

    La sortie de route du chef d’orchestre clandestin de la glorieuse révolution syrienne est à l’image de l’équipée islamo atlantiste en Syrie. Chaotique, cahoteuse ; indice d’un grave trouble de vision et de perception, symptomatique d‘un dérèglement mental.

    En un scénario identique à l’Irak, en trois ans de combat, le bilan de Syrie est impressionnant par la qualité des victimes : Nicolas Sarkozy, qui projetait de se servir de la Syrie comme d’un tremplin pour sa réélection présidentielle, Hamad du Qatar et son premier ministre Hamad Ben Jassem (HBJ), qui se vivaient réellement comme les « Air and Field Marshal » du Monde arabe, l’un comme le George Montgomery de la Cyrénaïque et de la Tripolitaine, l’autre comme le Patton de la percée du corridor de Bab Amro, le « Stalingrad du Moyen Orient », de même que Khaled Mecha’al, le chef politique du Hamas qui aura dévoyé le combat national palestinien en un affrontement sectaire inter islamique.

    Parmi les autres victimes figurent Mohamad Morsi, le premier président néo islamiste démocratiquement élu dans le plus grand état arabe, victime de l’allergie saoudienne pour le principe de l’élection, Bandar Ben Sultan, le chef des services de renseignements saoudiens à la carrière météoritique, le libanais Wissam Hassan, la dague sécuritaire du clan saoudo-américain au Moyen orient, et, naturellement, la cohorte des intellectuels organiques français ainsi que Laurent Fabius, le somnolent des forums internationaux.

  • La politique saoudienne dans la région sous les projecteurs - Scarlett HADDAD - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/854693/la-politique-saoudienne-dans-la-region-sous-les-projecteurs.html

    Depuis la nouvelle du départ du chef des services de renseignements saoudiens, l’émir Bandar ben Sultan, aux États-Unis pour y subir une intervention chirurgicale, les pronostics vont bon train sur l’existence d’un changement dans la politique saoudienne dans la région, notamment au Liban et en Syrie. Ces pronostics ont été accrédités par la récente déclaration de l’ambassadeur d’Iran à Beyrouth Ghadanfar Rokn Abadi, sur le fait que le « rapprochement entre Téhéran et Riyad ne devrait plus être très lointain ».

    En même temps, des informations ont circulé dans certains médias sur le fait que le dossier libanais aurait été retiré des mains de l’émir Bandar pour être confié au fils du roi Abdallah, l’émir Abdel Aziz, et à l’ancien ambassadeur au Liban Abdel Aziz Khoja. C’est à cette décision que les analystes ont attribué le changement d’attitude du royaume wahhabite à l’égard de la formation du gouvernement au Liban, ainsi que la position de Saad Hariri acceptant un gouvernement politique rassembleur, sur la base des « trois huit ».

  • La politique saoudienne dans la région sous les projecteurs - Scarlett Haddad
    http://www.lorientlejour.com/article/854693/la-politique-saoudienne-dans-la-region-sous-les-projecteurs.html

    Depuis la nouvelle du départ du chef des services de renseignements saoudiens, l’émir Bandar ben Sultan, aux États-Unis pour y subir une intervention chirurgicale, les pronostics vont bon train sur l’existence d’un changement dans la politique saoudienne dans la région, notamment au Liban et en Syrie. Ces pronostics ont été accrédités par la récente déclaration de l’ambassadeur d’Iran à Beyrouth Ghadanfar Rokn Abadi, sur le fait que le « rapprochement entre Téhéran et Riyad ne devrait plus être très lointain ».

    En même temps, des informations ont circulé dans certains médias sur le fait que le dossier libanais aurait été retiré des mains de l’émir Bandar pour être confié au fils du roi Abdallah, l’émir Abdel Aziz, et à l’ancien ambassadeur au Liban Abdel Aziz Khoja. C’est à cette décision que les analystes ont attribué le changement d’attitude du royaume wahhabite à l’égard de la formation du gouvernement au Liban, ainsi que la position de Saad Hariri acceptant un gouvernement politique rassembleur, sur la base des « trois huit ».

    Pourtant, un diplomate arabe en poste au Liban précise qu’il ne faut pas accorder trop d’importance à cette décision et ne pas la considérer comme un indice d’un changement radical de la position saoudienne face aux dossiers régionaux.

  • Lebanondebate.com (Site libanais indépendant)
    http://mediaramalb.wordpress.com/2013/12/09/mediarama-09-12-2013

    Le célèbre bloggeur saoudien connu sous le nom de « Moujtahid » a fait état dans des tweets de rencontres entre le chef des services de renseignements saoudiens, le prince Bandar Ben Sultan et plusieurs responsables israéliens. La dernières réunion en date a eu lieu avec son homologue israélien le 27 novembre à Vienne. Selon « Moujtahid », l’entretien entre les deux
    hommes a porté sur les dossiers de l’Iran, de Syrie, des Frères musulmans et du printemps
    arabe en général. Ils seraient parvenus à un accord sur les points suivants : contenir l’Iran,
    anéantir les jihadistes en Syrie, épargner les Frères musulmans et tuer l’esprit du printemps arabe.
    La participation d’Israël se fera au niveau de son expérience dans le domaine du
    renseignement, des techniques, des pressions sur les Etats-Unis, tandis que l’Arabie saoudite fournira l’argent et mettra à contribution son influence dans le monde arabo-musulman.

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    Réhabilitation de l’Iran : vers un rapprochement entre Israël et l’Arabie Saoudite ?
    http://www.france24.com/fr/20131209-iran-accord-nucleaire-israel-arabie-saoudite-bandar-mossad-etats-

    La détente entre Washington et Téhéran est-elle en train de rapprocher Riyad et Tel Aviv ? Selon des informations d’une agence iranienne, reprises en Israël, de hauts responsables sécuritaires des deux pays se sont récemment rencontrés à Genève.

  • Mediarama 12/0/2013 | mediarama
    http://mediaramalb.wordpress.com/2013/12/02/mediarama-1202013

    Dans Mediarama ce lundi : Déchainement de violence inouïe à Tripoli. Les civils et l’Armée libanaise sous le feu des miliciens.

    Al Joumhouria : L’offensive de la Ghouta de Damas décidée après une visite de Bandar Ben Sultan à Paris.

    Al Akhbar : Le Qatar expulse 30 Libanais et 5 Syriens.

    Yehiot Aharonot : Shimon Peres prend la parole devant 29 hauts responsables arabes réunis à Abou Dhabi.

    AFP : Les diplomates européens reprennent le chemin de Damas.

    The Financial Times : Hassan Rohani exclut à « 100% » le démantèlement du programme nucléaire iranien.

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    Yediot Aharonot (Quotidien israélien)

    Le président israélien Shimon Peres s’est exprimé via vidéoconférence devant 29 ministres des Affaires étrangères et hauts dignitaires des pays du Golfe lors d’une conférence organisée à Abou Dabi sur la sécurité et le terrorisme. Cette apparition jugée historique et tenue secrète a été révélée lundi, deux semaines après l’évènement.

    Shimon Peres, installé dans sa résidence de Jérusalem, a été interviewé en direct par Terje Roed Larsen, l’expert de l’Onu pour le Moyen-Orient, lors d’une conférence sur la sécurité en présence de nombreux dirigeants et spécialistes musulmans et arabes, originaires des pays du Golfe. Les paroles du leader israélien étaient retransmises par vidéoconférence.

    Le président israélien a été invité à s’exprimer par le gouvernement des Emirats. Martin Indyk, ambassadeur américain en charge des négociations israélo-palestiniennes, et Larsen auraient arrangé l’entretien selon les conditions des Emirats qui souhaitent que les médias soient tenus à l’écart. Au coeur du débat, le nucléaire iranien qui représente une menace pour Israël ainsi que pour les Etats du Golfe.

    « Les deux parties étaient très enthousiastes », selon un responsable israélien qui a requis l’anonymat. Tout le monde a compris qu’il s’agissait d’un évènement
    historique : le président de l’Etat juif assis dans son bureau à Jérusalem et des gens assis dans le Golfe persique parlant de sécurité et de lutte contre le terrorisme ». Les participants à la conférence auraient attentivement écouté Shimon Peres et personne n’aurait quitté la salle. Les paroles du président israélien auraient même été applaudies par les officiels présents.

    Aucun média n’avait relaté l’évènement jusqu’à lundi à l’exception du chroniqueur Thomas Friedman pour le New-York Times qui en avait brièvement fait état le 19 novembre.

  • #Syrie et #ArabieSaoudite : la #guerre des #agents.

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1369

    En temps de colère des #peuples : Chocs et #complots des #espions et #diplomates #arabes

    la Syrie aurait éliminé le prince saoudien #Bandar ben Sultan, désigné le 24 juillet chef des services secrets saoudiens, l’un des agents arabes les plus serviles à la #CIA, tend à se confirmer. Le coup attribué aux syriens, entendre de #Bashar Al-assad, date du 26 juillet, tel que l’avaient annoncé les médias yéménites. Voilà qu’il il aurait finalement succombé à ses blessures.

    • Angry Arab est catégorique sur ce sujet :
      http://angryarab.blogspot.com/2012/07/bander-has-not-been-assassinated.html

      Bander has NOT been assassinated

      I beg you. Stop sending me links and emails to tell me about the assassination of Bandar. The story started with a website funded by the Syrian regime. The Syrian regime propaganda also fabricated a story that Shaykh ‘Ar‘ur was kidnapped. If I want to expose the lies of both sides on Syria, I would not have time to eat, read, or swim.

    • D’abord l’info est au conditionnel.
      Une pratique de la langue française qui la subtilité de l’info, voire de tous les médias.
      Pour Bandar, certains sites et médias disent aussi qu’il est mort d’une mort naturelle, avançant même qu’il était diabétique et qu’il a eu un pique mortel de glycémie.
      Des médias tunisiens disent qu’il est mort d’une explosion.
      L’Arabie Saoudite, de son côté, n’a apporté aucun démenti.