person:benoît hamon

  • Benoît Hamon pris en flagrant délit de soutien aux banksters :

    Benoît Hamon qui vient en aide à BNP Paribas face à 4 400 clients floués par des prêts toxiques en franc suisse. A priori, cela ne cadre pas avec l’image que l’on a du ministre délégué chargé de l’Economie sociale et solidaire et de la Consommation, ancien représentant de l’aile gauche du Parti socialiste. Et pourtant.

    http://www.liberation.fr/societe/2013/04/09/benoit-hamon-intoxique-par-l-affaire-des-prets-helvet-immo_895022

  • Stop l’IP-arnacking !

    Une fois de plus, que fait la CNIL ?
    et Benoit Hamon, tellement mute qu’on en oublie qu’il est Ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des Finances, chargé de l’Economie sociale et solidaire et de la Consommation...

    http://www.pcinpact.com/news/78721-le-gouvernement-somme-mettre-fin-a-l-ip-tracking.htm

    Après l’eurodéputée Françoise Castex, c’est au tour d’un élu de l’Assemblée nationale de s’alarmer des pratiques dites d’#IP-Tracking. Au travers d’une question parlementaire, le député socialiste #Pascal_Cherki vient en effet de demander au gouvernement de se saisir du problème, en vue de « mettre fin » à l’utilisation de cette technique de commercialisation.

    Le député Pascal Cherki vient d’interpeller le ministre de la Consommation, #Benoît_Hamon, au sujet des pratiques dites d’« IP Tracking ». Pour rappel, cette technique de vente en ligne consiste à adapter un tarif en fonction du surf de chaque internaute. Grâce à l’adresse IP d’un visiteur, le commerçant peut ainsi augmenter ses prix. Comment ? Tout simplement en faisant croire à l’acheteur potentiel revenant voir un article que ses ventes explosent et que son stock diminue.

    Toutefois, il s’agit selon le député Cherki d’une technique de commercialisation « qui trompe manifestement l’information des consommateurs ». L’élu explique en effet qu’à partir du moment où l’internaute visite différents sites afin de trouver le meilleur prix possible, « le site Internet garde en mémoire l’adresse IP de l’internaute et propose, le plus souvent, des tarifs supérieurs à ceux précédemment visualisés, forçant l’achat immédiat du produit consulté ».

    Le parlementaire n’est pas le premier à s’inquiéter de telles pratiques. En janvier dernier, l’eurodéputée #Françoise_Castex demandait à la Commission européenne si ces techniques étaient « conformes au droit de l’Union européenne », suggérant au passage qu’une enquête serait nécessaire si tel n’était pas le cas. Mais le 12 mars dernier, Bruxelles a répondu qu’elle ne pouvait rien faire et qu’il fallait saisir les autorités compétentes au sein de chaque État de l’Union. Pour la France, il s’agit de la #CNIL.

    Le député Cherki termine donc en demandant au gouvernement quelles mesures il « envisage pour protéger au mieux les consommateurs », en ce sens pour « mettre fin à l’utilisation du "IP tracking" ». Rappelons que Françoise Castex avait annoncé, suite à la réponse de la Commission europénne, vouloir saisir la CNIL ainsi que le #G29, ce regroupement des « CNIL » européennes.

    #vente_en_ligne #sncf_et_les_autres #marre_de_se_faire_arnaquer

  • Crise : la #scop, ce statut bien particulier des sociétés
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/03/09/20002-20130309ARTFIG00363-crise-la-scop-ce-statut-bien-particulier-des-soci

    Goodyear, SeaFrance, Fralib… La liste des entreprises reprises en coopérative par leurs salariés ou qui évoquent cette piste s’allonge. Loin de ces situations d’urgence, la plupart des scop sont bien implantées, et résistent à la crise.

    La CGT de Goodyear a surpris tout le monde en annonçant mardi vouloir reprendre en coopérative le site d’Amiens Nord. Derrière des cas très médiatiques - citons également SeaFrance -, les scop françaises survivent bien à la crise. Bénéficiant d’un fort capital sympathie, elles sont plébiscitées par la gauche : le ministre de l’Économie sociale et solidaire et de la Consommation Benoît Hamon veut doubler leur nombre en cinq ans. Retour sur ce statut bien particulier des sociétés

  • Bidoche connection : too big to jail ...

    Le lampiste a été désigné : la mafia de la bidoche respire | Le blog de SuperNo
    http://www.superno.com/blog/2013/02/le-lampiste-a-ete-designe-la-mafia-de-la-bidoche-respire

    Mais depuis que Benoît Hamon, transformé en juge de tribunal de grande instance, et piétinant présomption d’innocence et séparation des pouvoirs avec une allégresse encore plus grande que Sarkozy en son temps, a décrété que le seul coupable était la société Spanghero (dont le patron est un notable local, politicard de droite et suppléant de Jean Lassalle à l’assemblée), tout le reste du système mafieux respire. Même si on n’ira faire croire à personne que c’est une petite société de magouilleurs à la petite semaine du sud-ouest de la France qui a pu à elle seule mettre de la viande de cheval dans tous les plats cuisinés vendus en Europe, le lampiste (le patron, ou peut-être même la comptable stagiaire) va payer pour tous les autres, être condamné, payer une amende ridicule, aller en prison avec sursis, et l’affaire sera terminée. Même si les salariés qui n’y sont pour rien vont se retrouver sur le carreau, le business as usual de la mafia de la bidoche va pouvoir reprendre, au grand soulagement de l’actionnaire principal de Findus, la banque de Wall Street JP Morgan, grande rivale de Goldman Sachs, et acteur majeur de la “crise des subprimes” aux États-Unis.

    L’opinion oublie vite (il n’y a qu’à voir le nombre de neuneus qui en sont à souhaiter le retour de Sarkozy, ce qui était simplement impensable il y a un an !), d’ici quelques années, tout sera rentré dans l’ordre (libéral).

    Tiens, à propos de Sarkozy, c’est pourtant bien lui qui fin 2008 a prononcé le démantèlement de la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes), qui aurait peut-être pu entraver la mafia de la bidoche. Et au nom de quoi ? Du dogme libéral, justement, qui prévoit de ne rien faire pour entraver l’accumulation de richesse privée, tout en diminuant le nombre de fonctionnaires et les dépenses publiques (pour donner cet argent à des banques privées). Exactement l’idéologie prônée par l’Union Européenne et sa fameuse (grosse) “Commission”.

    • Bien vu...
      C’est vrai que cette affaire illustre parfaitement la caricature Sarkozy.
      Un bien bel #héritage...
      Renforcement de l’état policier pour l’ordre public, affaiblissement des autorités de surveillance dans les activités économiques et politiques, (oui on peut pleurer la fameuse #DGCCRF, il est trop tard..).

      Sarkozy, grand adepte du « pas vu, pas pris », aurait pu prendre comme devise plus politiquement correcte « Pour que tes poches soient pleines, balance tes scrupules à la benne... »

      Et quand ça coince, hop, tous sur les brebis galeuses, boucs émissaires, basanés, barbus, Kerviel, Madoff et compagnie.. Défoulons-nous, acharnons-nous, lynchons la tête de turc, pourvu que le système en ressorte intact...

      à rapprocher de ça
      http://seenthis.net/messages/115771

  • Viande chevaline : l’étrange ligne de défense de Spanghero - Libération
    http://www.liberation.fr/societe/2013/02/15/viande-chevaline-l-etrange-ligne-de-defense-de-spanghero_882112

    On sait que la viande est sortie étiquetée « Cheval origine Roumanie » des abattoirs Doly-Com et Carmolimp, situés à Roma et Brasov. Elle est arrivée siglée « BF [boeuf, ndlr] origine UE » chez Comigel, le fabricant de produits surgelés. Que s’est-il passé entre-temps ? Deux intermédiaires sont intervenus dans le cycle commercial : les entreprises de trading Draap et Windmeijer et le négociant Spanghero. Ce dernier est pour l’instant le plus mal en point. Le ministre de la Consommation, Benoît Hamon, évoque à son sujet soit une « très grosse étourderie », soit de la « tromperie économique ».

    Le trader néerlandais Jan Fasen assure avoir vendu de la viande chevaline à Spanghero. Une facture révélée par le Parisien tend à accréditer cette thèse. Le code douanier visible sur le document (0205 0080) correspond clairement dans la nomenclature européenne à de la viande chevaline.

    Une dénomination que Spanghero assure ne pas connaître. « Pour nous, le code à 8 chiffres identifiant les palettes incriminées, que la répression des fraudes considère comme la référence douanière relative à de la viande de cheval surgelée, ne correspond pas à un code douanier, mais à un code article, a soutenu Barthélémy Aguerre. Nous l’avons pris pour un code article, et rien d’autre. »

    Alors là, le président de Spanghero fait quand même très, très fort… Prendre la nomenclature douanière (mondiale !) pour un code article interne. À force de jouer avec les étiquettes, il a fini par prendre tout le monde pour des bourrins…

    Scandale du cheval - Le président de Spanghero juge Hamon « léger » et « imprudent »
    http://www.lepoint.fr/societe/scandale-du-cheval-le-president-de-spanghero-juge-hamon-leger-et-imprudent-1

    Barthélémy Aguerre a plaidé vendredi la bonne foi et insiste sur le fait que, « pour retirer un agrément, il faut un danger sanitaire, là, il n’y en a pas ».

    Aussi « léger et imprudent » qu’un certain Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, sur RTL :

    « Je découvre la complexité des circuits et de ce système de jeux de trading entre grossistes à l’échelle européenne ».

    Comme le dit le blog des éditions Yves Michel http://www.yvesmichel.org/yves-michel/espace-societe/findus-oh-m-le-foll-vous-pretendez-decouvrir

    Et pour l’ensemble des Français, gardons en mémoire que, petit-fils d’agriculteur et titulaire lui-même d’un BTS agricole, Stéphane Le Foll, avant d’être nommé ministre de l’Agriculture suivait depuis 2004 les questions agricoles au Parlement européen au sein de la Commission de l’agriculture et du développement rural, et qu’en 2006, il avait crée avec Edgard Pisani et d’autres chercheurs un groupe de réflexion sur les politiques alimentaires et agricoles. Et pourtant il ignorait tout jusqu’à hier du fonctionnement d’un marché qu’il étudie depuis dix ans.

    Est-il abracadabrantesque d’envisager la possibilité que la réaction outragée de Stéphane Le Foll soit purement et simplement du foutage de gueule ?

    On peut utilement lire tout le billet…

    Une autre hypothèse (avec cette engeance, le pire complotisme est encore loin d’approcher la réalité…) : S. Le Foll est un sous-marin de #celui_dont_il_ne_faut_pas_écrire_le_nom (et encore moins lire les idées) et prouve par l’exemple la supériorité absolue du principe de la #stochocratie http://fr.wikipedia.org/wiki/Stochocratie

  • Benoît Hamon veut développer les Scop
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130123trib000744280/ce-que-va-faire-benoit-hamon-pour-les-scop.html

    Soutenir la croissance des Scop n’est pas, selon le ministre, un principe idéologique, mais plutôt une action pragmatique. Car les Scop résistent mieux et durablement aux difficultés économiques. Ce, « pour la raison simple que la totalité de leur excédant est reversé dans l’entreprise. Les Scop ne sont pas tendues par un objectif de rémunération du propriétaire en capital de l’entreprise », argue Benoît Hamon. « La crise nous laisse un testament : nous avons le devoir de promouvoir un modèle économique plus patient, plus tempérant et plus durable », revendique le ministre depuis la tribune du Cese.

    • C’est rare de plussoyer avec un socialiste, mais là je ne m’en prive pas.
      Pour moi il me reste un truc à creuser :
      « Les Scop ne sont pas tendues par un objectif de rémunération du propriétaire en capital de l’entreprise »
      je ne crois pas que ce soit forcément dans les statuts, si ? C’est ma crainte, que les salariés se mettent à se comporter en petits actionnaires/propriétaires, dans une petite structure, est-ce forcément pérenne ?

      Intuitivement je vise plutôt une structure où chaque entité est rémunérée dans la fonction où elle exerce sa compétence. La question de la propriété est résolue par la décomposition des missions et des responsabilités qu’on lui accorde traditionnellement.
      En rémunérant de façon rationnelle le rôle d’administrateur (fonction : établir la stratégie de développement de la boîte et superviser son application par l’équipe dirigeante) et d’investisseur (fonction : financer l’activité et les investissements de la boite), il n’y a plus besoin d’actionnaire, la question de la propriété est ainsi définitivement enterrée. Chacun est rétribué à la hauteur de la valeur ajoutée qu’il apporte à l’entreprise, et le pouvoir de décision est partagé de façon pertinente par toutes ses composantes.
      Ce n’est pas le privilège de l’actionnaire de répartir comme bon lui semble cette rétribution aux dépens de la société et de ses salariés. Ce ne devrait plus l’être !

    • Chacun est rétribué à la hauteur de la valeur ajoutée qu’il apporte à l’entreprise

      Et comment tu calcules ça ?

      Chez nous on a décidé du salaire égal (suivant le temps de travail évidemment), car on considère que toutes les activités, productives ou administratives, sont également importantes à la survie du groupe.

    • @petit_ecran_de_fumee Le statut de SCOP verrouille énormément de choses sur la place du capital dans l’entreprise.
      – tous les salariés ont vocation à être actionnaires. Il peut y avoir des associés extérieurs, mais leur poids total est strictement limité et ils peuvent être virés à tout moment par une décision à la majorité simple.
      – de plus, il y a un principe 1 homme, 1 voix. Indépendamment donc du nombre d’actions.
      – les réserves de l’entreprise (bénéfices accumulés) n’appartiennent pas aux actionnaires. Ils sont la propriété collective de l’entreprise. En conséquence, les actions ne peuvent jamais être valorisées au dessus de leur montant nominal (jamais de plus-value sur les actions)
      – comme les actionnaires (= salariés) ne sont, par définition, pas des financiers, tout est fait, notamment fiscalement, pour encourager la mise en réserve des bénéfices. Et, statutairement, la plus grosse part des bénéfices doit être distribuée en participation des salariés qui, pour être exonérée, doit être bloquée en réserves ou en quasi-réserves.

      J’ai commencé mon activité professionnelle dans une SCOP. J’en reste convaincu que c’est une excellente forme de société et, en particulier, pour la prestation de services intellectuels. À l’époque, il y avait aussi des sociétés industrielles importantes sous cette forme (VOA qui n’est plus une SCOP, l’actuelle Verrerie d’Albi a perdu la signification du O en 1989 prenant ses distances avec la VOA de Jaurès…, ou l’Acome).

      La question cruciale reste la fixation des rémunérations. D’autant plus que la rémunération du capital est, la plupart du temps, directement liée à la rémunération du travail (participation). Dans mon cas, faute de me battre sur le sujet, la boîte a fini par tourner à la PME familiale et a fermé boutique.

  • Et si les salariés disposait d’un droit de préemption sur leur entreprise - Economie sociale et solidaire - Basta !
    http://www.bastamag.net/article2775.html

    Au-delà de l’effet de mode, le succès des États généraux de l’ESS à Paris en juin 2012, puis la création d’un ministère de l’Economie sociale et solidaire dans le gouvernement Ayrault, sont plutôt encourageants. C’est une première, qui a au moins le mérite de rendre le secteur visible.

    Camarade ministre

    Mais le ministre Benoît Hamon, qui fut leader de l’aile gauche du Parti socialiste, semble faire de la solidarité gouvernementale l’axe premier de son engagement politique actuel. Pas une seule fois nous n’avons pu l’entendre s’exprimer publiquement sur la politique sociale et économique mise en œuvre...

    Bienveillant à l’égard de ce camarade ministre, je me suis dit qu’il allait concentrer tous ses efforts sur le secteur dont il a la délégation. Je compte sur lui pour soutenir les positions les plus alternatives, celles de ceux qui agissent dans une démarche de transformation sociale et écologique. Bref, pour qu’il s’appuie sur les courants qui assument l’idée d’en finir avec le capitalisme et le productivisme et non sur les partisans de l’entrepreneuriat social, qui relativisent l’importance du fonctionnement démocratique des entreprises de l’ESS.

    #scop #coopérative #socialiste

  • Le crédit revolving à la Banque postale va faire plonger les revenus modestes dans la misère | Humanite
    http://www.humanite.fr/social-eco/le-credit-revolving-la-banque-postale-va-faire-plonger-les-revenus-modestes

    Ce crédit qualifié de « révolver » tant il a la fâcheuse habitude de se retourner contre ses utilisateurs qui sont le plus souvent les ménages aux budgets les plus faibles est « un instrument terrible de surendettement », comme le disait déjà cet été Monsieur Benoît Hamon, Ministre délégué à l’économie sociale et solidaire.

    La Poste Bancale a rejoint depuis quelques années déjà le clan des #banksters

  • Reconversion industrielle et écologique : que fabriquent Arnaud Montebourg et Benoît Hamon ? | Sophie Chapelle (Basta !)
    http://www.bastamag.net/article2705.html

    Gandrange, Fralib, Alizay, Petroplus... Ils sont de plus en plus nombreux, ces salariés et syndicalistes, à porter des alternatives aux fermetures d’usines. Grande nouveauté : elles consistent non seulement à sauver des emplois, mais répondent à des préoccupations écologiques. Que font Arnaud Montebourg, ministre du « redressement productif » et Benoît Hamon, à l’Économie sociale et solidaire, pour les soutenir ? Alors que le Front de gauche critique l’absence de vision du gouvernement, Basta ! dresse le bilan. (...) Source : Basta !

  • Le Monde.fr - Actualité à la Une
    http://www.lemonde.fr

    Le choix du successeur d’Aubry repoussé à mercredi

    Le nom du candidat choisi par Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault pour succéder à la patronne du PS, l’équipe et la motion qu’ils défendent seront connus mercredi, a annoncé la direction du PS, précisant que tous deux devaient avoir un dernier contact mardi.

    Pendant ce temps, au PS, les hiérarques manœuvrent 11
    L’aile gauche du PS, sans Benoît Hamon, dépose une motion Post de blog
    Harlem Désir : « Je préfère le parti des primaires au parti du congrès de Reims » 22

    Ces gens-là « manoeuvrent »...

  • Lobby pro-israëlien : le PS prend des risques (octobre 2011)
    http://www.marianne2.fr/Lobby-pro-israelien-le-PS-prend-des-risques_a211691.html

    Une délégation du Parti socialiste devait se rendre en Israël et dans les territoires palestiniens du 24 au 27 octobre. Conduite par Jean-Christophe Cambadélis, secrétaire national en charge des relations internationales, elle était composée de Jean-Louis Bianco, Benoit Hamon, Gérard Collomb et Claude Bartolone. In extremis, pour des raisons d’agenda, ce voyage d’étude a été repoussé sine die. Pour autant, son principe n’est pas remis en cause, pas plus que les modalités d’organisation, qui laissent une grande place au lobbying.

    Pour définir le programme, en effet, le secteur international du PS s’en est remis au Cercle Léon Blum. Le but de cette association, créée en 2003 autour du Parti socialiste, est double : « combattre » l’antisémitisme et « œuvrer au rapprochement entre la Gauche française et les femmes et hommes de bonne volonté qui agissent pour la paix au Proche-Orient dans les deux camps, en particulier au sein de la Gauche Israélienne et avec ceux qui soutiennent un processus démocratique au sein de l’Autorité Palestinienne ». Pourquoi un parti de gouvernement confie-t-il à une structure communautaire le soin de dresser la liste des interlocuteurs de la délégation ? Mystère. « C’est grave ? :) », répond Jean-Christophe Cambadélis, contacté par SMS.

  • Etonnant ! Quel scoop ! Hollande et Sarkozy ne font pas du social leur priorité
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20120326trib000690342/hollande-et-sarkozy-ne-font-pas-du-social-leur-priorite.html

    En comparaison avec les campagnes électorales précédentes, les deux principaux candidats n’investissent pas outre mesure dans les mesures sociales. Faute de marges financières importantes... Ils attendent surtout un retour à la croissance pour améliorer la situation de l’emploi

    Après une semaine dominée par les thèmes sécuritaires, « c’est sur l’examen des questions sociales que les Français doivent voter » a déclaré ce lundi Benoît Hamon, porte parole du PS. Sans nul doute, François Hollande souhaite-t-il que la campagne porte moins sur sécurité, domaine dans lequel il ne se montre pas le plus à l’aise. Mais les Français trouveront-ils dans le programme du PS une réponse aux « questions sociales » évoquées par Benoît Hamon, notamment concernant l’emploi , dont la situation ne s’améliorera pas de sitôt ? Ou dans les propositions de Nicolas Sarkozy (le candidat soutenu par l’UMP n’a pas encore dévoilé un programme en bonne et due forme) ?

  • Zemmour & Naulleau 09/12/2011 : Benoît Hamon

    http://www.youtube.com/watch?v=a1cMpjDV9to&feature=colike

    00:00 - Hamon : Le trait d’Union Socialiste
    Benoît Hamon, porte-parole du Parti Socialiste

    26:00 - Allemagne : L’exemple à suivre ?
    Bernard de Montferrand, diplomate et ancien ambassadeur de France en Allemagne

    35:00 - Verité en politique : une utopie ?
    Bernard Accoyer, Président de l’Assemblée nationale

    48:30 - Nucléaire : « l’audit gratuit » de GreenPeace
    Sophia Majnoni, responsable de la campagne nucléaire de GreenPeace

    #Zemmour_&_Naulleau, #Eric_Zemmour, #Eric_Naulleau, #Benoît_Hamon, #Parti_Socialiste, #PS, #Bernard_de_Montferrand, #Bernard_Accoyer, #Sophia_Majnoni, #GreenPeace

  • Cher camarade… (Les Entrailles de Mademoiselle)
    http://blog.entrailles.fr/2011/05/cher-camarade

    Dimanche dernier, devant la télévision, je suis tombée sur une interview de toi, cher camarade Benoît Hamon. La bouche en coeur, je t’ai vu ânonner ta leçon de féminisme tout frais. Le petit point brandi, tu t’es insurgé contre le « déferlement de propos sexistes » déclenchés par « l’affaire DSK » propos tenus « d’ailleurs parfois par des dirigeants de gauche ».

  • L’ombre du STIC sur les Régionales - POLICEtcetera - Blog LeMonde.fr
    http://moreas.blog.lemonde.fr/2010/02/25/l%e2%80%99ombre-du-stic-sur-les-regionales/#xtor=RSS-32280322

    La question est sur toutes les lèvres : qui a pioché dans un fichier pour susurrer au maire de Franconville que l’un de ses opposants politiques était un « multirécidiviste chevronné » ? Existe-t-il un robinet dans chewing-gum_momo1787.jpgla police, comme le suggère Benoît Hamon, qui alimenterait l’UMP sur les petits secrets de ses adversaires politiques ? On va le savoir ou pas ? Frédéric Péchenard, le directeur général de la police nationale, a laissé entendre qu’il allait ordonner une enquête administrative. J’espère que c’est fait depuis longtemps et qu’il a sur son bureau la liste de tous les fonctionnaires qui ont consulté la fiche de M. Soumaré. Mais alors, pourquoi ne pas le dire ? Pourquoi ne pas désigner franchement les brebis galeuses, si elles existent ? En tergiversant, on alimente le doute. Et du coup, on créé un malaise dans les rangs des policiers et une suspicion parmi la population. Existerait-il une sorte d’acoquinement entre certains policiers et l’UMP ? Après tout

    #politique #police #controle #manipulation #for:twitter