person:ben emmerson

  • ONU | Un expert onusien conclut à l’absence de lien entre migration et terrorisme
    http://asile.ch/2016/10/31/un-expert-onusien-conclut-a-labsence-de-lien-entre-migration-et-terrorisme

    Le Rapporteur spécial du Conseil des droits de l’homme sur la promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans la lutte antiterroriste, Ben Emmerson, a publié un rapport sur l’impact des mesures anti-terroristes sur les personnes migrantes et réfugiées. Outre l’absence de lien entre la migration et la recrudescence d’actes […]

  • #Torture par la #CIA : des poursuites judiciaires sont demandées
    http://www.lorientlejour.com/article/900148/torture-par-la-cia-des-poursuites-judiciaires-sont-demandees.html

    L’ONU et les défenseurs des droits de l’homme ont appelé mardi à des #poursuites_judiciaires contre les responsables américains après la publication d’un rapport sur la torture par la CIA, une éventualité jugée peu probable par le ministère américain de la Justice.

    « Le rapport confirme ce que la communauté internationale savait », a indiqué Ben Emmerson, rapporteur des Nations unies sur les droits de l’homme, après la publication par le Sénat américain d’un rapport sur les techniques d’interrogatoires musclées utilisées par la CIA contre des détenus après le 11-Septembre.

    « Une politique a clairement été orchestrée à haut niveau dans l’administration (du président George W.) Bush, qui a permis des crimes systématiques et des violations flagrantes des droits de l’homme internationaux », a-t-il ajouté. Il est « temps d’agir et les responsables de cette conspiration criminelle doivent être présentés devant la justice », a-t-il souligné.

    « C’est un rapport scandaleux et il est impossible de le lire sans se sentir indigné par le fait que notre gouvernement a perpétré ces crimes atroces », a estimé Anthony Romero, directeur général de la puissante Union américaine de défense des libertés (#ACLU). « Les responsables du gouvernement qui ont autorisé ces pratiques illégales devraient rendre des comptes », a-t-il martelé.

    Toute poursuite paraît néanmoins peu probable. Un responsable du ministère de la Justice qui n’a pas été nommé a indiqué que, depuis 2009, deux enquêtes ont été menées sur mauvais traitements de prisonniers, qui n’ont pu recueillir de #preuves suffisantes pour une inculpation.

    Le rapport du Sénat ne présente « aucune nouvelle information » pour les enquêteurs, a assuré ce responsable dans un communiqué. Le rapport du Sénat, très attendu, constitue le compte rendu le plus détaillé du programme secret même si de nombreux éléments étaient déjà connus du grand public.

    Selon les associations, il montre que les techniques utilisées ont violé à de multiples reprises les #lois internationales et les droits de l’homme les plus basiques.

    Le programme « a donné le feu vert pour commettre impunément ce que la loi internationale sur la torture et les disparitions qualifie de #crimes », a noté Steven Hawkins, directeur général de la section américaine d’Amnesty International. « Il est temps de demander des comptes, ainsi qu’une enquête complète, des poursuites en justice et des compensations pour les victimes ».

    Le directeur général de Human Rights Watch, Kenneth Roth, a souligné pour sa part que le rapport « montre bien que les affirmations répétées, selon lesquelles des mesures drastiques étaient nécessaires pour protéger les Américains, n’étaient que pure fiction ». Il note que l’administration de Barack Obama a fait cesser de nombreuses pratiques décrites sans concessions dans le rapport.

    Néanmoins, « la torture restera une +option politique+ pour les présidents à venir si cet important exemple de recherche de la vérité ne conduit pas à ce que les responsables officiels soient traduits en #justice ».

    L’ACLU a appelé l’administration Obama à prendre des mesures pour « s’assurer que les Etats-unis ne torturent plus jamais », en nommant un procureur spécial pour enquêter et en réformant la CIA.

    #Etats-Unis #impunité « #nos_valeurs »

  • It’s outrageous to accuse the Guardian of aiding terrorism by publishing Snowden’s revelations | Ben Emmerson | Comment is free | The Guardian
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2013/dec/02/guardian-terrorism-snowden-alan-rusbridger-free-press

    I have studied all the published stories that explain how new technology is leading to the mass collection and analysis of phone, email, social media and text message data; how the relationship between intelligence services and technology and telecoms companies is open to abuse; and how technological capabilities have moved ahead of the law. These issues are at the apex of public interest concerns.

  • It’s outrageous to accuse the Guardian of aiding terrorism by publishing Snowden’s revelations | Ben Emmerson | Comment is free | The Guardian
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2013/dec/02/guardian-terrorism-snowden-alan-rusbridger-free-press

    These questions are too important for the UN to ignore, and so on Tuesday I am launching an investigation that will culminate in a series of recommendations to the UN general assembly next autumn . As in the case of Chelsea Manning, there are also serious questions about sensitive information being freely available to so many people . The information Snowden had access to, which included top-secret UK intelligence documents, was available to more than 850,000 people, including Snowden – a contractor not even employed by the US government.

  • It’s outrageous to accuse the Guardian of aiding terrorism by publishing Snowden’s revelations | Ben Emmerson | Comment is free | The Guardian
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2013/dec/02/guardian-terrorism-snowden-alan-rusbridger-free-press

    Unlike the directors of MI5, MI6 and GCHQ, who gave evidence recently before the intelligence and security committee, Rusbridger will not be provided with a list of questions in advance.

  • Edward Snowden revelations prompt UN investigation into surveillance
    http://www.theguardian.com/world/2013/dec/02/edward-snowden-un-investigation-surveillance

    The UN’s senior counter-terrorism official is to launch an investigation into the #surveillance powers of American and British intelligence agencies following Edward Snowden’s revelations that they are using secret programmes to store and analyse billions of emails, phone calls and text messages.

    The UN special rapporteur Ben Emmerson QC said his inquiry would also seek to establish whether the British parliament had been misled about the capabilities of Britain’s eavesdropping headquarters, GCHQ, and whether the current system of oversight and scrutiny was strong enough to meet United Nations standards.

    The inquiry will make a series of recommendations to the UN general assembly next year.

    In an article for the Guardian http://www.theguardian.com/commentisfree/2013/dec/02/guardian-terrorism-snowden-alan-rusbridger-free-press, Emmerson said Snowden had disclosed “issues at the very apex of public interest concerns”. He said the media had a duty and right to publish stories about the activities of GCHQ and its American counterpart the National Security Agency.

    “The astonishing suggestion that this sort of responsible journalism can somehow be equated with aiding and abetting terrorism needs to be scotched decisively,” said Emmerson, who has been the UN’s leading voice on counter-terrorism and human rights since 2011.

  • Ben Emmerson QC on Drone Attacks | Interesting Talks Oxford

    http://interestingtalks.in/Oxford/ai1ec_event/ben-emmerson-qc-drone-attacks/?instance_id=2059

    via @cdb_77

    Ben Emmerson QC on Drone Attacks
    When: November 12, 2013 @ 5:30 pm – 7:00 pm

    Where: The Cube Faculty of Law

    University of Oxford, University of Oxford, University of Oxford, St Cross Bldg, Saint Cross Road, Oxford, OX1 3UL
    UK

    #drones #droits_humains

  • UN Investigator: US Drone Strikes Violate Pakistan Sovereignty

    http://www.globalpolicy.org/international-justice/general-articles-on-international-justice/52352-un-investigator-us-drone-strikes-violate-pakistan-sovereignty.ht

    The UN Special Rapporteur on Counter-terrorism and Human Rights, Ben Emmerson, has released a statement declaring US drone strikes in Pakistan a violation of Pakistani sovereignty, and a contravention of international law. Emmerson has also claimed that the drone strikes are radicalizing certain segments of the population and may, therefore, be causing the very problem these counter-terrorist operations purport to eliminate. The statement is not expected to directly affect US policies regarding drone strikes.

    #drone

  • retour sur un article datant de 10 mois de John Pilger

    http://www.legrandsoir.info/se-payer-assange-et-calomnier-une-revolution.html

    10 octobre 2011
    « Se payer » Assange et calomnier une révolution

    John PILGER

    La Haute Cour de Londres décidera bientôt si Julian Assange devra être extradé vers la Suède pour répondre d’une accusation de crime sexuel. A l’audition d’appel qui s’est tenue au mois de Juillet, Ben Emmerson, avocat de la défense, a qualifié toute cette saga de « folie ». Le procureur suédois avait annulé le mandat d’arrêt initial, en précisant qu’il n’y avait pas d’affaire. Les deux femmes impliquées ont avoué leur consentement. Sur de telles bases, aucun crime n’aurait été commis en Grande-Bretagne.

    Cependant, ce n’est pas le système judiciaire suédois qui représente « un grave danger » pour Assange, disent ses avocats, mais un mesure judiciaire connue sous le nom de « Temporary Surrender » (remise ou délivrance temporaire – NdT) qui permettrait de l’envoyer depuis la Suède vers les Etats-Unis, secrètement et rapidement. Le fondateur et rédacteur de Wikileaks, qui a publié la plus grande fuite de documents officiels de toute l’histoire, offrant ainsi un aperçu unique sur les guerres rapaces et les mensonges racontés par les gouvernements, se retrouvera probablement dans un trou infâme assez similaire au cachot de « torture » où se trouve actuellement le soldat Bradley Manning, accusé d’être un lanceur d’alerte. Manning n’a pas encore été jugé, encore moins condamné. Et pourtant, le 21 avril, le Président Barack Obama l’a déclaré coupable par un dédaigneux « il a violé la loi ».

    C’est cette justice kafkaïenne qui attend Assange, que la Suède décide ou non de l’inculper. Au mois de décembre dernier, le quotidien The Independent a révélé que les Etats-Unis et la Suède avaient déjà entamé les pourparlers pour son extradition. Dans le même temps, un grand jury secret - une relique du 18ème siècle qui a été abandonnée depuis longtemps en Grande-Bretagne – s’est réunie en secret tout près de Washington, dans un coin de la Virginie qui héberge le siège de la CIA et de la plupart des services de sécurité des Etats-Unis (ce qui signifie que les membres du jury sont employés ou dépendent des services en question - NdT). Le grand jury, m’a confié un éminent expert en droit, a été arrangé et rappelle ces jurys dans les états du Sud qui étaient composés exclusivement de blancs et qui condamnaient systématiquement les noirs. On dit que l’inculpation sous scellé est déjà prête. Sous la constitution des Etats-Unis, qui garantit la liberté d’expression, Assange serait protégé. Dans la course à la présidence, Obama, lui-même un avocat en droit constitutionnel, a dit « les lanceurs d’alerte font partie d’une démocratie saine et doivent être protégés des représailles ». Mais tout a changé depuis qu’il a poursuivi la « guerre contre le terrorisme » de George W. Bush. Selon la chaîne NBC, le problème pour son administration pour « se payer » Assange et écraser Wikileaks est que les enquêteurs de l’armée n’ont découvert aucune collusion ou contact entre lui et Manning. Il n’y a pas de crime, il faut donc en concocter une, probablement quelque chose en rapport avec l’absurde accusation du Vice-président Joe Biden qui a qualifié Assange de « terroriste hi-tech ».

    Même si Assange gagne son appel devant la Haute Cour à Londres, il risque une extradition directe vers les Etats-Unis. Dans le passé, les officiels US ont déjà émis des mandats d’extradition à la conclusion d’une affaire en cours. Comme son appareil militaire prédateur, l’appareil judiciaire des Etats-Unis ne reconnaît que peu de frontières. Comme les souffrances de Bradley Manning le démontrent, tout comme la récente exécution de Troy Davis et les prisonniers oubliés de Guantanamo, une majeure partie du système judiciaire US est corrompu, pour ne pas dire sans foi ni loi.

    Dans une lettre adressée au gouvernement australien, le plus célèbre avocat des droits de l’homme, Gareth Peirce, qui défend Assange, a écrit : « Eu égard à l’étendue des débats publics souvent basés sur des postulats totalement faux... il est très difficile de réussir à préserver toute présomption d’innocence. M. Assange a désormais au-dessus de sa tête non pas une mais deux épées de Damoclès, celle d’une extradition éventuelle vers deux juridictions différentes pour deux accusations dont aucune ne constitue un crime dans son pays, et celle d’un risque d’atteinte à son intégrité physique dans une ambiance très politisée. »

    Ces faits, ainsi que l’éventualité d’un grotesque déni de justice, ont été noyés par la campagne bruyante contre le fondateur de Wikileaks. Des attaques personnelles, mesquines, perfides et inhumaines ont été lancées contre un homme qui n’a pas encore été inculpé et qui a pourtant été arrêté, isolé et placé en résidence surveillée – des conditions qui n’ont même pas été appliquées récemment à un homme qui risque l’extradition pour le meurtre de sa femme.

    Des livres ont été publiés, des contrats pour des films signés et des carrières médiatiques lancées sur la présomption qu’il représente une cible facile et qu’il est trop pauvre pour riposter devant la justice. Des gens ont gagné de l’argent, souvent beaucoup d’argent, alors que Wikileaks lutte pour se survie. Le 16 juin, l’éditeur de Conongate Books, Jamie Byng, lorsqu’Assange lui a demandé si la rumeur de la publication d’une autobiographie non-autorisée était fondée, lui a répondu, « Non, absolument pas. Ce n’est pas le cas... Julian, ne vous en faites pas. Mon désir le plus profond est de publier un grand livre avec lequel vous serez satisfait. » Le 22 septembre, Canongate a publié ce qu’elle a appelé « l’autobiographie non autorisée » d’Assange sans la permission ni la connaissance de l’auteur. Il s’agissait du premier jet d’un manuscrit incomplet et non corrigé. « Ils pensaient que j’allais en prison, ce qui les aurait contrariés, » m’a-t-il dit. « C’est comme si j’étais devenu un bien de consommation et une cible pour le premier opportuniste venu. »

    Le rédacteur en chef du Guardian, Alan Rusbridger, a qualifié les révélations de Wikileaks d’ « un des plus grandes scoops journalistiques de ces 30 dernières années ». En fait, il s’agit là pour lui d’une opération d’auto-promotion pour justifier l’augmentation prix de vente du Guardian. Mais le scoop appartient à Assange, pas au Guardian. Comparez l’attitude du journal envers Assange avec leur soutien ouvert au journaliste menacé de poursuites pour violation de la loi Officiel Secrets Act pour avoir révélé le Hackergate. Des éditoriaux et des premières pages ont relayé des messages émouvants de solidarité y compris avec le Sunday Times de Murdoch. Le 29 septembre, Carl Bernstein fut amené par avion à Londres pour comparer tout cela avec sa propre triomphe du Watergate. Hélas, l’icône n’a vraiment prononcé le discours attendu. « Il est important de ne pas être injuste avec Murdoch, » a-t-il dit, parce qu’ « il est le patron de médias le plus visionnaire de notre époque » qui a « diffusé les Simpsons » et ainsi « montré qu’il comprenait le consommateur d’information ».

    Le contraste de traitement avec un véritable pionnier d’une révolution dans le journalisme, qui a osé s’en prendre aux Etats-Unis pour montrer comment fonctionnent les grandes puissances, est révélateur. L’hostilité du Guardian est distillé aux lecteurs qui éprouvent des difficultés à interpréter le phénomène de Wikileaks et d’avoir des préjudices envers son fondateur. David Leigh, le chef des « enquêtes » au Guardian, a déclaré à des étudiants en journalisme à City University qu’Assange était « un monstre de Frankenstein » qui « ne se lavait pas souvent » et qu’il était « plutôt dérangé ». Lorsqu’un étudiant interloqué lui a demande pourquoi il disait ça, Leigh a répondu « Parce qu’il ne comprend pas les critères du journalisme conventionnel. Lui et ses proches ont un mépris profond pour ce qu’ils appellent les grands médias (mainstream media) ». Selon Leigh, ces « critères » étaient illustrés par Bill Keller lorsque ce dernier, en tant que rédacteur du New York Times, a co-publié les révélations de Wikileaks avec le Guardian. Keller, a dit Leigh, était « un journaliste très consciencieux » qui avait affaire à « une sorte de pirate informatique crasseux de Melbourne ».

    Au mois de novembre dernier, un Keller « très consciencieux » s’est vanté à la BBC d’avoir remis tous les documents de Wikileaks à la Maison Blanche pour que le gouvernement puisse les approuver et les censurer. Au moment des préparatifs de la guerre contre l’Irak, le New York Times a publié une série d’articles désormais célèbres et inspirés par la CIA et affirmant l’existence des armes de destruction massive. Voilà les « critères » qui ont rendu tant de gens cyniques envers les soi-disant grands médias.

    Leigh est allé jusqu’à moquer le risque de voir Assange, une fois extradé vers les Etats-Unis, porter « un survêtement orange ». C’étaient des choses « que lui et son avocat répètent pour alimenter sa paranoïa ». Une « paranoïa » partagée par le Cour Européenne des Droits de l’Homme qui a gelé les extraditions pour raisons de « sécurité nationale » de la Grande-Bretagne vers les Etats-Unis car les extradés risquent d’être mis en isolement extrême pendant de longues périodes, ce qui constitue une forme de torture et un traitement inhumain.

    J’ai demandé à Leigh pourquoi lui et le Guardian sont systématiquement hostiles envers Assange depuis qu’ils que leurs chemins se sont séparés. Il a répondu, « Là où vous voyez, de façon tendancieuse, une attitude hostile, d’autres pourraient voir tout simplement de l’objectivité bien informée. »

    Il est difficile de trouver de l’objectivité bien informée dans le livre du Guardian sur Assange, chèrement vendu à Hollywood, où Assange est décrit sans raison comme « un fêlé » et « impitoyable ». Dans le livre, Leigh révéla le mot de passe secret qu’Assange avait communiqué au journal. Ce mot de passe était censé protéger un fichier informatique contenant les câbles des ambassades US et sa divulgation a déclenché un enchainement d’évènements qui ont provoqué la publication en ligne de la totalité des documents. Le Guardian nie « absolument » toute responsabilité dans cette publication. Pour quelle raison alors ont-ils divulgué le mot de passe ?

    Les révélations du Hackgate du Guardian constituent un tour de force journalistique ; l’empire Murdoch pourrait se désintégrer à la suite. Mais, avec ou sans Murdoch, un consensus médiatique, de la BBC au (tabloïd) The Sun, se perpétue au sein d’une classe politique corrompue et va-t-en guerre. Le crime d’Assange est d’avoir menacé ce consensus entre ceux qui fixent les « critères » en matière d’information et des idées politiques et dont l’autorité en tant que commissaires politiques est remise en cause par la révolution de l’Internet.

    L’ancien journaliste du Guardian et lauréat Jonathan Cook a une expérience dans les deux mondes. « Les médias, du moins ceux censés être de gauche, » écrit-il, « devraient se réjouir devant cette révolution... Mais la plupart tentent de la récupérer, la dompter ou la subvertir pour discréditer et ridiculiser les hérauts d’une nouvelle ère... Une partie (de la campagne contre Assange) reflète clairement un conflit de personnalités et d’égos, mais on dirait aussi que la querelle trouve sa source dans un combat idéologique plus profond qui touche au contrôle de l’information dans un avenir proche, contrôle que les gardiens actuels veulent préserver. »

    John Pilger

    http://www.johnpilger.com/articles/the-getting-of-assange-an...